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Tout ce qui a été posté par Marine-perruche
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Bioparc : Oiseaux et animaux de Doué la fontaine
Marine-perruche a répondu à un(e) sujet de Marine-perruche dans Elevage et éthique animale
Oui tu as raison Christiane, je pense qu'ils sont bien tombés dans cette volière d'un hectare. Beaucoup d'entre eux sont finalement des saisies de douane, et cela est rassurant de constater qu'ils puissent être sauvés et réintégrés. Egalement, ils laissent faire des reproductions, puisque cela concerne presque que des espèces menacées. Pour certaines, il font appelle à l'élevage à la main par un professionnel, comme les petits des aras Hyacinthe et c'est systématique pour cette espèce malheureusement. Mais les individus sont ensuite réhabilités et relâchés dans leur cadre de vie, d'après un plan de sauvegarde (à l'état naturel). Les Ara Lafresnaye et conures quant à eux bénéficient de l'élevage par les parents naturels. plusieurs individus sont également réhabilités pour l'état naturel et la population. Et finalement, beaucoup des Ara Lafresnaye étaient des saisies de douane, plusieurs d'entre eux visiblement très déplumés. D'autres, d'une précédente saisie, bien remplumés et familiarisés. C'était fascinant de les observer -
Bioparc : Oiseaux et animaux de Doué la fontaine
Marine-perruche a posté un sujet dans Elevage et éthique animale
Bioparc : Oiseaux et animaux de Doué la fontaine La volière sud-américaine : 1 hectare de terrain Ara Hyacinthe (1500 individus à l'état naturel) Ara Lafresnaye Si vous me trouvez déplumé sur certaines photos, ce n'est pas que je fasse du picage, c'est que je fut saisie par la douane pour détention en toute illégalité. j'ai subi des semaines de détention en cage dans le noir, ce qui a endommagé mon plumage, sans compter le surnombre sans espace. je crois être plutôt bien tombé ici, en réhabilitation, même si ce n'est pas la pleine liberté. Conure Mitrée Ara Macaw (chloroptère) La suite du Bioparc ultérieurement.... Renard Volant -
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Oui, j'ai déjà fait l'expérience quand je ne connaissais pasla particularité des graines de lin, avec un mélange vesele-laga avec très peu de lin pourtant, le résultat était franchement gluant et répugnant. Après, il est tout à fait possible que les morceaux de biscuits y aient joué. Cela se trouve, elle n'avait même pas de lin, mais j'ai pensé à ça.
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Je te remets le lien sur les germinations. http://www.perruches.org/t205-germinations-et-graines-germees C'est qu'il a plusieurs méthodes selon les graines. Millet, alpiste, gruau, la méthode que tu utilise convient très bien. Humidifier les graines en les rinçant régulièrement et elles poussent. C'est pour les graines mucilagineuses qu'il faut utiliser la méthode ci-dessus (exemple : le lin), car en germant elles créer une masse gluante
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Cohabitation amazone à front bleu et molinae
Marine-perruche a répondu à un(e) sujet de cetix dans Nos Perruches et perroquets en photos et vidéos
Premièrement que l'amazone ait été arraché à ses parents au premier jour comme à la troisième semaine, c'est tout aussi horrible, irrespectueux et maltraitants. Et même si le degré peut être moindre ou l'effet retardé, les conséquences douloureuses sur long terme seront les mêmes : http://www.perruches.org/t760-les-limites-et-souffrances-du-nourrissage-a-la-main Deuxièmement, avoir deux espèces différentes qui se retrouvent seules - j'entends par là, sans compagnon de leur propre espèce alors qu'elles sont génétiquement conçues pour êtres entourées des leurs - ce n'est pas la meilleur des solutions, c'est même triste pour chacun des oiseaux. Tu devrais plutôt te réorienter vers un second pyrrhura molinae, c'est plus respectueux pour le bien être et l'épanouissement de ton oiseau En outre, tu auras bien des conflits et difficultés en moins qui se poseront. Enfin, un amazone, tout comme les gros perroquets, pour moi, cela ne se met pas en cage, mais au minimum en volière. De deux mètres de long au moins, qu'il puisse étendre ses ailes et donner quelques battements -
Je suis désolé Anaïs pour la perte de ta benne Choupette Je trouve ça absolument stupide et injuste d'euthanasier un animal sain, plein de vie et de plaisirs possibles. De surcroit l'euthanasier parce qu'il a le malheur d'être familiarisé à l'homme et de ne pas aller de lui-même se fourrer dans la nature. Faut être sacrément con pour ne pas remettre cet animal auprès d'une structure qui aurait su lui apporter compagnie et environnement adapté. Il y a de quoi vomir !
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ANGE Tu es arrivée, tout bébé ... Avec Eden Tes petits Les beaux jours Au revoir ma belle et tendre ANGE Tout ce que je pense et ressens pour toi, toit seul le sait et le saura. Tu as été la douceur et l'amour incarné, tout ce qu'un être peut être en sensibilité et en partage de tendres moments. je t'aime
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Choisir mon prochain oiseau
Marine-perruche a répondu à un sujet dans Généralités : mutations, âge, sexe et autres
La perruche est un perroquet, après, ce n'est qu'une question d'espèce Christiane a raison Frédérique, quelle que soit l'espèce de perroquet que tu prend, il ne faudra pas qu'elle soit seule car se sont des espèces en grande majorité grégaire, qui ont besoin de vivre auprès de compagnons de leur espèce. -
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Contre-arguments des justifications les plus courantes pour la pratique de l'EAM « Certains dénigrent les éleveurs qui nourrissent les oisillons à la main (EAM), prétextant que c'est contre-nature» Avant toute chose, c'est la technique qui est dénigrée. Cette technique imprègne l'oiseau à l'espèce humaine et le prive de toute éducation et culture de sa propre espèce, ce qui est par définition contre-nature. En outre, elle est maltraitante pour le bien être tant physique que psychologique de l'oiseau. De surcroît, nous ne comprenons pas comment un humain peut se dire passionné alors qu'il arrache de petits oisillons fragiles et sensibles à des parents naturels, biologiques, sains, opérationnels, prêts à accomplir leur tâche, à nourrir et protéger leur couvée. C'est un choc de séparation terrible. Alors qu'il y a des méthodes alternatives (EPP et familiarisation, MAN), les éleveurs pro-EAM se voilent la face et se cachent derrière des arguments prétextes. Mais l'EAM ne sera jamais autre chose qu'une aberration qui répond aux besoins égoïstes et avares des êtres humains qui le pratique systématiquement (je ne parle pas des sauvetages ou programmes de sauvegarde). « Donc, lorsqu'on parle de « contre-nature » concernant une perruche ondulée, il faut savoir que la perruche ondulée telle qu'on la connaît, celle qu'on achète dans une animalerie ou chez un éleveur est « contre-nature »; elle n'a jamais connu son pays et la nature sauvage. Elle est venue au monde en élevage. C'est ça, son « état naturel ». Elle ne pourrait, en aucune circonstance, vivre à l'extérieur, dans la nature. » « En créant des mutations, l'être humain s'est condamné à élever ses oiseaux, à en prendre soin et à les protéger. C'est ce que les « bons » éleveurs font. » « Bref, une perruche est un animal de compagnie, au même titre qu'un chien. Et je vous rappelle que remettre un chien dans son « état naturel », c'est-à-dire l'abandonner dans la nature, est considéré de nos jours comme un acte lâche et criminel. Donc, tout comme le chien, pourquoi ne pas jouer avec notre petite amie la perruche? » Certes il y a des mutations, qui n'ont rien de naturelles. Certes, la perruche ondulée vivant en captivité de nos jours est, à proprement parlé, contre-nature puisqu'elle a été dénaturée. Elle n'a jamais connu la majestueuse nature d'Australie, nous sommes bien d'accord. Elle ne serait pas, non plus, capable de survivre si elle était relâchée dans la nature, notre « nature » (urbanisme, prédateurs inconnus, froid, pénurie d'accès alimentaires, pas de présence d'un groupe pour pouvoir survivre, etc.). Cependant, cet argument n'est pas fondé, car c'est oublier une valeur fondamentale de la nature des psittaciformes (perruches et perroquets) et qui est la conséquence de ses besoins et comportements : L'INSTINCT. Comment pouvons nous l'oublier? L'omettre volontairement pour justifier que, puisque la perruche ondulée, comme tout autre perroquet d'ailleurs, a été dénaturée, nous pouvons continuer en ce sens, et que cela justifie la pratique de l'EAM. Cela justifie la maltraitance. Il n'en est rien ! L'un ne cautionne pas l'autre. Nos perruches sont dénaturées, mais c'est sans compter sur leurs comportements innés et acquis, leur instinct qui les conduit à se rappeler qui elles sont et d'où elles viennent. Et pour preuve : si elles étaient aussi dénaturées que certains l'insinuent, si elles étaient si « animal de compagnie » qu'on aurait la naïveté de croire, les éleveurs n'auraient pas à les élever à la main, à continuer indéfiniment cette pratique, ils n'auraient pas à les imprégner. Un animal réellement dit « de compagnie » n'a pas besoin d'être arraché à ses parents naturels pour qu'il soit docile, affectueux, propre de l'homme et avec l'homme. Les chiens ne sont pas élevés à la main, les chats ne le sont pas, les rats ne le sont pas, parce que ce sont des animaux de compagnie facilement apprivoisable et dociles. Pour l'oiseau, il n'en n'est rien. Il répond à ses instincts longuement acquis, face à la présence de l'homme. En tant qu'animal proie, il fuit quand on l'approche trop brutalement, il s'immobilise et observe avec angoisse quand on s'approche et qu'on l'épie. Il n'accepte pas les caresses et cajoleries de prime abord, qu'il ne peut comprendre sans expérience préalable et familiarisation. Il ne peut comprendre la punition qui ne fait pas partie de son patrimoine génétique en tant qu'animal proie, car jamais ses parents ne puniront, puisque tout s'opère par renforcement positif. Il ne viendra jamais vous sauter au cou et vous câliner quand vous rentrerez du travail, comme le chien le ferait, car son caractère instinctif grégaire lui fera préférer la compagnie des siens, les oiseaux, à la vôtre. Non, ça ne se fait pas tout seul, pour lui faire adopter un tel comportement vous êtes obligé (parce que familiariser, apprivoiser, éduquer c'est long et coûteux en temps, argent et affection) de l'élever à la main, l'imprégner, le rendre dépendant, l'arracher à sa famille naturelle, à sa fratrie et, par la même occasion, vous l'arrachez à une socialisation naturelle et à son environnement sécuritaire et approprié à ses besoins. Après l'EAM et cette imprégnation maltraitante, pour toutes les raisons citées ci-dessus, les éleveurs peuvent dire que l'oiseau est un animal de compagnie, car il a les mêmes comportements que les chiens et les chats. Mais c'est bien omettre l'instinct, les besoins, le respect, la socialisation et l’épanouissement de l'oiseau. C'est faire une complète censure des conséquences désastreuses sur l'oiseau, à plus ou moins long terme. « Nous sommes jugés d'éleveurs sans cœur, maltraitants, souhaitant faire des profits ou encore étant égoïstes, alors que nous sommes passionnés et rendant heureux nos oiseaux avec leurs humais » Il n'a jamais été question de juger l'éleveur mais la technique. Et puisque l'élevage à la main s'avère sans aucun bénéfice propre à l'oiseau mais présente de nombreuses conséquences néfastes, nous nous tournons vers les causes qui auraient pu faire qu'un être humain ait à nourrir lui-même un oiseau alors qu'il a des parents pour cela (malgré la fausse excuse de soulager la parentalité) : L'égoïsme : aimer la pratique de l'EAM par dessus toute chose et par dessus le respect du bien-être animal. La personne est indifférente aux conséquences. L'argent : les oiseaux vendu EAM sont trois à cinq fois vendus plus chers, cela est très rentable et très demandé par le public raffolant des oiseaux câlins (pour qu'ils le soient le plus facilement il faut qu'ils soient imprégnés). L'ignorance : manque de connaissances sur la méthode et ses conséquences, personne pouvant être de bonne foi et ne plus pratiquer/accepter l'EAM en étant sensibilisée et informée. Il est question d'éthique et de bon sens. Quant les parents sont sains et présents pour la protection, le nourrissage et l'éducation de leurs oiseaux, pourquoi leur retirer leur couvée, autrement que pour l’égoïsme (plaisir de nourrir soi-même) ou l'avarice (les bénéfices) ? Pourquoi continuer cette pratique maltraitante alors que les conséquences dramatiques ont été répertoriées et prouvées ? En fait, nous soulevons simplement la question de l'éthique, du respect d'autrui, dans sa façon d'être dans le plus grand respect de ses besoins. Nous souhaitons favoriser une méthode d'élevage qui respecte le caractère sauvage et instinctif de l'oiseau, en même temps que ses besoins, ses émotions et sa sensibilité. C'est une question de respect d'autrui, pas seulement de sa vie, mais de sa qualité de vie, de son droit naturel à l'épanouissement et le bien-être et pas seulement à sa survie. « Certains jugent que l'EAM réduit l'espérance de vie et engendre des conséquences néfastes pour les oiseaux, mais je n'en crois rien, je n'ai jamais rien observé de tel.» L'espérance de vie est influencée par les conditions d'élevage, de détention, l'environnement, mais également l'alimentation, l'accès aux activités physiques et aux jeux, ou encore, la génétique, le sérieux des reproductions non consanguines. Ce sur quoi la technique de l'EAM joue, par rapport à l'espérance de vie, c'est par rapport aux carences éducatives, car l'imprégnation ne permet pas à l'oiseau d'acquérir de la part de son parent naturel la socialisation primaire, l'éducation (à ne pas mordre par exemple), mais également, à la technique elle-même qui imprègne l'oiseau et peut le rendre hyper-dépendant et hyper-anxieux. Un bref résumé des conséquences directes néfastes à plus ou moins long terme : Le choc précoce de la séparation de la mère et de la fratrie : les liens affectifs et les apprentissages de la mère sont inhibés, l'oisillon ne peut donc pas s'identifier aux parents. L'équilibre de l'oisillon est brisé. C'est également lié au sevrage trop tôt ou rapide. L'imprégnation à l'humain : Cela entraine une imprégnation hétérospécifique à l’humain et donc une dissociation primaire. Le perroquet dyssocialisé n’a pas acquis lors de son développement les mécanismes primaires d’inhibition sociale, il ne sait donc pas comment se comporter avec ses congénères, ne sait pas comment résoudre un conflit. A la naissance, l’oisillon n'a pas une compréhension innée des codes sociaux de son espèce. Il doit apprendre à se comporter en tant que perroquet, avec des usages précis en matière de communication et de comportement propres aux perroquets. Nourri de la main de l'homme, l'oisillon n'acquiert pas les codes sociaux liés à son espèce. Le syndrome d'isolement : car les manipulations et interactions se font seulement lors des becquées. Le syndrome de privation sensorielle : comportement exploratoire inexistant dans les premiers mois à cause des conditions de vie de l'EAM, par conséquent, développement d’une détresse et d'une résignation acquise (apprise). L’impuissance (la résignation) apprise c’est quand un individu apprend par l’expérience qu’il est incapable d’agir sur son environnement pour le transformer en sa faveur, il devient incapable, physiologiquement, d’apprendre. Il développe également des phobies ontogéniques (misonéisme : déteste la nouveauté dans l’environnement et néophobie : peur de la nouveauté dans l’environnement). Le seuil d'émotivité est faible ou à zéro : le perroquet n'a peu ou pas de curiosité, et peu ou pas de comportement exploratoire, de recherche. Il ne sait pas développer ses capacités intellectuelles de manière appropriée. Les soins néonataux inadéquats : pots d'incubation individuels alors qu'ils ont besoin de contact, d'être collés, manque d'apprentissage et de contact. La socialisation déficiente ou la désocialisation entraine des comportements sexuels aberrants et maladroits : le perroquet ne s'attache qu'à une seule personne, prise pour son partenaire. Cela pourra entrainer de l'agression et des confusions entre le jeu et l'agression. Ses comportements et réactions seront inappropriés. L'intolérance aux frustrations : Anxiété, angoisse et stress. Le syndrome d'hypersensibilité se développe. Les oisillons répondent de façon disproportionnée à des stimuli extrêmement faibles. Les troubles retardés (puberté) : hyper-dépendance, anxiété de séparation, comportements d’agression envers l’humain, hyper-vocalisation, phobies, territorialité, dépression, stéréotypies (manie, troubles compulsifs, automutilation). Le manque de prévisibilité et le dysfonctionnement de la communication : les distances de zone de fuite et de zone critique sont faussées, le perroquet a l'impression de ne plus pouvoir anticiper, il devient peureux, timide, et perd le contrôle de ses actions. Les problèmes graves liés au nourrissage : le blocage du jabot, les brulures du jabot, les infections bactériennes, les erreurs avec injection de la pâtée dans la trachée et non dans le jabot et étouffement de l'oisillon, le sevrage trop tôt, etc... En somme, une bonne dose d'angoisse et de mal-être. Et il a été scientifiquement prouvé que vivre dans l'angoisse, le stress, le sentiment d'abandon génèrent un état de santé psychologique qui se répercute sur la santé physique. Cela donne des oiseaux apathiques, dépressifs, sans interactions sociales ou ludiques, dans un environnement qui leur est anxiogène de par son caractère inapproprié des besoins naturels et innés de l'oiseau. Encore pire, beaucoup d'entre eux développent des troubles du comportement comme des stéréotypies, comportements névrotiques : Picage, allo-picage Mutilation, automutilation Hyper-vocalisation (cris) Troubles des comportements sexuels Hyper-dépendance Hyper-anxiété Agressivité, territorialité, morsures ... Liste non exhaustive. C'est ce en quoi, à long terme, l'oiseau à une qualité de vie médiocre et son espérance de vie et sa qualité de vie peuvent en pâtir. Enfin, pour pouvoir constater de tels troubles chez nos oiseaux, il faut accepter d'ouvrir les yeux et surtout avoir un esprit sensibilisé à la problématique et un comportement observateur sur l'évolution et la cause des comportements de nos oiseaux. Sans observation et sans connaissance du sujet il est évident qu'il est difficile de comprendre une situation comportementale et ses causes et conséquences. « J'ai tenté de laisser les oisillons avec leurs parents, sans mon intervention, c'est-à-dire sans les manipuler ou les nourrir à la main, et ils sont révélés néfastes. Soit les bébés étaient méchants envers l'être humain, soit un des deux parents tuait leur progéniture. Jamais, cependant, un oisillon n'est sorti de cette expérience en ayant une relation harmonieuse avec l'être humain. » « J'ai tenté l'expérience de la MAN, les parents n'aimaient pas ça, et assassinaient littéralement leurs bébés. Il semblerait que l'instinct de survie fasse en sorte qu'ils cherchent à alléger leur "fardeau" devant le danger représenté par un "prédateur". » On ne peut retirer des conséquences générales et valables d'une technique d'élevage sur un simple exemple ou quelques expériences malencontreuses. Cela n'a aucune valeur éthologique. En outre, les parents qui ont un environnement adapté et non anxiogène comme devaient l'avoir les couples en reproduction c'est-à-dire, une alimentation enrichie et adaptée et surtout, un enrichissement environnemental, alimentaire et des jeux, n'ont aucun problème pour l'élevage et l'éducation de leur couvée : preuve à l'appui, de millions d'exemples dans la nature et en captivité. On accuse trop facilement une technique comme étant mauvaise de par l'échec de la reproduction alors que c'est un tort. Il faut, avant toute chose, considérer le milieu, l'environnement, l'alimentation, les pathologies. L'étude de l'environnement est la clé pour comprendre la cause des échecs. Pas la technique d'élevage par les parents, qui bizarrement dans la nature fonctionne parfaitement, tout comme chez les éleveurs consciencieux du bien-être animal et des conditions de détention. Les éthologues ne raisonnent pas de la sorte : technique MAN utilisée, oisillons tués, égal technique mauvaise... Il raisonnent et étudient ainsi : technique MAN utilisée, oisillons tués : quel était l'environnement, l'enrichissement, l'alimentation, la méthode d'élevage des parents même (intéressant de savoir si EPP ou EAM), également, les visites ont-elles été respectées et établies en fonction du comportement des parents, a-t-on su constater des troubles du comportement chez eux, du stress ? « Il y a des sites et forums qui luttent contre la pratique de l'élevage à la main mais je ne comprend pas pourquoi » La politique et les convictions de ces forums et sites ainsi que les individus qui les représentent sont : le bien-être animal, le respect de ses besoins et de sa condition naturelle. Car, par prolongement, nous ne cautionnons pas et ne souhaitons pas véhiculer des pratiques maltraitantes et en totale contradiction avec le bien-être de l'oiseau. Il est question d'éthique et de bon sens. De respect de l'animal, de ses besoins et de la relation respectueuse animal-humain pour laquelle nous nous battons. Tant que les éleveurs pratiquant systématiquement l'EAM ne seront pas plus qualifiés et expérimentés en étude du comportement, en éthologie, en observation des causes et conséquences, ils ne percevront jamais les dommages qu'ils engendrent sur les oiseaux EAM. De surcroît, ils n'entendront jamais puisque leurs intérêts personnels sont en jeu. « On m'a dit que les oiseaux élevés à la main étaient par conséquence imprégnés à l'espèce humaine, et que c'était néfaste pour lui, que c'était mal. Mais je ne vois pas en quoi, surtout que mes oiseaux EAM sont joueurs, câlins, et attachés à moi » L'imprégnation engendre une incapacité des oiseaux EAM à créer des liens avec les oiseaux de leur espèce et d'autres espèces : - Incapacité de s'identifier à sa propre espèce. - Rejet des autres oiseaux qui sont associés à des intrus. - Agressivité envers l'humain s'il ne répond pas aux codes de communication et aux comportements reproductifs. Également, l'imprégnation entraine l'exclusivité avec une personne choisie au détriment des relations avec les autres membres de la maison. Les conséquences possibles de cette exclusivité sont : - Enfants mordus, humain s'approchant de l'humain choisi par l'oiseau, mordu ou agressé. - Autre personne que la personne choisie agressée ou rejetée. - Attachement excessif et territorial à une personne (l'humain choisi comme partenaire de vie d'après l'oiseau). De plus, une fois la période de prépuberté passée, la réhabilitation de l'oiseau EAM à des comportements plus sains devient difficile, d'autant plus qu'il a été conforté dans ses comportements. On ne peut que difficilement réinsérer un oiseau EAM parmi d'autres oiseaux de son espèce. Il restera toujours en retrait, incapable de répondre aux approches et signes de conciliation de ses congénères, il les interprétera comme de l'agression. En outre, cela fait des oiseaux montrant un retard dans les apprentissages, une incapacité à s'intéresser à des jeux, des activités autres que celles qui sont inspirées par les câlins, la proximité à son humain. Enfin, on ne peut pas négliger la réelle angoisse de l'oiseau EAM qui est séparé de son éleveur nourricier, puis adopté par un nouvel humain qui le délaisse pour des occupations ou d'autres humains ou animaux. L'absence visuelle de l'humain est une réelle souffrance pour l'oiseau EAM. On l'élève à la main pour qu'il dépende de l'humain et c'est ce qu'il fera, toute sa vie, attendre le bon vouloir de son humain. « Un oiseau de cages ou de volière, donc enfermé, qui plus est, a la crainte de l’Homme, est-il plus ou moins stressé, et donc plus ou moins fragile, qu’un oiseau EAM en liberté sur son perchoir qui ne demande qu’à être « Poupouiller » par son maître : l’Homme, puisqu’il n’en a aucune crainte , bien au contraire? » Ce questionnement est faussé de par l'inexactitude et les lacunes des propos apportés. C'est tout d'abord faire preuve d'anthropocentrisme que de croire que l'oiseau EAM identifie son propriétaire en tant que « maître ». « Maître » dénote une notion d'autorité et de domination. Cependant, les psittacidés sont majoritairement (selon les espèces) des oiseaux grégaires et tous, des animaux « proie », par conséquent, ils n'ont aucune notion de soumission et de domination (de soumis et de dominé) dans leur patrimoine génétique, mais bien de « prédateur » et de « proie ». C'est une confusion et une grave erreur de jugement à ne pas commettre en éthologie. Pour répondre à cette problématique je vous suggère la lecture cet article : http://www.perruches.org/t1771-la-dominance-chez-l-oiseau-fiction-et-interpretation En outre, la problématique de l'oiseau « de cage ou de volière » ne se pose pas pour nous puisque nous visons l'optimisation du bien-être et d'un environnement enrichi et respectueux des besoins innés des oiseaux concernés. Par conséquent, nous ne concevons pas la captivité de nos oiseaux à travers des cages et volières, mais bien à travers une maximisation de la liberté (relative). Nos n'étudions pas leur environnement avec des barreaux et à peine un mètre carré de surface de vie. Si vous aviez réellement considéré nos articles, vous auriez mieux cerné nos axes d'amélioration du quotidien des oiseaux de compagnie. De plus, la condition de familiarisation, d'apprivoisement et de confiance de l'oiseau n'est pas dépendante de sa méthode d'élevage et donc, n'est pas dépendante de l'élevage à la main. Des milliers de foyers arrivent à familiariser et apprivoiser leurs perruches et perroquets, tout en ayant respecté leur élevage (et socialisation primaire et éducation) par leurs parents biologiques. Il ne faut pas obligatoirement que l'oiseau ait été imprégné à l'humain pour que l'environnement de l'oiseau ne lui soit pas anxiogène. C'est prendre le problème à l'envers et, surtout, par le biais de la facilité car, qui a exercé sait, que la familiarisation et l'apprivoisement se travaillent avec de la rigueur, de la régularité, du renforcement positif et de la patience. C'est encore plus efficace que l'imprégnation, dans le sens où l'oiseau est bien plus équilibré (socialisation primaire non défectueuse, association à sa propre espèce et échanges sociaux-culturels avec ses congénères possibles) et indépendant (pas d'hyper-dépendance, d'anxiété liée au sentiment d'abandon quand personne n'est présent). Et puis les oiseaux EAM ne « demandent » pas à être « papouillés », ils l'exigent, car ils en ont besoin, en tant que comportements sociaux et affectifs d'un groupe social. Ils s'identifient à vous en tant qu'oiseaux imprégnés et sont dépendants de vos bons soins. Et il n'y a rien à se féliciter d'avoir rendu un oiseau dépendant et de l'avoir privé d'un élevage (par les parents) le plus optimal pour ses besoins et attentes à lui, dans le sens de son bien-être propre et non des attentes des humains. « Le taux de mortalité d’Oisillons élevés par leurs parents en cage ou en volière et donc livrés à eux-mêmes et dépendant de la bonne volonté de leur maitre pour leurs apporter les éléments et nourritures adaptés à leur nourrissage, n’est-il pas supérieur aux taux de mortalité d’oisillons élevés par des professionnels qui mettent toutes leurs compétences et connaissance à amener à terme leurs oiseaux ? » Encore une fois, le questionnement est erroné de par l'absence de réflexion sur les problématiques liées à la mortalité. On ne peut retirer des conséquences générales et valables d'une technique d'élevage sur un simple exemple ou quelques expériences ; cela n'a aucune valeur éthologique. En outre, les parents qui ont un environnement adapté et non anxiogène comme devraient l'avoir les couples en reproduction, c'est-à-dire, une alimentation enrichie et adaptée et surtout, un enrichissement environnemental et des jeux, de l'espace et encore de l'espace, n'ont aucun problème pour l'élevage et l'éducation de leur couvée : preuve à l'appui, de millions d'exemples dans la nature et en captivité. Également, certaines espèces sont connues pour les difficultés de réussite de leur reproduction, pour la bonne raison que les conditions que nous offrons n'ont rien de comparables à celles apportées par la nature : l'espace infini, l'absence de pollution sonore et visuelle, de perturbations de par la présence humaine et intrusive, des ressources alimentaires et environnementales (nids) appropriées à leurs envies et, enfin, des partenaires de choix, ce qu'on oublie trop souvent. Déjà évoqué ci-dessus : Spoiler: On accuse trop facilement une technique comme étant mauvaise de par l'échec de la reproduction alors que c'est un tort. Il faut, avant toute chose, considérer le milieu, l'environnement, l'alimentation, les pathologies. L'étude de l'environnement est la clé pour comprendre la cause des échecs. Pas la technique d'élevage par les parents qui, bizarrement dans la nature, fonctionne parfaitement, tout comme chez les éleveurs consciencieux du bien-être animal et des conditions de détention. Les éthologues ne raisonnent pas de la sorte : technique EPP utilisée, oisillons tués, égal technique mauvaise... Il raisonnent et étudient ainsi : technique EPP utilisée, oisillons tués : quel était l'environnement, les installations, l'enrichissement, l'alimentation, la méthode d'élevage des parents même (intéressant de savoir si EPP ou EAM), également, les visites ont-elles été respectées et établies en fonction du comportement des parents, a-t-on su constater des troubles du comportement chez eux, du stress ? Sans compter que la méthode d'élevage à la main en elle-même comporte des désagréments considérables pour les oiseaux concernés, problématiques liées à la méthode que je ne vais pas répéter : http://www.perruches.org/t760-les-limites-et-souffrances-du-nourrissage-a-la-main « L’Espérance de vie des perroquets dit « sauvage » détenus en cage ou en volière n’est-elle pas plus courte que celle des perroquets élevés à la main ? » Qu'entendez vous par « sauvage » ? Cela, a proprement parler, peut définir tout oiseau n'ayant pas été familiarisé, apprivoisé de la main de l'homme. Mais on peut l'interpréter de diverses manières. Si vous parlez des oiseaux « sauvages » dits arrachés à leur nature, capturés, traumatisés par le transport, la séparation de leur groupe social, de la lumière, de leur nature, emprisonnés, conditionnés et anxieux d'un nouvel environnement qui leur est complètement inconnu et anxiogène, je ne doute pas que leur espérance de vie est moindre, de par la liste non exhaustive des traumatismes et sévices nommés ci-dessus. Cependant, statistiquement, ils ont bien moins de troubles de comportements que les oiseaux élevés par la main de l'homme. Si vous parlez des oiseaux « élevés par leurs parents » mais non familiarisés à la présence humaine et/ou non apprivoisés, il faut encore une fois analyser l'environnement. Bien évidemment si vous mettez un Gris du Gabon dans une cage ronde nourri aux cacahuètes, son espérance de vie en serait rudement amoindrie, tout comme sa qualité de vie en parallèle. Si vous mettez maintenant plusieurs gris du Gabon dans une volière de 50 mètres carrés, leur fournissez un enrichissement quotidien tant alimentaire que environnemental, nous reparlerons sûrement de leur espérance de vie qui, je n'en doute pas, sera excellente. Quant aux oiseaux EAM, encore une fois, ce n'est pas la technique (quelle qu'elle soit) qui leur apporte une longévité mais bien leur environnement : ne faites cet amalgame. « Vous n’êtes pas sans savoir que la quasi-totalité des oiseaux vendus en animalerie, premier circuit de distribution de vente d’oiseaux, proviennent de grossistes belges, hollandais, tchèques, roumains, … avec des conditions de transport plus que limites pour les avoir vu chaque semaine lors des arrivages des livraisons. De plus les animaleries ont pour habitude de recevoir dans chaque cage des oiseaux de provenances différentes ce qui est un facteur déterminant pour la contamination d’oiseaux sains via d’autres oiseaux porteurs sains ce qui augmente le caractère stress, déjà élevé en animalerie, de ces oiseaux, et donc leur fragilités. » C'est bien pour toutes ces raisons (et bien d'autres encore) que nous ne cautionnons pas l'achat en animaleries, bourses et grossistes. Comme je l'ai déjà précédemment expliqué, nous favorisons les adoptions de particuliers à particuliers et auprès d'associations à but non lucratif. « Vous aurez, donc, je n’en doute pas, compris notre démarche qualité qui est avant tout tournée vers le bien être des oiseaux et la total satisfaction de nos clients d’avoir des oiseaux sains, ce qui leur évitera de les abandonnés pour x raisons que ce soit puisque totalement ravis d’avoir des animaux en parfaite santé et donc avec une plein envie de s’en occuper. » Je ne doute pas du bien fondé de votre société. Je pense en effet que vous respectez la législation en vigueur. Cependant, ne faites pas une lecture rapide et simpliste des articles du forum et des réponses apportées. Si notre forum existe, c'est bien parce que nous considérons qu'il y a des lacunes et des manquements considérables sur les lois régissant la détention des oiseaux de compagnie ou d'élevage et leur bien-être. Je suis persuadée que vous souhaitez réellement apporter une nouvelle structure commerciale plus respectueuse du bien-être des individus concernés, c'est-à-dire ces oiseaux qui nous passionnent. Cependant, comme vous l'aurez bien compris, pour toutes les raisons évoquées, votre démarche mercantile va à l'encontre de la considération que nous apportons aux psittacidés en captivité. Nous souhaitons des réformes et des lois plus appropriées à leurs besoins et au respect de leur vie, en tant « qu'êtres-sujet-de-vie ». Enfin, pour qu'une structure commerciale comme la vôtre puisse se pérenniser sur le plan financier, il faut indéniablement que vous maximisiez les profits et minimisiez les frais. Cela passe inévitablement par l'optimisation de la structure (coûts de l'espace alloué, optimisation de l'exploitation de l'espace), réductions des coûts de biens consommables (alimentation, hygiène, etc.), réduction des coûts du personnel (et donc des compétences et soins), etc... Tout cela va à l'encontre des besoins des psittacidés, qui seront toujours : l'espace, l'enrichissement alimentaire, environnemental, social, intellectuel, des éléments nécessaires au bien-être des oiseaux, éléments onéreux et non rentables. Avec l'aide de Christiane
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Domino, mon petit mimi
Marine-perruche a répondu à un(e) sujet de Marine-perruche dans Hommage à nos anges
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Tout est gracieux et douceur chez le rat, en commençant par sa toilette, en passant par les câlins et en terminant par le regard... C'est en posant mes yeux sur les votre que j'ai su, votre intelligence, votre douceur, votre sensibilité, toute les beautés et la richesse qui sont en vous. j'ai su aussi que jamais vous ne me quitteriez
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inséparable dort beaucoup
Marine-perruche a répondu à un(e) sujet de dragoraptor dans Santé : soins quotidiens, symptômes et maladies
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Domino, mon petit mimi Toute une vie... Le 6 MAI 2010... Une petite crevette de 2cm est née, et je ne tarderai pas à te trouver le nom de Domino, pour ton petit corps plus fin que les autres "gros pâtés" et pour ta petite tâche hooded noire sur le dos en forme de jeu de domino. A partir du 20 MAI... Vous avez ouvert vos yeux, et ce n'est plus seulement vos yeux qui s'expriment au monde, mais votre corps tout entier. Et la petite canaille agile et rapide que tu es fait déjà la différence. Les spoutnik c'est coooool surtout quand on fait pas comme les autres ! Je suis tout à gauche et tout en conneries Octobre 2010 ... Bébé a grandit et n'en est plus un, tu es fort, beau et un amour : 2011 2012... Ta tendre petite bouille Ta gourmandise Un amour Juillet 2012... De magnifiques moments que nous avons passés ensembles. Et puis il faut que ces immondices tumeurs l'emportent toujours .......... Une tumeur à la gorge ça ne pardonne pas. Aucune tumeur ne pardonne... j'étouffe, je transpire, je panique, je pleure. La souffrance et la condamnation d'un être que j'aime me donne un sentiment d'impuissance et d'injustice. et j'ai envie de vomir. On a tenté l'opération, elle a réussi, et t'a apporté un bon mois de plus, c'est quelque chose dans la vie d'un rat. Mais cette aberration revient toujours, et mon pauvre Domino, tu es de nouveau condamné, mais cette fois ce ne sera pas opérable. Trop de risque, et récidive obligatoire. La respiration et l'appétit sera bientôt touchée. Alors on profite et on s'en met pleins la tête... Jeudi 2 Aout... Je sens que ta respiration change, je le sais, on va chez le vétérinaire, et n'entend rien de particulier. J'ai peur... Et j'ai mal... Mardi 7 Aout... C'est fini. Tu es en détresse respiratoire, les métastases empêchent tes poumons de fonctionner correctement, et tu souffres. Tu souffres vraiment. Et j'ai très peur, j'ai mal au coeur, j'ai la nausée, je veux vomir. Parce que je sais ce que je dois faire pour te soulager, pour ton apaisement, et parce que c'est un choix atrocement difficile et douloureux. car je sais que je vais te perdre. Que c'est fini. Et je ne veux pas. Je souffre, mais il le faut pour que toi tu sois enfin en paix, sans douleurs ni tourments. Tu es partie rejoindre Ice et Saphir et je sais que vous vous retrouve autour de pommes, pizza, noisettes et autres délices autour desquelles vous allez vous chamailler et vous câliner. De l'autre coté, je prend soin de tes frères, Caramel et Bounty, à qui tu manque. Un jour, vous serez de nouveau tous ensemble pour partager les graines de courge et le lait de soja, comme les 5 frères que vous avez toujours été, de véritables amours solidaires. Tu me manques énormément Domino, ta tendre petite bouille de Mimi, ce petit cul fin et rapide pour ce qui est de manger et jouer, cette finesse et furtivité, ton oeil tendre et vif, profond, serein. J'espère de tout coeur que tu as pu profiter de ta vie et y trouver beaucoup de plaisirs. ET que cela continue éternellement... Je t'aime
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"Clac" pendant inspiration et expiration
Marine-perruche a répondu à un(e) sujet de clembeauv dans Santé : soins et maladies
Bonjour et bienvenue Clembeauv Dans un premier temps, pour la patte qui a gonflé et dégonflé, qu'avait dit le vétérinaire (la cause) ? n'étais-ce pas une constriction ? A-t-elle une baque à cet endroit là ? Quant au "clac" de sa respiration, auriez vous la possibilité de nous faire une vidéo avec enregistrement sonore et un visuel sur son visage ? Cela nous éclairerai. Cependant nous n'avons pas les compétences d'un vétérinaire spécialisé, et pas non plus l'oiseau en main et examens à la clé pour pouvoir identifier, la cause, et donc la pathologie et le traitement adéquat à proposer. Bonne journée -
DISCUSSION EN LIEN AVEC L'ARTICLE : Fond de cage: lino, plexi, papier, copeaux de bois, chanvre, litière végétale, que choisir ? N'hésitez pas à me donner vos avis : -type de litière utilisée - quelle dimension de cage ou volière - les avantages ou inconvénients que j'aurai omis de souligner d'après votre point de vue et expériences
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FOND DE CAGE linoleum, plexiglas, béton, carrelage, papier journal, essuie-tout, copeaux de bois, chanvre, litière végétale... QUE CHOISIR ?! Le papier journal, essuie-tout, feuilles blanches : - Très pratique pour vérifier l'état des fientes quotidiennement - Pratique pour les petites et moyennes surfaces - Nécessite un renouvellement et nettoyage régulier selon l'espèce et le nombre (quotidien ou tous les deux jours) - Aspect peu esthétique - Peu applicable pour les grandes surfaces Le lino, le plexi, le béton, le carrelage (surface plane et non poreuse) : - Très pratique pour vérifier l'état des fientes quotidiennement - Très pratique pour les moyennes et grandes surfaces - Nécessite un nettoyage et la désinfection régulier selon l'espèce et le nombre (quotidien ou tous les deux jours) - Facilité et rapidité de nettoyage La litière (copeaux de bois dépoussiérés, chanvre, litière végétale biodégradable) : - Très pratique quant à l'absorption des odeurs, des liquides et des fientes - Pratique pour les grandes surfaces - Aspect esthétique - Nécessite un nettoyage régulier selon l'espèce et le nombre (peut permettre plusieurs jours sans changer de litière) - Impossibilité de vérifier l'état des fientes - Temps plus long de nettoyage lors du renouvellement Quelle que soit la litière utilisée ou le type de sol utilisé, les oiseaux ne doivent pas pouvoir y accéder pour éviter qu'ils ne grugent et n'avalent des composants du sol (risques d'infection ou de contamination avec les fientes, les cosses, les déchets). Utiliser pour cela la hauteur, ou une grille de bac empêchant l'accès. Si vous optez pour une litière, veillez à sélectionner une litière de qualité, sans poussière, et bien sèche. 2vitez les marques bas de gamme avec le chanvre et les copeaux de bois, sinon vous risquez d'avoir beaucoup de poussières et de trop petits morceaux. Cela risque de diminuer les effets positifs de l'utilisation de ce genre de litière et peu être dangereux si votre oiseau l'ingère (peut se bloquer dans les narines ou la trachée). SI vous optez pour un sol sec, un nettoyage quotidien est recommandé. Là encore les oiseaux ne doivent pouvoir y accéder. Et la matière de sol doit être saine (pas de traitement chimique, peinture, vernis, laque). Ne jamais utiliser en fond de cage ou volière de sable ou de gravier Pour plus d'informations à ce sujet : Les aliments et produits nocifs - sable ou gravier à éviter
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Litière pour perruche ondulée
Marine-perruche a répondu à un(e) sujet de Saphir111 dans Environnement : installations, accessoires, jouets et liberté
Le papier journal, essuie-tout, feuilles blanches : - Très pratique pour vérifier l'état des fientes quotidiennement et pour les petites et moyennes surfaces - Nécessite un renouvellement et nettoyage régulier selon l'espèce et le nombre (quotidien ou tous les deux jours) - Aspect peu esthétique et peu pratique pour les grandes surfaces Le lino, le plexi (surface plane et non poreuse) : - Très pratique pour vérifier l'état des fientes quotidiennement et pour les moyennes et grandes surfaces - Nécessite un nettoyage et la désinfection régulier selon l'espèce et le nombre (quotidien ou tous les deux jours) La litière (copeaux de bois dépoussiéré, chanvre, litière végétale biodégradable) : - Très pratique quant à l'absorption des odeurs, des liquides et des fientes - Pratique pour les grandes surfaces - Aspect esthétique - Nécessite un nettoyage régulier selon l'espèce et le nombre (peut permettre plusieurs jours sans changer) - Impossibilité de vérifier l'état des fientes Quelle que soit la litière utilisée ou le type de sol utilisé, les oiseaux ne doivent pas pouvoir y accéder pour évider toute infection ou contamination. Utiliser pour cela la hauteur, ou une grille de bac empêchant l'accès. Mes oiseaux n'ont jamais touché à leur litière, que ce fut du temps des feuilles blanches ou du temps du chanvre comme aujourd'hui. Mais certains ont des tendances à l'affouragement, donc choisissez bien votre type de sol en fonction de vos oiseaux, s'ils grugent la litière, utilisez un sol sec et non poreux. -
LE JOURNAL : Actualités sur les perruches et perroquets
Marine-perruche a répondu à un(e) sujet de Marine-perruche dans Nos Perruches et perroquets en photos et vidéos
Un zoo vandalisé: 9 oiseaux tués, 60 animaux échappés Le forum de la fondation St-Marseille m'a fait découvrir un article : http://tvanouvelles.ca/lcn/lebuzz/archives/2012/08/20120804-094328.html http://fondation-st-marseille.com/forum/un-peu-de-tout/14277-un-zoo-vandalise-en-australie.html#14297 Extrait : C'est dégueulasse, immonde, et rageant de constater une telle violence gratuite. de la cruauté de haut rang envers des être vivants sensibles et innocents surtout. Je ne sais même pas si les meurtriers (malfaiteur c'est LÉGER LÉGER) seront retrouvé et condamné de prison, mais c'est bien ce qui mérite pour cette cruauté inqualifiable. -
Je suis pas fan de ce procédé, car les fruits et légumes étant riches en eaux, ont/auront pour effet de faire gonfler les extrudés et du coup, deviendront dénaturés et perdront de leurs appétences. Seb. Une méthode pour les y faire goutter seulement, et quand on fait goutter, pour le peu qui est ingurgité lors de la découverte, ce n'est pas pour ses effets nutritifs. En outre, bizarrement, mes extrudés n'ont jamais gonflé au contact de la carotte ou des épinards.