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Salon des animaux exotiques de Granby 2007
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Nouvelle
Il y avait par contre 3 espèces qu'on ne voit pas si souvent que ça dont le Tégu de Michel Leblanc. J'ai été surpris d'y voir des chats par contre. Il y avait de la bouffe à serpent. Bien non, tout le monde le sait que c'est le perroquet qui l'a mangé. C'était une farce, personne ne s'est bourré la face avec personne durant le salon. Ils étaient tout de même mignon ces petits cochon d'inde. Il y avait des serpents communs aussi. Un petit corn butter Un beau Lampro Et pour le plaisir de mes yeux, les licorices rat snake de Michel Leblanc. Finalement, ça été un bon salon où le plaisir était présent. Ce beau sourire peut en témoigner. -
Salon des animaux exotiques de Granby 2007
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Nouvelle
Maintenant le temps de mes premières photos du salon puisque le total est de près de 200. Je vous soulage tout de suite, je ne vous les montrerai pas tous. J'ouvre le bal avec la plus grosse surprise du salon. Eh oui, une magnifique bête qui a fait tomber le coeur de plusieurs. Un magnifique mâle Lampropeltis mexicana mexicana. La surprise n'est pas tout à fait lui mais il a un lien étroit avec lui. Mon amoureuse a prit un serpent. Mais le pire dans tout ça, c'est qu'elle est tombé amoureuse d'un autre serpent. Elle ne le lâchait plus celui-là. Une petite femelle boa des sables du Kenya. Je sais, je sais, ce sont mes deux serpents. J'étais exposant je vous rappellerai. J'étais de ceux qui avait apporté des grenouilles. Moi qui était persuadé que personne en apporterait, j'avais apporté ma petite Rhacophos dennysii. Il y avait plusieurs amateurs de pac man apparemment. Pour une rare fois, on a pu se rincer l'oeil sur plusieurs tortues. Le zoo était présent avec comme seul animal, une belle tortue molle. Ils étaient là comme à chaque année pour parler de la protection de cette espèce tant menacée au Québec. L'ironie dans l'histoire, c'est qu'ils étaient présent avec celle de la Floride et non celle du Québec. Il y avait aussi Tarcan avec plusieurs mygales. Dans les lézards, c'était comme pas mal partout, gecko et dragon barbu. -
Salon des animaux exotiques de Granby 2007
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Nouvelle
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Juste pour que vous ne fassiez pas le saut, le nombre de membre va diminuer dans les prochains jours. U grand nombre d'inscription s'est produit en une seule journée et après discussion entre administrateur nous croyons que c'est dût à un spam donc je vais faire un ménage là-dedans demain et enlever par le fait même tout ceux qui ne se sont jamais connecté. Merci de votre compréhension et bonne journée
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Salut, quelqu'un m'avait envoyé une photo pour un identification. J'avais cru à un chuckwalla mais la photo était très floue. Le couple a acheté ce lézard dans un animalerie en se faisant dire que c'était un dragon des sables. Ensuite, ce couple m'a envoyé un vidéo où j'ai rapidement vu que ce n'était pas un chuckwalla dût à la largeur de la queue ainsi qu'à la crête sur le dos, en fait, l'apparence physique complète de l'animal ne correspondait pas du tout. En bout de ligne, j'ai besoin d'aide pour identifier ce lézard. Ils se sont fait dire de le nourrir de pomme et de lui donner une souris par semaine pour le nourrir alors avec votre aide, peut-être que les soins à prodiguer à ce lézard changerait avec une bonne identification. Merci à l'avance.
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Je n'étais pas encore au courrant mais le biodôme ont enménagé un espace spéciale pour quelques espèces reptilienne entre autre. Vous pouvez aller y voir le chuckwalla, la couleuvre à nez mince, le lézard bleu et je ne sais plus quelles autres espèces dans ce secteur. Je vous donne un lien qui parle de ces spécifications. C'est pour un temps limité, je vais essayer d'aller y faire une visite et vous montrer quelques photos de ça. http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/October2007/05/c8880.html
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une grenouille témoin de la dérive des continents ?
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Nouvelle
Suite de l'article Des cousines aux Seychelles Des Seychelles jusqu'à la péninsule indienne : 3000 km. L’analyse de l'ADN révèle une seconde surprise. Nasikabatrachus possède de proches parents… aux Seychelles ! Une véritable surprise pour les chercheurs car ces grenouilles insulaires, appartenant à la famille des Sooglossidae (qui compte actuellement quatre espèces), sont radicalement différentes de Nasikabatrachus. Elles sont minuscules, vivent dans les torrents, et ne sont donc pas adaptées à une vie fouisseuse. Mais comment des grenouilles séparées par 3000 km d’océan peuvent-elles être de proches cousines ? Bien entendu, Nasikabatrachus n’a pas franchi l’Océan Indien à la nage. Et c’est dans la tectonique des plaques qu’il faut rechercher une réponse. Le Gondwana se déchire... Un témoin de la dérive des continents Selon l’hypothèse envisagée par les chercheurs, les ancêtres communs de ces deux familles vivaient sur le Gondwana, l'un des deux super-continents qui émergeaient des océans il y a 200 millions d'années. Lorsque celui-ci s'est fracturé, il y a environ 160 millions d'années, des grenouilles ont été emportées sur le sous-continent commun Inde-Seychelles. Lorsque cette terre s'est elle-même fracturée, il y a 65 millions d'années, les grenouilles isolées sur les Seychelles ont évolué de manière indépendante, donnant naissance à la famille des Sooglossidae. Celles restées sur le sous-continent indien sont à l’origine des Nasikabatrachidae. Reste un détail qui pourrait apparaître comme une contradiction : l’analyse génétique montre que la séparation entre les deux familles de grenouilles s’est produite il y a 130 millions d’années, c’est-à-dire bien avant la rupture entre l’Inde et les Seychelles. « Cette contradiction n’est qu’apparente, explique Annemarie Ohler. Elle montre simplement que ce sont les milieux naturels variés du bloc Inde-Seychelles qui ont conduit à la séparation des deux familles de grenouilles. La rupture entre les deux sous-continents n’a fait que les isoler définitivement. » Pour voir l'article, cliquer ici -
une grenouille témoin de la dérive des continents ?
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
NASIKABATRACHUS : une grenouille témoin de la dérive des continents ? Une nouvelle espèce de grenouille, dont l'existence témoigne de liens biogéographiques très anciens entre l'Inde et les Seychelles, a été découverte dans le Kerala par deux biologistes, l'Indien S. D. Biju et le Belge Franky Bossuyt. Ils ont décidé de créer pour elle une nouvelle famille, celle des Nasikabatrachidae. Retour sur cette étonnante découverte. Le Kerala Un étrange animal La scène se passe il y a cinq ans, dans le Kerala, une région tropicale et montagneuse du sud-ouest de l’Inde. Au milieu d’une plantation de cardamome, des paysans creusent une tranchée. Quand soudain, l’un d’eux tombe nez à nez avec un étrange animal enfoui à près de deux mètres de profondeur. Une curieuse grenouille... De toute évidence, il s’agit d’une grenouille. Mais quel curieux spécimen ! Le batracien est de couleur violette, son corps est boursouflé, ses pattes boudinées, et son museau proéminent... Intrigué par cette étrange découverte, le paysan confie l’animal à S. D. Biju, un chercheur du Tropical Botanic Garden and Reserch Institute de Thiruvananthapuram. Mais ni le biologiste, ni les autres chercheurs de l’Institut n’arriveront à l’identifier : cette grenouille ne ressemble à rien de connu ! En quête d'identité « L’identification d’une grenouille n’est pas chose aisée, concède Anne-Marie Ohler, chercheuse au laboratoire d’herpétologie du Muséum national d’histoire naturelle. Les batraciens présentent généralement une très grande adaptation à leur milieu, indépendamment de leur appartenance à un groupe donné. » Cette grenouille présente de nombreuses adaptations à une vie fouisseuse... « En résumé, rien ne ressemble plus à une grenouille arboricole qu’une autre grenouille arboricole, même si ces deux amphibiens appartiennent à des espèces très éloignées. » La grenouille découverte dans le Kerala présente ainsi de nombreuses analogies avec certaines espèces fouisseuses africaines. Comme ces dernières, elle fait preuve d’une très grande adaptation à la vie souterraine. Des caractéristiques qu’elle partage d’ailleurs avec les taupes ou les musaraignes : de petits yeux, une bouche minuscule, un museau pointu, des pattes adaptées au fouissage et non à la nage… Malgré cela, des examens approfondis montreront que cette grenouille n’appartient pas à la lignée des grenouilles fouisseuses africaines. L'ADN pour seul juge La description anatomique ne suffisant pas à replacer l’animal dans le grand embranchement des anoures (les batraciens « sans queue »), Franky Bossuyt, un chercheur belge de l’Université libre de Bruxelles, décide de soumettre la grenouille à une analyse phylogénétique. Les ADN mitochondrial et nucléaire de la grenouille sont comparés à ceux de ses congénères : plus les différences sont importantes, et plus le degré de parenté est éloigné. La comparaison des brins d'ADN de différentes grenouilles permet de retrouver leurs liens de parenté. Première surprise : cette grenouille indienne représente un véritable fossile vivant ! Alors que 96% des 4800 espèces de grenouilles contemporaines appartiennent au groupe des Neobatrachia (les « grenouilles modernes »), l’analyse phylogénétique montre que la grenouille du Kerala s’est détaché de ce groupe il y a 180 millions d’années, lorsque sur Terre régnaient les dinosaures. La nouvelle grenouille est dès lors baptisée* Nasikabatrachus sahyadrensis : de nasika, nez en sanscrit, batrachus, grenouille en grec, et Sahyadri, un des noms pour désigner les Western Ghâts, montagnes où l'animal a été trouvé. Ne se rattachant à aucun groupe de grenouilles connues, S.D. Biju et Franky Bossuyt décident par la même de créer une nouvelle famille de batracien, celle des Nasikabatrachidae. C’est la première fois, depuis 1926, qu’une découverte conduit à la création d’une nouvelle famille de grenouilles. * “Nature“ vol. 425, p. 711 -
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Une nouvelle espèce de grenouille a été découverte en Thaïlande. La nouvelle venue est une montagnarde et change de couleurs à l’envi. Découverte, il y a quelques années, la grenouille Odorrana aureola est définitivement classée comme une nouvelle espèce grâce à des analyses génétiques de l’année dernière. Elle a été découverte dans le parc protégé Phu Luang Cliff. Ce dernier se trouve dans les montagnes thaïlandaise au nord est du pays. Une grenouille verte ou marron , credit : AFP Verte ou marron, la grenouille peut atteindre une taille de 8 cm. Elle adapte la couleur de sa peau à son environnement. La nouvelle grenouille se fait discrète. Tout d’abord, on ne peut la trouver qu’à une altitude comprise entre 1000 et 1500 mètres. Ensuite, elle a une fâcheuse tendance à ne pas se reproduire souvent. Du coup, les scientifiques se demandent bien combien sont les Odorrana aureola.
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Bientôt dépassés, l'EPO et autres produits dopants à prendre en cure ? Le fantasme d'un dopage par thérapie génique est relancé par un article mis en ligne en août et prochainement publié par la revue hebdomadaire américaine Journal of biological chemistry : une équipe de la faculté de médecine de Cleveland (Ohio), dirigée par Richard Hanson, y détaille l'augmentation spectaculaire des performances de souris génétiquement modifiées par ses soins. Les créateurs de Speedy Gonzalez, cette souris de dessins animés qui court sans relâche, étaient donc des visionnaires. Les souris génétiquement modifiées sont spontanément sept fois plus actives dans leurs cages que leurs congénères. Sur un tapis roulant, elles peuvent courir jusqu'à six kilomètres à la vitesse de 20 m/minute, quand les souris normales s'arrêtent au bout de 200 mètres. L'amélioration de leurs capacités à courir s'explique par leur consommation d'oxygène, plus élevée de 40 %, et leur faible production d'acide lactique, fruit de la consommation du glucose par les cellules musculaires, dont l'accumulation entraîne les crampes. Ce n'est pas tout : si les souris créées par l'équipe de Richard Hanson mangent 60 % plus que les animaux servant à la comparaison, leur poids est deux fois moindre. Leur taux de graisse corporelle est beaucoup plus réduit : deux à trois fois moins que les rongeurs normaux. A cela s'ajoutent une longévité supérieure et un vieillissement ralenti : à l'âge de deux ans et demi (une souris peut vivre de deux à quatre ans), les animaux de la lignée génétiquement modifiée couraient deux fois plus vite que des animaux témoins âgés de six à douze mois. DÉTOURNEMENT L'ensemble de ces modifications est lié à la surexpression dans le muscle squelettique d'un gène, celui de l'enzyme "phosphoenolpyruvate carboxykinase cytosolique" (PEPCK-C). Cette enzyme est impliquée dans la synthèse du glucose, le carburant des cellules, et du glycérol, qui se trouve dans les graisses. Voulant étudier le métabolisme énergétique, les chercheurs de Cleveland se sont logiquement tournés vers cette enzyme clé. Ils ont créé, voici quatre ans, un gène chimérique en combinant un brin d'ADN correspondant à la séquence codant la production de la PEPCK-C et un gène promoteur de l'actine alpha squelettique, une protéine essentielle pour la contraction musculaire. Les premières souris transgéniques exprimaient ce gène dans leurs muscles à un niveau d'une à trois unités par gramme de tissu musculaire. Les chercheurs les ont fait se reproduire entre elles pour obtenir des souris atteignant un niveau de neuf unités par gramme de muscle. Ce sont ces descendants présentant une surexpression du gène PRPCK-C qui ont été étudiés. Les auteurs soulignent qu'"il est remarquable que la surexpression d'une seule enzyme impliquée dans la voie métabolique puisse entraîner une modification si profonde du phénotype de la souris". Ils reconnaissent que l'étude ne permet pas de déterminer la nature des modifications du cerveau des souris transgéniques, à l'origine de leur comportement particulier, et n'explique pas l'accroissement de leur longévité alors que leur apport alimentaire est fortement augmenté. Les études avaient jusqu'alors montré qu'à l'inverse, l'accroissement de la durée de vie est associé à une restriction calorique. Interrogé par le quotidien britannique The Independant, Richard Hanson affirme ne pas voir dans ces souris transgéniques un modèle pour une thérapie génique chez l'homme : "Il n'est pas possible actuellement d'introduire des gènes dans les muscles squelettiques humains et il ne serait pas éthique de le tenter", dit-il. Les connaissances acquises grâce à ces travaux pourraient cependant servir à l'industrie pharmaceutique pour développer des médicaments améliorant les performances musculaires. Ce qui, selon Richard Hanson, rend "très possible" le détournement de telles molécules par des sportifs à des fins de dopage. Pour voir l'article, cliquer ici
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Salon des animaux exotiques de Granby 2007
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Nouvelle
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Salon des animaux exotiques de Granby 2007
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Nouvelle
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Je n'étais pas au courrant du tout de cette histoire. Par contre, je ne crois pas que ça soit l'âge le problème mais plutôt la sévérité sur la route. Trop souvent, il y a du laisser-aller. Je sais de quoi je parle puisqu'auparavant, je n'étais pas le plus prudent sur la route. Tout ce que je peux ajouter à ça, c'est qu'on ne change rien sans rien changer donc le début de tout changement commence par nos propres actes.
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