Carakoçan

Toujours un douleur légère à la cheville. Ce sera sans moi.

Sur plusieurs photos elle a l'air de dire "Éteinds le soleil, ça m'éblouit !" Je n'avais jamais fait le rapprochement mais... ils font donc du traineau aussi au Japon ?

Justement, Le photographe qui ne voit qu'un traineau avec des chiens n'est qu'un technicien. Celui qui a la sensibilité pour faire ressortir plus de ses photos est un artiste.

Si vous regardez les légendes, vous vous appercevrez qu'il y en a sur toute la planète. http://www.boston.com/bigpicture/2010/02/dogs_and_sleds.html Certains clichés me font dire "c'est ça que je veux faire".

Dans les activités possibles, il y a un parcours d'obstacles similaire à celui du dog survival.

(A défaut, accepte le ragusa (avec un s, sinon tu risques de te voir refiler autre chose ), ça s'écoule toujours très bien côté français ) Je soupçonne la vente au détail du ragusa en petites barres dans les migro et co suisses pour justement éviter l'écœurement

Un exemple de magasin de snood "classique" (en france il y a quelques particuliers qui en fond, mais je ne retrouve plus les adresses) http://www.hounds-r-us.ca/francais/divers/chapeaux.html?bcsi-ac-23BCAB4B72BE8863=1A8E5742000005038UHEK0To6ujS5hC96pigctKZuSBWAAAAAwUAAOugSwIIBwAABwAAAIhMAAA=

Voici les adresses du magasin pour les snood polaires (en bas de la page) pour greyhound (grand format) http://www.jansgifts.co.uk/list.php?type_id=111 pour whippet (petit format) http://www.jansgifts.co.uk/list.php?type_id=112

Pour les oreilles dressées, le snood lâche à elastiques peut tout à fait convenir (mais sur des oreilles non pendantes, c'est l'intérêt même qui est remis en question) :

Il neige de petits flocons épars depuis ce matin. C'est joli, mignon même, la finesse de cette neige éphémère qui fond au contact du bitume a quelque chose de touchant. Cela a visiblement dissuadé mes collègues de courir. Alors qu'ils sont partis déjeuner, j'ai pris la direction du vestiaire pour tester mes chaussures de running sur ce revêtement atypique. Ces DS Trainer X ultralégères et suramorties ont-elles une accroche suffisante où dois-je envisager l'achat d'un modèle trail deux à trois fois plus lourds pour répondre à mon habitude de course sur terre ? (cette surface est désormais obligatoire du fait de mes genoux douloureux) Un semi-marathonien m'a prévenu : la neige est praticable, mais masque les irrégularités du sol. Je m'équipe lentement de ma combinaison, hésitant à sortir dans le décor glacial que j'apperçois à travers les fenêtres. Je passe finalement le SAS, pour découvrir que la température s'est adoucie. Pour un peu, j'aurais pu sortir en T-Shirt. Le portail puis la route franchis, j'entre dans le bois tout proche et teste prudement la neige. Peu de coureurs. Trot de chauffe, accélérations, accroche correcte, même si on ne sais que par l'expérience du terrain où on met les pieds (encore que mes genoux savent détecter le goudron...). Le bois est aménagé en petit parc, avec des ruisseaux gelés couverts de charmant petit ponts ou pontons, des dépressions traversées d'avancées de terre, des promenades au bord de l'eau en contrebats... tout un petit paysage en relief dans une région pourtant dramatiquement plate et urbanisée. Evocation fugitive du milieu qui me ressource, me motive et sera j'en suis sûr à terme mon cadre de vie... Je m'élance prudement dans la dans la première pente. Ça tient. Même très bien. J'enchaine un moment les dénivelés variés à des allures différentes, et même une fois une descente franchement abrupte où je dois convertir l'énergie de ma chute contrôlée en accélération horizontale comme un chat à la descendant d'un mur. Retour à un rythme calme, et au plat. Je redécouvre la zone sous un jour différent, quasiment vide de joggers ou de promeneurs de chiens (quelques courageuses sont malgré tout présentes), faussement figé par l'écrin blanc. Celui-ci est griffé de mille traces qui révèlent la présence de nombreux anim... DEPRESSION ! TALON DROIT ! DROIT ! L'avertissement est immédiat, précis, mais est bien sûr trop tardif. Le vide recouvert de neige est épousé par mon pied, un tendon s'étire plus qu'il ne devrait et un nouveau train de potentiels remonte mon système nerveux pour aller délivrer à l'encéphale l'atroce information DOULEUR ! CHEVILLE DROITE ! ARRIERE ! Le mal s'évanouit à la foulée suivante, mais l'élongation a bien eu lieu. Basculement immédiat du plan de vol vers un retour en petites foulées au bureau (il fait trop froid pour marcher alors que je suis en sueur). Je suis encore capable de courir, la blessure est légère, mais peu importe. Dix jours sans courir, minimum. Pas de frustration, ni de regrêts sur la matière trop fragile dont je suis composé : cette cheville n'est pas juste un accessoire qui génère des informations agaçantes, c'est une partie de moi, c'est moi. Tout ce qui fait partie de moi mérite bienveillance, attention, soins, protection. Absolue. Un peu plus tard, je mange au chaud derrière une baie vitrée en observant cette neige soyeuse de noël qui s'évertue à me rappeller la montagne rèvée. Au milieu de la réflexion sur l'expérience plus ou moins malheureuse qui a brouillé la réponse à mon questionnement initial (me suis-je blessé à cause des chaussures ou de la neige ?), je me fait la remarque que mon moi dépasse l'enveloppe de mon propre corps et que je l'étends volontier à mes chiens (qui me considèrent d'ailleurs clairement comme une partie d'eux), et sans aucun doute à ceux que j'engendrerai et celle en qui j'existerai.

J'ai profité de la neige pour nettoyer mes chaussures de running évaluer les capacités d'adhérences de ma paire de running. Pas de problème particulier mais la neige légère recouvre les irrégularités et rend difficile leur appréhension.

Je vous propose d'acheter dès maintenant des actions d'un fabricant de prothèses médicales. Ça ouvrira peut-être des opportunités pour tester en avant-première les dernières avancées cybernétiques... (Vous je sais pas, moi j'ai bien l'intention de porter mes futurs enfants sur mes épaules, et pas en fauteuil roulant). (Ni avec des chevilles en aluminium, si vous voyez ce que je veux dire... )

Alors voilà, le Nord pas de Calais, c'est le royaume des taupes. Ici par exemple, une taupe propriétaire de son terrain, et qui le fait savoir (cf le panneau à gauche). Mais le plus impressionnant, ce sont les taupinières géantes d'une espèce aujourd'hui disparue, qui subsistent un peu partout : "Je vois ma voiture d'ici" Suspendue entre ciel et terre... En haut, il y a du vent, beaucoup de vent.

On fait la queue pour la soupe populaire... (le morceau rouge, c'est en fait la doublure intérieure visible par le trou prévu pour faire passer la laisse, prévoyants ces anglais...)

En l'occurence, ils s'agit de snoods polaires conçus par un magasin anglais d'article de course pour greyhound. Ils sont un peu grand pour mes saluki mais ça peut toujours être utile. Utilité proposée par le fabriquant : protéger les oreilles du froid (d'où le polyester tissé polaire) voir de la pluie pour le modèle noir (la doublure intérieur est en polaire mais l'extérieur est un tissage serré étanche). En pratique je n'ai jamais vu de greyhound en porter (c'est plutôt utilisé par les lévriers afghan à longues oreilles poilues pour empêcher de ramasser des débris (ou des tiques) lors des promenades et ne pas faire tremper les oreilles dans la gamelle pendant les repas). Utilité en canicross : destabiliser psychologiquement les concurents (on courre moins vite en pouffant de rire )

D'après ce que tu avais écris ici et là, il arrive que la caméra s'arrête d'enregistrer avant d'avoir occupé toute la mémoire disponible ?

(Remplacement des vélos par des skis ? )

C'est pas mal, ça correspond un peu plus à ce que je voudrais faire, même si ça manque encore un peu d'originalité et d'expressivité (le problème du photographe pro qui couvre toute la course : il ne prends que quelques photos par conçurent et même si elles sont techniquement réussies, elles manquent de composition). La quatrième photo panoramique est une très bonne idée mais le résultat est décevant

Cet épisode me renforce dans une impression de plus en plus persistante : parfois on aimerait bien être suivi par un photographe pour capturer ce genre de moment... et avant d'être d'être ingénieur d'études en systèmes satcom, je suis photographe... Je pense qu'il y a quelque chose à creuser là (d'autant plus que la photographie en canicross donne trop souvent des résultats assez décevant)

Petit footing de décrassage ce soir avec les saluki après une journée de jardinage. (Pour rester dans la mode, oui, c'était de nuit... parce que j'ai mis très longtemps partir ) J'ai découvert avec bohneur que, contrairement au trottoir en bitume devant chez moi, quasiment tout le reste de mon village est composé de trottoirs en terre battue (mes genoux apprécient). Au retour, un effet superbe sur un mur alors que nous étions pris dans le faisceau des phares d'une voiture : les deux ombres des chiens au trot se découpant sur le crépis blanc et évoluant à mesure que le véhicule se rapprochait et nous doublait.

"gaufres chaudes"

Je crois que c'est la meilleure solution

la batterie de la mouviecam ne gène pas derrière la tête ???

(Tu crois que j'ai regardé autre chose que le prix ? )

Un tableau récapitulatif pas mal (le modèle sony en haut à droite a l'air très bien http://www.studiosport.fr/comparatif-camera-embarquee-studiosport.pdf