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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Bonjour à tous, Ce message est pour vous aviser que nous avons un nouveau modérateur dans notre équipe. Il s'agit de Capitaine dragon qui sera en charge de la section commerce. Avec ce nick name, vous aurez donc deviné qu'il s'agit du propriétaire de la boutique portant le même nom à Montréal. Souhaitons lui la bienvenue dans l'équipe! Bienvenue
  2. L'atrazine transforme les grenouilles mâles en castrats ou en femelles L’atrazine est un pesticide interdit en Europe mais très utilisé aux Etat-Unis. Un chercheur américain démontre une nouvelle fois la nocivité de cette molécule en exposant son impact sur les batraciens mâles. L’atrazine les castre et parfois les transforme même en femelle. Ce qui n’est pas sans conséquence sur la survie des populations de grenouilles. L’atrazine est un herbicide et pesticide très commun utilisé par l’agriculture dans plus de 80 pays dans le monde, dont les Etats-Unis qui en consomment plus de 36.000 tonnes par an. Cependant, son utilisation a été interdite en France en 2003 et dans l’Union européenne depuis 2004, en raison des suspicions sur ses effets sur l’environnement et de son possible caractère cancérigène. Aux Etats-Unis, le professeur Tyrone B. Hayes de l’Université de Californie à Berkeley étudie depuis longtemps les effets de l’atrazine sur l’environnement. En 2002, il avait démontré que des concentrations de 0,1 partie par milliard (ppb), soit 30 fois la dose limite autorisée dans l’eau potable, transformaient les têtards en hermaphrodites. Deux avancées récentes ont permis à l’équipe de Tyrone Hayes d’aller plus loin. En effet, il est extrêmement difficile de distinguer un mâle (chromosomes ZZ) d’une femelle (ZW) chez les grenouilles. Le développement d’une lignée exclusivement masculine puis, en 2008, de marqueurs génétiques des chromosomes sexuels du xénope du Cap (Xenopus laevis) ont changé la donne. Les études de laboratoire sur le xénope ainsi que les études de terrains sur la grenouille léopard (Rana pipiens) ont montré qu’en présence d’atrazine, 75% des mâles sont castrés et 10% se transforment en femelles. Ce dernier phénomène, décrit dans les PNAS, n’avait jamais été observé jusqu’à présent. Des mâles qui n’en sont plus et qui menacent toute la population Les premiers individus ont un taux de testostérone inférieur à celui des femelles et présentent donc des organes vocaux et sexuels réduits qui annihilent toute chance de reproduction dans la nature. Les mâles féminisés demeurent génétiquement des mâles (ZZ) mais possèdent des organes génitaux de femelles. Ils peuvent se reproduire avec d’autres mâles, pour ne donner naissance qu’à des descendants mâles. Ces individus risquent donc de déstabiliser profondément le sex ratio (proportion des mâles et des femelles) des populations, tandis que les autres, stériles, ne sont d’aucune utilité pour l’espèce. « Ces types de problèmes, comme le changement de sexe qui biaise les sex ratios, sont beaucoup plus dangereux que toutes les substances chimiques qui élimineraient complètement une population de grenouilles, explique Tyrone Hayes. Dans les populations exposées, il peut sembler que les grenouilles se reproduisent, mais en fait, la population est dégradée lentement mais sûrement par l’introduction de ces animaux altérés. » Exposées pendant trois ans à des concentrations d’atrazine de 2,5 ppb, les xénopes du Cap ont confirmé les observations de terrain sur les grenouilles léopards des cours d’eau contaminés. L’atrazine se comporte comme un perturbateur endocrinien qui affecte les taux d’hormones sexuelles de ces amphibiens, comme cette molécule le fait pour d’autres groupes animaux. En outre, l'atrazine affaiblit le système immunitaire et favorise le développement de maladies bactériennes chez ces amphibiens. Selon Tyrone Hayes, les pesticides et en particulier l’atrazine seraient une des causes possibles du déclin mondial des amphibiens, dont le taux d’extinction est deux cents fois supérieur à ce qu’il devrait être. Syngenta, un producteur d’atrazine, conteste cette étude. Ce à quoi répond le chercheur : « Ce que les gens doivent réaliser, c’est que, comme avec tout médicament, ils doivent décider si les bénéfices dépassent les coûts. Comme chez les grenouilles, tous les êtres humains ne seront pas affectés par l’atrazine, mais voulez-vous prendre le risque, avec tout ce que l’on sait déjà sur les effets de l’atrazine, non seulement sur les humains mais aussi sur les rongeurs et les grenouilles et les poissons ? ». Source
  3. Australie: une grenouille, considérée comme disparue, refait surface SYDNEY - Une grenouille d'Australie, que l'on croyait disparue depuis près 40 ans et dont l'espèce était considérée comme éteinte, a été redécouverte dans une rivière reculée du pays, à la surprise des experts, a indiqué jeudi un scientifique. Un agent des services de l'environnement du gouvernement de l'Etat de la Nouvelle-Galles-du-Sud a apperçu une espèce inhabituelle lors d'un déplacement à Tablelands (sud). Il s'est ensuite rendu sur les lieux avec un spécialiste, qui a confirmé qu'il s'agissait d'une grenouille Bell à taches jaunes, que l'on n'avait pas observée depuis 1973. "C'était vraiment le plus grand moment de ma carrière et je pense que ça ne m'arrivera plus", a déclaré jeudi le Dr David Hunter, qui a découvert un groupe de grenouilles en pleine santé. Le ministre de l'Environnement de Nouvelle-Galles-du-Sud, Frank Sartor, a pour sa part indiqué que la réapparition de cette grenouille témoignait de l'importance à protéger les habitats naturels des animaux. Le lieu de la découverte des batraciens est tenu secret pour les protéger, tandis que des discussions sont en cours avec le zoo Taronga de Sydney pour élaborer un programme d'élevage en captivité. (AFP / 04 mars 2010 08h38) Source
  4. Ça peuple des souris effectivement et ça saute tout ce qui peut se faire sauter
  5. Merci beaucoup Martyne pour ton opinion!
  6. Pour tout arthropode, grandir est un processus complexe. Plus encore pour les grosses araignées comme les mygales. Leur squelette externe, appelé aussi exosquelette ou cuticule, n’est pas extensible. Il faut donc muer pour en changer. Les araignées, telle la mygale sud-américaine (Davus fasciatus), se mettent sur le dos pour commencer ce processus de mue. Puis elles s’extirpent de leur vieille peau, en retirant doucement leurs pattes, une à une. Une étape longue et épuisante, surtout qu’une mygale comme toutes les araignées compte 8 pattes ! Une fois “nus”, les tissus qui ne sont plus comprimés peuvent alors gonfler sous l’action de la pression artérielle de l’animal. Le corps et les pattes grandissent ainsi d’environ 30%. L’araignée doit ensuite attendre que sa nouvelle peau durcisse. Elle laissera son ancien exosquelette sur place avant de s’en aller. La mue peut prendre quelques minutes, parfois plusieurs heures pour les plus grands spécimens. L’araignée est très vulnérable pendant ce temps. C’est pourquoi la plupart des arthropodes se cachent pour muer. Pendant leurs premières années de vie, les mygales muent tous les deux ou trois mois. Arrivées à l’âge adulte, ce n’est qu’une fois par an. Source
  7. Le quotidien des grenouilles, dans les forêts tropicales sud-américaines, n’est pas facile. Beaucoup d’entre elles sont les proies des serpents et des arthropodes, notamment les araignées qui sont particulièrement actives la nuit. Mais une espèce de grenouille a développé une relation très particulière avec certaines araignées. Il s’agit de la Chiasmocleis ventrimaculata, qui vit souvent en bon nombre, près des terriers de certaines espèces de mygales. L’araignée Pamphobeteus par exemple tolère la grenouille et ne l’attaque jamais. Par contre, tout autre amphibien passant près de son terrier est immédiatement capturé, même par les tout jeunes individus. Cette relation est l’un des rares cas de mutualisme entre amphibiens et araignées. L’avantage pour la grenouille est évident : elle gagne la protection de la mygale car aucune intrusion n’est acceptée sur le territoire du prédateur. Et inversement, l’arachnide est aidée par la grenouille qui la débarrasse de petits parasites, principalement les diptères, en les rongeant. Et des fourmis, qui sinon se gaveraient des œufs de l’araignée. Source
  8. N'oublie pas, le site est dans la petite barre en haut!
  9. Les tortues pondent Hier après-midi, un vacancier se rend à Kélonia, en compagnie d’un bébé tortue retrouvé sur la plage à proximité du cap La Houssaye. Ni une, ni deux, Stéphane Bourjea, cadre de recherche à l’Ifremer et Stéphane Cicionne, directeur de Kélonia débarquent dans les environs. Un recoin fouillé les intrigue. Avant de se munir d’une barre de der et de sonder le sol. “Si le bâton s’enfonce, c’est que le sable a été remué”, explique ce dernier. Et là jackpot. De multiples petites tortues vertes viennent de naître, entre 120 et 160, à 70 cm de fond. Une ponte qui fait le bonheur des scientifiques. “C’est fabuleux de retomber sur un nid, c’est de la chance”, savoure-t-il. Cette observation est la 14 e du genre depuis 2004. Une fréquence accélérée qui donne du baume au coeur de ces passionnés. “À la fin des années 90, il y avait peu de signalement”. Il faut savoir que les tortues ont longtemps déserté les littoraux, chassés par la surfréquentation et la pollution lumineuse. Une dizaine de ces bestioles vont passer par la case Kélonia, afin d’être étudiées. Inévitable. Source
  10. Non du tout, c'est juste pour démontrer qui est le possesseur de reptiles moyen.
  11. Christ il était temps! Deux inscriptions, trois changements de nick et je ne sais pas combien de temps se sont écoulé avant que tu parles haha bienvenue miss!
  12. Bonjour à tous, je refais remonter un vieux poste mais vous n'êtes pas obligé de lire depuis le début. Quelqu'un m'a encore passé le commentaire que les couleurs du forum était trop agressante donc encore une fois, les couleurs ont été retravaillé. Je vous montre le résultat http://test2010.forumactif.org/forum.htm J'ai discuté avec les modérateurs et les réponses sont assez partagées. Je communique donc avec vous question d'avoir d'autres avis. J'attends vos réponses. Merci Bonne journée
  13. Découverte en images : de jeunes dinosaures dévorés par un serpent géant Inde – Il y a 67 millions d’années, les serpents mangeaient les dinosaures. Des scientifiques ont réussi à reconstituer l'une de ces scènes grâce à la découverte d’os fossilisés appartenant aux deux espèces. Selon eux, le serpent découvert s'apprêtait à faire du sauropode tout juste né son déjeuner. Les scientifiques ont déterré le squelette presque complet d’un serpent préhistorique vieux de 67 millions d’années et long de trois mètres, le Sanajeh indicus. Le prédateur était sur le point de se nourrir d’un bébé dinosaure quand les deux animaux ont soudainement été ensevelis par une coulée de boue, laquelle a figé dans le temps cette scène unique. Le fossile du prédateur a été découvert dans le nid des dinosaures, au côté de la dépouille préservée d’un jeune titanosaure de 50 cm. Ces dinosaures herbivores pouvaient peser jusqu’à 100 tonnes à l’âge adulte. Cette découverte apporte la preuve que les serpents primitifs se nourrissaient de dinosaures, et cela malgré leur mâchoire qui, contrairement à celle des serpents de notre ère, n’était pas d'une grande mobilité. Découvrez les images de cette scène : http://www.maxisciences.com/dinosaure/dinosaures-contre-serpents-reconstitution-de-la-scene-a-partir-de-fossiles_art6142.html Source
  14. Eh oui, pour ceux qui sont membres de l'AHVR, vous savez ce que c'est. Pour les autres, un projet organisé par Michel Le Blanc est en cours. Pour ce projet, il faut donc aller sur le site : http://www.frecq.com/ et vous inscrire. Il s'agit d'une banque de donné qu'il faut faire circuler et soyez honnête avec cette banque de donné. C'est pour ensuite pouvoir affronter les villes et les compagnies d'assurance donc c'est très important. Merci à tous! N'oubliez pas d'aller sur http://www.frecq.com/
  15. Max|mum-leterrarium

    question

    du sable ca reste du sable et c'est pas digestible meme s'il est saupoudré de calcium En fait, ce qui est vendu comme étant du sable en animalerie, il est problématique dans la plupart des cas. C'est justement à cause du carbonate de calcium qu'il contient. Si le lézard manque le moindrement de calcium, il va lècher son substrat. En plus de contenir toutes les bactéries de ses excréments, ce genre de sustrat forme une boule avec l'humidité. Il y a le sable de rivière par contre qui est conçu pour l'eau mais bon. C'est un sujet qui reste très discuté sur ce qui est bon ou non.
  16. Moi qui te pensait un gars généreux!
  17. Nom scientifique : Poecilotheria regalis Nom français : Mygale ornementale indienne Nom anglais : Indian ornemental tarantula Origine : Sud-ouest de l'Inde Biotope : Humide Température : 27 à 30°C Hygrométrie : 75 à 85% Moeurs : Arboricole, nocturne Taille adulte : 18 cm Longévité : 8 ans Nourriture : Insectes Photo emprunté sur le site : http://www.spidy.goliathus.com/ La regalis est probablement la mygale arboricole la plus répandue. Elles ont tendance à être quand même assez agressive. Cette espèce est reconnue pour être très venimeuse. Une morsure de cette mygale peut causer entre autres des douleurs musculaires, des nausées et de la fièvre. Il n'est recommandé de manipuler les spécimen de ce genre en aucun cas.
  18. Max|mum-leterrarium

    Assez etonnant....

    Il a lâché l'ordi certain si tu es dessus
  19. Madagascar : rapatriement des onze tortues malgaches saisies à Mayotte Onze tortues araignées, saisies par le service de douanes au port de Longoni à Mayotte en septembre 2009, ont été rapatriés à Madagascar la semaine dernière. Les onze tortues malgaches appelées, tortue araignée en raison de coloration graphique sur sa carapace, qui font parties des reptiles les plus rares du monde, ont été saisies par les agents de la brigade de surveillance du port de Longoni à Mayotte dans une cabine d’un porte-container en septembre 2009, a rapporté mardi Midi, un journal local en langue malgache. Le transfert de ces tortues s’est fait le 27 février dernier et c’était la compagnie Air Madagascar qui a transporté gratuitement ces espèces en voie de disparition à Madagascar. Les tortues saisies ont été placées à la station d’observation et de sauvegarde de tortues (SOS Tortues) dans un village à 35 km au nord de Tuléar, qui se trouve à 900 km au sud d’Antananarivo, où elles suivrons de contrôle médical avant d’être relâchées dans la nature. La tortue araignée est l’une des plus petites tortues au monde et elle se caractérise par sa faible fécondité ce qui montre la réduction des nombres de cette espèce. Le prix de cette tortue en Europe atteint 10.000 euros, ce qui pousse les trafiquants à prendre des risques pour les exporter. (Xinhua) Source
  20. Le serpent est un animal de compagnie qui correspond à notre style de vie moderne Selon certains spécialistes, le serpent est devenu l'un des animaux de compagnie à la mode en Asie, et la Thaïlande n'est pas épargnée par ce phénomène. "Le serpent est devenu un animal de compagnie qui correspond à notre style de vie moderne. Il ne mange pas trop et n'a besoin que de peu d'attention. Il ne fait pas de bruit, ne sent pas, et en élever un ne prend pas beaucoup de temps", explique Kanchit Deesomsak, auteur de Ball Python Whisperer et expert dans le commerce de serpents. Cité sur MCOT. Kanchit précise que l'expression de l'individualité dans la société d'aujourd'hui se fait de manière de plus en plus inusuelle, et que le serpent représente bien ce changement. Le Python Royal est l'une des espèces de serpents les plus populaires, gardés en captivité aujourd'hui, avec un marché particulièrement important aux Etats-Unis. Les pays asiatiques, dont la Thaïlande, suivent depuis peu cette tendance où une grande partie des propriétaires de serpents sont des femmes. Il est d'ailleurs possible de trouver cet animal en vente à 120.000 bahts (2.700 euros), et le nombre de Thaïlandais propriétaires de ce type de reptile serait estimé à près de 8.000. Cinq fermes dans le Royaume se sont d'ailleurs données comme spécialité l'incubation et la vente de serpents, dont certains coûtent plus de 500.000 bahts (11.000 euros). Selon Kanchit, des étrangers n'hésitent pas à faire l'aller/retour pour pouvoir acheter et sortir de Thaïlande illégalement les animaux. Ce dernier estime à plusieurs millions de bahts l'argent en circulation sur le marché des serpents, "Autant que je sache, la valeur de ce business va au-delà de sept chiffres", explique-t-il. (http://www.lepetitjournal.com/bangkok.html) mercredi 3 mars 2010 Source
  21. Des fossiles d'un serpent mangeant des oeufs de dinosaures retrouvés en Inde AP | 02.03.2010 | 18:57 Découverte rare en Inde. Les restes fossilisés d'un serpent ayant vécu il y a 67 millions d'années, retrouvé enroulé autour d'un oeuf de dinosaure, donnent un aperçu singulier de l'évolution et la manière de s'alimenter de ce reptile, ont annoncé mardi des scientifiques. Ces découvertes, publiées dans l'édition de mardi de la revue "PLoS Biology", donnent pour la première fois une preuve que ce serpent, mesurant trois mètres et demi de long, se nourrissait d'oeufs et de poussins de dinosaures sauropodes, ce qui veut dire que c'était un des rares prédateurs à chasser les herbivores à long cou. Elles suggèrent aussi que, il y a 100 millions d'années, les serpents avaient des mâchoires mobiles similaires à celles des serpents ayant une gueule très large, comme les vipères et les boas. "C'est un serpent primitif bien préservé et il fait quelque chose. Nous avons capturé son comportement", a déclaré Jeff Wilson, paléontologue à l'Université du Michigan, crédité pour avoir reconnu les os de serpent près des oeufs de dinosaures écrasés et des os des poussins. "Nous avons des informations concernant ce que ce serpent primitif a fait pour vivre", a-t-il expliqué. "Cela nous aide aussi à comprendre l'évolution primitive des serpents sur le plan anatomique et écologique." Dhananjay Mohabey, de la Commission géologique d'Inde, avait découvert les reste fossilisés en 1987, mais il n'avait réussi qu'à distinguer les os du dinosaure et les coquilles. Jeff Wilson est allé plus loin. Il a examiné les fossiles en 2001 et a été "surpris" de découvrir un prédateur au beau milieu du nid du sauropode. "J'ai vu le mécanisme vertébral caractéristique des serpents à côté des coquilles de dinosaures et des os plus gros, et je savais que c'était un spécimen extraordinaire", a noté Jeff Wilson. Dhananjay Mohabey en a conclu que le serpent, surnommé "Sanajeh indicus", venait d'arriver dans le nid et commençait à engloutir un poussin sortant d'un oeuf. Mais la scène a été "gelée dans le temps", les protagonistes ayant été frappés par une tempête ou une autre catastrophe et enterrés sous des couches de sédiments. "Nous pensons que le poussin était tout juste sorti de son oeuf, et cette activité a attiré le serpent", a déclaré Dhananjay Mohabey, ajoutant que le site où la découverte a été faite, dans l'Etat du Gujarat (ouest de l'Inde), a révélé environ 30 nids de sauropodes et au moins deux autres spécimen de serpents. AP Sur le Net: PLoS Biology: http://www.plosbiology.org/article/info%3Adoi%2F10.1371%2Fjournal.pb Source
  22. Max|mum-leterrarium

    Assez etonnant....

    Tu as raison Yannick parce que de nos jours, les opossums souffrent de problèmes de personnalité!
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