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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. La grande peur du cobra royal-latex Bâle | Canular ou vrai quiproquo? La capture d'un cobra a mis en émoi hier soir le bourg de Giebenach. L'animal n'a pas bronché. Engourdi par le froid? Non: c'était un jouet! Une opération inhabituelle a mobilisé hier soir à Giebenach les troupes de la police cantonale de Bâle-Campagne. Des quidams ont donné l’alerte parce qu’ils avaient découvert un grand serpent près d’un chemin piétonnier. Le reptile surpris par le froid ne pouvait plus se mouvoir. Une courageuse patrouille est alors intervenue pour saisir le cobra royal avec toutes les précautions voulues. Transporté au poste de Muttenz, l’animal est pourtant resté étonnamment inerte. Ce qui s’explique très bien, il s’agissait d’un jouet en plastiline, explique dans un communiqué la police. Sans rire. Source
  2. Une congolaise décède à Paris d’une morsure de serpent reçue dans une boutique chinoise à Chateau rouge En effet la diaspora congolaise en France vient de perdre une de ses filles il y a quelques jours. Cela s’est passé à pasé au marché du chateau rouge dans une boutique chinoise de vente de produits exotiques. Notre conseur congolaise s’étant rendu à chateau rouge pour faires ses courses des produits du terroir come toutes les femmes africaines de la diaspora, elle va rentrer dans une des boutiques installées à Chateau Rouge où elle en avait l’habitude de faires ses courses pour acheter du "GOMBO " ( appelé chez nous "DONGO DONGO" ) elle va se mettre de fouiller dans le carton où était exposé ce produit pour choisir le bon gombo comme le font toutes les femes, et "toc-tic, le serpent caché sous les produits lui injecte ses venins,elle ressent un petit mal, mais sans s’en apercevoir croyant tout simplement à une petite piqure due par les produits contenus dans le carton, aprés le choix des produits elle va passer tranquillement à la caisse pour payer toutes ses courses et de rentrer tranquillement à son domicile, c’est en arrivant chez elle qu’elle va commencer à sentir des fortes douleurs sur son bras et de voir son bras enfler. Ausitôt elle sera remmenée aux urgences d’un hôpital parisien, c’est de là aprés la consultations et les premieres examens qu’il sera vite constater qu’elle portait avec elle du venin d’un serpent, alors vite interroger par les services de l’hôpital elle va indiquer qu’elle revenait du Chateau Rouge pour faire ses courses et qu’elle était bien sûr entrée dans une boutique de ventes des produits exotiques pour acheter du gombo qui se trouvait dans un carton qu’elle s’était mise à fouiller, . Aussitot l’équipe de l’hôpital et des pompiers accompagnés de la police vont se rendrent au marché du Château Rouge pour mener l’enquete, et juste en fouillant dans le meme carton de gombo, l’équipe des pompiers vont retrouver le dit serpent bien assis tranquillement sous les produits. Ce serpent à été capturer et ramener par les services de secours. Malheureusement notre consoeur elle n’a pas survecue aux morsures du serpent et elle aurait finalement rendue l’ame. Voila ce qui devrait bien attirer l’attention de tous et toutes ceux et celles qui vont faire leurs marché à chateau rouge de changer des habitudes et d’eviter de frequenter ces boutiques. Paix à son ame , chere soeur repose en paix N.B le proprietaire de cette boutique se trouverait actuellement arreté par les services de police françaises Source
  3. Fidel au poste Mais je n'ai pas de mérite, je reçois toutes les nouvelles de ce genre dans ma boîte email quotidiennement.
  4. La sensibilisation et la prévention font défaut dans les zones à risque Les piqûres de scorpions font encore des ravages Les piqûres de scorpions prennent une ampleur dramatique en Algérie. Spécifique aux wilayas des Hauts Plateaux et du Sud, l’envenimation scorpionique ne cesse, d’une année à une autre notamment durant l’été, de causer des décès au sein de la population de ces régions. Il faut savoir que 5 millions de morsures de serpents, piqûres de scorpions ou d’insectes sont enregistrées chaque année dans le monde, provoquant la mort de 100 000 personnes, dont 40 000 en rapport avec une piqûre de scorpion. En Afrique, sur environ 1 million de personnes piquées par des scorpions chaque année, quelque 20 000 personnes succombent à ces envenimations. Pour ce qui est de l’Algérie, on dénombre en moyenne 25 000 à 50 000 piqûres par an et un peu moins d’une centaine de décès par an. Les enfants d’âge scolaire payent le plus lourd tribut à l’envenimation scorpionique, ils représentent 50% de la totalité des décès. Ainsi, les envenimations par piqûres de scorpions sont de plus en plus fréquentes en Algérie et représentent aujourd’hui un véritable danger pour la santé publique. Au cours d’un séminaire national sur ce phénomène tenu mercredi et jeudi derniers à Boussaada, les médecins et experts en la matière ont confirmé ce constat amer. Pour sa part, le directeur de la prévention au ministère de la Santé, M. Wahdi Mohamed, a signalé que 2008 avait été marquée à l’échelle nationale par 74 décès par envenimation scorpionique, parmi lesquels neuf dans la seule région de Boussaada sur les 15 enregistrés dans toute la wilaya de M’sila. A ce propos, il a attribué l’ampleur du phénomène à M’sila à «l’absence» d’un programme de prévention associant les intervenants locaux dont le secteur de la construction et de l’urbanisme et orienté vers la préservation de la propreté de l’environnement, la lutte contre les constructions illicites, l’enlèvement des déblais et le désherbage des aires mitoyennes aux habitations. Reconnaissant qu’il s’agit bel et bien d’une véritable menace pour la santé publique, le représentant du ministère de la Santé a relevé que l’envenimement scorpionique nécessite l’association des médias et du mouvement associatif pour contenir ce fléau qui a causé l’année dernière 50 000 piqûres réparties sur la moitié des wilayas du pays et même dans certaines villes côtières. Même si le nombre des décès a été ramené de 150 à 74 par an au cours de ces dernières années, des efforts supplémentaires doivent être fournis, surtout lorsqu’on sait, a-t-il dit, que «70% des piqûres ont été signalées en 2008 à l’intérieur des maisons et 30% à l’extérieur, alors que ces proportions étaient auparavant inversées». Cela s’explique par l’absence de prévention dans les maisons, a-t-il relevé, estimant qu’une telle situation sape les efforts d’amélioration urbaine tels l’éclairage public et l’aménagement des routes, qui, «aussi simples qu’ils paraissent, ont permis de réduire notablement le nombre de piqûres à Aïn Sefra et El Bayadh». D’autres intervenants ont rappelé que l’Algérie dispose depuis deux décennies d’un plan de lutte contre l’envenimation scorpionique, notant que certaines wilayas ont obtenu des résultats sensibles, citant Laghouat qui affiche zéro décès depuis cinq années consécutives. Concernant la formation des réanimateurs et la fourniture du sérum antiscorpionique dans les unités sanitaires, le ministère de la Santé se montre rassurant et précise que tous les moyens sont disponibles. Néanmoins, de nombreux médecins montent au créneau pour indiquer que la campagne de sensibilisation des populations ne devrait pas être limitée à la seule saison de l’été où les enfants sont en vacances mais étalée tout au long de l’année avec l’implication des enseignants sur les moyens de prévention et les soins d’urgence en cas de piqûre en insistant sur la rapidité d’évacuation des personnes piquées vers les structures de soins qui doivent disposer de tout ce qui est nécessaire à la prise en charge d’une envenimation scorpionique. D’autres encore soulignent qu’un plus grand effort doit être déployé pour réduire la prolifération des scorpions en particulier dans les sept wilayas du Sud, Ouargla, Djelfa, El Bayadh, Biskra, Naama, El Oued et M’sila, car ces dernières constituent une réelle zone rouge. A. S. Source
  5. Les gros serpents potentiellement dangereux pour l'homme Malgré le fait qu’ils ne sont pas venimeux, les gros serpents sont potentiellement dangereux pour l’homme. Toutefois, il n’est pas rare que certains d’entre eux partagent la vie d'êtres humains en tant qu’animal de compagnie, comme c'est le cas de Uorn Sambath, un petit garçon de sept ans habitant le village de Setbo situé à 20km au sud de Phnom Penh (Cambodge), et de son python royal du nom de Chamroeun. Cependant, l’anaconda, le python réticulé, le python moulure et le python de Seba sont les quatre races de serpent dont l’homme doit se méfier. Le plus petit d’entre eux, le python de Seba mesure un peu plus de 6 mètres. En effet, ces reptiles disposent de nombreux atouts pour avaler un homme. De puissantes mâchoires pouvant s’ouvrir jusqu’à 180 degrés et même plus, ornées de deux rangées de dents acérées participant à faire progresser la chèvre, le cochon, le chien, le chat, l’oiseau, le poisson… ou l'homme, happé par ces gros reptiles. La constriction d’un corps souple doté de plus d’une centaine de vertèbres et de plus de dix mille muscles ne laisse aux proies aucune chance de survie une fois dans les entrailles de ces gros prédateurs, le suc gastrique très acide faisant le reste. En un mot ces gros serpents sont un adversaire de taille pour l’homme, ce dernier n’étant pas aussi fort qu’un alligator qui a déjà servi malgré tout de délice à un anaconda… même si celui-ci a perdu la vie en avalant sa proie. Source
  6. Duel de venins entre une grenouille et une vipère de la mort ! Les grenouilles à toxicité mortelle n'effraient en rien la Vipère de la mort ! Certaines espèces de serpents australiens ont développé une stratégie pour le moins étonnante : ils peuvent se nourrir de grenouilles extrêmement toxiques en ayant recours à une arme très efficace : La patience ! Ben Philips et Richards Shine, deux chercheurs de l'Université de Sydney (Australie) sont venus apporter des informations étonnantes et très peu connues jusqu'à ce jour au sujet de la vipère de la mort (qui n'est d'ailleurs pas une vipère comme son nom l'indique mais un serpent). La vipère de la mort qui a particulièrement suscité leur intérêt vit dans le Nord Australien. Ce serpent se nourrit principalement de lézards et d'oiseaux, mais de temps en temps son appétit est aussi titillé par les batraciens. Or chez les grenouilles, il existe aussi des espèces très dangereuses, et certaines dissuadent d'emblée les éventuels prédateurs imprudents qui tenteraient d'en faire leur repas. En effet, si un agresseur vient à rester trop longtemps en contact avec le poison qui recouvre leur peau, celui-ci n'a quasi aucune chance de s'en remettre : c'est la mort assurée. C'est le cas notamment de la Lymnodynastes Convexiusculus (ou grenouille marbrée), couverte d'une pellicule gélatineuse, gluante et toxique et de la Litoria dahlii, dont le poison est encore plus violent. Leurs mécanismes de défense ne s'arrêtent pas là, car même à l'état de cadavre les toxines de ces deux grenouilles ont la capacité de rester actives pendant un très, très long moment encore... Qu'importe pour la vipère de la mort, celle-ci a décidé de défier le danger ! Elle est d'ailleurs la seule à s'y être essayée, ces batraciens n'ayant pas de prédateurs en raison de leur «bouclier» extrêmement venimeux. Ainsi, pour parvenir à ses fins, notre serpent va d'abord avoir recours à son traditionnel moyen d'attaque pour anéantir sa proie, mais comme ensuite il y a un obstacle majeur, à savoir le caractère non-comestible de ces grenouilles, il va dès lors, faire usage d'une méthode qui évoque pour le moins une adaptation à la situation, pour ne pas dire une certaine forme d'intelligence... Comment opère-t-il alors ? Tout d'abord le serpent tue classiquement sa proie avec son puissant venin. Ici l'action d'injection du venin est tellement rapide que la manœuvre ne sera pas trop risquée pour lui, il lui suffit simplement d'éviter un contact prolongé avec le toxique concurrent. Comme à l'accoutumée, en quelques secondes le poison du serpent foudroie la proie, celle-ci tombe et meurt. Mais contrairement au comportement habituel qui consiste à manger la proie à la seconde où elle meurt, notre serpent n'y touchera pas : il va simplement miser sur le délai et la patience en restant sereinement à côté de son butin. Dès lors, non seulement il semble avoir saisi que le poison de ces grenouilles ne fera plus d'effet au bout d'un certain temps, mais ce qui étonne encore plus c'est que ce serpent fait bien la différence entre les temps d'attente qui ne seront pas les mêmes pour chacun de ces deux amphibiens : pour la Lymnodynastes Convexiusculus le poison ne disparaît qu'au bout de 12 minutes après la mort, et le serpent respecte scrupuleusement ce temps nécessaire avant de commencer à avaler sa proie. Quant à la Litoria dahlii (dont le poison est plus puissant), il faudra attendre 40 minutes... le serpent n'y touchera pas avant, il attend bel et bien les 40 minutes ! Si on porte un regard évolutionniste, on se dit que le serpent a adopté un comportement supérieur, non seulement vis à vis de sa propre famille reptilienne, mais aussi vis à vis de ces grenouilles, car on constate d'évidence que ces deux proies sont dans l'impossibilité de développer des moyens de protection plus efficaces pour échapper à ce prédateur et ainsi parvenir à mieux assurer la perpétuité de leur espèce. Certes ces grenouilles se sont munies d'un poison très dissuasif, mais ce serpent est parvenu à le déjouer ; et malheureusement même venimeuses, ces grenouilles resteront maintenant absolument désemparées face à ce genre de stratégie (dont elle n'ont et n'auront jamais conscience puisque tout se passe après leur mort). Le procédé qui consiste donc à faire usage de la patience est un coup double pour la vipère de la mort : elle a élargi son champs des possibles pour se nourrir en utilisant un comportement qu'on peut qualifier de très astucieux, mais elle est assurée aussi que la proie ne puisse développer des moyens de défense qui viendront tenter de contrer sa tactique ... Source
  7. Un Anglais piqué par un scorpion caché dans un carton de bananes Colchester, Angleterre - Un marchand de fruits et légumes a été piqué par un scorpion alors qu'il ouvrait un carton de bananes. Lire la suite l'article Daniel Amey pensait s'être simplement éraflé le doigt. Mais quand il a vu que celui-ci avait anormalement gonflé, il s'est précipité à l'hôpital où les médecins y ont découvert un morceau de la queue d'un scorpion. "J'ai mis ma main dans le carton de bananes et pensé que je m'étais coupé. Mais alors que je portais la caisse, mon doigt a doublé de volume et me brûlait", raconte Mr Amey. "Le médecin était un ancien de l'armée et a tout de suite compris que c'était un scorpion qui m'avait piqué. Il m'a dit que j'avais eu de la chance. Si cela avait été une autre sorte de scorpion d'Afrique, j'aurais été mort en 15 minutes. " Source
  8. Un fossile de tortue asiatique retrouvé dans l’Arctique Rochester, États-Unis - La découverte d’un fossile de tortue a révélé que le Pôle Nord a connu un climat chaud et tropical il y a longtemps. Les études montrent que des animaux ont migré de l’Asie vers l’Amérique du Nord directement à travers l’océan Arctique. En effet, le fossile d’une tortue asiatique datant de plusieurs millions d’années a été découvert au Canada. John Tarduno, professeur de géophysique à l’université de Rochester explique : "Nous savions qu’il y avait eu des migrations d’animaux entre l’Asie et l’Amérique du Nord à la fin du Crétacé, mais ce fossile est le premier exemple que nous avons trouvé dans la région arctique, montrant comment cette migration a pu avoir lieu. Nous parlons de conditions très chaudes, sans glace dans la région arctique, permettant des migrations à travers le Pôle". Il explique que de nombreuses rivières des continents adjacents ont amené de l’eau douce vers la mer Arctique. L’eau douce, plus légère que l’eau de mer, peut être restée en surface, au-dessus de l’eau de mer salée, permettant à des animaux comme cette tortue de migrer plus aisément. Le professeur, qui a publié ses résultats dans le journal Geology ajoute : "Nous avons trouvé cette tortue dans la partie supérieure des dernières couches de basalte – couches provenant d’une longue période d’éruptions de lave successives. Cela nous laisse penser que les températures élevées seraient dues au dioxyde de carbone libéré dans l’atmosphère par les éruptions volcaniques". Il paraît évident que cette activité volcanique a eu lieu sur l’ensemble du globe, causant une grande augmentation de l’effet de serre sur une courte période. Les chercheurs prévoient de retourner en Arctique pour découvrir d’autres fossiles Source
  9. Découverte en Colombie de dix espèces d'amphibiens inconnues de la science ix espèces d'amphibiens inconnus de la science ont été découvertes en Colombie, dont une grenouille à la peau hérissée et aux cuisses orange et trois grenouilles venimeuses, a annoncé lundi Conservation International (CI), une organisation américaine de protection de la nature. Ces découvertes ont été faites au cours d'une expédition à laquelle a participé Conservation International dans les montagnes de Tacarcuna, dans la région de Darien à la frontière avec le Panama, au nord-ouest du pays, précise un communiqué de CI publié à Washington où se trouve son siège. Il s'agit de neuf nouvelles espèces de grenouilles et d'une espèce de salamandre. Outre les espèces de grenouilles déjà mentionnées, figurent trois types de grenouilles dite "verre" à la peau quasiment transparente, un type de grenouille arlequin et deux types de grenouilles tropicales. La Colombie possède l'une des communauté d'amphibiens les plus diverses dans le monde avec 754 espèces différentes. Outre ces découvertes, l'équipe de scientifiques a également eu la surprise de trouver pour la première fois des espèces observées seulement jusqu'alors plus au sud du continent sud-américain. Ils ont cité une salamandre (bolitoglosa taylori), une grenouille tropicale (pristimantis pirrensis), un petit lézard (ptychoglossus myersi) et un serpent pas encore identifié. Les scientifiques considèrent que les amphibiens sont d'importants indicateurs de la santé de l'écosystème car leur peau perméable les expose aux éléments extérieurs. Ils peuvent ainsi servir d'alarme quand des dégradations se produisent dans l'environnement, ont expliqué ces chercheurs, selon lesquels près d'un tiers des amphibiens de la planète sont menacés d'extinction. Source
  10. Vous connaissez Miss Blue Lynx?!?! Sûrement pas, elle vient juste yeuté ici sans dire un mot. Habituellement, je ne dis pas un mot là-dessus et je laisse les choses aller. Par contre, je sais qui est Miss Blue Lynx et je ne suis pas le seul ici non plus. Par contre, j'ai appris par l'entremise de Majesty que Miss Blue Lynx était juste trop gênée d'écrire sur le forum donc j'ai décidé d'être chien et de créer ce poste l'obligeant à nous parler. Allez Miss Blue Lynx, présente toi à nous.
  11. Bon, juste à titre d'information, je serai exposant pour une xième année encore cette année. J'aurai pour une deuxième année consécutive un être aux cheveux rouges à mes côtés. Je ne suis pas encore certain de ce que c'est mais je tente de savoir de quelle espèce il s'agit. Je me magasinais une claque et je crois que je vais avoir réussis mon coup. On me donne 12 pieds de table cette année. Je devrais avoir ce qu'il faut pour remplir tout ça. Voici ce que vous pourrez voir à mon kiosque : Mon variable king snake (Lampropeltis mexicana mexicana) Il faut bien que je le traine tsé, étant célibataire et il attire tellement les filles le bâtard... Il pogne plus que moi... Mon agame à tête de castor (Xenagama taylori) Il faut bien que je le traine tsé, étant célibataire et il attire tellement les filles le bâtard... Il pogne plus que moi... Bon ok, ça suffit le niaisage même si c'est vrai. Pour le reste : Scolopendra subspinipes cingulatoidesBrachypelma smithi Heterometrus spinifer Eumeces schneiderii Ceratophrys cranwelli Gongylophis colubrinus loveridgei Pour le reste je verrai ce qui rentrera dans l'auto.
  12. Max|mum-leterrarium

    Photo de vos barbu

    Moi ça occupé, voyons dont où vas tu chercher des idées pareil??? J'ai une heure pour diner chaque jour tu sauras.
  13. Scoleopendre, scorpions, mygale, mais pas Luis.
  14. Tiens voilà ma nouvelle chouchou sur le forum Vous êtes mieux de venir me voir au salon sinon je n'y vais pas ce qui va occasionner kryzee seule à une table pas de reptiles.
  15. Max|mum-leterrarium

    Quiz batracien 3

    Indice? Regarde sous le genre Bufo
  16. Je vais lui transmettre tout ça
  17. Un couple possède plus de 100 animaux sauvages dans sa maison Bovingdon, Angleterre - Un couple d'amoureux des animaux a transformé sa maison en zoo, en prenant sous son aile une centaine d'animaux sauvages. Le couple (un zoologiste et une herpétologiste) a passé les neuf dernières années à sauver et à offrir un nouveau toit à des créatures sauvages pour faire de sa maison un vrai zoo dans la campagne anglaise. Cochons, ouistitis, hiboux, tortues, deux iguanes verts, six tarentules, 30 scorpions, plus de 100 poissons et huit crabes se partagent les différentes pièces aménagées pour eux dont une spécialement dédiée aux serpents et scorpions venimeux qui sont enfermés à clé comme le prévoit la loi. Si le couple a montré beaucoup d'attention pour toutes ces bêtes, il avoue volontiers avoir reçu peu d'amour en retour. "Nous nous faisons très souvent mordre et sommes couverts de cicatrices" raconte Melle Gillet. "La pire morsure dont j'ai été victime venait d'un python réticulé de 3,6 m qui m'a littéralement ouvert la main. Une fois, un autre python m'a mordu à la main ce qui m'a causé un problème nerveux au niveau de l'épaule." Dans leur jardin, Mark Amey et Siouxie Gillet gardent six suricates, des oiseaux, des chauves-souris, des singes et un crocodile. Pour découvrir cette arche de Noé du XXIe siècle, regardez les photos : http://www.zigonet.com/couple/les-animaux-sauvages-ont-trouve-un-refuge-dans-la-campagne-anglaise_art3879.html Source
  18. Sauf que si on regarde les photos, il y a plusieurs différences morphologiques...
  19. Les tritons vivront au coeur d'une zone artisanale Le parc d'activités économiques de Guérande s'agrandit. Afin de préserver une espèce animale rare,le triton crêté, un corridor écologique est en cours d'aménagement. Triton crêté. La présence de ce batracien de 18 cm a été repérée dans le marais de la Métairie de la Lande en 2004. Ce petit animal rare et protégé en Europe ressemble à une salamandre. Il aime les mares profondes, ensoleillées, avec beaucoup de végétation mais sans poisson. Espèce parapluie. Ces animaux, dont fait partie le triton, sont très sensibles à la pollution. Leur présence est un indicateur de bonne santé écologique pour la faune et la flore. On sait que là où ils vivent les conditions sont idéales pour accueillir d'autres espèces animales, et pas seulement des batraciens. Corridor écologique. Il s'agit d'un couloir de verdure de 1,8 ha qui permet aux animaux de relier des mares entre elles. Le but est de maintenir et d'optimiser les conditions de vie réunies actuellement à cet endroit. Les mares sont reliées par un chemin creux bordé de haies bocagères. Tout autour de ce périmètre, un grillage à mailles fines limitera les déplacements hasardeux des batraciens. Zac de Villejames. C'est le 3e parc d'activités économiques du département avec 160 entreprises sur 85 ha. Le poumon vert dont il est question est situé au coeur d'une zone d'extension de 22 ha dénommée Métairie de la Lande. 60 entreprises y sont attendues. L'originalité du projet est d'organiser une zone d'activité autour d'un vaste îlot de verdure préservé. Compensation. Quand on trouve une espèce protégée sur un lieu constructible, on est obligéde prendre des mesures de compensation. Cette fois la démarche est inversée. Plutôt que de recréer un espace vert ailleurs, l'aménageur va prendre en compte ce lieu naturel et l'intégrer dans la future zone d'activités. Aménagement. La véritable contrainte est pour l'aménageur. Afin de limiter les nuisances, il doit choisir les entreprises les mieux adaptées à l'environnement pour les positionner près du corridor. Le cahier des charges leur impose de récupérer les eaux pluviales et de laisser une bande en herbe de 5 mètres, côté corridor. Circulation. Des « crapauducs » sont prévus sous les voies d'accès aux alentours. Les batraciens pourront ainsi circuler en toute sécurité et rejoindre d'autres zones humides. Une piste cyclable traversera également ce corridor. Pédagogie. Avec ce superbe outil, il est envisagé la création d'un circuit d'interprétation pour les scolaires et les visiteurs. Un suivi scientifique des populations d'amphibiens est mis en place durant les trois premières années. Coût. Le coût d'aménagement du corridor est estimé à 153 000 € pris en charge par Cap Atlantique. Source
  20. Le crocodile à double crête remporte la palme du plus grand crocodile de la planète Le crocodile à double crête remporte la palme du plus grand crocodile de la planète. Ceci lui vaut l'honneur d’être inscrit dans le Guinness des Records. Le crocodile à double crête est également connu pour être le crocodile marin. Ce reptile vit en Asie, dans le Pacifique et dans les régions tropicales. Il est non seulement le plus grand crocodile du monde mais c’est également le reptile vivant le plus lourd. Actuellement, il existerait dans la nature des spécimens mesurant près de 10 mètres et pesant plus d’une tonne ! Du côté de la réserve de Bhirtakanika, vivent quatre de ces reptiles qui mesurent tous entre six et sept mètres, des tailles correspondant à quatre ou cinq adultes humains ! On notera toutefois que les spécimens de cette espèce n’atteignent pas tous ces mensurations record. En moyenne, le crocodile marin mesure entre 4 et 5 mètres pour un poids pouvant dépasser 500 kilogrammes (il s’agit quand même de bêtes colossales que l’on n’aimerait pas trouver sur son chemin !). Du côté des femelles, celles-ci sont nettement moins imposantes que les mâles. Elles ne mesurent jamais plus de trois mètres. La particularité du crocodile à double crête ne réside pas uniquement dans sa taille, il s’agit d’un animal sauvage qui est à l’aise aussi bien dans l’eau salée que dans les eaux douces, ce qui en fait un prédateur redoutable et craint de ses pairs Source
  21. Max|mum-leterrarium

    serpent qui mange pas

    Les températures ont l'air de quoi? As tu une photo du set up? Quelque chose à changer dernièrement?
  22. Bonjour, je m'adresse à vous tous de la part de notre vétérinaire qui écrit les articles pour la section santé. Il aimerait savoir quel sujet vous aimeriez qu'il nous parle pour le prochain article. Merci à vous tous.
  23. Au "resto du zoo" d'Abidjan, soupe de python ou braisé de crocodile au menu ABIDJAN - Soupe de python ou de varan, braisé de vipère ou de crocodile: les reptiles en tous genres sont la spécialité du "restaurant du zoo" d'Abidjan, où habitués et curieux viennent chaque jour goûter "la chair tendre". "J'ai ouvert ce restaurant pour rompre avec la monotonie", explique à l'AFP "chef Félix" dans cette gargote à l'air libre, ouverte depuis cinq ans à Yopougon, un immense quartier populaire de la capitale économique ivoirienne. "Dans nos villages, on mange la vipère, le pangolin (mammifère à écailles) et autres. Il faut revaloriser la cuisine africaine", affirme cet ancien inspecteur qualité chez un fabricant de textile, à la quarantaine révolue. Du lundi au dimanche, avec sa douzaine de salariés, dont trois cuisinières, Félix Boussin propose à ses clients une gamme variée de rongeurs, reptiles et autres espèces, à 3.000 FCFA le plat (4,5 euros). "Ici, il y a tout ce que vous voulez: agouti, biche, chat huant, crocodile, écureuil, paresseux, python, sanglier, tortue, singe, vipère...", assure le maître de ce vaste espace de 1.200 mètres carrés, parsemé d'arbustes sauvages et fruitiers, et baptisé "resto du zoo" par clin d'oeil. Pour annoncer la couleur, un crocodile, un bébé alligator et une biche nourrie au lait, tous vivants, sont exposés dans des cages bien protégées. "Ceux-là, ce n'est pas pour la cuisine", souligne-t-il toutefois. Source
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