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Janick11

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Messages posté(e)s par Janick11


  1. La crise financière est temporaire, celle du climat "irréversible", selon le prince Charles



    il y a 1 heure 10 mins

    Le Prince Charles d'Angleterre a espéré mardi à Tokyo que la crise économique, sans doute temporaire, ne ferait pas oublier au monde l'urgence d'agir contre le réchauffement climatique, dont les conséquences seraient "irréversibles". Lire la suite l'article


    Le Prince Charles est arrivé lundi au Japon où il séjournera jusqu'à vendredi avec sa femme Camilla, afin de célébrer le 150e anniversaire des relations diplomatiques entre les deux pays.

    "Au vu des turbulences du système financier international et des dommages immédiats pour le monde entier, la crise du crédit est une préoccupation importante et légitime", a-t-il déclaré lors d'un discours au Musée national des sciences et de l'innovation de Tokyo.

    Mais, a-t-il prévenu, "nous détournons le regard de la crise du climat à nos risques et périls".

    "Nous espérons que les forces sous-jacentes de l'économie mondiale lui permettront, une fois de plus, de reprendre le dessus, mais les effets du changement climatique seront, eux, irréversibles", a averti l'héritier du trône d'Angleterre.

    Il a rappelé que les études scientifiques les plus alarmistes prévoyaient un réchauffement moyen du globe de six degrés d'ici 2100.

    Le niveau de la mer va monter, "menaçant la survie de villes côtières comme Tokyo, Londres et même New York", la fonte des glaciers de l'Himalaya provoquera "inondations et déficit d'eau potable" dans les régions fluviales du Gange, du Fleuve Jaune et du Yangtse, où vivent pas moins de trois milliards d'Asiatiques, a-t-il dit.


    Face à ces risques, les pays développés comme le Royaume-Uni et le Japon doivent réduire "leurs émissions de CO2 de 70 à 80% d'ici 2050", a estimé le prince.

    Au sommet de Toyako (Japon) en juillet, les dirigeants du G8, les huit pays les plus industrialisés (Etats-Unis, Japon, Canada, Russie, Allemagne, France, Royaume-Uni et Italie) sont convenus d'adopter un objectif d'au moins 50% de réduction de leurs émissions de gaz à effet de serre d'ici 2050 dans le cadre des négociations de l'ONU, qui devront aboutir en décembre 2009.

    Ces négociations visent à conclure un accord pour prendre le relais du protocole de Kyoto qui arrive à échéance en 2012.

    Pour réduire les émissions de CO2, le Prince Charles a évoqué la mise au point de technologies pour produire de l'énergie propre, un domaine "où le secteur privé devra jouer un rôle clé", selon lui.

    Il a aussi appelé à préserver les forêts tropicales humides du Brésil, du bassin du Congo et d'Indonésie, qui assurent la rétention de la moitié des eaux de pluie de la planète.

    "Nous devons fournir à ces pays un revenu alternatif" pour les dissuader de poursuivre la déforestation, a expliqué le Prince Charles.


    Lors de leur séjour au Japon, le prince et son épouse rencontreront le Premier ministre japonais Taro Aso, l'empereur Akihito et l'impératrice Michiko.
    Ils se rendront mercredi à Nara (centre-ouest), la première capitale du Japon au VIIIe siècle et iront ensuite à Nagano (centre), ville montagneuse hôte des Jeux olympiques d'hiver de 1998.
    ----
    yahoo actualités

  2. Janick a écrit:



    """""En général, les insectes sont de petites tailles.

    Cette caractéristique s’explique par leur appareil respiratoire.
    L’oxygène pénètre dans leur corps par des trous situés sur leurs flancs. Il passe ensuite par un système de tubes ramifiés : les trachées. Il s’infiltre ensuite lentement dans les tissus.

    Plus un insecte est grand, plus l’oxygène doit parcourir de chemin. La chaleur facilite l’absorption de l’oxygène. C’est la raison pour laquelle les plus gros insectes habitent dans les régions tropicales.




    Vous saviez celà ?? moi je viens de l'apprendre !!

    faudrait trouver d'autres explications sur la respiration des insectes. On en ferait un post à part.


    flower

  3. taiga a écrit:
    Scarabée Goliath


    [img]http://yelims5.cheers[img]http://yelims1.[img]http://yelims1.



    """""En général, les insectes sont de petites tailles. Cette caractéristique s’explique par leur appareil respiratoire.
    L’oxygène pénètre dans leur corps par des trous situés sur leurs flancs. Il passe ensuite par un système de tubes ramifiés : les trachées. Il s’infiltre ensuite lentement dans les tissus.

    Plus un insecte est grand, plus l’oxygène doit parcourir de chemin. La chaleur facilite l’absorption de l’oxygène. C’est la raison pour laquelle les plus gros insectes habitent dans les régions tropicales.

    L’insecte le plus lourd et le plus volumineux est le scarabée goliath d’Afrique (Genre Goliathus). Il a une envergure équivalente à la main d’un enfant. Il peut peser jusqu'à 100 g.""
    ----
    lu sur http://www.dinosoria.com/animal_geant.htm


    ""Lorsqu'un scarabée Goliath vole, on l'entend souvent avant de le voir car son vol s'accompagne du bruit d'un mini-hélicoptère.""










    --------------------


    En milieu naturel : Le scarabée goliath oriental est, avec le scarabée goliath commun, l'un des insectes les plus lours qui soient. Son corps allongé est équipé de grandes élytres blanches ornées de stries noires. Il vit dans les forêts tropicales au Congo et en Tanzanie.

    Au zoo : Les scarabées goliaths sont assez peu représentés en captivité et ne se reproduisent pas bien. Le Zoologischer Garten de Berlin les présentent dans un des plus gros terrariums de son Insectarium, en compagnie d'autres scarabés africains.
    -------
    lu sur http://www.photozoo.org/Europe/allemagne/BerlinZoo/Goliathus+orientalis+1.JPG.html

  4. Requiem pour le Bec-en-sabot, un oiseau arraché à la préhistoire


    Dimanche 26 octobre, 12h04
    Emmanuel ANGLEYS

    Qui a déjà vu un Bec-en-sabot, cette créature hors du commun, un oiseau massif à l'allure préhistorique et qu'on trouve seulement dans certaines contrées reculées d'Afrique?





    Geneviève Renson, photographe naturaliste, l'a rencontré par hasard lors d'un reportage en République centrafricaine en 1978 et a depuis multiplié les expéditions au coeur des marais à papyrus, de la Zambie au Botswana, pour en savoir plus sur cette espèce en péril.

    Son livre "Sur les traces du roi des marais" apporte un témoignage unique sur ce grand échassier (1,20 m) à la démarche altière et au bec impressionnant, en même temps qu'un passionnant récit de voyage.

    "J'ai passé dix ans dans les marais et dix ans à la recherche d'une maison d'édition pour mon livre: s'il avait été question de grands singes ou d'éléphants, ça aurait marché tout de suite", déclare-t-elle à l'AFP.

    L'image un peu effrayante de cet étrange animal, également dénommé Roi-à-tête-de-baleine (Balaeniceps rex), a fait reculer plus d'un éditeur.

    Un "oiseau gros comme un chameau", racontaient les premiers voyageurs occidentaux à l'avoir rencontré dans les marais du sud Soudan au XIXème siècle.

    Toutes ailes déployées pour prendre son envol, la bête d'une envergure de 2,50 mètres, ressemble à un ptérodactyle, ce reptile volant du jurassique.

    "Moi je le trouve magnifique", déclare Geneviève Renson, avant de nuancer: "il est particulier, il est très attachant".

    "La première fois que j'en ai vu un, j'ai tout de suite su que c'était quelque chose d'unique, une rencontre exceptionnelle", indique cette passionnée.

    Cette première rencontre lui a cependant valu un bon coup de bec qui lui a laissé au bras un énorme hématome: "des pêcheurs lui avaient ficelé le bec avec des morceaux de chambre à air. Je l'ai libéré", explique-t-elle.

    Mais à une autre occasion, en Zambie, le courant est passé entre la jeune femme et la bête. L'oiseau qu'elle avait recueilli était mal en point, avec une plaie à l'aile et refusait de s'alimenter: "je lui ai ouvert le bec et lui ai enfoncé dans le gosier des poissons frais en y mêlant mes propres antibiotiques: il s'est laissé faire", explique-t-elle.

    "Je l'ai soigné, j'ai vu un gros ver blanc sortir de la plaie. Après, je suis resté en contact avec lui pendant près d'un mois. C'était séduisant, il venait vers moi quand j'avais du poisson", raconte-t-elle.

    Pour s'approcher des nids de ce rarissime animal, l'exploratrice a du ruser, pataugeant dans les marais, courbée en deux "comme une petite vieille" avec son matériel photo sur le dos, progressant tant bien que mal sur des tapis de végétation flottante, la tête recouverte d'herbes pour ne pas se faire repérer, essayant de ne pas trop penser aux crocodiles ni aux serpents.

    "Je m'étais installée sur un îlot de 10 m2 né d'une termitière sur lequel je suis restée six mois", précise-t-elle.

    Ce qui lui a permis de rentrer dans l'intimité de ce drôle de bipède: "j'ai été la première à observer un accouplement, la première à assister à une éclosion et à en ramener des photos", se réjouit-elle.

    Mais ce roi des marais est désormais menacé par la destruction de son habitat naturel sous la pression démographique humaine et le réchauffement climatique.

    La population globale du Bec-en-sabot a chuté de moitié depuis une quinzaine d'années à quelque 5.000 ou 8.000 individus aujourd'hui, selon les dernières estimations.

    Il figure sur la liste rouge des espèces menacées de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).

    ("Sur les traces du roi des marais", Geneviève Renson, Editions Kubik, format 23x31 cm, 34,90 euros).
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    yahoo actualités



    une page photo du bec en sabot sur google. Vous pourrez ouvrir les sites si vous le souhaitez
    http://images.google.fr/images?hl=fr&q=bec+en+sabot&btnG=Recherche+d%27images&gbv=2

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Bec-en-sabot_du_Nil

  5. Thon rouge: les Européens insistent sur les contrôles à tous les niveaux







    Les ministres européens de la Pêche, réunis à Luxembourg, étaient lundi proches d'un accord sur les mesures à défendre pour protéger le thon rouge devant la Commission internationale pour la conservation des thonidés de l'Atlantique (CICTA) qui se réunira en novembre à Marrakech (Maroc).


    Les pays de l'Union européenne devraient s'entendre pour réduire encore la pêche de cette espèce très menacée, mais aussi insister sur des contrôles plus efficaces à tous les niveaux de la production: depuis la pêche elle-même jusqu'à la commercialisation en passant par les cages d'engraissement, a expliqué le ministre français de l'Agriculture et de la Pêche, Michel Barnier, dont le pays préside l'UE.

    "Nous sommes tous d'accord sur l'idée qu'il faut réduire la production et préserver cette ressource, davantage contrôler, de bout en bout de la chaîne, pas seulement de la pêche, mais aussi les cages d'engraissement, et la mise sur le marché", a déclaré M. Barnier.

    Il s'est dit certain que les ministres auraient trouvé lundi soir un "accord politique" sur la position que devra défendre la Commission européenne devant la Commission internationale (CICTA) lors de sa réunion à Marrakech du 17 au 24 novembre, afin de "limiter encore davantage les quotas et les durées de pêche et les contrôles".

    "Ce qui est important est que cette rigueur et cette discipline collective soit respectée par tout le monde", a-t-il souligné. "Les pêcheurs européens qui respecteront cette discipline ont le droit à l'équité, ont le droit d'être sûrs que tous les pêcheurs appliquent bien les mêmes règles et les mêmes disciplines."

    Greenpeace a cependant dénoncé d'avance cette prise de position de l'UE comme l'attitude de la CICTA.

    "Les ministres français, italien et espagnol ont montré qu'ils étaient incapables de garder sous contrôle la pêche illégale. Seule une suspension de la pêche en Europe peut sauver le thon rouge", a estimé l'organisation écologiste dans un communiqué lundi.

    En juin, la Commission européenne avait dû fermer prématurément la pêche au thon rouge en Méditerranée au nom de la protection de l'espèce, provoquant des protestations des pays concernés et la colère d'une profession alors fragilisée par la hausse du gazole.

    Les ministres européens de la Pêche tentaient aussi de s'entendre lundi sur la réduction des quotas de pêche au hareng dans la partie occidentale de la mer Baltique, que la Commission européenne a proposé de diminuer de 63% pour 2009.

    Vu l'intérêt des pêcheurs allemands, danois, suédois ou polonais pour ce poisson dont leurs consommateurs raffolent, la réduction finale avait toutes les chances d'être moins forte, selon une source européenne.

    Mais les ministres de ces pays devront sans doute accepter un plan de reconstitution des stocks, comme ce fut le cas pour le cabillaud l'an dernier, selon cette source.

    Pour cette dernière espèce, les négociations s'annoncent plus faciles que l'an dernier, lorsque la Pologne était entrée en conflit ouvert avec la Commission, accusée de vouloir réduire ses prises de façon injustifiée.

    La Commission a fait cette fois un geste envers Varsovie en proposant pour 2009 une augmentation de 15% du quota de pêche sur le cabillaud en mer Baltique orientale, estimant que le stock de cette espèce avait recommencé à croître.

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    yahoo actualités

  6. L'analyse du génome d'une partie de la cellule de l'ours des cavernes, réalisée par des chercheurs français,
    montre que cette espèce qui s'est éteinte il y a 15.000 ans et l'ours brun ont divergé il y a quelque 1,6 million d'années.




    Les scientifiques, qui publient lundi leurs résultats dans la revue américaine Proceedings of the National Academy of Sciences, ont fait cette découverte en étudiant un os d'ours des cavernes (Ursus spelaeus) mis au jour dans la grotte Chauvet-Pont d'Arc (Ardèche - sud de la France),.

    A partir de matière organique bien conservée, ils ont "purifié, amplifié et séquencé l'ADN de cet échantillon", et obtenu le génome complet, "composé de 17.000 nucléotides" (molécules biologiques) de la mitochondrie (partie cytoplasmique de la cellule), selon un communiqué du Commissariat à l'énergie atomique (CEA) et du Centre national de la recherche scientifique (CNRS).

    La mitochondrie "contient un ADN (...) qui fournit une information précise concernant l'évolution des organismes", se comportant comme "une +horloge moléculaire+ qui permet de définir à quelle époque deux espèces ont divergé", précise les deux organismes.

    Ces travaux ont ainsi permis de "montrer que le dernier ancêtre commun à l'ours des cavernes et l'ours brun vivait il y a 1,6 million d'années". Cet ours primitif est également un ancêtre de l'ours polaire.

    Jusqu'à présent, rappellent les auteurs de l'étude, les seuls génomes d'espèces éteintes décryptés étaient ceux du moa, un oiseau disparu il y a quelques centaines d'années, du mammouth laineux et du mastodonte, animaux vivant au pléistocène (1,6 million d'années).

    La grotte Chauvet-Pont d'Arc, connue pour ses peintures pariétales, contient des milliers de restes d'ours des cavernes, dont la datation au carbone-14 a permis de découvrir que ces animaux y étaient présents il y a 32.000 ans.

    L'ours des cavernes a vécu en Europe et au Proche-Orient de 300.000 ans à il y a 15.000 ans, époque où il a disparu.

    Les analyses sur l'ADN mitochondrial ont été notamment réalisées par les chercheurs de l'Institut de Biologie et Technologies du CEA de Saclay (iBiTec-S).

    La méthode utilisée, affirment les scientifiques, "démontre qu'il est possible d'obtenir les génomes de la mitochondrie d'animaux dont les restes sont trouvés dans le milieu souterrain, un environnement qui contient des ossements d'une grande variété d'espèces disparues". Jusqu'à présent, de telles études ne pouvaient être faites qu'à partir de la chair d'animaux figés dans le pergélisol de régions comme la Sibérie.
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    yahoo actualités

  7. Un taureau piégé au fond d'un puits sauvé par les pompiers



    Hier, 16h54
    Zigonet
    Fosses-la-Ville, Belgique - Mardi 14 octobre dernier, les pompiers ont dû intervenir pour extraire un taureau coincé dans un puits.

    Un taureau s'est échappé de sa ferme pour s'engouffrer dans une ancienne galerie. Suite à cela il a fait une chute de quatre mètres dans un puits. La bête de 900 kg a dû patienter six heures avant d'être extirpée par les pompiers à l'aide d'une machine du génie civil qui a pu démolir une partie du puits.

    Après plusieurs heures de manipulations, l'animal s'est sorti sain et sauf de cette mésaventure.
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    yagoo actualités




    Tirer 900 kg sur 4 m de haut ! ce devait être un sacré truc ! un taureau est loin d'être un bloc de béton bien sage !

  8. Un h am ster qui avait échappé à huit pompiers finalement retrouvé


    Hier, 12h16
    Zigonet
    Dunbar, Écosse- Un h am ster fugitif, qui avait mobilisé huit pompiers sans succès, a finalement été retrouvé vivant après neuf jours de liberté.


    Zoe Appleby, 6 ans, s'occupait de son h am ster quand celui-ci lui a échappé. La cuisinière et les tuyaux de gaz de la cuisine de sa famille ont dû être démontés afin de localiser l'animal.

    Les pompiers ont essayé, en vain, de l'extirper avec une mini caméra recouverte de chocolat, ainsi qu'avec un aspirateur comportant une chaussette sur l'embout du tuyau. Suite à leurs efforts infructueux, les pompiers ont fait appel à la Société protectrice des animaux qui a suggéré d'arrêter de nourrir le h [url=http://les-smil et de l'attirer dans des cages garnies d'appâts. Une tactique qui a fini par porter ses fruits.
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    yahoo actualités



    8 pompiers pour un h am ster .. j'irais bien vivre en Ecosse ! sont sympa là bas Laughing

  9. Des pêcheurs repêchent un chien à 1,5 kilomètre des côtes



    Zigonet



    Red Row, Angleterre - Les pêcheurs Jimmy et Alan Thompson ont été surpris de repêcher un chien à plus de 1,5 kilomètre des côtes anglaises. Lire la suite l'article

    L'animal, un Jack Russel de 14 ans, aurait été désorienté par le brouillard durant une promenade avec sa propriétaire, Jean Brigstock, 73 ans. Après qu'il a glissé dans l'eau, Mme Brigstock l'a recherché pendant plusieurs heures sans succès.

    Alors qu'elle pensait qu'il s'était enfui et se cachait dans un parc d'attractions tout proche, le chien avait en fait nagé et, porté par le courant, s'était retrouvé très éloigné des côtes. Les pêcheurs qui l'ont trouvé ne devant pas rentrer au port avant plusieurs jours, ils ont informé les gardes-côtes de leur trouvaille.

    Ces derniers ont dépêché un navire pour venir récupérer l'animal qui a pu réintégrer son foyer pour la plus grande joie de sa propriétaire. Conduit chez le vétérinaire, le chien n'a gardé aucune séquelle de sa mésaventure.
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