Max|mum-leterrarium

Boa dans une cour Le travail de la police questionné Stéphane Tremblay Le Journal de Montréal 22/07/2008 08h37 - Mise à jour 22/07/2008 13h14 Des citoyens qui ont dû passer une nuit complète avec un boa dans leur cour dénoncent le travail de la police qui n'a pas été assez prompte à intervenir, selon eux. Le dimanche 6 juillet en soirée, Monique et Jacques Fortin ont invité des amis pour célébrer la fin des régates de Valleyfield lorsque se pointe un visiteur plutôt particulier : un boa de six pieds de longueur et de trois pouces de diamètre. «J'ai téléphoné au 9-1-1 pour les informer qu'un boa était perché dans un arbre. On m'a demandé si j'étais certaine qu'il ne s'agissait pas plutôt d'une couleuvre. Je ne connais pas beaucoup ça, mais je n'ai jamais vu une couleuvre de six pieds», indique Monique Fortin, résidente de la rue Saint-Louis à Salaberry-de-Valleyfield. Une heure plus tard, les policiers se sont rendus sur place. Selon Mme Fortin, un policier lui aurait alors dit qu'il ne pouvait rien faire pour l'instant car son spécialiste du contrôle des animaux errants ne travaille pas les fins de semaine. «Je trouve ça terrible de ne pas l'avoir capturé immédiatement. Nous avons passé la nuit en sachant qu'un serpent se trouvait à quelques pas de la maison», déplore-t-elle. Son mari aussi trouve la décision des policiers «spéciale». Il dit ne pas avoir eu peur. «Ce n'est pas vraiment dangereux, sauf qu'une morsure pourrait occasionner des infections. Pourquoi ne pas l'avoir récupéré le soir même, au lieu de prendre le risque qu'il se sauve ?», s'interroge Jacques Fortin. La SQ répond La Sûreté du Québec se défend de ne pas avoir fait son travail. «Nous nous sommes rendus sur les lieux, et le serpent était dans un arbre de 15 pieds de haut. Les gens étaient nombreux, fêtaient et ne semblaient aucunement effrayés. Aucune vie n'était en danger», répond Marc Butz, de la SQ. Le reptile, qui était enroulé dans l'arbre avec la tête sortie entre deux branches, a finalement été récupéré à l'aide d'une perche par un agent de la Faune, le lundi matin. L'enquête n'a pas permis de retracer le propriétaire du boa. Pour voir l'article, cliquer ici.

Après 8 ans de vie commune, son python le mord sauvagement à Seraing FAITS DIVERS mar 22 juil Si on en croit ce fait divers survenu à Seraing, les serpents ne sont pas comme le vin: ils ne deviennent pas meilleurs avec l'âge. Huit ans qu'un couple vivait avec un python constrictor qui avait atteint la taille respectable de 4 mètres et vivait dans un terrarium. Mais samedi, l'harmonie s'est brisée. Le maître s'est brutalement fait mordre par le reptile peut-on lire dans La Meuse de ce mardi. "Il y avait plein de sang dans la maison, ce qui prouve que la morsure était importante" indiquait Tony Lo Bianco, le spécialiste en NAC (Nouveaux Animaux de Compagnie) venu rechercher l'animal rampant. Blessé, le propriétaire du serpent a rapidement été conduit par sa femme à l'hôpital. Celle-ci est ensuite revenue à son domicile. Plus précisément, jusqu'à l'entrée de son domicile: paralysée par la peur, elle n'a plus osé franchir le seuil de sa porte, le python glissant quelque part dans l'habitation. Tony le spécialiste est donc arrivé: "J'ai trouvé le serpent dans le salon. Je l'ai maîtrisé et emporté". Pas de réconciliation possible entre le couple de Sérésiens et son python. L'animal sera probablement transféré au parc Paradisio. Pour voir l'article, cliquer ici.

Le propriétaire du serpent identifié ? Edité le : mardi 22 juillet 2008 à 15:20 Section : Nouvelles de Montréal On croit avoir trouvé le propriétaire du python royal retrouvé sous le lit d'une Montréalaise À l'aide de photos, l'homme doit identifier en soirée l'animal résidant au Berger Blanc. Le refuge animalier a reçu plusieurs appels de gens intéressés à adopter le serpent. Le python royal a été retrouvé dans le logement d'une locataire de l'avenue des Pins Ouest dans la nuit de dimanche à lundi. Pour voir l'article, cliquer ici.

Eh oui, j'ai encore acheté un autre corn snake mais j'avais un projet de reproduction pour ce petit garçon. Quand j'ai parlé avec quelques personnes que j'avais acheté un silverqueen, on m'a plusieurs fois répondu "C'est quoi ça?". C'est là que j'ai vu que peu de monde ont lût ma longue fiche sur les phases des corn snakes. En fait, ce n'est pas compliqué, le silverqueen provient du même croisement génétique que le ghost, c'est-à-dire, Anery type A avec de l'hypomélanique type A. En fait, le Silverqueen provient de reproduction sélective dans le but d'amener le ghost à sa coloration noir et grise unique en son genre. Je n'ai pas de ghost pour montrer la différence mais je vous montre tout de même mon silverqueen.

Tiens dernièrement, j'ai acquis un california king snake qui n'est pas encore sexé d'ailleurs qui a un lien de famille avec ma petite albinos aberrant et avec la petite Mystic de Majesty. J'ai eu un deal pour donc je l'ai ramené à la maison.

Une photo de quoi?!?! D'une affaire comme ça?!?!

Bon ok, je n'ai pas regardé la date pour une fois mais bon

C'est un couple je présume?!?!

National | Lundi 13 aoû 2007 | 08:09 Un serpent dans les rues de Trois-Rivières (INFO690)- Les policiers de Trois-Rivières ont participé à une intervention pour le moins particulière en soirée. Ils ont reçu un appel les informant qu'un serpent circulait sur la rue Vincent-Bélanger, dans le nord de la ville. Une fois rendus sur place, ils ont effectivement constaté la présence d'un python royal. Ils ont fait appel à la Société protectrice des animaux afin qu'elle vienne récupérer l'animal. Pour voir l'article, cliquer ici.

Ils n'en parlent dans aucun des articles lut ici présent, mais le serpent en question était un python royal adulte. La raison que je vous fais répéter cette manchette à plusieurs reprises, c'est pour vous montrer l'ampleur que ça peut prendre pour quelque chose qui peut nous paraître anodin pour nous. Je me dis que ça peut peut-être faire prendre conscience à quelques personnes qui prendront plus de précautions pour éviter que ça se répète dans nos journaux.

Montréal | Lundi 21 jui 2008 | 05:09 Un python sous son lit (INFO690)- Une résidente du centre-ville de Montréal a eu la surprise de sa vie, dans la nuit de dimanche à lundi, en découvrant un python dans sa chambre. En entendant des bruits, elle a mis la main sous son lit pour constater que c'était très visqueux. C'est en allumant la lumière qu'elle a rencontré son locataire d'infortune. Elle a alors composé le 9-1-1 et les policiers du SPVM ont attrapé le serpent non-vénéneux, pour le conduire à l'organisme de contrôle d'animaux, Le Berger Blanc. Pour voir l'article, cliquer ici.

Le lundi 21 juillet 2008 Une Montréalaise trouve un python sous son lit La Presse Canadienne Montréal Une jeune Montréalaise a vécu des émotions fortes en fin de soirée, dimanche, lorsqu'elle a trouvé sous son lit un serpent. Selon ce que rapporte le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), la jeune femme de 31 ans a entendu un bruit suspect sous son lit au moment où elle tentait de s'endormir. En tâtant le plancher avec l'une de ses mains, elle a senti un objet en mouvement. Inquiète, elle a allumé la lumière et s'est penchée sous le lit pour apercevoir qu'il s'agissait bel et bien d'un reptile. Elle a dès lors composé le 911 afin de demander de l'aide. Ce sont des agents de police arrivés à l'appartement de l'avenue des Pins Ouest, au centre-ville, qui ont pris l'animal pour le placer dans une boîte de plastique avec couvercle afin de l'emmener au poste de quartier. Plus tard, le serpent a été confié aux bons soins de l'organisme de contrôle animal Berger Blanc qui possède l'expertise pour assurer à de tels animaux un refuge sécuritaire. Selon ce que l'organisme a déclaré à la police, l'animal trouvé est un python que n'est pas venimeux, ce qui en rend la garde légale en milieu urbain. La police croit que le reptile appartient à un autre locataire de l'immeuble où il a été trouvé et qu'il se serait échappé. Le propriétaire n'avait pas encore été localisé, tôt ce matin. Pour voir l'article, cliquer ici.

Une Montréalaise trouve dimanche un serpent sous son lit Il y a 14 heures MONTREAL — Une jeune Montréalaise a vécu des émotions fortes en fin de soirée, dimanche, lorsqu'elle a trouvé sous son lit un serpent. Selon ce que rapporte le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), la jeune femme de 31 ans a entendu un bruit suspect sous son lit au moment où elle tentait de s'endormir. En tâtant le plancher avec l'une de ses mains, elle a senti un objet visqueux et en mouvement. Inquiète, elle a allumé la lumière et s'est penchée sous le lit pour aperçevoir qu'il s'agissait bel et bien d'un reptile. Elle a dès lors composé le 911 afin de demander de l'aide. Ce sont des agents de police arrivés à l'appartement de l'avenue des Pins Ouest, au centre-ville, qui ont pris l'animal pour le placer dans une boîte de plastique avec couvercle afin de l'emmener au poste de quartier. Plus tard, le serpent a été confié aux boins soins de l'organisme de contrôle animal Berger Blanc qui possède l'expertise pour assurer à de tels animaux un refuge sécuritaire. Selon ce que l'organisme a déclaré à la police, l'animal trouvé est un python que n'est pas venimeux, ce qui en rend la garde légale en milieu urbain. La police croit que le reptile appartient à un autre locataire de l'immeuble où il a été trouvé et qu'il se serait échappé. Le propriétaire n'avait pas encore été localisé, tôt, lundi. (Collaboration Claude Poirier 98,5FM) Pour voir l'article, cliquer ici.

J'ai divisé le sujet pour mettre ce message à part. Je veux juste vous montrer l'ampleur que ça prit. Je reçois des alertes par emails des nouvelles sur google suite à un inscription que j'avais fais. J'ai reçu par email les articles concernant cette nouvelle. Je vous montre ça un après l'autre. Je trouve ça impressionnant comment on peut en parler. Monsieur l'agent, il y a un serpent sous mon lit ! Edité le : lundi 21 juillet 2008 à 14:43 Section : Nouvelles de Montréal On tente toujours de retracer le propriétaire du python royal retrouvé sous le lit d'une Montréalaise la nuit dernière. La résidante d'un logement de l'avenue des Pins Ouest a eu le peur de sa vie en tombant face à face avec le serpent. Le python, le deuxième du genre a être retrouvé dans un logement de Montréal en l'espace de quelques mois, a été confié à un refuge animalier. Le directeur des soins infirmier au Zoo de Granby, Alain Fafard dit que ce type de serpent n'est pas dangereux.... Pour voir l'article, cliquer ici.

Je ne sais pas le prix encore. Je vais probablement les annoncer dans la section vente aussitôt que j'aurais assez de détail.

Elle l'est en fait. C'est une adaptation pour son milieu naturel. Elle vit dans des cours d'eau froid et très rapide. On croit que l'absence de poumon est pour l'aider à rester au fond de l'eau et ne pas être apporté par le courrant. L'eau est par le fait même très oxygèné dût au fort courrant ce qui fait qu'il n'a pas besoin de poumon pour respirer, la peau peut faire tout le travail. Le fait d'avoir le corps plat aide aussi à ne pas partir avec le courrant.

sous un réfrigérateru ou sous SON réfrigérateur??????? Ça n'a pas été spécifié mais par expérience, je dirais sous SON réfrégérateur.

Vous connaissez la Barbourula kalimantanensis?!?! Il s'agit d'un petit crapaud aquatique de la famille des Bombinatoridae vivant à Bornéo. Il a été décrit pour la première fois par Djoko Iskandar, en 1978. Pourquoi je vous parle de lui?!?! Saviez-vous qu'il était le seul Anoure à ne pas posséder de poumons?!?! Eh oui, ce manque d'organe est connu chez les amphibiens mais de l'ordre des Urodèles mais de la famille des Plethodontidae. La seule méthode utilisée par l'animal pour respirer est alors par la peau.

Je viens de découvrir la nouvelle gamme de plantes pour terrarium de zoomed que je trouve grandement plus jolie que les plantes d'Exo-terra. Je voulais juste les partager avec vous. Je vous mets quelques photos de certains modèles. Ça donne une petite idée. Encore un autre coup de coeur de la part de Max|mum pour zoomed.

Juste des vers? Il me semble que ce n'est pas très "équilibré", non? Euh, mais bon, de toute manière, pour moi, vers ou grillons vivants, non merci... Juste d'y penser et j'ai la chair de poule! En donner de temps en temps, ça peut aller, mais pas question que ce soit la nourriture de base... (et, en plus, mon boucher n'a ni l'un ni l'autre! Enfin, j'espère! hihihi!) Dans ce cas, c'est peut-être un Uromastyx qu'il te faudrait. Tu le nourris de végétaux.

Sinon, il y a les vers?!?!

Seulement celles écrit par Max|mum sont de moi. Il faut regarder les noms avant.

Mon petit bébé vient de manger son premier vers à soie Bon bon ok je me tais, il fallait juste que j'en parle.

2008: l’année internationale de la grenouille Coup d’envoi d’une décennie de projets pour sauver les amphibiens du monde L’année 2008 a été déclarée par l’Union internationale de la conservation de la nature, Année internationale de la grenouille. Selon un expert local, 365 jours ne seront pas suffisants pour régler tous les problèmes de ces amphibiens. L’Écomuseum de Sainte-Anne-de-Bellevue attache une importance particulière aux amphibiens et reptiles du Québec. Cette réserve faunique éducative privée, exploitée par la société d’histoire naturelle du Saint-Laurent, chapeaute depuis 1988 l’Atlas des amphibiens et reptiles du Québec (AARQ). Sébastien Rouleau, coordonnateur de ce programme, suit de près l’évolution des populations des grenouilles au Québec et dans le monde. «Les problèmes sur le terrain sont insolvables en une seule année, c’est pourquoi l’année 2008 ne fait que marquer le lancement d’une série d’actions pour contrer le déclin mondial des amphibiens», explique le spécialiste. Bien que le cri d’alarme ait été lancé il y a près de trente ans, les démarches entreprises pour sauver les grenouilles ne semblent pas avoir porté fruit. Tel qu’énoncé sur le site de l’Ecomuseum, «présentement, la Terre fait face à la plus grande extinction de masse depuis la disparition des dinosaures. Le tiers des 6000 espèces d'amphibiens du monde - apparues il y a 360 millions d'années - sont menacées d'extinction. Près de 120 espèces ont d'ores et déjà disparu de la surface de la planète. Si le rythme s'accélère, les scientifiques estiment que 50% des amphibiens auront disparu d'ici la fin du siècle». La grenouille, avec sa peau complètement perméable, est sérieusement affectée par la pollution, les pesticides, les rayons ultra-violets et les changements climatiques. Avec le développement urbain qui favorise le remblayage des marais, son habitat naturel disparaît graduellement. De plus, avec la prolifération d'un champignon appelé le chytride, les populations d’amphibiens, particulièrement celles d’Amérique du Sud, sont d’autant plus menacées. Dans les vivariums de l’Ecomuseum, on commence à faire l’élevage des rainettes faux-grillon. Lorsque l’environnement sera à nouveau propice à leur épanouissement, elles seront relâchées en milieu naturel. «La rainette faux-grillon se retrouve en Outaouais et en Montégie, mais à cause du développement urbain et agricole, qui empiète sur son habitat et pollue l’environnement, elle est en voie d’extinction», explique Sébastien Rouleau. Cette année nous mettons en place les conditions d’élevage, il n’y aura pas encore de reproduction. C’est un projet à long terme.» En fait, cette démarche s’inscrit dans la mission d’un programme international, dénommé l’Arche des amphibiens, qui consiste à établir une population de secours, pendant qu’on règle les problèmes sur le terrain. L’objectif est de collecter 500 grenouilles d'au moins 500 espèces différentes, soit environ 25 000 grenouilles, pour des projets d'élevage. «Avec l’année internationale de la grenouille cette année, ce n’est qu’un début, précise l’expert de l’Ecomuseum. Il s’agit plutôt de la décennie de la grenouille.» Selon ce dernier, c’est une question d’éthique, on ne peut laisser disparaître ces animaux sans rien faire. D’autant plus que les êtres humains ont avantage, pour leur propre bien-être, à maintenir un environnement qui est sain pour les grenouilles. «Leur situation actuelle nous indique que tôt ou tard, c’est nous qui serons affectés par la détérioration de l’environnement.» Pour voir l'article, cliquer ici.

J'ai entendu parler de ça par des clients de l'animalerie et apparamment que ça serait un rétic. C'est donc un animal qui a été relâché...