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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Alerte au scorpion sur un avion de Yemenia Airways Paris (France) - Un avion de la compagnie aérienne yéménite Yemenia Airways a été retardé de plusieurs heures lors de son départ de l'aéroport international Roissy de Paris (France) après qu'un passager dont l'identité n'a pas été révélé aurait indiqué aux autorités aéroportuaires françaises avoir vu un scorpion à bord de la cabine lors de l'arrivée de l'appareil à Paris. L'avion, un Boeing 737-800, vol IY749, qui devait effectuer la liaison entre l'aéroport international Roissy-Charles de Gaulle de Paris et l'aéroport international du Caire (Égypte) avant de rejoindre l'aéroport international de Sana'a (Yémen) avec un nombre de passagers qui n'a pas été indiqué, était arrivé quelques heures auparavant lorsqu'un des passagers, dont l'identité n'a pas été révélée, a indiqué aux autorités sanitaires françaises qu'il avait vu un scorpion à l'intérieur de l'appareil. Le temps que les équipes spécialisées puissent trouver l'animal, le vol a été retardé de 24 heures. Rien n'a cependant été trouvé à bord et la compagnie aérienne s'indigne de toutes ces mesures qui frappent ses vols, sur le territoire français et britannique, depuis qu'un de ses appareils a connu un accident mortel avec de nombreux passagers français qui se rendaient aux Comores, en Juin 2009. Certaines sources yéménites suggèrent que ce scorpion n'aurait été qu'un moyen de procéder à des vérifications plus poussées de l'état d'entretien de l'appareil. Source
  2. Quelqu'un y est allé aujourd'hui ou y va demain?
  3. Sang froid partagé C'est devenu un passage obligé pour les pompiers costarmoricains face à l'engouement du public pour les nouveaux animaux de compagnie (Nac): un stage au terrarium de Kerdanet, à Plouagat (22). Le maître des lieux, Pierre Quistinic, spécialiste des reptiles et amphibiens, a ainsi mis au point une formation pour les soldats du feu. Au programme, un diaporama sur les particularités de chaque reptile, sur les différentes façons de les identifier, de les capturer...; puis une seconde partie plus «pratique» comprenant une confrontation avec les reptiles, du petit gentil à celui un peu plus gros, en passant par celui qui vous fait comprendre qu'il peut mordre. (Photo Christian Hamon) Source
  4. Animaux - Gare aux Nac ! Le salon Animal Expo, qui s’ouvre à Paris, fait une jolie place aux reptiles. Le marché des « nouveaux animaux de compagnie » vire au délire. Une femme, son mari et son iguane (photo d'illustration) Sipa Où s’arrêtera la folie des « nouveaux animaux de compagnie » ? Alors que l’hyperactif furet – un ancien NAC si l’on peut dire – a été massivement adopté par les Français, au point de gagner la 3e place sur le podium derrière le chien et le chat, l’exotisme fait maintenant une percée. Adopter un python ou un iguane ? C’est une décision que prendront peut-être les visiteurs du salon Animal Expo, qui s’ouvre demain à Paris. A tort ? Espèces contrôlées Le législateur a déjà freiné la domestication de certains animaux. L’acquisition des espèces fragiles, menacées ou dangereuses nécessite une autorisation. Pour autant, on peut se procurer un python tapis par exemple, mais pas un scorpion. Une loi jugée incohérente par les commerçants, qui ne sont pas à un paradoxe près : « Les interdictions trop strictes encouragent le commerce illégal, notamment pour certains animaux très prisés, comme les mygales », regrette tout haut Alain-Xavier Gadoux, patron de Jungle Shop, au motif que « les acheteurs se retrouvent sans informations émanant d’un professionnel, ce qui est néfaste pour eux et pour le bien-être de l’animal ». « Cette mode encourage le trafic d’animaux sauvages » Le négoce illégal, il est vrai, est florissant, via Internet notamment. Estimé à 15 milliards d’euros, le trafic d’animaux est le plus lucratif après ceux de la drogue et des armes. « La mode des NAC encourage ces trafics », déplore aussi Christine Sourd, directrice adjointe des programmes du WWF France. En principe, les NAC proposés dans les animaleries ou lors des salons grand public proviennent d’élevages – européens ou américains – et sont nés en captivité. « C’est le cas notamment des rongeurs et de certains poissons », indique Stéphanie Arlenson, directrice du magazine Minizoo. Quant aux espèces sauvages capturées dans la nature, la convention de Washington fixe un cadre visant à ce qu’elles ne soient pas surexploitées. Les vétérinaires sont de plus en plus sollicités pour soigner ces animaux : « Il faut arrêter cette escalade des pythons, tortues ou mygales. On élève en captivité des animaux dont la seule place est dans la nature », s’inquiète le vétérinaire Pierre Rousselet-Blanc. « Les gens ne savent pas s’en occuper » Les marchands eux-mêmes en conviennent : « Gare à l’iguane de 20 centimètres acheté 15 € en animalerie mais qui peut atteindre 120 centimètres à l’âge adulte ! », alerte Alain-Xavier Gadoux. « Souvent, les gens ne savent pas s’en occuper, alors ils les abandonnent ! », déplore-t-on aussi au Bazar des NAC, association qui recueille les gerbilles, furets et autres lapins béliers en disgrâce. Après les célèbres tortues de Floride (dont l’importation a été finalement interdite en 1997), c’est aujourd’hui l’écureuil de Corée la nouvelle coqueluche dont on se lasse : rejeté dans la nature, il perturbe un écosystème qui n’est pas le sien et peut transmettre une infection bactérienne liée aux tiques. Morsures de serpents La mode des mygales, serpents ou autres espèces venimeuses n’est pas sans conséquence non plus. « Dans les années 1980, nous n’avions qu’un cas d’envenimation par an », rapporte le Dr Luc de Haro, toxicologue au centre antipoison de Marseille. « Aujourd’hui, c’est toutes les deux semaines ! Certains venins issus de spécimens rares ou de croisements d’espèces effectués par les amateurs nous sont inconnus, et sont plus difficilement curables. » « Il faut bien comprendre que ces NAC sont des animaux sauvages, ils ne se domestiquent pas ! », martèle Madeline Reynaud, directrice de l’Association pour la protection des animaux sauvages (Aspas). Moins dangereux et, paraît-il, très tendance : adopter un bernard-l’ermite ou une crevette. Un marché en hausse de 20 % par an Originalité, petite taille, prix attractifs… Autant de raisons invoquées pour expliquer la folie constamment renouvelée des NAC, présents aujourd’hui dans 5 % des foyers français. « Le marché des NAC augmente de 20 % tous les ans », évalue Karim Daoues, patron de l’animalerie La Ferme tropicale. Les nouvelles tendances ? Délirantes ! Des chevaux nains aux crevettes en passant par les nouveaux furets angora, les reptiles, les hamsters russes, les serpents albinos ou autres grenouilles colorées. Le dernier chic : adopter un bernard-l’ermite… Rongeurs. 3,2 millions (en hausse). Cette hausse est poussée par les lapins nains, qui se retrouvent dans un nombre croissant de foyers. Oiseaux. 3,5 millions (en baisse). Les oiseaux ont beaucoup souffert de la grippe aviaire et des mesures de précaution prises pour éviter la propagation de la maladie. Reptiles (en hausse). Il n’existe aucune statistique disponible sur le nombre exact de reptiles. On peut toutefois estimer qu’environ 2 % des foyers français possèdent un reptile. Furet. 1 million (en hausse). Ce carnivore serait devenu le troisième animal de compagnie des Français, derrière le chien (7,8 millions) et le chat (10,7 millions). Source : Etude 2008 TNS Sofres-Facco (chambre syndicale des Fabricants d’aliments préparés pour chiens, chats, oiseaux et autres animaux familiers) et Etude 2010 Groupe J-Efficience 3. Source
  5. Aucune trace de la mygale... Les habitants de la résidence Modigliani, à Marcq-en-Baroeul, ont été évacués hier pour une désinfection de l'immeuble. Objectif ? Vaincre une mygale qui aurait été aperçue le 1er octobre dans l'ascenseur. MORAD BELKADI > morad.belkadi@nordeclair.fr Dans le hall de l'immeuble au 11, rue Robert-Schuman, une forte odeur prend au nez le visiteur. Sur les marches de la cage d'escalier, de petites bombes insecticides de couleur blanche ont été déposées minutieusement. Oui, la mygale est cernée... Encore faut-il qu'elle soit encore à l'intérieur. Car depuis qu'elle a été aperçue le vendredi 1er octobre par Marie-Laure Mikolajczak, l'araignée reste introuvable. La locataire avait photographié la mygale puis alerté les autres résidants. L'inquiétude a grandi à un point tel que le syndic de l'immeuble, l'agence Descampiaux-Dudicourt, a dépêché des experts de la désinfection qui ont fait évacuer la résidence hier matin, entre 9 h et 13 h, pour sortir l'artillerie lourde. Certains ont pris leurs précautions. « J'ai préféré aller dormir chez mes parents », confie Vanessa Belaïd qui vit au premier étage. // Qui va payer ? Tous ont pu regagner leur logement en début d'après-midi en prenant soin de bien aérer les pièces. Mais la mygale, ou du moins son cadavre, n'a pas été retrouvée. Et maintenant ? Il y a déjà la lassitude des locataires. Sur la désinfection d'abord. Elle n'a eu lieu que dans les parties communes du bâtiment. Pour l'intérieur des appartements, les volontaires avaient le choix, mais les frais étaient à leur charge : 10 E pour un 20 m² - pour une surface moyenne de 50 m² par logement - et des pièges à 7,50 E l'unité. « C'est inadmissible, ce n'est pas à nous de payer » , lâche, amer, Sébastien, un autre habitant de la résidence. Certains doutent également de l'efficacité d'une telle mesure. « Par sécurité, j'avais barricadé ma porte d'entrée, j'avais bouché les différentes ouvertures, comme les trous au niveau de mon évier », explique Vanessa. Les interrogations se multiplient aussi sur la provenance de la mygale. Appartient-elle à un habitant ? Il ne s'est en tout cas pas manifesté. Certains avaient également pensé à un canular, mais Marie-Laure maintient son témoignage. « Je ne suis pas arachnophobe donc, quand je l'ai vue, j'ai soufflé dessus et elle a un peu bougé, raconte-t-elle. Sur le coup, je n'ai pas pensé à appeler les pompiers. » Dans tous les cas, cette disparition ne va pas l'empêcher de dormir tranquille. Source
  6. Tortue Guadeloupe, un chauffard écrase une tortue à Bouillante GUADELOUPE - Une tortue a été éclatée par un automobiliste, roulant à fond sur la nationale 2 à hauteur de GALLET – PIGEON à Bouillante. Pourtant des riverains soucieux de la survie de l’animal faisaient des signaux désespérés aux automobilistes pour qu’ils ralentissent et se déportent. Bouillante.net, le site de la commune de Bouillante nous informe aujourd'hui dans son article Tortue écrasée à Bouillante par un chauffard que les chauffards en Guadeloupe font encore des dégâts inadmissibles sur nos routes Cette tortue cherchait à pondre et l’endroit sur lequel elle a débouché n’était pas très propice, rien que des roches, sauf un tout petit endroit où des barques de pêches sont protégées sous des baraquements sommaires.C’est là qu’elle a essayé de creuser le sol sans succès, devant cet échec elle a tentée de traverser la nationale. Des riverains soucieux de sa survie auraient signalé sa présence aux gendarmes de SAINT CLAUDE vers 2 heures 30 le 13 Octobre ? A 4 heures 45, cet animal tentait toujours de trouver un emplacement propice pour sa ponte sans résultat. C’est à ce moment que l’inconséquence d’un automobiliste peu soucieux de la préservation de la faune guadeloupéenne, occultant les signaux des riverains, roulant à vive allure a trainé sur plus de 15 mètres la tortue était complètement éclatée. D’après les riverains, l’automobiliste a détérioré son véhicule dans cet incident. La gendarmerie de PIGEON a été immédiatement avisée. Les responsables d’EVASION TROPICALE prévenus ont constaté que la tortue était complètement éclatée, hémorragie interne. Elle a été enterrée après que ses oeufs aient été placés dans le sable de la plage, pour la survie de l’espèce. EVASION TROPICALE, signale que ce n’est pas la même tortue qui avait divaguée le 5 septembre, celle ci n’était pas baguée. Les riverains et EVASION TROPICALE, se posent la question, que faire pour sécuriser l’endroit …….confection de dos d’ânes pour calmer l’ardeur de certains automobilistes ? C'est déjà terrible que ce soit une tortue mais si cela avait été un enfant ? Source
  7. Déménagement réussi pour les tortues du Golfe Aux Etats-Unis, le sauvetage délicat et controversé de milliers de tortues du Golfe du Mexique, afin qu'elles échappent à la mare noire, a donné des résultats positifs, selon des chercheurs américains. Près de 15.000 tortues auraient été sauvées par le déménagement sans précédent de milliers d’œufs des plages du Golfe du Mexique aux côtes de la Floride. Craignant que le pétrole échappé du puits accidenté de Deepwater Horizon entraîne la mort de nombreuses jeunes tortues à peine sorties de l’œuf, les services fédéraux ont décidé de ramasser les œufs et de les transférer vers la Floride. Plus de 27.000 oeufs ramassés L’opération était risquée et délicate. Les scientifiques du FWS (Fish and Wildlife Service) ont décidé de ne déplacer les œufs que 50 jours après la ponte, afin de ne pas perturber la détermination sexuelle de l’embryon. Du coup l’œuf est plus délicat à manier, il ne faut pas modifier son orientation (lire Des milliers de tortues évacuées). Entre le 25 juin et le 18 août, plus de 27.000 œufs ont été déplacés des plages longeant le Golfe du Mexique au centre spatial Kennedy (Nasa), en Floride, où les précieuses caisses de polystyrène remplies d’œufs étaient entreposées, rapporte la revue Nature sur son site internet. Les tortues ont été déposées sur la plage dès l’éclosion, afin qu’elles rejoignent la mer. Près de 15.000 tortues ont été relâchées, majoritairement des tortues caouannes (Caretta caretta). Au final, le taux de survie entre la ponte et l’éclosion est de plus de 50%, proche de ce qui se passe naturellement, selon le FWS. Souvenir de la naissance Ce vaste déménagement n’est pas allé jusqu’au bout : 300 nids sont restés sur leur lieu de ponte suite à l’amélioration de la situation dans le Golfe du Mexique après le colmatage du puits sous-marin. Si les œufs ont été ramassés à un stade avancé d l’incubation, c’est aussi pour laisser plus de temps aux futures tortues de mémoriser leur lieu de naissance. C’est en effet sur la plage de leur éclosion que les tortues adultes reviennent pour se reproduire. Des recherches ont suggéré que cette connaissance était en grande partie génétique. Les biologistes du FWS espèrent donc que les tortues lâchées en Floride retourneront bien sur les côtes du Golfe du Mexique pour pondre à leur tour. Affaire à suivre. C.D. Sciences et Avenir.fr 15/10/10 Source
  8. Max|mum-leterrarium

    Tapis chauffant

    Bonjour YannJ et bienvenue sur leterrarium! Pour répondre à ta question, il y a plusieurs écoles de pensées à ce sujet mais je vais te conseiller ma façon de penser en t'expliquant le pourquoi je pense ainsi. Tout d'abord, il faut savoir que le tapis ne chauffe pas beaucoup, mais chauffe quand même le sol. La lampe sert, quant à elle, à réchauffer l'air ambiant du terrarium. Personnellement, je place chacun à l'opposé. Pourquoi? Tout simplement parce que le tapis va chauffer le sol d'un côté, ce qui permettra au serpent d'aller se chauffer la bédaine pour s'aider à digérer après un repas. Ce côté du terrarium sera chauffé à environ 22 ou 24 degré seulement puisque le tapis ne chauffe pas plus que ça. Température qui est parfaite pour un côté frais du terrarium. La lampe s'occupera de chauffer l'air de l'autre côté à la température désiré. Donc il est plus facile de créer les deux côtés (frais et chaud) du terrarium. En faisant ça ainsi, très peu de chance que la température descende trop basse. J'espère que ça répond adéquatement à ta question! Bonne chance
  9. Je devais être présent pour aller fouiner et prendre quelques photos mais finalement, j'ai un empêchement. Si quelqu'un passe par là, vous pouvez nous gâter de quelques photos.
  10. Un boa dans son plafond Une habitante de Villers-sur-Lesse, intriguée par des bruits dans son plafond, a eu la surprise d'y découvrir un boa de 2m50 mercredi soir. La police et les pompiers sont intervenus sur place. Il est alors apparu que l'animal provenait de chez un voisin détenant illégalement, sans permis d'environnement, 2 autres animaux: un boa de 2 mètres et un python d'1,50m. L'association Natuur Hulp Centrum était présente lors de la visite domiciliaire, les 3 animaux lui ont été remis. Un PV a été rédigé et le parquet a ordonné la confiscation des 2 animaux. (belga) Source
  11. Disparitions accrues et inquiétantes des serpents Selon une récente étude, plusieurs espèces communes sont en net déclin dans tous les pays où elles ont été recensées : en France, en Italie, au Royaume-Uni, au Nigeria, en Australie et sans doute dans d’autres régions du monde. En mettant en commun les résultats d’études antérieures sur dix-sept espèces de serpents, les chercheurs ont tout d’abord constaté, pour onze d’entre elles, une diminution continue des populations de 1998 à 2002. Sous la coordination de Christopher Reading, du Centre pour l’écologie et l’hydrologie de Wallingford (Royaume-Uni), ils ont ensuite prolongé ce travail sur le terrain. Ainsi le déclin des onze espèces déjà fragilisées s’est confirmé jusqu’en 2009, date des dernières observations. Ces résultats sont d’autant plus alarmants que les serpents, d’ordinaire, résistent plutôt bien aux coups durs. « En France, pour exemple, la canicule estivale de 2003 n’a eu sur eux aucun impact particulier. Ce sont des animaux qui vivent relativement longtemps (dix à vingt années), qui peuvent encaisser des hivers rigoureux, supporter les polluants comme les changements de régime alimentaire. Si des espèces de ce genre se mettent à perdre leurs effectifs, il y a vraiment de quoi s’inquiéter. » détaille Xavier Bonnet, herpétologiste au Centre d’études biologiques de Chizé (Deux-Sèvres, France). Notamment pour la qualité de leur habitat, dont la dégradation constitue la principale cause de leur raréfaction, d’après les chercheurs. Pour preuve, les quatre espèces étudiées en France, dans la région Poitou-Charentes dont la vipère aspic (Vipera aspis), la couleuvre vert et jaune (Hierophis viridiflavus), la couleuvre à collier et la couleuvre d’Esculape (Elaphe longissima), on observe un contraste des effectifs de serpents entre aires protégées et non protégées. Dans les aires protégées, incluses dans la forêt domaniale de Chizé (France), les populations sont restées stables au fil des ans alors que dans les aires non protégées, le déclin est systématique. Pour se camoufler et se nourrir dans de bonnes conditions, les serpents ont besoin de zones denses en végétation et de proies en abondance, ces deux éléments manquent de plus en plus dans les paysages ruraux. Les auteurs de l’étude soulignent que certaines populations se sont également appauvries dans des zones préservées, ce qui laisse penser que la destruction de l’habitat n’est pas la seule cause de ce déclin. Pour exemple, la « Vipera aspis », coutumière des régions tempérées et méditerranéennes, très commune dans la majeure partie de la France et dans toute l’Italie, est peu regardante sur son habitat : les haies, les broussailles, les anciennes carrières ou les paysages montagneux, tout va à cette vipère, pourvu que la végétation soit buissonnante. Si les conditions deviennent telles que les populations de « Vipera aspis » se raréfient, cela signifie que de nombreuses autres espèces, moins adaptables sont aussi menacées. Source
  12. Une vipère livrée avec le canapé Une belle frousse, heureusement sans conséquence,quand le reptile est sorti du canapé tout neuf. « On nous a livré notre canapé, le 30 septembre. Ma belle-fille est passée, peu après, avec son bébé d'un mois. Nous étions assises dessus, à discuter. Tranquilles. » Rétrospectivement, Gaétane Hélary, qui habite un appartement aux Sorinières, dans la banlieue nantaise, en frémit d'horreur. Car le lendemain, Yannick, son mari, voit une vipère d'une cinquantaine de centimètres sortir du canapé en tissu et se réfugier sous un meuble. Il fait rentrer Roméo, le chat de la famille. Peu après, il découvre « la vipère, dressée, prête à attaquer, face à face avec Roméo qui grognait très fort ». Yannick Hélary prend un bâton, blesse le reptile à la tête et l'enferme sous un saladier en verre. Le couple appelle le Muséum d'histoire naturelle de Nantes, qui conseille de se « débarrasser du canapé, si jamais il y avait un nid » ! En venant chercher le reptile mort, le Muséum confirme qu'il s'agit bien d'une vipère « européenne ». Gaétane Hélary se rend au centre Leclerc de Basse-Goulaine, où le couple avait acheté le canapé. Elle montre des photos de la vipère. Deux employés viennent récupérer le meuble et découvrent un trou, dessous : « C'est sûrement par là qu'elle est passée. » Le magasin Leclerc a prévenu « tout de suite le fabricant en Pologne », explique son directeur, Pierre Laury. « Mais il est vraisemblable que la vipère s'est introduite alors que le canapé était dans nos entrepôts. Nous avons tout contrôlé et nous allons faire venir une entreprise spécialisée dans les nuisibles. » Le magasin va rembourser le canapé (700 €) et ajouter 100 € de dédommagement. « Il n'y a pas eu mort d'homme, c'est vrai, lâche Gaétane Hélary. Mais c'est quand même traumatisant. » Photo d'illustration CC Billy Lindblom Anne-Lise FLEURY. Ouest-France Source
  13. Est-ce que tu chauffes le terrarium? À combien le maintien tu?
  14. Des tortues en danger de disparition saisies en Thaïlande Les autorités de l’aéroport international Suvarnabhumi de Bangkok, en Thaïlande ont saisi ce samedi 9 octobre un transfert illicite de 217 tortues radiées et une tortue à soc, portant ainsi en un peu plus d’une semaine un deuxième coup aux trafiquants tentent d’introduire dans ce pays des espèces rares et menacées. Les agents du Bureau d’investigation et de répression des douanes royales thaïlandaises et les autorités de la CITES à l’aéroport ont retrouvé sur le carrousel à bagages deux valises où avaient été cachées des tortues considérées en danger critique d’extinction. Ils ont également arrêté l’homme malgache de 39 ans qui avait transporté les valises de Madagascar à Bangkok, en passant par Nairobi sur un vol Kenya Airlines. Au moins quatre des tortues radiées ont été retrouvées mortes au moment de la saisie. Les décès de tortues et les faits de contrebande sont tragiques en eux-mêmes, mais la situation aurait pu être encore pire si les autorités thaïlandaises n’avaient pas agi de façon rapide. Toutes les espèces de tortue de Madagascar sont gravement menacées, avec la capture illégale pour la revente des animaux comme cause principale de leur déclin. La saisie de samedi fait partie de plusieurs grandes captures similaires que la région a connu cette année. Il y a un peu plus d’une semaine, les mêmes autorités thaïlandaises ont arrêté un pakistanais de 44 ans qui tentait d’introduire clandestinement dans le pays 1440 tortues étoilées indiennes et un crocodile Gavial emballés dans quatre valises. C’était la deuxième fois que cet individu était arrêté. En Juin, des centaines d’exemplaires de la même espèce rare de Madagascar avaient été trouvés dans une valise à l’aéroport international de Kuala Lumpur, tandis ce qu’en Juillet deux femmes malgaches ont été emprisonnées pour la contrebande de centaines de tortues en Malaisie. Le commerce des tortues est dévastateur des populations sauvages. Une étude récente du WWF révèle qu’au moins un millier de tortues terrestres sont illégalement extraites du sud de Madagascar chaque semaine. « Les tortues à soc en particulier, sont extrêmement vulnérables et le commerce illicite a réduit leur nombre à quelques centaines », a déclaré Chris R. Shepherd, directeur régional adjoint de TRAFFIC Asie du Sud-Est. La longue exploitation de l’espèce et la perte d’habitat ont réduit sa zone de présence à cinq zones isolées représentant seulement 12 kilomètres carrés. En conséquence, on dénombre seulement environ 200 animaux sauvages de ce type. Les deux espèces de tortues saisies par les autorités thaïlandaises sont inscrites à l’Annexe I de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore (CITES) et sont interdits de commerce international. Source
  15. Une tortue s’échoue sur la plage Hier matin, un promeneur a fait une drôle de découverte sur la plage du Miroir d’eau à Port-Leucate : une tortue s’était échouée. Sans doute déposée par la forte houle des jours précédents. Malheureusement, l’animal était décédé. Selon les premières constatations, la tortue mesurait environ 70 cm de long. Une telle trouvaille est d’ailleurs très rare dans ce secteur. Dans l’après-midi, l’animal devait être transporté vers Perpignan pour être autopsié. Source
  16. Marcq-en-Baroeul : une mygale hanterait une résidence C'est une habitante de la résidence Modigliani à Marcq-en-Barœul qui a donné l'alerte en photographiant la bête : ce qui a été identifié comme une mygale, roderait depuis plusieurs jours dans le bâtiment. Une désinfection a lieu demain matin. Elle aurait été photographiée il y a un peu plus d'une semaine, grimpant sur l'une des portes de l'ascenseur. Et depuis... plus rien. Du coup, l'inquiétude grandit chez les habitants de la résidence Modigliani, rue Robert Shuman à Marcq-en-Barœul. Une première lettre, accompagnée du joli portrait de ce qui a été identifié comme une mygale, avait été distribuée pour demander à l'éventuel propriétaire de la récupérer. Mais personne ne s'est manifesté. « Le jour où j'ai découvert ce courrier, j'ai préféré dormir chez une amie », témoigne Sébastien, un infirmier urgentiste qui est locataire au premier étage. « Aujourd'hui, on n'est pas tranquille, c'est angoissant » , ajoute-t-il. // Angoissant, car elle peut se trouver n'importe où. Dans les parties communes ou pire, à l'intérieur des appartements.« Ce n'est pas que je sois arachnophobe, sourit Sébastien. Mais on sait que ce genre d'araignée peut nous être fatal. En plus il y a des enfants ici, et une crèche juste à côté. » La situation est arrivée à un point tel, que l'agence Descampiaux Dudicourt, le syndic de la résidence, a décidé d'agir. Une désinfection aura lieu ce matin entre 9 h et 13h avec évacuation de tous les habitants. Seules les parties communes sont concernées. Pour le reste, c'est au frais des habitants. Des pièges sont notamment disponibles pour 7, 50 euros par pièce de moins de 20 m². Ce qui fait grincer quelques dents. Du côté de l'agence Descampiaux Dudicourt, c'est silence radio. « La direction doit être contactée par courrier », a-t-on fait savoir. Et en plus de mettre la main à la poche, certains s'inquiètent de l'efficacité d'une telle mesure. « On va désinfecter, et après ? Cela va-t-il vraiment tuer la mygale ? On ne va pas en être débarrassé », fulmine Sébastien, qui pointe également du doigt un manque d'information sur les produits chimiques et nocifs qui seront utilisés. Au sein de la résidence Modigiliani, d'autres préfèrent le prendre avec philosophie : « si ça se trouve, elle est déjà partie, on la refera peut-être surface dans trois mois », lâche une habitante. D'autres pensent même à un simple canular. Source
  17. Il faut identifier le problème exact et le règler.
  18. Moi c'était il y a deux jours mais merci quand même
  19. Il peut y avoir plusieurs option en fait. Il se peut que tu donnes des proies trop volumineuses à ton serpent ce qui fait qu'il n'est pas capable de digérer donc régurgite. Il est possible aussi que tu le manipules trop ou qu'il y a trop de mouvements autour de son terrarium alors trop stressé, il régurgite. Le manipules tu après l'avoir nourrit ou dans les 48 heures suivants le repas? Il est aussi possible que ton terrarium soit trop froid ce qui nuit à sa digestion, donc il régurgite!
  20. Nom scientifique : Charina bottae Nom français : Boa caoutchouc Nom anglais : Rubber boa Origine : Ouest des États-Unis et sud-ouest du Canada Biotope : Semi-aride Température : 21 à 26°C Hygrométrie : 40 à 50% Moeurs : Terrestre à tendance fouisseur et nocturne Taille adulte : 35 à 75 cm Longévité : Moyenne de 15 ans mais peut en atteindre 20. Nourriture : Rongeurs. Photo emprunté au site http://rydberg.biology.colostate.edu/ Lorsque j'ai écris cette fiche, je me suis une fois de plus écrié en disant mais pourquoi caoutchouc prend un c à la fin. C'est alors que la dame a répondu mais parce que ça fait plus beau. C'est le pourquoi j'ai donc répondu pourquoi pas un t ou d alors? Mais revenons à nos moutons. Le boa caoutchouc est le plus nordiques boidae. C'est le pourquoi nous le maintenons à des températures qui semblent fraîches. C'est aussi l'un des plus petits boas qui existe. C'est le pourquoi que plusieurs se tournent vers lui. Par contre, il n'est pas très répandu puisque plusieurs le trouvent répugnant. Il s'agit d'une espèce très docile dont les morsures se font rarement.
  21. Félicitation pour l'acquisition. Pour ce qui est de ta femelle, il s'agit officiellement d'une amélanique ça c'est certain. Pour ce qui est de la phase particulière, c'est discutable. Pour ma part, je te dirais que c'est une amélanique comportant beaucoup de blanc effectivement. Les phases des serpents des blés restent discutable selon moi puisqu'il s'agit d'un seul et unique gêne en bout de ligne. Si on parle du candy cane, il s'agit d'une reproduction sélective dans le but d'obtenir le plus de blanc possible dans le serpent. Si on parle du sunglow, il s'agit d'une reproduction sélective dans le but d'éliminer le plus de blanc possible dans le serpent. Il y a le reverse okeetee qui provient à la base de l'amélanisme provenant d'un spécimen du okeetee hunt club où les serpents des blés originaires de cet endroit ont de larges bandes noires autour des taches donc la forme albinos aura des larges bandes blanches autour des taches. Beaucoup de serpents sont nommés reverse okeetee mais n'en sont pas réellement de nos jours. J'ai déjà observé chez des serpents amélaniques qui se sont blessé que les écailles blessées réapparaissent sous l'aspect de coloration blanche. Selon moi, tu as une belle femelle amélanique comportant beaucoup de blanc.
  22. Ni un, ni l'autre! Mais la femme en question a exigé que je vende toutes mes mygales mais elle tolère mes scorpions.
  23. Tu parles de l'animalerie Safari au 10/30. On la connait pas mal tous et on a membres des employés de l'animalerie sur le forum. La question n'était pas de trouver l'animalerie la plus hot non plus. Je me promène d'animalerie en animalerie couramment donc j'en ai vu beaucoup. C'est juste que la gazette animal a prit le temps de publiciser l'ouverture de cette animalerie donc je me demandais si ça valait la peine d'y aller puisque je pars quand même de Québec pour aller à Montréal.
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