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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. J'ai malheureusement trouvé qu'une photo d'une femelle. Par contre, ça démontre ce que sont les peignes.
  2. Quelqu'un d'entre vous connait cette animalerie? http://terreetmer.ca/ J'ai découvert ça grâce à la gazette animal, quelqu'un y est déjà allé? Voici l'adresse si jamais quelqu'un veut y aller et donner son opinion de la place.
  3. Ces reptiles qui tuent Un documentaire qui présente des entrevues avec des gens courageux qui ont survécu à une rencontre avec des reptiles mortels. Prochaines diffusions de cet épisode Dimanche 17 octobre à 17h00 Lundi 18 octobre à 13h00 Mercredi 20 octobre à 6h00 Jeudi 16 décembre à 13h00 Canal D
  4. Épisode 4 Rick Kramer et Scott Patrone tentent de s'emparer d'un alligator créant du trouble dans un lac. Jim Davidson reçoit un appel inquiétant concernant un troupeau d'oies extrêmement agressives. Heather Ramirez vient en aide à un propriétaire qui a découvert un énorme serpent dans sa cour. Brad Gates et Pete Nolan interviennent auprès d'un raton-laveur qui s'est réfugié dans un bâtiment. Enfin, le biologiste Carl Lackey est préoccupé par un ours qui s'en prend aux arbres. Prochaines diffusions de cet épisode Mardi 12 octobre à 6h00 Canal D
  5. La morsure du crotale La morsure du serpent à sonnettes est le résultat d'un mécanisme complexe. Ce reptile a mis des milliers d'années à perfectionner sa force de frappe et ceux qui ont été mordus se souviennent de sa violence. Prochaines diffusions de cet épisode Lundi 11 octobre à 13h00 Mercredi 13 octobre à 6h00 Canal D
  6. Juste à titre d'information, les scorpions empereurs vivent très bien en groupe. Je connais plusieurs personnes qui les maintiennent en groupe donc non il n'en restera pas qu'un seul à la fin­. C'est une espèce très pacifique déjà au départ. Pour ce qui est des photos, je verrai ce que je peux faire.
  7. Blois : en revenant des courses, ils trouvent un petit serpent sur le tapis ! Blois, dans le Loir-et-Cher. Hier après-midi, un couple, qui habite cette ville, au premier étage d'un immeuble situé rue Florimond-Robertet, revient chez lui après avoir fait ses courses. Lorsqu'il ouvre la porte, il voit un serpent qui rampe sur le tapis du salon, raconte La Nouvelle république. Ces gens sont un pu horrifiés et appellent les pompiers qui se rendent à l'appartement concerné munis d'une pince. Le reptile a le temps d'explorer la pièce, il se faufile sous l'armoire... C'est un petit serpent de 70 cm de long avec une petite tête et une queue très fine. Les pompiers l'attrapent sans trop de mal ! Selon le vétérinaire consulté ce reptile est : « une couleuvre du Mexique non vénéneuse », mais plutôt rare dans la région. Aucun voisin ne s'étant fait connaître « comme propriétaire », la couleuvre va être remise au zoo de Beauval. Le couple, qui l'a vu dans son appartement, à bien fouillé partout. On ne sait jamais ! Source
  8. Quelqu'un m'a écrit en privé pour me poser des questions à ce sujet. Vous savez pour la plupart que j'aime mieux répondre ici afin que les réponses puisses servir à tout le monde. En mettant le scorpion dans un plat transparent, tu peux remarquer par en dessous au niveau de sternite, les peignes. Ceux du mâle sont nettement plus longs et leurs dents également. Il te sera impossible de comparer sans avoir deux spécimens de sexe différents. Par contre, le nombre de dents des peignes ne peut pas être un critère rigoureux de sexage. Pour ce qui est de la reproduction, je ne peux pas répondre de mes expériences personnelles puisque les seules reproductions que j'ai eu de scorpions sont de femelles achetées déjà gestantes. On m'a toujours dit que pour le scorpion empereur, le meilleur truc était de mettre une dizaine de scorpions ensemble et de laisser aller. Je pourrais te répondre selon la littérature que j'ai lu et que j'ai ici si tu y tiens. Tu dois savoir qu'il faudra t'armer de patience puisque la gestation est très longue, de 7 à 14 mois selon les conditions de maintien. La croissance des pullus aussi est très lentes donc il faudra longtemps patienter avant de pouvoir les vendre.
  9. Voici un nouveau jeu http://www.jeux-gratuits.com/jeu-serpent-labyrinthe.html
  10. L'espèce est réputé d'être parfois manipulable mais celle là était trop nerveuse pour ça.
  11. Comme les hommes, les animaux domestiques vivent plus vieux PARIS — Onze ans pour un chat et douze ans pour un chien: la durée de vie moyenne des animaux a presque doublé en trente ans. Comme les hommes, ils vivent de plus en plus vieux grâce à une meilleure alimentation et aux progrès de la médecine vétérinaire. Selon une étude menée en 2005 par la FACCO allemande (chambre syndicale des fabricants d'aliments préparés pour animaux familiers), la durée de vie moyenne d'un chien s'est allongée de 2,4 ans et celle d'un chat de près de 5 ans sur les 30 dernières années. "En 1982, la durée de vie moyenne d'un chat qui était de 6,2 ans est passée à 11,1 ans en 2005 avec un point médian de 9,2 ans en 1996. Quant aux chiens, ils vivaient en moyenne 9,5 ans en 1982, 11,6 ans en 1996 et 11,9 ans en 2005", raconte Yves Bodet, délégué général de la FACCO en France. Selon lui, l'étude allemande s'applique à la France car les deux pays ont une même structure de population d'animaux et les maîtres ont le même mode de vie. "Il est impossible d'établir scientifiquement les raisons de l'augmentation de la durée de vie des animaux", indique Yves Bodet, mais "plusieurs facteurs accroissent la durée de vie des bêtes : l'accès aux soins, l'évolution scientifique vétérinaire et une meilleure alimentation, liée notamment au développement de l'alimentation préparée". Il en va de même pour les animaux sauvages dans les zoos qui, en plus d'une alimentation équilibrée et de qualité, bénéficient de soins vétérinaires et de l'absence de prédateurs. Paul de la Panouse, créateur en 1968 du parc animalier de Thoiry dans les Yvelines, raconte "qu'il a fait pratiquer l'euthanasie à ses premiers lions âgés de plus de vingt ans dans les années 80 car ils étaient décharnés et perclus d'arthrose". "A l'état sauvage, ils n'auraient pas vécu au-delà de douze ans". "En liberté, lorsque les lionceaux quittent le groupe à la recherche d'un territoire de chasse, la majorité d'entre eux sont tués par les mâles dominants. Ceux qui survivent et arrivent à leur tour à maturité tuent les vieux animaux", précise-il. Ce fondateur de quatre parcs animaliers en France donne aussi l'exemple de l'éléphant: dans la nature, il meurt de faim à 60 ans lorsque sa dernière molaire est usée et qu'il ne peut plus mâcher de feuilles. Au zoo, l'animal reçoit une nourriture plus riche que dans la savane et lorsqu'il n'a plus de dents, avale des bouillies et peut vivre une dizaine d'années supplémentaires. M. De la Panouse se souvient d'une femelle python de malaisie morte très vieille et qui mesurait plus de onze mètres. Un record selon lui. "Le python est un animal qui n'arrête pas de grandir quand il vit dans de bonnes conditions", explique ce spécialiste qui a étudié pendant 18 ans les animaux dans leur milieu naturel en Afrique Le docteur-vétérinaire Guillaume Ruiz voit "parmi sa clientèle de plus en plus de chats âgés de 17 ans" et "en état correct". Selon lui, les techniques d'analyse de sang et d'imagerie ont beaucoup évolué et permettent de faire des diagnostics plus précis et plus précoces avec traitements à la clé. "Aujourd'hui, on dépiste assez tôt les pathologies des animaux comme en médecine humaine", dit-il. En outre, selon M. Ruiz, "les gens consacrent plus d'argent à soigner leurs animaux". Un scanner coûte 250 euros et un IRM près de 400 euros. Source
  12. Besançon : Hécatombe de salamandres Les infrastructures du contournement de Besançon au niveau du Vallon des Mercureaux entraîne une véritable hécatombe au niveau d'une population représentant une sous-espèce de salamandre unique en Franche-Comté. La voie des Mercureaux : un piège redoutable pour la Salamandre tachetée par Michel Cottet & André Guyard Le suivi de l’évolution de la construction de la 2x2 voies de la vallée des Mercureaux, montre en ce mois de septembre 2010 à une hécatombe de salamandres tachetées. La voie 2x2 des Mercureaux (Cliché Michel Cottet) Il faut savoir que la Salamandre tachetée (Salamandra salamandra) est un amphibien terrestre au stade adulte. Mais comme les œufs nécessitent une éclosion dans un milieu aquatique, les femelles fécondées doivent migrer depuis les versants forestiers en direction des fonds de vallons pour revenir périodiquement à l'eau au printemps et à l'automne. Comme elles sont inaptes à la natation, elles ne peuvent pondre leurs larves que dans quelques millimètres d'eau. Sinon, elles courent le risque d'être emportées par le courant et de se noyer. Dans le ruisseau des Mercureaux, nous avons affaire à une population exceptionnelle de ces amphibiens, composée à plus de 50 % d’individus d’une sous-espèce particulière et rare de Salamandra salamandra salamandra. Signalée dès 1911 par Marie Phisalix, cette population a été suivie plus récemment par les herpétologues locaux, notamment Jean François et Hugues Pinston (avril 1987), Jean-Pierre Hérold (septembre 1987), Michel Cottet (mars 1990), Emmanuelle Craney et Hugues Pinston (octobre 1991). Malheureusement, les aménagements du franchissement du vallon des Mercureaux menacent la population de salamandres en ignorant totalement la biologie de cette espèce (voir l'article suivant sur ce même blog). http://baladesnaturalistes.hautetfort.com/archive/2009/10... Pourtant, Hugues Pinston rédige en 1987 pour le compte d'un bureau d'études (CPRE) une première étude d'inventaire d'amphibiens et de reptiles liée au projet de voie des Mercureaux. Dans cette étude, il rapporte "la présence de centaines de larves dans les cuvettes successives du ruisseau et préconise la prise en compte de cette espèce protégée lors des futurs travaux". En outre, au cours des années 1990, de nombreuses prospections bénévoles ont été réalisées en Franche-Comté dans le cadre de l'atlas herpétologique (Pinston et al, 2000). Ces prospections confirment que la population des Mercureaux est la seule connue en Franche-Comté appartenant à la sous-espèce S. s. salamandra. Or les aménagements le long de la voie 2 x 2 voies et le long du ruisseau des Mercureaux ne répondent pas aux exigences de l'espèce dont les femelles, piégées par des équipements inadaptés, meurent par centaines. Caniveau en U aux parois lisses et verticales (Clichés Michel Cottet) À la suite d'une visite sur les lieux effectuée le 5 octobre dernier, Michel Cottet et Jean-Gérard Théobald tirent les observations suivantes. Les salamandres ont été piégées par un caniveau de profil en U, en béton coulé et moulé sur place en cours de pose. Ce caniveau est destiné à recevoir les eaux de ruissellement de chaussées, susceptibles d’être polluées (hydrocarbures imbrûlés, produits d’usure des pneumatiques et de corrosion des carrosseries, de la bande de roulement de chaussées, produits de lavage et de salage…) pour les stocker et les traiter avant rejet dans le milieu naturel. Ce caniveau, à fond plat, aux bords verticaux et lisses, d'environ 30 cm de large pour 40 cm de haut, en en bordure immédiate et au ras de la chaussée bitumée constitue un piège mortel pour les salamandres en migration automnale. Latéral à la chaussée, l'ouvrage court actuellement de façon continue sur plusieurs centaines de mètres et ne s'interrompt qu'au niveau d'un pont routier quasiment à mi-distance entre les deux séries de tunnels. Le caniveau ne s'interrompt qu'au niveau d'un pont routier (Cliché Michel Cottet) La pose de ces équipements désastreux se fait de l'amont (tunnels de Fontain-La Vèze) vers l'aval (tunnels du Bois de Peu). À cause du profil du caniveau, aucune possibilité pour les amphibiens (salamandres et autres...) de se hisser hors du caniveau aux parois verticales et lisses. Il s'en suit une mort lente des animaux par dénutrition et surtout déshydratation, voire dessication très rapide. D’autres animaux, dont des insectes, se trouvent également piégés (Carabes, Staphylins…). Le caniveau se déverse dans des puits verticaux qui jalonnent son parcours (Cliché Michel Cottet) Pour l'instant (5 octobre 2010), ce caniveau dévastateur s'arrête dans du "tout-venant", du gravier recouvrant une plaque de tôle qui masque presque totalement un puits vertical busé équipé d'une échelle, au même niveau que la chaussée bitumée. L'eau recueillie par le puits emprunte une canalisation en souterrain… (Cliché Michel Cottet) …puis un déversoir de pente abrupte, (Cliché Michel Cottet) En outre, la pente longitudinale du caniveau épouse la pente du terrain et de la route (environ 10 à 15 %) ; elle est déjà forte et en cas d'averse comme ces derniers jours, c'est un violent effet de chasse qui doit inéluctablement entraîner les animaux dans les puits bétonnés qui doivent absorber les torrents temporaires ainsi créés, puis se déversent dans des caniveaux latéraux dont la pente est estimé de 30 à 45°. Ces déversoirs rejoignent les ruisseaux "naturels" déjà très affectés par le chantier. …avant de rejoindre les ruisseaux "naturels" (Cliché Michel Cottet) En revanche, l'aménagement des caniveaux des voies collatérales à la chaussée 2x2 voies permet aux amphibiens de les traverser sans problème. Gestion du ruissellement des voies collatérales (Clichés Michel Cottet) La mortalité de salamandres adultes ces derniers jours semble avoir été considérable, avec, selon le témoignage de Jean-Gérard Théobald, une salamandre piégée quasiment tous les 50 cm sur une longueur d'environ 1 000 à 1300 m. Terrible efficacité du caniveau avec une mortalité de deux salamandres par mètre linéaire (Clichés Jean-Gérard Théobald) Mais aucun des cadavres (qui auraient dû être entraînés par le courant) n'a été trouvé dans les exutoires et jusque dans les vasques du ruisseau en aval. L'explication est venue grâce à une personne du voisinage, qui a aperçu des personnes occupées à récolter quelque chose dans des seaux dans les caniveaux et les ruisseaux. Il s'agit, d’après des éléments de l’enquête dont nous avons connaissance, de fonctionnaires de la DREAL, de la DDT, de la DIR Est... qui récupèrent quotidiennement les animaux, vivants ou morts, piégés par le caniveau. Tant que ce caniveau mortel ne sera pas recouvert (en espérant qu'il le soit), cette catastrophe perdurera à chaque migration bisannuelle. Pourtant, la dernière livraison de la plaquette explicative de l'avancement des travaux n'ignore pas l'existence de la Salamandre tachetée. Encore faut-il connaître la biologie de l'animal car la plaquette montre des équipements tout à fait inadaptés à la biologie de cet amphibien. Détails de la plaquette. Cherchez les erreurs : Les murettes constituent un obstacle pour les salamandres. La mare est trop profonde Concernant ces aménagements, l'un de nous, Michel Cottet, éco-interprète et herpétologue s'interroge sur un certain nombre de points. Pourquoi donc, au titre des "mesures correctives" de la "Voie des Mercureaux" : - avoir fait creuser des zones profondes (où les salamandres inévitablement entraînées vont se noyer) ? alternant avec des seuils… - avoir fait creuser des mares trop profondes, pour un résultat équivalent ? Ces mesures s'avèrent en fait, selon toute évidence, de nature à aggraver considérablement les impacts désastreux de la création de cette voie routière à 2 x 2 voies dans un site vierge, aujourd'hui largement dévasté. Qu'en est-il des véritables mesures "COMPENSATOIRES" pourtant évoquées maintes fois pendant quatre décennies de lutte associative et de propositions alternatives (qui n'ont même pas été étudiées) contre ce projet ? Quid des véritables "crapauducs" et autres équipements du même type ? les mortalités d'amphibiens de septembre-octobre 2010 montrent leur utilité et confirment qu'il aurait fallu les multiplier... Pourquoi ces dispositifs n'ont-ils pas été adoptés ? Les choses ont l'air de bouger. L'ONCFS (Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage), chargé de la police de l’environnement, diligente une enquête pour étayer une correction bien tardive et remédier à ce problèm avec les administrations concernées. Maintenant, les ONG, les associations de protection de la Nature, vont-elles intenter une action en justice en se constituant partie civile contre les entreprises, les maîtres d'ouvrage et maîtres d'oeuvre pour destruction massive d'une espèce protégée ? Remerciements à Hughes Pinston, herpétologue qui nous a fourni de précieux renseignements sur la population de salamandres des Mercureaux. RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES Angel F. (1942) – Faune de Frande, Reptiles et Amphibiens. Lechevalier (éd.), Paris, 204 p. Boulenger G. A. (1911) – A contribution to the study of variations of the Spotted Salamander (Salamandra maculosa). Proc. Zool. Soc. London, 1911 (I), p. 323. Fretey J. (1975) – Guide des Reptiles et Batraciens de France. Hatier (éd.), Paris, 239 p. Pinston H. (1987) – Inventaire herpétologique à Beure (25). Rapport interne pour le Centre Permanent de Recherche en Ecologie, Besançon. Pinston H., Craney E., Pépin D., Montadert M. et Duquet M. (2000) – Amphibiens et Reptiles de Franche-Comté. Atlas commenté de répartition. Groupe Naturaliste de Franche-Comté et Conseil Régional de Franche-Comté (éds.), Besançon, 116 p. Source
  13. Les Vietnamiens au chevet de leur tortue légendaire Le grand chélonien du lac Hoàn Kiêm, au centre de Hanoi, est l’un des derniers spécimens de son espèce. D’où l’urgence de le protéger alors que son biotope est menacé par la pollution et les pêcheurs. Pendant plus de deux mille ans, la tortue géante à carapace molle du lac Hoàn Kiêm, à Hanoi, a joué un rôle important dans la culture vietnamienne. Pourtant, sa survie est aujourd’hui menacée et son avenir demeure incertain car les autorités n’ont pas réussi à lui assurer une protection juridique. L’espèce Rafetus swinhoei ne compte plus que quatre individus dans le monde – deux mâles qui vivent à l’état sauvage dans des lacs vietnamiens et un couple qui vit en captivité en Chine et n’a pas encore donné d’œufs fertiles. Le plus célèbre spécimen vit dans le lac Hoàn Kiêm, où, selon certains, il est menacé par la pollution et les hameçons des pêcheurs. A l’heure où la ville fête son millième anniversaire [du 1er au 10 octobre], les autorités locales et les spécialistes de la protection de la faune débattent sur la façon de protéger cette légende. Les tortues du lac Hoàn Kiêm étaient considérées jadis comme les incarnations du dieu Kim Qui, la Tortue d’or. Au cours des deux derniers millénaires, cette divinité aurait aidé les Vietnamiens à cons­truire des fortifications, à repousser des armées ennemies et aurait même créé des armes enchantées. C’est ainsi qu’au XVe siècle Kim Qui remit au futur empereur Lê Loi [qui occupa le trône de 1428 à 1433 et fonda la dynastie des Lê postérieurs] une épée magique avec laquelle il repoussa l’envahisseur chinois. Après sa victoire, Lê Loi rendit l’arme à Kim Qui, qui replongea alors dans le lac avec l’épée dans son bec – Hoàn Kiêm signifie littéralement “l’épée restituée”. La tour de la Tortue qui se dresse sur une petite île au milieu du lac commémore ce prêt légendaire. La tortue à carapace molle a été observée dans le célèbre plan d’eau de la ville de Hanoi depuis les années 1990. Le mois dernier, la presse locale a publié des photos du reptile vieillissant, couvert d’hameçons et de cicatrices, provoquant un émoi populaire et lançant un débat sur la protection de la tortue. Le Dr Da Dinh Duc, professeur assistant à l’Université nationale du Vietnam à Hanoi, a appelé au sauvetage immédiat de l’animal. “D’abord, nous devrons enlever les hameçons de sa carapace… sinon ils finiront par se prendre quelque part et lui arracheront des morceaux de peau”, a-t-il déclaré au journal vietnamien Tien Phong. Il a ensuite exprimé son inquiétude face aux innombrables dangers qui peuplent son environnement – un simple sac en plastique flottant dans le lac pourrait ainsi lui être fatal. “Le sac est susceptible d’abriter de petites crevettes et des poissons et la tortue, en l’avalant, risquerait d’en mourir étouffée ou empoisonnée.” Législation trop laxiste D’après le Dr Da Dinh Duc, la tortue du lac Hoàn Kiêm aurait environ 700 ans et serait la dernière survivante de l’espèce Rafetus leloii. Pour d’autres scientifiques, elle n’aurait pas dépassé 120 ans et appartiendrait plutôt à l’espèce Rafetus swinhoei. Ces mêmes biologistes préconisent d’ailleurs de laisser l’animal tranquille. Le stress provoqué par sa capture risque selon eux de lui faire plus de mal que de bien. Toutefois, tous s’accordent sur le fait qu’elle doit bénéficier d’une meilleure protection. En effet, ni la Rafetus swinhoei ni la Rafetus leloii ne figurent sur la liste des espèces protégées au Vietnam. “Je ne comprends pas”, confie Douglas Hendrie, conseiller technique pour Education Nature-Vietnam, une ONG de défense des animaux. “Si cette tortue ne représente pas un cas idéal d’espèce à protéger, je ne vois pas laquelle le serait.” Selon lui, les Rafetus swinhoei seraient en trop petit nombre et ne présenteraient donc pas suffisamment d’intérêt économique pour que les autorités vietnamiennes fassent l’effort de les protéger. Cela fait douze ans que Hendrie de­mande que quelque chose soit fait pour améliorer l’habitat de la tortue. Dans le même temps, un membre de l’unité gouvernementale chargée de garder le lac et un parc voisin déclare que ses hommes ont interpellé des pêcheurs clandestins et saisi leur matériel. Mais la législation, trop laxiste, ne dissuade généralement pas les pêcheurs à la ligne. Obtenir des œufs fertiles Le nettoyage de l’eau du Hoàn Kiêm est actuellement en cours et si certains craignent qu’un changement drastique de son environnement ne perturbe la tortue, d’autres considèrent qu’il s’agit là d’une bonne action pour améliorer son milieu. Plusieurs scientifiques estiment cependant que la tortue n’en a plus pour très longtemps. “Je pense qu’elle vit actuellement ses dernières années”, déclare Peter Pritchard, fondateur du Chelonian Research Institute [une ONG installée à Oviedo, en Floride, qui se consacre à la protection des tortues] et auteur d’un livre sur cette espèce. Les défenseurs des animaux espèrent qu’un partenariat international impliquant l’autre mâle vietnamien et une femelle captive en Chine donnera des œufs fertiles. Si on parvient à sauver l’espèce, ce ne serait pas une mauvaise idée de la réintroduire dans le lac Hoàn Kiêm, considère le Dr Pritchard. “L’idée a l’air dingue mais, après tout, cela fait longtemps qu’elles vivent ici.” Il faudrait cependant procéder à certaines modifications dans le lac, par exemple, créer une plage de sable autour de l’île de la tour. Selon des biologistes, les berges en béton actuelles du lac peuvent érafler et blesser les tortues de cette espèce. En définitive, Peter Pritchard est persuadé que l’opinion vietnamienne est capable de faire bouger les choses. Après tout, “des milliers d’yeux sont rivés sur ce lac”, conclut-il. Source
  14. Les scientifiques voient nouveaux bugs, des grenouilles en Papouasie-Nouvelle-Guinée SYDNEY – Une grenouille miniature entreprises avec un long museau, une sauterelle vert brillant avec des yeux brillants roses et une souris avec un blanc-bout de la queue sont parmi les 200 espèces les scientifiques ont découvert en Papouasie-Nouvelle-Guinée. Les résultats ont été dévoilés cette semaine par basé à Washington DC Conservation International, dont les chercheurs ont découvert un tableau kaléidoscopique de créatures au cours de deux expéditions dans les îles du Pacifique sud en 2009. Parmi les trouvailles: 24 espèces de grenouilles, des araignées et des scores autour de 100 insectes, y compris les fourmis et les libellules qui semblent ne jamais avoir été décrit dans la littérature scientifique avant, le groupe de conservation a dit. «Ils nous disent à quel point nous en savons encore sur le monde, » chef d'équipe de recherche Stephen Richards, a déclaré jeudi. «Il ya beaucoup d'inquiétude, à juste titre, sur la perte de la biodiversité et le changement climatique et les impacts sur la biodiversité et ce qu'est la biodiversité signifie pour nous … Alors nous avons des projets comme celui-ci et l'on découvre, 'Hey -. Nous n'avons même pas savoir ce que la biodiversité est là. « En avril 2009, les scientifiques ont pris l'avion pour les montagnes Nakanai de l'île de Nouvelle-Bretagne, et se rendit ensuite en pirogue, à pied et par hélicoptère vers un domaine de recherche à distance de la forêt tropicale. Là, ils ont trouvé des scores d'animaux fascinants, a déclaré Richards, y compris une souris avec un blanc-bout de la queue qui semble ne pas avoir de proches parents et représente un genre entièrement nouveau. L'équipe a également trouvé une grenouille peu étrange que de 0,8 pouces (2 cm) de long qui appartient à un groupe de grenouilles que l'on croyait ne vivent que dans les îles Salomon. « Ce fut une surprise complète pour trouver, dit Richards, qui est basé à Cairns, en Australie. La deuxième expédition, en Septembre 2009, a pris l'équipe dans les montagnes Muller Gamme dans les Hautes-Terres pays du Sud. Les scientifiques ont découvert plusieurs nouvelles sauterelles, dont un que les prédateurs jabs avec ses jambes anormalement grandes et épineuses. »La découverte de nouvelles espèces est importante car elle aide à documenter la biodiversité sur notre planète, et, plus important encore, ce que nous pouvons perdre dans l'avenir si nous ne nous soucions de notre environnement», a déclaré Craig Franklin, professeur de zoologie à L'Université de Queensland en Australie qui n'ont pas participé à la recherche. »Donc c'est un travail important – c'est un travail critique – pour les biologistes à y aller et faire ces études. » ___ En ligne: Conservation International: http://www.conservation.org Suivez Yahoo! Nouvelles sur Twitter, devenez fan sur Facebook Actualités: http://tinyurl.com/39ojv8j Source
  15. D'accord, surveille en cas de deuxième ponte alors
  16. Nom scientifique : Pyxicephalus adspersus Nom français : Grenouille taureau d'Afrique Nom anglais : African bullfrog Origine : Centre et sud de l'Afrique Biotope : Semi-humide Température : 26 à 31°C Hygrométrie :60% Moeurs : Terrestre à tendance fouisseuse, crépusculaire Taille adulte : Un peu plus de 20 cm pour les mâles, les femelles dépassent rarement 13 cm Nourriture : Insectes, rongeurs, lézards, grenouilles. Voici une grenouille qui fera tripper les amateurs de gros amphibiens. Elle est moins répandu que la grenouille pac man mais elle reste une grosse grenouille goinfre. Elle est plus agressive que la pac man. Tout ce qui passe devant sa bouffe doit entrer dans sa bouche. Certaines rumeurs courent qu'elle auraient vécu jusqu'à 40 ans en captivité. Personnellement, je trouve ça exagéré pour un amphibien.
  17. Tortues en danger Dégradation rapide de leur habitat (fourré épineux), collecte pour la consommation locale, et collecte pour le commerce national et international : tels sont les dangers qui menacent les tortues malgaches, selon le Programme d’actions pour la conservation des tortues terrestres endémiques du sud et du sud-ouest de Madagascar, publié par le WWF le 29 septembre 2010. Cinq des neuf espèces de tortues terrestres et aquatiques trouvées dan la Grande Ile sont endémiques, et le programme du WWF s’intéresse tout particulièrement à deux de ces espèces, la sokake, tortue radiée, et la Kapila, tortue araignée, qui ne se rencontrent que dans l’écorégion Ala Maiky (sud et sud-ouest). Destruction de l’habitat et trafic La chute drastique des populations de tortues est la conséquence de la destruction de leur habitat d’une part, mais aussi de la collecte des animaux pour le marché local de viande et pour le marché national et international d’animaux exotiques. Les tortues radiées sont par exemple très souvent utilisées comme animaux de compagnie, à Madagascar comme dans le reste du monde où le marché des reptiles est en pleine expansion. La Thaïlande paraît être la plaque tournante de ce trafic : les tortues (surtout les tortues araignées, appréciées en raison de leur petite taille et du dessin de leur carapace) y sont vendues sur les marchés publics grâce à des faux documents CITES mentionnant des élevages au Kazakhstan ou au Liban et ces documents sont réutilisés pour les réexporter vers d’autres pays comme Hong-Kong ou le Japon. Les tortues araignées sont aussi menacées à moyen et long-terme par les opérations de mines ouvertes d’ilménite. En effet, les populations restantes de cette espèce dans la région de Ranobe se trouvent toutes dans des carrés miniers. Le WWF indique donc qu’ « il est important que des négociations avec les propriétaires de ces carrés soient engagées dès maintenant pour leur préservation ». Actions de protection Dans son programme, le WWF fait le bilan des initiatives engagées en faveur de la protection des tortues, et note que si celles-ci ont débuté juste après la mise en place de l’écorégion Ala Maiky en 1998 à travers des campagnes de sensibilisation de masse lors des grands événements et des contrôles et saisies suivis de relâchés au niveau des régions de collecte, les contrôles et saisies au niveau de l’aéroport d’Ivato sont devenus plus significatifs à partir de 2006. Les dix dernières années, ce sont 7855 tortues et 4,8 tonnes de viande qui ont été saisies par les autorités malgaches. Mais ces actions restent insuffisantes. Les tabous des Antandroy et Mahafaly qui génèrent une indifférence totale pour l’animal, la méconnaissance des lois et l’insuffisance des contrôles amplifiée par la crise politique de 2009 mettent en péril la survie de ces espèces. Le dossier du WWF mentionne que « faute de financement, toutes les activités identifiées nécessaires à la conservation des tortues n’ont pas été mises en oeuvre ou le sont mais partiellement. » Pour les cinq prochaines années, l’objectif du WWF est donc de trouver les financements qui permettront de renforcer les structures de coordination et de contrôle, et de mener des actions d’éducation et de sensibilisation auprès de la population sur la problématique de la protection des tortues. Source
  18. Un des deux alligators fugueurs retrouvé ce matin Un alligator de Chine disparu fin juillet dans la Drôme a été retrouvé sur une route près de Pierrelatte dans la nuit de mardi à mercredi puis placé en cellule de dégrisement à la gendarmerie, a indiqué mercredi le propriétaire du saurien qui s'était fait la belle. «C'est une dame qui l'a repéré vers minuit en sortant du restaurant. Elle est descendue de voiture, l'a pris en main et l'a mis dans un sac avant de le déposer à la gendarmerie», a expliqué mercredi à l'AFP Samuel Martin, le directeur de la Ferme aux Crocodiles, à Pierrelatte. «ça fait 37 ans que je fais ce métier, c'est la première fois qu'on a un tel individu à la brigade», a pour sa part commenté avec humour le capitaine de gendarmerie Jean-Yves Piot. On est toutefois sans nouvelles d'un deuxième alligator, qui avait pris la fuite en même temps que son congénère. Espèce protégée, l'alligator de Chine mesure à peine un mètre de long et ne supporte pas les températures hivernales, selon Samuel Martin. Source
  19. Le mont Royal autrement Même pour ses habitués, le mont Royal a des facettes cachées. Venez découvrir - ou redécouvrir - la montagne, au cours d'une randonnée en plein coeur de la ville. Et de l'automne. La faune Le mont Royal possède une intéressante biodiversité, notamment grâce à la présence d'un marécage. Au total, 20 espèces de mammifères, 182 d'oiseaux, 2 de reptiles et 2 d'amphibiens se partagent le territoire. Certaines sont difficiles à observer, particulièrement la salamandre à pois bleus ou encore les renards. En ouvrant l'oeil, on verra peut-être des rapaces, tels l'urubu, l'épervier ou la chouette rayée. La flore Les érables à sucre occupent le piedmont, tandis que les chênes ont adopté le sommet. Quelques pins blancs centenaires côtoient de jeunes épinettes. Elles ont été plantées après avoir constaté l'érosion trop importante causée par les «coupes de la moralité» en 1954. Ces dernières avaient valu au mont Royal le surnom de mont Chauve. L'eau En montant l'escalier près de la maison Smith, on arrive à l'Abri. Ce bâtiment, en apparence inutile, se trouve au-dessus de l'un des six réservoirs d'eau creusés dans le mont Royal. Sous nos pieds, il y a 14 millions de litres d'eau. Le plus vaste, le réservoir de Châteaufort, a une capacité de 210 millions de litres. Ces réservoirs font office de châteaux d'eau à Montréal. Un documentaire interactif sur la montagne Chaque Montréalais a des souvenirs liés au mont Royal. Avec le web documentaire Sacrée montagne, ils peuvent désormais partager ces moments chers et découvrir les témoignages de personnalités ou de quidams. «Nos objectifs étaient d'inviter les gens à profiter de la montagne et de leur proposer notre regard de flâneur», dit Hélène de Billy, journaliste et auteure. Elle a coréalisé le documentaire avec le photographe Gilbert Duclos. Le site sacreemontagne.onf.ca présente ces témoignages, films et photos. Il explore six zones du mont Royal, dont la Croix, l'oratoire Saint-Joseph et le lac aux Castors. Bref, le sacré et le profane se côtoient. «Nous proposons de belles rencontres, affirme Gilbert Duclos. Les gens nous disent qu'ils redécouvrent la montagne.» Les témoignages recueillis via la boîte vocale du 1-877-55-SOUVENIR seront diffusés sur le site. Jusqu'en février, de nouvelles capsules s'ajouteront chaque semaine. Martine Bouliane, collaboration spéciale Source
  20. Ce que je ne comprends pas, c'est que c'est quand même translucide du vin blanc donc...
  21. Grande-Bretagne : Elle trouve une grenouille dans une bouteille de vin Grande-Bretagne - Une femme s'est rendue dans un supermarché Asda, afin de déposer une réclamation après avoir trouvé une "grenouille dans une bouteille de vin". Isolde Beesley, est une cliente fidèle du supermarché Asda, situé à Liecestershire, en Grande-Bretagne. Récemment, elle ouvre une bouteille de vin blanc espagnol, achetée dans l'enseigne, pour une réunion de famille. Seulement, au moment de servir un verre durant le repas, une grenouille tombe de la bouteille ! Après avoir tout de même bu quelques verres, elle se plaint au supermarché suite à des maux d'estomac. Interrogée par le magazine Decanter, Isolde Beesley explique avoir aujourd'hui engagé un avocat afin d'attaquer la chaîne de supermarché où elle a acheté la bouteille en décembre dernier, pour 3,58 livres (environ 4,10 euros). De son côté, le porte-parole d'Asda explique n'avoir trouvé aucune anomalie dans le processus de mise en bouteille et chacun se demande comment Isolde Beesley n'a pu voir une grenouille flotter dans sa bouteille. Source
  22. Come on tout le monde là, je viens d'aller voir les résultats et seulement 352 personnes se sont inscrit seulement. On le sait tous qu'on est beaucoup plus de passionnés que ça. Faîtes circuler aux gens que vous connaissez en dehors des forums au pire. C'est pour une bonne cause si on veut pouvoir vivre notre passion à fond un jour.
  23. Il ne faut pas se fier aux apparences haha. Il mord aussitôt qu'il en a l'occasion.
  24. Je suis désolé pour toi! Je ne peux malheureusement pas t'aider puisque le nom ne me dit rien. J'ai voulu faire une recherche via google me disant que c'est peut-être connu sous un autre nom mais je n'ai rien trouvé. Bonne chance à ta mère!
  25. Patate c'est le cas de le dire! Ce printemps, je le mettais dans la poche de ma chemise. Maintenant, il mesure environ 2 pieds.
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