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Fluffy le plus grand serpent du monde en captivité est mort
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26 octobre 2010 (Mesobuthus martensii)
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans L'espèce de la semaine
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Rencontre à domicile avec les animaux nocturnes du zoo pour comprendre les dangers de la pollution lumineuse Tapirs, chouettes, chauve-souris, et tout ce que le zoo compte d'animaux nocturnes ... se sont montrés hier au grand jour . C'est dans le cadre du « Jour de la nuit », un événement national destiné à sensibiliser sur les conséquences de la pollution lumineuse, que Mathilde emmène les visiteurs auprès des tapirs et des pandas roux. Et une première question : « Comment se fait-il qu'on puisse voir en plein jour ces animaux dits nocturnes ? » « Certains, en captivité, s'adaptent, répond-on tout simplement. Les chouettes, par exemple, ont plus de bâtonnets (cellules réceptrices photosensibles) dans la rétine, ce qui leur permet de capter plus de lumière dans les endroits sombres, mais ça ne les empêche pas pour autant de voir le jour. » Antoine, bientôt 6 ans, est un peu dissipé aux abords de la volière des chouettes lapones. C'est qu'on ne la lui fait pas à lui dont l'animal préféré est le hibou Grand Duc et dont le frère collectionne les pelotes de réjection. OAS_AD('Position1'); Dans la chaleur de la maison tropicale, ce sont cette fois-ci les visiteurs qui s'adaptent au milieu naturel de leurs hôtes et tombent le manteau. Alors que Delphine écoute religieusement les explications sur le serpent roi « qui doit son nom au fait qu'il mange des serpents venimeux » ou le boa des arbres de Madagascar, c'est le clou de la visite qui réveille l'intérêt de son fils : « Qui veut toucher un serpent ? » Les plus courageux osent, les moins téméraires se font un peu forcer la main. Delphine, qui n'a jamais touché un serpent « ni en chaussure, ni en sac à main » s'exécute, puis s'étonne : « C'est doux et chaud, ça n'a rien à voir avec la sensation que je m'étais imaginée. C'est même plus doux que la plume de chouette de tout à l'heure. » Alors que les visiteurs ont totalement changé d'avis sur les chauve-souris et autres bêtes que d'ordinaire on n'aime pas, voilà que réapparaît la question de la pollution lumineuse : « On n'y peut rien en tant qu'individu, explique la guide, car elle est causée par les grands panneaux publicitaires et les éclairages publics. Mais il faut tout de même le savoir. » • PAU. D. Source
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Fluffy le plus grand serpent du monde en captivité est mort
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Fluffy le plus grand serpent du monde en captivité est mort
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Fluffy le plus grand serpent du monde en captivité est mort Fluffy, le plus long serpent du monde vivant en captivité - un python de 24 pieds - est décédé emporté par une tumeur apparente dans l'Ohio. Il était âgé de 18-ans et pesait 300 livres. Fluffy était selon le Guinness World Records le plus long serpent du monde. Un porte-parole du zoo des États-Unis, où Fluffy avait vécu depuis Mars 2007, a confirmé hier la (mauvaise) nouvelle. Source Pour ceux qui ne le savent pas, il s'agit d'un serpent ayant appartenu durant des années à un grand nom américain de la terrariophilie, Bob Clarke. -
Certains artistes parlent de notre passion dans leurs oeuvres. Voici un exemple : Les serpents non venimeux roulent, s’enroulent et font des nœuds. Certains serpents effrayants rampent et glissent en sifflant. Qui aime les serpents ? Ces animaux rampants qui fascinent tant ! Qui connaît les serpents ? Ces créatures changeantes aux couleurs différentes ! Les serpents à sonnettes sonnent, résonnent comme les clochettes. Certains serpents timides se cachent et dorment dans des endroits humides. Qui a peur des serpents ? Avec le cobra géant, il faut se montrer prudent. Qui respecte les serpents ? Qu’ils soient petits ou grands, chétifs ou imposants, les serpents ont leur place en ce monde, mais il ne faut pas les confondre. Le python, la couleuvre, l’anaconda, la vipère et le boa sont des serpents différents. Que savez-vous des serpents ? Ils sont nombreux, élégants, fascinants… Le serpent nous en apprend, il suffit de remonter dans le temps… Texte : Véro NioursAmour Source
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Le retour de la chasse à la tortue
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Amazonie: une nouvelle espèce découverte tous les trois jours
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Amazonie: une nouvelle espèce découverte tous les trois jours Nagoya - Une nouvelle espèce est découverte en moyenne tous les trois jours en Amazonie, selon un rapport du WWF publié mardi à Nagoya, au Japon. Celui-ci met en garde contre le "scénario effrayant" de la disparition de cette incroyable diversité. Une grenouille avec de surprenants dessins de flammes sur la tête, un perroquet chauve aux couleurs vives, ou encore un anaconda de quatre mètres font partie des espèces découvertes au cours de la décennie écoulée. Entre 1999 et 2009, plus de 1200 nouvelles espèces ont été identifiées dans cette région du monde, selon ce rapport, "L'Amazonie vivante", publié en marge de la 10e Conférence des parties de la Convention sur la diversité biologique (CBD). Cet étonnant inventaire coloré rassemble les récentes découvertes faites dans ce vaste bassin qui s'étend sur neuf pays : 637 plantes, 257 poissons, 216 amphibiens, 55 reptiles, 16 oiseaux et 39 mammifères. Région sous pressionUn gigantesque poisson chat a été découvert en 2005 dans le fleuve Amazone. Un spécimen de ce "poisson Goliath" mesurant 1,5 m et pesant 32 kg a été capturé en 2007 au Venezuela. Parmi les reptiles, une nouvelle espèce de tortue, 28 serpents et 26 lézards ont été découverts au cours de le décennie écoulée. La description du perroquet chauve en 2002 a été une véritable surprise, souligne l'organisation écologiste, les scientifiques se demandant comment un animal aussi coloré et de cette taille avait pu ne jamais avoir été identifié jusque-là. Un dauphin de rivière en Bolivie, sept singes, deux porcs-épics, huit souris, cinq rats font partie des nouvelles espèces de mammifères identifiés. "Cette région incroyable est sous pression en raison des activités humaines. Le paysage se transforme à grande vitesse", a souligné, au cours d'un point de presse, Francisco Ruiz, qui a coordonné ce rapport au sein du WWF. Source -
Le retour de la chasse à la tortue ÉVÉNEMENT. La direction de l’Environnement doit annoncer aujourd’hui l’ouverture prochaine de quotas de pêche à la tortue. L’information va retentir cet après-midi au symposium sur les tortues marines organisé par l’association Te Mana o te Moana (lire en p.9). Le programme prévoit à 15 heures un exposé de la direction de l’Environnement (Diren) sur la “position du Pays relative à la gestion des tortues marines en Polynésie française”. Depuis 20 ans, la position du Pays est simple. Selon la loi du 13 juillet 1990, “sont interdits : le transport, la détention, la collecte des oeufs de tortues marines, la capture à terre ou en mer, la taxidermie, la commercialisation, l’importation et l’exportation de toute tortue marine”. Cela n’empêche pas les Polynésiens de continuer d’en consommer. La preuve : malgré l’interdiction et le risque de forte amende, les douaniers tahitiens saisissent plusieurs fois par an de la viande de tortue : 12 kilogrammes en novembre 2009, 8 kilogrammes en avril dernier, 112 kilogrammes au mois d’août à Tetiaroa, etc. Devant ce constat, la direction de l’Environnement veut “mettre fin à la prohibition” et doit annoncer cet après-midi l’ouverture imminente de quotas de pêche à la tortue. Mais ne dites surtout pas au directeur de la Diren qu’il veut rouvrir la chasse à la tortue. Il s’agit de “prendre en compte une pratique culturelle afin de mieux la contrôler”, dit Christophe Giraud, qui s’explique : “Le gouvernement propose d’impliquer les populations dans la gestion de la biodiversité. Il n’y a pas mieux que les pêcheurs pour s’en occuper.” Puisque l’interdiction totale depuis 20 ans n’a pas jugulé la consommation de viande de tortue, la Diren souhaite en autoriser la pêche “pour l’autoconsommation locale” tout en maintenant l’interdiction formelle de tout commerce. Comment vont réagir les associations de protection de la nature Des quotas seront bientôt mis en place, pour fixer des limites maximum. “Ce seront les populations, les pêcheurs, avec l’appui des scientifiques, qui détermineront les quotas pour chaque espèce, site par site et commune par commune. Ensuite, de la même manière que l’on chasse le cerf ou le sanglier dans les forêts de métropole, les Polynésiens pourront pêcher la tortue. Ensuite, il y aura un comptage et un baguage obligatoires de toutes les prises pour avoir le droit à un quota de pêche”, précise Christophe Giraud. Un projet de modification du code de l’environnement est en cours de rédaction. Le principe devrait être expérimenté dans les prochains mois. Et annoncé cet après-midi à Moorea, à l’hôtel InterContinental, par Miri Tatarata, chargée de la biodiversité marine à la direction de l’Environnement. Son directeur le répète : “C’est une entreprise courageuse et honnête pour sortir de la prohibition. On va commencer à gérer le braconnage et à remettre en selle les Polynésiens au sein de la gestion de leur environnement.” Les écologistes des associations de protection de la nature voulaient profiter de ce symposium pour “aboutir à des propositions de plans de conservation faisant collaborer le plus grand nombre d’acteurs locaux”. Nous saurons demain si cette proposition-là leur convient... Benoît Buquet Source
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26 octobre 2010 (Mesobuthus martensii)
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans L'espèce de la semaine
Nom scientifique : Mesobuthus martensii Nom français : Scorpion doré de Mandchourie Nom anglais : Manchurian scorpion ou Chinese golden scorpion Origine : Chine, Japon, Mongolie Biotope : Semi-Aride Température : 26 à 29°C Hygrométrie : 40 à 60% Moeurs : Terrestre et nocturne Taille adulte : 6 à 7 cm Longévité : 6 ans Nourriture : Insectes Cette espèce de scorpion peut être dangereux sans être mortel pour l'homme. La médecine traditionnelle chinoise utilise le venin de ce scorpion depuis plus de 1000 ans. Les trois toxines qui composent le venin agissen différemment sur l'organisme. Il s'agit d'un petit scorpion mais pourtant, il est de taille moyenne pour un buthidae. -
Un crapaud aussi envahissant que répugnant Il y a des espèces dont on redoute la disparition et d’autres dont la prolifération devient problématique. Le crapaud buffle, un molosse amphibien qui peut mesurer plus de 35 centimètres de long, appartient à la seconde catégorie. Sous son appellation latine plutôt mélodieuse, Rhinella marina, se cache en réalité une espèce de crapaud invasive, d’aucuns diraient mutante. Sa morphologie a en effet fortement évolué avec le temps : l’amphibien possède désormais des pattes surdéveloppées qui lui permettent d’être plus rapide que ses congénères et surtout de se déplacer toujours plus loin. Au point d’être capable d’étendre son territoire de près de 60 kilomètres par an (!) Fort d’une capacité reproductive phénoménale, avec des femelles fécondables presque toute l’année et qui peuvent pondre plus de 30 000 œufs en l’espace de douze mois, les crapauds buffle peuvent désormais se targuer d’être les amphibiens le plus répandus au monde. L’Australie envahie Leur reproduction a notamment atteint des proportions inquiétantes en Australie. Au départ, le Rhinella marina a été introduit dans le pays afin de lutter contre les nuisibles en agriculture. Sa capacité à débarrasser les plantations de cannes à sucre des coléoptères a été constatée au début des années 1930, mais les scientifiques contemporains évaluent le nombre de crapauds buffles à plus de 200 millions sur l’île. On accuse aujourd’hui l’amphibien d’avoir eu un impact négatif sur la biodiversité, en particulier dans le Queensland, au nord-est du pays. Il faut dire que le crapaud a de quoi se défendre contre les prédateurs : il sécrète de la bufotoxine, laquelle contient de la bufoténine, un composant chimique considéré comme une drogue par les autorités australiennes, au même titre que la marijuana ou l’héroïne. Si elle n’est dangereuse que dans une certaine mesure pour l’homme – elle est hallucinogène –, la bufoténine peut toutefois provoquer un arrêt cardiaque chez de nombreux animaux. La diminution du nombre de certains reptiles comme les varans, les serpents et même le crocodile est donc imputée au crapaud buffle. Membre de l’Université James Cook dans le Queensland, Ben Philipps considère que le fait que les crapauds aillent toujours plus vite et plus loin est une « mauvaise nouvelle » mais pense avoir trouvé leur talon d’Achille, à savoir leur système immunitaire. Etant donné la vitesse à laquelle il prolifère le Rhinella marina n’aurait en effet pas le temps de le développer pour faire face à de nouvelles épidémies. Si cette nouvelle donnée venait à être confirmée, des pathogènes ciblés pourraient être libérés sur le front de progression des crapauds buffles pour les stopper. Un comble. Source
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Tendance : Lézards, serpents, dragons et tortues Les reptiles sont (re) devenus très tendance. Au point qu’aujourd’hui, ils figurent parmi les meilleures ventes des nouveaux animaux de compagnie (Nac), selon les professionnels animaliers. Ces animaux vivent, le plus fréquemment, dans des terrariums. Il est préférable de faire attention : même en dépit d’une naissance en captivité, ils restent sauvages. C’est peut-être pour cette raison qu’ils exercent une fascination sur un nombre grandissant de Français. Un chiffre : il se vend, chaque année en France, 46 000 serpents ou ophidiens (leur autre nom), dont 60 % sont des couleuvres. Les variétés les plus importantes de lézards ou squamates (reptiles à écailles, NDRL) sont les geckos et les agames barbus ou pogonas. Ils représentent 40 % des 16 000 lézards et apparentés achetés chaque année. L’iguane vert, le dragon d’eau et caméléon comptent aussi parmi les reptiles les plus vendus. Très prisées également, les tortues : il se vend ainsi près de 40 000 tortues aquatiques et 47 000 tortues terrestres sur le marché professionnel organisé. Afin d’éviter les trafics, les tortues terrestres doivent être identifiées par des puces électroniques, comme les chiens et les chats. Quant à sa cousine aquatique, également très convoitée par les jeunes, il faut savoir qu’elle peut transmettre des maladies, comme la salmonellose, notamment aux nourrissons, personnes âgées et immunodéprimées. En outre, « il existe un marché parallèle pour les NAC, notamment pour les tortues terrestres et les serpents », déplore Luc Ladonne, le secrétaire général du Prodaf, le syndicat des professionnels de l’animal familier. « Un commerce lucratif qui s’est développé avec internet. Une tortue hermann ou greca se monnaie quelque 150 € chez les éleveurs amateurs », ajoute-t-il. Enfin, parmi les NAC, les souris sont aussi très convoitées : plus de la moitié d’entre elles servent de repas… aux serpents. Source
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La chauve-souris Yoda et 200 autres nouvelles espèces
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
La chauve-souris Yoda et 200 autres nouvelles espèces Découvertes en Papouasie-Nouvelle-Guinée La «chauve-souris Yoda» ainsi que 200 autres nouvelles plantes et animaux ont été récemment découverts par des chercheurs travaillant dans les forêts tropicales de Papouasie-Nouvelle-Guinée. La chauve-souris a été baptisée selon sa ressemblance avec le maître Jedi de Star Wars : Yoda. Les découvertes, qui incluent la chauve-souris frugivore Yoda au nez en tube, une araignée de couleur orange et une grenouille miniature de couleur jaune maculé, ont été dévoilées par le groupe environnemental nord-américain Conservation International. Le groupe a découvert cette panoplie d'animaux et de plantes en 2009. Vingt-quatre nouvelles espèces de grenouilles, certaines plantes ainsi que de nombreuses araignées et insectes ont été découverts dans des forêts reculées, près des chaînes de montagnes Nakanai et Muller. «Alors que nous survolions les prairies et les montagnes, observant les paysages spectaculaires, nous vivions un moment magique et nous réalisions qu'aucun scientifique n’était jamais venu dans ces lieux», a déclaré l’herpétologiste Stephen Richards dans un communiqué. Richards et son équipe ont volé dans un petit avion jusqu'à une piste d'atterrissage éloignée pour ensuite poursuivre leur voyage en pirogue et à pied, et finalement compléter en hélicoptère le trajet jusqu'à destination. «Le voyage a été si difficile que l'équipe a dû expédier, à l'avance, toute sa nourriture et son matériel sur le site», a indiqué le groupe. Les montagnes Nakanai ont été récemment nommées site du patrimoine mondial de l'UNESCO par le gouvernement de Papouasie-Nouvelle-Guinée. Toutefois, le groupe de conservation a déclaré qu’on doit faire davantage pour sauver les forêts tropicales sur l'île. «Debout au-dessus des montagnes Nakanai, j'ai pu voir des plantations de palmiers à huile qui s'étendaient presque jusqu'à la côte», a déclaré Richards. «J'ai été frappé en me rendant compte à quel point la forêt en basse altitude a disparu à l'avantage de l'huile de palmier. L’escarpement des montagnes a limité sa destruction, mais si les gens commencent à construire des routes, ces zones seront facilement accessibles.» Source -
Même les tortues jouent ! Gordon Burghardt, professeur de psychologie à l'Université du Tennessee, estime que beaucoup d'animaux - pas seulement les chiens, les chats et les singes - ont besoin de jouer. Voir un enfant ou chiot s’amuser n’a rien de surprenant. Mais qu'en est-il une tortue ou même d’une guêpe? Apparemment, ils jouent aussi. En fait, selon Gordon Burghardt, pratiquement tous les animaux ont besoin de jouer : « J'ai étudié le comportement de reptiles juvéniles depuis de nombreuses années et je n’ai jamais rien vu qui puisse me faire penser qu’ils jouaient. Puis j'ai eu une révélation quand j'ai vu Pigface, une tortue à carapace molle du Nil, s’amuser autour d'un poteau de basket-ball au zoo de Washington, DC. J'ai réalisé que les reptiles jouaient eux aussi. » Dans un article publié dans le numéro d'Octobre de The Scientist, le chercheur résume sa conception du jeu : « Le jeu est un comportement répétitif qui est incomplètement fonctionnel dans le cadre ou à l'âge auquel il est exécuté et il est initié volontairement lorsque l'animal ou la personne est dans une atmosphère détendue ou à faible contrainte. » Selon lui ce comportement serait largement répandu dans le domaine animal y compris chez des espèces moins évoluées comme les poissons et certains invertébrés. Le jeu assurerait plusieurs fonctions : « chez les animaux, nous pouvons évaluer de plus près le rôle du jeu dans l'apprentissage des compétences, le maintien de la forme physique et mentale, l'amélioration des relations sociales » explique Gordon Burghardt. Et d’expliquer l’intérêt de ses recherches par leurs applications possible chez l’Homme. « Par exemple, le rôle du jeu pour diminuer les effets de l'hyperactivité avec déficit de l'attention chez les enfants est fondé sur une recherche sur les rats. » Dans son article Gordon Burghardt illustre comment le jeu est intégré dans la biologie des espèces et dans les mécanismes cérébraux. « Le jeu fait partie de l’histoire évolutive, c’est une partie intégrante de la vie » conclut-il. Source
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Gare au sarcosuchus Le Sarcosuchus ou Sarcosuchus imperator (sarcos signifie « chair », souchos « crocodile », et imperator « empereur », « le plus grand ») un reptile préhistorique (réapparu de manière spectaculaire en 2007) de l’ordre des crocodiliens (prédateurs) qui mesurait entre 11 et 14 mètres de long et pesait près de 10 tonnes. C'était l'un des plus gros (si ce n'est le plus gros) de tous les crocodiliens ayant existé sur Terre. Son descendant actuel est nettement plus petit bien sûr mais tout aussi dangereux. Le Sarcosuchus vivait probablement au bord des fleuves et attaquait les herbivores (les plus faibles) qui venaient s'y abreuver à la manière de nos crocodiles actuels. Lors de certaines fouilles, des squelettes d’Ouranosaurus (un cousin de l’Iguanodon), ont été retrouvés mêlés à ceux de Sarcosuchus, ce qui tend à nous faire penser que cet herbivore était une des proies que chassait ce crocodile géant. Quand on sait qu'un Ouranosaurus adulte mesurait 7 m de long, on peut alors s’imaginer la puissance de ce crocodile pour pouvoir entraîner sa proie au fond de l'eau (et on imagine la puissance de son descendant qui entraîne la France vers le fond). Comme les autres membres de la famille des pholidosauridés, son museau est très allongé, avec de nombreuses dents (plus de 100). Vous remarquerez que le descendant de ce prédateur prétendait aller chercher la croissance avec les dents. Source
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Grenouilles ou perroquets, découvertes d'espèces à foison en Amazonie
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Grenouilles ou perroquets, découvertes d'espèces à foison en Amazonie NAGOYA — Grenouille ornée de surprenants dessins de flammes sur la tête ou perroquet chauve aux couleurs vives: une nouvelle espèce est découverte tous les trois jours en Amazonie, mais le "scénario effrayant" de la disparition de cette incroyable diversité inquiète. Entre 1999 et 2009, plus de 1.200 nouvelles espèces ont été identifiées dans cette région du monde, selon un rapport du WWF publié mardi à Nagoya (Japon), en marge de la 10e Conférence des parties de la Convention sur la diversité biologique (CBD). Au coeur de la forêt amazonienne, dans les zones désertiques ou au fond des océans, la diversité du vivant n'a jamais été aussi bien documentée, mais les études qui se succèdent font aussi toutes le même constat: la menace que font peser sur elle certaines activités humaines est alarmante. L'étonnant inventaire coloré présenté mardi au Japon par le WWF rassemble les récentes découvertes faites dans ce vaste bassin qui s'étend sur neuf pays: 637 plantes, 257 poissons, 216 amphibiens, 55 reptiles, 16 oiseaux et 39 mammifères. Un gigantesque poisson chat a été découvert en 2005 dans le fleuve Amazone. Un spécimen de ce "poisson Goliath" mesurant 1,5 m et pesant 32 kg a été capturé en 2007 au Venezuela. Parmi les reptiles, une nouvelle espèce de tortue, 28 serpents et 26 lézards ont été découverts au cours de la décennie écoulée. Un dauphin de rivière en Bolivie, sept singes, deux porcs-épics, huit souris, cinq rats font partie des nouvelles espèces de mammifères identifiées. "Cette région incroyable est sous pression en raison des activités humaines. Le paysage se transforme à grande vitesse", a mis en garde Francisco Ruiz, qui a coordonné ce rapport. Après des siècles de perturbations humaines très limitées sur cet environnement, "l'humanité a causé la destruction d'au moins 17% de la forêt tropicale amazonienne au cours des 50 dernières années", a-t-il rappelé mettant en exergue une demande croissante de terre (élevage, culture du soja et biocarburants). Même foisonnement de découvertes en mer: la publication, début octobre à Londres, d'une vaste étude (Census of marine life), qui a mobilisé 2.700 scientifiques de plus de 80 pays pendant dix ans, a mis en lumière "une profusion inattendue d'espèces". Avec des surprises, comme la "crevette jurassique", que l'on croyait disparue depuis 50 millions d'années et qui a été trouvée dans les eaux australiennes ou encore la découverte d'une nouvelle espèce de homard géant sur les côtes malgaches. L'estimation du nombre d'espèces connues est désormais de 250.000. En extrapolant, les scientifiques estiment qu'il en existe "au moins un million" dans les océans. Ces annonces en cascade de l'identification de nouvelles espèces, superbes photos à l'appui, sont importantes - "Il y a toujours une joie de la découverte " - estime Jean-Christophe Vié, du Programme pour les espèces de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Toutefois, met-il en garde, il faut rester attentif à ce qu'elles ne "brouillent pas le message". "Le risque est que le gens se disent : +pas d'inquiétude, des espèces apparaissent tous les jours+. Mais elles n'apparaissent pas, elles sont simplement découvertes ou décrites, c'est très différent !", ajoute-t-il. Selon la liste rouge de l'UICN, une espèce d'amphibien sur trois, plus d'un oiseau sur huit, plus d'un mammifère sur cinq et plus d'une espèce de conifère sur quatre sont menacés d'extinction au niveau mondial. Réunis depuis près de dix jours à Nagoya, les représentants de 193 pays tentent de se mettre d'accord sur les moyens d'enrayer cette érosion, en particulier grâce à une hausse sensible d'aires protégées, sur terre comme en mer. Source -
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Salon des insectes de Montréal
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Nouvelle
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Rares sont les pères à laisser leur fille de deux ans chevaucher un boa birman géant comme si c'était un poney. Pour Jamal Emwassi, charmeur de serpents palestinien, pas d'inquiétude: les reptiles «font partie de la famille». Ce fonctionnaire de l'Autorité palestinienne âgé de 35 ans possède plus d'une douzaine de serpents, dont plusieurs grands pythons, qui habitent tous dans une cabane à quelques mètres de chez lui, à Beitounia, près de Ramallah en Cisjordanie. «Ces serpents font partie de la famille. Tous les matins et tous les soirs je les inspecte et je les nourris», dit-il fièrement. M. Emwassi ne passe pas inaperçu en Cisjordanie, où les animaux de compagnie sont rares et les serpents considérés comme des nuisibles. Ses connaissances en la matière ont fait de lui la référence dans la région. C'est en chassant, enfant, dans les collines environnantes, qu'il a découvert les serpents; il en existe plus de 40 espèces différentes en Israël et en Cisjordanie, dont une dizaine sont venimeuses. Collectionneur d'espèces locales, il a aussi importé des pythons birmans via Israël. Jamal a possédé jusqu'à 20 serpents venimeux, mais s'en est débarrassé en les libérant dans une zone reculée, dit-il, par peur qu'ils ne fassent du mal à ses enfants ou à un voisin. Mais il a aussi appris sur le tas comment soigner les différentes morsures, ce qui lui a permis d'aider à guérir un enfant de 10 ans mordu près de Ramallah. Alors que l'enfant était hospitalisé dans un état grave, il lui a demandé où il habitait. «Je savais quel type de serpents venimeux il y avait dans ce village, et je connaissais donc l'antivenin» adapté, raconte Jamal Emwassi. Le garçon s'est remis en trois jours. Depuis, il reçoit régulièrement des appels de gens lui demandant de les débarrasser de serpents. S'ils sont venimeux il les tue, sinon, il les garde. Ses enfants aiment jouer avec les reptiles domestiques, qui mesurent jusque trois mètres. Son fils de 13 ans, Ibrahim, qui est chargé de les nourrir lorsque son père est absent, dit qu'il n'a «pas peur du tout». Et Natalie, deux ans, les embrasse et les chevauche sur la route devant la maison. «Je vais peut-être lui fabriquer un selle», dit Jamal, alors que les passants s'arrêtent, bouche bée. Pour nourrir ses protégés, il élève aussi des poules, des canards et des lapins. Il y a deux semaines, il a donné un agneau entier à l'un de ses boas. L'agneau, reconnaît-il, était à peine plus gros que Natalie mais il balaie d'une phrase les risques qu'elle court en telle compagnie. «De toute façon ils ne mangent pas les gens» affirme-t-il. Un avis qui ne fait pas l'unanimité. Yonatan Vronski, qui collectionne les reptiles de longue date et collabore avec le zoo israélien de Nahariya, souligne que les pythons birmans, bien que dociles, peuvent s'avérer mortels. «Ce n'est pas une race de serpent que l'on peut manipuler sans danger», estime-t-il. «Si vous laissez votre enfant seul avec l'un de ces serpents pour rentrer vous faire un café, le temps que l'eau bout, l'enfant peut mourir». Jamal a bien eu quelques démêlés avec les serpents, mais rien de grave insiste-t-il; la cicatrice de morsure de python sur sa main gauche est le fruit d'un quiproquo selon lui: «le serpent a pris ma main pour un poulet». Source
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411 tortues terrestres d’espèces menacées rapatriées à Madagascar
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
411 tortues terrestres d’espèces menacées rapatriées à Madagascar après leur saisie en Malaisie ANTANANARIVO, Madagascar, 21 octobre 2010/African Press Organization (APO)/ — 411 tortues terrestres comptant parmi trois espèces les plus trafiquées, menacées et rares (Astrochelys radiata ou tortue radiée, Pyxis arachnoides ou tortue araignée et Astrochelys yniphora ou tortue à soc) quitteront aujourd’hui la Malaisie où elles avaient été saisies, pour retrouver leur pays d’origine, Madagascar, annoncent aujourd’hui la SOPTOM (Station d’Observation et de Protection des Tortues et de leurs Milieux – www.villagetortues.com) et IFAW (Fonds international pour la protection des animaux – www.ifaw.org). Illégalement collectées dans leur habitat naturel à Madagagascar, ces tortues, dont le commerce international est proscrit en raison de leur inscription à l’Annexe I de la CITES, étaient destinées à alimenter les marchés publics en Chine lorsque les sacs dans lesquels elles étaient entassées ont été interceptés à l’aéroport de Kuala Lumpur (Malaisie) en juillet dernier. La SOPTOM, qui gère le Village des Tortues d’Ifaty, dans le Sud de Madagascar, s’est naturellement intéressée à cette saisie et a œuvré auprès des autorités tant malgaches que malaises pour que ces animaux menacés et rares puissent être rapatriés vers leur pays d’origine, dans leur habitat naturel. « Les ressources naturelles de Madagascar sont pillées un peu plus chaque jour pour alimenter des trafics de grande ampleur. Il est donc crucial de favoriser le rapatriement d’espèces endémiques telles que ces tortues afin de démontrer que la faune malgache doit rester in natura et ne peut être l’objet d’aucun commerce » indique Bernard Devaux, Secrétaire général de la SOPTOM. Planifiée aujourd’hui, cette vaste opération financée conjointement par la SOPTOM et IFAW est aussi soutenue par Turtle Survival Alliance et Durrell Wildlife Conservation trust. Les tortues seront transportées par la compagnie Air Mauritius dans des caisses (construites par les Parcs Nationaux malais) jusqu’à la capitale malgache d’Antanarive, où celles-ci seront accueillies par les autorités dont le Ministre de l’Environnement des Eaux et Forêts et du Tourisme de Madagascar en personne, Monsieur Randriarimanana. Elles rejoindront ensuite le Village des tortues d’Ifaty où elles seront placées en quarantaines-nurseries isolées durant 12 mois et seront soumises à un contrôle sanitaire poussé avant d’être relâchées au sein des 7 ha qu’offre ce village. « La collaboration des autorités malaises et malgaches pour favoriser ce rapatriement est exemplaire. Cependant elle ne doit pas s’arrêter là. Seule une coopération renforcée et une meilleure coordination entre les deux pays permettra de lutter efficacement contre ces trafics à destination de l’Asie », souligne Céline Sissler-Bienvenu, Responsable du bureau français d’IFAW. Source -
Un crocodile cause un accident d'avion : Bilan : 20 morts
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Un crocodile cause un accident d'avion : Bilan : 20 morts En août dernier, un avion s'est écrasé à seulement 500 mètres de l'entrée de la piste d'atterrissage causant. C'est juste avant l'atterrissage que le vol let-410 de la compagnie aérienne Filair du Congo s'est écrasé près de la ville de Bandundu, causant la mort de 20 passagers dont les membres de l'équipage, le pilote et le co-pilote de nationalité Belge. L'enquête penche rapidement pour la thèse de la panne sèche. Cependant, la cause serait en fait tout autre. Sur la foi du témoignage de l'unique survivant du drame, il apparait que l'un des passagers aurait introduit illégalement un reptile dans l'appareil. L'animal, un crocodile qui devait être vendu au marché comme viande de brousse, se serait évadé du sac dans lequel il était enfermé. Pris de panique à la vue du saurien, qui se promenait dans les travées, les hôtesses se seraient précipitées vers le poste de pilotage pour y trouver refuge.Très mauvaise idée, car l'ensemble des passagers suivirent le mouvement causant le déséquilibre de l'appareil et le crash mortel qui s'ensuivit. Dans les décombres de l'avion les secours n'ont retrouvé vivant qu'un seul des passagers et... le crocodile qui fût abattu sur place. Presque toutes les grandes compagnies aériennes transportent des animaux vivants. Cela se passe dans les soutes pressurisées et les animaux sont emballés suivant la réglementation IATA qui est particulèrement stricte sur le sujet. Source -
Le xénope, un amphibien, va-t-il inspecter nos médicaments ?
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Le xénope, un amphibien, va-t-il inspecter nos médicaments ? [b]La sécurité des médicaments pourrait être contrôlée à l’aide d’une substance produite par le xénope, et non plus à l’aide d’un extrait de limule. Ces drôles d'arthropodes ancestraux pourraient alors enfin profiter d’une retraite prospère… Les ingénieurs de l’université de Princeton viennent de trouver le moyen de concilier industrie pharmaceutique et écologie. Quel est le lien entre les deux ? Le xénope du Cap ! En effet, une nouvelle méthode de recherche de contaminations bactériennes efficace a été mise au point grâce à une particularité de l’amphibien. Cette nouvelle méthode permettra peut-être de protéger la limule, animal ancestral menacé, jusqu'ici capturé pour ces recherches. Comme beaucoup d’amphibiens et notamment les grenouilles très colorées, le xénope du Cap (Xenopus laevis) porte sur sa peau un mucus qui peut être toxique par simple contact. Par chance pour l’homme, les peptides retrouvés dans le mucus de ce xénope ne s’attaquent qu’aux bactéries et confèrent à l’animal une protection contre les infections. Le travail des ingénieurs américains permet de transformer ce piège à bactérie en atout pour l’industrie pharmaceutique. Un biosenseur antibactérien Les ingénieurs de l’université de Princeton ont en effet trouvé un moyen de produire au laboratoire un de ces peptides, la magainine I, et surtout de l’attacher sur une puce électronique. La magainine I, pourvue d’un spectre large et donc adaptée à la détection d’un grand nombre de bactéries, est alors capable de déclencher un signal électrique lorsqu’elle est exposée à une bactérie dangereuse comme la salmonelle ou une souche pathogène d’Escherichia coli. Ce procédé, publié dans la revue Proceedings of the National Academy of Science et considéré comme simple par les ingénieurs, pourrait néanmoins être utilisé par l’industrie pharmaceutique pour détecter dans des lots de médicaments la présence de bactéries ou de résidus bactériens, dangereux pour les malades. Les tests ont notamment pu déceler la présence d’une seule bactérie dans un volume d’un microlitre, un seuil adapté à un usage pharmaceutique. Il pourrait donc dans le futur remplacer le système de vérification actuel, qui n’est pas écologiquement sain. Car à l’heure actuelle, et depuis plus de 40 ans, les médicaments sont stérilisés puis testés à l’aide d’un extrait de limule. Cet animal, vieux de 450 millions d’années, possède un système immunitaire dirigé contre une quantité impressionnante de pathogènes, et se défend contre les bactéries en sécrétant du coagulogène grâce à des cellules sanguines spécialisées, les amœbocytes. Le test de vérification des médicaments, ou « test LAL » utilise ce mécanisme particulier : si un échantillon provoque une gélification du liquide en présence de lysat d’amœbocyte de limule (LAL), cela signifie qu’il est contaminé par des toxines bactériennes. Sauver les limules et leur écosystème Les limules sauvages sont donc régulièrement capturées et vidées d’une partie de leur sang (ou hémolymphe et qui est pour l'anecdote, de couleur bleue) puis relâchées dans la nature. Ce traitement, létal pour certains animaux (la mortalité est estimée à 3 % voire 30 % selon les sources), a pour conséquence une diminution des populations de limules. Comme tout écosystème, le manque de proie fait également diminuer les populations de prédateurs, en l’occurrence des oiseaux et plus particulièrement les bécasseaux maubèches. Dans la baie du Delaware, ces oiseaux sont dénombrés à 24.000 (en 2009), un chiffre en nette diminution par rapport à celui des années quatre-vingt-dix (100.000 à 150.000), même si la tendance est en train de s'inverser. Un tel désastre ne touchera probablement pas le xénope du Cap ni son écosystème, et cela même si le nouveau procédé utilisant ses peptides est démocratisé, car tous les composants du biosenseur peuvent être synthétisés in vitro.[/b] -
Boulbon. Dans leur jardin, ils tombent sur un iguane de 1m35
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Boulbon. Dans leur jardin, ils tombent sur un iguane de 1m35 Boulbon (près d'Arles) dans les Bouches-du-Rhône. Dimanche, un couple voit, dans son jardin, un très gros "lézard" qui se repose sur l'herbe. Il fait plus d'un mètre de long et ne bouge pas, parce que la température est un peu fraîche. Le couple parvient à le mettre dans une poubelle et le porte au Centre de secours, raconte La Provence. Les pompiers estiment l'iguane agressif, mais en bonne santé. Si le propriétaire veut le récupérer, il devra s'adresser à Jérôme, agent animalier de la ville d'Arles, avec tous les papiers réglementaires. Le nombre de ces "Nouveaux animaux de compagnie" (NAC) augmentant régulièrement, les pompiers souhaiteraient qu'une cellule spécialisée soit créée, un peu comme la cellule cynophile. Source