Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

Max|mum-leterrarium

Membres
  • Compteur de contenus

    12 143
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Une tortue de Floride à deux têtes, de son nom latin trachemys scripta elegans, à côté d'une pièce de monnaie, dans le parc Xiaoyaojin de Hefei (chef-lieu de la province de l'Anhui), le 8 novembre 2010. La tortue a éclos il y a plusieurs jours de son œuf incubé artificiellement, et est aujourd'hui en bonne santé. Source
  2. Micronésie: 6 personnes mortes après avoir consommé de la viande de tortue WELLINGTON - Six personnes sont mortes et plus de 90 autres sont tombées malades après avoir consommé de la viande d'une tortue en voie de disparition en Micronésie, un groupe d'îles de l'océan Pacifique, ont indiqué les autorités. Les six personnes, dont quatre enfants, sont mortes après une fête sur l'île de Murilo où figurait au menu de la viande de tortue imbriquée ou tortue à écailles, un espèce menacée, a indiqué le service d'information des Etats fédérés de Micronésie. Après une analyse des services de santé et de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), il est apparu que les décès sont dus à la toxine contenue dans la viande de tortue, le chelonitoxisme, et contre laquelle il n'existe pas d'antidote. Les autorités ont depuis décrété l'interdiction totale de consommation de viande de tortue et des oeufs. La tortue imbriquée (Eretmochelys imbricata) ou tortue à écailles est la tortue de mer qui a été la plus chassée pendant des siècles pour sa carapace ornée d'écailles très recherchées. Elle est désormais protégée par la Convention sur le commerce international des espèces sauvages menacées (CITES). (AFP / 12 novembre 2010 04h20) Source
  3. Je te dirais que c'est la grandeur minimale selon moi. Dans la fiche que j'ai écris, j'ai mis des grandeurs pour le terrarium selon mes expériences et mon savoir. Je te dirais qu'un minimum de 6 pieds d'haut est requis.
  4. Tout d'abord, bienvenue sur le forum! Pour commencer, j'agrandirais un peu les dimensions de ton terrarium pour pouvoir accueillir l'iguane. Je t'invite à lire cette fiche pour t'aider à te diriger. /fiches-sur-les-lezards-f26/iguana-iguana-iguane-vert-t3739.htm Pour ce qui est de la cohabitation, il est possible mais en restant vigilant. L'iguane reste un animal territoriale et la tortue peut infliger des blessures importantes à l'iguane aussi. Il faut s'assurer d'avoir les bons paramètres convenant pour les deux espèces donc ce n'est pas toutes les espèces qui pourraient y vivre. Pour répondre à ta question sur les températures, il est simple d'abaisser la température. Je t'explique. On obtient la température avec une lampe chauffante qui est allumé le jour. Le soir venu, on éteint cette lampe qui ne chauffera plus ce terrarium mais le tapis chauffant continuera par contre. La température ambiante diminuera dans ce cas. Pour l'humidité, il suffit de mettre une lampe au-dessus de l'eau, vaporiser de temps en temps pour obtenir le taux d'humidité voulu. J'espère avoir répondu à tes questions sinon éclaire moi sur comment je peux t'aider.
  5. Un serpent terrorisé et agressif à Raimbeaucourt Dimanche 7 novembre, des Raimbeaucourtois ont alerté les pompiers après avoir découvert un serpent d'1,20 mètre dans leur jardin. Des Raimbeaucourtois contactent les sapeurs pompiers, dimanche 7 novembre. Il y a un serpent en balade dans leur jardin. Les soldats du feu interviennent et emmènent le reptile. La bestiole en impose : le serpent, un Elaphe Guttata Guttata, mesure 1,20 mètre de long. Agressif et terrorisé, le reptile a été pris en charge par un vétérinaire douaisien.  « Ce n'est pas un serpent venimeux », indique Claude Franck Leroy, vétérinaire mais aussi pompier volontaire. Pas venimeux mais qui n'inspire pas non forcément confiance non plus. « L'animal n'est pas du tout sociabilisé. Très stressé, il attaquait. » Visiblement le reptile, un serpent relativement courant, n'avait pas mangé depuis un quelque temps mais est « en apparente bonne santé ». Voyant qu'il n'était pas en péril ni en mauvaise santé, le vétérinaire a donc contacté la Sapad de Douai qui a pris le relais. Freddy Delval, administrateur de la Sapad spécialisé dans les nouveaux animaux de compagnie (NAC), a récupéré le reptile dès le dimanche.  La captivité l'a probablement perturbé. « C'est une espèce docile normalement. Là, il est énervé et agressif », indique le spécialiste. « Dès qu'il sera plus calme, je vais commencer à le nourrir puis une employée de la Sapad pourra prendre le relais. » Source
  6. Il y a deux écoles de pensé sur les lampes UV pour les geckos à crêtes. Certaines personnes vont te dire que puisqu'ils sont nocturnes, ils n'en ont pas besoin. Par contre, les UV servent à aider à assimiler la vitamine D3 dans la bit d'enclancher le métabolisme du calcium. Personnellement, je peux te conseiller une lumière UV 2.0%. Comme je dis, c'est mon opinion personnel. Oui, le tapis chauffant est important selon moi. Par contre, dans le cas d'un lézard arboricole, je ne le colle jamais sous le terrarium mais sur la façade arrière du terrarium. Le pourquoi? Tout simplement que ton lézard ne se tient pas au sol mais dans les airs et le tapis chauffant sert à donner une petite chaleur afin d'aider l'animal à digérer. Je te conseille fortement de mettre beaucoup de feuillage, de liane, ect, afin de permettre à l'animal de se sentir camoufflé et en sécurité. Pour les éleveurs de geckos à crête, je sais que Lecinéphile sur le forum veut en vendre mais il n'est pas de ton coin directement mais de la rive-sud de Montréal. Je te suggèrais lui en premier lieu mais il y en a d'autre. Rive-Nord, il y a Simon Hamelin.
  7. Je suis en plein cours de finances puisque j'ai mon examen final demain. Ce n'est pas dans mes habitudes mais je vais te répondre en détail demain puisque j'ai vraiment besoin d'étudier.
  8. Je sais que tes choix sont dirigés vers le gecko à crête et le gecko léopard. Par contre, selon le questionnaire, tu réponds autrement que ce que tu racontais dans tes autres messages. Selon tes réponses ici, les deux pourraient te convenir. Par contre, ailleurs, tu disais vouloir un terrarium arboricole donc le gecko à crête convient mieux dans ce type de terrarium. Le gecko léopard risque de grimper aux branches et tout que tu vas mettre, mais il risque aussi de se blesser en tombant n'étant pas arboricole à la base.
  9. Communiqué de la Vice Présidence : Suite à certaines déclarations de la part de la direction de l’environnement lors du 1er Symposium sur les tortues marines en Polynésie Française qui a eu lieu à Moorea les 26 et 27 octobre, le Président de la Polynésie Française et l’ensemble de son gouvernement souhaitent couper court à toute polémique locale, et désormais internationale, en affirmant qu’aucun projet visant la libéralisation de la chasse et la consommation de la tortue en Polynésie Française n’a été étudié, ni validé par le gouvernement. Conscient du rôle fondamental de cette espèce pour l’équilibre de notre écosystème, mais également pour la bonne santé de notre industrie touristique, le conseil des ministres s’inscrit au contraire dans une forte volonté de protéger cette espèce en voie de disparition, telle qu’en témoigne la réglementation actuelle en la matière. Cependant, le gouvernement reconnaît également que la politique protectionniste menée jusqu’à aujourd’hui n’a pas su porter ses fruits. Il souhaite ainsi engager le dialogue avec les spécialistes scientifiques, les usagers de la mer et les défenseurs de la tortue marine, pour identifier ensemble le meilleur moyen de protéger la tortue et de favoriser l’accroissement de sa population dans nos eaux. En attendant une éventuelle évolution de la législation en la matière, la réglementation actuelle reste en vigueur, exposant tout contrevenant aux sanctions prévues par la loi. Source
  10. Massage au reptile sur le Bassin Manu, 25 ans, originaire de Bordeaux, installé à Alençon, a découvert les reptiles « par hasard » il y a huit ans. Depuis, il est passionné. Il est même devenu « éleveur amateur » de lézards. Il propose une quinzaine d'espèces différentes. Son préféré ? Le gecko léopard. Le plus jeune, vert à tâches rouges, tout juste un mois, est tapi dans sa boîte : « Il est stressé ». Le plus vieux, 8 mois, rayé de jaune, rose et brun, attend l'acheteur. De l'autre côté de l'allée, au centre du parc des expositions où se tient le troisième Salon animalier du bassin d'Arcachon (1), Julien et ses copains de l'association Yaju Reptiles veillent sur un python arboricole « très sympathique », un boa albinos et un boa constrictor imperator. « Ne pas toucher » est inscrit en toutes lettres sur chacune des boîtes transparentes. Un peu plus loin, Camille, l'organisatrice du salon, a enroulé un python royal de 1,3 mètre autour de son bras : « C'est aussi doux qu'un massage ». Les enfants tendent les mains pour le caresser « dans le sens des écailles » : « Il n'est pas venimeux ». Ces NAC (nouveaux animaux de compagnie), présents sur une quinzaine de stands, sont l'attraction du salon, au milieu des chiens, chats et autres oiseaux, où ils sont invités pour la première fois. (1) Salon animalier, aujourd'hui de 10 à 19 heures, parc des expositions de La Teste-de-Buch. 5 euros à partir de 16 ans. Source
  11. Eh oui, je recommence ma tournée des animaleries comme avant pour donner mes commentaires sur ces dernières. Je suis à Chicoutimi pour le weekend. Étant laissé à moi-même pour quelques heures, je suis donc allé voir une animalerie. En fait, je n'allais pas fouiner mais plutôt acheter des sacs à cacas pour mon chien. En arrivant, j'ai à peine le pied dans la bâtisse et une madame me demande aussitôt ce que je cherche. Quand je vais dans les animaleries, j'aime bien fouiner pour voir les nouveaux trucs donc je ne voulais pas lui dire les sacs à cacas et repartir tout de suite donc j'ai dis avez-vous une section de reptiles? Elle m'a donc dirigé vers le second étage dans le but d'aller voir les bêtes. J'ai vu de loin des beaux aménagements donc j'étais agréablement surpris. Par contre, quand je suis arrivé devant les terrariums, mon opinion a rapidement changé. Les mélanges d'espèces en animalerie sont souvent vu, ils ont des endroits restreints donc ils en sont presque obligé. Certains ne le pratiquent pas, d'autres en exagèrent et ce fût le cas de cet endroit. Le premier terrarium que je vois, un 33 gallons, contenait un iguane vert, trois amevia, deux berber skink, un giant day gecko et un yellow plated lizard. Le terrarium est déjà trop petit pour le nombre d'animaux qui s'y trouvent mais en plus, on voit des animaux de type désertiques avec des tropicaux arboricoles. Dans l'aquarium juste à côté, on parle d'une 40 gallons fait sur la hauteur, on peut y trouver 5 tortues à oreilles rouges de taille adulte. Le tout est filtré avec un excellent filtreur aquaclear. Un peu plus loin, on peut voir un animal qui n'est pas à vendre. Un bel alligator du Mississippi de 4 pieds de long dans une aquarium de 5 pieds de long par deux pieds de large. Juste à côté, on aperçoit une tortue boîte et une tortue ornata dans un milieu aquatique. La majorité des terrariums sont monté comme étant tropicaux, pourtant, on y trouve à l'intérieur Chuckwalla, dragon barbu, gecko léopard, lézard à collier. Par contre, il y a un gecko tokay sur du substrat de noix d'acajou concassé. Il y a un avantage dans ce magasin, ils ont un blood python en liquidation 50% de rabais. Dans l'ensemble, ce fût une grande déception, surtout qu'on m'a dit que c'était la meilleure animalerie de la région! C'est là que je me dis que je devrais recommencer à donner de la formation dans les animalerie. Par contre, Chicoutimi, c'est loin en titi. Je n'aurais probablement pas le temps donc si vous passez par là ou habitez par là, ne vous gênez pas pour leur en glisser un mot ou aller leur donner un coup de main en apportant un peu d'information pertinentes pour eux.
  12. Cette semaine : à Tucson, Marc Hammond sort plutôt amoché d'une rencontre avec un serpent agressif; en Floride, Rick Kramer et Scott Petrone interviennent auprès d'un alligator qui risque d'attaquer des enfants; une mère de famille demande l'aide de Carl Lackey lorsqu'un ours noir pénètre dans sa cuisine; et deux travailleurs de la construction rencontrent deux moufettes. Prochaines diffusions de cet épisode Mardi 9 novembre à 6h00 Canal D
  13. Une dizaine de reptiles récupérés en un mois Saint-André. Actuellement en tournée, le reptilarium de Labenne poursuit ses spectacles et expositions dans l’île. Objectif : collecter les moyens nécessaires au fonctionnement du centre qui récupère entre autres les spécimens de particuliers dépassés ou lassés. Déjà une dizaine dans l’île dont des iguanes de plus d’un mètre... Boas, pythons royaux, dragon d’eau, iguanes... Il a fallu rajouter des chaises hier dans la salle des fêtes de Cambuston pour accueillir tous les visiteurs venus admirer de près des reptiles d’une dizaine d’espèces différentes. Plus de 150 personnes ont assisté au spectacle sans danger et tout public proposé par le reptilarium de Labenne (10 km de Bayonne). Ce dernier a été créé et est toujours géré depuis une soixantaine d’années par la famille Camatcho. Dans la famille, on grandit au milieu des reptiles ! Au fil des décennies, le centre regroupe aujourd’hui plus de 150 espèces de reptiles vivants provenant des cinq continents. Lézards, crocodiles, caïmans, varans, couleuvres, tortues, iguanes et autres anacondas sont à admirer sur plus de 1 300 m2. La plus importante collection de crocodiles en Aquitaine. Habituée des tournées en Métropole et en Europe, l’association a débarqué dans l’île -son premier voyage dans un DOM- pour présenter son exposition (actuellement à Cham- Fleuri à Saint-Denis) et ses spectacles itinérants. “La place vient à manquer” Un “reptil show” qu’elle propose depuis un peu plus d’un mois : la plupart des communes seront visitées à terme. “Mais, toutes les communes ne nous ouvrent pas leurs portes, c’est dommage”, commente un membre. Le spectacle tournera encore un mois. À la manette, Alexandre Camatcho, 21 ans. Malgré son jeune âge, ce dernier est déjà capacitaire pour la plupart des espèces de reptiles : les boas constrictors et autres pythons molures ne lui font pas peur. Il anime des spectacles depuis l’âge de 15 ans ! Objectif : collecter des fonds pour faire fonctionner le centre (5 à 600 rats sont nécessaires par semaine, près de 300 kilos de viande pour les alligators...), mais également démystifier l’image des reptiles auprès du grand public. Le spectacle mêle explications pédagogiques et manipulation des reptiles. Activité moins connue, le centre récupère depuis une dizaine d’années des animaux auprès de particuliers et de capacitaires, dépassés ou lassés, mode des NAC (Nouveaux animaux de compagnie) aidant. Une trentaine de reptiles sont ainsi récupérés chaque année “pour éviter qu’ils se retrouvent dans la nature”. Le centre ne bénéficie pas pour autant d’aides publiques. En un mois, ce sont déjà une dizaine d’iguanes (pouvant mesurer plus d’un mètre) et des pythons royaux qui ont ainsi été récupérés dans l’île. “Le problème, c’est qu’à force la place vient à manquer au centre”, commente Alexandre. En prévenant le grand public : “Ici, en milieu tropical, ils peuvent survivre et modifier la chaîne alimentaire. Ce n’est pas un achat à faire à la légère. Un iguane peut vivre une quinzaine d’années, un serpent mesurer plusieurs mètres...”. Mais, pour une dizaine de reptiles récupérés, combien ont-ils déjà terminé relâchés dans la nature ? Source
  14. Du venin de serpent guérisseur Près de 650 espèces venimeuses de serpent vivent en Australie, dont 10 sont parmi les plus mortelles au monde. C’est là que deux médicaments à base de venin de serpent pourraient prochainement voir le jour. Efficace contre les troubles de la coagulation sanguine, le venin de serpent est en effet étudié depuis plus de 20 ans. La société australienne Venomics a mis au point des médicaments en voie de commercialisation d’un genre un peu spécial. Leur spécificité ? Ils sont tous à base de venin de serpent. C’est ce que rapporte un article du journal The Autralian daté du 16 janvier dernier. « Textilinin » et « Haempatch » ont pour principales vertus de réduire les pertes sanguines lors d’interventions chirurgicales ou de traumatismes importants. Après de nombreuses années d’étude, une équipe de chercheurs britanniques de l’université de Queensland a en effet découvert que le venin du serpent brun australien aidait à détecter et traiter les troubles de la coagulation sanguine. Riche en neurotoxines, le venin a aussi de nombreuses propriétés antibactériennes efficaces pour lutter contre de nombreuses infections. Les venins de serpent sont composés d’une combinaison de différents principes actifs, dont seule une fraction a jusqu’à présent été étudiée pour en connaître les différents effets. Une protéine qui bloque l’action de l’enzyme utilisée par le corps pour réguler la pression sanguine a en effet été identifiée dans le venin de ces serpents. Après des essais précliniques satisfaisants, Venomics s’est même associée à une firme biopharmaceutique chinoise qui développe des produits à base d’une enzyme présente dans le venin d’un serpent sud-américain. Le potentiel du venin de serpent ne s’arrête pas là. Il ouvre même la voie à de nombreuses pistes de recherche comme la lutte contre le cancer. Il pourrait en effet être utilisé pour empêcher l’accroissement de tumeurs malignes selon le journal The Autralian. Source
  15. Une grenouille se met au régime toxique pour être venimeuse L'une des grenouilles les plus petites au monde, avec seulement un centimètre de longueur, parvient à se rendre venimeuse en stockant dans sa peau les toxines qu'elle trouve dans les insectes microscopiques dont elle se nourrit. Le petit amphibien est identifié sous le nom d'eleuth du Mont Iberia (Eleutherodactylus iberia), montagne de Cuba où elle a été découverte en 1996 et qui constitue son seul habitat connu. La grenouille noire, qui arbore deux bandes jaune vif courant de chaque côté de son dos et dont la tête est à peine plus grosse que celle d'une épingle, est considérée comme la plus petite de l'hémisphère nord. Mais une étude publiée mercredi par la Royal Society britannique dans ses Biology Letters lui a découvert une caractéristique tout aussi rare : le pouvoir d'absorber les alcaloïdes toxiques naturellement présents dans les insectes qu'elle ingère, puis à stocker ce poison dans sa peau pour se protéger des innombrables prédateurs (oiseaux, rongeurs, lézards ou même des grenouilles plus grandes) qui fourmillent dans sa jungle natale. Seules cinq espèces de grenouilles, dont sa cousine cubaine Eleutherodactylus orientalis, à peine plus grande qu'elle, sont dotées des mêmes capacités. L'Eleutherodactylus iberia appartient à une famille regroupant environ 200 espèces de petites grenouilles arboricoles vivant entre le sud des Etats-Unis, les Antilles et l'Amérique centrale. Elles ont la particularité de ne pas passer par le stade de têtard et de sortir de l'oeuf directement sous forme de grenouilles. Source
  16. Un python de 3 mètres dans un bois en France Surprise de taille : un python qui mesurait près de trois mètres d'envergure a été récupéré hier, jeudi, par les gendarmes de Segonzac, en France. Les militaires de la compagnie de Cognac se sont immédiatement intéressés à la provenance de l'animal. Publié le 05/11 à 11h49 La priorité de l'enquête ouverte à ce sujet est d'identifier l'espèce avec le concours des gendarmes de l'Office central de lutte contre les atteintes à l'environnement et à la santé publique (Oclaesp). La détention de certaines d'entre-elles sont en effet autorisées, d'autres soumises à diverses procédures obligatoires (déclaration préfectorale et obtention d'un certificat de capacité), rapporte le journal Sud Ouest. Source
  17. Colombie : la tradition cède la place à la préservation Le constat est alarmant : six des sept espèces de tortues marines sont en danger d’extinction. Pourtant partie intégrante de leur culture, les indigènes colombiens ont décidé d’y renoncer. Dorénavant, non seulement ils n’en mangent plus mais ils éduquent même leurs comparses à en faire autant. Quand rompre avec la tradition devient synonyme de préservation de la biodiversité… L’affect. Concernant la préservation de la biodiversité, l’affect joue un rôle essentiel. Qui, parmi nous, n’est pas révolté à l’idée qu’un éléphant d’Afrique, un tigre blanc ou un grand panda, soit massacré… pour rien ? A priori, personne ! Ces grands animaux sauvages font écho à l’enfant qui sommeille en chacun de nous, en appellent à notre sensibilité. Tant de majesté, de grâce, de puissance, l’Homme s’y retrouve très certainement. Mais comme tout ceci ne le concerne pas, rien de plus facile que de s’indigner devant ces crimes perpétrés contre le vivant. Par contre, quand il s’agit de s’offusquer devant l’horreur commise en abattoirs, pour que vaches, cochons, moutons, agneaux garnissent nos assiettes de carnivores insensibles… plus personne ne pleure, plus personne ne prend la parole, plus personne n’hurle. L’homme est aveugle, il préfère ne pas voir que le steak bien saignant dans lequel il mord avec délectation est issu de la vache à qui il criait « meuh » quand il était enfant, émerveillé devant un animal si robuste et bienveillant. L’affect, vous dis-je, disparaît dès lors que la loi de proximité entre en jeu. On voudrait croire le contraire. Mais rien n’y fait. On refuse que l’animal soit tué dans d’atroces souffrances, on refuse de l’entendre agoniser. Par contre, si c’est pour en faire un bon civet, c’est autre chose, les cris deviennent inaudibles, le sang ne coule plus, l’horreur n’existe plus. Ni viande ni œufs de tortue Dans le nord de la Colombie, à 1 000 km de Bogota, une communauté d’autochtones a décidé de mettre un terme à la barbarie. D’autant plus admirable que le sujet en question constituait leur mets favori, depuis des générations. Chez les wayuu, ethnie composée de pêcheurs et de bergers, la tortue ne sera donc plus au menu. « C’est une lutte contre la culture de mes ancêtres. J’ai grandi en mangeant de la tortue et j’ai élevé mes enfants avec l’argent que j’obtenais en les chassant. Désormais, elles se font de plus en plus rares. Les filets reviennent vides. Il est temps de les sauvegarder pour nous sauver aussi », confesse Olegario Choles, l’un des dirigeants de l’ethnie, au micro de l’AFP. Ces nouveaux défenseurs de la cause des tortues, dont seulement 1 % atteint l’âge de la reproduction, ont réussi à convaincre restaurateurs, cuisiniers et chasseurs de ne plus s’attaquer à l’espèce en voie d’extinction. En contrepartie, l’entreprise minière Cerrejon s’engage à verser aux chasseurs la moitié de la somme qu’ils auraient touchée s’ils avaient revendu la viande et les œufs de tortue aux restaurateurs. Des volontaires arpentent même les plages pour s’assurer que les œufs ne soient la proie d’aucun prédateur et que les petites tortues atteignent l’eau sans encombre. Un récit bien réel que l’on voudrait voir perpétuer ailleurs. Et si en France, les chasseurs du dimanche se mettaient à arpenter les forêts pour protéger sangliers et biches ? Source
  18. Un boa dans la ville Tortues et alligators sont les stars du vivarium du Jardin des Plantes. Dangereuses, ces espèces se retrouvent de plus en plus souvent chez des particuliers Bienvenue en Amazonie ! Toutes les conditions sont réunies pour vous plonger au fin fond de la plus grande jungle tropicale du monde, mais vous n’êtes qu’au vivarium du Jardin des Plantes. L’atmosphère est moite, et la chaleur est suffocante. Une végétation tropicale surplombe les visiteurs et trempe ses feuilles dans le grand bassin central du premier bâtiment. A l’intérieur, deux alligators contemplent les badauds d’un œil mauvais. Alors que ces derniers s’agglutinent en se collant aux vitres chauffées, les deux sauriens se dorent la pilule sous un halogène. Plus loin, des tortues leur font de l’œil. Nouveaux animaux de compagnie, oui... mais à quel prix ? Ce sont elles qui attirent la foule. Regroupées autour d’un bol de nourriture, elles croquent avidement tomates et figues, à la grande joie des visiteurs. Qui ne rêverait pas d’apprivoiser ces gentilles bestioles à la maison ? C’est ce que confirme Fanny Werbeck, herpétologue de la ménagerie du Jardin des Plantes : « C’est la grande mode depuis quelques années d’avoir des tortues ou des serpents à la maison, mais les gens ne se rendent pas compte de l’attention que ces animaux demandent ». Après une lecture approfondie des panneaux concernant les animaux à sang froid, quoi de plus normal que d’entretenir des doutes sur cette nouvelle lubie. Toxiques, responsables de nécrose ou de paralysies, voilà certaines des réjouissances apportées par ces écailleux compagnons. Et ces fâcheuses caractéristiques entraînent bien souvent un ras-le-bol général des amoureux passagers de nos amis rampants. Alors, ils choisissent la solution de facilité et s’en débarrassent dans les égouts, les étangs, ou même directement dans la Seine. Un comportement désastreux pour l'écosystème Ces personnes irresponsables sont loin de se douter des dommages irréversibles qu’elles causent sur leur environnement : « C’est un véritable désastre. Prenons pour exemple les tortues de Floride. Les gens sont séduits par leur petite taille et leur caractère exotique. Puis ils se rendent compte qu’elles deviennent rapidement ingérables. Ils s’en débarrassent alors dans la nature. Livrées à elles-mêmes, elles grossissent de manière impressionnante et finissent par s’attaquer à tous les organismes plus petits qu’elles : tortues françaises, végétation, canards, et même des rongeurs, pour les plus grosses. C’est la même chose pour les grenouilles taureaux » se désole la spécialiste en reptiles. Les NAC demandent de l'attention, et du temps... Mais l’achat compulsif des passionnés de l’extraordinaire ne s’arrête pas là. En voyant les boas constrictors onduler paresseusement entre les vitres de leur terrarium, négliger les cadavres de blattes et autres mets succulents, on n’imagine pas immédiatement en devenir l’heureux possesseur. Evidemment, le reflet chatoyant des lampes solaires sur leurs écailles et l’inévitable attrait du danger exotique en feraient pourtant des compagnons de choix. Et c’est le cas de certains excentriques, puisque ces magnifiques reptiles de près de trois mètres de long appartenaient à des particuliers avant de finir hôtes de la ménagerie de Paris. « On recueille exclusivement les spécimens rares ou dangereux. C’est la situation de beaucoup de serpents présents ici. Les acquéreurs ne se rendaient pas compte de ce qu’ils avaient entre les mains. On accueille également certaines espèces de tortues, trop imprévisibles si elles venaient à être relâchées dans notre écosystème » explique Fanny. Alors, amis des animaux exotiques, si d’aventure l’envie vous prenait de vous offrir un petit cadeau hors norme, prière de s’assurer de leur bon vouloir à vivre en communauté avant de les murer entre quatre plaque de verres. Source
  19. Un serpent capturé Les pompiers noeuxois sont intervenus dans une habitation de la rue Beausejour, hier vers 18 h 30, où les propriétaires avaient découvert un serpent. Le reptile d'une cinquantaine de centimètres, dont l'espèce n'a pas été déterminée hier, a été capturé sans difficulté avant d'être emmené dans une clinique vétérinaire de Liévin. Source
  20. Même les plus petites proies ont des dents. Je trouve plus simple et plus sécuritaire le décongelé. Tu peux aussi assomé la proie juste avant de lui donner.
  21. Je te donne un conseil comme ça et tu en fais ce que tu veux. Je te conseille fortement de nourrir ton serpent avec du décongelé ou encore du frais tué. Finalement, peu importe, pourvu que ça soit mort. Comme à chaque fois, je vais t'expliquer le pourquoi de mon conseil. De un, il est plus facile de s'approvionner de congelé puisqu'on peut se faire des réserves. La seconde raison est une raison de sécurité. Le serpent tue que pour se nourrir et non par plaisir. Si jamais le serpent n'a pas faim, il va laisser sa proie libre. Le rongeur en question est une proie potentiel qui vit un stress. Il peut agir en panique comme une victime et attaquer le serpent. Il arrive même que le serpent finisse en proie à la place de la souris. Il y a plusieurs cas où le serpent a été tué par sa proie.
  22. As tu réussit à règler le problème?
×
×
  • Créer...