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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Une photosynthèse artificielle prometteuse inspirée... d'une grenouille Des ingénieurs américains veulent imiter les végétaux et même faire mieux qu'eux en réalisant une photosynthèse artificielle très efficace, capable d'utiliser l'énergie solaire pour produire des biocarburants ou capter du carbone. Leur secret ? Une curieuse écume inspirée d'une grenouille, dans laquelle la photosynthèse se réalise en s’affranchissant de certaines contraintes des végétaux. La vie n’a pas attendu l’homme et ses panneaux photovoltaïques pour exploiter l’énergie solaire. Les organismes ont élaboré une chaîne de réactions biochimiques pour transformer l’énergie du Soleil et le CO2 en énergie chimique sous la forme de sucres. Cette photosynthèse est aujourd’hui utilisée par l’homme pour produire nourriture, matières premières et énergie. Grâce à une grenouille, les ingénieurs de l'Université de Cincinnati viennent de trouver un moyen pour exploiter cette photosynthèse mais sans végétaux. Ce moyen est une écume capable de photosynthèse artificielle. « L’avantage de notre système comparé aux plantes et aux algues est que toute l’énergie solaire capturée est convertie en sucres, alors que ces organismes doivent utiliser une grande partie de l’énergie pour leurs autres fonctions qui les maintiennent en vie et leur permettent de se reproduire, explique David Wendell. En outre, notre écume n’a pas besoin de sol, elle n’entre donc pas en concurrence avec la production de nourriture, et elle peut être utilisée dans un environnement très riche en carbone, comme les rejets d’une centrale à charbon, contrairement à un grand nombre de systèmes photosynthétiques naturels. » Pour parvenir à ce tour de force biotechnologique, David Wendell, Jacob Todd et Dean Carlo Montemagno se sont inspirés du nid d’écume produit par une grenouille semi-tropicale. Ils ont ainsi pu concentrer des enzymes issues de végétaux, de bactéries et de champignons dans une structure, l’écume, très perméable à la lumière et l’air. Ignorant les besoins vitaux des végétaux ainsi que leur inhibition par les fortes concentrations de CO2, la photosynthèse artificielle de cette écume affiche un rendement avoisinant les 96%. Des bulles protectrices converties en microcentrale énergétique La structure de cette écume, association de bulles transparentes et remplies d’air, assure aux associations enzymatiques et aux vésicules lipidiques concentrées dans des canaux microscopiques un large accès à la lumière et au dioxyde de carbone. Ces micro-canaux appelés bords de Plateau sont formés par la rencontre le long d’une ligne commune de trois faces de bulles. La grenouille de Tungara (Engystomops pustulosus) n’a pas seulement inspiré les ingénieurs de l'Université de Cincinnati, comme ils l’expliquent dans la revue Nano Letters, elle leur a aussi fourni la protéine surfactante nécessaire à la création de l’écume. Cette protéine, la Ranaspumin-2, possède en effet les propriétés tensioactives moussantes qui favorisent la formation et l’association de bulles en une écume. A l’origine, cette écume est produite pendant l’accouplement pour protéger les œufs de la déshydratation, des rayonnements nocifs du soleil, des variations de température et des pathogènes. La prochaine étape de développement technologique est de passer à une échelle industrielle qui permettrait, par exemple, de capturer le carbone des centrales à charbon. Cela implique de développer une technique pour extraire d’un côté les lipides destinés à la production de biodiesel, et de l’autre les éléments nécessaires à la régénération de l’écume. Selon Dean Carlo Montemagno, la technologie mise au point avec cette écume ouverte une porte sur la création de nouveaux matériaux intégrant des processus du vivant, pour la production de biocarburant mais aussi pour d’autres buts. Source
  2. La Fondation de la faune du Québec - En cette année internationale de la biodiversité, vingt-deux nouveaux projets pour aider notre faune en danger Québec, le 15 mars 2010. La Fondation de la faune du Québec est heureuse d’annoncer qu’elle soutiendra vingt-deux nouveaux projets au moyen de son programme Faune en danger, qui finance les initiatives de protection et de mise en valeur des habitats des espèces fauniques menacées ou vulnérables du Québec. Au cours des trois dernières années, près de 10 % de l’aide accordée par la Fondation de la faune pour la réalisation de projets fauniques portait sur la faune en danger, notamment grâce à la participation de partenaires financiers privés dont l’Association minière du Québec, Rio Tinto Alcan, la Société des alcools du Québec et les Brasseurs RJ. Mentionnons qu’un montant total de 262 596 $ a été octroyé à 21 promoteurs répartis dans plus de dix régions administratives du Québec pour l’année 2010. Cette aide financière leur permettra de contribuer au rétablissement de seize espèces fauniques désignées menacées ou vulnérables en protégeant, en améliorant, en restaurant ou en faisant connaître les habitats qu’elles occupent. Une implication des plus importantes particulièrement en cette année internationale de la biodiversité. Soulignons les dix projets consacrés à quatre espèces de tortues, soit la tortue géographique, la tortue des bois, la tortue mouchetée et la tortue-molle à épines. La plus terrestre des tortues qui fréquentent nos contrées, la tortue des bois, fait l’objet à elle seule de plus de la moitié de ces projets, qui ont pour but la conservation volontaire d’habitats essentiels pour ce reptile désigné vulnérable au Québec. Aussi, quatre projets se consacrent au faucon pèlerin en misant sur la conservation volontaire des sites sur lesquels il niche, la surveillance des nids ou l’inventaire des sites fréquentés par ce rapace menacé. Finalement, un projet d’envergure, piloté par Nature-Action Québec, permettra l’acquisition d'une propriété boisée de 33 hectares qui abrite la rainette faux-grillon de l'Ouest, une espèce désignée vulnérable au Québec. Par cette acquisition, on souhaite conserver et mettre en valeur le bois de Brossard, un habitat important pour cette rainette. Comme le souligne le président-directeur général de la Fondation, M. André Martin, « par le programme Faune en danger, la Fondation souhaite appuyer les nombreux acteurs locaux qui, grâce à leurs efforts et leur dévouement, contribuent de façon importante à préserver la diversité biologique, en protégeant notre patrimoine naturel le plus menacé ». La Fondation de la faune du Québec a pour mission de promouvoir la conservation et la mise en valeur de la faune et de ses habitats. C’est pourquoi elle soutient depuis 1987 plus de 1 000 organismes qui protègent cette richesse unique partout au Québec, créant ainsi un véritable mouvement faunique. Source
  3. Je suis tombé sur ce site par hasard et je trouve intéressant de vous le partager. http://www.mapaq.gouv.qc.ca/NR/rdonlyres/74898D9F-5A6A-46AA-BA13-2D6DDA238799/0/Maladiesinfectieusesdesamphibiensetbiosecurite.pdf
  4. La détection infrarouge mieux comprise Des scientifiques ont montré pour la première fois comment des serpents parviennent à repérer dans l'obscurité la chaleur dégagée par une souris à un mètre de distance, une faculté qui leur permet de chasser la nuit, dans une étude parue lundi dans la revue Nature. La présence de fossettes sensorielles qui font office de thermorécepteurs chez les crotales, les boas et les pythons entre les yeux et les narines est connue depuis longtemps : cet organe leur permet de détecter du rayonnement infrarouge, même de très faible intensité, dans leur environnement. Le crotale du Texas (Crotalus atrox), ou serpent à sonnettes, présent dans le nord du Mexique et le sud-ouest des Etats-Unis, a pour sa part une capacité de détecter les sources de chaleur dix fois plus puissante que les autres espèces. Même si on lui recouvre les yeux, ce serpent reste capable de suivre et de tuer sa proie. L'étude publiée par David Julius, un chercheur en biologie moléculaire à l'Université de Californie à San Francisco, montre comment ces reptiles traduisent les signaux infrarouges en un influx nerveux qui devient un véritable sixième sens. «Le rayonnement infrarouge est identifié comme une source de chaleur à l'intérieur des fossettes sensorielles. Nous avons trouvé la molécule» responsable de ce processus, a déclaré à l'AFP M. Julius. Une membrane très fine à l'intérieur des fossettes s'échauffe au contact du rayonnement infrarouge. «Le tissu chauffé transmet alors un signal aux fibres nerveuses pour activer les récepteurs que nous avons identifiés» et qui sont appelés TRPA1, précise le scientifique. «La molécule que nous avons trouvée appartient à une famille de récepteurs servant à signaler la douleur chez les mammifères», détaille encore M. Julius. Chez l'homme, un mécanisme équivalent est appelé «récepteur wasabi», d'après le nom du condiment japonais à base de raifort, que notre organisme utilise pour repérer les substances irritantes appartenant à la famille de la moutarde. Mais chez l'espèce humaine, ce mécanisme n'est pas activé par la chaleur. Source
  5. Un serpent dans les sanitaires Un Laonnois s'est retrouvé en compagnie d'un serpent alors qu'il se trouvait dans les WC d'un ami. Récit d'une histoire à faire froid dans le dos. «J'ÉTAIS assis au petit coin. A un moment, j'ai senti quelque chose, comme une présence derrière ma jambe. Au moment où j'ai voulu mettre ma main, j'ai jeté un coup d'œil. Là, je vois un serpent, dont la tête n'est qu'à quelques centimètres de ma cheville. Là, j'ai fait un bond. Aux Jeux Olympiques, j'en aurai battu pas mal ! » Ce début de matinée, Christophe Renaut s'en souviendra. Hier, à l'appartement n° 9 du 35, rue Nestor-Gréhan, il est chez son ami Jean-Paul Bouzy. Contraint d'aller soulager une naturelle envie, il se retrouve donc en drôle de compagnie. « Petit, j'ai vu ma cousine être mordue par une vipère. J'avais été obligé de la porter alors qu'elle souffrait. Depuis ce jour, les serpents et moi… » Parti sous la douche Une fois la stupeur passée, l'homme a averti la police municipale, qui était en intervention dans l'immeuble. « J'ai eu le temps de voir la tête, explique Emmanuel Gueremy, chef des policiers municipaux, et j'estime le diamètre de l'animal de 2 à 2,5 cm. Mais nous n'avons pas pu l'attraper. » Christophe et Jean-Paul Bouzy (le locataire des lieux qu'il a bien sûr immédiatement prévenu), l'ont eux vu un peu plus longtemps. « J'ai eu le temps de voir une trentaine de centimètres avant qu'il ne disparaisse en rampant sur les tuyaux qui filent sous le bac de douche. » L'équipe des pompiers n'a rien pu faire non plus. D'où vient l'animal ? « J'ai eu une couleuvre que je nourrissais de souris, explique Jean-Paul, mais je l'ai donnée à un ami il y a plus d'un an… À quelqu'un qui n'habite pas la résidence. » Et un serpent n'est pas comme un chien, capable d'effectuer plusieurs dizaines de kilomètres pour retrouver son maître. « On se connaît tous ici et je ne vois pas qui pourrait en avoir un », expliquent les deux amis. Hier matin, deux agents de l'Opal ont visité chaque appartement de l'immeuble. À la fois pour prévenir de la présence de ce « nouvel animal de compagnie », en vogue depuis quelques années, mais aussi pour informer les locataires d'être sur les gardes, et de prévenir les pompiers en cas de nouvelle visite inopportune… L'année passée, des mygales avaient semé la panique dans une autre résidence de la ville préfecture. Un homme avait oublié de refermer le vivarium où il élevait ces animaux. Pour le serpent de la résidence Montreuil, l'explication est pour l'instant… fuyante. Stéphane MASSÉ smasse@journal-lunion.fr Source
  6. C'était quoi l'idée de laisser tes lumières allumées sur ton char aussi...
  7. Bonjour à tous, Je vous présente la réunion de l'AHQ cette fois tout simplement parce qu'avec des gens de l'AHVR, nous allons faire une visite à la réunion de ce mois-ci. Nous faisons le co-voiturage pour monter afin d'économiser au niveau de l'essence. Il nous reste encore de la place donc si certains d'entre vous veux se joindre à nous pour monter à Québec, juste à me faire signe. Maintenant, voici la présentation de la réunion. La réunion se tiendra au même endroit que la normale, soit au centre monseigneur bouffard au 680 rue Raoul-jobin soit anciennement st-thérèse(sur le coin de Marie de l'incarnation) dans la salle 100 (la grande salle) de 20 heures à 22 heures. Présentation : Génétique 2 Par Mathieu Naud La tortue des bois, Par Mathieu (heummmm moi et les noms de familles) (Papillon) + Présentation du projet de Michel Leblanc, sur la FRECQ
  8. Nom scientifique : Tupinambis merianae Nom français : Téju noir et blanc d'Argentine Nom anglais : Argentine black and white tegu Origine : Sud du Brésil, Bolivie, Uraguay et Argentine dans la partie la plus orientale, dans les région de Missiones, de Chacos et jusqu'à Buenos Aires et Pampas Biotope : Semi-aride Température : 30 à 35°C Hygrométrie : 50 à 60% Moeurs : Terrestre à tendance fouisseur et diurne Taille adulte : 80 à 120 cm Longévité : 15 ans Nourriture : Insectes, rongeurs, végétaux et fruits mûrs Voici un lézard dont chaque personne qui le prend dans les mains tombe littéralement amoureux de l'espèce. Les téjus sont particuliers comme lézards. Ce sont des grosses bêtes donc il faut tout de même rester méfiant puisqu'une morsure d'un spécimen adulte est l'équivalent à celle d'un gros chien. Ils sont généralement calme. Les téju noir et blanc sont de bons mangeurs habituellement.
  9. Ce dimanche aura lieu le show de vente de Pointe-Claire. Je ne sais pas encore si je vais pouvoir faire acte de présence mais je vous le mets ici pour vous le rappeller au cas où certains aurait quelques achats à faire ou tout simplement un besoin d'aller jaser avec d'autres passionnés. Je risque de le savoir à la dernière minute si on se voit là bas ou non. Bella, je te tiens au courant promis si j'y vais.
  10. Je t'ai attendu à Montréal et tu n'es jamais venu donc devrait-on vraiment t'attendre cette fois?
  11. Ce n'est pas la première fois qu'on me parle de cas du genre et qu'il n'arrive rien. Pourtant, on m'a souvent dit que les reptiles étaient pas mal comme les oiseaux. Les oiseaux sont pourtant très fragiles au niveau de la fumée.
  12. Tu pourras venir faire un tour à St-Jean-sur-Richelieu au pire!
  13. À la découverte de la tortue des bois Le Mouvement vert de la Mauricie vient de mettre en ligne un jeu interactif portant sur la tortue des bois, une espèce précaire au Québec en raison de la disparition graduelle de son habitat. Abondamment illustré de photos et de petits vidéoclips, ce jeu reconstitue le parcours de 10 élèves de la région qui, avec deux enseignants, deux biologistes, trois caméscopes, quatre caméras, cinq lunettes d'approche et des cahiers de notes, sont partis à la découverte de cet animal passionnant et fragile ici même, en Mauricie. Le joueur est accompagné, dans son exploration, par la mascotte Samsara qui l'aide tout au long du parcours des questions-réponses. D'abord conçu pour les élèves du troisième cycle du primaire, le jeu intéressera sûrement tous les amants de la nature, jeunes et jeunes de coeur. On y trouve en effet une foule d'informations sur les habitudes de vie et de reproduction de la tortue des bois, une des huit espèces de tortues au Québec. Les vidéos et photos ont été prises sur des sites de ponte protégés, dans la région de Shawinigan. On y apprend que cette espèce est considérée comme susceptible d'être désignée vulnérable au Québec et désignée menacée au Canada par le COSEPAC. Les aulnaies représentent en effet le principal garde-manger des tortues des bois. Les secteurs où poussent les aulnaies, près des rivières, constituent aussi un milieu de vie idéal pour elles puisque le soleil y pénètre et les réchauffe au printemps. Le jeu, réalisé principalement en collaboration avec la Fondation de la Faune du Québec, Parcs Canada, le Service canadien de la Faune et le Programme d'intendance de l'habitat des espèces en péril, est offert gratuitement à l'adresse suivante: www.mouvementvert.com. Depuis quelques années déjà, le Mouvement vert Mauricie et ses partenaires protègent l'habitat de la tortue des bois par des actions de sensibilisation auprès des propriétaires de boisés et riverains, des écoles et du grand public. Source
  14. Un python met des voleurs aux arrêts Tous les jours pour le voleur, un jour pour le propriétaire, dit l'adage. Pour cette histoire qui relève de l'ingéniosité de M. William Brown, l'on peut dire qu'il faut souvent user de son intelligence pour se débarrasser des visiteurs animés de desseins malsains. Ainsi, cet homme d'affaires(?) libérien, venu chercher fortune dans une extraction minière de la cité des Oignons, était de tout temps victime de visites nocturnes. Et à chaque fois, à deux reprises, les quidams ont réussi à emporter d'énormes butins sans être inquiétés par le gardien et les chiens. Toujours absent de son domicile pour affaires, il ne savait plus à quel saint se vouer pour protéger ses biens ( ?). Alors, lui vint l'ingénieuse idée de trouver des reptiles pour les mettre dans sa chambre. Et, un de ses amis de lui conseiller d'élever des pythons. Ayant trouvé cette idée géniale, il va acheter un python, long de trois (03) mètres, qu'il dépose discrètement dans sa chambre à l'insu de son gardien. Naturellement, il devrait trouver de quoi nourrir ce reptile, même en son absence. Ce qu'il fît. Un jour, alors qu'il était parti pour trois jours, il reçut la visite de personnes indésirables et indélicates qui ont poussé l'audace d'entrer jusque dans sa chambre. Le bruit qu'ils faisaient a tiré le reptile de son sommeil. La lampe torche a fait scintiller une lumière dans la pénombre. Voulant s'approcher, ils virent le python et découvre sa forme monumentale. Peur panique ! Débandade dans la pénombre. L'un des voleurs trébuche, chute et tombe de tout son long sur le python. Tremblotant, il va engager un dialogue direct avec le reptile, selon les témoignages du gardien des lieux : " Pardon chef, je n'ai rien fait. C'est mon ami qui m'a demandé de venir l'accompagner. Il a fui. Je vais lui demander de venir dire la vérité ". Ainsi maîtrisé, le voleur ira le lendemain montrer les traces de son complice qui court toujours. N'GUESSAN DENIS Source
  15. tu es mieux parce que j'ai dressé mon varan à se nourrir de doigts donc je pourrai me vanger. J'ai des preuves à l'appui même.
  16. non non y'a des bonnes chances que je puisse t'accompagner !! Moi j'ai besoin de positif!
  17. Ah ok! Je me magasinais une claque de ta part jeune demoiselle violente!
  18. Les secrets de la vision thermique des serpents Un récepteur sensible à la graine de moutarde ou au wasabi chez les mammifères permet aux serpents d'avoir une vision infrarouge la nuit. Certains serpents, comme les crotales, boas ou pythons, ont une excellente vision nocturne grâce à un système sensible à la température –et non à la lumière- un peu comme une caméra thermique. La détection des radiations infrarouges permet à ces prédateurs de frapper leur proie à des endroits précis, même dans l’obscurité. Des chercheurs ont découvert qu’un récepteur sensible chez la souris à des substances irritantes –comme la moutarde, la nicotine ou des gaz toxiques- est impliqué dans la vision thermique des serpents. David Julius (University of California San Francisco, Etats-Unis) et ses collègues ont mené meurs travaux sur le crotale diamantin, répondant au doux nom latin de Crotalus atrox, réputé pour la qualité de sa détection des infrarouges. Les membranes sensibles aux infrarouges sont situées dans de petites fossettes sur la tête des serpents. Ce système thermosensible permet au reptile de distinguer la chaleur de l’animal en mouvement de celle de son environnement. Lorsque les radiations infrarouges réchauffent la membrane des fossettes et que la température atteint un certain seuil, le récepteur TRPA1 ouvre un petit canal de transmission des ions, permettant aux cellules nerveuses de générer un signal électrique, expliquent Julius et ses collègue dans la revue Nature (publication en ligne du 14 mars). Ces travaux confirment que la vision nocturne de ces serpents ne passe que par la détection thermique et non par la détection de photons. D’après David Julius, qui avait découvert la sensibilité du TRPA1 aux substances irritantes chez la souris, l’image formée chez le serpent se rapproche de celle que l’on peut obtenir avec une caméra thermique. Les fossettes seraient sensibles à une température d’environ 25°C à un mètre de distance pour un corps en déplacement, ce qui correspond à la chaleur émise par une souris ou un lapin. C.D. Sciences-et-Avenir.com 15/03/10 Source
  19. Si je l'amène, je dois laisser une autre bête ici. J'ai quand même qu'un cavalier. Quoi que je peux prendre un terrarium plus petit pour lui pour la journée au pire.
  20. hahahahaha toi je t'enmerde! Tu es toujours le premier à parler d'un changement. Non, sans farce, sans rancune! Je pense laisser quelques jours question de voir et après prendre une décision.
  21. Voici que les changements de couleurs sont commencé. Je suis ouvert aux commentaires et suggestions donc n'hésitez pas à les communiquer.
  22. haha déjà que je suis seul à mon kiosque jusqu'à présent donc on verra si quelqu'un s'ajoute avec moi finalement ou non
  23. Max|mum-leterrarium

    show???

    Si ce show a lieu parce que à ce que j'ai su, il a conflit au niveau de l'organisation.
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