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Anatole1

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  1. Echec complet ! Les oeufs étaient fécondés, mais les canetons n'ont pas eu la force de sortir. Nous les avons aidé, mais ils n'étaient pas viables. Nous recommencerons, mais si j'ai bien compris la variété bicolore (fauve-blanc) est très rare en France. Je connais un éleveur mais j'en cherche un autre pour éviter des sujets trop consanguins. En connaissez-vous un ? Merci encore pour votre aide.
  2. Oui, j'ai une couveuse à retournement automatique. Je déduis de ton message qu'il est important de sortir les oeufs de la couveuse pendant 20 mn tous les jours et de les laisser durant tout ce temps à température ambiante. J'en déduis également qu'il faut, avant de les replacer dans la couveuse, les asperger d'eau tiède et cela de préférence une fois par jour.
  3. Je reviens vers vous avec une nouvelle série de questions. Notre couveuse est dans une maison de campagne et nous ne pouvons y aller que tous les deux jours ou trois jours. L’aération des œufs et l’aspersion d’eau tiède signalées sur ce forum par Agdeton est-elle indispensable ? Peut-on espacer un peu l’opération ? Si j’ai bien compris, à J25, on doit arrêter le retournement et augmenter l’hygrométrie exactement comme pour les poussins. A quelle date se déroule l’éclosion ? A J28 ou à partir de J28 ? La personne qui m’a donné les œufs m’a signalé qu’en raison d’une assez forte consanguinité, il fallait aider le caneton à sortir de l’œuf s’il n’y arrivait pas tout seul 24 heure après avoir bêché. Qu’en pensez-vous ? Merci encore pour votre aide !
  4. J'ai mis à incuber dans une couveuse Brinsea Octagon 20, trois œufs de coureur indien. Si j'ai bien compris, l'hygrométrie et la chaleur doivent être les mêmes que pour des poussins : 37.4 à 37.6 et 40 à 50%. Pouvez-vous me confirmer ces informations ? Pouvez-vous me dire combien de temps dure l'incubation (25 à 26 jours, je crois) ? A partir de quel jour faut-il enlever les séparateurs dans la couveuse, arrêter le retournement et relever le taux d'hygrométrie ? Merci pour vos conseils.
  5. Je vous invite à regarder deux films sur la couvaison naturelle : - le premier montre l'élaboration du nid et la gestion des oeufs lors de la couvaison : http://www.sfrs.fr/index.php?page=fiches,view,1363,10,7,470,,,,25 - le second analyse les relation de la poule avec ses poussins : http://www.sfrs.fr/index.php?page=fiches,view,128,10,7,470,,poules,, PASSIONNANT !
  6. Anatole1

    sale clébard !!!

    Cet été les chiens de mon voisin m'ont tué 18 poules landaises. Tout notre travail de sélection foutu en l'air ! J'ai clôturé notre airial avec une clôture électrique (6 fils dont le plus bas au ras du sol). Cela semble efficace ! C'est bien plus économique que le grillage -surtout pour les grandes surface ! C'est également plus discret !
  7. Voici un petit bilan de notre première couvaison artificielle. Précisons qu’il s’agit d’œufs de poules landaises conservés dans des conditions extrêmes : pondus par temps très froid, ramassés après une ou deux nuits de gelée, conservés durant une longue durée. Nous avons retenu 22 œufs que nous avons partagée en deux lots identiques avec une équitable répartition par durée de conservation. Le premier lot de 11 œufs a été placé sous une poule qui venait de se mettre à couver*. Le deuxième lot a été placé au même moment dans une couveuse Brinsea Octagon 20. Le résultat est le suivant : Couveuse : - 4 œufs clairs - un œuf non éclos (poussin à moitié formé) - un poussin mort après éclosion complète - 5 poussins en parfaite santé Poule : - deux œufs ont disparu (cela reste une énigme, nous n’avons pas retrouvé de trace des coquilles) - 5 œufs clairs - 1 non éclos avec un poussin à moitié formé - 3 poussins en parfaite santé Nous avons observé, sans surprise que les œufs conservés plus de 10 jours étaient généralement clairs. Par contre, les éclosions sous la poule ont été beaucoup plus tardives (J23) que celles dans la couveuse (J21 9h 11h 15h et J22 8h 12h 13h). Après un court séjour en éleveuse, nous avons placé les poussins sous la clouque qui les a acceptés à J22. A ce propos, je précise que nous utilisons deux poules non landaises comme couveuse. La première poule nous a été donnée parce qu’elle passe son temps à couver. Elle pond beaucoup (un œuf par jour) et enchaîne les couvaisons. Cela ne nous pose pas de problème puisque ses œufs sont facilement reconnaissables (beaucoup plus gros et foncés que ceux des landaises). Au printemps dernier, nous avons gardé une de ses filles pour voir si elle avait le même atavisme. Et nous n’avons pas été déçus : même capacités à pondre et à couver (elles a entrepris sa première couvaison en mars). Je laisse ce bilan à vos commentaires. J’aimerais bien comprendre pourquoi l’incubation a été plus longue sous la poule que dans la couveuse. Quant au taux de réussite inférieur sous la poule, on doit pouvoir l’expliquer par la mauvaise qualité des œufs et les conditions atmosphériques de la couvaison. Qu’en pensez-vous ? Cordialement,
  8. Je viens de me lancer dans l’incubation artificielle à l’aide d’une couveuse Brinsea Octagon 20. Cette couveuse est installée dans ma maison de campagne et j’ai dû m’absenter durant une semaine entière. Gestion de la température Après essai de la couveuse, j’ai constaté que les chutes de température de la maison (je ne chauffe pas en semaine) n’avaient aucune incidence sur la température de la couveuse. Pourtant la température de la pièce pouvait passer de 19 à 11° durant la semaine. Le thermomètre de la couveuse indiquait systématiquement 37.6°. Il n’est tombé qu’une fois à 37.4°. Gestion de l’hygrométrie Là, j’ai tout de suite constaté que, sans eau dans les bacs, le niveau d’hygrométrie se situait à environ 34% d’humidité relative, dans un local présentant un taux d’humidité moyen d’environ 60%. Il m’a fallu remplir les deux bac pour obtenir un taux d’environ 40 %. Devant m’absenter une semaine, j’ai dû trouver un dispositif pour alimenter en eau les réservoirs de ma couveuse. Comme j’avais lu quelque part qu’un éleveur utilisait une perfusion, je m’en suis procuré une. Voici le dispositif que j’ai réalisé : - sur une pointe au plafond, j’ai fixé une cordelette se terminant par un crochet ; - sur le crochet, j’ai fixé un flacon en plastique de chlorure de sodium acheté en pharmacie, sur lequel j’avais, au préalable, pratiqué un trou afin d’en vider le contenu pour le remplacer par de l’eau distillée (capacité totale d’environ 0.7 l) ; - dans ce flacon, à l’endroit prévu, j’ai enfoncé la perfusion après avoir fermé le tuyau par pincement à l’aide du dispositif prévu ; Dispositif de fermeture - au bout de la perfusion, j’ai fixé un morceau de tuyau servant, en aquariophile, à alimenter les aquariums en air ; - sur un coté du couvercle de la couveuse (le cache en plastique noir pouvant être remplacé par un thermomètre humide) j’ai percé un trou de la taille du tuyau afin de ne pas avoir de déperdition ; - dans ce trou, j’ai introduit le tuyau que j’ai muni d’un embout légèrement inférieur à la taille de la grille de support des oeufs, afin qu’il s’y emboîte (au centre de l’espace qui sépare les deux récipients) et ne se déplace pas durant le retournement des œufs (matériel d’aquariophilie) * ; - j’ai ensuite réglé de dispositif de régulation du débit de la perfusion pour obtenir un remplissage des réservoirs afin de compenser l’évaporation de l’eau (exprimé en millilitres par heure : ml/h). Régulation de l’approvisionnement en eau Pour la période d’incubation : Le débit dépend du modèle de la couveuse, de la température et de l’hygrométrie de la pièce. En clair, chacun doit faire ses calculs. La meilleure façon de procéder me semble être la suivante : Calculer la contenance du ou des réservoirs en ml : c (pour une Octagon 20 : 150 ml x 2 = 300 ml) Calculer le temps qu’ils mettent à s’assécher en heures : t (pour moi environ 3 jours soit 72 heures) Calculer le nombre de ml qui s’évaporent en une heure : c / t (pour moi : 300 ml / 72 h = 4 ml/h) Régler le débit de la perfusion en fonction de ce calcul. Pensez à vous assurer que le dispositif fonctionne parfaitement à l’aide du goutte à goutte et des graduations du flacon. Pour les couveuses Brinsea Octagon, en cas d’erreur, le surplus d’eau est évacué par les trous d’aération situés sur le fond. Il suffit de placer la couveuse sur un récipient destiné à recevoir un éventuel débordement. Pour ma part, je préconise un réglage entre 5 et 10 ml/h pour la période d’incubation (Octagon 20). Pour l’éclosion Chez moi l’Octagon 20, même avec les deux réservoirs pleins (voire archi pleins et débordants) et l’aération réduite au minimum, il ne m’a pas été possible de dépasser les 42 % d’humidité. J’ai dû placer deux éponges humides dans la couveuse pour obtenir un taux d’environ 80%. Les deux éponges se touchent et, sur l’une d’elles, s’écoule l’eau déminéralisée de la perfusion qui les maintient constamment humides (hygrométrie constante à 80%). Pour obtenir ce résultat, je préconise un réglage du débit de la perfusion à environ 15-20 ml/h (toujours pour une Octagon 20). A 30 ml/h, le dispositif débordait sans pour autant obtenir un taux plus élevé. Il va de soi que j’affinerai ces calculs au fur et à mesure des couvaisons. Le dispositif fonctionne parfaitement. Il est permet de lancer une couveuse même si on doit s’absenter pendant quelques jours. Il permet de remplir les bacs sans avoir à ouvrir la couveuse et de limiter les ouvertures aux opérations de mirage et préparation de l’éclosion. Il permet de conserver au dispositif d’humidification une propreté absolue, tout en limitant les risques liés à l’utilisation de l’eau sur une alimentation électrique. Je livre ces résultats avant l’éclosion car les œufs que j’ai mis à incuber ont été ramassés en hiver après avoir passé une ou plusieurs nuits dans le nid avec des température pouvant descendre en dessous de 0°. De plus, ils ont été stockés environ 8 jours dans des milieus très différents (avec de fortes variations de températures). Dans ces conditions, il ne me semble guère possible de tirer des conclusion du taux de naissance. Par contre, les mesures que j’ai pu effectuer me semblent fiables. J’ai contrôlé l’hygrométrie avec le dispositif Brinsea (comparaison d’un thermomètre humide et sec) ainsi qu’avec un hygromètre à cheveu. Merci de ma faire part de votre expérience et de vos remarques. Cordialement * Au départ, j’avais opté pour un T avec deux tuyau à l’intérieur de la couveuse afin d’alimenter les deux réservoir. J’ai renoncé à ce système qui ne donnait pas satisfaction.[u]
  9. Je viens de recevoir ma couveuse Brinsea Octagon 20. La période d'essai me laisse penser que contrairement à ce qui est indiqué sur le mode d'emploi, il faut remplir un bac d'eau pour obtenir une hygrométrie d'environ 45% -même dans une pièce dont l'hygrométrie est de 65 %. Par contre, malgré la faible température de cette pièce (13) -il s'agit d'une maison de campagne non chauffée la semaine- la couveuse a rapidement atteint la température préréglée en usine : 37.4° ! Je vais avoir besoin de votre expérience -et notamment, celle des possesseurs de couveuses Octagon- car je découvre l'incubation artificielle. Ma première question sera celle-ci : le mode d'emploi explique qu'on peut disposer, dans la couveuse, les oeufs sur le côté, soit "pointe en bas". Je suppose que le côté le plus fin doit être en bas et la poche d'air (qui est, je suppose sur le gros bout) en haut. Ais-je bien compris ? Que conseillez-vous ? Cordialement,
  10. Je ne manquerai pas de vous tenir au courant. J'ai hésité pour le modèle 40, (j'en ai raté une sur Ebay et un autre support Internet), mais mon élevage n'a pas vocation à prendre beaucoup d'ampleur. Alors, un petit modèle suffira ...
  11. Hélas, pour ce qui est de mon éleveuse, je puis t'assurer que le jeu n'en vaut pas la chandelle -à moins de bricoler un dispositif avec les moyens du bord. Mais, quand on compte l'achat du profilé, du grillage, de la tôle, de la mangeoire, de l’abreuvoir, de l’éleveuse et de l’ampoule, on dépasse allègrement les 109 € du matériel proposé par la ferme de Beaumont (sans compter la visserie et tout ce à quoi on n’a pas pensé comme charnières etc.). Maintenant, si je réalise la même chose en bois avec du grillage de récupération et une douille avec une ampoule électrique, je peux effectivement m’en tirer pour beaucoup moins cher !
  12. Merci pour vos conseils sur ce forum et par téléphone. J’ai finalement opté pour une couveuse Brisea octagon 20 avec hygromètre à voie humide et l’éleveuse proposée par la ferme de Beaumont. J’avais envisagé de construire moi-même une couveuse mais je me suis vite aperçu que cela me serait revenu aussi cher. Je ne vais donc pas tarder à me lancer dans l’aventure de l’incubation artificielle (jusqu’à ce que les chiens de nos voisins tuent nos couveuses, nous étions des adeptes de l’incubation naturelle).
  13. Merci pour ces précieux conseils ! Je n'ai aucune expérience en la matière.
  14. Après avoir envisagé l'achat d'une couveuse Brinsea Octagon 20 ou 40 (merci aux membres de ce forum qui m'ont donné leur point de vue), j'envisage maintenant une BRINSEA HATCHMASTER. Quelqu'un connaît-il ce matériel ? Son intérêt me semble résider dans le faut qu'il n'y a pas de ventilateur (préférable lors de l'éclosion afin de ne pas dessécher les membranes et pour la maîtrise de l'hygrométrie), mais je me demande si en contrepartie, il ne faut pas, malgré le retournement automatique, changer les oeufs de place pour palier les différences de température entre le centre et la périphérie de la couveuse. Qu’en pensez-vous ? Cordialement,
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