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Janick11

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Messages posté(e)s par Janick11


  1. Bientôt des chevaux français au patrimoine mondial de l'UNESCO ?


    il y a 1 heure 14 min
    flower-power - LePost


    A titre de "paysage culturel", 9 races françaises de trait sont concernées! Lire la suite l'article

    Ce sont des gros pèpères, des gros travailleurs aussi, ils sont encore bien capable de rendre1001 services à l'homme, aux communes, au nettoyage des rivières, aux débardages en forêt en zone abrupte...

    Pourvu que l'homme s'en rappelle avant que ses races en voie d'extinction disparaissent à tout jamais !

    C'est en ce sens que Dominique Léger, président du Centre de promotion du cheval de trait auxois, a lancé une campagne pour faire classer les races de cheveaux de trait français au patrimoine mondial de l'UNESCO, expliquent Les Dernières Nouvelles d'Alsace.

    Quand on parle de "disparition", c'est que le nombre de reproducteurs de ses races sont peu nombreux. D'après les Haras Nationaux, seul le Comtois se maintient, devant sa survie à la boucherie. Mais les autres races ne représentent qu'un très faible pourcentage du nombre de chevaux dans les élevages... et les mâles reproducteurs sont de moins en moins nombreux.


    Voici les 9 races concernées:
    l'Ardennais
    l'auxois
    Le Boulonnais
    le Breton
    le Cob normand (fantastique photo de yann arthus bertrand)
    le mulassier poitevin
    le percheron
    le Trait comtois
    le trait du nord
    ---
    yahoo actualités

  2. lol!
    avant je mettais l'explication à chaque fois et maintenant je ne le fais plus Laughing
    explication : /les-concours-f45/regles-des-concours-mettre-des-photos-voter-t3084.htm



    B - Mode d'emploi pour les votes :
    Comment ? très simple : vous avez juste à mettre vos 5 photos choisies en ordre de préférence :
    1- votre préféré
    2- le second
    3- le 3ème
    4- le 4ème
    5- le 5ème

    Dès la fin du scrutin, j'attribuerai les points :
    5 points au 1er
    4 points au 2ème
    3 points au 3ème
    etc



    et la photo 13 est arrivée
    3 fois en N°1 = 15 points
    1 fois en 2 = 4 points
    1 fois en 3 = 3 points
    1 fois en 4 = 2 points
    --------
    24 points

    (j'ai donc un tableau excel avec d'un coté le nom de tous les participants, et de l'autre les points attribués selon les places que vous avez données à chaque photo)


    C'est pourquoi j'aime avoir plusieurs votants. Plus il y a de votes, plus les choix sont larges, et plus le gagnant est vraiment la photo préférée de l'addition de l'ensemble des votes.

    Laughing

  3. cheers


    et la GEANTE gagnante du concours d'octobre "l'automne" est ... Sandrine avec 3 photos dans les 3 premières places !!



    la photo gagnante est "Repos au doux soleil automnal" dit chat au soleil avec 24 points [:capuma]

    PHOTO 13





    Les photos suivantes sont "mon parc en automne" et "vaches au petit matin"




    [img]http://yelims5. et [img]http://yelims5. à tous et toutes.

    Pour une fois nous avions des photos de la nature, et si c'est beaucoup plus difficile de voter, peut être renouvellerons nous cette idée au printemps ou à l'été car certaines photos étaient réellement magnifiques.

    Mon parc en automne (2ème) avait en particulier tout d'un vrai tableau. Je l'imagine parfaitement en pointillisme et par de grands peintres.

    Un grand merci des participations, photos ou votes [IMG]http://smileys.

  4. Le réchauffement climatique est une menace pour les lemmings en Norvège




    Lemming dans la neige
    crédit : Paul Nicklen / NGS




    Le changement climatique est peut-être responsable de la diminution des populations de lemmings en Norvège. C'est ce que montre une nouvelle étude sur le sujet. Or, une des conséquences du manque de mammifères dans l’écosystème, est que les prédateurs sont forcés de trouver d'autres sources de nourriture...

    Les populations de lemmings à travers la Scandinavie ont tendance à exploser naturellement tous les trois à cinq ans, ce qui en pousse un grand nombre à partir à la recherche de nourriture. De temps à autre, cela conduit les rongeurs à sauter dans l’eau et à nager vers de nouveaux pâturages. Ce comportement est à l’origine du mythe selon lequel les lemmings se suicident massivement, ce qui a inspiré un célèbre jeux vidéo.

    Quand les lemmings sont en forte expansion, il est difficile de ne pas s'en apercevoir. Par exemple, les Norvégiens ont dû utiliser des chasse-neige pour nettoyer les cadavres des rongeurs écrasés sur les routes. Cependant, depuis ces dernières années, les irruptions se sont raréfiées dans de nombreux endroits de Scandinavie.
    Le mauvais type de neige

    Kyrre, Kausrud, un professeur de l’Université d’Oslo en Norvège, et ses collègues ont analysé les cycles d’explosion-effondrement des lemmings depuis 1970 sur un site au sud de la Norvège. Leurs conclusions ont été publiées le 6 novembre dernier dans le célèbre journal « Nature ».

    Leurs analyses ont révélé qu’il n’y avait pas eu d’explosion du nombre de lemmings depuis 1994, alors que le phénomène se produisait normalement tous les 3 à 5 ans. Les données climatiques recueillies au cours de la même période laissent entendre que des températures plus clémentes peuvent expliquer pourquoi le nombre de rongeurs est resté faible pendant plus d’une décennie.

    Pendant l’hiver, les lemmings vivent dans des tunnels sous la neige. La chaleur de la Terre fait fondre un peu de neige près du sol, ce qui crée des poches d’air et procure des accès à la nourriture comme la mousse.
    Au cours des dernières années, les températures plus douces ont changé la structure de la neige – avec des effets désastreux sur les lemmings. En effet, au lieu de rester en dessous de zéro pendant la majeure partie de l’hiver, les températures ont remonté au-dessus de zéro un bon nombre de fois, faisant fondre puis regeler le manteau neigeux.
    Ce phénomène « permet à l’eau d’entrer dans le système, d’inonder des tunnels de neige et ensuite cela forme des couches de glace sur le sol », a déclaré Kausrud.
    Or, de nombreux lemmings se noient quand leurs terriers sont inondés, et ceux qui survivent meurent de faim quand leur nourriture est piègéee sous une pellicule de glace.

    De plus, les résultats de l’équipe ont montré que les explosions de populations des lemmings étaient liées aux années ayant des hivers plus froids, donnant des conditions de neige idéales pour pululer. Ils ont aussi montré que les hivers dans le sud de la Norvège ont été plus doux depuis 1994 : les femelles n'ont pu élever un grand nombre de nichées qui entraînent normalement l’expansion des lemmings.

    « Leurs conclusions fournissent une preuve convaincante des effets du changement climatique sur les lemmings et plus largement sur leur écocystème », selon Tim Coulson, un biologiste spécialiste des populations du Collège Impérial de Londres, qui n’était pas impliqué dans l’étude.
    Mauvaises nouvelles pour les prédateurs

    En étudiant les données relatives aux recensements des animaux, Kausrud et ses collègues ont démontré que la rareté des lemmings touchait aussi l’ensemble de l’écosystème.

    Incapables de se gaver de lemmings depuis quelques années, les prédateurs tels que le renard polaire et l’harfang des neiges ont dû compter sur d’autres ressources de nourriture comme le lagopède alpin (une espèce de tétraonidé) et le lagopède des saules.
    En conséquence, le nombre de ces oiseaux qui nichent sur le sol a diminué. « Les explosions de populations des lemmings diminuent la pression sur les lagopèdes alpins et les lagopèdes des saules», a expliqué Coulson.

    Bien que l’étude se focalise uniquement sur une région de Norvège, Kausrud et ses collègues pensent que les effets pourraient se généraliser. « Nous pouvons en effet nous attendre à des changements similaires à travers la Scandinavie, le Canada et l’Alaska » a déclaré un des co-auteurs Nils Stenseth, également de l’Université d’Oslo.

    Kausrud et ses collègues pensent qu’il est improbable que les changements climatiques conduisent à l’extinction des lemmings, mais l’impact sur l’écosystème pourrait être grave. Selon lui, « comme les relations de compétition changent entre les prédateurs, les proies et les plantes, c’est la communauté toute entière qui change »
    -----
    http://www.notre-planete.info/actualites/lireactus.php?id=1814

  5. Forêt rime avec sauvegarder



    Dans trois semaines (du 1er au 12 décembre 2008) aura lieu la conférence climat de l'Onu à Poznan (Pologne) et le prochain accord international contre le changement climatique devra protéger les forêts !

    Le prix Nobel de la Paix 2004, Wangari Maathaï est donc monté au créneau : "Il nous faut considérer les forêts comme faisant partie de la solution en particulier en Afrique.
    Les Africains pourront ainsi agir pour atténuer le changement climatique et s'adapter en protégeant les forêts. Les pays africains doivent en faire leur priorité...", les ministres africains de l'environnement travailler ensemble pour arriver à Copenhague, et même à Poznan, avec une position commune".



    "Elle n'oublie pas l'Amazonie et les forêts du sud-est asiatique"

    Wangari Maathaï , qui a accepté d'être ambassadeur de bonne volonté pour les forêts du bassin du Congo, n'oublie pas l'Amazonie ou les forêts du sud-est asiatique : "ces trois ensembles sont extrêmement importants et j'espère que l'accord post-Kyoto intègrera la question de la forêt en particulièrement de ces trois-là".


    Le saviez-vous ?

    Le Protocole de Kyoto adopté en 1997 pour lutter contre l'effet de serre avait omis les forêts alors que la déforestation est responsable de 20% des émissions dans le monde.
    Que se passera-t-il après le Protocole de Kyoto qui expire fin 2012 ? La communauté internationale s'est donnée jusqu'en décembre 2009 pour se doter d'un accord qui succédera aux premiers engagements de ce traité.


    "L'Afrique travaille en étroite collaboration avec les pays développés"

    Wangari Maathaï a tenu à saluer les "gouvernements d'Afrique centrale qui se sont regroupés au sein d'un partenariat régional et qui travaillent aujourd'hui en étroite relation avec les pays développés, en particulier la France, afin de protéger ces forêts". Selon les statistiques, seuls 35 % du bois coupé est utilisé sur le continent africain, le restant part en fumée ou en charbon de bois.
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    http://www.ushuaia.com/ushuaia-terre/info-planete/actu-en-continu/nature/0,,4155092,00-foret-.html

  6. La mutation de l'Arctique est irréversible




    La principale conclusion des travaux du programme Damoclès fait froid dans le dos : l'Océan Arctique est entré dans une mutation climatique profonde et irréversible ! Les scientifiques ont fait deux observations ! La fonte totale de la banquise arctique durant la période estivale à l'orée des années 2015 se précise alors que les précédents modèles pointaient 2050. Quant à l'effet de serre, il n'est plus le seul responsable du réchauffement climatique. Il est désormais secondé, voire dépassé par l'effet Albédo, qui mesure le rapport de l'énergie solaire réfléchie par une surface sur l'énergie solaire incidente.

    "Plus de 50% de la superficie glacée restante trouée comme un gruyère"

    L'océanographe et directeur de recherches au Centre national de la recherche scientifique Jean-Claude Gascard affirme : "Les étés 2007 et 2008 ont marqué les deux plus importantes fontes de la banquise depuis trente ans. Mais notre grande découverte fut de constater que plus de 50% de la superficie glacée restante était trouée comme un gruyère".
    "8O% de l'énergie solaire sont réfléchies par une surface de glace ou de neige, contre seulement 10% par l'océan. Ainsi, moins il y a de surface gelée pour renvoyer les rayons du soleil, plus la température augmente et se maintient sur et sous la surface en question. L'océan a de la mémoire et le réchauffement provoque... du réchauffement. Ce mécanisme est enclenché" assure enfin Jean-Claude Gascard.



    Des conséquences multiples

    Les conséquences d'une fonte totale de la banquise pendant les six mois d'été pourraient être multiples. La plus préoccupante serait une fonte partielle, mais accélérée, des glaces du Groenland qui pourrait provoquer une élévation d'un mètre du niveau des océans avant la fin du 21ème siècle et ralentir la montée des eaux du Gulf Stream, qui réchauffe les côtes et l'atmosphère de l'Europe occidentale.
    Ce dernier phénomène aurait sur le long terme la singulière conséquence de provoquer a contrario un sensible refroidissement du climat sur la façade Est de l'Atlantique Nord.
    La fonte du pergélisol fait peser deux menaces

    Et ce n'est pas tout car une fonte accélérée du pergélisol (sol gelé en permanence) pourrait libérer des quantités considérables de méthane (gaz à effet de serre) enfouies et augmenter la production de dioxyde de carbone par processus de biodégradation.



    Le voilier polaire Tara fait escale à Paris.

    La goélette, amarrée au pied du pont Alexandre III jusqu'en janvier 2009, a été le support logistique du programme Damoclès entre septembre 2006 à janvier 2008. Une exposition "Voyage au coeur de la machine climatique", organisée sur le quai d'amarrage de Tara, sera ouverte au public à partir de samedi.

    C'est quoi Damoclès (Developing Arctic Modeling and Observing Capabilities for Long-term Environmental Studies)

    C'est un programme européen et scientifique destiné à observer, comprendre et quantifier les changements climatiques en Arctique, à ausculter l'environnement arctique et ses différentes composantes, du fond de l'océan à moins 4000 m à la basse atmosphère (plus 3000 m), en passant par la glace de mer et son manteau neigeux.
    ---
    http://www.ushuaia.com/ushuaia-terre/info-planete/actu-en-continu/nature/0,,4155190,00-arctique-.html

  7. Des balises pour mieux connaître les anguilles







    45 anguilles nagent maintenant dans les eaux situées au large de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) ! Rien de plus normal me direz-vous pour un poisson ! Alors pourquoi une information sur les anguilles ? Y a-t-il anguille sous roche ? Il faut savoir que ces 45 anguilles, dont l'espèce est menacée, ont tout simplement été équipées de balises Argos. Une idée farfelue ? Pas du tout car ces balises devraient permettre aux chercheurs de mieux connaître la migration et la reproduction de ces poissons.
    "Grâce aux relevés de température et de pression on pourra déterminer les masses d'eau traversées, la route suivie, les conditions de migration" rappelle Eric Feunteun, professeur au Muséum d'histoire naturelle.


    "La mer des Sargasses, unique lieu de reproduction de ces poissons"

    Les anguilles argentées relâchées jeudi sont issues des eaux de la Loire. La semaine dernière, un autre contingent, prélevé dans un cours d'eau irlandais, avait été relâché au large du Fastnet. "La mer des Sargasses, unique lieu de reproduction de ces poissons, est le premier point en Atlantique où l'on a à la fois des grandes profondeurs et des températures importantes (16 à 17 degrés jusqu'à 700 mètres de fond), deux conditions essentielles à la reproduction" selon Eric Feunteun.
    Les anguilles nagent entre 300 et 500 mètres de fond et peuvent effectuer des milliers de kilomètres afin de s'y reproduire.

    "Les anguilles n'ont pas souffert lors de la pose de la balise"

    Que les défenseurs de la nature se rassurent, les anguilles n'ont pas souffert puisque la balise a été posée sous anesthésie. Un système électronique permettra son largage au bout de six mois pour la moitié des spécimens et 12 mois pour l'autre moitié.
    Ce délai est indispensable pour recueillir les informations sur leur migration. Une autre mise à l'eau devrait avoir lieu au mois de décembre.
    ---
    http://www.ushuaia.com/ushuaia-terre/info-planete/actu-en-continu/nature/0,,4155379,00-anguilles-.html

  8. Sauvons le cheval de trait





    Sauvons le cheval de trait français ! Dominique Léger, président du Centre de promotion du cheval de trait auxois, dont la race est menacée d'extinction, a lancé un appel de détresse à destination du Conseil international des monuments et des sites pour inscrire le cheval de trait au patrimoine mondial de l'Unesco : "Le cheval de trait français pourrait être inscrit au titre de la catégorie paysages culturels. Il représente un patrimoine génétique unique au monde, déclinaison équine du génie français de la diversité".


    Le capital génétique du trait français, qui a essaimé en Belgique, en Allemagne, aux Etats-Unis au Japon où le percheron tient la vedette, est désormais en grand péril.

    "Le comtois est le moins menacé"

    Selon les professionnels, le comtois, originaire de France-Comté, est le moins menacé grâce à la boucherie. Il représente 30% de l'élevage avec 3.600 producteurs et environ 850 étalons. Le breton se situe dans le peloton de tête avec 25% de l'élevage (600 étalons). Mais ces chiffres s'amenuisent avec le percheron (9% de l'élevage), l'ardennais (5%), le cob normand (4%) et le boulonnais (2%). L'auxois, le mulassier poitevin et le trait du Nord sont maintenant à moins de 1%. Passé un certain seuil, les races sont menacées par la consanguinité.

    "Le trait français répond à plusieurs critères fixés pour l'inscription au patrimoine mondial"

    Selon Dominique Léger, le trait français répond à quelques critères fixés pour l'inscription au patrimoine mondial :

    témoignage sur la création de paysages
    témoignage sur une civilisation disparue
    association à des événements et des traditions vivantes
    développement d'écosystèmes
    Au 21ème siècle, une centaine de villes françaises utilisent désormais dans leurs rues le cheval de trait, dans une volonté de développement durable.
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    http://www.ushuaia.com/ushuaia-terre/info-planete/actu-en-continu/nature/0,,4158554,00-cheval-.html
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