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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium
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Nouvelles espèces animales dans la région La région s’enrichit de la présence de nouvelles espèces animales d’année en année grâce aux observations de la population. Au cours des dernières années, plusieurs mentions ont permis de confirmer la présence de 11 espèces additionnelles dans la région. C’est le cas de quelques espèces d’amphibiens et de reptiles qui ont été ajoutées à la liste régionale. Au cours de l’été 2009, une tortue des bois a été découverte à Bellecombe, une espèce cataloguée «vulnérable». La direction du ministère des Ressources naturelles et de la Faune (MRNF) envisage donc dès 2010 de tenter de découvrir une population plus étendue. La découverte d’un site de ponte permettrait de protéger son habitat. Plusieurs types de couleuvres ont aussi fait aussi leur apparition au fil des ans, de même que le triton vert (salamandre) et la rainette versicolore (grenouille). Les amateurs d’ornithologie étant de plus en plus nombreux, leurs observations permettent de mettre également à jour les listes d’oiseaux existants. La présence de grues du Canada serait de plus en plus importante. Il semblerait que cette espèce serait à étendre son aire de distribution. Les mentions d’animaux à fourrure sont toutefois moins nombreuses. Deux carcajous, une espèce menacée, ont été observés récemment dans la réserve faunique La Vérendrye. Seulement deux mentions étaient parvenues à la direction régionale depuis les années 1990, une dans le parc Aiguebelle et l’autre à Matagami. Selon le biologiste Marcel Paré, du MRNF, le bilan est possiblement négatif malgré cette croissance. «De façon générale à l’échelle planétaire, on assiste davantage à des pertes d’espèces. La liste de celles qui sont menacées ou vulnérables augmente.» Le MRNF invite la population à lui acheminer toutes les observations et photos qui pourraient permettre d’améliorer ses connaissances sur notre faune. Source
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Vous admirez quelqu'un?
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Général
Pour ma part, c'est deux herpétologistes locals, Jean-François Desroches et David Rodrigue. Ce sont dans les plus grands ici au Québec. Leurs noms sont pratiquement dans chacun des ouvrages québecois de l'heure. Ils ont écrit des articles sur leur recherches et sont l'auteur du meilleur ouvrage québecois sur notre herpétofaune paru à ce jour. Vous savez aussi que ces deux personnes sont très présentes pour la conservations de la faune au Québec. Ils ont en charge aussi de l'organisme S.O.S Tortue. David trouve travail auprès de l'écomuséum pour divers programme dont pour l'atlas des amphibiens et reptiles du Québec. Jean-François est quant à lui, professeur en bioécologie au cégep de Sherbrooke. Vous pouvez même avoir la chance de parler avec eux dans divers activités organisé au Québec. P.S. ce que j'aime de ce poste, c'est qu'il risque de faire connaitre des gens aux autres. -
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Thamnophis mode feeding
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Colubridés
Je ne parlais pas de la grosseur mais comme c'est des serpents piscivores, je m'attendais à ce qu'un zoo donne autre chose que des rongeurs. Je sais que plusieurs le font en captivité et que même dans la nature, ça peut arriver qu'ils en mangent mais ce n'est pas leur menu principale habituellement. -
Mes nouvelles Agalychnis callidryas
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Batraciens
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Une nouvelle pensionnaire séjourne à Kélonia Une jeune tortue verte a été sauvée d’une probable mort, jeudi dernier, grâce aux plaisanciers des bateaux Le Grand Bleu et le Lady la fée. Ces derniers ont aperçu cette tortue flottant à la surface et dans l’incapcité de plonger. Ils ont prévenu l’aquarium de Saint-Gilles qui a lui-même alerté Kélonia, qui l’a finalement récupérée. Une équipe de sauveteurs a mis la tortue en observation dans un bassin. Elle subira bientôt une série d’examens afin de déterminer la pathologie dont elle souffre. Elle y restera jusqu’à sa guérison complète. Jour de son sauvetage oblige, la tortue, que serait une femelle, a été baptisée Noëlle... Source
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Voici un vidéo du zoo de Londres montrant la voracité des Thamnophis lors des repas. Je suis juste déçu de voir que ce zoo ne donne pas la nourriture adapté à l'animal mais bon. Je voulais vous montrer le vidéo surtout pour une raison qui est que je dis souvent que c'est un serpent de débutant étant donné qu'ils sont facile à nourrir. En voici, la preuve.
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Brachypelma smithi
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Fiches sur les invertébrés
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L’axolotl. Qu’est-ce que c’est que cette bête ? Un axolotl Ambystoma mexicanum, amphibien originaire du Mexique. En nahuatl, une des langues pré-colombiennes d’Amérique Centrale: atl “eau” et xolotl “chien”. Mais il est bien monstrueux ton petit ami ! Pas plus que la salamandre tigrée (Ambystoma tigrinum) des Etats-Unis dont il est proche. C’est ici que l’histoire de l”axolotl devient atypique: On remarque qu’il a des branchies contrairement à Ambystoma tigrinum. Seulement, la larve de ce dernier possède des branchies et les perd à sa maturité. Alors quoi ? Ce phénomène s’appelle la néoténie: une espèce atteint l’âge adulte avec les caractéristiques physiques d’une autre espèce. Ici, l’axolotl garde les caractéristiques larvaires de la salamandre tigrée. L’Homme, par exemple, est un néotène du singe. Nous avons beaucoup plus à voir avec un bébé singe qu’avec un singe adulte. Le sujet sera expliqué dans le prochain post. De ce fait, en 1913, Vilèm Laufberger découvrit que la perte des branchies et le développement des poumons chez Ambystoma tigrinum était due à l’hormone tyroïdienne. Il injecta donc cette hormone chez un Ambystoma mexicanum et, comme prévu, ses branchies s’atrophièrent et ses poumons grandirent. Cela veut dire que l’axolotl ne sécrète pas cette hormone, mais possède les capteurs et peut l’assimiler. Cela signifie également que l’absence d’hormone chez l’axolotl est une conséquence de son environnement. En effet, le froid qui règne aux sommets des lacs des cratères volcaniques mexicains, les axalapascos, ne favorise pas la forme terrestre. L’espèce est donc restée abritée, dans l’eau, où les branchies sont plus avantageuses. En dehors de ça, l’axolotl est une espèce que l’on retrouve aujourd’hui dans des élevages , essentiellement pour des aquariums. La forme albinos n’existe que dans les élevages. De nombreux individus sont vendus sur des marchés au Mexique pour la consommation: le régime aztèque l’utilisait beaucoup. Source
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Des lézards planants Le lézard africain Holaspis guentheri était, encore récemment, un petit mystère à lui tout seul. Le petit lézard fouisseur bleu avait beau n'avoir aucune écaille pour jouer le rôle de contrevent, ni de membranes pour résister au vent, il parvenait tout de même à sauter et à ralentir sa chute pour ne pas se faire mal. Mystère ? Plus maintenant. Une équipe de chercheurs européens a percé le secret du petit saurien. Tout d'abord, pour s'en sortir, il s'aplatit très fortement, afin d'augmenter sa surface portante. De cette manière, il résiste davantage au vent et ralentit sa propre chute. Mais ce n'est pas tout : cette explication ne suffit pas à expliquer les extraordinaires ralentissements du lézard africain, capable de réduire une chute de deux mètres de haut à 80cm. La réponse à cette énigme se trouve très certainement dans la morphologie même de l'animal. C'est pourquoi un chercheur français a été chargé de pratiquer une analyse morphométrique du lézard. Toutefois, des pré-résultats ont d'ores et déjà été publiés dans le Journal of Experimental Biology : le lézard africain a des os très fins et présente de nombreux trous dans le squelette. Il est donc plus léger que les autres lézards, ce qui lui permet d'amortir plus facilement ses chutes. Source
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Photo mise dans une annonce
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Coup de coeur/Coup de masse
Eh mon dieu, j'ai écris de façon poli mais j'ai quand même dis ce que je pensais de la situation en spécifiant que je trouvais qu'il y avait un manque de responsabilité de la part d'un commerce d'afficher ce genre de photo. La réponse que j'ai eu fait en sorte que jamais je ne mettrais les pieds dans ce commerce. -
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Un serpent au pied du sapin ! Tendance : les nouveaux animaux de compagnie s'invitent pour les fêtes de Noël Ce n'est pas forcément le genre de cadeau que l'on s'attend à trouver, plié sous sa serviette à la table du réveillon. Pourtant, les ventes de reptiles, lézards et tortues, ces nouveaux animaux de compagnie (NAC) qui suscitent depuis quelques années un engouement croissant, progressent sensiblement avant les fêtes de fin d'année. «Elles augmentent d'environ 20%», estime Cédric Rabaud, qui a ouvert en 2005 un magasin spécialisé à Sotteville-lès-Rouen, Ophidia, dans lequel il reçoit beaucoup d'amateurs passionnés et quelques autres aux motivations moins claires. «Je pose toujours quelques questions: le bénéficiaire de ce cadeau est-il au courant? Etes-vous sûr de l'espèce recherchée? Avez-vous mesuré les contraintes? Je rappelle que ce n'est pas un jouet et qu'on ne peut pas l'échanger», explique-t-il. «D'ailleurs, lorsque la demande est trop farfelue ou carrément malsaine, je préfère refuser la vente: il m'est arrivé de devoir raisonner des jeunes qui s'étaient cotisés pour offrir un serpent à un copain, sachant qu'il en avait horriblement peur, et de mettre à la porte un type visiblement drogué jusqu'aux yeux qui était entré dans ma boutique en réclamant un cobra! Un jour, j'ai vu arriver un garçon qui avait traversé l'agglomération en bus avec un serpent autour du cou. Puis un autre qui se baladait avec un iguane sur l'épaule. Ces gens-là donnent une mauvaise image du milieu…» «C'est vrai. Ce qui fait que nous sommes parfois confrontés à des regards bizarres», témoignent Cyrielle et Quentin, 23 et 19 ans, étudiants en biologie et propriétaires de trois pythons régius, un pogona de Lawson et un varan exanthematicus. «Le pogona nous a été donné par un ami qui voulait s'en débarrasser. Il l'avait laissé sans soin. On le prenait. Ou il mourait». Parmi les quelques milliers de possesseurs de NAC de la région Haute-Normandie, Cédric Rabaud juge que «10% font n'importe quoi». Il ne s'agit pas seulement de néophytes, qui se trompent par incompétence, par manque de moyens, ou qui cherchent à se séparer d'un animal dont ils n'imaginaient pas qu'il atteindrait une taille aussi imposante. Cela peut être aussi des éleveurs peu scrupuleux, chez qui l'appât du gain est venu supplanter la passion initiale. «Certains s'essaient à la création d'hybrides et au mélange d'espèces venimeuses. Il y a là un réel danger», prévient le spécialiste. Appelé régulièrement par les sapeurs-pompiers pour récupérer et prendre en charge des NAC égarés, tel cet iguane de belle taille capturé sur un toit, Cédric Rabaud connaît son sujet. «J'ai déjà été contacté par les locataires d'un appartement à Rouen ne sachant pas comment se débarrasser d'un caïman à lunettes qui avait, évidemment, beaucoup grossi. Un huissier a fait aussi appel à moi pour capturer un python découvert chez un mauvais payeur qui venait d'être expulsé. Cela démontre qu'il existe ici aussi, en Haute-Normandie, un trafic de reptiles et d'animaux dangereux. D'ailleurs, il suffit d'aller à l'étranger, en Allemagne ou aux Pays-Bas, pour acquérir des serpents, mygales, scorpions, à l'occasion de forums ou de bourses d'échanges. On leur fait ensuite passer la frontière sous le manteau. Tout cela est extrêmement dangereux!» Et très éloigné, sans doute, de la magie de Noël… FRANCK BOITELLE Source
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Interpellé pour avoir tué une tortue marine Un homme a été interpellé le 18 décembre dernier à Saint-Leu parce qu’il avait capturé, tué et mangé une tortue imbriquée (Eretmochelys imbricata) avant de mettre sa dépouille à sécher. Il sera jugé prochainement. Ce sont des pêcheurs saint-leusiens qui ont dénoncé l’auteur du délit auprès de la Brigade de la Nature de l’océan Indien. Ils avaient été témoins de la capture illégale et ont d’ailleurs refusé de manger l’animal, une fois cuit. A la Réunion, toutes les tortues marines sont protégées par l’arrêté ministériel du 14 octobre 2005. Il en existe six espèces. La tortue imbriquée est plus rare et plus petite que la tortue verte, et elle est plutôt carnivore, contrairement à la tortue verte qui est herbivore. Un service de police de l’environnement Le contrevenant a été interpellé à St-Leu où il avait mis la dépouille à sécher. Un procès-verbal lui a été dressé, et sera transmis au procureur de la République à des fins de poursuites judiciaires. Pour ce genre de délit, l’auteur des faits encourt une peine maximale de six mois de prison et de 9 000 euros d’amende. “Bien que ces faits soient de plus en plus rarement constatés sur notre île, des braconniers tuent encore des tortues marines pour les manger et en conserver la carapace, qui plus est sur le territoire de la réserve naturelle nationale marine de la Réunion”, fait-on remarquer à la Brigade de la Nature de l’océan Indien. La BNOI est un service de police de l’environnement, placée sous la tutelle du ministère de l’écologie, de l’énergie, du développement durable et de la mer. Basée au siège de la direction régionale de l’environnement (DIREN) à St-Denis, elle se compose de huit agents assermentés, mis à disposition par trois établissements : l’office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS), l’office national de l’eau et des milieux aquatiques (ONEMA), et le parc national de la Réunion. Ses missions de police concernent notamment la protection de la faune, de la flore, des espaces protégés (parc national, réserves naturelles), la pollution des eaux, la circulation des véhicules dans les espaces naturels, la chasse, la pêche…. Elle intervient sur toute l’île et parfois à Mayotte où elle effectue régulièrement des missions pour la protection des tortues marines. La dépouille saisie chez le Saint-Leusien va finir au muséum d’histoire naturelle. Elle subira une naturalisation pour des actions pédagogiques J.P-B Source
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