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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. En fait, ce n'est pas une grenouille morte mais seulement sa peau sèche. Tu as manqué un article d'il y a un bout de temps toi je crois. /flash-f42/crapaud-ou-drague-t2571.htm
  2. Les charmeurs de serpents contre-attaquent Les charmeurs de serpents en Inde, l'une des attractions touristiques du sous-continent, ont manifesté mardi à Calcutta contre une loi qui signe selon eux l'arrêt de mort de leur activité. Les charmeurs de serpent craignent pour leur avenir. (Photo: Keystone) Cinq mille professionnels ont dénoncé dans la capitale de l'Etat du Bengale occidental une législation de protection de la faune sauvage prohibant l'usage à des fins commerciales d'animaux et donc les fameuses représentations dans les rues de flûtistes faisant sortir leurs cobras de paniers en osier. «Charmer les serpents est un droit naturel et inaliénable», a protesté Langra Bede, 35 ans, et qui s'est déjà fait mordre deux fois dans sa carrière. «Nos ancêtres charmaient des serpents, nous avons grandi avec cela et c'est tout simplement la seule chose que nous sachions faire», a-t-il ajouté. La loi est en fait en vigueur depuis la fin des années 1990 et les 800.000 charmeurs de serpents en Inde --dont 100.000 au Bengale occidental-- s'estiment privés d'une partie de leur gagne-pain. Dans l'est, la plupart de ces hommes appartiennent à la communauté nomade Bedia, de langue bengalie, dont le savoir-faire se transmet de génération en génération. Des milliers d'entre eux sont «au bord de la famine» et la loi «met en péril la survie même de la communauté Bedia vieille de 1.000 ans et part intégrante du patrimoine du Bengale», a averti le syndicaliste Raktim Das. Il cherche à obtenir du gouvernement régional une exemption à la loi ou tout au moins la création de fermes d'élevage de serpents où les Bedias pourraient travailler. De fait, en dix ans, bon nombre de charmeurs de serpents ont quitté les métropoles d'Inde, même si certains tentent encore leur chance à New Delhi en proposant des photos de leurs reptiles en compagnie de touristes occidentaux. Mais pour les groupes de défense des animaux, ils ne sont que de cruels imposteurs qui maltraitent leurs serpents pour les entraîner à se dresser au son de la flûte. Les charmeurs de cobras ont l'habitude d'arracher les crocs des animaux, puis de les nourrir de lait, les promettant à une mort certaine une fois rejetés dans leur habitat naturel, dénoncent des associations. Source
  3. Japon: une tortue mordue par un requin va recevoir des prothèses de nageoire TOKYO (AFP) — Une tortue de mer japonaise, mordue probablement par un requin, va se voir greffer des prothèses de nageoire, une spécialité orthopédique dans laquelle excellent les Japonais, a indiqué une association locale de protection des tortues marines. "Nous devons faire attention à ce que ces prothèses soient suffisamment solides pour que la tortue puisse se hisser sur la plage et y pondre normalement", a expliqué à l'AFP Erika Akai, membre de l'ONG nippone. Baptisée "Yu" et dotée d'une carapace de 74 cm de long, la tortue blessée avait été repêchée l'été dernier au large des côtes sud-ouest du Japon après avoir été sans doute attaquée par un requin. Elle avait été ensuite placée dans un aquarium. "Comme on ne peut pas la remettre en liberté, car elle n'a plus que 60% des capacités de nager d'une tortue en bonne santé, nous avons décidé de lui implanter des nageoires artificielles", a précisé Mlle Akai. L'opération aura lieu en mai. Les Japonais sont de grands spécialistes de la fabrication de nageoires artificielles, en particulier pour les dauphins qui se blessent fréquemment dans les filets. Source
  4. Iran: la grenouille, le dernier ennemi dans la guerre à la drogue Dans sa lutte contre la consommation de drogue, l'Iran déclare la guerre à un nouvel ennemi: la grenouille. Après l'opium, l'héroïne et le hachisch, les dirigeants iraniens ont en effet tourné leur attention vers la grenouille, dont la peau asséchée peut être utilisée comme substance hallucinogène. Cet effet est produit par une substance chimique normalement utilisée par ces amphibiens comme une arme contre ses ennemis. Comme le rapporte le quotidien anglais The Guardian, le docteur Azarakhsh Mokri, du centre national iranien des études sur les dépendances, soutient qu'une action est nécessaire contre les abus concernant la consommation de la grenouille en tant que drogue. Il n'a cependant pas identifié les espèces impliquées dans cette lutte nationale. Même si ce type de consommation ne serait pas hors de contrôle en Iran, le docteur Mokri estime qu'il faut par contre que le pays se prépare de manière préventive contre des abus de ce genre. Il ajoute qu'il devrait exister un protocole de traitement spécial et des experts qualifiés pour toute sorte d'abus de drogue. Pour lire l'article complet qui est consacré à ce sujet, consultez le site Internet de The Guardian. Source
  5. Héhé, je te le souhaite fortement. Tu vas avoir le père d'une de mes collègues de travail comme professeur si tu es accepté
  6. Héhé très belle petite bête, j'adore cette phase. J'imagine qu'il va falloir que j'alle te le sexer?
  7. Maintenant ajoutons Boa constrictor imperator et Lampropeltis getula californiae.
  8. Jean-Claude craint de perdre l’usage de son poignet. Au moins une fois par semaine, Jean-Claude Hollingsworth, un pêcheur de 55 ans, retrouve une anguille dans son casier. En deux temps, trois mouvements, il l’agrippe de sa main pour le sortir de l’eau. Mais, samedi dernier, il a été floué par un serpent de mer qui l’a mordu au poignet. Jean-Claude, qui habite Mahébourg, vit de la pêche depuis 35 ans. Des galères en mer, il en a connues. Combien de fois, les embarcations sur lesquelles il se trouvait n’ont-elles pas chaviré ? Il s’en est jusque-là tiré d’affaire. Mais cette fois-ci une anguille a failli avaler son poignet. 5 mètres de long Ce matin-là, Jean-Claude se trouve en mer avec son gendre, Ravi Chamroo, à Rivière-des-Anguilles. La veille, ils ont placé des casiers dans l’eau. En soulevant le troisième casier, ils aperçoivent une anguille parmi la prise. Elle doit peser environ 30 livres et faire 5 mètres de long. Rien de plus banal pour Jean-Claude qui estime avoir affaire à un « bébé ».« J’en ai vu de plus grosses que j’ai tenues entre les mains et qu’on a mangées », raconte-t-il. Mais ce professionnel de la mer se rendra vite compte que l’apparence est parfois trompeuse. Alors qu’il s’apprête à faire les gestes habituels pour sortir le serpent de mer de l’eau, il est attaqué. « L’anguille s’est lovée autour de ma main et m’a mordu au poignet. Si je n’avais pas sorti ma main à temps, elle me l’aurait bouffée. Elle a presque effleuré mon tendon », raconte Jean-Claude. Aidé de son gendre, il enroule du tissu autour de sa blessure. Ravi jette le casier à l’eau et alerte les gardes-côtes. Jean-Claude est transporté à l’hôpital Nehru où on lui appose des points de suture. Deux jours après son admission, il rentre chez lui. Mais, mercredi, en raison de l’enflure de ses doigts, il retourne à l’hôpital où il y passe une nuit. Le blessé craint de perdre l’usage de son poignet. Même s’il ne reprendra pas la mer de sitôt, il compte bien se venger de cette « maudite anguille ». « Je la retrouverai et je lui ferai payer ce qu’elle m’a fait subir !» Source J'aurais bien aimé avoir une photo ou un nom de cette anguille ou serpent de mer afin de savoir ce que c'est à la fin.
  9. Sang-froid et mauvaise réputation Le matin, c'est le grand nettoyage. Nathalie Collebrusco prend soin de ses « petits » pensionnaires. Elle pénétre dans les boxes, fait les vitres, nettoie le sol, tout ça en dérangeant le moins possible leurs occupants. Et pour cause : Messieurs les boas constrictors, pythons réticulés, ou autres anacondas sont plutôt paisibles, mais à condition de ne pas trop les déranger ! Voilà quelques années que Nathalie manipule les reptiles quotidiennement, avec son mordu de mari. À ses débuts, Roland Collebrusco était importateur, mais il reconnaît qu'avec ce boulot, il avait parfois du mal à dormir la nuit. Sa marchandise exotique terminait la plupart du temps chez de riches particuliers persuadés d'avoir acheté un nouveau jouet. « On parle beaucoup de nouveaux animaux de compagnie, comme les reptiles, mais c'est une erreur, on ne peut pas avoir d'affinités avec eux, ils ne vous reconnaissent pas. Moi, aujourd'hui, je suis professionnel, j'ai une activité de présentation, mais aussi de pédagogie: N'achetez-pas ces animaux. ! » Mimétisme et couleurs vives En attendant, sa collection de crocodiliens, squamates et reptiles en tout genre mérite le détour. Ici, un couple de serpents rois rayés jaune et noir... en face, deux gros boas constrictors font la sieste... plus loin, des pythons verts jouent de leur mimétisme dans les branches, des tortues rares font des longueurs dans leurs bassins, des caméléons et des iguanes se tirent la langue, et un caïman dominant s'essaye à l'intimidation sur son colocataire. Pour ouvrir un vivarium à Mescoulès, il faut avoir le moral, ou à défaut, des reins solides. Après un service militaire en Guyane, de nombreux voyages et un poste de responsable de parc zoologique aux Antilles pendant plusieurs années, Roland Collebrusco voulait s'installer à son compte. « C'est une entreprise de longue haleine. J'ai déposé mon premier dossier en 1999. Ce sont des animaux méconnus, donc j'ai pensé qu'il y avait une carte à jouer. » En effet, on compte en France moins d'une dizaine de vivariums de ce type. Créer un parc zoologique « Mais pour la Dordogne, j'avoue que je suis arrivé ici un peu par hasard. En 2005, j'ai acheté une ferme à Mescoulès, j'ai discuté avec le maire de mon projet de vivarium, et il a été tout de suite très enthousiaste. Et puis si on a envie de s'étendre un peu, il faut s'installer loin de la ville. Moi, je veux créer ensuite un vrai parc zoologique. » C'est un investissement sur le long terme : « certains de mes serpents vivent cent ans, mais je ne me fais pas de soucis... ma fille, Morgane, fait une formation en faune sauvage, pour prendre la relève ! » Source
  10. Et à la télé, j'ai entendu que c'était les États-Unis qui allaient s'impliquer le plus. Ils investiraient près du triple de ce que le Canada a promis.
  11. Héhé j'avoue que la morsure d'un KSB est assez impressionnante considérant sa taille. J'ai déplacé le sujet puisque tu l'avais mit dans une section parlant des morsures de mygales et scoleopendre.
  12. Héhé c'est cool ça. Je retourne probablement à St-Hyacinthe en Juillet. J'ai spotté un grand 5 et demi que je devais prendre avec quelqu'un mais la personne a changé d'idée. Donc si tu as besoin d'une chambre, tu me feras signe, je vais être situé à moins de 5 minutes à pied de l'école.
  13. Deux personnes arrêtées pour avoir mangé de l'iguane Une fois de plus c'est Facebook qui joue les mouchards, mais là c'est pour la bonne cause. En effet deux personnes viennent d'être arrêtées par les autorités des Bahamas pour avoir mangé de l'iguane, un reptile protégé par la convention internationale. Les deux jeunes gens Vanessa Starr Palm, (23 ans) et Alexander Daniel Rust (24 ans) s'étaient ventés de leur festin en postant quelques photos du dîner sur Facebook. Les deux étranges carnivores pourraient également être poursuivis en rentrant chez eux aux Etats-Unis. Source
  14. Le prince sonnant du « Hom » [b]ESPECE PROTEGEE.Le dernier bastion normand repéré du crapaud à ventre jaune se situe dans un hameau de La Vacherie (Eure). Un appel à témoins est lancé pour tenter de le localiser ailleurs. [/b] Il n'est pas vraiment charmant mais c'est quand même un prince dans la vallée de l'Iton. Dans l'Eure, le crapaud sonneur à ventre jaune est même un trésor tant il est rare. Une petite colonie d'une douzaine d'individus appartenant à cette espèce d'amphibien en voie de disparition, fait même office d'exception en Normandie. C'est dans la petite commune de La Vacherie (entre Louviers et Evreux), dans les mares du hameau du « Hom » que le crapaud protégé a été retrouvé en 2001. Une pupille en forme de cœur La dernière fois qu'il avait été vu remontait à 1933, à Acquigny, une commune voisine distante de quelques kilomètres. Il a de nouveau été repéré grâce à son chant mélodieux et bourdonnant. Effectivement, la bestiole coasse de manière assez singulière. Le crapaud présente aussi quelque curiosité anatomique. S'il est laid de dos avec sa peau brune et verruqueuse, le batracien dissimule, sur sa face ventrale, des taches jaunes et noires qui lui valent son nom courant. Savamment, il est appelé Bombina Variegata. Ses yeux ne sont pas mal non plus ! Le sonneur est la seule espèce à présenter une pupille en forme de cœur. Depuis 2007, le site sur lequel il vit a été classé en zone Natura 2000, signifiant qu'il est référencé dans le réseau écologique européen. La direction régionale de l'environnement (Diren) et la direction départementale de l'agriculture et de la forêt (DDAF) de l'Eure ont d'ailleurs missionné un naturaliste pour étudier la présence du dit crapaud en vallée de l'Iton. Pendant plusieurs mois, Peter Stallegger a traqué le crapaud dans les mares du « Hom ». « C'est presque un miracle de le trouver là parce qu'aucun point d'eau référencé ne correspond à l'optimum écologique de l'espèce. » D'abord parce que le sonneur n'aime pas la concurrence et pas moins de sept autres amphibiens sont présents sur la zone. De plus, les mares sont recouvertes de lentilles qui ne favorisent pas l'évolution de la petite bête. Mais la conservation des mares agricoles par les exploitants du secteur a été un élément déterminant. « La Vacherie est le seul endroit en Normandie où la présence du sonneur est à ce jour constatée. Mais il serait vraiment étonnant que ce soit la dernière population de Normandie. » L'enquête se poursuit et l'appel à témoins est lancé. Delphine Letainturier Contact : DDAF de l'Eure, à Evreux, au 02 32 24 95 19 ou pascal.flambard@agriculture.gouv.fr ; http://bufo.alsace.free.fr/especes/Bombina_variegata.html pour écouter le chant. Source
  15. Une tortue luth mâle entre dans le Guinness des Records Une tortue luth mâle entre dans le Guinness des Records. Découverte sur une plage britannique de Harlech en 1988, cette tortue peut se vanter d'être le plus gros spécimen de son espèce ayant jamais existé. Les personnes qui ont trouvé cette tortue luth ont certainement été impressionnées par sa carrure. A ce propos, elle mesurait 2,91 mètres de long pour un poids de 961 kilos, ce qui fait d'elle un véritable mastodonte. La tortue luth qui est connue sous le nom scientifique de Dermochelys coriacea est la plus imposante de tous les chéloniens dont la taille normale varie entre 1,80 mètres à plus de 2,10 mètres et le poids peut atteindre 450 kilos. Le spécimen découvert en Grande Bretagne est un véritable miracle (ou anomalie ?) de la nature. Mis à part le fait d'être très lourde, la tortue luth possède une autre particularité qui la distingue des autres espèces de tortues, qu'il s'agisse de tortue de mer ou de tortue terrestre. En fait, elle n'est pas dotée d'une carapace similaire à celle de ses semblables. Son dos est protégé par une cuirasse de peau très résistante. La tortue luth est présente dans tous les océans du globe. Néanmoins, elle se fait de plus en plus rare et sa survie est menacée par les activités humaines dont la pêche et la chasse (ou plus précisément le braconnage). Elle est également victime de la pollution et du phénomène d'urbanisation. Actuellement, la tortue luth figure dans liste des espèces menacées répertoriées par l'UICN. Source
  16. Max|mum-leterrarium

    Quiz batracien 3

    Je dois avouer que sur la photo, c'est soit un très jeune animal ou encore c'est un erreur de nom puisque ça ressemble plus à un Bufo viridis.
  17. Max|mum-leterrarium

    Quiz batracien 3

    Sinon c'est un Bufo Calamita... Car c'est impossible que ça soit un Bufo bufo.
  18. Prochaine création d'une réserve des tortues à Lobito Lobito (Angola) - L' administration municipale et l'Institut Régional de Recherche Marine de Lobito, province de Benguela, comptent créer prochainement dans la commune "d'Egipto Praia", une "réserve " des Tortue, a annoncé lundi l'administrateur municipal, Amaro Segundo Ricardo. Se confiant à l'Angop, le responsable a dit que ce projet vise à protéger l'espèce en voie d'extinction, suite à l'action de l'homme et d'autres prédateurs. Amaro Ricardo a, d'autre part, précisé qu'en ce moment un travail de mobilisation de ressources financières et humaines est en cours afin de soutenir ce projet, qui apportera des bénéfices pour le tourisme et l'environnement . Des données de l'Institut de Recherche que indiquent que la côte maritime est une région où les tortues pondent leurs oeufs mais l'espèce n'arrive à se reproduire à cause des chasseurs. Source
  19. Capturée accidentellement… La tortue Circle sera relâchée aujourd’hui Kélonia annonce le prochain relâché en mer d’une tortue caouanne (Caretta caretta) baptisée Circle. Il s’agit la première tortue capturée accidentellement avec un hameçon circulaire auquel elle doit son nom. Pêchée le 8 décembre 2007 par le navire palangrier “Justatao” par 21 23,7 Sud et 54 40,3 Est, elle pesait à son arrivée 58 kg pour une longueur curviligne de 77 cm. Aujourd’hui, elle pèse 53,6 kg pour 79 cm. (Une perte de poids importante à fait suite à l’opération. Durant plusieurs semaines, elle ne se nourrissait pas, puis elle a recommencé à s’alimenter et a grossi à nouveau). Le vétérinaire du centre a réalisé une prise de sang pour en contrôler tous les paramètres et l’a jugée apte à retrouver son milieu naturel. Circle sera relâchée au large de Saint-Leu ce jeudi 12 février. Lundi dernier, elle a été équipée d’une balise Argos. Ce petit boîtier placé sur sa carapace permettra à l’équipe de Kélonia de suivre son déplacement, et enregistrer son comportement en plongée grâce à 6 capteurs de profondeur. Ce relâché sera effectué sous les yeux bienveillants de ces parrains et marraines composés d’élèves de plusieurs classes du collège de la Pointe des Châteaux regroupés au sein d’un atelier Tortue Marine animé par Mme Pascale Bontoux. L’achat de la balise Argos a été rendu possible grâce au financement accordé par le Crédit Agricole par le biais du FIL (Fonds d’Initiative Locale). Source
  20. En fait, c'est tout insectes herbivores qui sont interdits et la loi a passé pour toutes les espèces en même temps il y a un moment déjà.
  21. J'ai un mâle Oreo mais les oreo ne sont pas du tout dans cette espèce là mais dans les pueblan milk snake, Lampropeltis triangulum campbelli. Avec Gaspard et non Gasper.
  22. Max|mum-leterrarium

    Quiz batracien 3

    Non malheureusement. Eh bien, si ce n'est réellement pas ça, c'est vraiment un très proche parent.
  23. Voici en réplique... La folle rumeur du serpent de Château-Rouge Au sein de la communauté africaine, le bruit court toujours : un serpent, caché sous des légumes, aurait tué une femme au marché exotique. Les pompiers démentent. On ne sait pas très bien quand. Ni exactement qui. Ni précisément où. Mais on ne parle que de ça… De la mort d’une femme, tuée par un serpent venimeux caché dans un bac de légumes, au marché Dejean, le marché africain de Château-Rouge (XVIII e ). Les pompiers de Paris qui sont systématiquement avisés des accidents causés par des animaux dangereux n’ont pas eu connaissance de cette histoire. sas_pageid='2358/16812'; // Page : manchettepub/leparisien.com/evenement/tourdefrance_article sas_formatid=1278; // Format : rectangle 2 300x250 sas_target=''; // Targeting SmartAdServer(sas_pageid,sas_formatid,sas_target); Ni le commissariat du XVIII e , la préfecture de police ou le réseau hospitalier de l’AP-HP. Mais la rumeur enfle dans la communauté africaine de la région parisienne. A chacun sa version Vendeur de fruits et légumes au marché Dejean, Aniss était formel hier matin : « Elle s’est fait mordre par trois serpents, rue des Poissonniers, en fouillant dans une caisse de gombos (NDLR : des légumes africains). » A peine cette histoire est-elle évoquée, qu’un attroupement se forme devant l’étal coloré et chacun y va de sa version. « C’est l’amie d’une amie qui la connaît qui m’a raconté l’affaire », détaille une quinquagénaire plantureuse, debout derrière ses cartons de fruits violets. Une « mamma » habituée du marché l’interrompt de son doux accent ivoirien : « C’est faux ! Comment un serpent aurait-il pu se retrouver ici ? » « Je n’étais pas là, mais je sais que c’est vrai. Elle est morte dans un hôpital parisien à cause du venin », insiste Aniss. Un de ses collègues en sait plus… « C’est un serpent, et non trois, qui l’a mordue. C’est arrivé dans le magasin chinois situé dans cette rue à gauche. Maintenant, la boutique est fermée pour l’enquête. Je pense qu’ils font un trafic de serpents… » La boutique en question a bel et bien baissé son rideau de fer, mais une affichette indique « Fermeture pour travaux ». « C’est ce qu’ils veulent nous faire croire », chuchote le vendeur… A côté du magasin chinois, Camara vend des tissus africains. « C’est du n’importe quoi », lâche-t-il, agacé. Mais la psychose est là. « J’ai même vu des femmes en empêcher d’autres d’acheter des gombos à cause des serpents… » rigole son camarade Issa. En tout cas, « l’affaire » se retrouve également sur Internet. Selon le forum africain Soninkara.com, la victime serait congolaise. Et les pompiers auraient « retrouvé ledit serpent bien assis tranquillement sous les produits ». Un autre blog, Ivoirenews, affirme que la défunte est ivoirienne. « C’est vrai, y témoigne Mourtada dans un commentaire du 14 janvier. Ma tante connaît la dame en question. Elle est partie chez elle pour dire les condoléances à sa famille, car elle a laissé un orphelin de 13 ans. » Un autre site précise que les serpents du bac de gombos étaient trois mambas verts… Une vraie histoire à l’africaine où le bouche-à-oreille est roi. Hier sur le marché de Château-Rouge, c’était un peu… le serpent qui se mord la queue. Source
  24. Scorpions, manchots ou rongeurs géants, découvrez en images ces espèces disparues hors normes Nous connaissons tous les dinosaures, ces reptiles géants qui peuplaient la Terre avant leur disparition soudaine, il y a plusieurs millions d'années. Mais que dire d'un rongeur de la taille d'un taureau, d'un scorpion de mer aussi long qu'un homme ou d'un marsupial semblable à un tapir d'une demi tonne ? Maxisciences vous invite à découvrir ces espèces étonnantes, et bien d'autres encore. Il y a 2 à 4 millions d'années, Josephoartigasia monesi arpentait les forêts tropicales d'Amérique du Sud. Si l'on en croit la taille de son crâne, découvert en 1987 en Uruguay, ce rongeur gigantesque mesurait trois mètres de long, pour un poids d'une tonne. Autre force de la nature, Beelzebufo ampinga était une grenouille d'une quarantaine de centimètres de hauteur, pesant près de cinq kilogrammes, qui vivait il y a 70 millions d'années sur l'île de Madagascar. Avec de telles dimensions, et un comportement supposé très agressif par les scientifiques, rien d'étonnant à ce que les Anglo-Saxons aient surnommé cet animal "grenouille de l'enfer". Nous vous en parlions il y a peu, mais impossible de ne pas le citer ici : Titanoboa cerrejonensis, serpent de 13 mètres de long pesant plus d'une tonne découvert en Colombie, aurait lui aussi certainement, pour de nombreux erpétophobes, tout de la créature infernale. Et que dire de Jaekelopterus rhenaniae, ce scorpion des mers de la taille d'un homme qui hantait les océans il y a 390 millions d'années ? Moins impressionnant mais tout aussi étonnant, Palorchestes azael était un marsupial géant qui vivait en Australie au Miocène : de la taille d'un énorme tapir d'une demi tonne, cet animal s'est éteint il y a 40 000 ans. Icadyptes salasi était, lui, un manchot haut comme un homme, vivant sur un territoire correspondant à l'actuel Pérou, il y a 36 millions d'années. Le climat était alors plus chaud qu'aujourd'hui, et les pôles dépourvus de glace. Découvrez les reconstitutions de ces espèces : http://www.maxisciences.com/scorpion/reconstitution-les-images-de-grenouilles-scorpions-ou-rongeurs-geants-aujourd-039-hui-disparus_art865.html Source
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