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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Max|mum-leterrarium

    Qui se caches sous..

    Ce que j'avais oublié de spécifier, c'est qu'à chaque fois il regarde ta photo, il chante une chanson. Ça ressemble à : Un chapeau gris, une écharpe rouge, voilà bouli avec son petit nez rouge. Là j'entends déjà Geneviève me dire : Max pourquoi lui as tu remit ça dans la tête??? Grâce à toi à chaque fois qu'il revient sur le forum il a ça dans la tête et le rechante.
  2. J'ai trouvé un petit dépliant nommé "Espèce en détresse" qui nous parle de cette grenouille. Je l'ai trouvé très intéressant mais malheureusement, je l'ai qu'en une seule copie pour le moment mais je tente de pouvoir m'en procurer d'autres pour le faire circuler. Pour le moment, je vous le met ici. Bonne lecture! Espèce en détresse La plus petite grenouille du Québec, la rainette faux-grillon de l'Ouest, pourrait disparaître du sud de la province. La rainette faux-grillon de l'Ouest est une des onzes espèces de grenouilles présentes au Québec. Au Canada, on la retrouve dans la partie sud de l'Ontario et du Québec. Cette rainette est la plus petite de nos espèces de grenouilles (3,5 cm chez l'adulte). Concerts printaniers... Si sa petite taille la rend difficile à observer en nature, on peut par contre facilement entendre la rainette faux-grillon au printemps. C'est du mois d'avril au début de mai, lors de la période de reproduction, qu'elle nous offre son concert printanier. Les mâles reproducteurs chantent alors de jour comme de nuit à proximité des étangs et des mares où les femelles déposeront leurs oeufs. Leur chant ressemble au son que fait un peigne métallique sur les dents dequel on glisse un ongle. C'est un des seuls moments où on peut détecter cette rainette dans son milieu ; mais pour arriver à la voir, il faut s'armer de patience! La rainette faux-grillon de l'ouest en déclin Il fut un temps où cette espèce se retrouvait en abondance en Montérégie et en Outaouais. DEs données d'inventaires réalisés dans les années 50 indiquent que les populations de rainettes faux-grillons de l'ouest étaient alors plus importantes. Cette petite rainette est aujourd'hui disparue des vastes secteurs de la Montérégie. Sa situation pourrait également devenir préoccupante en Outaouais. Selon les plus récents inventaires, ce déclin inquiètant se poursuit. Une des principales causes de ce déclin est la perte d'habitats. La rainette faux-grillon de l'ouest a besoin de petits étangs temporaires et peu profonds pour se reproduire très tôt au printemps. Les petites mares issues de la fonte des neiges s'avèrent des milieux de prédilection puisque certaines prédateurs comme les poissons et les larves de libellules y sont absents. Cette rainette fréquente également les abords de ces milieux le reste de l'année. Or, dans le sud du Québec, le remblayage des terres humides autour des villes pour favoriser le développement résidentiel ainsi que le drainage et le nivellement des terres en milieu agricole ont causé une disparition presque systématique de ces milieux. À vous de jouer! Les propriétaires qui possèdent des milieux humides sur leurs terres peuvent contribuer au rétablissement de cette espèce. Certaines zones humides peu productives pour l'agriculture peuvent être conservées, des étangs peuvent être aménagés, des ententes de conservation peuvent être conclues. En plus d'offrir un habitat à cette grenouille, les petits étangs sont aussi très fréquentés par de nombreuses espèces, que ce soit des amphibiens, des oiseaux ou des mammifères. Le rôle de chacune de ces espèces dans l'écosystème est important. En effet, un équilibre s'établit dans la chaîne alimentaire : la rainette faux-grillon se nourrit principalement d'insectes et est, à son tour, la proie d'oiseaux, de reptiles ou de mammifères. Il faut donc apprendre à connaître la faune qui nous entoure et être prêts à lui donner un coup de pouce en préservant ses habitats. Un plan de rétablissement En 1998, une équipe de rétablissement composée de spécialistes a été mise en place. SOn but, trouver des solutions pour protéger les populations existantes et pour rétablir l'espèce dans les secteurs où elle s'est rarefiée ou est disparue. Des inventaires et des études sur le terrain sont en cours afin de mieux connaître l'habitat de cette espèce. Les travaux de cette équipe ont d'ailleurs conduit le gouvernement du Québec à désigner la rainette faux-grillon de l'ouest espèce vulnérable en vertu de la Loi québecoise sur les espèces menacées ou vulnérables. Les objectifs du plan de rétablissement sont de : protéger les habitats occupés par la rainette faux-grillon ; améliorer la qualité des habitats connus de la rainette faux-grillon ; créer de nouveaux habitats pour la rainette faux-grillon en Montérégie et y établir de nouvelles populations viables. Pour plus d'information sur le plan de rétablissement, vous pouvez communiquer avec la société de la faune et des parcs du Québec. Montérégie : (450) 928-7607 Outaouais : (819) 772-3434 Si vous désirez en savoir plus sur les options de conservation qui s'offrent à vous en tant que propriétaire de milieux naturels en Montérégie, vous pouvez écrire au Centre d'interprétation du milieu écologique du haut-Richelieu aux coordonnées suivantes : CIME Haut-Richelieu C.P. 343 Saint-Jean-Sur-Richelieu (Québec) J3B 6Z5 Courriel : cime.hr@qc.aira.com Pour ceux qui sont intéressé par cette brochure, je suis à la recherche du moyen de pouvoir en avoir d'autres en ce moment. Sinon, il m'est possible de vous la faire photocopier et vous l'envoyer par la suite par la poste.
  3. Saviez-vous que les 8 espèces de tortues du Québec sont considérées comme rares ou considérés comment pouvant l'être un jour? La tortue-molle à épines, la tortue musquée, la tortue ponctuée, la tortue mouchetée, la tortue géographique et la tortue des bois sont des tortues considérées comme étant rares. La tortue serpentine et la tortue peinte pourrait un jour le devenir. Pour ceux qui sont intéressé, j'ai en ma possession des dépliants du nom de S.O.S. tortue qui nous en parle. Je vous site un passage. Au Québec, six des huits espèces de tortues sont rares ou en situation précaire. Les tortues du Québec sont vulnérables car : Elles sont à la limite nordique de leur répartition naturelle ; L'âge de reproduction est tardif ; La survie des oeufs et des jeunes est faible ; Ainsi chaque petit impact négatif survenant sur leur habitat, ou sur les individus eux-mêmes, peut avoir de grandes répercussions sur la survie des populations entières! Voici leurs principales menaces : Destruction ou modification de leur habitat Aujourd'hui encore, les habitats aquatiques des tortues et leurs sites de pontes sont souvent détruits au profit du développement. Récolte illégale Bien que la loi l'interdise, les tortues sont souvent récoltées par les gens pour être ensuite gardées en captivité. Ce braconnage a provoqué le déclin de plusieurs populations. Les tortues peuvent transmettre à l'humain une maladie : la salmonellose. Évitez de les manipuler! Mortalité sur les routes Quelques centaines de tortues meurent écrasées sur les routes du Québec chaque année. Ce sont surtout les femelles en quête d'un site de ponte qui périssent ainsi. Prédation des nids Les sentiers et les abords des rotues attirent les tortues qui viennent y pondre souvent en grand nombre. Ces sites de ponte "artificiels" attirent malheureusement aussi les prédateurs, tels la moufette rayée et le raton laveur, qui peuvent dévorer la presque totalité des oeufs. Tortues exotiques Les tortues vendues en animalerie, comme la tortue à oreilles rouges, sont parfois relâchées dans la nature. Ceci peut nuire aux populations naturelles par l'introduction de maladies ou par la compétition pour certains habitats. Vous pouvez aider les tortues... En sensibilisant les gens de votre entourage et les organismes locaux à la problématique de la survie des tortues. En vous abstenant de les récolter dans leur milieu naturel. En dénonçant tout acte de braconnage envers ces animaux. En évitant de déranger les femelles en train de pondre. Observez-les à distance. En étant attentif aux endroits où les tortues peuvent traverser la route, surtout lors de la ponte en juin. En évitant de stationner sur l'accotement graveleux des routes situées près de leur habitat, et ce, afin de ne pas écraser les nids. En évitant la pratique d'activités nautiques mautorisées dans les secteurs leur servant de sites d'expositions au soleil. En évitant de modifier ou de détruire leur habitat comme les milieux humides, les lacs et les cours d'eau. En rapportant vos observations d'espèces rares aux personnes et aux organismes concernés. Vous avez observé une tortue rare? S'il vous plaît, aviser les personnes ou les organismes suivants : Société d'histoire naturelle de la vallée du Saint-Laurent : david.rodrigue@ecomuseum.ca Jean-François Desroches et Isabelle Picard, biologistes : tortue@ca.inter.net Si quelqu'un veut la brochure de S.O.S. tortue! communiquez avec moi et je pourrai vous en faire parvenir une par la poste. Merci
  4. Voici un post sur la règlementation des espèces indigènes en captivité. Je vous copie des passages lût sur un site gouvernemental. Je vous copie que les passages concernant le sujet des amphibiens et reptiles. c. C-61.1, r.5 Règlement sur les animaux en captivité Loi sur la conservation et la mise en valeur de la faune (L.R.Q., c. C-61.1, a. 42, 43, 55 et 162) SECTION I CHAMP D'APPLICATION ET INTERPRÉTATION 1. Le présent règlement s'applique à la garde en captivité d'un animal, à sa capture dans le but de le garder en captivité et, le cas échéant, à sa disposition. D. 1238-2002, a. 1. SECTION II OBLIGATIONS GÉNÉRALES 3. Quiconque garde en captivité un animal doit respecter les obligations suivantes : 1° lui fournir de l'eau et de la nourriture de qualité et en quantité suffisante pour satisfaire à ses besoins physiologiques ; 2° le garder dans un endroit salubre convenant aux besoins de son espèce ; 3° lui donner accès en tout temps à un abri convenant aux besoins de son espèce ; 4° s'assurer qu'il reçoit les soins de santé requis par son état physiologique. D. 1238-2002, a. 3. SECTION III GARDE EN CAPTIVITÉ D'ANIMAUX SANS PERMIS ET DISPOSITION 5. Aucun permis n'est requis pour la garde en captivité, à des fins personnelles, pour la capture dans le but de cette garde en captivité et, le cas échéant, pour la disposition d'oeufs ou de têtards des amphibiens mentionnés à l'annexe I ou d'au plus 10 animaux des espèces indigènes mentionnées à l'annexe I dont au plus 2 ouaouarons. D. 1238-2002, a. 5. 6. Quiconque capture sans permis un animal d'une espèce indigène mentionnée à l'annexe I pour le garder en captivité doit le faire à l'aide d'un moyen autre que le feu et qui permet de le capturer sans le blesser. La capture de cet animal peut se faire à toute époque de l'année, sauf pour le ouaouaron et pour la grenouille léopard dont la période de capture s'échelonne du 15 juillet au 15 novembre. De plus, la capture d'un amphibien mentionné à l'annexe I peut se faire dans toutes les zones de pêche et de chasse à l'exception des zones 17, 19 partie nord, 22, 23 et 24. D. 1238-2002, a. 6. 7. Quiconque garde en captivité sans permis un animal, des oeufs ou des têtards d'une espèce indigène mentionnée à l'annexe I peut en disposer autrement que par la vente ou l'abattage. D. 1238-2002, a. 7. 8. Aucun permis n'est requis pour la garde en captivité, à des fins personnelles ou d'élevage et, le cas échéant, pour la disposition d'un animal d'une espèce mentionnée à l'annexe II. D. 1238-2002, a. 8. 16. Aucun permis n'est requis pour la garde en captivité et, le cas échéant, pour la disposition d'animaux d'espèces exotiques ou d'amphibiens indigènes, autres que ceux d'une espèce menacée ou vulnérable désignée en vertu de la Loi sur les espèces menacées ou vulnérables (L.R.Q., c. E-12.01) par un établissement ou un organisme d'enseignement ou de recherche. D. 1238-2002, a. 16. 18. Aucun permis n'est requis pour la garde en captivité, à des fins de réhabilitation, pour une période n'excédant pas une année, des animaux d'espèces indigènes blessés ou orphelins par un médecin vétérinaire ou par un titulaire de permis de jardin zoologique ou de centre d'observation de la faune. Dès qu'un animal est réhabilité, le médecin vétérinaire ou le titulaire de permis doit le libérer dans la nature s'il est apte à y survivre. Si l'animal n'est pas apte à survivre dans la nature, il peut l'abattre ou le remettre à un agent de protection de la faune. D. 1238-2002, a. 18. 19. Le titulaire de permis ou le médecin vétérinaire qui garde en captivité sans permis un animal à des fins de réhabilitation doit respecter les obligations suivantes : 1° permettre à un agent de protection de la faune ou à une personne qui l'accompagne de faire des prélèvements sur les animaux gardés en captivité ou dans les endroits où ils sont gardés ; 2° produire, au ministre des Ressources naturelles et de la Faune, le ou avant le 31 janvier de chaque année, un rapport indiquant : a) le nombre d'animaux, selon leur espèce, gardés en captivité ; b) la provenance des animaux reçus au cours de l'année et la date de leur réception ; c) le nombre d'animaux, selon leur espèce, qui ont été abattus ou dont il a disposé au cours de l'année. D. 1238-2002, a. 19. SECTION VII GARDE D'AMPHIBIENS 37. Le permis de garde d'amphibiens autorise la capture dans le but de la garde en captivité et la garde en captivité à des fins commerciales et d'élevage des espèces d'amphibiens mentionnées à l'annexe IV. D. 1238-2002, a. 37. 38. Pour obtenir un permis de garde d'amphibiens, toute personne doit, lors de sa demande écrite au ministre, remplir les conditions suivantes : 1° fournir ses nom et adresse ; s'il s'agit d'une personne morale, son nom et l'adresse de son siège ; s'il s'agit d'une société, son nom et l'adresse de son principal établissement ; s'il s'agit d'une personne physique qui exerce son activité sous un autre nom, ce nom, les nom et adresse de cette personne et l'adresse de son principal établissement ; 2° indiquer les espèces d'amphibiens qu'elle désire capturer et garder ; 3° indiquer l'endroit où ces espèces seront gardées. D. 1238-2002, a. 38. 39. Les membres de la famille d'un titulaire de permis de garde d'amphibiens ayant le même domicile que celui-ci de même que les actionnaires et les employés d'une personne morale, les associés et les employés d'une société et les employés d'une personne qui exerce son activité sous un autre nom, titulaire d'un permis de garde d'amphibiens, peuvent utiliser le permis de ce titulaire pour capturer des amphibiens. D. 1238-2002, a. 39. 40. Le permis de garde d'amphibiens est renouvelable si son titulaire remplit les conditions suivantes : 1° présenter une demande écrite au ministre ; 2° s'être conformé aux dispositions prévues à la section II et à celles de la présente section ; 3° joindre à sa demande le paiement des droits prévus au Règlement sur la tarification reliée à l'exploitation de la faune (c. C-61.1, r. 32). D. 1238-2002, a. 40. 41. Le titulaire d'un permis de garde d'amphibien doit produire au ministre, le ou avant le 31 janvier de chaque année, un rapport indiquant : 1° les endroits de capture et, pour chaque endroit de capture, le nombre d'animaux capturés par espèce ; 2° le nombre d'amphibiens achetés et leur provenance ; 3° le nombre d'amphibiens de chaque espèce vendus. D. 1238-2002, a. 41. 42. Le titulaire d'un permis de garde d'amphibiens de même que les personnes visées à l'article 39 peuvent capturer des amphibiens mentionnés à l'annexe IV à toute époque de l'année, à l'exception du ouaouaron, de la grenouille léopard et de la grenouille verte dont la période de capture s'échelonne du 15 juillet au 15 novembre. La capture de ces amphibiens s'effectue dans toutes les zones de pêche et de chasse, à l'exception des zones 17, 19 partie nord, 22, 23 et 24. D. 1238-2002, a. 42. 43. Le titulaire d'un permis de garde d'amphibiens de même que les personnes visées à l'article 39 qui capturent un amphibien mentionné à l'annexe IV doivent le faire à l'aide d'un moyen autre que le feu et qui permet de le capturer sans le blesser. D. 1238-2002, a. 43. 44. Le titulaire d'un permis de garde d'amphibiens de même que les personnes visées à l'article 39 peuvent disposer des amphibiens, autres que les oeufs et les têtards de ces amphibiens qu'ils gardent en captivité, en les donnant, les vendant, les abattant ou en les libérant dans la nature. D. 1238-2002, a. 44. NNEXE I (a. 5, 6, 7, 20, 25, 26 et 31) ESPÈCES INDIGÈNES ADMISES À LA GARDE EN CAPTIVITÉ SANS PERMIS Classe des Amphibiens Crapaud d'Amérique (Bufo americanus) Grenouille des bois (Rana sylvatica) Grenouille du Nord (Rana septentrionalis) Grenouille léopard (Rana pipiens) Grenouille verte (Rana clamitans) Necture tacheté (Necturus maculosus) Ouaouaron (Rana catesbeiana) Triton vert (Notophthalmus viridescens) Classe des Reptiles Couleuvre rayée (Thamnophis sirtalis) Source
  5. Le braconnage désigne la chasse ou la pêche illégale. Les raisons de l'illégalité peuvent être diverses : la chasse ou la pêche a lieu en dehors des périodes qui lui sont réservées ; les animaux se trouvent sur un domaine privé ; les moyens utilisés ne sont pas autorisés ; l'espèce chassée ou pêchée est protégée ; la capture d'un animal protégé et enfin, bien sûr, ne pas être titulaire d'un permis quand il est nécessaire. Eh oui, si on se fie à la loi, il ne suffit pas de tuer ou chasser un animal interdit pour se trouver dans l'illégalité de braconnage. Le simple fait d'en capturer une et de la garder en captivité fait que nous sommes dans l'illégalité. Je n'écris pas tout ça dans le but de faire peur à qui que ce soit. Je veux juste expliquer ce qu'est le braconnage. J'ai écris au service à la clientèle de S.O.S. braconnage pour avoir de l'information complémentaire à vous transmettre sous peu. Si vous êtes témoin d’un acte de braconnage, rapportez-le à un agent de protection de la faune en communiquant avec S.O.S. Braconnage : par courriel : centralesos@mrnf.gouv.qc.ca ou par téléphone au 1 800 463-2191. Ce numéro doit être utilisé uniquement pour rapporter un acte de braconnage. Pour une demande de renseignements, communiquez avec le Service à la clientèle ou l'un des bureaux régionaux. Services à la clientèle Par courrier : 880, chemin Sainte-Foy, RC 120-C Québec (Québec) G1S 4X4 Par téléphone : 418 627-8600 Ligne sans frais : 1 866 248-6936 Par télécopieur : 418 644-6513 Par courriel : services.clientele@mrnf.gouv.qc.ca Heures d'ouverture Lundi, mardi, jeudi et vendredi : de 8 h 30 à 16 h 30 Mercredi : de 10 h à 16 h 30
  6. Chasse au crocodile... près d'Epinal Le propriétaire d'un l'étang à Xertigny, au sud-ouest d'Epinal (Vosges), un homme de 82 ans, avait remarqué qu'un drôle d'animal vivait sur sa propriété. Ayant peur d'être pris pour un fou, il n'a pas osé en parler tout de suite. Mais peu à peu d'autres personnes ont aperçu que l'étendue d'eau, située au bord d'une route départementale, hébergeait... un crocodile. Un agriculteur de la région a indiqué avoir aperçu sur la berge il y a une quinzaine de jours une camionnette suspecte d'où le reptile a pu être jeté à l'eau. Ce témoignage est corroboré par le propriétaire qui s'est plaint de trouver toutes sortes d'objets dans l'eau, des vieux engins comme des cadavres de bêtes. Depuis, un piège a été installé pour capturer la bête mesurant environ 1,50 m de long. L'animal a été approché à deux mètres mercredi matin par des pompiers alors qu'il se trouvait sur la berge, mais il a rapidement disparu dans les eaux. L'arrêté de capture pris par la maire de Xertigny, Véronique Marcot, précise que le crocodile sera ensuite placé dans un zoo. Source
  7. Europe : le crapaud capote Les amphibiens décroissent. Au point que 23 % sont classés sur la liste rouge européenne des espèces menacées, alerte une étude révélée lors de la journée mondiale de la biodiversité. On n’a jamais vu une grenouille avec des plumes, et c’est bien dommage. Car si le déclin des espèces volatiles émeut aisément l’opinion, celui des batraciens, en revanche, la laisse froide comme leur sang. Grenouilles, crapauds, tritons et salamandres sont pourtant en mauvaise passe sur le Vieux Continent. Selon une étude réalisée à la demande de la Commission européenne par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), un quart des espèces européennes d’amphibiens - il en existe au total 85 - sont menacées de disparition et plus de la moitié (59 %) sont en déclin. Les batraciens ne sont pas seuls à péricliter. Les reptiles - serpents, lézards et tortues - sont eux aussi sur la sellette, avec 42 % d’espèces déclinantes. Au final, l’UICN classe 23 % des amphibiens et 21 % des reptiles sur la liste rouge des espèces menacées en Europe. Les premiers se portent encore plus mal au niveau mondial, où une espèce sur trois court un danger critique. Les grenouilles arboricoles, singulièrement, ont la tête sur le billot, victimes des déforestations tropicales et d’une mycose friande de canicule. Or, le champignon a récemment mis le pied, si l’on peut dire, sur le continent européen. « Des cas ont été constatés en Espagne, en altitude et par forte chaleur », explique Alain Pagano, maître de conférences en écologie à l’université d’Angers et spécialiste du sujet. Encore limitée, cette apparition inquiète, alors que le monde se prépare au réchauffement climatique. Mais pour l’heure, la cause principale du déclin des amphibiens en Europe est à chercher dans l’action humaine et les bouleversements qu’elle inflige à leurs habitats. Routes, voies ferrées ou encore lotissements ont peu à peu rogné sur les zones humides. Quand les constructions ne les ont pas détruites, elles les ont isolées les unes des autres, freinant le brassage des individus et favorisant une consanguinité stérile. « Quand on est une grenouille, mieux vaut courir le gueux que de se cloîtrer avec son concubin », résume Alain Pagano. L’agriculture intensive est elle aussi en cause, entre autre du fait des pesticides qui ont contaminé les mares. Idem pour la pollution en général. L’introduction d’espèces envahissantes, enfin, est pointée du doigt. Exemple éloquent : celui de la grenouille taureau - elle meugle… -, vraisemblablement rapportée des États-Unis par un particulier. Trente ans après, elle envahit le sud de la France, bouffant les ressources des autres espèces. Résultant de l’action humaine, la disgrâce des batraciens ne pose pas uniquement un problème éthique. « D’abord, elle est le reflet d’un mal-être plus profond de la biodiversité », explique Florian Kirchner, chargé du programme Espèces pour l’UICN-France. Par ailleurs, alors que les amphibiens, amateurs de moustiques et autres insectes, contribuent à la régulation réciproque des espèces, leur perte pourrait priver les écosystèmes de ce service, poursuit-il. D’un point de vue scientifique, enfin, ils sont les porteurs potentiels de molécules susceptibles d’intéresser l’homme. « En 2000, une grenouille à incubation gastrique (elle "couvait" dans son estomac - NDLR) a été découverte en Australie, ce qui ouvre des perspectives de remède contre les ulcères », raconte Florian Kirchner. Las, l’espèce a disparu avant qu’on ait le temps d’exploiter sa capacité à protéger ses oeufs des sucs gastriques. Que faire pour juguler la décroissance ? Préserver et restaurer les espèces menacées et créer, à cet effet, des espaces protégés. Prendre en compte, aussi, les enjeux de la biodiversité dans les politiques sectorielles. En renonçant à l’agriculture intensive ou en révisant, si nécessaire, le tracé d’une route, voire en l’aménageant de tunnels afin que les bêtes puissent la traverser. Enfin il faut pouvoir évaluer l’efficacité des mesures engagées pour les réorienter le cas échéant. Et là, Alain Pagano est très clair : « La recherche publique n’a plus aujourd’hui les moyens, ni humains ni financiers, d’effectuer le suivi indispensable à cette évaluation. » Marie-Noëlle Bertrand Repères : 40% seulement des masses d’eau françaises étaient considérées en bon état en 2008, estime l’UICM France dans son évaluation annuelle publiée lundi. « En dépit de ses efforts, la France n’arrivera pas plus que l’Europe à enrayer la perte de biodiversité d’ici à 2010, comme elle s’y était engagée au début du millénaire », note l’organisation, qui souligne que près de 14 000 hectares de nature sont artificialisés chaque année du fait de l’urbanisation Source
  8. Tiens, il ne me met plus ça sur ma faute. En passant, Séverine va être content. J'avais dit quand j'aurai trouvé un autre emploi, c'est chose fait. Oui peu de temps après qu'on se soit parlé tantôt, ils m'ont rappellé pour dire que j'étais prit.
  9. Max|mum-leterrarium

    Qui se caches sous..

    Avec la langue sortie ça veut tout dire.
  10. Ok je vous mettrai les photos dans peu de temps.
  11. Mais en passant, Martin ne m'a pas chargé pour sexer la mienne.
  12. Max|mum-leterrarium

    Qui se caches sous..

    Il n'a pas encore demandé de photo en petit string léopard au moins.
  13. Martin Gamache m'avait dit que ce n'était pas un truc 100% sur ça
  14. Un adolescent réveillé par un serpent de 90 cm New York, États-Unis - Un adolescent s'est réveillé dimanche matin nez à nez avec un boa constrictor. Kareem Lewis, 18 ans, habite avec ses parents dans un appartement au rez-de-chaussée d'un immeuble du Bronx. Le jeune homme s'est réveillé dimanche matin vers 10h pour découvrir un serpent de 90 centimètres. "Le serpent était juste là à me regarder. J'ai paniqué quand il a commencé à glisser vers moi". L'adolescent a appelé la police qui est parvenue à enfermer le boa dans une taie d'oreiller jusqu'à l'arrivée des responsables du contrôle des animaux. Source
  15. Max|mum-leterrarium

    Qui se caches sous..

    Tu vas la mettre dans la salle de bain celle là?
  16. Des pompiers spécialistes des bêtes sauvages En Ille-et-Vilaine, 43 pompiers sont formés à la reconnaissance et à la capture d'animaux. Bovins, chiens méchants, serpents, araignées... L'équipe en voit de toutes les couleurs. Des histoires de bêtes, Jean-François Marquer pourrait en raconter des centaines. Pompier depuis une trentaine d'années, il est responsable de l'équipe animalière, créée chez les pompiers au milieu des années 80. Vendredi, on les a appelés pour un chien méchant. La veille, c'était pour un serpent. Rien d'exceptionnel pour ces spécialistes et le vétérinaire qui les accompagne. Pour capturer certains animaux, les pompiers s'arment d'un fusil et de flèches anesthésiantes. Dans leur boîte à outils, on trouve aussi des pinces, des épuisettes, des fléchettes, un lasso, des filets, des cages... L'intervention la plus courante en Ille-et-Vilaine reste le bovin en divagation. En bordure de la forêt de Paimpont, Jean-François Marquer se souvient de cettevache furieuse qui ne voulait plus rejoindre son troupeau. « Elle jouait à cache cache avec son propriétaire depuis une quinzaine de jours. On a utilisé un fusil hypodermique pour lui administrer un puissant anesthésiant. Un quart d'heure après la piqûre, l'animal s'est endormi. » Kangourou et serpent Il y a aussi ce chevreuil qui avait semé la panique dans la cour d'une école à Rennes.Ou cette éclosion d'araignées dans un TGV Paris-Brest ! Les insectes s'étaient réfugiés dans les bagages d'un Breton qui revenait de La Réunion. Les rencontres insolites ne manquent pas. Les pompiers n'oublieront pas de sitôt le kangourou qui s'était échappé d'un enclos près de Saint-Aubin-d'Aubigné. Il gambadait sur la route, à la grande surprise des automobilistes. L'équipe l'avait cueilli en douceur avant de le remettre à son propriétaire. « On a eu aussi le cas d'un reptile qui s'était échappé de son aquarium. Il avait trouvé refuge sous un évier dans l'appartement du voisin ! » 60 interventions par an C'est eux aussi qu'on appelle pour la capture d'un chien dans une voiture accidentée ou pour un incendie dans une ferme. Pas question toutefois de se mettre en danger. « Si on ressent une agressivité chez l'animal, on garde nos distances », dit Jean-François Marquer. Chaque année, l'équipe animalière réalise une soixantaine d'interventions dont 30 % concernent les nouveaux animaux de compagnie (serpents, singes, oiseaux exotiques etc.) De plus en plus sollicitée, l'équipe est passée de 20 à 43 pompiers répartis dans toute l'Ille-et-Vilaine. Tous ont été formés à la reconnaissance, à l'approche et à la capture d'animaux. Nathalie FLOCHLAY. Ouest-France Source
  17. Les amphibiens et les reptiles d'Europe en péril Un cinquième des reptiles d'Europe et près d'un quart de ses amphibiens sont menacés, telle est la conclusion de nouvelles études réalisées à la demande de la Commission européenne par l'UICN (Union internationale pour la conservation de la nature). Ces études, qui ont été présentées à l'occasion de la Journée mondiale de la biodiversité, sont les premières listes rouges européennes des amphibiens et des reptiles et révèlent des tendances démographiques alarmantes. Plus de la moitié des amphibiens (59 %) et 42 % des reptiles d'Europe sont en déclin, ce qui signifie que les amphibiens et les reptiles sont même plus menacés que les mammifères et les oiseaux d'Europe. Pour 23 % des amphibiens et 21 % des reptiles, la situation est si grave qu'ils sont classés comme espèces menacées sur la liste rouge européenne. La pression exercée sur ces espèces en déclin est essentiellement causée par la destruction de leurs habitats naturels par l'homme, associée aux changements climatiques, à la pollution et à la présence d'espèces envahissantes. Le docteur Helen Temple, coauteur de l'étude, a déclaré à ce sujet: «L'Europe méridionale est particulièrement riche en amphibiens, mais les changements climatiques et d'autres menaces exercent une lourde pression sur ses habitats d'eau douce. Dans toute l'Europe, la croissance de la population humaine, l'intensification de l'agriculture, l'extension urbaine et la pollution font reculer la place des habitats naturels. Ce n'est une bonne nouvelle ni pour les amphibiens ni pour les reptiles.» «En dépit d'une législation stricte protégeant nos habitats ainsi que la plupart des espèces concernées, près d'un quart des amphibiens d'Europe sont aujourd'hui menacés. Ce constat témoigne de la pression énorme à laquelle nous soumettons la faune et la flore d'Europe et souligne la nécessité de repenser notre relation au monde naturel. J'appelle donc les citoyens, les responsables politiques et les milieux industriels à méditer sur notre récent message d'Athènes et à tenir compte de la question de la biodiversité dans les décisions qu'ils prennent. Nous ne pouvons continuer ainsi.» a déclaré Stavros Dimas, membre de la Commission européenne chargé de l’environnement. L'Europe abrite 151 espèces de reptiles et 85 espèces d'amphibiens, dont beaucoup ne vivent en nul autre endroit de la planète. Six espèces de reptiles, y compris le lézard tacheté de Ténériffe (Gallotia intermedia) et le lézard des murailles des îles éoliennes (Podarcis raffonei), ont été classées comme espèces en danger critique d'extinction, ce qui signifie que le risque d'extinction de ces espèces à l'état sauvage est extrêmement élevé. Onze autres espèces sont classées comme espèces en danger (risque très élevé d'extinction à l'état sauvage) et dix autres comme espèces vulnérables (risque élevé d'extinction à l'état sauvage). Parmi les amphibiens, groupe comprenant les grenouilles, les crapauds, les salamandres et les tritons, deux espèces ont été classées comme espèces en danger critique d'extinction: la grenouille de Karpathos (Pelophylax cerigensis) et le triton du Montseny (Calotriton arnoldi), seul triton endémique d'Espagne. Cinq autres espèces, notamment le crapaud à ventre jaune des Apennins (Bombina pachypus), sont en danger, et onze autres sont classées comme vulnérables. Les amphibiens et les reptiles sont même plus menacés que d'autres groupes d'espèces : en effet, 15 % des mammifères et 13 % des oiseaux sont en péril. Il est presque certain que d'autres groupes sont également menacés, mais les groupes précités sont les seuls à avoir été entièrement évalués au niveau européen conformément aux lignes directrices pour l'application au niveau régional des critères de l'UICN pour les listes rouges. La biodiversité – tissu vivant dont nous dépendons tous – est en déclin partout dans le monde. La perte d'habitats constitue la plus grande menace tant pour les reptiles que pour les amphibiens d'Europe. Les changements climatiques, la pollution et les espèces exotiques envahissantes représentent également des menaces. L'Union européenne s'est engagée à mettre un terme à la perte de biodiversité d'ici 2010 et, à cette fin, à mettre en œuvre un plan d'action en faveur de la diversité biologique. En avril, le «message d'Athènes» en huit points a souligné la nécessité d'accroître les efforts pour enrayer cette perte et de prendre, à cet effet, des mesures visant notamment à faire mieux comprendre à tous l'importance de cette question, à améliorer le financement et à intégrer de façon plus systématique les préoccupations en matière de biodiversité dans d'autres domaines d'action. Les listes rouges européennes établies par l'UICN constituent le cadre qui permet de classer les espèces selon leur risque d'extinction. Les espèces menacées sont celles qui sont classées comme étant en danger critique d'extinction, en danger et vulnérables. Source
  18. Mais si on l'observe, c'est très intéressant comme petit animal.
  19. Bienvenue parmi nous! Je peux poser une question sans offenser? Je respecterai la réponse quelle qu'elle soit. Je me demande pourquoi vouloir reproduire cette espèce quand plusieurs tentent de les limiter en captivité? Pourquoi ne pas simplement les garder pour le plaisir et en cas de vouloir reproduire absolument, choisir une autre espèce?
  20. Ok ok bien en fait, il est humide sur la photo parce que je venais de faire gonfler le bloc.
  21. Bah là, il faut bien que je vous fasse chercher un peu quand même.
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