Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

Max|mum-leterrarium

Membres
  • Compteur de contenus

    12 143
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Jean-Luc, un passionné de serpents qui ne compte plus les morsures Hier, c'était la fête des animaux à Wimille, au Bon-Secours. L'occasion de caresser chiens, chameaux, ânes mais aussi d'observer des serpents, lézards et autres mygales pour lesquels Jean-Luc Hayez voue une passion tout en restant lucide. PAR OLIVIER MERLIN boulogne@lavoixdunord.fr PHOTOS « LA VOIX » Derrière les barrières, des adultes et des enfants chuchotent, d'autres observent sans un mot ce monde du silence qui évolue devant eux. Dans les vivariums, des lézards immobiles, des serpents enroulés dans des néons et des mygales grosses comme une main. Dimanche, lors de la fête des animaux de Wimille (plus de 30 années d'existence), la salle des NAC (nouveaux animaux de compagnie) a comme lors de chaque édition rencontré le plus de succès. « L'expo attire parce que le public n'est pas vraiment informé sur le mode de vie de ces bêtes. Il y a aussi beaucoup d'idées reçues. » Jean-Luc Hayez pourrait vous parler des heures de ces drôles d'animaux à sang froid qu'il cajole depuis la fin des années 70 dans le Dunkerquois où est implantée son association, « Aqua terra ». Colette, un « amour » de 5,40 mètres Incollable, l'homme est devenu un spécialiste en Flandre maritime et vient régulièrement à Wimille présenter ces plus beaux spécimens. Mais comment lui est venue cette passion ? « Par hasard. J'avais pas mal d'insectes et le président de la SPA de l'époque le savait. Un jour, on m'a amené deux pythons royaux. Je n'avais jamais été formé à leur manipulation. Mais j'ai appris sur le tas. » Au prix d'ailleurs de quelques blessures, heureusement bénignes : « je ne compte plus les morsures », indique l'homme en présentant sur ces mains les stigmates de ces marques « d'affection ». « Un jour, un serpent m'a mordu pendant 20 minutes... », raconte-t-il avec une pointe de sourire. Aujourd'hui, il se saisit des serpents sans hésiter. « Je leur touche la tête pour leur montrer que je ne leur veux pas de mal. Ensuite, ça va même si certains reptiles sont plus agressifs que d'autres. » Jean-Luc n'oubliera jamais ce python moulure surnommé Colette qui était d'une douceur incroyable malgré ses ses 5,40 mètres de longueur. « Elle avait une force de 100 kilos mais elle ne m'a jamais fait aucun mal », raconte celui qui a soigné la bête dans ces derniers mois alors qu'elle était atteinte d'une maladie respiratoire. La mygale lui saute au visage ! « Je lui faisais des piqûres et elle respirait mieux ensuite. » Jean-Luc est un peu moins épris de la quinzaine de mygales qu'il a adoptée. Logique, « un jour, une mygale m'a sauté au visage alors que j'ouvrais le vivarium pour la nourrir ». L'arachnidée est capable non seulement de faire des bonds d'un mètre mais aussi d'inoculer un venin mortel en une seconde ou de propager ses poils urticants dans l'appareil respiratoire de son agresseur. « Cette fois encore, j'ai récupéré des mygales pour dépanner parce que des gens en avaient achetées et n'étaient pas capables de les élever. » D'ailleurs, le spécialiste rappelle que le serpent et la mygale ne sont pas des animaux de compagnie mais plutôt d'exposition (ce qui est moins le cas du lézard). « Il est difficile d'échanger de l'affection avec eux », prévient-il. Avant tout achat, il faut donc se documenter, savoir comment les nourrir (les pythons adorent les rats... vivants) avant de regretter une adoption qui peut s'avérer lourde au quotidien voire dangereuse. • Contacter Jean-luc Hayez sur son mail : hayezjl@orange.fr Source
  2. Cinq tortues vertes suivies à la trace Le Parc Kélonia a relâché cinq tortues vertes équipées de balises uniques à la Réunion. Le parcours des reptiles sera observé par satellite depuis Strasbourg, à l’Institut Pluridisciplinaire Hubert Curien. Elles ont été relâchées à Saint-Leu par l’observatoire Kélonia, mais c’est depuis la métropole qu’on observera leurs parcours. Cinq tortues vertes ont été équipées de balises, utilisées pour la première fois à la Réunion. Les balises Argos font partie d’un système international de localisation et de collecte de données géopositionnées par satellite. Les scientifiques observeront le déplacement des tortues, leur vitesse et leur comportement de plongée. "On récupérera ces informations à Strasbourg, à l’Institut Pluridisciplinaire Hubert Curien. On aura tous les jours une mise à jour des informations", explique Jean-Yves Georges, chargé de recherches au CNRS. Chaque balise coutant 5000 euros, le bon fonctionnement du dispositif sera surveillé par le laboratoire Kélonia qui compte sur l’aide des plongeurs amateurs. "Grâce aux photos qu’on pourra récupérer auprès eux, on pourra vérifier l’état de ces balises", espère Stéphane Ciccione, directeur du centre. Si vous apercevez une tortue verte avec une excroissance étrange sur le dos, vous savez ce qu’il vous reste à faire. Source
  3. Des tortues volées hébergées par les gendarmes Depuis un an qu’ils enquêtent sur une série de cambriolages, les gendarmes ont retrouvé en perquisition une trentaine de tortues radiatas volées et destinées à la revente. Et si la plupart ont pu être restituées à leurs propriétaires, d’autres, non-identifiées, ont pris leurs quartiers dans les locaux de la brigade. Plus besoin de chercher de mascottes, les gendarmes de Sainte-Marie ont trouvé les leurs. Depuis près d’un an qu’ils enquêtent sur des cambrioleurs en série sévissant dans le secteur de la Grande Montée et d’autres écarts de la commune, les militaires tombent régulièrement, au cours de leurs perquisitions, sur de charmants reptiles dont la placidité n’a d’égal que l’appétit vorace pour les léguminés en tous genres. Dirigeant ces investigations depuis fin 2009, le gendarme Patrick Lebaillif a ainsi récupéré près d’une trentaine de tortues radiata chez des personnes suspectées de vols : “L’un d’eux en avait jusqu’à 12 chez lui ! Il y a un vrai business local de la revente de tortue radiata, parfois même à destination de la métropole ou de l’étranger. Il faut savoir que ces animaux, d’espèce protégée, peuvent valoir une fortune. Les plus âgés peuvent atteindre une valeur de 5 000 euros, ce dont les voleurs n’ont même pas conscience, puisque certains les revendaient pour 250 euros…” Et si la possession de ces tortues de terre est tolérée à la Réunion, elle doit se faire dans les règles de l’art, en étant répertoriée par un système de puce électronique ou de bague. Or, nombre de personnes détenant des specimen illégalement ne viennent pas réclamer leur animal volé parce qu’ils ne peuvent justifier s ka possession, et hésitent ainsi à se présenter à la maréchaussée. Du coup, plusieurs tortues ont pris leurs quartiers à la brigade. Ovipares Non Identifiés “Mais nous avons pu restituer la grande majorité de ces bêtes, soit parce qu’elles étaient baguées ou pucées comme il faut, soit parce que les propriétaires ont pu prouver qu’elles leur appartenaient, avec des photos par exemple”, poursuit le gendarme Lebaillif. Il faut alors tenter de repérer le signe distinctif (rayure sur la carapace, écaille soulevée…), qui permettra d’identifier la tortue et son propriétaire. Et pour celles qui restent sans famille, les gendarmes se sont transformés en soigneurs des plus attentionnés. En attendant que le propriétaire se manifeste, elles passent la journée dans un petit enclos aménagé dans la cour de la brigade, sur les conseils des agents de la Brigade nature océan Indien (BNOI) qui travaillent avec les militaires. Choux, laitue et autres fruits et légumes sont au menu. “On les nourrit grâce à la générosité des maraîchers du coin”, sourit le gendarme Lebaillif. Et pas question qu’elles soient volées à nouveau, même dans l’enceinte de la brigade. Aussi, chaque soir, les tortues sont mises à l’abri dans un local fermé à clé jusqu’au lendemain matin.Certaines de ces braves bêtes restent parfois plus de huit jours en garnison à la brigade, en attente d’une réclamation. Au-delà, elles rejoindront une structure plus à même de les recevoir et d’en prendre soin. “Mais nous avons bon espoir de toutes les faire rentrer chez elle”, conclut le gendarme. Durant le week-end, sur les quatre dernières tortues encore en pension chez les militaires, deux ont d’ailleurs retrouvé leurs propriétaires. Elles ne sont donc plus que deux petites radiata à être aujourd’hui placées sous protection des gendarmes, dans l’attente d’être restituées. Aux dernières nouvelles, aucune ne s’est plainte de l’accueil. Bien au contraire… Sébastien Gignoux Source
  4. Difficile à dire sans photo ce que c'est mais ça semble trop petit pour être un oeuf.
  5. Petit varan étant en mue, il a eu droit à un bain donc j'en ai profité pour prendre quelques photos.
  6. As tu une photo? C'était gros comment? Les oeufs ne sont pas verts mais plutôt blanc.
  7. Guyane : une fillette piquée par un scorpion décède Une fillette de 6 ans, habitant à 50 kilomètres de Saint-Laurent du Maroni (Guyane), est morte après avoir été piquée par un scorpion, selon le journal France-Guyane. La fillette a été piquée au pied le 21 septembre par un Tityus Cambridgei, «un scorpion d'une dizaine de centimètres au maximum, de couleur noire avec des pinces fines. A l'extrémité de sa queue, il y a une poche à venin avec le dard», a expliqué à l'AFP Gérald Egmann, médecin responsable du Samu, appelé en vain en renfort à l'hôpital de Saint-Laurent du Maroni pour essayer de sauver l'enfant. «Les complications surviennent assez vite après la piqûre. Si dans les heures suivant la piqûre, il n'y a pas de signe de gravité, habituellement, il n'y a pas de problème», a-t-il encore expliqué. Une centaine de piqûres par an Mais là, la fillette s'est rapidement plainte de douleurs insupportables, selon France-Guyane. Ses parents la conduisent à l'hôpital aussitôt. Mais son état de santé s'aggrave : troubles digestifs puis respiratoires. Les médecins constatent qu'elle est gravement envenimée. Malgré leurs efforts, la petite s'est éteinte dans l'après-midi. «En Guyane, on doit être à une centaine de piqûres de scorpion par an, mais dans 95% des cas, les conséquences sont bénignes», a précisé le Dr Egmann. Il s'agit du deuxième décès identifié imputable à une piqûre de scorpion en Guyane depuis la fin des années 90. «En 1998, un petit garçon du même âge avait été piqué au pied à Matoury (à 10 km de Cayenne). Il est décédé dans les 24 heures», a encore expliqué le Dr Egmann. Source
  8. Naissances exceptionnelles au Bois du Petit-Château à La Chaux-de-Fonds Le zoo du Bois du Petit-Château a vécu la naissance de deux serpents ratiers des Célèbes, le 15 septembre dernier. Pour la première fois en Europe, cette espèce de serpent indonésienne a pu réaliser son cycle complet de reproduction en captivité. L’institution zoologique des Montagnes neuchâteloises présentera dès demain ses deux jeunes protégés de 14h à 16h, et pour toute les vacances d’automne. /comm-réd Source
  9. Découvrez les serpents à deux têtes, insolites mais pas si rares Les serpents atteints de bicéphalisme seraient moins rares que d’autres animaux à deux têtes. Une malformation qui pose tout de même quelques problèmes. Les siamois, ou jumeaux fusionnés, sont une malformation qui apparaît lorsque l’embryon se divise en deux parties distinctes où grandissent des jumeaux identiques mais où, pour une étrange raison, le processus de séparation n’est pas complet. Les serpents comme d’autres animaux, peuvent être donc joints par n’importe quelle partie du corps. Mais la malformation semble bien plus fréquente chez ces reptiles rampants que chez n’importe quel autre animal. Ces serpents aux airs de chimères n’ont pourtant pas la vie facile et vivent moins longtemps à l’état sauvage que n’importe quel autre congénère à une tête. En effet, il y a du conflit entre les deux têtes partageant le même corps et les mêmes organes. Si les deux chassent la même proie, les deux têtes peuvent s’affronter et si l’un des deux mange la proie, l’autre se sentira rassasié sans avoir mangé quoi que ce soit. Un rien déroutant. Comme ils ont tous les deux leur propre cerveau, ils reçoivent des informations bien distinctes et c’est généralement le plus dominant qui traîne l’autre dans une direction opposée. Les instincts sont aussi assujettis à la même confusion et un même serpent peut vouloir se battre et s’enfuir en même temps, perdant ainsi un temps précieux à tergiverser alors que l’ennemi attaque. C’est pourquoi les serpents à deux têtes ne font pas de vieux os à l’état sauvage. En captivité, ces spécimens peuvent vivre 20 ans et c'est généralement la tête de droite qui est la plus dominante dans la prise de décision. Découvrez les serpents à deux têtes en images : http://www.zigonet.com/serpent/des-serpents-a-deux-tetes_art16093.html Source
  10. Patrick Dempsey : son nouveau coup de coeur a la carapace dure Patrick Dempsey est aussi un Dr Mamour pour les animaux. Sa maison est ouverte à toutes les bébêtes abandonnées. Dans le show d’Ellen DeGeneres, il a raconté son dernier coup de coeur de poids. Patrick Dempsey a adopté une tortue de 37 kilos. Alors qu’elle traversait la route, elle s’est fait renverser par une voiture. Ne sachant pas quoi faire de la blessée, le véto a aussitôt appelé la star de Grey’s Anatomy, l’un des meilleurs amis des bêtes à Los Angeles. “Suite à l’accident, elle est borgne”, lui a dit le médecin. Un détail qui a ému Patrick Dempsey : il lui a tout de suite ouvert les portes de sa maison. L’histoire ne dit pas ce que cette tortue faisait là, ce jour-là, sur une route à grande circulation. Mais on imagine sans peine que son propriétaire s’en est débarrassé. On oublie que ces adorables petites bestioles, craquantes dans une animalerie, peuvent devenir des mastodontes à l’âge adulte. Source
  11. Marseille : Salsa, la tortue marine qui revient de loin Vendredi, des collégiens marseillais l'ont raccompagnée au large du Grau-du-Roi Tortue caouanne adulte de sexe mâle -comme son nom ne l'indique pas...- Salsa a retrouvé son élément naturel vendredi, relâchée à 6 milles (environ 11 km) au large du Grau-du-Roi (Gard), après un mois de convalescence parmi les hommes. Ces derniers le lui devaient bien. Retrouvée empêtrée dans son filet par un marin-pêcheur, ce dernier avait eu toutefois le bon réflexe d'alerter aussitôt le CESTMed (Centre d'étude et de sauvegarde des tortues marines de Méditerranée). Une émouvante remise à l'eau à laquelle ont pu assister une cinquantaine d'élèves des collèges Joliot-Curie (Aubagne) et Elsa-Triolet (Marseille15e ). Deux classes de 3e avaient, en effet, été invitées par le Conseil général des Bouches-du-Rhône dans le cadre de l'opération "Passeport 13" et pour le coup d'envoi de l'exposition de culture scientifique "Voyage au centre de la mer" qui sera inaugurée le 25 novembre. Vendredi, les enseignants ont saisi cette opportunité pour enrichir le contenu de l'option DP3 "découverte professionnelle" proposée, depuis peu, aux collégiens. Une expérience dont se souviendront longtemps Sofia, Raoudhoi, Marion, Julia, Séréna et Camila, six copines qui après avoir immortalisé l'animal sur leur téléphone, ont suivi de près ses premiers coups de nageoires dans la Grande Bleue, guettant chacune de ses respirations à la surface jusqu'à ce que Salsa ne soit plus qu'un point à l'horizon. Comme le leur expliquait Jean-Baptiste Sénégas, responsable du CESTMed et Jean-Marc Groul, directeur du Seaquarium du Grau-du-Roi, c'est la première fois, depuis sa création en 2003, que le centre recueille une tortue caouanne mâle et parvient à la remettre à l'eau. Les quelque 120 autres spécimens, qui lui avaient été confiés jusqu'ici, étaient, en effet, tous des femelles. Une occasion unique, donc, d'étudier la migration d'un "monsieur tortue". Salsa a donc été équipée d'une balise Argos qui pendant dix-huit mois (l'autonomie de sa batterie), transmettra aux scientifiques sa position via un satellite. L'animal a également été bagué et porte la marque F273 à la nageoire droite. Source
  12. Idéalement quoi que la nature peut faire aller les choses d'eux même bien souvent
  13. Oui, chez les corns snakes, si les deux serpents ne cohabitent pas, souvent, simplement en présentant la femelle au mâle on peut voir accouplement.
  14. Ça semble être la couleuvre à collier européenne (Natrix natrix).
  15. Cameroun, YAOUNDE : Un serpent boa dans le bureau de Jacques Fame Ndongo YAOUNDE, Cameroun. Un serpent boa dans le bureau de Jacques Fame Ndongo. L'affaire fait jaser. Le Ministre de l'Enseignement supérieur ne travaille plus dans son bureau, depuis près deux semaines. Il est resté fermé. Et pour cause : un serpent boa y a été retrouvé. Pour exorciser les lieux, connaître la provenance de ce reptile et sa mission à cet endroit, le ministre aurait fait appel à un marabout qui officie dans la ville de Bamenda dans la région du Nord Ouest . En attendant, nul n'entre, ni ne sort de ce bureau, qui est devenu la bête noire de Fame Ndongo. Qui en veut tant au prof ? Source
  16. On vous parle souvent d'espèce de serpent qui simule la mort comme moyen de défense. Voici un petit vidéo vous démontrant l'efficacité de son jeu d'acteur.
  17. Les animaux à l’honneur dans le nouveau GUINNESS WORLD RECORDS 2011 Le millésime 2011 du best-seller mondial de tous les livres à copyright présente une sélection impressionnante de nouveaux records qui vont intéresser tous les amis des animaux. Dans le chapitre « Magie des Animaux » du Guinness World Records figurent ainsi Puggy, incroyable pékinois reconnu comme le chien qui possède la plus longue langue (11,43 cm), Anastasia, un Jack-Russell terrier qui détient le record de temps pour faire éclater 100 ballons (44,49 secondes), ainsi que Fluffy, le plus long serpent du monde (7,3 m). Record – la langue la plus longue (chien), 11,43 cm Puggy, un pékinois âgé de 10 ans, originaire du Texas (USA), possède la langue la plus longue jamais relevée chez un chien : pas moins de 11,43 cm – soit une longueur quasi équivalente à celle du corps ! Becky Stanford a adopté Puggy en 2002, alors qu’il avait été abandonné en raison même de son aspect inhabituel. « La première fois qu’ils voient Puggy, les gens n’en croient pas leurs yeux ; son physique pour le moins étrange les étonne », explique Becky. S’agissant du nouveau record du monde attribué à son chien, Becky déclare : « C’est loin d’être anodin pour nous. C’est fantastique qu’un animal errant, abandonné comme Puggy soit maintenant détenteur d’un Guinness World Record. Je n’arrive pas à y croire ! » Record – Le serpent en captivité le plus long (7,3 m) Un serpent réticulé du nom de Fluffy, résidant au Columbus zoo de Powell (Ohio, USA), a été reconnu comme le serpent vivant en captivité le plus long du monde. Il aura fallu un an de recherches à l’équipe en charge d’identifier des records dans le monde pour découvrir ce serpent de 7,3 m et 100 kg. Fluffy est aussi long que deux voitures, ou qu’une caravane ou encore qu’une limousine. Pas moins de neuf vaillants employés du zoo ont été réquisitionnés pour le soulever afin de prendre la photographie qui figure dans l’édition 2011 du Guinness World Records. Arrivé au zoo en 2007, Fluffy a vu passer entre 50 000 et 70 000 visiteurs par semaine. Selon Carey Pratt, assistant vétérinaire, c’est« un serpent plutôt calme et cool, qui aime sa petite vie de solitaire ».Quand on l’interroge sur l’alimentation de son hôte, Pratt précise :« Il est certain que Bugs Bunny et Mickey Mouse ne feraient pas ami-ami avec Fluffy ! » Record – Record de temps pour faire éclater 100 ballons (chien) : 44,49 secondes Anastasia, un petit Jack Russell terrier plein de vie, est dingue de ballons. Elle détient, parmi ses congénères chiens, le record mondial de temps pour faire éclater 100 ballons, soit 44,49 secondes ‑ plus de 2 ballons par seconde ! C’est lors d’une Saint-Valentin fêtée entre amis que Doree Sitterly (Westlake Village, Californie, USA), sa maîtresse, a découvert le talent si spécial d’Anastasia : dès qu’elle est entrée dans la maison, la chienne s’est tout simplement déchaînée sur les ballons. Anastasia, également férue d’acrobaties, a battu son propre record à plusieurs reprises, améliorant son temps à chaque fois. Et Doree d’ajouter : « Quand Anastasia voit des ballons dans un lieu public, elle commence par émettre un petit grognement, puis aboie fort et enfin se met à hurler à la mort. On ne peut plus la contrôler. Elle n’a plus qu’une idée en tête : crever les ballons. » Guinness World Records 2011 propose bien d’autres records dont les protagonistes sont des animaux, ainsi que d’autres exploits dans des domaines variés : la science, le corps humain, les sports, les arts et spectacles, etc. Source
  18. Journée mondiale du tourisme : deux tortues marines relâchées à Tetiaroa Dans la cadre de la Journée mondiale du tourisme placée sous le signe de la biodiversité, les tortues marines ont été mises à l'honneur. Sur invitation de Richard Bailey, PDG de Pacific Beachcomber SC et en présence du ministre du Tourisme, Steeve Hamblin, les associations Te Mana o Te Moana et Tetiaroa Society ont pu présenter leurs actions et projets phares en termes de protection de la biodiversité polynésienne, et procéder au relâchement de deux tortues juvéniles. Cécile Gaspar, vétérinaire et présidente de l'association Te Mana o Te Moana a présenté les bilans d'activité de la clinique pour tortues marines de Moorea avec plus de 160 tortues accueillies en six ans, et 62 relâchées après complète réhabilitation, rappelle d'abord le communiqué des associations. Seules des tortues nécessitant des soins sont accueillies dans cette structure basée à Moorea, et les deux tortues juvéniles relâchées ce jour dans le lagon de Tetiaroa avaient été trouvées le 20 janvier dernier, dans le cadre des suivis scientifiques réguliers des sites de pontes sur cet atoll. Elles étaient bloquées au fond de leur nid sur le motu Oroatera, et étaient déformées et mourantes. Elles ont atteint à l’âge de 8 mois un poids d’un kilo et une longueur de carapace de 20 centimètres. Après le bagage des tortues à l’aide de bagues métalliques sur une nageoire antérieure, elles ont été remises dans le lagon par leurs deux parrains : Steeve Hamblin , ministre du Tourisme et Teihotu Brando, vice-président de Tetiaroa Society. Un passeport international du "Citoyen de l'Océan" développé par le réseau Océan Mondial dont Cécile Gaspar est membre fondateur aux côtés de Jean-Michel Cousteau et Philippe Vallette, leur a été remis. La tortue, un symbole de la biodiversité en danger Hinano Bagnis, directrice générale de l'association Tetiaroa Society, était également présente lors de cette opération qui participe à la conservation de la biodiversité de l’atoll de Tetiaroa et plus largement à celle de la planète. La tortue est un des symboles de la biodiversité en danger et bien qu’elle soit une espèce menacée de disparition à l’échelle de la planète et protégée par plusieurs traités internationaux, la tortue marine continue d’être la victime de la pollution et du braconnage. A l’occasion de cette visite, elle a pu présenter in situ les enjeux de sa mission et expliquer les buts de l’association ainsi que ses projets innovants en termes de protection de la biodiversité de l'atoll de Teriaroa, de recherche et d'éducation. Préserver l'atoll de Tetiaroa Pour rappel, l’association Tetiaroa Society a été créée au mois de mai 2010 afin d’encourager et de soutenir la préservation de l’atoll de Tetiaroa pour les générations futures au travers de programmes d’éducation, de conservation et de recherche en relation avec l’atoll de Tetiaroa, et notamment avec ses patrimoines naturels et culturels et sa biodiversité dans un objectif de développement durable. L’association gérera notamment un centre d’accueil et de recherche international comme l’avait souhaité Marlon Brando, dont la construction débutera dans les prochaines semaines. ATP Source
  19. Un chinois aurait mangé plus de 30 000 scorpions ! Le Chinois Li Liuqun a assuré avoir mangé plus de 10 000 scorpions ces 30 dernières années et même qu’il en serait devenu dépendant ! La première fois qu’il en a mangé, c’était dans les bois de la province du Hunan. « J’ai senti une piqure, et pris de colère, je n’en ai fait qu’une bouchée. Il était si savoureux, comme un goût de haricot frits ». Li peut maintenant manger entre 20 et 30 scorpions à la fois et semble être immunisé contre le venin souvent rapidement mortel des scorpions. « Les scorpions me piquent presque toujours mais je ne sens plus rien » ajoute l’homme qui a maintenant 58 ans. Les médecins pensent même que Li est devenu accro au venin de scorpion, habituellement utilisé dans la médecine chinoise traditionnelle en petite quantité comme un analgésique. Source
  20. Une tortue Caouanne entre le grau du roi et aigues-mortes D'après la Capitainerie de Port du Roy (Aigues-Mortes), une tortue de mer à été observée dans le bassin, preuve de la propreté des eaux et de la richesse de la faune. Il s'agirait d'une des 8 espèces de tortues marines observées en Méditérannée. Quelques jours plus tard, un chalutier du Grau du roi capture au large un spécimen rare de tortue caouanne; un mâle de 64kg et 83cm de long. Une prise exceptionnelle de par sa taille et surtout son sexe rarement observé au centre d'études des tortues marines. Le mastodonte d'environ 50 ans, est apparemment en bonne santé mais il restera quelques jours en observation. La caouanne devrait retrouver sa liberté dans quelques jours. Une question subsiste: était ce la même ou y a t'il une "famille" proche de nos côtes? Dans la méditerranée la ponte se situe d’avril à septembre sur les plages de sable fin. Les femelles accostent pour pondre de 4 à 7 fois par saison et déposent de 64 à 198 œufs à chaque fois. L'incubation dure de 45 à 65 jours. À la différence des autres tortues marines, l'accouplement a habituellement lieu lors des migrations et non pas près des lieux de ponte. La Caouanne (Caretta caretta), parfois appelé Tortue caouanne, Tortue carette ou Caret, est une espèce de tortue marine. En forte voie de régression, elle fait localement l'objet d'un plan de restauration. Son régime alimentaire est à prédominance carnivore et s'alimente de méduses, crustacés, de coquillages, de poissons et de molusques. Source
  21. Max|mum-leterrarium

    besoin d'aide

    On ne peut pas dire l'âge exact d'un gecko mais une chose est certaine c'est qu'ils sont adultes et qu'ils ont encore plusieurs années devant eux. En fait, la femelle va pondre des oeufs donc si les oeufs ne sont pas incubé, les petits ne viendront jamais au monde. Il faudra donc te procurer un incubateur pour voir naître des petits. Les petits ne se feront probablement pas avaler en entier mais ils risquent de se faire manger la queue et des pattes puisque les parents ne feront pas la différence entre eux et un insectes en fuite. C'est bon autant pour la mère que pour le père. Il y a aussi au niveau de l'alimentation. Ils vont y aller dans le sens que les plus forts mangent donc les petits vont manquer de nourriture. Pour savoir comment enménager le terrarium (puisqu'on appelle vivarium seulement lorsqu'on le monte de façon naturel avec des vraies plantes, etc...), je te recommande de lire la fiche que je t'ai conseillé plus haut. Pour ma part, je fournis un bol d'eau suffisamment grand pour que le gecko entre dedans. La boîte à humidité que tu peux faire avec de la mousse de sphaigne te sera très utile pour règlé le problème. Pour le moment, un bain d'eau tiède serait de mise pour enlever les bouts de mue resté collé. Hier, j'ai manqué de temps donc j'ai répondu ce matin. Si mes réponses ne sont pas claires, n'hésites pas.
  22. Max|mum-leterrarium

    Eh bien...

    Dis lui que c'est ça ou une mygale
  23. Max|mum-leterrarium

    besoin d'aide

    J'ai une question pour toi! J'aimerais savoir où tu te les as procuré? J'ai l'impression que c'est mes anciens geckos que tu as prit possession. Ils ont été le cadeau d'un jeune garçon de 11 ans à St-Hyacinthe si c'est le cas. Je t'invite à lire une fiche que j'ai écris pour répondre à tes questions. /fiches-sur-les-lezards-f26/eublepharis-macularius-gecko-leopard-t2340.htm Si tu as d'autres questions ensuite, il me fera plaisir de te répondre.
  24. C'est une espèce superbe, surtout quand on parle des mâles comme on voit dans ton article. Quand mon père va au Cameroun, il dit qu'il en voit partout de ce lézard.
×
×
  • Créer...