Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

Margaux02

Membres
  • Compteur de contenus

    2 141
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Margaux02

  1. C'est difficile Gautier, pourtant je n'aime pas m'éparpiller en étudiant de nombreux oiseaux différents en même temps. Cet oiseau est encore jeune, susceptible de changer. Ce ne serait peut-être pas raisonnable de le garder, vis à vis de mes autres oiseaux en particulier.
  2. Je comprend pour le bruit, bien qu'ils ne sont pas aussi bruyants qu'on le dit. Ils jacassent moins que les ondulées, je trouve. Dans un grand espace avec des occupations, la cohabitation se passe très bien. Mes inséparables s'entendent bien avec les calos. Pourtant ils sont 10, elles sont 6. Non non je ne suis pas en train d'essayer de te convaincre! Si je t'emmène Harvey, tu pourras le constater par toi même, mais je crains que quelqu'un me le vole celui-là. Tellement génial mon Harvey!
  3. Sa cire n'a pas une bonne couleur... Cela me fait penser qu'elle n'est pas âgée de 11 mois et qu'elle souffre peut-être d'un problème? Attendons les spécialistes des ondulées. Comme Marie, il faut impérativement un compagnon si tu veux qu'elle soit heureuse... elle ne le sera jamais si elle n'a pas de congénère. Même si tu t'en occupes nuit et jour! La prendre à la main comme ça, c'est le meilleur moyen pour qu'elle ne te fasse jamais confiance.
  4. Enfin le beau temps est là! Hier il faisait beau, mais trop de vent. Aujourd'hui les conditions sont idéales pour des sorties. Les pioux ne se font pas prier, et se sont éclatés comme des fous pendant plusieurs minutes, jusqu'à ce qu'ils veuillent rentrer dans la maison! Renter dans la maison, c'est assez nouveau!^^ D'habitude ils retournent vers la volière, mais là je crois qu'ils avaient envie de voir un peu les humains à l'intérieur. Bluw: Les 2 totos sur la véranda. Bon, tu nous ouvres? Petite explo à l'intérieur. Une fois qu'ils en ont assez de la maison, ils retournent dans l'entrée et attendent que je leur ouvre la porte. Ils partent comme des fusées, font le tour de la maison, passent chez le voisin, reviennent, repartent... il me faut de l'entraînement pour bien les prendre, ils sont si rapides! On les confond avec les figues mûres et ouvertes par les étourneaux.^^ Pffff, toutes mes photos sont floues! Et quand elles ne sont pas floues, elles sont incomplètes! Après toute cette activité, une mini sièste dans le figuier: Toujours des cris pour maintenir le contact avec les autres. Je suis très tentée de les laisser en liberté permente quand les conditions sont si bonnes, mais je n'ose franchir le pas... Ils sont si à l'aise, ma présence n'est plus nécessaire depuis longtemps maintenant... ils reviennent quand je les appelle, les rentrer en volière n'est pas un problème, ils ont repérés les lieux et sont complètement désensibilisés aux évènements susceptibles de les effrayés. Ils sont supers!
  5. Marie, je me dis qu'un jour je vais te faire craquer pour un petit couple d'inséparables! Aujourd'hui, il faisait très froid ce matin, mais le soleil tapant très fort, la température s'est très vite élevée. J'ai emmené la marmelade dans la volière, nouvel essaie d'intégration au groupe... verdict: très positif! Il a très vite compris qu'il ne devait pas trop embêter les autres et manifestement il se sent tellement mieux en compagnie des autres insé! Un EAM qui connait son identité et qui se comporte normalement, que demander de mieux? Je garde un oeil, mais pour le moment, pas de soucis.
  6. Non ce n'est pas trop tard pour l'apprivoiser, il n'est jamais trop tard! As-tu une photo? Tu devrais envisager de lui prendre un congénère rapidement, ce sera plus épanouissant pour elle et plus intéressant pour toi.
  7. Que dire Gautier, elle est superbe! C'est super qu'elle revienne vers toi. Par contre, prudence, tu dis qu'elle grimpe sur ton épaule. C'est une place à n'autoriser qu'avec les perroquets qui ont un comportement fiable et non agressif. Si elle ne revient à toi que depuis peu, tu devrais éviter de lui permettre d'y grimper. Simplement la garder sur ton bras, ou ta main. C'est l'occasion de reprendre des exercices au renforcement positif, rappel et up par exemple, afin de consolider le lien qui s'établit entre vous en passant un moment utile et ludique. Pour les plumes vertes sur la nuque, c'est tout à fait normal, ça peut apparaître et disparaître au fur et à mesure des mues. Ce sont les plumes décolorées ou hyperchromées qui doivent inquiéter. Contre le sur-lissage, tu connais la recette: alimentation, vaporisations, occupations. Continue de nous parler d'elle Gautier, j'adore!
  8. Il n'est pas vraiment "problématique", je prend beaucoup de plaisir à le rentrer dans la maison, c'est un amour cet oiseau! Mais il ne semble pas s'épanouir de la même façon que les autres, tout un cas d'étude. ^^
  9. Nelson est en volière depuis le début de l'été, son intégration fut longue, difficile, pourtant très progressive. Hier je l'ai rentré pour tenir compagnie à la marmelade, petit inséparable en attente d'être adopté et j'ai pu constater qu'il avait régressé, encore. Malgré le fait qu'il tolère plus ou moins bien congénères et inséparables, il semble comme enfermé dans une espèce de bulle. En volière il commençait à synchroniser ses activités avec le reste du groupe. Puis depuis plusieurs semaines il s'est crée son propre rythme, ses propres habitudes, sa routine, qu'aucun élément extérieur ne semble pouvoir perturber. Cela concordait d'ailleurs avec une recrudescence de cris d'appels, dès que je passe devant la volière, dès qu'il m'entend parler de l'autre côté de la rue, il appelle. J'ai constaté qu'il avait pris du poids, qu'il explorait peu, et qu'il volait moins bien qu'en intérieur. Nelson semble avoir récupéré quelques mauvaises habitudes d'antan! Point positif cependant, il semble avoir pris goût à la vie en extérieur, comme tous mes autres oiseaux et s'adonne volontiers aux exercices de foraging que je propose au groupe... à l'écart des autres. Le fait qu'il accepte plus facilement la compagnie de juvéniles me donne de nouvelles pistes d'intégration. Nelson sait qu'il est une calo, il est EPP socialisé, mais ne s'intègre pas auprès d'elles, même si leur présence ne le laisse pas totalement indifférent et lui est de toutes façons très bénéfique. Je pense le garder en intérieur, avec d'autres individus d'ici les jours qui viennent. Comme il semble plus réceptif en présence des humains, autant commencer par là. Le constat n'est pas très glorieux, mais pas catastrophique non plus puisqu'il n'est plus aussi agressif, intolérant et inactif qu'avant! Il continue de s'exprimer comme une calo, mais à sa façon... Nelson est un oiseau EPP qui a presque toujours vécu avec d'autres calos qui ne l'acceptaient pas dans le groupe. Le fait d'avoir été persécuté pendant une période de sa jeunesse (puberté) par ses congénères ne serait-il pas à l'origine de cet isolement social qu'il s'impose, et qui semble lui convenir? Le fait d'avoir été apprivoisé à cette occasion l'aurait-il conforté dans ces habitudes? Voire conforté dans son antipathie envers les calopsittes? Nelson est-il heureux? Tant de questions que je me pose à son sujet. En tous cas ce qui m'étonne c'est qu'il progresse très vite sans avoir à interagir avec ses congénères, et qu'en tant que perroquet d'intérieur, il se comporte comme un oiseau serein et bien dans ses plumes. J'ai noté qu'en volière était plus anxieux par période. Est-ce par ce qu'il est coupé du groupe humain ou est-ce la présence des autres oiseaux qui l'inquiète? Un nouveau plan d'attaque se profile dans ma tête. Je pense que Nelson peut très bien trouver son bonheur auprès de calos, mais il doit apprendre que les calos sont capables de le combler. Hier, quand je l'ai rentré dans la maison pour tenir compagnie à la marmelade, il semblait plus que ravie. Pas de cris d'appel, pas d'anxiété de séparation, pas de troubles du comportement. Neslon est heureux en intérieur, en compagnie des humains. Je ne peux pas croire qu'il puisse s'épanouir totalement de cette façon. Pourtant tout semble m'indiquer le contraire... Sacré phénomène ce Nelson!
  10. Adorables perruches! Dommage que tu aies dû la rattraper! Personnellement, avec les non apprivoisés récalcitrant je préfère insister avec un perchoir en bois et du millet en grappe. Ils finissent par céder et rentrer au bout d'un moment. Sinon il faut attendre qu'ils rentrent par eux même ce qui arrive tôt où tard quand on placer la cage bien en vue avec de la bonne bouffe à l'intérieur.
  11. Coucou Cathy, Je pense que si ton Coco au est aussi frileux c'est probablement par ce qu'en effet il n'est pas habitué aux très basses températures, à des variations plus importantes. Depuis tant d'années, il est normal que tu observes cette intolérance. Personnellement, je n'ai jamais fais très attention avec mes gris, par ce qu'ils adorent profiter du soleil, quelque soit la température de l'extérieur. Même en plein hiver, ils réclamaient les sorties au jardin. Donc je les sortais et dès que je sentais qu'ils avaient eu leur dose, je les rentrais. Il faut évidemment éviter les variations trop importantes, de les sortir quand il y a trop de vent, mais il ne faut pas non plus être excessivement prudent et protecteur. Plus on fait attention, et plus ils deviennent sensibles et intolérants. Etre prudent, c'est bien, mais il ne faut pas non plus l'être trop. Il y a un juste milieu à tout. Dans la nature, ils sont exposés à toutes les conditions. En captivité, ils n'ont pas la même résistance, ni un système immunitaire aussi performant, mais les faire vivre en milieu hyper-conditionné et stérile peut être néfaste (et sous stimulant). Aujourd'hui il fait très froid mais le ciel est bleu, les perrok' sont en forme, et il n'y a pas un souffle de vent.
  12. Je ne me pose pas trop de questions pour le moment. Je vais l'emmener moi même chez sa propriétaire, et je prendrai ma décision sur place. C'est une personne que je connais très bien. Je me déplace aussi pour voir ce qu'il en est de la conure rupicola que ma tante lui a donné.
  13. Depuis que j'ai cédé les 2 jeunes inséparables EPP, le pauvre rescapé se retrouve tout seul. Je devais l'emmener chez sa nouvelle propriétaire aujourd'hui, mais elle a eu un empêchement, cela se fera donc dans les jours qui viennent. Pour pallier à cette solitude momentanée, je l'occupe, le sort quasi en permanence et le garde en présence des autres inséparables autant que possible. Malheureusement pour lui, ces derniers ne l'acceptent pas. Il n'y a que Harvey qui le tolère. Mais il vit mal de rester auprès de ce jeune bout en train dans la maison. Situation difficile pour ce petit bleu! Dans un élan de désespoir je me suis mise en tête de rentrer l'oiseau susceptible d'apprécier cette situation de perroquet d'intérieur. Et il n'y a que Neslon, calo EPP hyper apprivoisée, qui pouvait répondre à mes attentes. Sauf que mr calo est mal luné avec ses congénères, alors les inséparables n'en parlons pas! Mais je n'en pouvais plus de voir le petit loulou bleu couiner, appeler et anxieux. J'ai donc embarqué le Neslon, tout content de retrouver l'intérieur de la maison ( ). Aussitôt le petit insé a changé du tout au tout! Il avait beaucoup plus la pêche, il était enfin serein. J'avais peur que le contact ne passe pas avec Neslon, mais quelle ne fut pas sa réaction? Neslon l'a tout simplement "pris sous son aile", comme un parent! Alors qu'il n'avait jamais exprimé la moindre empathie envers un congénère auparavant! Nelson, lui qui déteste être approché par un oiseau à moins de 30 cm, qui n'a peur de rien, qui n'hésite pas à attaquer, lui qui déteste explorer et partager sa nourriture avec un congénère. Je n'en reviens tout simplement pas! Je pense qu'il a compris qu'il s'agissait d'un juvénile et qu'il devait faire preuve de tolérance, mais je n'en attendais pas autant. Neslon semble même prendre du plaisir à être avec ce petit bout actif, innocent et qui a soif d'apprendre! Mais ça reste à confirmer. Du côté de l'inséparable en tous cas, sa présence lui est très bénéfique. Preuves à l'appui! Partage du millet: Le petit rescapé, je l'appelle ma "marmelade" par ce qu'il est d'une douceur extrême, un peu "niais" sur les bords, trop touchant ce petit.^^ Il est toujours levé du bon pied, la joie de vivre incarnée! Nelson lui a même chanté une petite sérénade. Un grand honneur! Ils m'ont fait tellement rire tous les 2! Nelson adore aller par terre, naturellement la marmelade le suit, et prend un malin plaisir à essayer de lui choper la queue! Quel fou rire! Et le plus drôle c'est que le petit insé invente des stratégies pour attraper la queue sans se faire repérer, en se cachant hors de sa vue et en déboulant à toute vitesse! Le pauvre calo, harcelé, le prend plutôt bien, il ne fait que souffler et s'éloigner. Il a bien compris que les intentions de l'inséparable n'étaient aucunement agressives! Je l'adore ce loulou, sacrée calo. Et puis, qu'elle est curieuse la marmelade, depuis que Neslon est là, elle prend des initiatives... un peu risquées! Le chat en ferait bien son casse croûte. Je vous laisse imaginer ce qu'exprime le chat sur cette photo. C'est très agréable de voir enfin Neslon s'intéresser ou ne serait-ce que tolérer un autre oiseau, qui plus est d'une autre espèce que lui à proximité direct de son territoire et de sa nourriture. J'ignore si ça peu durer, mais j'en viens à hésiter à me séparer de cette petite marmelade adorée!
  14. Les individus du genre Agapornis cohabitent très bien puisqu'ils communiquent de la même façons et partagent les mêmes besoins. Mais seule une cohabitation en cage/volière spacieuse est possible, quelque soit le mélange.
  15. Coucou Cathy! Les perroquets supportent très bien les basses températures, leur plumage et leur constitution ne diffèrent pas beaucoup des oiseaux de nos régions. De nombreuses espèces vivent dans les hauts plateaux, voire en montagnes, sous la neige et la glace. Même si ce n'est pas le cas des gris du Gabon... Mes autres petits pioux passent l'hiver dehors sans problème, du moment qu'ils soient bien abrités du vent et des coups de froid. Je n'ai jamais déploré le moindre petit soucis lié au froid. Mais ce que je peux t'assurer, c'est qu'il est imprudent de le faire sans préparation préalable (acclimatation dès le printemps) et que les basses températures ne leurs sont évidemment pas agréables. Cela dit, leur état psychologie et physique est bien meilleur quand ils passent l'hiver dehors que lorsqu'ils restent dans la maison, où l'air est trop sec, les températures trop stables, ce qui peut déséquilibrer leurs rythmes circadients (journaliers) et circannuels (périodes hormonales plus précoces et plus longues, mues asynchrones). Je vais bien les observer de toutes façons, si je constate le moindre signe d'inconfort, je prendrai la bonne décision. Ils sont bien plus équilibrés dehors que dedans.
  16. Margaux02

    Titou nous a quitté

    Désolée pour Titou. Bonne nouvelle pour Rebelle!
  17. Les quaker ne sont pas faciles à trouver en France. En EPP tu tomberas surtout sur des adultes qui vivent en volière et destinés à la repro. Il serait dommageable d'enfermer de tels individus en cage. Ils sont en outre assez bruyants (si ce n'est plus que les aratingas) et sujets aux troubles du plumage (picage fréquent). Il me semble donc que ce sont des oiseaux sensibles, mais forts intéressants. Leurs comportements diffèrent des autres conures, des autres perroquets en général. Pour en avoir observé à l'état sauvage, ce sont des oiseaux vraiment fascinants. Les pyrrhuras sont plus faciles à trouver en EPP et MAN.
  18. Certaines espèces sont vraiment difficiles à épanouir, et la taille joue beaucoup puisque dans un même espace toutes n'auront pas les mêmes opportunités de mouvements, d'occupations, d'explorations. Les youyous sont petits, mais pas moins compliqués que leurs cousins les gris du Gabon, avec lesquels ils partagent de nombreux points communs (ces 2 espèces peuvent d'ailleurs s'hybrider). Méfiance avec les poicephalus, petit perrok' ne veut pas forcément dire petit caractère. Les conures sont sans doute moins délicates, et plus faciles que les africains.
  19. ça y est, les 2 EPP sont partis. Je ne suis pas inquiète du tout, la personne qui les prend est une amie qui travaille avec moi en biologie donc j'aurai des news sans arrêt et des photos. Que demander de mieux? Finalement je garde le petit bleu un peu plus longtemps, car hier il s'est cassé une griffe--> hémorragie et aujourd'hui il a du mal à poser sa patte. Je ne compte pas le garder pour autant, j'ai trouvé une personne qui saura très bien s'en occuper et qui a un autre inséparable en mal de compagnie.
  20. Et encore, je trouve que 4 heures à consacrer ce n'est pas beaucoup... je consacrais bien plus que 4 heures à ma grise! Ce qui n'était pourtant pas suffisant pour elle...
  21. Je pense qu'à ton âge, et peu importe les connaissances que tu peux avoir, il n'est pas raisonnable de viser des espèces aussi délicates que les aras. Tu es encore à l'aube de ta vie, tu vas peut-être poursuivre ton cursus scolaire, faire des études, donc être un peu piégée pendant plusieurs années. Tes perroquets ne pourront pas t'accompagner durant tes études, si tu es pensionnaire ou si tu vis en appartement, en collocation. A moins que tes parents soient très tolérants et qu'ils aient envie de s'en occuper, et de bien s'en occuper pendant ton absence (comme le font les miens), il n'est vraiment pas responsable d'opter pour ces espèces. J'ai eu mon premier gris du Gabon à 14 ans, et je l'ai regretté dans le sens où ma grise a énormément souffert de mon inexpérience et de mon erratisme (études oblige). Cela ne fait que quelques années que ma grise remonte enfin la pente en se comportant sainement, auprès de son congénère. Ils vivent en volière extérieure, ce qui est à mes yeux l'environnement le plus stimulant et épanouissant. D'ailleurs, depuis qu'ils sont dehors en permanence ils sont fait des pas de géant. Il faut prendre en compte tous ces paramètres, ton avenir avec eux en particulier. Comme l'a dit Marie, je pense que les aras ne peuvent être heureux que si on pratique le vol libre/liberté contrôlée avec eux.
  22. Outre l'espace, le budget, la disponibilité et l'expérience que nécessitent l'acquisition de tels perroquets, il faut également pensé aux autorisations de détention. Il me semble que le maintien de aras chloroptères, comme les nobilis par ailleurs (bien que la législation dépende des régions), demande une autorisation de détention à faire auprès de services vétérinaires. Le budget est énorme, avec tous mes oiseaux, il me semble dépenser en moyenne près de 100 euros par mois (en comptant bouffe, extrudés, jeux, soins particuliers)... Dernièrement j'ai déboursé 150 euros pour faire l'abri de mes gris, 50 euros de nouveaux jouets et 80 euros de nourriture de qualité (extrudés)... en 1 mois il m'arrive de dépenser plus, et d'autres fois beaucoup moins. 100 euros, c'est la moyenne que j'ai fait sur une année. Mes parents m'aident pour 5 à 10%. Le reste, c'est moi. Je suis étudiante, je ne gagne pas un rond, mais quand on est un peu siphonnée de la tête et raide dingue de ces animaux, il n'y a qu'eux qui comptent. Ce que mes amis dépensent en vêtements, nourriture et loisirs... moi je le dépense pour mes pioux. Finalement, ce ne sont pas les jouets qui reviennent cher (on peut faire des jouets efficaces avec un rien), c'est surtout la nourriture: extrudés, noix, aliments frais et bios! On ne peut pas passer à côté! Je connais des gens qui dépensent 400 euros par mois pour leurs perroquets.
  23. Ne t'inquiète pas Christiane, lors que le jabot est bien rempli il arrive que cela expose quelques parties de peau naturellement dénudées.
  24. S'il vient de sortir du nid, alors pas d'inquiétude, les parents ont dû le gaver!
  25. On dirait en effet que son jabot est bien rempli. Il faut voir comment son ses fientes, pour connaître l'état du transit. Mais à priori (en particulier si tu n'observes aucun abattement), rien de grave.
×
×
  • Créer...