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amelie111

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Tout ce qui a été posté par amelie111

  1. de rien Jeanine , j'ai pensé que ça pouvait intérresser certains
  2. L'herpès virose canine est une maladie virale mortelle pour le chiot, due à un herpès virus ADN isolé en 1965. C'est une maladie importante, pour les éleveurs, dont l'incidence est sous-estimée. Des tests effectués montrent que 30 % des élevages possèdent des reproducteurs séropositifs. 1) Caractéristique du virus et transmission. C'est un virus spécifique de l'espèce canine présent dans le monde entier (Australie, Belgique, France, Italie, Angleterre etc... ) surtout dans les chenils d'élevage. Trois voies de transmission sont prouvées : - oro-nasale : surtout pour les chiots au moment de la naissance par contact avec les sécrétions vaginales de la mère. Les expectorats bronchiques sont contaminants chez les adultes. - vénérienne : contamination du mâle ou de la femelle lors de saillies ; l'herpès virose canine est une maladie sexuellement transmissible. - voie transplacentaire ; la portée de chiots peut être contaminée à travers le placenta de la mère en cours de gestation. 2) Manifestations cliniques de la maladie. Il faut différencier l'adulte du chiot : - chien adulte : les symptômes sont discrets, de courte durée et localisés aux muqueuses chez le mâle et la femelle. On note de petites « vésicules » avec petit ulcère guérissant souvent spontanément en 2 semaines. - chez la femelle gestante : le virus de l'herpès peut atteindre l'utérus et provoquer la mort précoce des embryons avec résorption fœtale, momification, avortement ou mortinatalité ( chiots morts à la naissance). Ces résorptions fœtales, peu visibles, sont souvent assimilées à une infertilité et donc sous-évaluées. On note parfois des métrites (infection de l'utérus) après la mise-bas car le virus favorise le développement de germes dans l'utérus. - chez le chiot jusqu'à 3 semaines d'âge : l'herpès virose des chiots est la forme la plus grave de la maladie. Le plus souvent, dans les 4 à 6 jours après la naissance, le chiot ne s'alimente plus, présente des selles molles ou grises avec vomissements quelquefois. Le chiot ne s'intéresse plus à la mère, se plaint sans raison et présente quelquefois des signes nerveux comme des tremblements ou du pédalage. Les chiots atteints meurent en 24 à 45 heures. Dans les portées atteintes, la mortalité atteint souvent 80% - chez le chiot âgé de plus de 3 semaines : les symptômes prédominants sont respiratoires, rhinite, pharyngite, conjonctivite parfois. La guérison est possible mais il faut craindre des surinfections bactériennes. 3) Sources de virus. Les principales sources de virus sont : - chiots malades, fœtus, enveloppes fœtales. - adultes atteints de formes muqueuses. - sécrétions nasales et génitales des adultes et le sperme. - urines, sang, larmes, selles de chiots malades. Rappelons que ce virus est très peu résistant dans le milieu extérieur et que la contamination du chiot se fait essentiellement lors de la mise bas par voie oro-nasale. En revanche, les personnes qui manipulent les chiots peuvent véhiculer le virus. 4) Diagnostic. Si les symptômes précédemment décrits surviennent dans un élevage, il faut autopsier les nouveaux nés morts (à faire avec votre vétérinaire traitant). On peut observer : foie, rein, rate décolorés. - petite hémorragie (tête d'épingle sur le rein). Mais surtout, la constatation de mortalité chez les chiots de moins de 3 semaines, de mortinatalité ou d'infertilité de chiennes dans un élevage doit faire penser à une herpès virose canine. Le diagnostic peut être complété par une prise de sang mais l'interprétation des résultats est difficile et doit être étudiée au cas par cas dans les élevages avec le vétérinaire. 5) Traitement. Aucun traitement vraiment efficace par un médicament n'est actuellement possible. 6) Prévention. Examiner soigneusement les reproducteurs pour vérifier d'éventuelles lésions génitales. Tester les animaux en sérologie sur une prise de sang avant un accouplement. L'hygiène des locaux d'élevage et des nurseries est importante. Le virus est peu résistant dans le milieu extérieur (10 minutes à 20 ° C) et est très sensible aux désinfectants (ammonium quaternaires, eau de javel, chlorhexidine). Il est aussi important de bien contrôler la température rectale des chiots pour éviter une température trop élevée ou trop basse. Une bonne utilisation de la lampe chauffante doit maintenir cette température corporelle entre 38,5°C et 39°C. La multiplication virale est maximale entre 35°C et 36°C. Rappelons également que l'insémination artificielle protège le mâle mais pas la femelle qui peut être contaminée par le sperme. 7) Vaccination. Le but est de vacciner la mère pour protéger le chiot. Le premier vaccin contre l'herpès virose canine est maintenant disponible (voir votre vétérinaire). La protection du chiot est maintenant prouvée. Il est protégé dès la naissance par la prise du colostrum (immunité passive). Le vaccin permet : - une réduction complète (à 100 %) de la mortinatalité des chiots due à l'herpès virose. - une amélioration du taux de fécondité des chiennes. - une augmentation du nombre de chiots sevrés. Ce vaccin inactivé peut s'utiliser que la chienne soit saine ou infectée. Son utilisation est simple mais précise : Première injection : Entre le 1er jour des chaleurs et le 10ième jour après la saillie. Deuxième injection : Une ou deux semaines avant la mise bas. Vaccination à refaire à chaque gestation suivant le même protocole vaccinale Comme toute vaccination, celle de l’herpès virose doit être étudiée et mise en place après une étude de chaque élevage que l’éleveur doit faire avec son vétérinaire. Conclusion : En conclusion, nous pouvons dire que l’herpès virose bien connue depuis de nombreuses années est longtemps restée sous-estimée. La forme mortelle de l’herpès virose canine n’apparaît que sur les très jeunes chiots alors que la maladie peut être totalement inapparente chez les adultes. Si, aujourd’hui, cette maladie est mieux connue et identifiée dans les élevages, le nouveau vaccin va permettre de réduire les formes mortelles de la maladie chez les chiots, source de découragement pour les éleveurs et de pertes économiques importantes. Docteur Vétérinaire Yves JOPPIN
  3. article très interressant paru sur aniwa Les chiots naissent aveugles et sourds mais leur immaturité ne se limite pas aux organes des sens puisqu'elle concerne aussi la régulation thermique, l'immunité, l'hydratation et le métabolisme, à quoi s'ajoute une absence de réserves hépatiques et graisseuses. Tous ces handicaps les prédisposent à de nombreuses affections d'origines aussi diverses que les traumatismes, les infections, la déshydratation, l'hypoglycémie ou le refroidissement. FACTEURS DE RISQUE D'ORIGINE MATERNELLE Age de la mère : La mortalité et la morbidité néo-natales augmentent avec le rang de portée des lices. Ce phénomène est probablement lié à la fréquence des séquelles d'anoxie (manque d'oxygène conduisant à une mauvaise irrigation cérébrale) consécutive aux inerties utérines primaires si souvent rencontrées chez les reproductrices âgées Consanguinité : L'augmentation de l'incidence des malformations (fente palatine, mégaoesophage, malformations cardiaques) au sein d'un effectif doit faire rechercher parmi les ascendants un excès de consanguinité. En effet, la plupart de ces tares étant génétiquement récessives, leur émergence nécessite l'expression simultanée de deux gènes porteurs de la maladie, l'un provenant de la mère et l'autre du père. Une consanguinité excessive (souvent au-delà de quatre générations) augmente ainsi les risques de révélation des tares récessives. Parallèlement, on assiste généralement à une diminution de la prolificité. Alimentation de la mère : L'alimentation de la mère en gestation est abordée dans le chapitre sur la nutrition. Signalons seulement qu'une suralimentation au cours de cette période favorise le dépôt de graisse dans la filière pelvienne augmentant ainsi les risques de dystocies (mise bas anormale). Ces risques sont accrus par un épisode de constipation qui interviendrait en fin de gestation. En effet, le rectum étant anatomiquement situé au-dessus du vagin chez la chienne, un état de réplétion réduit d'autant la place disponible pour le passage des chiots. C'est pourquoi il est conseillé de vérifier la vacuité du rectum le jour qui précède la mise bas et de donner à la lice un laxatif par voie orale ou rectale en cas de constipation. Dystocie : La dystocie est un facteur favorisant de mortalité néonatale, ce dont on pouvait se douter, mais aussi qu'il est préférable de ne plus faire reproduire les lices ayant présenté une dystocie, à moins que celle-ci admette une cause exceptionnelle évidente (obésité transitoire, immaturité de la filière pelvienne, etc.). Médicaments administrés au cours de la gestation : La période la plus sensible à l'action tératogène (entraînant des malformations) de certains médicaments est naturellement la phase d'embryogenèse qui correspond à la différenciation des tissus (17 à 21 jours). Cependant, le foetus peut aussi être exposé plus tard aux risques de malformation de certains organes à différenciation tardive comme le palais, le cervelet ou encore l'appareil urinaire. La liste des produits tératogènes, de leurs doses et de leur période de susceptibilité maximale est maintenant bien connue des vétérinaires dans la plupart des espèces. La plus simple des précautions consiste, quand cela est possible, à différer tout traitement médicamenteux, anesthésique, hormonal, antiparasitaire externe ou même vaccinal durant la période de gestation chez la chienne à moins que l'état de cette dernière ne l'exige et que le vétérinaire maîtrise totalement l'innocuité du traitement. Troubles de la lactation : Si la gestation et la mise bas représentent le cap le plus difficile à franchir pour les races de petite taille, c'est en revanche la lactation qui risque d'affaiblir les lices de grande taille et, par voie de conséquence, nuire à la croissance rapide de la portée. Dans l'espèce canine, les mammites sont souvent dues à un traumatisme lié aux griffes des chiots ou à une infection ascendante transmise par léchage, par la litière ou faisant suite à une infection cutanée (pyodermite). Outre la présence de germes pathogènes dans le lait, responsables du "syndrome du lait toxique" (le plus souvent colibacille, streptocoque hémolytique ou staphylocoque), ces mammites s'accompagnent fréquemment de dilution du lait altérant l'apport nutritionnel d'autant plus gravement que cette affection survient généralement au pic de lactation. La prévention, théoriquement simple, consiste à identifier le germe incriminé pour pouvoir en tarir la source. Si l'hygiène de la maternité est le plus souvent facile à maîtriser, il n'en va pas de même lors de staphylococcie cutanée chez la mère qui nécessite souvent une antibiothérapie au long cours. L'observation et la palpation minutieuse des mamelons permettent parfois de déceler des malformations des tétons favorisant les infections ascendantes. Ces prédispositions anatomiques peuvent parfois justifier un retrait de la mère de la reproduction, l'allaitement artificiel des chiots ou l'adoption par une mère nourricière. Bien que l'aptitude laitière soit un caractère jugé comme "assez héritable", l'hypogalactie (manque de lait), l'agalactie (absence de lait) ou le retard de montée laiteuse sont généralement difficiles à prévoir et donc à prévenir, notamment chez les primipares. Elles s'accompagnent fréquemment de troubles du comportement maternel eux-mêmes souvent liés à une mauvaise socialisation ou à un inconfort. L'immunisation passive des chiots par les anticorps (immunoglobulines-G) étant quasi exclusivement permise par l'ingestion précoce de colostrum, certains éleveurs conservent par précaution soit du colostrum congelé provenant d'une chienne donneuse, soit du sérum de la mère qu'ils font ingérer aux chiots pour pallier l'absence de colostrum. Les jours suivants, le lait maternel assure, par son apport en immunoglobulines A, la protection de l'épithélium intestinal et limite ainsi naturellement l'incidence des diarrhées infectieuses. La stimulation de la montée laiteuse peut être obtenue par différents moyens thérapeutiques : - Le massage des mamelles ou l'injection d'ocytocine qui ne font que stimuler l'éjection du lait sans réelle action sur sa sécrétion (indiqués uniquement dans les phénomènes de "rétention lactée"), - La phytothérapie (galega, malt, fenouil, cumin,) souvent utilisée empiriquement en l'absence d'activité spécifique actuellement démontrée !... - Certains anti-vomitifs pour leur effet stimulant sur la sécrétion de prolactine. Signalons également qu'à l'inverse, les hyperproductions lactées peuvent conduire à une surconsommation et une saturation des capacités lactasiques des chiots et, par voie de conséquence, aboutir à des diarrhées osmotiques. Celles-ci surviennent généralement au pic de lactation mais sont rarement responsables de mortalité quand on prend la précaution de séparer plusieurs fois par jours les chiots gloutons des mamelles de leur mère. Cette manoeuvre semble préférable à un tarissement médical sauf lorsque la santé de la mère l'exige. Infections virales maternelles : L'herpès-virose canine (CHV) représente une cause de mortalité des chiots au cours de la première semaine de vie qui devient actuellement très préoccupante dans l'espèce canine. En effet, en France, près de 50 % des éleveurs qui sont confrontés à une baisse du taux de fécondité des lices, un accroissement de la mortalité néonatale hébergent sans le savoir des reproducteurs atteints d'herpès-virose canine. L'infection à herpès virus est souvent très discrète chez les adultes. Ce virus se développe dans les muqueuses qui sont habituellement plus froides que la température corporelle (muqueuse génitale, oculaire et respiratoire) à la faveur d'un stress, d'une surinfection, d'une immunodépression ou d'une période d'activité sexuelle. Chez le mâle comme chez la femelle, ce virus provoque parfois l'apparition sur les muqueuses génitales de papules difficiles à mettre en évidence sans un examen attentif (extériorisation complète des bulbes érectiles chez le mâle, spéculum vaginal chez la femelle) mais qui sont parfois responsables de refus de saillie. www.aniwa.com
  4. Ah bon !? on parle bien de récolter pour réfrigéré ensuite ? c'est sur juste récolter pas besoin de véto. mais pour réfrigérer ensuite , y'a interet a pas se louper alors ... car la préparation c'est hyper important et c'est ce qui détermine la durer de vie plus ou moins longue des spermatozoides . On ne réfrigère pas comme ça en mélangeant deux tubes a essais et en passant directement de 38 °C a -4 °C .. simpliste . en quoi c'est aute chose ? l'insémintation a proprement parlé , c'est justement la même chose oui ça peut être interressant dans le cadre d'un week end ou jour férié par exemple .. mais encore une fois il faut pas faire d'erreur de manip' sinon , t'as tout gagné aussi la solution peut être de demander a son véto de bien lui expliquer et pourquoi pas le faire une fois avant pour essayer ! la semence dans le thermos est stockée dans un tube a essai . A l'env de nantes ils y mettent autour du coton dans de l'eau et des glaçons pour maintenir a -4°C .. ma véto utilise les mêmes boite que pour la semence des chevaux .. ça voyage très bien ... Le thermos aussi (j'ai essayé plusieurs fois , par contre il faut le conditionner de nouveau dans un carton , veuillez a ce qu'il ne bouge pas ect ...) pour pas qu'il casse !
  5. je pense qu'ils le sont , y'a plus laisser grandir tranquillement
  6. ma véto est une très bonne amie de Alain Fontbonne ,ils travaillent beaucoup ensemble (séminaires ect ..) Par contre il faut savoir que le prix que tu dis ce pratique dans les ENV , chez un véto (comme ma véto par exemple c'est un peu plus chère , mais pas besoin d'acheter le thermos )
  7. félicitation , en plus tu as le recul nécessaire avec les portées précédentes .. ça aide aussi ! excellent
  8. yes moi aussi . Il a 18 mois sur la photo
  9. voila le classement des 10 No 1 - Aust Gr Ch Toptaurus Crow Out Loud (SA) (K Carr) No 2 - Aust Gr Ch Zelandia Noble Pursuit (Imp UK) (QLD) (G & D Lane) No 3 - Aust Ch Stonehart X Factor (VIC) (Mrs B & Miss K Marsh) No 4 - Aust Gr Ch Vanstaff Black Jack CD (ACT) (L Kuipers & C & A Van Kleeff) No 5 - Aust Ch Neworder Bombe Alaska (VIC) (B & K Marsh) No 6 - Aust Gr Ch Belleden Sunstone (QLD) (B Shaw) ( No 7 - Aust Ch Belleden Spellbound (QLD) (Brett Shaw) No 8 - Aust Gr Ch Gemra Power Nglory (QLD) (P. Abbott) No 9 - Aust Ch Sandtoys Arsenal (NSW) (N & S Lane) No 10 - Aust Ch Triplemstaff Chevrolet (QLD) (J Cowling)
  10. les bébés ont aujourd'hui 7 semaines !!! une petite video prise il y a quelques jours , pour vous donner une idée des engins ! et quelques photos prisent aujourd'hui dans le jardin .. je passe beaucoup de temps a leur courrir après essais de profil ....
  11. thanks for sharing ! really nice looking pups ! Life is stronger
  12. ben oui justement .. ça revient plus chèr Puisque de toutes façons tu dois aller chez un véto pour le faire ! Attention certains sites vendant ces kits font comme si il était possible de la faire soit même ! il faut savoir que "normalement " l'utilisation de semence réfrigéré ou congelé est réservée aux seuls vétérinaires ayant suivi une formation agréée par la Société Centrale Canine Le vétérinaire qui récolte le mâle (semence réfrigérée) rédige un certificat qui sera joint au certificat de saillie, dans lequel il s'engage à avoir vérifié l'identité du donneur ect ....
  13. je suis contente pour toi Henri ! jolie portée
  14. tu sais il y a tellement d'abération parfois pour ce qui est des voyages en avion .. a mon avis il est indispensable de se renseigner avant , au risque de ne pas pouvoir embarquer avec ....
  15. Pour les kits ça existe mais pourquoi aller acheter au prix fort ce que ton véto de toutes façon fourni quand tu fait ça et qu'il te fait payer beaucoup moins chèr ?
  16. super jolie ! vivement que ma Hunta retrouve cette ligne ! elle est juste comme j'aime !
  17. exact ! a chacun de trouver la plus adapté en fonction de son budget , ses disponibilités , et ce qui nous interresse en priorité !
  18. Pour le transport du thermos , je ne pense pas effectivement que ce soit possible de le faire soit même . Il faut passer par un transporteur type DHL , Fed EX pour l'international. La congelation est interressante mais a aussi des inconvénients , elle est très onéreuse en France (ce n'est pas le cas partout USA , Australie car très dévelloppé), les chances de succès sont beaucoup moindre que le frais ou le réfrigéré de l'ordre de 40% .. il faut en tenir compte . De plus sur certaines chiennes il faut opérer pour inséminer . L'insémination se fait directement dans l'utérus dans ce cas .. sans opérer (et seulement quelques vétos en France savent le faire Fontbonne , Lemoine , Mimouni, Tainturier )et encore tout dépend de la taille du chien. Le sperme est effectivement déposé le plus loin possible dans l'utérus , a l'aide d'une sonde métallique très rigide , il ne faut absolument pas que la chienne bouge au risque de perforer .... c'est pourquoi sur les grandes races c'est très compliqué ... Seul les ENV ont les autorisations nécessaires pour le stockage et l'utilisation de l'azote liquide . Depuis Décembre , ma véto est la première (hors ENV) a avoir obtenue cette autorisation . le gros avantage de la congelation c'est la durée illimité de sa conservation !
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