Margaux02

Merci! Gautier, c'est Momo qui sort du nid, Indie est tranquillement posée dessus.

Ok merci! Il me semble que j'avais aussi vu des faux végétaux à la foir'fouille. Ils étaient super, et diversifiés, donc il y a de quoi se faire plaisir! J'irai leur prendre des boîtes alors. C'est l'avantage de la campagne, on a l'embarra du choix, même si autour de chez moi il y a surtout du pin maritime. Je dois aller plus loin (en voiture) pour trouver du bouleau, du frêne et autre. Le paradis c'est chez ma grand mère qui a une panoplie d'abres fruitiers. En été je coupe des branches avec des fruits aux extrémités, les pioux s'en régalent! Bien sûre tu pourras te servir autant que tu veux!

J'ai décidé d'offrir une nouvelle organisation de l'espace des loulous, en leur proposant de nouveaux aménagements, toujours sans trop obstruer l'espace de vol. J'y vais petit à petit, je cogite, et même si je n'ai pas le temps de m'y consacrer entièrement... c'est plus fort que moi! Je pense qu'il était temps que je change certaines choses, ça faisait longtemps que je n'avais pas apporté de nouveauté. Hier je suis allée me balader en forêt et j'ai trouvé des tonnes de branches ramifiées (frêne) que j'ai donc ramené à la maison. Puis j'ai jeté un oeil chez Mr bricolage, ils avaient des cordes en chanvre et sisal, de la ficelle de lin (merci Marie) et d'autres petits trucs en osier, bien utiles. Alors toute la matinée (au lieu de bosser hum hum), j'ai nettoyé, installé les branches et renouvelé des accessoires. D'abord chez les gris. Pour l'instant, ils n'en disent pas grand chose... Mais j'ai bien compris que Momo n'était pas content! Du côté des touis, j'ai fais ma copiteuse... désolée Marie mais j'ai piqué les idées que tu avais eu pour faciliter la vie de ton adorable Darwin. Comme mes touis se font vieux, qu'ils commencent à avoir de l'arthrose et que Platine a énormément de mal à escalader, j'ai en roulé la corde de chanvre autour de la branche. Je voulais faire comme Marine, mettre des boîtes à creuser, et des faux buissons mais je n'en ai pas trouvé. Platine a tout de suite pigé le truc: Je leur ai fait un petit trajet avec la corde. Et enfin la volière des inséparables et calos. Je me suis juste contentée de mettre 2 branches ramifiées au fond. Mais je vais modifier d'autres choses, quand j'aurai plus de temps.

Oh, génial comme idées! Pour les caths c'est le top! Les filles, vous ne m'en voudrez pas j'espère, mais je prend des notes de vos superbes installations! Je vais revoir radicalement l'aménagement de mes volières.

Génial ce reportage, je l'ai vu la première fois quand il est passé à la TV sur arte il me semble, il y a plusieurs années. J'adore, j'adore, j'adore!

C'est sûrement ce qui a dû l'inciter à pondre si précocement, la stimulation et l'absence d'interaction, soit la frustration... Vite vite, un compagnon! Tu as d'autres perruches, qu'est-ce qui t'empêche de sortir un petit célib', ne serait-ce que pour un essai?

C'est vrai que leur cage est vraiment petite... Les gros perroquets ne sont pas moins actifs que les petits, s'ils en avaient la possibilité, ils le seraient autant! Pour te faire une idée Christiane, mes gris sont encore bien plus remuants que mes calopsittes! Ces dernières sont d'ailleurs plus remuantes que mes touis. Dans un ordre croissant d'hyper-activité: Catherines-calopsittes-gris du Gabon-inséparables C'est aussi ça le plus triste dans l'histoire, la taille de l'oiseau ne fait pas le besoin d'espace, puisqu'ils ont TOUS besoin d'espace! Nos oiseaux deviennent plus calmes par ce qu'ils y sont contraints, et non par ce que c'est dans leur nature. Quand je lis parfois sur le net ou dans les livres qu'un gris du Gabon est un perroquet calme... ben dis donc, s'ils avaient vu les miens au sommet de leur forme!

Un oeuf à 4 mois? Plutôt précoce la belle! Ce n'est pas un signe d'épanouissement psychologique, ta perruche doit peut-être entendre les autres. Il a été prouvé que le simple contact auditif avec les congénères pouvait encourager la ponte des femelles. Les oiseaux n'ont pas besoin de partenaire sexuel pour pondre, c'est bien connu avec les poules, pourquoi les autres seraient-ils différents? Le soucis c'est que certaines femelles sont des pondeuses compulsives, il faut donc anticiper par un régime alimentaire équilibré, et ne pas encourager par des occupations saines diverses et variées. Mais une fois qu'elles ont pondu, il est préférable de les laisser faire jusqu'à la prétendue date d'éclosion (même si l'oeuf est clair). Un congénère à ta petite serait le bienvenu.

Superbes photos, superbes oiseaux! tes caths... tes ondulées...

Je partage l'avis des filles... Il me semble te l'avoir déjà dit Pikouik, mais ils n'est pas nécessaire de donner systématiquement de la nourriture comme récompense, pour renforcer un comportement. Je donne souvent à mes gris de bêtes trucs à gruger, pour eux c'est que du positif. Mais c'est vrai qu'il faut leur apprendre à accepter ce genre de récompense non comestible, en particulier lorsqu'ils n'ont été habitués qu'à ça durant les entraînements. Parfois il suffit d'une belle parole, ou d'une caresse, mais il arrive (souvent) que ces renforçateurs n'aient pas autant d'impact que les friandises, en particulier pour les gourmands qu'ils sont! Comme les filles, de toutes petites miettes suffisent.

Comme avec toi Marie, mon véto m'a fait culpabiliser par tous les moyens pour que je passe mes petits perroquets (calos, inséparables et Catherines) aux extrudés. J'ai eu droit au discours sur le foie gras, avec une couche sur le picage, les dermatites et un zest de sensibilisation aux allergies. Je vous complètement Ok avec vous les filles! J'apporte mon petit témoignage perso: Mes gris sont aux extrudés, depuis plus de 4 ans, et c'est vrai que ces croquettes ont eu des conséquences positives sur leur aspect physique, en particulier sur leur plumage qui est particulièrement beau et soyeux. Et je suppose que leurs organes internes ont également moins souffert. MAIS! Côté comportement... la catastrophe! Mes gris se gavaient d'extrudés en moins de quelques minutes. Rassasiés, et un peu frustrés de cette nourriture fade et sans intérêt, ils se posaient sur un perchoir l'air de dire "bon, on fait quoi maintenant"? Les extrudés ne provoquent aucunement chez eux la motivation pour la recherche alimentaire. Pourtant mes gris sont très fan de tout ce qui est foraging. J'avais beau les encourager... mes gris passaient de l'hyper-activité à l'inactivité à cause des extrudés. En plus, Momo, qui est très gourmand (ex perroquet obèse) défendait avec hargne son bout de gamelle, dès que je proposais fruits, légumes et noix, Indie n'y avait plus accès. "Non, la bonne bouffe c'est pour moi"! Mes gris étaient sous-stimulés et s'ennuyaient. Comme tout perroquet qui s'ennuie, ils se sont adonnés à des activités de compensation pas franchement réjouissantes... Ils se sont sur-lissés les plumes, ils ne faisaient que m'appeler, ils n'arrivaient plus à s'occuper seuls... essentiellement. Et tout cela à cause de repas à la croquette fade! Dès j'ai remis les graines au menu, j'ai vu leur regard s'illuminer, comme des animaux qu'on affame et qu'on daigne enfin nourrir! Mes pauvres gris... Désormais je fais kiffe kiffe, je donne des graines, des extrudé et des aliments frais chaque jour. Mes gris sont motivés par la recherche des graines, mais comme j'en met peu, ils sont obligés de combler leur appétit par les extrudés et autres aliments frais. J'ai de la chance avec eux, par ce qu'ils ne sont vraiment pas difficiles, ils mangent de tout. Puis comme ils sont en volière extérieure, ils sont plus actifs, ils peuvent se dépenser, voler et détruire comme bon leur semble. Sans parler de l'énergie nécessaire à la thermorégulation, quand les températures sont basses. Donc avec les graines, ils peuvent y aller! En faisant le mixte ils reçoivent les bénéfices d'une alimentation aux croquettes, et ceux d'une alimentation aux graines. Il m'arrive en revanche, de les repasser exclusivement aux extrudés quand ils sont moins actifs, comme cet été, quand il a fait très chaud et qu'ils passaient leur journée à l'ombre se rafraîchir. Avec à côté, légumes et fruits frais à volonté! Parfois je laisse totalement tomber les croquettes, pour les stimuler davantage, où quand ils pratiquent des activités très intenses. Je suis à leur écoute et je m'adapte. Les extrudés, ok, mais avec modération. S'ils n'avaient que ça mes gris deviendraient dingues! Il m'est impensable d'envisager de nourrir mes petits perroquets aux extrudés, déjà par ce qu'ils sont bien plus actifs que mes gris, et je pense aussi que si la nourriture était monotone et fade, la cohabitation en volière ne se passerait pas aussi bien... Je suppose également que j'observerais tous les problèmes que j'ai rencontré avec mes gris. Quand ils sont frustrés, ils peuvent devenir exécrables entre eux et avec nous! Alors pourvu qu'ils soient gâtés et heureux, et tant pis pour le foie gras!

Voilà des nouvelles rassurantes, pas de corps étranger! Je suis soulagée pour toi et Rebecca! Ne soit pas honteuse, ne culpabilise pas, comme l'a dit Marie, la majorité des perroquets sont concernés! Et les cacatoès... n'en parlons pas! Ils sont plus difficiles que les autres, les rosalbins sont d'ailleurs les n°1 pour tous les problèmes d'accumulation de graisse et de foie gras! On a beau faire, tout se déglingue si vite dans leur organisme si sensible, si perfectionné, si réceptif et fragile... Mon véto m'expliquait qu'un perroquet nourrit à la cacahuète dans la semaine, avec pour alimentation de base des extrudés et des fruits, légumes frais, développera tout de même des problèmes d'excès de graisse, de foie gras, pour la bonne raison que leurs activités physiques sont bien moins intenses que dans la nature. Comme pour tout, je crois au juste milieu... les perroquets sont frustrés si l'alimentation est trop fade et monotone, de toutes façons.

Vivement les nouvelles! Et des bonnes! Courage!

Elles sont superbes tes calos Cécile! Quelles photos! On ne dirait pas qu'il y a eu un épisode picage!

Oh génial! Cela ne m'étonne pas, et je suis sûre qu'elles vont très vite progresser, sans que tu ne leur imposes quoi que ce soit.

Quelles nouvelles! Je suis de tout coeur avec toi, je te souhaite bien du courage. Pourvu qu'elle s'en remette!

Ses pattes ont toujours été grises, mais surtout elle a le plumage parsemé de noir. Ma pauvre Lutin, comme je l'aime si vous saviez!

Et oui Marine, je pense que si je veux continuer à les faire voler en sécurité relative, je ne dois plus les autoriser à vaquer où bon leur semble... Je n'ai pas envie de revivre ça... ma pauvre Lutin! J'en ai fait des cauchemars toute la nuit! En tous cas je peux vous dire que c'est grâce à Bluw que j'ai su ce qui lui arrivait, sans lui je n'aurais jamais pu savoir où elle se trouvait! Teigneux le Bluw, mais tellement intelligent! Une photo de ma poussiéreuse aujourd'hui, on voit bien qu'elle n'a pas la forme! Elle est très fatiguée, elle doit encore récupérer. Elle est quand même bien plus reconnaissable ce matin, après un bon bain!

J'ai longuement hésité à vous en parler, trop retournée, et encore sous le choc jusqu'à ce matin. Mais maintenant je sais qu'il faut absolument que je vous raconte... Hier matin, très tôt, un temps magnifique, pas un souffle de vent. Les 2 inséparables sont motivés. Je leur ouvre la porte et les voilà partis pour une belle et longue balade. Je les guette d'un oeil, j'ai confiance en leur vol, j'ai confiance en leur retour, je sais qu'il est assuré. Pendant 2 longues heures ils vont et viennent comme bon leur semble. Puis, il est temps de rentrer, car bientôt le vent va se lever, les conditions se détériorer. J'appelle, je siffle. Où qu'ils soient ils restent à portée d'ouïe, alors ils entendent et reviennent. Stupeur! Mauvaise surprise, un seul oiseau est de retour. Il s'agit de Bluw. Mais où est passée Lutin? Je vois que Bluw est anxieux, il regarde et appelle toujours dans la même direction. Il revient vers moi puis repart et semble comme m'indiquer le chemin. Je sens qu'il s'est passé quelque chose, Lutin devrait être là, auprès de nous. Pourquoi n'est-elle pas de retour? Je ne peux pas envisager l'idée qu'elle se soit perdue, quelque chose doit l'empêcher de rentrer! Bluw est fatigué, je le laisse se reposer tout en écoutant attentivement le bruit des oiseaux alentours. Je sais reconnaître un cri d'inséparable, malgré le brouhaha des étourneaux, les chants de merles et autres passereaux. Je fais un tour, j'appelle. Pas un son... mais où est-elle? Où est ma Lutin? Je suis inquiète, car je sais que si elle ne répond pas, c'est qu'il est arrivé quelque chose... Bluw ne serait jamais rentré sans elle! Pas sans une bonne raison. Bluw, requinqué, est de nouveau prêt à partir, alors je lui ouvre la porte et il s'en va, toujours dans cette même direction qu'il semblait m'indiquer auparavant. Je l'observe et le suis. Il s'arrête dans le quartier, non loin de notre maison, et se met à hurler. On dirait qu'il obtient une réponse de Lutin. Mon ouïe est moins bonne que la sienne, je n'entend rien... mais je sais que lui le peut. Il tournoie autour des mêmes maisons, il revient vers moi, et repart. Il hurle, je sens qu'il est paniqué. Puis le voilà posté près d'une cheminée, au sommet du toit d'une maison manifestement inhabitée... il regarde à l'intérieur et crie. Le message me semble clair: Lutin y est coincée! Que dois-je faire? Qui puis-je appeler? La maison est immense, comment y grimper? J'embarque Bluw (manquerait plus qu'il s'y coince à son tour) et rentre à la maison. J'appelle les pompiers, ils ne se déplaceront pas, les gendarmes encore moins! J'appelle des amis, ils sont prêts à m'aider, mais la maison est trop haute. L'entreprise trop risquée! Lutin semble près du sommet, impossible de la récupérer depuis l'intérieur! Je fais les 100 pas, je me mord les doigts, je pleure, je m'insulte de tous les noms possibles! J'avais l'impression d'être condamnée à devoir supporter la perte tragique de mon inséparable, bloqué au fond d'un tunnel sombre et poussiéreux... Je suis restée à l'attendre, à l'encourager... suppliant je ne sais qui, je ne sais quoi qu'elle trouve la force de s'en sortir elle même! Le vent souffle, la tempête est là. Désormais j'ai l'impression que tout est perdu, car même si elle s'en sort, arrivera t-elle à regagner la maison? Pas une seule seconde je n'avais envisagé un tel scénario! Puis, après 4 heures d'attente insupportable... un miracle se produit: Lutin sort enfin du gouffre! Elle est sale, à peine reconnaissable, mais surtout, elle est épuisée. Au somment du toit, elle a à peine la force de s'envoler, elle se laisse secouer par le vent violent qui souffle. Elle qui a tout donné pour en sortir doit encore fournir un dernier effort pour rentrer à la maison. Je l'encourage, je l'appelle. Elle me regarde mais ne vient pas. Je m'en vais pour l'inciter à me suivre, en direction de la maison, j'encourage mes autres oiseaux à siffler. Elle n'a pas la force de leur répondre, mais les écoute. Soudain elle prend s'on envole. Telle une feuille qui danse au gré des rafales, elle atteint tant bien que mal le jardin, le figuier, et enfin la volière. Encouragée par tous mes oiseaux, je l'appelle, elle se pose sur ma tête. J'en avais les larmes aux yeux, le coeur qui battait à toute allure! Enfin, instant magique qui me semblait tenir du rêve: j'entre dans la volière avec elle. Tout le monde est là, toute la famille au complet. Bluw l'accueille chaleureusement en lui régurgitant des graines. Pauvre Lutin fatiguée et déshydratée, elle en avait bien besoin. J'ai cru que je l'avais perdu à tout jamais. Ma petite Lutin, ma belle et téméraire Lutin. Je l'adore, je les aime tous tellement. Aussi triste et stressante fut cette expérience, malgré cet heureux dénouement. J'ai appris que les dangers en vol libre étaient partout, mais surtout là où on ne les attend pas! Maintenant je n'ai plus l'ombre d'un doute, l'espace dans lequel ils peuvent s'ébattre prend une place très importante quand on souhaite offrir la pleine liberté à ses oiseaux. Je sais désormais que le mien n'est pas assez sécuritaire pour des inséparables. Ils sont petits, vulnérables et de part leur nature ont tendance plus que tout autre oiseau à se mettre dans des situations délicates et potentiellement dangereuses. Je pense que Lutin a voulu simplement explorer cette caverne, comme toute femelle inséparable l'aurait fait. Je n'aurais jamais imaginé qu'une bête cheminée aurait pu avoir raison d'elle! Si vous savez comme je suis si contente d'un tel dénouement, inespéré. Je sais reconnaître mes erreurs, je réalise à quel point je ne suis pas prête à les perdre, et encore moins dans de telles circonstances! Ils ne jouiront plus de la pleine liberté de mouvement, à partir de maintenant je suis amenée à reconsidérer la pratique du vol libre avec eux et mes objectifs. Je me remet tout juste de mes émotions. Lutin m'a offert le plus beau cadeau qui soit en revenant saine et sauve parmi nous.

Aujourd'hui c'était l’apothéose! Sans doute la sortie la plus riche et mouvementée qu'ils ont vécu jusqu'à présent! Ils ont volé plus haut, plus loin et plus vite que toutes les autres fois! Aujourd'hui je peux vraiment dire que j'en ai eu des frissons, des émotions de joie et d'inquiétude mêlées! Qu'est-ce qu'ils m'ont fait vivre là? Ce fut grandiose, magique, inoubliable! Ils ont volé pendant près d'une heure sans s'arrêter! Ils sont allés chez les voisins, dans la forêt, près de la plage, ils sont allés partout autour de leur périmètre connu! Ils se sont littéralement éclatés, ils étaient heureux. Pendant ce temps j'ai observé, écouté et attendu. Sans m'immiscer dans leurs activités, j'ai juste contemplé ce fabuleux spectacle de 2 inséparables totalement libres, et heureux de vivre cette expérience! J'ai vu des inséparables sûrs d'eux, en excellente forme physique, et épanouis. Des inséparables curieux, explorateurs, entreprenants. Cette fois ils ont tout dirigé, ils ont fait comme bon leur semblait. Pas de rappel, pas de récompense, pas de bisous, pas de câlins. Juste 2 oiseaux libres, sans interaction aucune avec leur humain. Ils sont allés si loin qu'un voisin est venu me prévenir qu'ils étaient chez lui, dans son jardin. J'ai dû lui expliquer que c'était normal! Dès qu'ils en ont marre, ils viennent s'accrocher au grillage de la volière. Je sais alors qu'il est temps pour eux de rentrer. Un petit rappel et hop, les voilà sur ma tête, mon bras ou mes épaules. Je leur ouvre la porte, ils m'accompagnent sans bouger. Ils ont droit après cela à leur grappe de millet habituelle, mais aujourd'hui ils voulaient autre chose, ils voulaient juste que je reste là, auprès d'eux dans leur volière, à partager un moment câlin, un moment plein de confiance et de complicité. Je suis restée à les dorloter pendant 30 minutes. Mes inséparables EPP, dont les plus farouches sont même venus pour se poser sur ma tête, mes chaussures et mes épaules. Les calos étaient là aussi, à jouer avec mes vêtements. Le bonheur, ces 2 pioux me font vivre le bonheur.

Ils sont superbes! En effet c'est étrange cette cire proéminente chez Gaïa...

Pas de restriction avec les oiseaux! Tu dois lui proposer de la nourriture moins grasse mais toujours abondante. A t-elle été pesée par un véto? A t-elle les ailes taillées? Est-elle active la journée?

Génial! Excellente nouvelle!

Bonnes nouvelles! Vivement des photos de la nouvelle. Oui c'est possible, les hormones influent beaucoup sur le comportement, et il était très probable que c'est ce qui poussait Hélios à piquer.

Génial! Bravo à toi et tes belles! J'adore, ils sont superbes!