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Tout ce qui a été posté par Fly the snipe
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Juste une petite histoire édifiante sur la complicité qu'un chasseur peut avoir avec son Breton. Soucieux d'accomplir mon devoir de citoyen, j'ai opté pour une chasse rapide ce samedi: nous sommes allés à la bécassine (étonnant, non?). Utah a arrêté a proximité d'une bande herbeuse inondée. Quand je suis arrivé, à son attitude, j'ai compris qu'il se passait quelque chose. Tendu sur son arrêt, il a pourtant jugé bon de tourner lentement la tête pour me regarder et me prévenir. La bécassine est partie avant d'être ravagée par la première cartouche dont la charge de plomb est restée concentrée. Le coup de feu a fait s'envoler une deuxième oiselle qui est tombée (j'ai eu de la chance) à la deuxième cartouche. Après avoir récupéré les deux oiseaux, alors que je rechargais le fusil sans prêter attention au chien, deux béassines supplémentaires s'envolent devant mes bottes, dans le même mouchoir de poche (quel sang froid de leur part d'avoir résisté jusque là). Traduction rétrospective du regard d'Utah: fais gaffe, y'en a partout! Si c'est pas de la complicité ça. J'ai suivi une des deux bécassines du regard. Certes, elle n'avait pas de prédateur aux trousses, mais ça ne l'a pas empêchée de monter lentement mais régulièrement... jusqu'à ce que je la perde de vue. Amicalement,
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Toc toc, bonjour c'est moi! J'ai eu deux faucons (le premier importé d'Europe, le second du Canada) qui n'ont pas mué la première année. Des immatures de deux ans en quelque sorte. Stabilité des températures élevées? Durée du jour identique toute l'année (12heures/12heures)? Mo pa savé. Amicalement, La station expérimentale.
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Il n'est bien sûr pas nécessaire d'être le fauconnier salarié d'un roi du pétrole pour pratiquer le haut vol. C'est simplement plus facile au commun des travailleuses! travailleurs! de voler quotidiennement un faucon pendant une demi-heure plutôt que 3 heures (sur l'aile). Il est toujours possible de consacrer sa vie à la fauconnerie, mais peu parviennent à vivre de cette pratique ou de ses activités annexes et il faut bien assurer un minimum de revenus pour la famille. Je dis ça, j'en sais rien; mais Papa, qui n'avais pas de fortune à me léguer, m'a toujours dit, coup de pied au derrière à l'appui, que je pratiquerai ma passion avec l'esprit d'autant plus dégagé que mon métier serait capable de m'assurer une aisance financière suffisante. Il était comme ça, Papa. L'autorisation de capture n'est pas pour demain en France. Interdire in extremis mais interdire pour toujours: voilà un mal bien français (européen?). D'où la nécessité d'être présent sur les scènes nationales européennes et internationales pour contrer les extrêmes. Comment procéder en France avec des oiseaux qui parcourent des kilomètres en ligne droite... surtout depuis la remise en cause de la Loi Verdeille? Les propriétaires à l'esprit rabougris peuvent se lâcher sans complexe sur le fauconnier maigrichon qui traverse leur parcelle. Bien sûr que les oiseaux sauvages sont plus rapides, plus performants et expérimentés, plus lointains... mais sont-ils encore adaptés à nos territoires fractionnés? Il y a bien l'Espagne, la Hongrie, l'Ecosse... mais guère plus d'un mois par an pour les plus chanceux. L'avenir est aux oiseaux rapides et maniables dans la plupart des régions françaises. Et comme les pèlerins sauvages restent inaccessibles... Hélas pour les gerfauts sauvages... Mais j'accepte sans hésiter une invitation ponctuelle pour une semaine de démonstration en Alaska, cher Gerfaut! Une question de Sokol: comment le 1/4 pèlerin 3/4 gerfaut se comportent-ils en vol et à la chasse? Amicalement,
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Pas du tout fumeuse, cette théorie. Chasse avant tout ou plaisir du vol, telle est aussi la question. Encore que d'après ce que tu dis, tu ne profites pas du vol autrement que mentalement si l'oiseau disparaît. Intéressant aussi de voir que tu ne souhaites pas favoriser un tel comportement du faucon la saison prochaine. Faut-il comprendre que tu mets à l'envol sans savoir si le faucon n'est pas déjà rentré à la fauconnerie? Amicalement,
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Les pèlerins pèlerinent, les fauconniers travailent... Sans conteste la qualité du faucon dépend-elle de ce que le fauconnier est capable d'offrir. Hélas, à moins d'être fauconnier salarié d'un roi du pétrole, il restera difficile de proposer plusieurs heures de vol par jour à son faucon. Sans compter que le fauconnier rampe sur terre et qu'il n'a pas les moyens de s'affranchir des limites de propriétés ni des frontières. Resterait une solution pour profiter des performances des oiseaux sauvages: leur capture en début de saison pour un maintien ponctuel en captivité. Mais alors, bye bye le confort des oiseaux nés en captivité. Amicalement,
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Si je résume: Un pèlerin a volé près de 1000 km en ligne droite en une journée. Si la période de jour est de 10 heures, la vitesse moyenne est de 100 km/h ce jour là! En moyenne, mais ce n'est pas en ligne droite, il parcourt 300 km par jour à 30 km/h. Les Calidus parcourent 10000 km en 15 jours. Avec des journées de 10 heures, la vitesse moyenne est de 67 km/h. Ne perdons pas de vue que pour maintenir une telle moyenne, pour compenser d'inévitables ralentissements, il faut qu'ils volent parfois beaucoup plus vite . Un oiseau vole à 50 km/h avec un vent de 100 km/h dans le dos et le tour est joué. Pas de quoi titiller les frelons. Amicalement,
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Voler un gerfaut aux Etats-Unis dans les déserts glacés par l'hiver (Utah, Wyoming). My goodness! Voler un gerfaut aux Etats-Unis dans les déserts brûlés par le soleil en été (Arizona). . Un vrai cow-boy dégainera un sacre, un prairie ou un pèlerin après que son gerfaut a atteint un plafond de six pieds... sous terre. Amicalement, Le recordman du monde de pathologies sur un oiseau.
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Vu sur Internet un entrainement d'un pointer à la quête et à l'arrêt. Rien de particulier si ce n'est que le conducteur insiste sur un "détail": quand il rejoint le chien arrêté sur l'escape, son premier souci est de redresser le fouet du chien à la verticale, ce qui lui donne au passage un "style" très seyant. Si c'est pour mieux localiser le chien dans les hautes herbes, pourquoi ne pas coller un petit drapeau à l'extrémité? Est-ce une mode? Est-ce vraiment utile? S'il faut généraliser cette pratique, les épagneuls bretons partent avec un handicap certain... Amicalement,
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Excellent Voiron, je n'y avais même pas pensé, pourtant la solution est bien là. Il me semble que la difficulté (et l'intérêt) de la chasse à l'arc du grand gibier se trouve dans l'approche. Rester immobile, se faufiler, ramper... Précieux Sokol, je te laisse gérer un oiseau dans ces circonstances. A moins que ce soit une Harris laissée en promenade suitée qui supporte d'être laissée longtemps sans surveillance... Sans compter que la chasse à l'arc se pratique surtout au bois. Chasser des deux manières, trois fois oui, mais sans doute pas en même temps. Amicalement, NB: Je chasse parfois le capibara dans les marais. Comme c'est au fusil, je dois approcher à 25-30 mètres dans une végétation qui parfois ne dépasse pas la hauteur des herbes aquatiques. Laisser un oiseau à sec sans surveillance pendant tout ce temps?
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Si j'ai bien suivi, nous en sommes à l'utilisation des escapes pour la présentation au rapace de son futur gibier. Pour la plupart des oiseaux de bas vol, il suffit d'intercaller avant le leurre un gibier tué présentant une plaie attractive pour les intéresser. A mon avis, les escapes sont utiles aux oiseaux de bas vol créancés sur gibier à plume pour les muscler. Vous présenterez des oiseaux de plus en plus volants pour obtenir des poursuites de plus en plus longues et des magrais de plus en plus potelés. Amicalement,
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Ornitho
Fly the snipe a répondu à un(e) sujet de Jéjé04 dans Ornithologie - Observations - Ethologie
J'ai presque réussi pourtant. Nous n'avions plus de nouvelles d'eux depuis février 2007, et en voilà un qui réapparaît, en précisant qu'il a laissé l'autre, moribond, à 6 heures de marche vers le Sud... Costauds les gars. Personnellement, je les donnais pour morts de faim depuis longtemps. Leur réapparition coupe court aux rumeurs les plus folles (assassinat par des clandestins, disparition volontaire...): c'est mal connaître la forêt tropicale où on peut se trouver désorienté après s'y être enfoncé seulement à 50 mètres. Ils ont dû passer par des moments de déprime sévères. Quand on a survolé la forêt, elle n'en finit pas. L'essentiel des quelques 90000 km² du département tout de même. Amicalement, -
Ornitho
Fly the snipe a répondu à un(e) sujet de Jéjé04 dans Ornithologie - Observations - Ethologie
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Ornitho
Fly the snipe a répondu à un(e) sujet de Jéjé04 dans Ornithologie - Observations - Ethologie
La matière est absconse pour un esprit faible comme le mien. Quand l'un d'entre vous (l'IAF?) fera un bouquin spécialisé pèlerin en s'appuyant sur des analyses génériques qui permettront de tirer quelques conclusions (à défaut de certitudes), je vous promets de l'acheter. N'oubliez pas les photos pour chaque sous-espèce, adaptation locale de sous-espèce, hybrides... Amicalement, -
Il semble que le post ait dépassé le cas de la buse de harris. Les escapes n'apprennent-elles pas aussi au faucon à monter? Un faucon a déjà de quoi s'user derrière quelque "modeste" bizet d'élevage. Les ramiers sont à la fois rapides et très malins, à tel point que certains fauconniers en déconseillent purement et simplement le vol si ce dernier n'est pas pratiqué au milieu de la steppe mongole. Amicalement,
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Régurgitation
Fly the snipe a répondu à un(e) sujet de Fly the snipe dans Biologie et santé des oiseaux de chasse
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Régurgitation
Fly the snipe a répondu à un(e) sujet de Fly the snipe dans Biologie et santé des oiseaux de chasse
C'est tout de même très rassurant de voir à quelle vitesse un être vivant peut s'adapter à un changement brutal de son environnement (en l'occurence à la Guyane et ses milles eaux. Ce faucon est né en Colombie britannique). Je savais que j'avais un Epagneul breton amphibie. Maintenant j'ai un tiercelet aquatique. Amicalement, -
Ornitho
Fly the snipe a répondu à un(e) sujet de Jéjé04 dans Ornithologie - Observations - Ethologie
J'étais "tranquillement" en train de marcher à 4 pattes dans la mangrove après une gentille petite chasse à la sarcelle quand quelque chose me touche l'épaule: Monsieur Buteogallus urubitinga, du haut d'un tronc mort de 30 mètres, a visé juste en décrochant sa fiente. J'avance un peu jusqu'à passer sous un palétuvier mort, et c'est madame qui prend son vol en cassant une branche qui me tombe devant le nez. En rentrant, je ne suis même pas allé dire bonjour à mon tiercelet. Amicalement, -
Régurgitation
Fly the snipe a répondu à un(e) sujet de Fly the snipe dans Biologie et santé des oiseaux de chasse