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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. On se reprendra en août au pire. Ça va être fou celui là avec près de 80 000 visiteurs en 4 jours.
  2. Chez les chiennes aussi d'ailleurs. Je l'ai vécu avec ma rottweiler il y a quelques années.
  3. Eh oui, il y aura encore une fois une exposition au mail Montenach à Beloeil la première fin de semaine de Mai. Je suis présentement à la recherche d'exposants potentiels pour l'événement. Vous pouvez me contacter par MP ou encore par email maximumreptiles@hotmail.com . Je vous donnerai les informations nécessaires par la suite. Merci et bonne journée.
  4. Pour en finir avec l’hécatombe des grenouilles Les barrières empêchant les batraciens de franchir la grande route près du site de reproduction des Bidonnes, à Bogis-Bossey, ont donné une bonne récolte. On attend avec impatience des crapauducs «Coââ… splash!» Deux onomatopées suffisent à traduire le tragique destin d’amphibiens pour qui la saison des amours devient fréquemment la saison de la mort. Ce scénario est rejoué chaque année. Lorsque la première pluie printanière met fin à leur hibernation, ces animaux à sang-froid quittent immédiatement leur site d’hivernage pour celui de reproduction. Une transhumance souvent fatale si elle croise une route à fort trafic. C’est justement ce qui se passe près de Bogis-Bossey, où la route de Crassier sépare le bois des Mouilles du marais des Bidonnes. Or, ce dernier est un site de reproduction de batraciens d’importance nationale, qui plus est fait partie – avec Les Mosses de La Rogivue (Maracon), la Bernoise (Bavois) ainsi que les Vuargnes (Lausanne) – des sites prioritaires du canton. La particularité y est tant qualitative que quantitative. La migration concerne quelque 1200 individus et plusieurs espèces, dont deux rares. En effet, alors que la grenouille rousse, le triton alpestre et le crapaud commun sont plus largement répandus en Suisse, la présence de la grenouille agile et du triton palmé est exceptionnelle. Six cents mètres de barrière Dans le but de sauvegarder la diversité animalière et l’écosystème des Bidonnes, le bureau d’ingénieurs A. Maibach a étudié le terrain dès le mois de février. A partir des indications données par les habitants, le Service des routes et les gardes-faune, 600 mètres de barrières en plastique ont été montés en bordure de route avec, tous les 25 mètres, un seau dans lequel tombaient grenouilles, tritons et crapauds. Jusqu’à 50 par récipient et par soir! Ce recensement a permis de délimiter l’aire concernée: le passage s’est étalé sur 200 mètres et se concentrait sur dix nuits (dont la période varie d’année en année selon la météo). Bientôt des crapauducs La prochaine étape sera, après approbation de l’Etat, l’installation de passages sous-voie. Ces crapauducs se composent de fossés collecteurs en béton le long de la chaussée reliés à des tubes qui la traversent. Il en faudra en tout cas dix, ce qui impliquera des travaux pour quelque 500?000?francs. Cet aménagement garantira la protection de la faune comme la sécurité routière. Source
  5. Eh bien, j'ai été fortement impressionné de voir cette tortue attrapé le pigeon. C'est beaucoup plus rapide que je l'aurais cru.
  6. Une tortue blessée se rend d'elle-même aux urgences Floride, États-Unis - Une tortue de mer malade s'est rendue d'elle-même à un centre de soins pour reptiles. Les tortues sont réputées pour traverser des milliers de kilomètres pour retrouver la plage où elles ont vu le jour pour pondre. Mais une tortue a développé un tout autre instinct. En effet, l'animal de 35 kg, atteint d'une infection bactérienne, s'est déplacé jusqu'à un hôpital spécialisé pour les reptiles dans la ville de Marathon (Floride).C'est Ryan Butts, un employé de la clinique, qui l'a découverte à l'entrée de l'établissement. La tortue malade est restée en observation, pour soigner son infection mais également sa faiblesse et sa maigreur. Il lui faudra un certain temps avant de repartir en mer. Source
  7. Le lycée agricole prend soin de son triton crêté Développement durable. Le triton crêté c'est le symbole. Au lycée agricole de Sées, on mène depuis longtemps une action remarquable en faveur de la biodiversité et de l'environnement en général. Pendant deux jours, le lycée agricole de Sées a accueilli un séminaire national sur la biodiversité. L'établissement ornais a présenté l'action qu'il mène en faveur du triton crêté, une espèce d'amphibien curieusement préservé dans une mare de l'exploitation. « Lors du vaste remembrement effectué dans la plaine de Sées dans les années 60, la plupart des mares ont été bouchées, observe Renaud Jégat, pilote de l'opération. Une seule a été créée, c'était en 1963, mais en fait elle n'était pas utilisée. Elle était enfouie sous les broussailles. » Le lycée a depuis repris les terres. En 2000, il s'est intéressé à cette mare de 250 m2. « On y a alors découvert ces tritons crêtés. On évalue la population à 400 adultes, c'est très important. Le triton crêté est une espèce assez sensible à la pollution de l'eau. Quand il se reproduit, ce qui est le cas ici, c'est un bon indicateur de la qualité de l'eau et du milieu. On peut expliquer la bonne qualité de cette mare par sa situation en haut d'une butte. Elle n'est alimentée que par l'eau de pluie. » Fort de cette découverte, le lycée a décidé de s'engager dans une démarche plus globale de biodiversité en révisant notamment ses pratiques agricoles. À l'image d'autres lycées agricoles qui ont présenté aussi leurs expériences. Ces établissements forment les futurs acteurs du monde rural. Le tri à la cantine Au lycée agricole de Sées, on ne se préoccupe pas que du triton crêté. On s'intéresse plus largement au développement durable et cela depuis une bonne dizaine d'années. Normal dans un lycée qui forme des techniciens supérieurs en gestion des espaces naturels et en animation nature. « On s'appuie sur du concret », explique René Vaudouer, proviseur du lycée. Le concret, c'est par exemple la récupération du papier et le travail exclusivement avec du papier recyclé. C'est la mise en place d'une chaudière à bois déchiqueté sur l'exploitation. C'est la récupération des eaux des toitures pour arroser les carrières du centre équestre. C'est la création d'un poulailler conservatoire de races anciennes. Le lycée est particulièrement fier du tri au self-service. Chaque élève, au sortir du réfectoire, trie ses déchets. « Quinze tonnes de déchets par an ne vont plus ainsi aux ordures ménagères. Elles sont compostées sur une plate-forme locale. » D'autres actions existent ou sont à l'étude. Le développement durable, le lycée agricole de Sées ne se contente pas d'en parler. Source
  8. Héhé tant mieux si vous avez trouvé chaussure à votre pied surtout à ce prix là.
  9. Pas avant ce soir, je suis parti pour la journée
  10. Je ne crois pas puisque ce fleuve se trouve en France.
  11. J'aime mieux ça comme ça Geneviève. Si je vous avais jugé pour ça, je n'aurais pas appellé pour vous dire que j'avais un flying gecko pour vous.
  12. Max|mum-leterrarium

    Python a donner

    Que le python était déjà donné...
  13. Les pompiers sortent un crocodile du fleuve Lez Vive émotion, hier après-midi, sur les rives du Lez, vers 17 h. Alertés par un promeneur qui avait repéré une forme inhabituelle dans l'eau, les secours ont eu la surprise de découvrir un crocodile ! Dès lors, les pompiers, en liaison avec les autorités sanitaires et les responsables du parc zoologique, ont mis en place un périmètre de sécurité afin d'éviter tout danger. Comment diable ce reptile de taille respectable a-t-il pu se retrouver là ? Le zoo a indiqué que cet animal ne lui appartenait pas et l'hypothèse selon laquelle un collectionneur a pu se débarrasser d'un tel occupant, devenu encombrant, paraît inenvisageable. Est-ce un nostalgique de Radio Alligator ? Toujours est-il qu'à quelques semaines du Fise, qui doit rassembler des milliers de personnes sur les rives, voilà qui risque de dissuader les amateurs de wakeboard ! Source
  14. Max|mum-leterrarium

    cohabitation serpent

    Honnêtement, le plus gros problème que ça aurait pu causer est si le plus petit est une femelle. Si jamais il y avait eu une reproduction prématurée, la femelle aurait eu de forts risques de rétention d'oeufs, des retards de croissances et une réduction de l'espérance de vie.
  15. Bonjour Geneviève, je suis allé me relire pour être certain que je me souvienne bien de ce que j'avais écris mais en aucun cas, je n'ai porté un jugement sur vous. Je savais très bien qu'il était dans cet état là et je l'ai même spécifié. Quand Yannick m'a appellé, il m'a dit j'ai un gecko à te proposé tu me diras s'il t'intéresse. Quand je l'ai vu, je me suis dis que je devais faire quelque chose pour le sauver. Et ce n'est pas parce qu'il sort de chez vous que j'en ai parlé. Si tu parcours le forum, tu vas pouvoir voir que quand je prends un animal de cet état sous mon aile, je viens assez souvent en faire le suivit ici pour justement montrer au monde qu'on peut faire quelque chose pour les aider et ça leur donne même des trucs pour réussir... Désolé d'avoir offenser sans même n'avoir mentionné de nom ni d'avoir porté de jugement envers personne...
  16. La quarantaine est une excellente chose. Je parle en connaissance de cause. J'ai eu un dragon barbu qui semblait en excellente santé et qui n'a démontré aucun signe de maladie. Par contre, je l'avais installé dans un terrarium ailleurs que dans ma chambre à reptiles. Ça faisait magnifique sur ma table de salon entre le divan et la télé. Même n'ayant démontré aucun signe de maladie, je suis revenu du travail un soir et il était mort. Probablement des parasites internes mais heureusement, j'ai fais ma quarantaine avant d'entrer ça dans ma chambre à reptiles.
  17. Moi je le sais, moi je le sais.
  18. Max|mum-leterrarium

    Python a donner

    Je lui ai écris. J'étais curieux de savoir la raison de ce don.
  19. Ça arrive de plus en plus. Je vous prépare un article sur un cas qui m'a fortement impressionné.
  20. Je n'avais pas d'inspiration, désolé
  21. Que sont devenus les animaux du zoo? (Québec) La conservatrice du Parc Aquarium du Québec, Jill Marvin, était aussi responsable du zoo en 2006. Elle nous raconte comment elle a réussi à trouver un zoo d'accueil aux 720 individus qui logeaient au Jardin zoologique du Québec. Son principal souci : le meilleur intérêt de chaque animal. Lorsque le Jardin zoologique du Québec a fermé ses portes après 75 ans d'existence, Jill Marvin, conservatrice du zoo, a eu la douloureuse mission de reloger 720 animaux - mammifères, reptiles, insectes, oiseaux. Un travail colossal qui a duré plus de deux ans. «Ce n'est pas pour rien que j'ai des cheveux gris», dit la blonde conservatrice en se tapotant les tempes. Mme Marvin continue de diriger les destinées du Parc Aquarium du Québec. Les fermetures de zoo sont rares, reconnaît Jill Marvin. À part celle de Québec en 2006, il y a eu celle de l'immense serre du Crystal Gardens de Victoria, en Colombie-Britannique, en 2002. Dans le cas du zoo de Québec, c'était 720 individus à reloger. «Chaque animal a un numéro de dossier, chacun a son mode d'identification, par bague ou par une tache. Nous avons cherché le meilleur endroit pour chacun», assure Mme Marvin. Les animaux ne peuvent voyager par des températures extrêmes. «Nous avions deux fenêtres, d'avril à juin et de fin août à la mi-octobre.» Chaque animal a quitté Québec avec son dossier médical et ses jouets préférés. Les six manchots se sont perdus en route pour le Texas, «comme des valises». Peu d'animaux ont été vendus. «Notre objectif n'était pas de faire de l'argent mais de s'assurer du bien-être des animaux et du respect des conventions internationales», dit Mme Marvin. Les frais de transport et la fabrication des boîtes de transport étaient à la charge de l'établissement receveur. Code d'éthique Les zoos ont l'habitude d'échanger les animaux, selon leurs besoins, pour compléter leurs collections animales. Un code d'éthique régit l'acquisition et la disposition des animaux. «On évite de mettre un prix sur un animal pour éviter de créer un marché noir», ajoute Mme Marvin. Un prix a quand même été attaché à la patte de certains, comme le couple de calaos acheté pour 10 000 $ d'un zoo privé en Allemagne. Comme ces grands oiseaux font partie d'un programme international de survie de l'espèce, Mme Marvin ne pouvait les offrir à n'importe quel établissement, pour éviter la reproduction consanguine. Ils ont été envoyés aux États-Unis. La SEPAQ a pu récupérer une partie de leur coût initial. Les oiseaux de proie entraînés pour donner des spectacles ont été faciles à placer. La tâche a été plus complexe pour d'autres. Un des lémuriens élevés par les animaliers ne pouvait vivre en groupe. Jill Marvin a longtemps cherché un zoo où il pourrait vivre seul. «C'était mieux pour sa personnalité», dit la conservatrice. Les trois animaliers qui s'occupaient depuis 20 ans des chimpanzés étaient très attachés à Sophie, 33 ans, Spock, 33 ans, et Maya, 32 ans. Ils les ont accompagnés jusqu'à leur nouvelle demeure, un sanctuaire de chimpanzés à Carignan, dans le sud de Montréal. Ils sont mêmes restés avec eux quelques jours pour s'assurer d'une bonne transition. «Beaucoup d'animaliers ne voulaient pas voir leurs animaux partir», se rappelle Jill Marvin. Seuls trois ours, trop vieux et trop malades pour être transportés, vivent encore au zoo. Les animaux ont été distribués dans 50 institutions différentes, la plupart dans des zoos canadiens, accrédités par l'Association canadienne des zoos et aquariums. Le Biodôme de Montréal, de même que les zoos d'Hemmingford, de Granby et de Saint-Félicien ont reçu leur part. D'autres animaux ont été accueillis à New York et à Los Angeles. Aucun ne s'est envolé pour l'Europe. La SEPAQ, responsable du zoo depuis sa fermeture, refuse de dire combien il en a coûté pour disposer des 720 animaux. Source
  22. La salamandre tachetée, à nos portes mais menacée RECENSEMENT | Un inventaire de ces amphibiens vient d’être entamé en Lavaux et sur la Riviera. Les informations récoltées seront transmises aux communes et aux propriétaires, afin de limiter l’impact des constructions sur la vie de ces animaux. CLAUDE BÉDA | 31.03.2009 | 00:02 «Faciliter la cohabitation entre l’homme et la salamandre tachetée n’est pas une tâche insurmontable: les menaces qui pèsent sur cet amphibien sont surtout dues au fait qu’il est méconnu, notamment des personnes actives dans la construction», explique Jacques Trüb, du Cercle de sciences naturelles de Vevey-Montreux. La population en renfort Cette association, en collaboration avec la Conservation de la faune, entame ces jours, en Lavaux et sur la Riviera, un recensement des sites de reproduction, des lieux d’hivernage et des milieux abritant les larves de la salamandre tachetée. «Cet animal, déjà menacé, est frappé de plein fouet par l’urbanisation, à l’origine de la disparition des petits plans d’eau, de l’augmentation du trafic motorisé et de la pollution des ruisseaux, poursuit Jacques Trüb. Il est néanmoins encore très présent dans la région.» La population est appelée à participer à cet inventaire en signalant* toute présence de salamandre tachetée, en mentionnant la commune, l’endroit exact des observations, la date, le nombre d’individus dénombrés, adultes, jeunes ou larves. «N’oubliez pas de signaler les salamandres écrasées sur les routes! ajoute Jacques Trüb. C’est malheureusement l’endroit où on en trouve le plus souvent. Il est aussi utile de préciser le type de menace qui pèse sur le lieu d’observation, constructions ou autres crues. Cela nous permet de déterminer l’urgence d’une intervention.» Animaux mystérieux Dès qu’un nombre suffisant de données aura été récolté, la Conservation de la faune devrait diffuser ces informations aux communes et aux propriétaires. «Il s’agirait d’appliquer des dispositions visant à diminuer l’impact des constructions sur la vie de ces animaux, précise Jacques Trüb. On pourrait, par exemple, conseiller de laisser quelques gouilles près d’un nouvel immeuble ou d’éviter, à certains endroits, de construire des murs, infranchissables pour les salamandres.» Nocturne et à la peau toxique, la salamandre tachetée a peu de prédateurs. En Lavaux, elle constitue un mystère: comment se reproduit-elle dans les vignes, sans plan d’eau? Le recensement l’expliquera peut-être. Source
  23. http://www.buzzmoica.fr/index.php?option=com_seyret&Itemid=72&task=videodirectlink&id=6641 Voici un petit vidéo qui m'a été envoyé par un membre trop timide pour le partager lui même. Je t'agace monsieur. C'est un vidéo d'un bébé crocodile siamois qui provient d'une ferme d'élevage en Thaïlande. À vos commentaire.
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