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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium
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Thamnophis marcianus marcianus
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Colubridés
La femelle est une vraie poubelle, elle mange tout ce que tu lui présente, même ton doigt si tu le désires. Le mâle est un peu plus difficile lui. Il mange que des souris. J'adore cette espèce pour les voir manger leur poisson. J'avoue être un peu déçu de le voir manger que des souris pourtant ça ferait le grand plaisir à d'autres... -
Thamnophis marcianus ~ Serpent-jarretière à damier
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Fiches sur les serpents
Thamnophis marcianus ~ Serpent-jarretière à damier Après le Thamnophis sirtalis et le Thamnophis sauritus, le Thamnophis marcianus est probablement le Thamnophis le plus populaire en terrariophilie. Il y existe trois sous-espèces, mais seulement le Thamnophis marcianus marcianus est très populaire en captivité probablement dût à la popularité de sa phase albinos. Description Le Thamnophis marcianus arborre des couleurs fort attrayantes. La coloration de fond est d'un vert kaki sur le haut du corps et gris verdâtre sur la face ventrale et le bas des côtes. Des taches carrées noires se répartissent sur le dos donnant l'effet de damier noir et kaki. D'autres taches mooins régulières sont présentent sur le gris du bas des côtes. Une ligne longitudinale jaune pâle à gris part de la tête, longe la colonne vertébrale pour terminer au bout de la queue. Sur la tête de ce serpent se trouve un dessin particulier jaune clair entouré de noir qui est symétrique par rapport à l'axe longitudinale. C'est le seul Thamnophis à présenter ce genre de motif singulier, ce qui le rend facilement identifiable. La tête est verte foncée et un collier est visible au niveau du cou. La mâchoire inférieure est grise et noire. Quelques bandes verticales grises partent du bas des yeux jusqu'à la bouche donnant ainsi l'impression de larmes qui coulent. La langue est bicolore, rouge et noire. Son corps est svelte. Ce serpent est munie d'une longue queue très fine. La grandeur moyenne de l'espèce est de 70 cm mais la longueur record enregistrée est de 115 cm. Les femelles sont souvent plus grande que les mâles. À la naissance, les petits font que 10 à 15 cm. Habitat Les trois sous-espèces proviennent de régions différentes dans tous les Amériques. Seuls le Thamnophis marcianus marcianus et le Thamnophis marcianus praeocularis s'empiètent au Varacruz, Tabasco et Chiapos, au Mexique, où on l'on peut observer des intergrades entre les deux sous-espèces. Le Thamnophis marcianus bovalli, décrit par Dunn en 1940, se trouve qu'au Nicaragua. Le Thamnophis marcianus marcianus a la plus grande aire de répartition s'étendant du sud du Canada, passant par les États-Unis pour se rendre jusqu'au Golfe du Mexique. La sous-espèce a été décrit en 1953 par Baird et Girard. La dernière sous-espèce, le Thamnophis marcianus praeocularis, décrit en 1892 par Bocourt, se trouve à la péninsule Yucatan au Mexique, au Bézile, au Guatemala et au Honduras. On peut le trouver dans divers types de milieu mais jamais loin de l'eau. Le plus souvent, il sera vu dans des milieux sub-désertiques non loin de l'eau. Cest un animal terricole que l'on peut décrire comme étant semi-aquatique. Ce serpent-jarretière nage très bien et n'hésitera pas à plonger pour pêcher de petits poissons, des grenouilles ou des têtards dont il rafole. Il est actif à l'aube jusqu'au crépuscule. Dans la nature, il hiberne. En captivité Cette espèce peut être maintenue seul, en couple ou en groupe. Il leur faudra beaucoup d'espace puisqu'ils sont très actif. Le sol doit être toujours bien sec. Il lui faudra un grand bassin d'eau pour lui permettre d'aller se baigner. On peut le nourrir de poissons, entiers de préférence ou en morceaux, de petites grenouilles, de vers de terre ou encore de souriceaux. Pour les habituer aux souris, on peut les frotter sur du poisson. Les juvéniles seront nourrit aux 2 à 3 jours, tandis que les spécimens de plus de 30 cm peuvent être nourrit une fois par semaine. Lorsqu'ils sont jeunes, ils sont extrêmement vif et rapide. Avec le temps, ils deviennent plus docile et se laisse plus facilement manipuler. La reproduction de l'espèce est très facile, elle a été souvent observé sans hibernation. Le Thamnophis marcianus, comme tous les Thamnophis, sont ovovivipare. Après 90 à 115 jours de gestation, la femelle donnera naissance de 6 à 20 petits serpenteaux qui seront autonome dès le premier jour. Plus la femelle est grande, plus le nombre de bébés sera important. Il faudra prendre soin de retirer les bébés, qui sont une réplique miniature des parents, pour éviter que les parents les dévore. Si vous procurez tous les bons soins nécessaires à votre serpent, il pourra vous tenir compagnie durant une période de 8 à 14 ans environ. La sous-espèce la plus vue en terrariophilie est la Thamnophis marcianus marcianus grâce à la popularité de la forme albinos. -
Thamnophis marcianus marcianus
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Colubridés
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Stenodactylus petrii
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Gekkonidés
Voici des nouvelles de cette petite bête. Elle va très bien mais refuse toujours les grillons. Je lui essaye encore de temps à autre mais bon, dans son monde un vers de farine semble plus appétissant. J'ai des nouvelles photos où on peut voir sa belle coloration. La voici en regardant le grillon sans rien faire une fois de plus. -
Nouvelles espèces décrite de 1994 à 2006
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Nouvelle
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Les amphibiens victimes de la fertilisation des terres
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
POLLUTION Les amphibiens victimes de la fertilisation des terres agricoles NOUVELOBS.COM | 26.09.2007 | 11:56 Les parasites qui rendent les grenouilles difformes profitent de l'apport de nutriments dans l'eau pour proliférer. (CU-Boulder) Les grandes quantités d’azote et de phosphore déversées par les agriculteurs sur leurs champs contribuent au développement de difformités chez les amphibiens des lacs et des étangs en Amérique du Nord, affirment des chercheurs américains. Le nombre croissant de grenouilles ayant des pattes en plus ou en moins, ou des membres difformes, a défrayé pour la première fois la chronique dans les années 90 lorsque des écoliers du Minnesota avaient découvert que plus de la moitié des grenouilles léopards d’un étang étaient anormales. Une nouvelle étude, publiée cette semaine par l’équipe de Pieter Johnson, de l’Université du Colorado (Boulder), montre par quelle cascade l’usage des fertilisants agricoles favorisent les difformités chez les amphibiens. L’azote et le phosphore stimulent la croissance des algues qui à leur tour favorisent l’essor des populations d’escargots qui véhiculent un grand nombre de parasites, détaillent les chercheurs. Les larves de ces parasites forment des kystes dans les membres en développement des têtards, provoquant de sévères déformations chez les amphibiens. Le parasite en question est un trématode, un vers dont le cycle de reproduction se déroule chez trois hôtes différents : les escargots, les amphibiens et certains prédateurs des amphibiens, comme les oiseaux, qui remettent les parasites en circulation dans le système via leurs fientes. Johnson et ses collègues ont construit 36 étangs artificiels dans le Wisconsin, lieu de reproduction des amphibiens. Ils ont constaté que l’eutrophisation du milieu aquatique -l’apport de nutriments dans l’eau- entraînait une augmentation de 50% de la population d’escargots. Un seul escargot infecté par un trématode peut produire jusqu’à un millier de larves en une nuit. Or une douzaine de larves suffit à rendre une grenouille difforme, précisent les chercheurs. Ces travaux sont publiés dans les Proceedings of the National Academy of Sciences. Cécile Dumas Sciences et Avenir.com (26/09/07) Pour voir l'article, cliquer ici. -
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La découverte d'un fossile de reptile contestée
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Nouvelle
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La découverte d'un fossile de reptile contestée
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Nouvelle
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Le samedi 20 octobre 2007 La découverte d'un fossile de reptile contestée Tom McCoag Halifax Les prétentions d'un scientifique britannique qui dit avoir découvert les plus vieux fossiles de reptiles dans une roche datant d'il y a 315 millions d'année au Nouveau-Brunswick sont contestées par des chercheurs nords-américains. Howard Falcon-Lang a déclaré la semaine dernière à la BBC que la découverte de fossiles de trace de pas dans du grès à Grand Anse, au Nouveau-Brunswick, par une équipe de l'université de Bristol laissait croire que les reptiles sont apparus de un à trois millions d'années plus tôt que ce qu'on croyait. Jusqu'à cette semaine, le plus vieux squelette de reptile connu avait été découvert au XIXe siècle par les géologues William Dawson et Charles Lyell dans des arbres fossilisés de l'époque carbonifère à Joggins, en Nouvelle-Ecosse. Le reptile avait été nommé Hylonomus lyelli, en l'honneur de M. Lyell. Un géologue du ministère des Ressources naturelles de Nouvelle-Ecosse, John Calder, considère que les prétentions de M. Falcon-Lang sont erronées. M. Calder a expliqué, en entrevue vendredi à Joggins, que les traces découvertes par l'équipe de M. Falcon-Lang était de la taille d'une pièce de deux dollars canadiens, soit beaucoup trop gros pour être la trace d'un reptile, encore plus d'un Hylonomus lyelli, parce que des experts, comme Robert Carroll de l'Université McGill, ont décrit l'animal comme étant de «petite taille». M. Carter a ajouté que les traces de pas en question ne sont pas très claires, ce qui rend leur identification encore plus difficile. Le géologiste néo-écossais a également relevé un problème dans l'âge accordé aux roches de Grand Anse. Il soutient que c'est lui qui a formellement défini la formation géologique, dont l'âge est estimé à 315 millions d'année, et qu'il avait clairement écrit que l'âge de ces roches était incertain. Spencer Lucas, un spécialiste des reptiles et des amphibiens fossilisés, a fait remarquer que des traces de pas de reptiles encore plus vieilles que celles présentées par l'équipe de M. Falcon-Lang avaient été découvertes depuis la fin du XIXe siècle dans l'est des États-Unis et en Nouvelle-Ecosse et que plusieurs articles scientifiques avaient été écrits à leur sujet. Il a ajouté que Joggins demeurait le lieu où le plus vieux squelette avait été découvert. Des scientifiques de l'UNESCO sont actuellement à Joggins, où ils doivent évaluer la possibilité de faire de la fameuse falaise de fossiles un site du patrimoine mondial. Pour voir l'article, cliquer ici
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Le Boris de polymorphworm
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Gekkonidés
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Pourtant tu viens de tenter de te défendre en me répondant. Je ne t'ai jamais manqué de respect avant mais maintenant, je n'en ai plus pour toi tout simplement parce que tu n'as donné aucun avertissement, ni même laissé un message aux membres pour dire que le forum fermait. Il a fallut s'en rendre compte soit même et croire à un bug tout simplement et voir plusieurs jours plus tard que ce n'était pas le cas...
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On n'a peut-être rien payé mais les membres d'un forum font quand même parti d'une même communauté et le respect des membres reste quand même important. Je trouve personnellement que c'est un manque de respect envers les membres du Reptilarium d'avoir fermé sans pré-avis. Dans ma tête, ça fait "Vous n'êtes pas important" mais ça reste que mon avis.
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Stenodactylus petrii
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Gekkonidés
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Voici une des deux couleuvres que j'ai acquis dernièrement. Ne me demandez pas quelles sous-espèces c'est, il en est évident tout de même. Les deux autres sous-espèces sont pratiquement introuvable de tout manière. Pour moi, les Thamnophis sont toujours des couleuvres fascinantes à observer. C'est une des premières couleuvres que j'ai eu et je me sens aussi emballer de les avoir qu'autrefois. Je m'ennuyais terriblement des Thamnophis alors, j'en ai ramené un petit couple. Voici mon mâle puisque la femelle n'a pas voulut m'accorder du temps pour quelques jolies photos.
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Eh oui, j'ai des geckos léopards à la maison maintenant. Je les ai depuis hier. Un bon deal je dirais en plus. J'étais censé acheter un tangerine à mon amoureuse. Finalement, je lui ai dis ok pour un couple, pour finir avec un trio. La première est une petite femelle provenant d'un couple de SHTCT. Selon l'éleveur, elle devrait avoir une coloration assez hot merci. Seul le temps nous le dira. Elle serait né vers le mois de Mai alors il reste qu'à patienter. La deuxième femelle provient d'une mère SHTCT et d'un père red striped. L'éleveur m'a dit que c'était une tentative de faire resortir et foncir le tangerine mais que ça n'a pas donné ce qu'il espérait. Elle serait né vers le mois de février. Et le petit dernier, le mâle bien entendu. C'est le plus vieux des trois. Il aurait environ un an mais la date n'est pas certaine puisqu'il provient d'un autre élevage que la sienne. Les parents aussi sont inconnu donc... Il a une belle coloration tout de même et il est photogénique le petit. Je l'ai mitraillé un peu tout à l'heure. Voici quelques photos de lui.
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