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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. L'axolotl ou Ambystoma mexicana est originaire du Mexique. L'origine de son nom se compose comme suit : Atl signifiant eau et xolotl pour chien. Il fait parti des animaux pouvant passer sa vie au stade larvaire sans jamais se métamorphoser en adulte. Il peut se reproduire même au stade larvaire, procédé qu'on appelle la néoténie. Il est très étudié en biologie pour cette raison et celle qui est le sujet principale de ce texte. La célébrité de l'axolotl est dût au pouvoir de régénérer des organes endommagés ou détruits. Non seulement il peut se reconstruire un oeil manquant, il peut aussi se recréer des parties de son cerveau si elles ont été détruites.
  2. En fait non, il m'a écrit un email par la suite pour me raconter à quel point que leterrarium était un forum merdique et il m'a demandé de supprimer son compte. Je ne l'ai pas fais sur le coup, il m'a réécrit plusieurs fois et j'ai finis par le faire. Je crois même que tu connais bien cette personne.
  3. La grenouille des bois est l'une des rares grenouilles à hiberner sur le sol des forêts. Elle est considérée comme étant la grenouille la plus nordique. Par contre, comment se fait-il que cette grenouille suivit à la glace dont elle est recouverte en hiver?!?! La grenouille des bois se crée elle-même un liquide anti-gel naturel pour l'aider à survivre à l'hiver. À l'automne, la grenouille se nourrit beaucoup plus qu'à l'habitude pour deux raisons, la première pour les réserves de gras pour l'hiver et la deuxième, je vous l'explique sur le fait même. L'appétit plus grande lui fait faire une réserve d'amidon dans son foie. L'amidon enmagasiné se transforme ensuite en glucose. La concentration de sucre dans son corps atteint alors environ 50 fois celle d'un diabétique. L'intérieur de son corps ressemble alors à un sirop. Le glucose abaisse le point de congélation des cellules. C'est alors que même si de la glace se forme dans son corps, l'intérieur des cellules restent liquide. Ce phénomène suscite beaucoup d'intérêt en médecine.
  4. Non, en fait la vrai couleur de la grenouille ici est fushia. Je plaisante. Oui, ce sont les vrais couleurs, seulement le serpent que tu vois à gauche est la couleur d'un juvénile. Il va devenir vert avec le temps.
  5. Eh bien, grâce à une membre du forum, je viens de me rendre compte que ce sondage qui est sur le portail était remplit de faute d'orthographe. Je viens tout juste de corriger ça. Merci à ani de m'en avoir informé.
  6. Cool! Qu'est-ce qu'ils attendent pour faire un métro jusqu'à Beloeil pour que je puisse aller faire un tour au Petland? hihihi! Tu prends le métro jusqu'à Longueuil, ensuite, tu prends le circuit 200. Pour un gros 5,25$, ils te débarquent pratiquement devant la porte de l'animalerie. En fait, ils te débarquent de l'autre côté de la rue. Tu traverses la rue, tu entres dans le mail Montenach par la porte à côté du Zellers et c'est en entrant à ta gauche. Tu ne peux pas manquer.
  7. En fait, c'est du photoshop. Cette grenouille n'existe pas dans cette coloration. Elle a été fait par un ancien membre seulement pour le tape-à-l'oeil. La grenouille en question est de coloration verte. Il s'agit d'une rainette de White du nom scientifique, Litoria caerulea. C'est une grenouille qui peut faire une dizaine de cm à l'âge adulte et qui se trouve seulement en Océanie.
  8. Max|mum-leterrarium

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    Ton opinion compte autant que celui des autres membres tu sais. Tu participes au forum comme les autres alors ton opinion compte autant. Pour ce qui est des vieux messages, ne te gênes pas pour y écrire quand même. C'est toujours intéressant de savoir ce que les autres en pensent.
  9. Max|mum-leterrarium

    Bannière

    Tiens, une autre bannière souvenir dans ce message. Je la replacerai si la nouvelle bannière de Phénix ne vous plait pas. J'attends les commentaires de la nouvelle.
  10. Eh oui, c'est bien moi. Je travaille au Petland à Beloeil depuis le mois de Mai. Je ne suis pas gérant de l'animalerie mais le coin reptiles est sous ma responsabilité. Et je suis le fatiguant qui achale sans cesse la gérante pour qu'on entre des nouveaux produits.
  11. « Un amour à sens unique » samedi 26.07.2008, 04:54 - La Voix du Nord Le Dr Vlaemynck, vétérinaire, travaille dans une clinique, dans la métropole lilloise, qui accueille des reptiles. On parle de plus en plus des reptiles comme nouveaux animaux de compagnie. La part de votre clientèle qui a des serpents augmente-t-elle ? OAS_AD('Position1'); « Oui, les gens viennent de tout le Nord - Pas-de-Calais, voire de plus loin, pour faire soigner leur animal un peu particulier. On a aussi une clientèle liée à la proximité de la région avec la Belgique où il y a une grande offre. Il y a beaucoup de personnes qui achètent un serpent suite à un coup de coeur et qui ne se rendent pas compte des soins dont il va avoir besoin. Les serpents, c'est une histoire de beauté contemplative. Il faut aimer regarder l'animal vivre et évoluer mais pas l'avoir avec soi comme un chien ou un chat. » Il y a des gens qui acquièrent un serpent pour de mauvaises raisons alors ? « Oui, certains choisissent cet animal parce que ça prend moins de place qu'un chien ou pour se distinguer. À côté, il y a les passionnés, qui n'ont pas un animal pour être originaux. Sérieux et responsables, ils savent qu'ils ne doivent pas attendre de retour. Et puis les serpents sont biens dans leur biotope artificiel et ne doivent pas trop en sortir. C'est un peu comme l'aquariophilie : ce sont des animaux jolis à regarder mais c'est un amour à sens unique. Avec l'achat coup de coeur, on ne réfléchit pas à tous les paramètres qui doivent être établis pour accueillir un serpent : une température précise, un système d'aération... Il faut impérativement réfléchir à tout ça avant que l'animal n'arrive. » • Pour voir l'article, cliquer ici.
  12. Présentation de reptiles au centre de loisirs La Fontaine dimanche 27.07.2008, 05:12 - La Voix du Nord | VIE ANIMALIERE | Mercredi, le Reptil'club, une association de référence en terrariophilie dans l'Arrageois, faisait une étape, pour présenter son panel d'animaux, au centre de loisirs La Fontaine. L'occasion de démystifier ces espèces, mais aussi de prévenir leur banalisation. Soigneusement enfermées dans leurs caisses, ce sont près d'une vingtaine d'espèces, du lézard au python, qui attendent de défiler, ce mercredi matin, devant un parterre d'enfants où la curiosité côtoie parfois la peur irrationnelle. « La découverte réelle des reptiles ne laisse jamais indifférent », explique le président de l'association, Patrick Henry. « Elle est bien loin des conceptions légendées véhiculées par le cinéma ou les médias. Ces derniers vont créer chez des personnes des phobies, qui peuvent les empêcher d'approcher ces animaux sereinement. L'exercice relève alors de la maîtrise de soi. » Difficile quand même d'être tout à fait rassurés face au python molure, une espèce originaire d'Asie du Sud-Est présentée ce matin-là, qui ne mesure pas moins de 3 mètres 50 pour près de 50 kg. « Et encore, ça n'est qu'un bébé ! », s'amuse Stéphane Pruvot, vice-président. « Il faut savoir que l'on fait preuve avec de tels animaux d'une extrême prudence », continue celui-ci. « On ne se permettra jamais de présenter un animal qui pourrait se montrer dangereux. Les bêtes sont les nôtres, on les connaît bien. » Le respect de cette catégorie d'animal, c'est aussi ce que défendent avec ardeur les vingt-huit membres de l'association. « Entendre dire que les reptiles sont de "nouveaux animaux domestiques", c'est très inquiétant : un serpent, c'est pas un poisson rouge ! », s'alarme Maxime Fournier, qui travaille en animalerie. « On estime le nombre de propriétaires dans le secteur arrageois à près d'un millier, et pourtant ils sont souvent mal renseignés. Pire : certains acheteurs ne se sont pas procuré le matériel adéquat pour s'occuper de l'animal. » Se procurer un serpent ou même un lézard représente un vrai investissement financier. Une ampoule chauffante, nécessaire à la survie de certaines espèces, coûte en moyenne 90 E, sans parler du prix d'un terrarium. D'autre part, il faut y voir un engagement sur le long terme, et l'inconscience à ce sujet donne souvent lieu à de macabres découvertes en période estivale, où des serpents sont retrouvés morts faute d'alimentation. Sans parler de ceux abandonnés dans la nature. « La situation s'améliore néanmoins », tempère Raphaël Mauriaucourt, quatrième membre de l'association présent : « Les vétérinaires sont mieux informés, une pédagogie sur le sujet s'est développée. » Des dispositions légales protègent ces animaux, un certificat de capacité délivré par la préfecture est obligatoire pour posséder les spécimens les plus dangereux. Les enfants sont repartis avec un morceau de mue de serpent, et semblaient ravis de leur matinée. Le Reptil'club continue la tournée des centres de loisirs, et bénéficie d'un accueil tout aussi bon dans les maisons de retraite ou auprès des structures accueillant des déficients mentaux légers. Puis l'automne sera le temps des différents salons animaliers, un peu partout dans la région. Depuis quelques années, la courbe des acheteurs de tels animaux connaît une croissance exponentielle, et le nombre de passionnés pour ces espèces exotiques ne cesse d'augmenter. Entre ses activités d'exposition et sa mission pédagogique, le Reptil'club semble donc destiné à un avenir prometteur. • A. C. > Si vous souhaitez vous renseigner sur l'association ou sur les reptiles en général, vous pouvez consulter leur site : reptileclub.niceboard.com. Pour voir l'article, cliquer ici.
  13. Treize reptiles et... deux yorkshires pour animaux de compagnie samedi 26.07.2008, 04:54 - La Voix du Nord DRÔLE DE COMPAGNIE | C'était les rats il y a quelques années. Les nouveaux animaux de compagnie sont aujourd'hui des serpents, des iguanes ou encore des singes. Rencontre avec un passionné de reptiles. PAR CLAIRE CIERZNIAK OAS_AD('Position1'); saintomer@lavoixdunord.fr Sylvain avait envie de parler de sa passion mais il a peur des mauvaises réactions. Il a donc préféré garder l'anonymat. Pour se justifier, il évoque une de ses malheureuses expériences : « J'ai été insulté dans une animalerie alors que j'achetais des rats pour nourrir mes serpents. Moi, je conçois qu'on puisse aimer les rats. Les autres ne conçoivent pas que j'aime les serpents ». Quand, au téléphone, il explique qu'il en a une quinzaine et un lézard, on imagine un personnage étrange. Sylvain habite à Arques dans une grande maison. Chez lui, aucun python ou boa en liberté, seulement deux yorkshires un tantinet hargneux dont Sylvain dit qu'ils seraient « presque les plus dangereux ici ». C'est dans une pièce spécifique aux volets fermés qu'on trouve les bêtes. Deux boas, dix pythons et un lézard. Leur propriétaire précise, avec des noms latins et des termes scientifiques. C'est que, si c'est d'abord une passion, tout est une question de génétique pour aborder les spécificités de chaque animal. Il y a le python royal phasé « caramel », le phasé « piebald »... Les prix dépendent des phases, codes génétiques plus ou moins rares. « La génétique des serpents, c'est très précis... sauf si je me suis fait rouler ! », lance Sylvain, qui précise qu'il n'y a aucun moyen d'être sûr et qu'on ne peut que faire confiance à l'éleveur qui vend l'animal. Dans l'antre des serpents, chacun est à sa place. Les trois plus gros sont dans un terrarium, les autres sont dans des box, sur une étagère avec un système d'aération et un tapis chauffant. Un peu comme dans des tiroirs, mais Sylvain explique que, petits, ils ne supportent pas d'être dans de grands terrariums : « Ce sont des animaux très stressés et les jeunes sont encore plus craintifs. Dans un espace réduit, ils se sentent en sécurité et, avec plus de place, ils ne mangent pas. Ça fait triste mais c'est là où ils se sentent le mieux. » Par un système de lampes vitrocéramiques reliées à des thermostats, Sylvain recrée leur milieu naturel, dont il ne faut pas trop les extraire. Les serpents font donc partie de la catégorie « nouveaux animaux de compagnie » mais ils sont loin des chiens que l'on promène et des chats que l'on prend sur ses genoux. « C'est intéressant à élever, à observer », explique Sylvain, fier d'avoir « un petit bout d'Asie, un autre d'Australie, un peu d'Afrique... » Le passionné, qui se considère presque comme un collectionneur, précise qu'il prend « plaisir à avoir quelque chose d'exceptionnel : les gens qui me connaissent bien savent que je suis un peu rock n'roll mais je n'ai aucune raison de me vanter, bien au contraire ». Sylvain doit souvent faire face à des réactions négatives, même s'il les impute à une méconnaissance : « Avec le côté religieux du serpent qui tend la pomme à Ève, on en a depuis toujours une mauvaise image, mortelle et catastrophique ». Sylvain ne montre pas trop ses animaux mais, quand il le fait, la peur se transforme souvent en curiosité. « On a d'abord une réaction de recul et puis on veut vite voir de plus près. » • Pour voir l'article, cliquer ici.
  14. C'est ce que j'ai cru remarquer... Et c'est une des choses qui m'encouragent à aller chez un éleveur. Sans rien enlever aux animaleries, parce que je suis convaincue qu'il y a des gens vraiment compétents qui peuvent y travailler, je crois que seul un éleveur peut te dire non seulement la date de naissance, mais aussi le signe astrologique (avec ascendant s'il vous plaît), le nombre de jour que l'oeuf a été incubé, la couleur du bout de la queue de l'animal quand il est né ou son plat préféré! C'est le genre d'attachement que les employés d'animalerie peuvent difficilement avoir avec leurs bêtes... Je connais une petite animalerie dans le bout de Beloeil. C'est une animalerie de centre d'achat. C'est un Petland, il me semble. Il y a un gars qui s'y connait quand même pas mal je crois. Il s'appelle Maxime, si tu y passes, tu devrais aller jaser avec lui pour en parler.
  15. C'est ce qui arrive souvent dans les animaleries, ils s'y connaissent peu et ils ne voient pas ça comme un animal de compagnie comme les autres. Ils oublient de poser des questions comme l'âge à l'éleveur.
  16. Quand l'amour interfère avec les reptiles, c'est qu'il est temps de changer... de partenaire
  17. Shit, je n'ai même pas regardé avant, j'étais endormi et j'ai décidé de mettre que l'affiche.
  18. Bienvenue sur le forum!!! Je ne me suis jamais aventuré dans le monde des Dendrobates même si j'ai des grenouilles depuis un moment quand même. Je serais curieux de voir à quoi ressemble les têtards de ces espèces. Aurais-tu des photos?!?!
  19. Profites en, il n'est peut-être plus ici pour longtemps. J'étais censé le garder au départ mais suite à la séparation, je ne savais plus trop. Je songe à le mettre à vendre ou possiblement l'échanger.
  20. Je lui ai juste fait comprendre mon point de vue. Je lui ai dis aussi que la prochaine fois, au lieu de faire le 991, qu'il cherche et qu'il ferme sa gueule bâtard. Je n'ai par contre pas passé par 4 chemins quand j'ai dis ce que j'en pensais, ma gérante m'a dit d'aller moins rought avec les clients à l'avenir.
  21. De nouvelles découvertes au niveau du système immunitaire pourraient détenir la clef de la survie des amphibiens [Date: 2008-07-22] L'année 2008 a été déclarée année de la grenouille par l'association des zoos et des aquariums, qui multiplie les initiatives pour lutter contre la crise d'extinction des amphibiens. Les grenouilles et les autres amphibiens sont un élément vital de l'écosystème mondial, et des indicateurs de la qualité globale de l'environnement. Hélas, près de 50% des amphibiens risquent l'extinction. Des chercheurs européens ont peut-être trouvé la clef permettant de renverser cette tendance. Au niveau mondial, les scientifiques s'interrogent sur le déclin massif et soudain des populations d'amphibiens. Tout ce qu'ils savent, c'est que la propagation à une vitesse sans précédent de maladies infectieuses, comme la chytridiomycose, en est une cause majeure. L'infection est causée par des champignons chytridiomycètes, notamment Batrachochytrium dendrobatidis. On considère que ce champignon est originaire d'Afrique du Sud. Lorsqu'il est introduit dans un nouvel habitat, il se propage le long des cours d'eau ainsi que par contact entre les amphibiens. Il prolifère dans les habitats humides et frais. Actuellement, il est impossible d'enrayer le développement du champignon dans la nature, et seule une minorité d'espèces semble capable de survivre à une infection, à l'état adulte ou larvaire. Une fois infectés, ces animaux servent de réservoir et de vecteur pour d'autres épidémies. Tous les amphibiens n'y sont pas sensibles, certains y sont mêmes très résistants, par exemple le crapaud buffle, la grenouille-taureau d'Amérique et le crapaud à griffe d'Afrique australe. La préservation de la faune amphibienne pourrait avoir un nouvel allié. Des chercheurs de l'université Jagiellonian de Cracovie (Pologne) et du centre Helmholtz pour la recherche environnementale (UFZ) ont étudié le génome des amphibiens et découvert plus d'un locus de Complexe majeur d'histocompatibilité (CMH) de classe 2, chez un amphibien urodèle. Ces gènes sont vitaux pour le système immunitaire des amphibiens, car ils produisent des protéines essentielles permettant de lutter contre les pathogènes. Autrement dit, ces gènes sont capables de reconnaître et de combattre les maladies qui se manifestent. Nos connaissances sur les défenses immunitaires des amphibiens sont encore très restreintes. Avant cette étude, on pensait que le gène CMH n'était pas spécialement important. Cependant, l'étude réalisée par ces chercheurs a remis en question cette théorie. Wieslaw Babik, l'auteur principal, a mené cette étude dans le cadre d'un projet collaboratif entre l'université de Cracovie et l'UFZ à Halle-Saale. Elle a été financée par la fondation Alexander von Humboldt, et les résultats ont été publiés dans la revue Molecular Ecology. Les scientifiques ont étudié diverses populations du Triton alpestre (Mesotriton alpestris) en Pologne. Cet animal est le premier amphibien urodèle d'Europe chez qui l'on a étudié le CMH, et le premier où l'on ait trouvé plus d'un locus CMH II. La recherche s'est également basée sur des études antérieures d'ADN, qui avaient montré que la population polonaise du Triton alpestre avait atteint relativement rapidement une diversité génétique importante, en ses 10000 ans d'histoire. Pour voir l'article, cliquer ici.
  22. Ayoye, l'art de se mettre les pieds dans les plats. Ceux qui connaissent le coin, St-Jean-Baptiste et Beloeil, ce n'est pas trop loin. Un gars est venu à l'animalerie en me disant qu'il était de St-Jean-Baptiste et que la ville ne tolère plus les reptiles, ils voulait savoir s'il y avait des règlements municipaux à Beloeil à ce sujet. Je dis au gars en question que je n'en ai pas la moindre idée mais avec ce que le cave de St-Jean-Baptiste, les règlements municipaux vont se resserrer à bien des endroits. La blonde me répond, le cave de St-Jean-Baptiste, bien je l'ai drette devant moi... Ma première réaction a été ok... c'était quoi ton problème d'avoir fait le 911 pour avoir perdu ton serpent, c'était vraiment cave de ta part, il fait 6 pieds de long, où tu veux qu'il soit. Il m'a dit qu'il n'a pas voulut mal faire, il a juste voulut aviser la ville au cas où le serpent serait vu pour dire que ce n'est pas dangereux du tout et de ne pas paniquer. Ils pensaient qu'ils l'auraient juste appeller pour lui dire ton serpent est à tel place. Pour te répondre encore mieux gringo, oui, c'était bel et bien sous son frigo qu'il a été retrouvé, 4 heures après avoir appellé la police. Il était enroulé autour du compresseur de son frigo. Je lui ai ensuite demandé ce que ça causé pour lui. Il a reçu 3 mises en demeure de la part de la ville. Il a jusqu'à je ne sais pas quelle date pour se débarasser de son serpent sinon il va avoir une amande de 1000$ par jour. J'ai fais part de mon opinion des plus sincères par la suite même si ça n'a pas été apprécié ni de sa part, ni de la part de la gérante.
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