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Dans les tournants, c'est plus facile à gérer (enfin, je trouve) : Jaya passe au trot quand je lui demande et repasse au galop en fin de virage 1 seule chute à déplorer : je me suis arrêtée pour féliciter Jaya ( ça faisait 2 mois qu'elle n'était plus venue en vélo avec moi) et je n'ai pas réussi à déclipser une des 2 pédales
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Je viens de tester avec Jaya, c'est super sympa (dans 10 cm de neige, hein, pas 50) quelques observations : - les pédales automatiques, ça gèle - quand elles sont gelées, c'est plus dur de déclipser - les ornières recouvertes de neige, c'est galère - un chien qui écoute, c'est TOP ! (encore mieux quand il passe au trot en-dessous de 20km/h )
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La laisse peut faire au maximum 2m50 en extension, mesuré à partir du vélo (comme à l' ECF) Les laisses vendues en belgique pour le bike font 2m50 en extension. La seule différence concerne ceux qui attachaient une laisse de 2m (canicross) au mousqueton, mais (à confirmer une fois le règlement traduit et publié ) rien n'empêche d'allonger l'élastique de 2m avec une corde attachée au cadre (je crois que Manu Grisius fait comme ça) Le directeur sportif trouve qu'on a une meilleure maitrise du chien en cas de problème: si la flèche est mal attachée ou casse, le chien reste attaché au vélo, on peut réagir plus vite aussi en cas d'écart du chien. Pour le 29', aucune idée, le reglement précise seulement que les gardes-boues métalliques sont interdits. mais comme ça reste un vtt, il ne devrait pas y avoir de problème. (l'UCI l'autorise en course, non ? )
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celiu qui m'a revendu la 18' entrainaient 3 greyster ensemble, avec 2 v-brakes car plus léger que les disques. J'ai eu un mini-problème quand il a remplacé le v-brake à l'avant par un disque : le diamètre du disque ne correspondat pas à l'étrier. J'ai fait plusieurs entrainements uniquement avec le frein arrière, aucun problème (et maintenant, j'ai un joli disque de 180mm, mais pas encore testé) Je suis d'accord avec Mélanie : si le chien décide de te trainer, ce n'est pas 2 malheureux bout de métal qui vont l'arrêter. Je me souviens d'une fille qui avait les 2 roues de son VTT bloquées, mais dont le chien continuait à la faire avancer (et c'était à plat, pas en descente)
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je n'aime pas trop le principe de devoir repasser la laisse dans l'anneau : ça crée un angle, avec les flèches en nylon (les blanches avec le scratch), il y a moyen de plier la flèche pour que la longe élastique soit droite Autre question : peut-on regler l'inclinaison de la flèche (haut-bas) ? ou est-elle forcément horizontale ?
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Marie-Pierre et son site internet magique 1° Est-ce que Jaya aurait apporté quelque chose de bien pour la race ? Elle a super bon caractère ( c'est le plus important), ses feux et ses oreilles auraient probablement compensés ceux de Virgile, mais après ? C'est une chienne de compagnie : elle ne travaille pas vraiment, ne rafle pas tout en expo, ... 2° Il faut arriver à caser tous les chiots (s'il y en a 5, ça va, s'ils sont 13, c'est déjà plus difficile, même avec un affixe) 3° On s'imaginait mal laisser les chiots seuls la journée, mes parents travaillent, Géraldine et moi avons des cours obligatoire, pas facile de s'organiser 4° Jaya est la chienne de Géraldine, et Géraldine ne voulait pas la faire reproduire (peur d'un accident, ce que je peux comprendre)
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rhabdomyolyse/ coup de sang
Fax a répondu à un(e) sujet de Kinya-passioncanicross dans santé/soin/alimentation
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rhabdomyolyse/ coup de sang
Fax a répondu à un(e) sujet de Kinya-passioncanicross dans santé/soin/alimentation
L'article en question (surtout sur le greyhound) je préviens, c'est trèèèèèèèèès long je mettrai mieux en page dès la fin de mes examens La rhabdomyolyse d'effort, encore appelée myoglobinurie paroxystique, est une affection classique du chien de sport susceptible d'être associée à un syndrome d'insuffisance rénale aiguë dont l'évolution peut se révéler fatale pour l'animal [29]. Il se produit une ischémie musculaire associée à une lyse des membranes cellulaires, à une nécrose et à une myoglobinurie. Cette affection concerne surtout les chiens de chasse et les lévriers de course. 1) Symptômes (a) La forme suraiguë [27] : Elle se manifeste lors d'un effort bref et intense (cas du greyhound de course) pendant la course. L'animal s'arrête brusquement en plein effort, reste immobile et présente des difficultés locomotrices importantes. Il est parfois incapable de continuer l'exercice. Les masses musculaires, en particuliers les fessiers, sont chaudes, oedématiées, tendues et douloureuses ; certains troubles neurologiques peuvent apparaître, comme des déficits proprioceptifs. La palpation, la pression et la percussion des muscles entraînent une douleur vive. Un état de choc peut s'installer. Les symptômes urinaires apparaissent rapidement : les urines sont brunâtres, signe d'une myoglobinurie importante, puis une anurie s'installe, provoquée par une insuffisance rénale aiguë. Les urines sont alcalines (pH 7,5 à 8, puis, en 4 à 6 heures, elles redeviennent acides. L'animal meurt rapidement en 48 heures, parfois par complication de myocardite. (b) La forme aiguë [27] : Immédiatement après l'effort, on observe les mêmes symptômes musculaires que dans la forme suraiguë. L'état de choc existe mais dans cette forme l'insuffisance rénale s'installe plus lentement ; les urines malgré la myoglobinurie sont de couleur normale. Ces lésions concernent les muscles quadriceps, biceps fémoral et longissimus en particulier chez le greyhound [34]. Si l'évolution mortelle est rare, les séquelles musculaires peuvent être importantes et invalidantes. (c) La forme subaiguë [27] : Les symptômes apparaissent en 24 à 48 heures après l'effort : ce sont les "urines rouges du lundi". L'animal présente une douleur musculaire localisée aux membres et aux dos. Il a des difficultés à se déplacer. Les symptômes urinaires sont plus discrets avec une myoglobinurie possible mais l'atteinte rénale est rare. Les douleurs musculaires disparaissent spontanément en 3 à 4 jours. Diagnostic de la rhabdomyolyse Le diagnostic repose sur les symptômes cliniques (raideur, tuméfaction des muscles, douleur et déshydratation extracellulaire) et sur les marqueurs biochimiques modifiés ainsi que sur la présence d'un état de choc avec urines colorées et parfois déshydratation [29]. On peut utiliser comme marqueurs biochimiques [8] : - la créatine phosphokinase : son activité est augmentée lors de nécrose musculaire mais également lors de simples souffrances musculaires qui modifient la perméabilité membranaire, - les transaminases mais leur interprétation est délicate et manque de spécificité, - la lactodeshydrogénase : au niveau du muscle, elle assure la transformation de l'acide lactique en acide pyruvique au cours de la glycolyse anaérobie, son activité augmente nettement dans les processus myopathiques, - l'aldolase, enzyme musculaire et hépatique entraînant au cours de la glycolyse la formation de trioses phosphates, - la myoglobinurie par électrophorèse urinaire, mais la réaction n'est positive que dans les premières heures de la myolyse (sauf pour la forme suraiguë où cet examen serait indiqué). Elle n'est pas réalisable en routine. - l'étude des paramètres biochimiques rénaux qui ne sont pas spécifiques mais dont la valeur pronostic permet d'ajuster le traitement. Le diagnostic différentiel est établit avec [27] : - les syndromes abdominaux aigus (péritonite, pancréatite …), - les affections à urines orange ou brunes (hématurie, cystite…), - les affections locomotrices d'origine neurologique, - une insuffisance rénale aiguë admettant une autre origine. Il convient de dépister précocement les éventuelles complications cardiaques (myocardites) ou neurologiques. On peut réaliser un diagnostic histologique par biopsie du muscle. Le muscle doit cependant être touché par le processus pathologique de façon récente. Cette biopsie ne présente que peut d'intérêt pour le clinicien ; elle peut permettre d'évaluer le devenir sportif du chien par visualisation des dégâts histologiques au niveau de la cellule musculaire, inducteurs de la perte fonctionnelle du muscle dans son ensemble et donc de la perte de performance [8]. Lors de rhabdomyolyse, l'échographie permet de juger de l'extension de l'affection : le muscle atteint se caractérise par une tuméfaction diffuse, on observe une hyperéchogénicité homogène, provoquant un effacement de la structure fibrillaire [24]. 56 3) Etiologie Les facteurs favorisants la rhabdomyolyse d'effort sont liés Diagnostic de la rhabdomyolyse Le diagnostic repose sur les symptômes cliniques (raideur, tuméfaction des muscles, douleur et déshydratation extracellulaire) et sur les marqueurs biochimiques modifiés ainsi que sur la présence d'un état de choc avec urines colorées et parfois déshydratation [29]. On peut utiliser comme marqueurs biochimiques [8] : - la créatine phosphokinase : son activité est augmentée lors de nécrose musculaire mais également lors de simples souffrances musculaires qui modifient la perméabilité membranaire, - les transaminases mais leur interprétation est délicate et manque de spécificité, - la lactodeshydrogénase : au niveau du muscle, elle assure la transformation de l'acide lactique en acide pyruvique au cours de la glycolyse anaérobie, son activité augmente nettement dans les processus myopathiques, - l'aldolase, enzyme musculaire et hépatique entraînant au cours de la glycolyse la formation de trioses phosphates, - la myoglobinurie par électrophorèse urinaire, mais la réaction n'est positive que dans les premières heures de la myolyse (sauf pour la forme suraiguë où cet examen serait indiqué). Elle n'est pas réalisable en routine. - l'étude des paramètres biochimiques rénaux qui ne sont pas spécifiques mais dont la valeur pronostic permet d'ajuster le traitement. Le diagnostic différentiel est établit avec [27] : - les syndromes abdominaux aigus (péritonite, pancréatite …), - les affections à urines orange ou brunes (hématurie, cystite…), - les affections locomotrices d'origine neurologique, - une insuffisance rénale aiguë admettant une autre origine. Il convient de dépister précocement les éventuelles complications cardiaques (myocardites) ou neurologiques. On peut réaliser un diagnostic histologique par biopsie du muscle. Le muscle doit cependant être touché par le processus pathologique de façon récente. Cette biopsie ne présente que peut d'intérêt pour le clinicien ; elle peut permettre d'évaluer le devenir sportif du chien par visualisation des dégâts histologiques au niveau de la cellule musculaire, inducteurs de la perte fonctionnelle du muscle dans son ensemble et donc de la perte de performance [8]. Lors de rhabdomyolyse, l'échographie permet de juger de l'extension de l'affection : le muscle atteint se caractérise par une tuméfaction diffuse, on observe une hyperéchogénicité homogène, provoquant un effacement de la structure fibrillaire [24]. 56 3) Etiologie Les facteurs favorisants la rhabdomyolyse d'effort sont liés [27, 34] : - au stress psychique (conditions de transport, environnement, excitabilité du chien), - à une mauvaise préparation du chien (sollicitation importante, efforts trop fréquents, absence d'échauffement voire mauvaise condition physique, manque d'entraînement), - aux conditions climatiques (chaleur associée à une hygrométrie élevée), - à une erreur de préparation physique (alimentation déséquilibrée, hyperprotéique, usage d'anabolisants). Cette affection peut toucher les chiens de toutes races, mais touche plus particulièrement le greyhound de course, ceci étant du aux masses musculaires très développées dans cette race et à l'existence d'une viscosité sanguine élevée. 4) Pathogénie Lorsque le muscle travaille, la chaleur produite s'accumule dans le muscle. D'autre part, lors d'un exercice intense, la voie anaérobie est mise en jeu et la lactatémie augmente considérablement. En outre la contraction musculaire entraîne une diminution de l'irrigation sanguine des muscles et donc de l'oxygénation ce qui induit au niveau métabolique musculaire une hyperproduction d'acide lactique. Par conséquent, cette chaleur accumulée dans le muscle et cette production importante de lactates provoquent une diminution importante du flux sanguin intramusculaire associé à un déficit potassique intracellulaire et à une nécrose cellulaire progressive [29]. L'hyperacidité existant, les mécanismes régulateurs de la cellule sont dépassés (blocage de la pompe sodium - potassium), les ions sodium s'accumulent dans la cellule musculaire, d'où l'augmentation de la pression osmotique ce qui favorise un appel d'eau, la cellule gonfle et éclate. Ceci provoque la libération de myoglobine et la destruction des fibres musculaires. La myoglobine passe dans la circulation générale, atteint les reins et provoque des lésions tubulaires [8, 34]. Chez l'animal en hyperthermie, il se produit une alcalose respiratoire d'où l'apparition d'une hypokaliémie et l'excrétion de bicarbonates urinaires. Ainsi il se produit une perte du pouvoir tampon de l'organisme. La diminution du pouvoir tampon et de la perfusion musculaire (due à l'absence de vasodilatation) entraîne une acidose musculaire locale, responsable de la rhabdomyolyse. 5) Facteurs prédisposants Les facteurs prédisposants sont [34] : - un non entraînement du chien, - un chien très énervé et en hyperthermie avant l'effort, un chien surentraîné (le stress est responsable de l'augmentation du cortisol et de l'aldostérone, ce qui entraîne une rétention de sodium, une hypokaliémie par augmentation de la kaliurèse et sûrement le point de départ d'une rhabdomyolyse). Le greyhound est une race prédisposée à la rhabdomyolyse d'effort. Cette prédisposition raciale est liée à l'importance des masses musculaires qui représentent 60% du poids du corps ainsi qu'à une hématocrite élevée. Par ailleurs, l'apparition d'une rhabdomyolyse d'effort est favorisée par [27] : - l'usage des stéroïdes anabolisants, - l'hyperlactémie et l'acidification intramusculaire apparaissant lors d'efforts supra maximaux, - la diminution du débit sanguin musculaire, - une alimentation déséquilibrée. 6) Pronostic Le pronostic est assez réservé en fonction du stade de l'affection. En cas de rhabdomyolyse suraiguë, la mortalité apparaît dans un délai de 48 heures par insuffisance rénale aiguë due à un blocage des néphrons par les produits de dégradation de l'activité musculaire, par la myoglobinurie et la déshydratation extracellulaire [8]. La mortalité peut atteindre un taux de 25%. Pour la forme aiguë, le taux de mortalité reste bas, à moins que le chien n'ait un défaut de soins. Le pronostic vital est moins réservé mais les séquelles musculaires sont importantes et invalidantes, ce qui marque souvent la fin de la carrière sportive du chien. En forme subaiguë, le pronostic est plutôt bon. 7) Traitement Le but du traitement est de lutter contre l'état de choc et l'insuffisance rénale aiguë due à la myoglobinurie. Selon la gravité de l'affection, on pratique [27,34] : - une réhydratation importante par fluidothérapie pendant plusieurs jours avec contrôle des paramètres sanguins (urée, créatinine) et une diurèse forcée sauf en cas d'insuffisance rénale aiguë, - un refroidissement des masses musculaires à l'aide de packs type cold pack appliqués sur une serviette pour ne pas brûler la peau du chien, - un anti-inflammatoire non stéroïdien analgésique, - une supplémentation nutritionnelle potassique, - des massages doux permettant la valorisation d'onguents anti-inflammatoires (comme l'algyvet), 58 - une antibioprophylaxie ainsi que l'administration de toniques généraux (vitamine B12, vitamine E et sélénium). -
rhabdomyolyse/ coup de sang
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