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Regis16

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Tout ce qui a été posté par Regis16

  1. donc tu voudrais des faisans d'ornement ? pas forcément pour manger... bien que tous les faisans ce mangent sauf ptet l'oreillard bleu ou blanc...
  2. de tres jolis piou pious !
  3. ah ah ah 0% de casse!!!!! je suis fier de moi!!! Pour les surprises si tu veux un indice.... regarde dans le bric à brac! a moins que tu veuilles la réponse tout de suite je n'attendrai spas trop à sa place! le soeufs ont étés retournés durant le voyage! deja que la feuille avec le code barre etait au dessous de la boite.. Si c'est pour le chamboulement, ne t'inquiete pas.. s'il n'y a pas de casse, et que le carton n'est pas trop abimé c'est que à l'intérieur tut va bien.. n'oublie pas que les oeufs n'ont malheureusement pas pour la plupart 5 jours! il y en a qui peuvent avoir maintenant 10 jours! donc en couveuse demain grand maximum!
  4. merci sartro 7h30, heure locale le 17ème jour pleins.. pleins pleins de mes cailletaux! (plateau du bas!) environ30 à 40 les plateaux de daniel sont inexorablement peu éclos pour donner un pourcentage, je dirais que 85% des éclosions proviennent de mes oeufs! les oeufs de daniel ont donné environ 8 cailletaux pour le moment (esperons que ce ne sont pas mes oeufs qui ont donné ces petits Moi qui n'avait pas de stress... je commence à douter serieusement... la porte de la couveuse etait mal fermée.. d'ou surement l'hydrometrie constante..
  5. bah 34 et quelques ce n'est rien lol ! tu m'aurais dit 20 à lalimite! imagine que c'est une coupure de plusieurs heures, on pourrait conclure que ta couveuse est bien isolée! et comme ce n'est pas le cas donc on peux dire qu'il s'agit d'une coupure d'une dizaine de minutes à tout casser! c'est rien du tout tu sais quel était mon stress pendant ma premiere incubation? Que EDF suspende ça grève! mes pireres ont étés entendues heureusement !
  6. Regis16

    l'Elevage du dindon

    merci de ca compréhension Florent maintenant je dois illustrer ça avec des photos !
  7. 00h52 heure localele 17ème jour 11 cailletaux nés 83% d'humidité! 6 sont du plateau inférieur, 3 du supérieur et 2 du milieu! Daniel tes oeufs sont fainéants! En fait mes oeufs sont déja tropicalisés c'est pourquoi! je susi content d'une chose au moins c'est que j'ai vaporisé depuis plus de 12h là et l'humidité tiens! c'est parfait! le reste des comptes au reveil demain matin.. je ne saurais surement pas les compter (enfin j'espere ) allez zou dodo!
  8. 22h heure locale le 16ème jour le 5 eme est là! plateau du milieu
  9. 20h10 : heure locale le 16ème jour 2 autres petits viennent de montrer leur nez! cette fois ci sur le plateau blanc donc mes oeufs! ils ont donc décidé de faire du 50/50
  10. disons que lors de mon ancienne incubation, l'humidité etait d'a peu pres 90% également! j'ai eu quand meme 35 cailletaux morts dans l'oeuf sur 208.. ça n'est pas beaucoup, (17%) . Etant donné que la mortalité des cailletaux bien formés est due à l'exces d'humidité, l'exces de chaleur , ou le trop peu d'humidité (pas dans mon cas), j'ai déduis que le taux de 90% etait peut etre trop haut! bien qu'il m'a quand meme donné 80% de réussite! je voulais donc essayer de rester plus dans les normes de 75 à 80% d'humidité!. le probleme est que ce n'est pas facile de tenir le pourcentage! les cailletaux eux memes augment le taux d'humidité et la température! donc ce n'est pas facile de stabiliser tout ça.. il faut des dimensions d'éponges sur mesure et ça j'ai pas en stock! Par exemple la température à augmenté sur le plateau supérieur à 0.5°c! C'est une nouvelle donnée pour moi car ça ne m'étais jamais arrivé! la derniere fois je vaporisais beaucoup plus, 6 fois par jours ou plus.. la j'ai vaporisé ce matin et l'hydrometrie est encore haute (actuellement de 80%) donc je n'ai meme pas pu arroser les oeufs.. c'ets un peu galere! mais je recherche l'excellence et c'est plutot ça mon probleme coucou mélanie, tu as le même nom que ma nièce! tu peux être fier de ton papa et de ta maman, car ils ont fait un superbe travail pour m'envoyer ces petits oeufs et j'espere que ceux que je t'ai envoyé seront aussi gentils que les tiens! merci brimbelle c'est très très gentil
  11. Salut brimbelle il serait interessant que tu mettes tes résultats sur le forum si possible, c'est tres intéressant d'avoir un point de repere!
  12. Regis16

    l'Elevage du dindon

    Pour répondre à ta question Florentlou ce petit dossier est le concentré d'une recherche de quelques heures sur internet, et la mise en commun de plusieurs sources fiables! je viens de lire un article provenant d'un site quebecois qui dit ceci : il semblerait donc que l'incubation des oeufs de dinde ne se fasse pas à 40-45% d'humidité comme les cailles ou autres poules, mais plus comme du canard...
  13. Regis16

    l'Elevage du dindon

    L'éclosion Les dindonneaux naissent entre le 28e et le 30e jours d’incubation. A l'apparition du premier dindonneau, la dinde partirait avec lui, laissant les autres qui, fatalement, périraient. Il faut donc lui enlever ses petits à mesure qu'ils naissent et ne les lui rendre qu'après l'apparition du dernier. L'éclosion est ici plus simple que chez les autres oiseaux ; il n'y a pratiquement pas d'accident. Pendant toute la durée de l'incubation, il importe de s'assurer chaque jour que la couveuse a bien quitté son nid pour manger et boire, sinon on devrait l'y contraindre. Veiller, pendant ce temps, à ce que la nourriture soit peu échauffante ; les salades devront dominer, avec lé pain mouillé, pour combattre l'effet des graines. Aussi bonne mère que bonne couveuse, la dinde sèche et réchauffe ses dindonneaux, si sensibles au froid et à l'humidité, écartant d'eux les morceaux de coquilles dont les angles vifs les pourraient blesser. Elle ne cessera plus, dès lors, de veiller attentivement sur eux, s'efforçant d'abord de leur apprendre à manger, ce qu'ils font difficilement d'eux-mêmes. Malheureusement lourdaude et maladroite elle les écrase parfois de sa grosse masse dans l'instant même où elle cherche le plus à les servir. Le premier âge Le petit dindon est de couleur brune, s'élêve comme le petit poussin. Entre 12 et 24 heures après leur éclosion, les jeunes ont besoin d’une forte chaleur pour que leur duvet puisse sécher. Placez-les ensuite dans l’éleveuse artificielle. C’est la méthode la plus sûre. Les dindonneaux sont maintenus à 24 °C jusqu’à la fin de la 3esemaine. Diminuez peu à peu jusqu’à atteindre 20 °C la 6e semaine. Les deux premiers jours, on laisse les dindonneaux jeûner; on les alimente ensuite exactement comme il a été dit pour les poussins. Très fragiles dans leur prime jeunesse, les dindonneaux redoutent autant le froid que l'exposition directe aux rayons du soleil et la rosée même leur est funeste si, s'en apercevant, on ne les sèche et les réchauffe aussitôt. En conséquence, on les garde pendant une dizaine de jours dans une salle fermée où règne une température douce de 18 à 200, puis, choisissant le milieu d'une belle journée, de préférence un peu nuageuse pour garder les oiseaux de l'exposition directe au soleil, on les laisse sortir quelques heures. A la moindre menace de pluie, on les fait rentrer. Il arrive parfois cependant qu'il ne s'alimente pas le premier jour ; vous placerez quelques miettes d'aliment dans l'eau de l'abreuvoir ou sur le dos des petits dindons. Curieux, le dindonneau picorera cet aliment et y prendra goût. La Prise du rouge La « prise du rouge », c’est à dire la formation des caroncules, à ne pas confondre avec l’histomonose, maladie grave appelée aussi « crise du rouge » parce qu’elle correspond à cette période, intervient vers le 40e jour chez le faisan et autour de la 6e semaine chez le dindon et la pintade. Cette période critique correspond à la formation des barbillons et caroncules, colorés en bleu ou en rouge, qui saillent et pendent sur la tête et le cou. Nombre de dindonneaux en succombent et ceux-là seuls qui auront été fortement nourris et n'auront pas eu jusque là à souffrir de l'humidité ni du froid, s'en tireront sans péricliter trop. Les rations, pendant cette crise, doivent être particulièrement reconstituantes. régime spécial à donner aux dindonneaux pendant la prise du rouge : La base en sera de la farine de fèveroles et de sarrasin, additionnée de beaucoup d'ortie, d'oignons, de fenouil, de chicorée et saupoudrée matin et soir, d'une pincée, par tête, de condiments divers en mélange : gingembre et cannelle, surtout, anis et gentiane, si l'on en a. Les légumes â goût accusé : oignons, ciboules, échalotes, l'ortie, exercent une action très salutaire sur leur faculté d'assimilation et leur vigueur. On doit, par suite, leur en donner, finement hachés, dans toutes leurs pâtées, mais surtout vers la fin du deuxième mois, époque à laquelle la Nature leur impose à tous cette épreuve très dure. Mélangé à la pâtée, deux fois par jour également, un verre de vin par groupe de vingt dindonneaux fait office d'excellent tonique. Une fois passée cette crise aussi curieuse que redoutable, le dindonneau ne redoute plus aucune intempérie ; la pluie froide elle-même est sans effet sur sa robuste constitution. L’éjointage Pour éviter l’envol intempestif de vos volailles, vous pouvez couper les rémiges d’une seule aile. Mais cette opération doit être renouvelée après chaque mue, deux fois par an. L’éjointage est définitif. Pratiquez-le dès les premiers jours de l’oiseau, à l’extrémité d’une aile, en coupant franchement à la limite du pouce avec une paire de ciseaux désinfectés.
  14. L'ÉLEVAGE DU DINDON généralités et moeurs Originaire d'Amérique centrale, le dindon fut introduit en Europe par les Espagnols. La tradition veut que le premier dindon mangé en France fût servi aux noces de Charles IX en 1570. L'élevage familial est, quant à lui, relativement récent; seuls les fermiers le pratiquaient auparavant en raison des nombreuses difficultés qu'il représentait. Fragile dans son enfance, le dindon est cependant très robuste dès qu'il est parvenu à l'âge adulte. Une race de petite taille (cinq kilos) récemment créée et de nouvelles techniques de prévention des maladies ont considérablement modifié les conceptions de l'élevage, le rendant plus accessible à tous. Oiseau bruyant et volumineux, aux colères proverbiales, le dindon doit peut-être aux truffes la célébrité qu'il mérite. Sa chair n'est point la plus fine, mais certainement la plus savoureuse des animaux de la basse-cour. Son élevage, bien que facile, ne présente par contre, sur le plan de la vente, qu'un intérêt limité. Il est préférable d'élever de petites races plutôt que des grosses et de renoncer au maximum à l'antique élevage de la dinde de Noél, aussi coûteuse à l'éleveur qu'à l'acheteur (sauf lorsque vous etes sur de leur écoulement). De corps robuste, bas sur pattes. le dindon a ta tête et la partie supérieure du cou dénudées et pourvues de pendeloques ou de caroncules turgescentes. Son plumage varie, selon les races, du blanc au noir en passant par les tons bronzés, cuivrés ou dorés. leurs moeurs: Semi-sauvages. ces gros oiseaux au vol lourd aiment à se promener et se nicher dans les arbres. Olivier de Serres considère le dindon comme « l'emblème de la sottise et de l'orgueil)) sans doute à cause de sa façon de se pavaner en se rengorgeant de glouglous devant les femelles. A l'état sauvage comme en captivité, ces mâles se montrent d'humeur fort querelleuse à l'égard des autres volailles et même entre eux. Leur caractère ombrageux les entraine parfois dans de telles batailles que l'un sinon les deux combattants risquent d'y trouver la mort. Leur agressivité peut également s'exercer contre tout intrus pénétrant dans leur domaine, "leur" basse-cour qu'il soit volaille, chien ou homme. Les dindes sont d'excellentes mères qui élèvent leur progéniture avec sollicitude; elles sont souvent recherchées pour couver les oeufs de poules ou de pintades lorsque ces dernières sont de mauvaises mères. Les modes d’élevage L’engraissement des dindons en claustration totale est possible, à raison de 1 m2 pour trois volatiles. Cette méthode est réservée à l’élevage industriel et à la production de dindes à découper. Les conditions extrêmes entraînent des problèmes importants de picage et de cannibalisme. Pour la production familiale de dinde fermière, les élevages en libre parcours ou en semi-parcours sont plus appropriés au caractère des volailles de races légères (dindes noires). Il est alors recommandé de tailler l’extrémité des rémiges d’une des ailes ou éventuellement de pratiquer l’éjointage, pour empêcher l’envol et la fuite des volatiles. Le parcours Contrairement aux animaux sélectionnés pour les élevages industriels, les races domestiques régionales présentent en général une bonne résistance aux variations de leur environnement. Pour leur bien-être optimal, il suffit de les protéger des bruits forts et inhabituels et des conditions extrêmes de température, d’humidité et d’aération. Sur le parcours, prévoyez des abris, des arbres, des arbustes, des haies ou des murs pour protéger le dindon du soleil l’été, des fortes pluies, des courants d’air froid ou des gelées en hiver. Prévoyez un grand parcours, (la surface idéale étant de 100 m2 par animal), en sous-bois ou en prairie. Ce besoin d’espace limite fortement les possibilités d’élevage en ville. Installez une clôture en grillage de 1,50 m à 2 m de hauteur, pour limiter le vagabondage des volailles tout en évitant l’intrusion des chiens ou des prédateurs. Avant d’accueillir vos animaux, attendez que toute la végétation du terrain soit bien installée. Comme pour l’élevage des poules, il est recommandé de pratiquer des rotations sur le parcours, pour bénéficier d’un espace toujours bien enherbé. Le bâtiment Construisez un local sur le même modèle que le poulailler, mais en adaptant la grandeur des ouvertures à la grande taille de l’oiseau adulte. Équipez l’abri avec des perchoirs disposés à environ 60 cm du sol. De simples barres de bois d’une section de 5 x 5 cm suffisent. Ménagez un écartement de 60 cm entre elles. On estime qu’une longueur minimale de perchoir de 30 à 40 cm et nécessaire par dindon. Complétez l’aménagement, en disposant une planche à déjections sous les perchoirs. Le petit matériel Les mangeoires et les abreuvoirs seront identiques à ceux utilisés pour les poules. Les trémies suspendues réglables s’ajustent mieux à la taille des dindons. Dans la mesure du possible, utilisez des grands modèles. La poussinière Les dindonneaux sont très fragiles. Il faut les élever dans un espace bien protégé, à l’abri des courants d’air, du froid et de l’humidité, jusque vers l’âge de six à dix semaines. À l’exception de la nourriture, les soins à prodiguer à ces jeunes volailles sont identiques à ceux préconisés pour les poussins. Vous pouvez donc utiliser la poussinière préparée pour les poules, en alternance ou simultanément. La température ambiante doit être maintenue à 37 °C les trois premiers jours suivant l’éclosion, puis à 35 °C les jours suivants, pour décroître jusqu’à 20 °C vers l’âge de cinq ou six semaines. Si le dindonneau piaule, c’est qu’il a froid ou qu’il se sent trop isolé. L’hygiène et l’alimentation En raison de leur corpulence importante, dindes et dindons consomment une grande quantité de nourriture, ce qui entraîne logiquement la production généreuse de déjections. Soyez donc vigilant et rigoureux en matière de maintien de la propreté. L’alimentation des jeunes Compte tenu de la fragilité chronique du dindonneau, il convient d’être très vigilant avec son alimentation. Après l’éclosion et les 24 heures obligatoires de diète complète, l’aliment complet préparé est une solution simple, pratique, énergétique et bien équilibrée, qui évite les erreurs de rationnement. Si vous choisissez une alimentation plus traditionnelle, confectionnez des pâtées humides avec de la mie de pain, du lait, de la levure de bière, des oeufs durs, des oignons hachés et du fromage émietté. À partir du quinzième jour, incorporez à la ration de l’herbe, de la salade ou des orties hachées et de la farine d’orge. Donnez en plus des graines de millet. Au moment difficile de la « prise du rouge », l’alimentation doit être plus fortifiante. Ajoutez dans la pâtée du chènevis, de la luzerne, du trèfle, des glands moulus, de l’ail ou du chou. L’alimentation des adultes Le dindon et la dinde se contentent des aliments proposés pour les poules. La base de la ration est constituée soit d’un aliment complet préparé industriellement, soit de pâtées et de céréales concassées. Le maïs compose souvent la majorité des repas, mais vous pouvez donner de l’avoine, de l’orge ou du sarrasin. Un mâle peut consommer dans une journée 1,25 kg de verdure, 220 g de pâtée et 100 g de grains. La dinde se contente des deux tiers de ces quantités. Lorsque le parcours ne permet pas un apport suffisant en verdure, donnez des céréales germées (blé, avoine ou orge) à vos volailles. Pour obtenir des grandes quantités, le plus simple consiste à faire germer les grains de céréales dans un sac en toile ou en jute généreusement arrosé. La distribution est possible chez les jeunes dès le cinquième jour. Donnez à vos dindons des épluchures, des fruits abîmés ou des orties fraîches hachées. Les pommes de terre, les noix, les châtaignes et les glands décortiqués peuvent être inclus dans la ration quotidienne, surtout si vous souhaitez engraisser vos dindons. Le gavage se déroule sur environ quinze jours, juste avant l’abattage. L’apport d’eau Vos dindons doivent toujours disposer d’eau propre et fraîche et pouvoir se servir à volonté. Surveillez les dindonneaux, car ils se déshydratent très vite. Installez un ou plusieurs abreuvoirs automatiques à niveau constant, branchés sur la canalisation d’eau, en intercalant un bac à décompression. N’oubliez pas de protéger votre système contre le gel en hiver. Nettoyez régulièrement les abreuvoirs des souillures qui se déposent naturellement ou dont les animaux sont responsables. C’est une bonne prophylaxie contre les risques de maladies. L’hygiène indispensable Lorsque le parcours est trop piétiné et que le sol se dénude, il faut prévoir une rotation avec un autre enclos pour régénérer le couvert végétal. Profitez de la reconstitution de la végétation pour désinfecter le terrain, en épandant une solution de sulfate de fer. Nettoyez la planche à déjections et le sol du bâtiment tous les quinze jours, ou tous les huit jours en été pendant les périodes de fortes chaleurs. Une fois par mois, désinfectez les murs, le sol, les perchoirs et la toiture de l’abri, avec une solution de Crésyl à 1 %. Les mangeoires à trémies et les abreuvoirs seront nettoyés et désinfectés avant chaque remplissage, avec une solution diluée d’eau de Javel (10%). Faites de même avec la poussinière avant et après son utilisation. Pendant la période d’élevage des jeunes, procédez comme avec le matériel des adultes, en faisant bien attention de ne pas déranger les dindonneaux. Un bac à sable permet aux animaux de se débarrasser de leurs parasites externes. Afin de pouvoir surveiller l’état de santé de vos volailles, habituez-les à rentrer dans leur abri avant la nuit. La reproduction et le premier âge Le printemps est une période très active dans la basse-cour. Pour toutes les volailles, c’est la pleine époque pour la reproduction. Le comportement des animaux se modifie, notamment celui des mâles qui deviennent plus agressifs et paradent devant leur cour de femelles. La ponte Le dindon ne peut se reproduire qu'à partir de l'âge de 10 mois à un an pour la femelle et de dix-huit mois pour le mâle. Les mâles sont de bons producteurs pendant cinq ans, les femelles de bonnes pondeuses pendant trois ans. La reproduction, surtout celle des grosses races, est beaucoup plus tardive que celle des autres oiseaux de basse-cour. Dès les premiers jours du printemps, les mâles appellent les femelles par leurs glouglous et leur font la cour en tournant autour d'elles et en faisant la roue. Des couples se forment et la ponte a lieu peu après. L'accouplement est parfois difficile pour les très grosses dindes et on est souvent obligé de mettre une selle à la femelle pour que le mâle ne la blesse pas. La saison normale de ponte est le printemps (mars et juin, dès que la durée du jour dépasse treize heures.), saison durant laquelle elle donne une vingtaine d'oeufs au maximum, à raison de un par jour si la température est douce, de un tous les deux jours seulement si le prin­temps est froid. La dinde pond dans une cachette à elle (rarement dans vos pondoirs), sur un lit de feuilles sèches, dans un trou ou sous un buisson. Il est assez facile de repérer l'endroitje mâle se tenant tou-jours a proximite. Vous pouvez aussi essayer d attirer la dinde dans un endroit que vous aurez choisi en y plaçant un oeuf en bois. Il n'est pas rare, en autre, que; si surtout on ne l'a pas fait couver ou si elle a couvé très tôt, la dinde ponde à nouveau en juillet août; mais elle ne donne guère, dans ce cas, que de 10 à 15 oeufs. Elle s'efforce de dissimuler le plus possible ses œufs dans les mille et une cachettes que lui offre la Nature; "Dans le cas où l'on veut être sur de ramasser tous ces oeufs, aussi est-on obligé de ne lui donner la liberté chaque matin qu'après qu'elle a pondu. Pour ne pas la retenir inutilement prisonnière, il faut la tâter pour s'assurer que l'œuf est bien formé, et se trouve assez près de l'anus pour permettre d'en conclure qu'il sera pondu dans la journée." La couvaison et l’incubation Après la ponte, trois possibilités s’offrent à vous : laisser les oeufs à la mère naturelle, les confier à une mère adoptive sélectionnée pour ses capacités ou prélever tous les oeufs pour les incuber artificiellement pour une incubation naturelle, comme aux autres oiseaux, on lui enlève ses œufs au fur et à mesure de leur venue pour ne les lui rendre qu'en fin de ponte, au moment où, s'arrachant les plumes du ventre pour rendre plus douillet le nid qu'elle prépare, on l'entend glousser. Pour une incubation en couveuse, ramassez les oeufs au début et à la fin de l’après midi. Éliminez les oeufs fêlés, cassés ou qui présentent une forme anormale. Marquez les (date et référence du parquet). Stockez-les dans un local obscur et bien aéré, avec une hygrométrie de 70 % et une température constante de 11 à 13 °C. Ils peuvent alors être conservés (le gros bout dirigé vers le haut) entre 8 à 10 jours maximum. Suivant le temps plus ou moins froid, les œufs mettent de 28 à 30 jours pour éclore en incubation naturelle. Laissez la dinde couver lorsque la ponte comprend de 15 à 20 oeufs. En attendant de disposer du nombre d’oeufs suffisant, conservez-les comme vu plus haut, durant une période maximale de 7 jours. Il importe de bien noter le nombre d'œufs qui lui ont été confiés parce qu'il lui arrive assez souvent de pondre encore un ou deux œufs après le début de l'incubation, oeufs qui, naturellement, viendront à éclosion plusieurs jours après les autres. Pour l’incubation artificielle, maintenez une température entre 37 et 38,6°C avec une hygrométrie de 60 à 65 %, jusqu’au 24e jour. Ensuite, jusqu’à l’éclosion, il faut prévoir un environnement à 37,5 °C, dont l’hygrométrie sera comprise entre 70 et 75 %. Sachez que l'incubation artificielle des oeufs de dindes donne d'excellents résultats.
  15. la réponse bientot dans cette catégorie avec l'élevage du dindon! je suis en train de finir la fiche!
  16. merci beaucoup! a venir, l'élevage du dindon! ça se voit que j'ai une envie de dindons ? non? tant mieux alors!
  17. Merci à tous pour le moment c'est calme,le gros des troupe sortira demain je pense! là se sont les gloutons qui sont sortis les premiers! pour les photos ce sera lors de la mise en éleveuse des premiers! car L'hydrométrie est stable à92%, et jai pas envie d'ouvrir pour la faire baisser encore
  18. Les Races des dindes et dindons Durant des siècles, le dindon a été élevé dans des élevages fermiers. Il n’existait pas à proprement parler de races, mais de simples variétés de couleurs au nom évoquant leur terroir d’origine. Aujourd’hui, la classification plus complète distingue le volume de chaque race. Le développement des élevages industriels en vue de la production de viande de dinde à grande échelle, a entraîné la sélection d’animaux beaucoup plus lourds, d’un rendement en chair exceptionnel. On distingue aujourd’hui selon leur corpulence les races légères, moyennes, lourdes et ultralourdes. Pour l’élevage familial, nous vous recommandons les quelques races suivantes… Les races Géantes Le Bronzé d’Amérique Il présente un développement spectaculaire qui en fait la plus grosse des volailles de la basse-cour. Il a été longtemps élevé à grande échelle en France, en Grande-Bretagne et aux États-Unis. Sa chair est délicieuse. Le mâle a le dos, la poitrine et la partie inférieure du cou entièrement noirs avec des reflets vert cuivré à violet bronze. Les ailes ont une teinte châtain avec un liseré noir, l’ensemble paraissant d’un bronze cuivré brillant. Les plumes du corps se parent d’un liseré noir intense chez le mâle, brun gris à brun foncé chez la dinde. Cette dernière pond peu mais c’est une bonne couveuse. Le dindon pèse environ 16 à 20 kg, la dinde de 7 à 9 kg. Le Rouge des Ardennes Il présente les mêmes caractéristiques que le « Bronzé d’Amérique », mais le plumage du mâle montre une belle couleur rouge fauve, uniforme sur tout le corps. Le dos est rouille avec des reflets cuivrés, les rémiges blanches. Toutes les plumes présentent un liseré brun foncé presque noir. La dinde se pare d’un coloris plus clair, sans reflet. C’est une des races les plus rustiques. Les femelles sont des bonnes pondeuses et d’excellentes couveuses. Le mâle pèse environ 10 kg et la femelle de 6 à 7 kg. La chair est fine, blanche et savoureuse. Le Large White C'est une race prolifique que l’on rencontre plus fréquemment dans les élevage industriels, mais qui peut donner de bons résultats chez l’éleveur amateur. Sa croissance est rapide. Les dindons atteignent 16 kg et les dindes 8 kg. Le dindon de Narragansett Ce dindon est originaire de la baie du même nom dans le Rhode Island aux Etats-Unis.Il a été obtenu par mutation du dindon Bronzé d'Amérique. Modérément volumineux (15 kg pour le mâle adulte et 8 kg pour la femelle), cet oiseau passe souvent pour le plus hardi et le plus coureur des dindons. Cette race fut importée pour la première fois en Europe en 1994 aux Pays-Bas de là, il se répand dans toute l'Europe (on commence à en trouver en France). Les races moyennes et légères Le Blanc de Beltsville C'est une race récente, issue de sélections américaines. Les animaux se caractérisent par une constitution robuste, avec une poitrine large. Le plumage est blanc pur. Cette volaille est bien adaptée aux petits élevages familiaux. Le dindon ne pèse que 6 à 10 kg et la dinde de 4 à 5,5 kg. Le Noir de Sologne Il est souvent considéré comme la meilleure race française. Sa taille se rapproche de celle du « Bronzé d’Amérique », mais il présente une allure élégante, sans lourdeur. Le plumage est noir profond avec quelques reflets d’un bronze métallique vers la queue. Ce dindon est apprécié pour son excellente rusticité. La dinde est une bonne couveuse. Le mâle pèse environ 12 kg et la femelle de 6 à 7,5 kg. Le Noir du Bourbonnais Il ressemble beaucoup au « Noir de Sologne ». Son aspect général est encore plus élégant et moins lourd. Il est particulièrement rustique. Donnez lui beaucoup d’espace. La dinde est une bonne pondeuse. Le mâle atteint un poids de 10 à 12 kg, la femelle pèse de 7 à 9 kg. Le Noir du Gers Il a été sélectionné en Gascogne, où il ne reste que quelques élevages. Le plumage est d’un beau noir intense avec des reflets bronze. La dinde présente des qualités de couveuse exceptionnelle. Le dindon pèse de 10 à 13 kg et la dinde de 7 à 8 kg. Le Noir de Normandie Il présente une grande résistance à l’humidité. Trapu, d’une grande rusticité, il est parfait pour l’élevage amateur. Les dindons atteignent un poids de 8 kg et les femelles 5 à 6 kg. Le Ronquières C'est la seule race de dindon belge (avec la race franco-belge Rouge des Ardennes), mais il en existe de nombreuses variétés. Ronquières est située à 25 km de Bruxelles : dans cette localité et sa région, on élève des dindons depuis le 18ème siècle. Le dindon de Ronquières est issu des dindons rustiques du pays avec des couleurs délavées typiques. Le dindon est apparu dans les Pays-Bas méridionaux au 16ème siècle : ce dindon a donc figuré parmi les toutes premières importations des dindons d'Amérique via l'Espagne. Sa taille place le Ronquières à la limite entre les races moyennes et petites : en effet, le dindon adulte pèse de 8 à 9 kg (le jeune de 5 à 6 kg), la dinde adulte 4,5 kg (la jeune 3,5 kg). Le standard belge précise que cette race compte de nombreuses variétés, lesquelles présentent cependant (excepté le Ronquières blanc) des caractères communs que voici : - absence quasi totale de la couleur bronzée ; fond gris mat, brun, roux, fauve ou blanc ; s'il y a reflet, c'est alors un reflet vert, bleu ou pourpre plutôt que bronzé ; - tendance aux couvertures multiliserées et aux tachetures ou rayures sur les barbes internes des rectrices, des rémiges secondaires et des grandes couvertures des ailes ; - liseré noir subterminal depuis le camail jusqu'au croupion (cela signifie qu'un liseré blanc suit la bande transversale noire) ; - rémiges primaires assez monochromes, avec des rayures et un tiquetage noir ou gris foncé, de sorte qu'elles sont plus foncées que les secondaires ; sans stries transversales blanches ; hampe blanchâtre ou pâle ; - rectrices plutôt pâles, avec un large liseré subterminal plus foncé. A ajouter à cette description sommaire : yeux à iris brun, paraissant foncés, bec de teinte blanc d'os, pinceau noir, tarses blancs (rosé admis). Cinq variétés sont reconnues : épaulettes jaunes blanche, fauve jaspée et perdrix Le dindon Bleu (dit de Suède) Le dindon Bleu est un dindon "à la mode" en France actuellement. Ce coloris est signalé depuis très longtemps dans les basses-cours ; il demeure cependant encore assez peu répandu. La dénomination "de Suède" n'a probablement rien à voir avec le pays en question ; ce nom vient sans doute d'une époque à laquelle il était de bon ton de donner des noms "exotiques" aux races et variétés d'animaux ; elles avaient ainsi une plus- value pécuniaire. Le coloris bleu est en réalité un gris. Sont admises deux nuances de bleu : le foncé et le clair régulier (quelques points noirs épars sont cependant tolérés) ; beaucoup d'éleveurs préfèrent le bleu foncé. Les tarses sont de couleur rougeâtre. La masse du dindon peut varier entre 6 et 8 kg (selon l'âge), et celle de la dinde entre 4 et 5 kg. Aux Etats-Unis, il existe un dindon "Slate", ce qui veut dire ardoisé, qui est très semblable à notre dindon bleu. Le dindon Porcelaine Nouvelle race en cours d'homologation créée par Gérard Roumilhac (87) Cette race porte le nom de "Porcelaine" pour 2 raisons : - la proximité de Limoges (et ses porcelaines), - la ressemblance du coloris de ce dindon avec la variété "porcelaine" des coqs et poules Le dindon Cröllwitzer Originaire de Cröllwitz en Saxe (Allemagne), ce dindon a été obtenu à partir du dindon belge de Ronquières croisé avec des dindes locales. C'est un dindon de taille moyenne : le mâle pèse de 6 à 8 kg et la femelle de 4 à 5 kg. Ses tarses sont de couleur chair à rouge. Mais ce qui fait l'originalité de cette variété, c'est le coloris de son plumage. Voici sa description donnée par le standard de la Fédération française des volailles : cou blanc pur ; ensemble du plumage blanc ; chaque plume, à son extrémité, est distinctement marquée d'une barre noire transversale suivie d'un étroit liseré blanc. Chez le dindon, le motif de la poitrine apparaît un peu comme des écailles superposées. Chez la dinde, ces dessins sont moins nets et précis. Le dos, la couverture de la queue, les flancs portent des dessins plus prononcés. Plumes de la queue marquées d'une barre transversale noire et d'un liseré blanc. Rémiges secondaires blanches. Rémiges primaires gris noirâtre, tige de la plume blanche.
  19. 13h50 heure locale le 16ème jour un deuxième de chez daniel vient de pointer le bout de son bec! il y a 95% de chance que les 2 soient des cailletaux des oeufs de Daniel car je n'ai mis les oeufs de daniel sur 2 plateaux et il me restait de la place donc j'ai complété avec 20 des miens à chaque fois! les 2 paniers supérieurs (les verts ont les oeufs de Daniel, les 95 % de mes oeufs étant dans le panier blanc) il semblerait que le panier supérieur soit propice aux ééclosions cette fois ci! la derniere fois c'etait le plateau du milieu...
  20. dans ce cas désinfecte comme je t'ai dis.. et pout l'oeil pareil.. tu ne peux plus faire grand chose maintenant!
  21. les oeufs ont combien de jours? s'ils ont moins de 10 jours, tu peux attendre encore en achetant l'hydromètre avant de mettre les oeufs en couveuse! c'est mieux de tout gérer avant le depart de l'incubation.. un faux depart n'est pas accepté malheureusement
  22. merci pour la photo, par contre le petit bobo du cou, si tu peux nous le montrer.. pour l'oeil y a rien à faire malheureusement! a part tenter de nettoyer avec du sérum physiologique. pour la plaie de l'eau oxygénée devrait faire l'affaire!
  23. Regis16

    le premier jour

    de toutes les façons lorsque les petits ont faim ils piaillent et fort.. donc ça sert de signal!
  24. alors et ce test des sexes ? ça a donné quoi?
  25. merci agnes bis bon alors des nouvelles: Ca Y EST! Ca à commencé! 11h20 heure locale le 16ème jour surprise en voulant ouvrir la couveuse pour enlever une des éponge car il y avait trop de buée dans la couveuse par consequent trop d'eau! (hydrometrie à 89%) Un petit cailletau commun....... de Daniel! il est encore mouillé mais deja bien vif! tiens si ça se trouve j'aurais peut etre des cailletaux isabelle, blancs voir même noirs de chez l'éleveur de Daniel!
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