Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

Max|mum-leterrarium

Membres
  • Compteur de contenus

    12 143
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. L'anorexie chez le lézard Causes Elles sont diverses et vont d'un problème d'habitation ou de cohabitation (terrarium trop petit, environnement stressant, manque de cachettes ou de branchages pour grimper, température et taux d'humidité inadéquats,...), à des conditions d'alimentation inappropriées (nourriture avariée et/ou déséquilibrée, en trop grande quantité...). D'autres facteurs tels que la période de gestation ou de reproduction sont également des causes naturelles d'anorexie. Autrement, il peut s'agir de symptômes d'une autre maladie, d'origine parasitaire par exemple. Dans d'autres cas, l'anorexie peut être due à une rivalité entre deux mâles (parfois deux femelles) placés dans le même habitat. Le lézard dominé ne pouvant accéder librement à la nourriture, il cessera progressivement de s'alimenter. Il faut savoir que certaines espèces de lézards se nourrissent moins quand l'hiver approche. Il arrive par ailleurs que les lézards sautent un repas. Ceci ne devra pas être considéré comme une anorexie. A ce propos, il n'y a anorexie que lorsque le refus de s'alimenter s'étale sur plusieurs jours. Soins Il faut offrir aux lézards en captivité des conditions de détention les plus adaptées et les plus rapprochées possibles de leur environnement naturel. Toutefois, si les mâles cohabitent, il faudra songer à les séparer. Il faut ajouter plus de branchages ou installer des cachettes s'il n'y en avait peu auparavant. Ces dernières peuvent être constituées de grands feuillages. Si le mal est causé par une nourriture inadaptée, proposez-lui une alimentation plus fraîche et plus variée. Si l'anorexie persiste, c'est qu'elle est due à des parasites ou à une autre maladie. Dans ces cas, procédez au gavage de l'animal pour qu'il retrouve des forces. Pour les lézards végétariens, de la purée de légumes pourra faire l'affaire, et pour les carnivores, les croquettes ou autres nourritures pour chiens et chats seront utiles. Dans tous les cas, il est toujours conseillé de consulter un vétérinaire qui déterminera la cause exacte du mal. Recommandations Il est important de connaître parfaitement la fiche technique de l'animal, quelle que soit la cause de l'anorexie. Source
  2. L'occlusion intestinale chez le lézard L'occlusion intestinale est la conséquence ou l'effet d'une constipation prolongée. Si elle n'est pas soignée à temps, elle peut être fatale. Certaines espèces telles que le Gecko Léopard en sont plus victimes que d'autres. Chez les lézards en captivité, les principales causes de l'occlusion intestinale sont l'ingestion de substrats et/ou d'autres corps étrangers. Souvent, ceci est dû à un manque de calcium que le reptile cherchera à compenser. L'ingestion d'aliments trop volumineux (notamment d'insectes qui présentent des parties non digérables comme les crochets par exemple) ou une suralimentation, rajoutée à une température trop basse (qui ralentit le processus de digestion), peuvent être à l'origine de constipation qui peut, dans certains cas, mener à l'occlusion. Les conséquences d'une occlusion intestinale sont souvent longues à traiter, même dangereuses et fatales pour le reptile. Parfois, le mal est d'origine pathologique. En effet, l'augmentation des boyaux peut ralentir ou bloquer le transit intestinal. Mais ce cas ne présente pas de risques car l'animal refuse alors de s'alimenter, et le tube digestif reste vide. Une trop longue déshydratation peut aussi être à l'origine d'une occlusion. Soins Les soins dépendent de la cause de la maladie. Dans la plupart des cas, une radiographie permettra de confirmer l'occlusion (qui peut par ailleurs présenter les mêmes symptômes qu'une rétention d'œufs). Dans tous les cas, le mieux est de toujours consulter un vétérinaire qui prescrira le traitement nécessaire. Recommandations Les tapis à reptiles comme substrat ou une qualité de sable calcique ou un substrat non ingérable sont conseillés pour le fond du terrarium. Du papier ou des essuie-tout feront aussi l'affaire. Par ailleurs, il faut nourrir le lézard hors de son habitat pour éviter l'ingestion de sable. Les aliments présentant du calcium et des vitamines sont à favoriser, ou en saupoudrer directement la nourriture de l'animal et ce, pour lui éviter de compenser sa déficience calcique en ingérant du sable. Il faut également veiller à stimuler le transit intestinal par tous les moyens (température, activité, qualité de la nourriture, etc.). Ceci diminuera les risques de constipation, cause possible d'occlusion intestinale. Source
  3. La stomatite ulcéreuse chez le lézard Plus fréquente chez le serpent que chez le lézard, la stomatite se manifeste à travers des rougeurs, des lésions et des tâches de sang au niveau de la gueule (l'animal saignera facilement). Parfois, ces symptômes peuvent s'accompagner de mucus autour de la gueule. La maladie est également confirmée en cas d'hypersalivation de l'animal, accompagnée d'anorexie. La maladie devra rapidement et correctement être soignée pour éviter l'infection des autres organes du corps. Les causes Elles sont d'origine parasitaire et peuvent être développées ou causées par le stress dû à un nouveau contexte. Ceci est aggravé par de mauvaises conditions de détention. Les germes responsables de cette maladie sont souvent hébergés par les reptiles (notamment au niveau de la gueule), mais ils se développent plus facilement et deviennent causes de maladie quand l'environnement de l'animal est mal entretenu. Soins Si les lésions sont encore légères, elles peuvent être soignées avec des antiseptiques buccaux appliqués quotidiennement à l'aide de pinceaux ou autres brosses. Il est suggéré d'augmenter la température du terrarium de quelques degrés (deux ou trois). Par ailleurs, dans les cas plus sérieux, un traitement à l'antibiotique sera nécessaire. Les lésions doivent être curetées et lavées avec un sérum iodé. La gueule sera elle aussi, nettoyée quotidiennement avec un mélange iodé. Il faut, durant l'opération, veiller à maintenir la tête de l'animal vers le bas pour éviter l'ingestion du liquide. Pour le grand lézard, une piqûre sédative doit lui être administrée afin de l'immobiliser durant l'opération. Pendant les soins, il sera nécessaire de gaver l'animal (qui a perdu l'appétit entre-temps) pour lui permettre de gagner des forces. Le traitement peut être long et difficile. Recommandations Supprimer la présence de tout objet tranchant dans l'habitat (préférer des branchages en soie si possible). Pour les lézards carnivores, il faut penser à découper certaines parties des proies, notamment les griffes, avant de les donner. Source
  4. Les brûlures chez le lézard Les brûlures externes sont malheureusement fréquentes chez les lézards. Ces animaux aiment en effet s'allonger longtemps sous ou à proximité immédiate d'une source de chaleur, et ne se rendent compte de la brûlure que bien longtemps après. Il peut aussi s'agir d'hyperthermie (température corporelle trop élevée après un long contact avec une source de chaleur). Dans ce cas, la température du lézard sera élevée et il sera un peu mollasson. Soins Si la brûlure est externe, les plaies devront être nettoyées puis bandées. Comme cette opération est difficile, il faut préférer les bandages liquides (opstite) qui sont aussi plus efficaces pour accélérer la guérison. S'il s'agit d'hyperthermie, le lézard devra être placé rapidement dans un bain d'eau tiède (tendant vers le frais) pour faire baisser la température de son corps. Toute source de chaleur doit ensuite être éliminée. Il est même conseillé d'aérer l'animal et son habitat, manuellement en servant d'un éventail par exemple ou d'un ventilateur. Dans tous les cas, les conditions d'habitation sont à revoir. Il faudra ensuite impérativement réhydrater le lézard puisque la chaleur lui a fait perdre beaucoup d'eau. Cette opération peut se faire par intraveineuse, et la quantité du liquide à administrer (eau + électrolyte) dépendra de l'ampleur et de la gravité de la brûlure. Il est donc impératif de consulter un vétérinaire, surtout si les plaies sont sérieuses et si l'état de l'animal est inquiétant. L'alimentation pendant la période de soins est très importante pour faciliter la guérison. Le gavage est souvent recommandé car le lézard pourra perdre de l'appétit. Recommandations Placer toute source de chaleur et/ou d'éclairage hors du terrarium, en fait celle-ci peut brûler le lézard. Il semble que les pierres chauffantes et les collants désertiques chauffent souvent trop. Veiller à ce que les ampoules soient hors d'accès et que le substrat soit suffisamment épais si l'habitat est chauffé par le fond. Il est aussi important que le lézard puisse avoir un point chaud et un point froid. Source
  5. Les parasites du lézard. Les parasites se retrouvent généralement sur la peau de l'animal, dans son appareil digestif et dans le sang. Ils se répartissent en deux différentes catégories: les parasites internes et les parasites externes. Une analyse sanguine, des selles et de la peau permettront de détecter l'origine des parasites incriminés, et d'apporter le traitement nécessaire approprié. Ces parasites de nature multiple, cohabitent souvent sans problème avec le reptile. Toutefois, le lézard en captivité est sujet au stress dû à plusieurs facteurs (environnement, climat, nourriture, manipulation trop fréquente, etc.), qui favorisera le développement de ces parasites. Les parasites externes Les plus fréquents sont les larves de mouches et de moustiques, les mites et les tiques. Les larves de mouches et de moustiques sont déposées sur une plaie ouverte du lézard. A l'éclosion, les insectes entrent dans l'animal. La meilleure solution est de consulter un vétérinaire qui procèdera à une opération chirurgicale. Les mites, fréquentes chez le serpent et le lézard, se retrouvent dans le cloaque, autour des yeux et entre les écailles. Comme l'eau élimine certaines de ces mites, le lézard se retrouve souvent la gueule plongée dans son bol d'eau. Les tiques, plus grandes, sont visibles à l'œil nu. Elles peuvent être retirées une à une (attention à ne pas laisser leur tête dans la peau de l'animal). Pour le lézard, une vaporisation à l'alcool peut faire lâcher prise aux parasites. Les parasites internes Les maladies dues aux parasites internes sont fréquentes chez les reptiles. Elles se manifestent par des traces de sang dans les selles, par l'apparition de diarrhées ou de constipations, par la présence de vers dans les selles, et par l'anorexie. Dans tous les cas, il faut consulter un vétérinaire qui prescrira le traitement nécessaire car, souvent, il s'avère que l'administration d'antiparasitaires n'est pas suffisante. Recommandations L'hygiène de l'habitat doit être maintenue de manière méticuleuse car les réinfections sont rapides. Dans ces cas, les traitements antiparasitaires deviennent inutiles. Source
  6. Comment soigner les abcès des lézards? Causes Il est question ici d'abcès externes, c'est-à-dire généralement de l'épiderme. Les abcès internes, eux, peuvent être des symptômes d'autres maladies ou les conséquences d'infection prolongées. Les causes des abcès externes sont diverses dont notamment les blessures entre reptiles en captivité, ou dues à des objets coupants ou tranchants... mais dans tous les cas, n'importe quelle blessure de l'animal non soignée, aussi bénigne soit-elle, peut s'infecter et dégénérer. Cet état est d'autant plus favorisé par la chaleur, l'humidité et un mauvais entretien de l'habitat. Cette infection est fréquente chez les lézards en captivité qui, contrairement à leurs congénères à l'état libre, sont dans un espace clos favorisant le développement de bactéries. Symptômes Les abcès se manifestent par des nodules plus ou moins durs sous la peau. Soins Il est possible de retirer soi-même les lésions en les incisant délicatement. Ne pas oublier de nettoyer et de désinfecter soigneusement les parties alentour. Ensuite, il faut appliquer une pommade antiseptique sur les parties incisées, puis donner au lézard un traitement à l'antibiotique. Il devra rester dans un endroit sain jusqu'à ce que ses chairs se soient restructurées. L'habitat devra également être correctement désinfecté à l'iode et à la chlorhexidine. Les soins devront être assidus et rapides, étant donné que s'ils sont effectués avec beaucoup de retard, les bactéries responsables auront tout le temps de se développer encore plus et de causer des abcès internes, plus longs et plus difficiles encore à soigner. Après et pendant les soins, des analyses sanguines devront être faites régulièrement pour s'assurer de la santé de l'animal et éviter toutes rechutes éventuelles. Recommandations Si la blessure est due à des griffures d'autres animaux en captivité, il est préférable de les séparer. La moindre blessure constatée devra être nettoyée et désinfectée. Jusqu'à ce que la plaie guérisse, le lézard devra être placé sur du papier et surveillé scrupuleusement pour voir s'il ne développe pas un abcès. Source
  7. Alimentation des amphibiens Si vous avez choisi l'adoption ou l'élevage d'un amphibien, il vous faudra connaître quelques points essentiels. Nous allons essayer de parcourir un à un quelques groupes d'amphibiens avec leur alimentation respective. On englobe dans le groupe des amphibiens les animaux vivant à la fois dans l'eau et sur terre comme grenouilles, crapauds, salamandres, tritons, etc. L'alimentation en général - Grenouilles : En général, les grenouilles se nourrissent de vers de terre, d'insectes qu'ils rattrapent spectaculairement en vol pour certains, de larves, d'araignées, d'escargots... Il peut arriver chez certaines espèces telles que les grenouilles vertes de Pérès que les individus se mangent entre eux. - Crapauds : En général, les crapauds mangent aussi des insectes, des vers de terre, des escargots et des limaces. La plupart des crapauds chassent la nuit et ce n'est pas étonnant que même en captivité ils se nourrissent la nuit. - Rainettes : Les rainettes sont d'excellents chasseurs d'insectes, et c'est aussi leur aliment favori. - Tritons : Insectes, vers et escargots sont les aliments favoris des tritons. Chez certaines espèces, très habiles dans l'eau, les voir chasser des petits poissons et des mollusques est assez impressionnant. - Salamandre : La salamandre aime aussi les animaux invertébrés tels les vers et les insectes, mais raffolent spécialement de lombrics même ceux qui peuvent attendre 20cm de long. - Autres : Les amphibiens en général, et donc les espèces non cités pour la plupart raffolent d'insectes et de petits animaux invertébrés. La digestion Les amphibiens utilisent leur langue pour la capture des proies (et des aliments). Il en est principalement ainsi chez les grenouilles, quand elles éjectent la langue à la vitesse de l'éclair, pour se coller à la proie, et qu'elles replient immédiatement dans leur gueule. Puis, elles utilisent leurs dents puissantes pour retenir emprisonné leur futur déjeuner, avant de l'avaler. Source
  8. Alimentation des mygales Dans le milieu sauvage Dans son milieu naturel, la mygale est prédatrice d'insectes, d'araignées, mais aussi de mammifères telles que les souris ou les bébés rat, de petits oiseaux que les mygales capturent directement dans leurs nids ou encore de serpents... La mygale tisse la toile non pas pour emprisonner la proie mais pour ressentir la vibration du sol. En fait, la mygale détecte la présence des proies à travers la vibration du sol. Pour chasser, la mygale peut aussi se fabriquer un piège avec une cachette en terre qu'elle ouvre précipitamment pour bondir sur sa proie. La capture se fait à l'aide des pattes mâchoires qui immobilisent la proie avant que les crochets ne s'implantent pour déchiqueter le corps de la victime. La mygale injecte ensuite son venin lequel va complètement tuer la proie. Puis, elle lui injectera alors un suc gastrique qui va provoquer sa décomposition, et une fois les organes à l'état liquide, elle va commencer à sucer. En captivité En captivité, il faut nourrir la mygale avec des proies vivantes. Il faut se garder de lui proposer des proies mortes, elle n'y touchera pas. En effet, son système d'alimentation est basé sur la transformation à l'état liquide des organes internes vivants de la proie. Il faut aussi faire attention sur un point important. On a cité plus haut d'autres petits animaux que des insectes pouvant faire partie du régime alimentaire de la mygale. Mais il ne faut pas exposer votre animal à des risques trop élevés. Par exemple, si vous lui présentez une souris pour le repas, celle-ci pourrait se défendre et la blesser voire la tuer. Il faut donc préférer surtout les insectes. Les blattes et les criquets sont les plus indiqués du fait de leur grande taille, mais il faut varier autant que possible la nourriture des mygales. Vous pouvez pour cela vous procurer différents insectes, capturés vivants. Source
  9. En bref : une nouvelle espèce de caméléon découverte par hasard C’est en observant des singes dans la forêt de Magombera, en Tanzanie, que Andrew Marshall, du Département Environnement de l’Université de York, a découvert cette nouvelle espèce. Ou plutôt un serpent en train de la dévorer ! Après avoir récupéré l'animal qu'un serpent s'apprêtait à engloutir, Andrew Marshall et ses collègues du Museo Tridentino di Scienze Naturali, du South African National Biodiversity Institute, d'Anglia Ruskin University et de l’Université de Stellenbosch l’ont analysé et comparé à deux spécimens collectés à proximité. Ils l’ont nommé Kinyongia magomberae, c’est-à-dire le Caméléon de Magombera. Nouveau venu, nouvel espoir ? « Découvrir une nouvelle espèce est un événement rare, alors être impliqué dans l’identification et l’attribution d’un nom à cet animal est très excitant » déclare Andrew Marshall. Il ajoute que les espèces de caméléons sont en général très liées à de petites zones, malheureusement pour celui-ci, la forêt de Magombera est menacée. Mais il ajoute que sa découverte contribuera peut-être à aider à la protection de cette région. Andrew Marshall dirige un projet de recherche sur les changements de la forêt de Magombera qui combine études biologiques et éducation des populations locales à une gestion durable des ressources de la forêt. L’objectif final est de développer le statut de protection de cette forêt et de trouver des moyens alternatifs pour satisfaire les besoins des populations locales. Source
  10. Des propriétaires s’impliquent dans la sauvegarde de la tortue des bois Le 24 novembre dernier avait lieu, à l’Association de chasse et pêche de Plessisville, la soirée de clôture du projet de protection de l’habitat de la tortue des bois au Centre-du-Québec. Cet événement avait pour objectif de faire un bref bilan du projet et de souligner, par la remise d’une plaque honorifique, l’implication des propriétaires fonciers dans la conservation de l'habitat de la tortue des bois en région. La tortue des bois a reçu, en 2005, le statut d'espèce vulnérable au Québec et menacée au Canada en raison du déclin de ses populations au cours des dernières décennies. Deux populations de tortue des bois subsistent encore dans la MRC de l’Érable sur les rivières Bourbon et Noire. Dans le cadre du projet «Protection de l’habitat de la tortue des bois au Centre-du-Québec», réalisé par le Conseil régional de l'environnement du Centre-du-Québec (CRECQ), 23 propriétaires fonciers ont été sensibilisés à l’importance de préserver l’habitat de cette espèce qui se trouve sur leur terre. Jusqu’à maintenant, 18 propriétaires se sont engagés moralement à respecter l’habitat de la tortue des bois, ce qui totalise une superficie de 334 hectares en conservation volontaire sur un total de 434, représentant plus de 75% de la superficie de l’habitat de la tortue des bois. La principale menace qui pèse sur cette espèce est la perte et la fragmentation de son habitat dû aux activités humaines. Afin de favoriser sa survie à long terme, les propriétaires, rencontrés individuellement, ont tous reçu un cahier personnalisé leur décrivant les caractéristiques particulières de leur milieu naturel et leur proposant des mesures pour préserver les habitats de prédilection de la tortue des bois. «La tortue des bois, qui fréquente les aulnaies, les boisés ouverts, les champs et les cours d’eau sinueux, est fidèle à un territoire d’environ 20 hectares qu’elle connaît très bien d’où toute l’importance de protéger ces milieux où nous l’avons observé», précise Andréanne Blais, chargée de projet au CRECQ. Au cours des prochains mois, le CRECQ rencontrera huit organismes régionaux afin de les inciter à inclure dans leur planification et/ou réglementation des recommandations pour réduire les pressions des activités humaines sur l’habitat de la tortue des bois. «Par ce projet, le CRECQ et les propriétaires concernés ont réussi à favoriser la préservation de cette espèce. En conjuguant les efforts de chacun, nous ouvrons non seulement la voie à la sauvegarde de la tortue des bois, mais aussi à l’ensemble de la biodiversité», mentionne Gilles Brochu, président du CRECQ. Nous invitons d’ailleurs l’ensemble de la population à communiquer à l’Atlas des amphibiens et des reptiles du Québec toute observation de tortue www.atlasamphibiensreptiles.qc.ca). Ces informations sont très précieuses pour la sauvegarde de ces espèces. Le projet, d’une valeur totale de près de 68 000 $, est supporté financièrement par le Programme d’intendance de l’habitat des espèces en péril (PIH) du gouvernement du Canada et le Programme Faune en Danger de la Fondation de la faune du Québec. Mentionnons l’aide technique fort appréciable du ministère des Ressources naturelles et de la Faune (MRNF) du Québec et de la MRC de l’Érable et la précieuse collaboration du Groupement Agro-Forestier Lotbinière-Mégantic (GAFLM) et de l’Association de chasse et pêche de Plessisville. Source
  11. La séduction et la formation du couple A la saison de la reproduction, le mâle chate pour attirer la femelle. Au moment où il repère la femelle, il va se rapprocher en douceur en faisant des zigzags pour ne pas éveiller les soupçons et il va débouler par le côté. Il va alors sauter au cou de sa femelle, l'empoigner par la taille et il ne va plus la lâcher jusqu'à la ponte. Cette prise du mâle est si forte qu'une fois emprisonnée, rien ne sauvera la femelle. - La ponte et les œufs des amphibiens La ponte viendra peu après, avec des œufs non fécondés. En effet, la fécondation se fera dans l'eau. C'est ce qu'on appelle une fécondation externe. La durée de développement de l'embryon va alors dépendre de l'espèce. - La naissance Le nouveau-né des amphibiens est d'abord un têtard. Le têtard et dépourvu de pattes et pourvu de queue. L'essentiel de l'anatomie du têtard, c'est une grosse tête et une longue queue qui lui permettra de se déplacer. Le têtard va ensuite se métamorphoser petit à petit. Seulement, longue sera les étapes que le têtard devrait traverser avant d'arriver à ce stade ultime. En effet, les têtards sont aveugles et partent à la recherche de la nourriture sans guides mais en plus, les prédateurs sont nombreux. Nombreux ne survivront pas. - La jeunesse Ainsi, le têtard va se transformer peu à peu en crapaud, en grenouille.... Le métamorphose, du moins ce qui est visible c'est l'apparition des pattes et la disparition totale ou partielle de la queue. En effet, en profondeur, les organes du têtard ne se ressembleront en rien aux organes de l'amphibien une fois la métamorphose réussie. Mais malgré ça, le jeune amphibien n'est toujours pas à l'abri des prédateurs. En effet, les amphibiens n'ont pas la chance d'avoir de l'aide de leurs parents pour explorer la vie, mais vivent de l'expérience qu'ils ont bien pu acquérir avec le temps. Source
  12. La grenouille d'aquarium Une « grenouille d'aquarium » est par définition une grenouille qui vit dans un aquarium, tel un poisson. Notez toutefois que ce n'est pas toutes les grenouilles qui peuvent supporter une telle vie. - Qu'est-ce qu'une grenouille d'aquarium ? Quand on parle de grenouille d'aquarium, on veut parler de la famille des Pipidae, une famille très aquatique à patte palmée et qui s'élève habituellement dans un aquarium. La famille des Pipidae regroupe quatre genres provenant d'Afrique subsaharienne Pseudohymenochirus Chabanaud, Hymenochirus Boulenger, Silurana Gray, Xenopus Wagler et un genre provenant de l'est des Andes, en Amérique de Sud, Pipa Laurenti. Les Pipidae sont dépourvues de cordes vocales et pour attirer les femelles, les mâles émettent des cliquetis. - Alimentation Comme tous les amphibiens, la nourriture des grenouilles est composée de petits animaux invertébrés comme les mollusques, les vers, les insectes... Mais ces grenouilles aquatiques peuvent aussi se nourrir de petits poissons. Les grenouilles des aquariums ne mangeront que des aliments carnés. Il est inutile d'essayer de vouloir leur donner autre chose. Au pire, ils accepteront des aliments carnés séchés. - L'aquarium Un aquarium bien espacé, une eau bien oxygénée d'environ 22°C et à 20cm de profondeur, c'est en général ce que demande les grenouilles d'aquarium. Il faut veiller à la propreté bien entendu, de l'eau et du substrat. - La cohabitation Il est toujours préférable de ne pas essayer de les faire cohabiter. Les Xenopus et les Hymenochirus par exemple une fois adulte sont trop différents de par leur taille, ce qui présente un risque de cannibalisme. De la même manière, avec les poissons, il faut raisonner en termes de taille. Il est courant par exemple de voir les Xenopus chasser des poissons de 10 cm dans le milieu sauvage, il n'y a pas de raisons pour qu'ils ne le fassent pas dans l'aquarium. Attention aussi, le phénomène inverse peut très bien arriver. Source
  13. J'allais déjà prendre des notes, je verrai ce que je peux faire pour toi! Il va avoir plein de nouveaux visages aussi ce soir. Oui oui, je peux le confirmer, c'est moi qui les amène donc!
  14. Petit rappel pour la réunion de demain. J'espère y voir beaucoup de monde avec un sujet aussi intéressant et aussi peu touché.
  15. Donc on y va pour la grande finale!
  16. Les pompiers face au danger de ces drôles d'animaux de compagnie Face à la recrudescence de reptiles et autres bestioles exotiques à domicile, les pompiers de Monaco apprennent à les maîtriser Il faut connaître son ennemi pour mieux le contrôler. Une maxime liminaire à l'opération organisée hier au jardin animalier où des équipes de pompiers de Monaco et des Alpes-Maritimes se sont formés à apprivoiser les NAC... NAC, pour nouveaux animaux de compagnie : serpents, iguanes, furets... Autant de bestioles souvent effrayantes qu'il faut savoir maîtriser. Et en spécialiste du domaine, Jean-Marie Vitti, directeur du jardin animalier, dispense la formation. Formation nécessaire aux pompiers pour intervenir : « une fois nous avons retrouvé une vipère heurtante, dans une boîte en plastique, près d'une poubelle à Saint-Roman. Ce serpent d'Afrique du Nord peut être très venimeux et agressif, il faut le connaître », précise-t-il. La Principauté n'échappe pas à la mode NAC, qui a relégué chiens, chats et canaris au rang des has been. « La mode, ce sont les reptiles principalement. Certaines personnes aiment avoir un python de trois mètres dans la salle à manger. Cependant, il faut savoir les maîtriser. » Et quand ils s'échappent, c'est une autre affaire... Et là les pompiers interviennent. Un serpent capturé chaque semaine Véronique Vienet, vétérinaire et chef départemental des sapeurs pompiers des Alpes-Maritimes, chapeaute une équipe spécialisée qui intervient sur la région et à Monaco. « Dans le cursus de formation des pompiers, il y a huit heures d'apprentissage sur le sauvetage d'animaux exotiques. Dans notre groupe spécialisé, nous suivons 40 heures pour manipuler reptiles, mygales et scorpions ». Et le groupe animalier des pompiers du 06 cumule une centaine d'interventions annuelles. « Je connais beaucoup de personnes qui ont de gigantesques serpents chez eux, ça peut vous arriver à tous d'intervenir sur une disparition. Certains sont très venimeux et même un oeil exercé a du mal à les reconnaître », rappelle Jean-Marie Vitti, aux 17 pompiers qui, sur la base du volontariat, suivaient hier cette initiation, comme il s'en passe une à deux par an à Monaco. Pas rassurant, pour certains pompiers, de manipuler un iguane toutes griffes dehors ou d'emprisonner un anaconda dans une cage. « Pour un serpent, il faut compter un homme par mètre ». Période critique : l'été ! Comme les chiens laissés sur les bords des autoroutes, Véronique Vienet avec sa brigade compte un serpent par semaine lâché dans la nature à capturer. « Parfois nous avons à faire à des situations cocasses. Comme un homme qui a trouvé un python dans la cuvette de ses WC, ou une mamie qui a vu passer un crotale dans sa salle de bains en se douchant. » Des scènes de panique en découlent très souvent. Les pompiers interviennent avec leurs techniques, mais peuvent aussi utiliser le fusil hypodermique. « Seul un vétérinaire est habilité au tir, pour savoir quelle dose injecter. Mais dans certains cas, cela peut exciter l'animal avant de l'endormir. » Et, rassurez-vous, les animaux capturés ne sont pas tués. Beaucoup trouvent une nouvelle maison, au jardin animalier. Mais Jean-Marie Vitti préférerait que les gens réfléchissent « Bien sûr, ils vendent dix euros une mygale, vingt euros un iguane. Cela peut attirer certains, mais c'est beaucoup de responsabilité et de gestion ! » Et de plus en plus souvent, beaucoup de travail pour les sapeurs-pompiers. cverany@nicematin.fr Cédric Verany Source
  17. Serpent venimeux trouvé à la douane Il s’en est fallu d’un cheveu qu’un douanier ne se fasse mordre par une vipère des bambous, lors d’un contrôle à l’aéroport de Kloten. Ce dangereux reptile se trouvait dans les bagages d’un Suisse de 33 ans. L’homme venait de débarquer d’un avion en provenance de Malaisie, raconte le Tages-Anzeiger. «La découverte a été faite lors d’un contrôle de routine», déclare Heinz Widmer, inspecteur des douanes. Le serpent se trouvait dans un sac en toile, lui même placé dans un carton. La personne qui a effectué le contrôle aurait facilement pu être mordue à travers la toile. Le reptile a été confié aux services vétérinaires. Son propriétaire doit s’attendre à des poursuites judiciaires. (jbm) Source
  18. Vous vous rappellez d'Émile? /iguanides-f16/l-iguane-de-mon-amoureuse-t3699.htm Aujourd'hui Émile était en tournage pour l'émission pour le plaisir à Radio-Canada. Vous pourrez donc le voir ce mercredi 25 novembre entre midi et demi et 2h.
  19. Onze tortues d'Hermann protégées volées au jardin Botanique de Tours TOURS — Onze jeunes tortues d'Hermann, protégées par la convention de Berne et de Washington, ont été volées dans la nuit de dimanche à lundi au jardin Botanique de Tours, a indiqué vendredi la mairie. La Ville de Tours a déposé plainte auprès du commissariat de police, toujours de même source. Les tortues ont été volées dans un local fermé à clef qui a été forcé. La tortue d'Hermann (Testudo hermanni) est l'unique tortue terrestre en France. Elle atteint 20 cm et sa longévité est importante (80 ans). Elle figure en annexe II de la Convention de Berne (protection des espèces) et en annexe II et C1 de la Convention de Washington (commerce des espèces). Ces tortues, du fait de la protection dont elles font l'objet, pourraient être revendues par des trafiquants. Leur vente permettrait un gain financier conséquent, selon la mairie qui demande à toute personne qui se verrait proposer ces tortues à la vente de bien vouloir contacter la police. Source
  20. Plus lent qu'une tortue CLEVELAND (AP) -- Le zoo de Cleveland a mis 50 ans à s'apercevoir que Mary, la tortue pensionnaire du zoo, était un mâle. Ils ont décidé de la rebaptiser Terry. C'est au cours d'un examen de routine que les vétérinaires ont réussi à voir les organes reproductifs de l'animal, une tortue géante des Seychelles, normalement invisibles. La tortue de 180kg, arrivée en 1955 au zoo de Cleveland, avait été identifiée comme une femelle en raison de sa carapace plus plate, sa queue plus petite et sa circonférence moindre que celle des mâles ordinaires. AP Source
  21. Les grenouilles sont plus vivantes avec les cuisses Tuer une grenouille pour manger ses cuisses est aussi absurde qu'abattre un éléphant pour son ivoire. C'est la position de la Société vaudoise pour la protection des animaux, qui part en campagne. Explications. Chaque année, les Suisses avalent 120 tonnes de cuisses de grenouilles, dont 90% sont importées d'Indonésie. Après la fourrure et le foie gras, la Société vaudoise pour la protection des animaux a lancé le mois dernier une campagne dans le plus grand des cantons francophones du pays, histoire de convaincre ses habitants de boycotter la délicate gourmandise batracienne. Ses militants jugent inacceptable le commerce de grenouilles. Manger les cuisse de grenouilles est cruel, nuisible sur le plan écologique, et encourage un gaspillage «choquant». «Une grenouille pèse 125 grammes. Vous lui enlevez les cuisses, qui représentent 20% du poids total, et jetez le reste», selon le président de la Société vaudoise pour la protection des animaux (SVAP). Dans le cas du bœuf (50%) et du porc (40%) aussi le gaspillage est grand, mais pas à ce point, ajoute Samuel Debrot. Dans sa campagne, la SVPA qualifie le commerce mondial de grenouilles d'absurdité écologique et sociale. En Indonésie, premier exportateur mondial (5'000 tonnes), les grenouilles sont capturées et vendues par les agriculteurs qui en tirent un revenu d'appoint. «Mais moins de grenouilles, c'est davantage de moustiques et d'autres insectes», explique Samuel Debrot. Résultat, les agriculteurs indonésiens sont contraints d'acheter de pernicieux insecticides en grande quantité pour protéger leurs récoltes. Raison qui a poussé l'Inde à interdire l'exportations de grenouilles. Point de bascule Les cuisses de grenouilles fleurissent aux quatre coins du monde, des cafétérias scolaires aux restaurants huppés en Europe, jusqu'aux bancs des marchés et la table familiale en Asie et en Amérique du Sud. Selon les experts, un milliard environ de grenouilles sont prélevées de leur milieu naturel pour finir dans l'assiette des humains chaque année. La France et les Etats-Unis sont les deux principaux importateurs. Quelque cinq millions en font les frais en Suisse, essentiellement dans la région francophone du pays. Elles sont importées congelées d'Indonésie et de Turquie. La loi suisse par contre, sur place, protège les grenouilles et interdit de les tuer, de les capturer et de les élever. A l'échelle mondiale, un tiers des amphibiens sont officiellement en danger, conséquence de la destruction des habitats, du changement climatique, de la pollution et des maladies. Et leur commerce qui croît pourrait conduire à l'extinction une partie de ces espèces. Certains scientifiques vont jusqu'à craindre que le commerce de grenouilles reproduise la situation des grandes pêcheries. «Le fait est que le processus n'est pas graduel, selon Corey Bradshaw, professeur associé à l'institut de l'environnement à l'Université d'Adelaïde, cité par le Guardian. «Il y a un point de bascule. C'est exactement ce qui s'est passé avec la surexploitation de la morue dans l'Atlantique Nord. Avec les grenouilles, on ne dispose d'aucune donnée, aucun traçage, ni gestion du stock. Nous aurions dû apprendre de l'expérience de la pêche, mais il semble que ce n'est pas le cas.» Fermer boutique Sylejman Gjocaj, propriétaire à Payerne du restaurant du Cheval-Blanc, spécialisé dans la cuisse de grenouille, est préoccupé par la campagne anti-cuisses, qui s'ajoute à la récente interdiction de la cigarette dans les établissements publics. «Si j'arrête de cuisiner les cuisses de grenouilles, je peux fermer boutique», assure-t-il. Huit clients sur dix viennent chez lui pour ses fameuses cuisses au beure, persil, échalotes, accompagnées de frites. Un menu qu'il propose depuis quinze ans. Ceci dit, Sylejman Gjocaj dit comprendre l'argument du gaspillage et considère l'élevage de grenouilles comme une piste. L'argumentation de la SVPA porte sur un autre point encore. De l'étang à l'assiette, les grenouilles endurent des «souffrances injustifiables». Chassées de nuit à la lampe par des agriculteurs armés de filets et de crochets, elles sont capturées et mises dans des sacs par 300, avant d'être transportées sur de longues distances sur lesquelles beaucoup meurent. Les grenouilles vivantes sont par la suite découpées et éviscérées. Dans la plupart des cas, elles agonisent durant de longues minutes, selon la SVPA. Un impact incertain «Mais la chose n'est pas aussi cruelle que couper l'aileron des requins avant de les remettre à la mer», compare dans le quotidien 24 heures le propriétaire du restaurant du Tramway à Lausanne. Les cuisses de grenouilles de Pierre Meylan sont importées de Turquie par Les Escargots du Mont-d'Or à Vallorbe. La Turquie, qui protège les grenouilles durant les trois mois de la saison de l'accouplement, ce qui rend les choses plus écologiques, juge Bernard Fivaz, directeur de l'importateur. En Turquie, les grenouilles sont du reste endormies par le froid avant d'être tuées, ajoute ce dernier. A ce stade, l'impact de la campagne de la SVPA est incertain. Selon un mini-sondage du journal gratuit 20 minutes, 56% des personnes interrogées n'estiment pas cruel de tuer les grenouilles pour les manger. De l'autre côté de la frontière suisse, en France, les activistes des droits des animaux ont déjà tenté par le passé de convaincre leurs compatriotes de boycotter la délicatesse française la plus stéréotypique. Mais ils ont fait choux blanc, à quelques cuisses près. Simon Bradley, swissinfo.ch (Traduction de l'anglais: Pierre-François Besson) Source
  22. Max|mum-leterrarium

    Je suis papa

    Oh intéressant tout ça. On veut voir nous!
  23. Oh, j'ai été occupé toute la fds donc je n'ai pas vu. Résultat?
  24. Clique sur source. En allant sur la page de l'article, il y a 9 photos que l'on peut voir.
  25. Bonjour à tous, la présentation sur le braconnage avait été déplacé d'un mois puisque la personne qui devait venir avait été remplacé. Finalement, le remplaçant est malade mais elle a lieu quand même. C'est la personne du départ qui viendra nous faire la présentation avec une partie en powerpoint. La personne en question est : Yvan Labonté, sergent agent de liaison p.i. Ministère des Ressources naturelles et de la Faune du Québec Faune Québec Direction de la protection de la faune Région Montréal-Montérégie La réunion a toujours lieu vers 19h45 au au 620, rue Richelieu, Beloeil (Québec) J3G 5E8. On passe par la porte arrière et c'est la salle qui se trouve au sous-sol. N'allez pas à la salle qui se trouve à l'étage puisque c'est les réunions des Alcoolique anonyme qui ont lieu le même jour dans cette salle. Merci!
×
×
  • Créer...