Marine-perruche

Rassures toi Emilie, nous sommes là pour te conseiller et te guider à maximiser le bien être de tes oiseaux afin d'assurer une reproduction de qualité nous ne te jugeons pas, nous t'aidons afin d'éviter des erreurs. N'hésites de nous faire une photo comme Jojo le suggère afin que nous puissions t'aider à améliorer l'aménagement et à apporter des éléments qui pourraient manquer. Bonne journée

Bonjour et bienvenue parmi nous Emilie Pour faire reproduire des animaux en bonnes circonstances, afin d'assurer leur bien être et celle de la nichée, il faut se renseigner au préalable et préparer le couple reproducteur. Ce sont des êtes vivants avec des besoins spécifiques que l'on se doit de respecter Je te suggère donc de suivre les conseils de Christiane et Martin, et je te mets en lien des articles qu'il te faudra lire pour être pleinement renseigné sur ce que tu devras mettre en place pour ta prochaine reproduction La reproduction - Tout savoir en résumé Améliorer les conditions d'élevage des perruches ondulées L'importance d'une pâté d'élevage maison (faite soi-même) L'alimentation de la perruche ondulée

Tout ce qu'elle veut et dont elle a besoin : c'est sortir. Il n'y a pas de système D, elle a besoin de sortir, voler en liberté, s'exercer, s'enrichir de son environnement, jouer, gruger, et ça, 3 jouets n'y feront rien.De plus, si tes calos sont en liberté sous son nez, pas folle la guêpe, c'est fortement tentant. Peut être peux tu lui trouver un compagnon et une autre pièce pour pouvoir être en liberté, sans qu'elle dérange les calos ?

Tu as raison Laurence, laisser aux perruches la psosiiblité de faire une bonne nuit complète, sans bruits, sans dérangements, et les laisser exprimer leurs envie la journée, permet de canaliser leur énergie sainement et contribue à leur épanouissement. y'a pas de mystère, de bons repas, des activités physiques et intellectuelles, ainsi qu'une bonne nuit de sommeil, c'est la clé du succès !

Si elle te mordille ce n'est en effet pas un comportement d'affection, mais bien sa seule façon de t'alerter que ton comportement est inapproprié et lui est anxiogène (stressant). Puisque tu ne répond pas à ses codes de communication quand elle utilise la méthode douce, elle est obligé de recourir à une arme plus dissuasive et compréhensible de l'épiderme humain : le bec. Pour mieux comprendre ce qui se passe entre ta belle ety toi, je te conseille ces différentes lectures essentielles à la bonne compréhension de votre relation et au respect des besoins de ta perruche : L'importance de l'espace autour de l'oiseau et de son occupation : http://www.perruches.org/t741-les-besoins-spatiaux-et-loccupation-de-lespace Les comportements et codes de communication chez les perruches Les gestes de pacification du perroquet Améliorer le quotidien des perruches

Superbe travail !! Ton père est vraiment doué, j'adore le carrelage choisi. J'ai hâte de découvrir la suite !!

Félicitation pour ton couple de moineaux du Japon Je te suggère également la lecture de cet article qui t'aidera à comprendre l'importance de l'alimentation complète : http://www.perruches.org/t2402-l-importance-d-une-pate-d-elevage-maison-faite-soi-meme#56556

Bonjour Hercules Le problème ne vient pas des perruches, mais bien du seuil de tolérance des humains. Ce n'est pas une critique, c'est une réalité. Nous n'avons pas tous les mêmes possibilités, les mêmes centres d'intérêts, et donc pas tous les mêmes acceptations quant aux contraintes des animaux. Le bruit des perruches, que ce soit les gazouillis comme les cris d'excitation, je trouve ça superbe et cela me rempli de joie. Pour certains, cela est insupportable, épuisant, oppressant. Et comme le dit Christiane, ce n'est pas de la mauvaise fois, on n'y peut rien. Je te conseillerai donc soit qu'elles aient une pièce rien qu'à elles, en liberté, isolées de vous afin de ne pas être importuné des bruits, soit songer à l'adoption auprès d'une famille qui leur accordera également liberté, enrichissement environnemental et soins appropriés. Il ne faut surtout pas chercher à inhiber des comportements tout à fait naturel. Faire du bruit pour les distraire, ou des mouvements brusques, ou mettre un tissu pour les couvrir, ce sont des actes qui sont anxiogènes pour tes perruches, c'est stressant, angoissant, et cela leur génère un mal aise passager qui peut perdurer. Perte de confiance, peur de l'environnement et état de fatigue et de stress qui accentue fortement les cris et disputes. C'est un cercle vicieux. Couvrir en journée les perruches les empêche de dépenser et canaliser leur énergie, dérègle leur système, elles sont donc plus oppressées et bruyantes, s'énervent plus facilement et ainsi de suite. Elles vous épuisent, vous continuer de les perturber avec ces actes, qui renforcent leurs cris et leurs comportements qui vous sont insupportables. Il ya plusieurs solutions qui vous sont offertes, le principal, c'est qu'elles soient heureuses là ou elles sont, et respectées, et qu'il en soit de même pour vous ce n'est pas une mauvaise chose si chacun vous êtes heureux et ayez retrouvé votre tranquillité, même si ce n'est pas sous le même toit

C'est une très bonne idée Anna Cela permettra de faire une bonne source de diverses vidéos dans différentes situations connues de nos perruches. J'y pense, j'y travail et je reviens vers vous

L'espèce de ta plante c'est une Monstera Deliciosa il me semble (Faux Philodendron) de la famille des aracées (araceae), avec des racines aériennes au sol. Cette plante est toxique pour tes perruches.

Bonjour Anthony, C'est une excellente initiative que de pouvoir offrir à ses perruches la liberté, et également un parc dans lequel elles puissent se divertir et s'occuper. Cependant, la photo que tu nous postes nous présente des dizaines d'élements dangereux pour les perruches, où elles pourraient s'y coincer une patte, des plumes, une aile, et se pendre facilement. Il y a trop de risques de blessures avec les objets suspendus. Également, as tu vérifié que la plante n'est pas toxique ? Quelle est son espèce ? De même pous les bois qui sont sur les différents objets ? Enfin la radiateur, attention quand il est chaud. Je te conseille la lecture de ces posts : - http://www.perruches.org/t429-sortie-en-securite-de-la-perruche-securiser-la-piece-creer-un-parc-de-jeux - http://www.perruches.org/t349-plantes-et-bois-toxiques-pour-perruches-et-perroquets - http://www.perruches.org/t49-construction-de-jouets-securitaires-pour-perruches Bonne lecture

Tu as bien raison, tant qu'elles sont heureuses C'est embêtant seulement si tu aurait souhaité des petits d'eux. Cependant si ce n'est pas le cas, tu pourras observer deux oiseaux comblés évites juste les cavités sombres pour la femelle (qui peut être assimilé à un nid) pour ne pas stimuler ses instincts reproducteurs.

Il y a deux philosophies sur la reproduction des perruches ondulées : 1 - La reproduction par couple. Le couple est isolé dans une cage de reproduction, avec de l'espace, un large nid, des matériaux à gruger et pour faire la litière, mais aussi une alimentation abondante, de la luminosité et de la tranquillité. Cela permet d'éliminer tout risque de blessures et tueries entre les couples, et des couples aux petits. Cela réduit le stress des parents reproducteurs et leur permet d'être pleinement concentré sur leur reproduction, sans se soucier de la recherche d'alimentation et de défendre son territoire pour assurer le bon développement des petits. La difficulté peut être que le couple a parfois du mal à être stimulé, car en effet, dans la nature, ce sont des parades nuptiales, les gazouillis, la becqué, et le coït qui stimule les autres couples et les couples entre eux. Mais nous constatons qu'en captivité ça ne pose aucun problème au couple d'être isolé. 2 - La reproduction en colonie, pour certains pour respecter les conditions de reproduction à l'état sauvage et ainsi respecter les stimulations entre couple, pour d'autres par facilité et incompétence. Il faudra alors impérativement considérer que, dans la nature, l'espace est infini et les couples reproducteurs s'installent sur des hectares complets. ils sont ainsi espacés les uns des autres et peuvent puiser leurs aliments sur des hectares de champs et de végétation. Également, les cavités dans les troncs, racines et branches pour les petits sont infinies. Ils ne sont pas confinés dans 2 mètres sur 2 mètres avec 4 petits nids rectangulaires. Trop souvent, la reproduction en colonie est faite par des débutants ou amateurs, et elle est très mal entrepris. Il y a donc un taux de mortalité au nid beaucoup plus conséquent, avec des blessures ou des tueries entre adultes et envers les enfants (des intrus tuant toute une nichée du voisin ou les propres parents stressés par cet environnement inapproprié). Cette typologie de reproduction est réservée aux experts confirmés, qui connaissent les comportements naturels et en captivité des perruches ondulées, ainsi que leurs besoins, et enfin qui connaissent très bien leur propres perruches et leurs limites. Ces éleveurs là savent très bien quelle énorme volière doit être mise en place ainsi que les structures afin de faciliter le sentiment de sécurité et tranquillité. Avec évidemment tous les autres critères nécessaire à une bonne reproduction. Enfin, le contrôle des nichées est moins facile, moins évident, ainsi que le contrôle de la consanguinité et de l'état de santé des parents.

En effet, des frères et/ou sœurs peuvent tout à fait former un couple, que ce soit par défaut ou par choix. Il faut seulement veiller à ne pas leur laisser faire une reproduction. Les perruches ondulées, afin de pérenniser leur survie, sont opportunistes et hautement adaptables. C'est pourquoi, nous pourrons trouver tout aussi bien des couples solides et fidèles, qui dureront des années, comme des couples changeant chaque saison ou année, avec ce que nous aurions tendance à interpréter comme "infidélité" (c'est tout simplement des comportements pertinents pour assurer la lignée et maximiser la survie du groupe, ce n'est pas de l'infidélité, car la fidélité requiert un engagement dans la relation, propre à l'Homme). Donc par conséquent, l'arrivée d'un nouveau mâle peut en effet perturber et modifier les couples en place. Tu as raison Anna, et ce n'est pas seulement "on dirait", car il est avéré que nos animaux (et donc nos oiseaux) éprouvent émotions comme sentiments. Cela est démontré par des milliers de thèses, études, recherches et vécus (par chacun d'entre nous) depuis des dizaines d'années. L'erreur à ne pas faire, c'est seulement l'interprétation qu'on en fait (anthropomorphisme).

C'était déjà chose faite Gautier, as tu loupé quelques lignes dans ton propre post ?

Quelle salade ? Endive alors.... Mais c'est quand même pas l'idéal. A cette saison les épinards ne sont pas couteux et sont vraiment riches et adaptés. Et les carottes sont faciles et peu chères. (pour le soleil c'est juste qu'en donnant du persil les oiseaux ne doivent pas être exposé au soleil à cause de la photosynthèse).

Non la salade ne comporte pas assez de bêta-carotène (provitamine A), privilégie les feuilles d'épinards, de mâche ou de persil (pas d'accès direct au rayon du soleil pour ce dernier).

Super, merci, je l'ai ajouté à l'article

Oui, vous êtes bien plus sensé ! Par exemple ici nos malades sont obligés de se cacher de consommer du cannabis pour soulager les terribles maux dont la médecine moderne ne saurait solutionner.

Merci Pourquoi "elle est pas possible" ? je parle trop, j'admets Peux tu me donner ta recette, à titre d'exemple pour l'article, car elle semble superbe !!!

Tout à fait, la sélection de la graine définira la teneur en THC. Par contre, ce qui est surprenant, en discutant avec une agricultrice qui détient des champs de chanvre (pour produire des tissus bio) elle m'expliquait qu'elle était obligé de racheter chaque année les graines à l'organisme agrée, sinon, s'ils conservaient une partie des graines pour les réutiliser, ce qui se passe c'est qu'après plusieurs saisons, ces graines d'origine certifiée et validée, produisent une plante qui contient un taux de plus en plus élevé du THC (ce n'est donc pas stable d'une production à la suivante en gardant la même génération de graines). C'est pourquoi je sollicite ceux qui plantent su chènevis à faire attention sur le long terme. Pour la législation je ne connais pas, donc je ne me mouille pas je te cite un extrait explicatif :

L'importance d'une pâté d'élevage maison (faite soi-même) Nos recettes La pâtée d'élevage, qui sert à nourrir les parents reproducteurs, et puis les petits lors du nourrissage de la mère à sa nichée, devrait être systématiquement faite par vos soins. Nous allons vous expliquer l'importance vitale de la qualité de la pâté d'élevage, qui ne peut l'être que si elle est faite par nos soins, car elle sera la plus complète et efficace possible. Personne ne devrait donner de la pâté du commerce tel quel, parce que celle-ci ne comporte que des produits dénaturé et enrichis synthétiquement. La pâté du commerce, c'est : - Des lipides, soit de la graisse (beurre avec du lactose potentiellement néfaste, palme, ou colza, ou tournesol, les graisses des plus pauvres en nutriments et oligo-éléments) - Des protéines (issus de produits à base d’œuf principalement, mais aussi de graines broyés, ou de préparations cuites comme les biscuit qui sont sans aucun apport vitaminique et minéral) - Les glucides, soit du sucre (souvent du miel, voir même directement du sucre, les miettes de biscuit et les graines en comportent) - des complexes vitaminiques et minéraux synthétiques (et encore, sur les pâtés de qualité, d'autres n'ont même pas cela). Ce genre de mélange permet seulement d'engraisser la femelle et le mâle, et évite leur épuisement physique. Cependant, les effets sont dévastateurs sur leur jabot (flore intestinale détruite, sans parler de la flore buccale), sur le foie (trop gras, qui s'épuise à épurer les nutriments complètements appauvris et altérés de graisse), les muscles (qui doivent travailler à puiser dans les réserves en vitamines pour synthétiser correctement ces glucides et lipides en énergie), l'ossature (les réserves en calcium s'épuisent car l'alimentation et carencé, la femelle doit donc puiser dans ses propres os pour libérer du calcium pour la calcification des oeufs, par la même occasion libérant du phosphores dans les urines) et enfin plus généralement les défenses immunitaires, qui seront amoindries et sur-sollicités. A cause de tout cela, elle va transmettre à ses petits une alimentation appauvries et inadéquate pour le pleine évolution et leur métabolisme. Ainsi, il développe des pathologies et infections qui peut causer malformation, retard de croissance ou la mort. Il est essentiel qu'une pâté d'élevage comporte les nutriments suivants : un apport de vitamines et minéraux (A, D et B principalement), essentiels pour la construction des cellules et leur bon développement ainsi que la croissance chez les petits, le renforcement des os et le renforcement des défenses immunitaires chez la maman comme chez les petits (fruits et légumes verts et orangés crus). un apport de calcium et phosphore (os de sèche en poudre, écailles d'huitre effrité, coquille d’œuf effrité, en plus des fruits et légumes, c'est associatif et complémentaire) pour la création des os solides chez les petits et le renforcement des os de la femelle (avec vitamine D et magnésium). un apport de protéines et oligo-éléments (œuf, un peu de pâté du commerce, germe de blé, levure de bière, germinations) pour la vitalité et permettre de fournir l'énergie nécessaire au développement des œufs et puis des petits sans pour autant épuiser la maman. un apport des indispensables enzymes, et probiotiques, (solution en poudre spéciale probiotiques, et germinations!!!), nécessaire à créer et maintenir une flore intestinale saine qui renforce les défenses immunitaire de la mère comme des petits et réduit donc fortement le taux de mortalité. Ces probiotiques, ou bonnes bactéries vont contribuer à la destruction des bactéries nocives et des microbes (donc cela élimine les potentielles infections dès leur arrivée) et surtout, ces bactéries vont faciliter le travail des enzymes pour la digestion et la synthétisation des vitamines (assimilation), et enfin elles produiront les bonnes vitamines (B majoritairement) favorables au développement des molécules, des organes, de la peau, des plumes et des défenses immunitaires, encore.Quant aux glucides et lipides de qualité, il seront apportés par des féculents et oléagineux cuits (à la vapeur pour conserver les apports vitaminiques), ou germés. ils permettront de maintenir la femelle dans un état de vitalité et d'énergie pour assurer sa couvée ainsi que les efforts de nourrissage. Une pâtée du commerce ne comporte rien de tout cela, seulement des glucides, lipides et protéines à l'état pur. Pour que la femelle synthétise cela en énergie, et en vitamines qui lui seraient propice, elle va devoir puiser dans ses propres réserves de vitamines A, B, D, magnésium, calcium, elle va donc fragiliser son organisme, affaiblir son ossature, et tout son métabolisme sera en insuffisance (ostéoporose, mal de ponte, épuisement, abandon de la nichée, mutilation ou auto-mutilation, mort des petits). Cela génère une faiblesse immunitaire et donc le taux de mortalité au nid est plus conséquent. Elle a plus de difficultés au nourrissage des petits, d'autant plus que ce nourrissage sera de maigre qualité. Lorsque la mère nourrit ses petits, il n'y a pas seulement un transfert de nourriture allant permettre le développement des petits. La mère ingurgite une alimentation qui doit être abondante, et riche de vitamines, minéraux, oligo-éléments, probiotiques, enzymes et protéines. Tout cela va permettre d'enrichir son métabolisme, remplir ses réserves des différents besoins énergétiques, et ses défenses immunitaires. Cela va permettre une création d'un œuf solide, que le calcium aura bien solidifié, qui va protéger le petit des agressions. Mais également, le liquide dans lequel il évoluera sera chargé en nutriments adéquates à son bon développement, déjà dans la coquille même. Puis quand il vient à naitre, la maman va utiliser les aliments qu'elle a ingurgité, mais également sa flore intestinale qui est directement en relation, avec la création de l'aliment régurgité (le fameux lait de jabot, qui n'est rien d'autre que les aliment ingurgité, dont les enzymes et bonnes bactéries de la flore intestinale ont travaillé pour les rendre optimaux en apports nutritifs). Cette régurgitation sera optimale et riche d'apports vitaminiques et autres pour l'oisillon si au préalable la maman a été excellemment bien nourrie. Et ce n'est pas la nourrir 1 semaine ou deux au préalable en abondance et qualité, mais plusieurs semaine, 4 à 6 étant idéal. L'oisillon qui est nourri va recevoir tous les nutriments nécessaire à son développement, sa croissance, et une croissance de qualité. De plus, cela va immédiatement lui générer une flore intestinale et buccale de qualité, avec de bonnes bactéries défenseurs et productrice de nutriments, enrichissant encore l'organisme, en plus de le protéger des infections. L'alimentation des parents reproducteurs, et donc des petits, est un des piliers essentiels de la réussite d'une reproduction, certainement le plus important ! Nos recettes Exemple de recette de pâté d'élevage faite soi-même : - graines germées (millet, alpiste, épeautre, gruau d'avoine, blé, chènevis, sésame) - Fruits et légumes crus en morceaux (carottes, épinards) - Féculents et oléagineux cuits (lentilles corail, riz complet, blé complet, quinoa) - poudre d'os de sèche / écailles d'huitre broyés - ajout de probiotiques / enzymes / germes de blé Recette de Martin : - 3 œufs durs - germinations - Un peu de carotte - de la pâtée commerciale mais très peu - poudre d'os de seiche, minéraux et coquilles d’œufs broyés - germe de blé avant de servir Alimentation complète et équilibrée : http://www.perruches.org/t15-l-alimentation-de-la-perruche-ondulee

Je découvre le sujet, on va pouvoir profiter de l'évolution ensemble Pour la pâté de reproduction, Martin a tellement raison. Tu dois la faire toi même. Personne ne devrait donner de la pâté du commerce tel quel. Il est essentiel qu'elle comporte des vitamines minéraux et oligo-éléments, que les apports que tu mettras dedans permettrons : - fruits et légumes verts et orangés cru pour les vitamines (A, D et B), essentielles pour la construction des cellules et leur bon développement ainsi que la croissance chez les petits, le renforcement des os et le renforcement des défenses immunitaires chez la maman comme chez les petits. - apport de calcium (os de sèche en poudre, écailles d'huitre effrité, coquille d’œuf effrité) pour la création des os solides chez les petits et le renforcement des os de la femelle (avec vitamine D et magnésium). - les protéines (oeuf, un peu de pâté du commerce, germinations) pour la vitalité et permettre de fournir l'énergie nécessaire au développement des oeufs et puis des petits sans pour autant épuiser la maman. - les enzymes, probiotiques, oligo-éléments (solution en poudre spéciale probiotiques, et germinations!!!), nécessaire à créer et maintenir une flore intestinale saine qui renforce les défenses immunitaire de la mère comme des petits et réduit donc fortement le taux de mortalité. Ces probiotiques, ou bonnes bactéries vont contribuer à la destruction des bactéries nocives et des microbes (donc cela élimine les potentielles infections dès leur arrivée) et surtout, ces bactéries vont faciliter le travail des enzymes pour la digestion et la synthétisation des vitamines (assimilation), et enfin elles produiront les bonnes vitamines (B majoritairement) favorables au développement des molécules, des organes, de la peau, des plumes et des défenses immunitaires, encore. Une pâtée du commerce ne comporte rien de tout cela, seulement des glucides, lipides et protéines à l'état pur. Pour que la femelle synthétise cela en énergie, et en vitamines qui lui seraient propice, elle va devoir puiser dans ses propres réserves de vitamines A, B, D, magnésium, calcium, elle va donc fragiliser son organisme, affaiblir son ossature, et tout son métabolisme sera en insuffisance (ostéoporose, mal de ponte, épuisement, abandon de la nichée, mutilation ou auto-mutilation, mort des petits). Cela génère une faiblesse immunitaire et donc le taux de mortalité au nid est plus conséquent. Elle a plus de difficultés au nourrissage des petits, d'autant plus que ce nourrissage sera de maigre qualité. Lorsque la mère nourrit ses petits, il n'y a pas seulement un transfert de nourriture allant permettre le développement des petits. La mère ingurgite une alimentation qui doit être abondante, et riche de vitamines, minéraux, oligo-éléments, probiotiques, enzymes et protéines. Tout cela va permettre d'enrichir son métabolisme, remplir ses réserves des différents besoins énergétiques, et ses défenses immunitaires. Cela va permettre une création d'un oeuf solide, que le calcium aura bien solidifié, qui va protéger le petit des agressions. Mais également, le liquide dans lequel il évoluera sera chargé en nutriments adéquates à son bon développement, déjà dans la coquille même. Puis quand il vient à naitre, la maman va utiliser les aliments qu'elle a ingurgité, mais également sa flore intestinale qui est directement en relation, avec la création de l'aliment régurgité (le fameux lait de jabot, qui n'est rien d'autre que les aliment ingurgité, dont les enzymes et bonnes bactéries de la flore intestinale ont travaillé pour les rendre optimaux en apports nutritifs). Cette régurgitation sera optimale et riche d'apports vitaminiques et autres pour l'oisillon si au préalable la maman a été excellemment bien nourrie. Et ce n'est pas la nourrir 1 semaine ou deux au préalable en abondance et qualité, mais plusieurs semaine, 4 à 6 étant idéal. L'oisillon qui est nourri va recevoir tous les nutriments nécessaire à son développement, sa croissance, et une croissance de qualité. De plus, cela va immédiatement lui générer une flore intestinale et buccale de qualité, avec de bonnes bactéries défenseurs et productrice de nutriments, enrichissant encore l'organisme, en plus de le protéger des infections. Je crois que je vais en faire un article. Quelqu'un peut me suggérer une de ses photos de pâté maison ? Très bonne continuation Gautier

Le chanvre c'est le cannabis (Cannabis sativa) En fait, quand on plante les chènevis (graines de chanvre) dans un sol, le PH de celui-ci doit avoir une teneur spécifique (et surement d'autres paramètres à surveiller), parce qu'après plusieurs générations de pousses de chanvre sur un même sol le PH évolue, ce qui induit une évolution du taux de THC (tétrahydrocannabino) qui lui est l'effet psychotrope recherché dans le Cannabis, pour l'utilisation en drogue (Cannabis Indica). La qualité initiale de la graine compte pour les résultats désirés. Les champs de chanvre sont extrêmement contrôlé, surtout les paramètres THC, qui dénoteront d'une utilisation licite (le chanvre pour les tissus, l'alimentation, les matières premières etc) ou illicite (consommation de marijuana, haute teneur en THC). Pour produire du chanvre, il faut se fournir auprès de l'organisme agrée. Si vous en avez chez vous, vous êtes susceptibles d'être contrôlé. Donc, si en faisant vos pousses de graines vous en avez, récoltez la première série de chènevis, graines délicieuses pour vos perruches, mais arrachez le plan et laissez votre sol s'assainir plusieurs mois avant d'en replanter. Ca évitera que le PH soit néfaste et que le taux de THC explose.