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Sur le terme "Samoyède", les ethnologues et les cynophiles n'arrivent pas à s'entendre. Pour les premiers, il désigne des peuplades d'origine mongole établies au nord de la Sibérie occidentale, entre le cours inférieur de l'Ob et le fleuve Iénisseï, et, plus au nord-est, sur la presqu'île de Taïmyr. Les seconds appellent Samoyède une très ancienne et magnifique race de chiens nordiques à fourrure blanche. Qui a raison ? Tous, car les Samoyèdes, ces éleveurs de rennes de culture shamanique, se servaient bien de Samoyèdes, ces chiens à fourrure épaisse. Plus de mille ans avant J.-C., des tribus originaires des hauts plateaux iraniens s'établirent dans les plaines situées à l'est des monts Oural et jusque dans la toundra. Ces nomades employaient leurs chiens à des tâches très variées : ils les emmenaient à la chasse et à la pêche ou leur donnaient les traîneaux à tirer ; les tribus vivant essentiellement de l'élevage des rennes utilisaient ces derniers comme bêtes de trait et confiaient à leurs chiens la garde des troupeaux. Le Samoyède a donc toujours eu une vocation polyvalente. Les Samoyèdes tenaient tellement à leurs chiens que les premiers explorateurs qui voulurent s'en procurer rencontrèrent de grandes difficultés. C'est à partir de 1870, dès les premières expéditions polaires, que les Occidentaux commencèrent à s'intéresser aux chiens de traîneau en général, et au Samoyède en particulier. Le Norvégien Fridtjof Nansen fut le premier à les utiliser, lors de sa tentative d'atteindre le pôle. Ce géant scandinave, un "vrai viking" écrit Paul-Emile Victor, prit possession de trente-quatre de ces chiens dans le petit village samoyède de Khabarova, le 24 juin 1893. Le 9 octobre, la température étant tombée à Ð 40 °C, Nansen décida de quitter son navire pris dans les glaces, et de terminer l'expédition en traîneau à chiens. Ayant noté que "quatre chiens peuvent tirer deux hommes", il partit alors vers le pôle. Il s'arrêta à 400 kilomètres du but, le 8 avril 1895. A la fin d'un voyage de retour terriblement lent, les deux derniers chiens, Kaiphas et Suggen, durent être abattus. Leur courage avait sauvé l'expédition et amené l'Homme plus près du pôle qu'il ne l'avait jamais été. Les braves Samoyèdes ne s'arrêtèrent d'ailleurs pas là, puisque, après avoir servi loyalement des explorateurs tels que Jackson, Hammersworth, le duc des Abruzzes et Borchgrevink, ils furent les compagnons de risque du célèbre Amundsen, Norvégien lui aussi, qui atteignit le pôle Sud le 14 décembre 1911, en traîneau à chiens ! Quant au capitaine Robert Scott, lors de ses raids dans l'Antartique, il ne voulut jamais utiliser les chiens de traîneau, à cause de l'obligation de les sacrifier au fur et à mesure que les vivres s'amenuisaient et que les traîneaux s'allégeaient. Il choisit de les remplacer par des poneys d'Islande. Pourquoi ce refus ? Si certains disent qu'il ne s'était jamais réellement entraîné avec les chiens, une autre explication serait qu'il y était trop attaché. En effet, Scott connaissait bien les Samoyèdes. En 1889, son parent M. Kilburn-Scott avait rapporté d'Arkhangelsk un Samoyède brun, Sabarka, et une chienne, Wistay-Petchoura. Ce couple est d'ailleurs à la base de l'élevage britannique, de même que les chiens ramenés par les explorateurs cités plus haut, qui avaient pour nom Houdin, Perène, Antartic Buch... C'est donc avec ces premiers spécimens que Kilburn-Scott fonda son élevage "of Farningham", dont sont issus tous les élevages actuels. Il est intéressant de noter que tous les Samoyèdes de l'époque n'étaient pas blancs. Les bjelkiers (chiens blancs qui donnent naissance à des chiots blancs) se trouvaient le plus souvent chez les tribus nomades, tandis que les sédentaires avaient des chiens légèrement plus petits et de couleur. Le gène blanc se révéla pourtant dominant et devint peu à peu la marque de la race. Le Samoyède remporta un beau succès auprès des Britanniques. Ainsi, le prince de Galles (futur Edouard VII) en eut un blanc à tête noire, et la reine Victoria elle-même posséda longtemps Jacko, un des meilleurs sujets d'exposition du moment. On ne peut parler de la race Samoyède sans évoquer le superbe Kara Sea, issu de Mustan of Faringham et de Zarina. Né en 1924, il n'eut pas moins de vingt-et-un challengers sans jamais être battu, et il figure dans plus de cinquante pour cent des pedigrees actuels. Ce chien fut le fruit d'un programme d'élevage sans précédent, comme le notait le spécialiste Will Haley en 1927. En effet, dès la fin du XIXe siècle, les Anglais commencèrent à sélectionner les chiens importés sur leurs qualités morphologiques, tout en parvenant à conserver leur merveilleux caractère et leur aptitude au travail. La meilleure preuve de cette réussite fut la façon héroïque dont les Samoyèdes britanniques ont tenu leur rôle dans les expéditions qui ont suivi. Les premiers Samoyèdes furent exposés à Leeds dès 1893, mais il fallut attendre 1920 pour voir la création du Club de race anglais, qui existe d'ailleurs encore actuellement. Un des plus célèbres élevages de l'époque est celui portant l'affixe "of Kobe", appartenant à Mrs Perry. D'innombrables champions y virent le jour, dont Gogolev of Kobe, champion de France, du Luxembourg, de Belgique, et international ; mais aussi Raffs boy of Kobe, champion suisse, français et international, Kristar of Kobe, champion italien et international de beauté. Cette lignée remarquable survit toujours à travers d'autres affixes et continue à produire des sujets d'un type magnifique. L'importation du Samoyède aux Etats-Unis, pays où l'espèce canine compte de nombreux amateurs, date du début du siècle. Elle est le fruit d'une anecdote assez romantique pour être contée. Un jour de l'année 1902, à Saint-Pétersbourg, une certaine princesse de Montyglyon, une cynophile avertie, aperçut le grand-duc Nicolas, frère du tsar, en train de présenter un de ses Samoyèdes. Tout en étant parfaitement consciente de l'inutilité d'une pareille démarche, elle fit savoir au grand-duc qu'elle donnerait n'importe quoi pour avoir ce chien. Le lendemain, à la gare, elle eut la surprise de trouver le chien en question immergé dans une luxueuse corbeille de fleurs. La carte jointe au singulier colis disait : "Moustan n'est pas à vendre, aucun prix ne saurait le payer, mais ce serait un honneur pour lui et moi si vous le vouliez gracieusement". C'est donc grâce à la galanterie du grand-duc Nicolas que Moustan allait devenir le père de nombreux Samoyèdes américains de qualité. La France dut attendre la fin de la guerre de 1914-1918 pour voir apparaître le premier Samoyède ramené du front russe par un officier français. Ce chien, qui était de couleur biscuit et répondait au nom de Fingal, engendra les premiers champions nationaux. A aucun moment le Samoyède n'avait perdu sa vocation de chien de travail, puisque, avant la Seconde Guerre mondiale, M. fornier de Savignac, éminent éleveur de Samoyèdes, fournissait des sujets aux chasseurs alpins, qui les utilisaient notamment pour le ravitaillement en haute montagne. On sait également que le docteur Delort, qui habitait le Cantal, avait l'habitude d'atteler ses Samoyèdes pour aller soigner des patients isolés. Au début de la guerre, tous les sujets de M. de Savignac furent réquisitionnés, et la plupart moururent en héros à Narvik. Aujourd'hui le Samoyède a ses amateurs fidèles, mais la race n'est pas très représentée en France. Cependant, si l'ont peut regretter qu'un tel chien ne soit pas mieux connu du public, on peut aussi se réjouir que, à cause de sa relative rareté, il ait échappé aux risques des différents engouements dont d'autres ont été victimes. Les acheteurs de Samoyède ne choisissent pas ce chien sur un coup de tête. Ils connaissent ses immenses qualités de cÏur et ses aptitudes au travail, son caractère enjoué et sa personnalité espiègle. La vogue des chiens de traîneau a oublié celui qui, de tous les Nordiques, s'adapte le mieux à la vie occidentale. Mais ce paradoxe n'est-il pas une chance pour le Samoyède ? De plus en plus, on choisira des races à la fois belles et bonnes, rustiques mais capables de supporter la vie moderne, et surtout caractérisées par un grand amour du maître. Le Samoyède répond parfaitement à cette description. Ne se contentant pas d'être un des plus anciens compagnons de l'homme, il est aussi un chien d'avenir.
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Biographie Après deux missions ethnographiques dans le désert du Hoggar, il part en mission géologique au Groenland en 1950. Pendant plusieurs années, il partagera la vie des Inuits de la région de Thulé, et tirera de cette expérience son ouvrage le plus connu, Les derniers rois de Thulé (1954, et quatre éditions postérieures). On lui doit de nombreux autres ouvrages, spécialisés ou grands publics, et une cartographie d'une partie du Groenland. Le 29 mai 1951, il est le premier Français à atteindre le pôle géomagnétique nord en traineau, exploit réalisé avec l'aide de ses amis Inuits. Il a à son actif plus de trente missions d'exploration polaire. En 1955, il fonde la collection Terre humaine chez Plon. Il a également créé en 1957 le Centre d'études arctiques (qui dépend du Muséum national d'histoire naturelle), et la première chaire d'études arctiques à l'Ecole des hautes études en sciences sociales. Il est chargé depuis quelques années de mettre en place une école formant les élites dirigeantes des différents peuples inuits de l'Arctique au nom de la France avec l'aide de la Russie et du Canada. Cette école s'appelle l'Académie polaire d'État de Saint-Pétersbourg. Il est depuis 1982 membre de l'Académie de Rouen et a été nommé officier de la Légion d'honneur en 1998. Bibliographie Jan Borm, Jean Malaurie, un homme singulier, Éditions du Chêne, 2005. Jean Malaurie, Les derniers rois de Thulé, Plon, 1954. Jean Malaurie, Ultima Thulé, Plon, 1990. Jean Malaurie, "Apprendre à lire - relire - les Anciens et les chers collègues", in Apparences trompeuses, Giulia Bogliolo Bruna, Yvelinédition, 2007. Bogliolo Bruna, Giulia (sous la direction de), Alla ricerca della quadratura del Circolo Polare. Testimonianze e studi in onore di Jean Malaurie, Il Polo (numero speciale), vol. 25-26, Istituto Geografico Polare, Fermo,1999.
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Extrait du site officiel de Froncois Breider Super beau site tres complet a consulter sans attendre http://www.frbeiger.com/ Biographie de François Beiger Biographie rédigée par un bureau de communication. Voilà pourquoi celle-ci est écrite à la troisième personne Mais qui est François Beiger ! Né à Strasbourg le 16 décembre 1945, petit cousin avec le Dr. Albert Schweitzer. Par la suite, sa vie atypique est un rêve, Un rêve mué par la passion qui a pris sa réalité grâce au courage et à l'entêtement. Un rêve comme tant d'hommes en ont fait, mais que peu ont vu prendre vie. Il était une fois ..... En 1953, à l'âge de 8 ans, François Beiger a croisé à Strasbourg, sa ville natale, dans une salle de conférences, un géant aussi magnétique que le pôle et qui portait trois prénoms : Paul-Émile Victor, venu témoigner en personne que les rêves, quand ils sont très forts, se réalisent. Même si ça peut prendre du temps. Dès lors il s’intéresse aux peuples Inuit. Tour à tour disc-jockey, animateur, plagiste, coureur automobile, alpiniste. 1971 à 1987 - Créateur et styliste de mode pendant seize ans à Paris et en Suisse sous sa propre marque (François B) François Beiger a rejoint son rêve en marchant en crabe sur des chemins sinueux. 1973 - La naissance de son fils Xavier, trisomique, le bouleverse. Il est blessé, écorché vif dans son intérieur. Il décide alors de s’accrocher à ses rêves d’enfants. Partir un jour avec ses chiens polaires et rejoindre la banquise et les peuples autochtones du froid. 1975, il s’intéresse à l’éthologie canine et crée en 1977 son propre élevage de chiens polaires. Il étudie le comportement canin et animal en général et se rend très vite compte que l’animal apporte un potentiel de stimulation et de motivation à l’être humain. 1988 et 1989 - Il est médaillé de bronze aux Championnats d'Europe. En 1989, il est Champion de France. L'appel du Grand Nord En 1990, cet explorateur dans l'âme, part définitivement s'installer au Québec dont il ne connaissait rien et où il ne connaissait personne. Avec ses 11 chiens et 920 $ en poche, il embarque à Roissy pour Montréal. 1991-1993 – Il vit trois ans dans un camp de bûcheron, à Clova en plein bois, parmi les trappeurs, coureur de bois et surtout avec la communauté Amérindienne des Attikamekws. C’est là qu’il redécouvre ses rêves d’enfants, et se rend compte des valeurs que les Amérindiens donnent à la vie. Accepter la différence, partager, comprendre la valeur du temps et de la nature. Époque retracée dans son livre " Onze chiens, un homme, une passion " 1993/94 – Il part vivre chez les Inuit dans le village de Quaqtaq au Nunavik et passe un hiver complet parmi eux. Il est convaincu que sa vie avec ses chiens polaires est au milieu de la nature, de la faune et proche des peuples autochtones. 1993/95 - Consultant en développement auprès des Inuit pour le compte du gouvernement régional Inuit Makivik. 1994 – Il passe les deux mois d’été avec une famille Inuit à la pointe du Labrador. 1994/95 – Il retourne à Quaqtaq pour passer un autre hiver chez les Inuit. 1995 – Il traverse à pieds les Monts Torngats avec un ami Inuit, Lucassie et son fils. La légende des Torngats Centre d'Interprétation de la nature et du chiens de traîneaux au Canada En 1995 - Il crée le premier Centre d’interprétation du Chien de traîneau et de la Nature au Québec, avec son élevage de plus de 60 chiens polaires. Il ouvre un musée qui retrace l’histoire du chien polaire, patrimoine Inuit, et collectionne des objets dont de très belles pièces personnelles. 1996 – Il monte encore plus haut. Le Nunavut, Iqaluit la capitale. Il côtoie toute la faune du Canada : loups, lynx, orignal, cerf de Virginie, ours noir, castor, ours polaire, caribou, phoque, béluga, loup arctique, morse etc... Un défi puis un autre, de raids en expéditions, "le français", comme ses amis autochtones l'appelle, a fait son trou dans la neige, gagné l'estime rude des hommes du froid. 1997-98-2000 et 2001 – Il passe les hivers à la Baie James chez son ami Bobby, un amérindien de la Nation Cri. 1998 – Septembre, il part à Peawanuck, chez Sam, de la Nation Cri du côté Ontario, qu’il a rencontré à Edmonton, en Alberta, lors d’une fête. Passionné, passionnant, l'explorateur François Beiger aime les grands défis. En 1997, il décide de monter le projet qui lui trotte en tête depuis 1994. Faire le tour du Nunavik en solitaire avec 16 de ses compagnons à quatre à pattes. C'est ainsi qu'il va préparer pendant deux ans l'expédition : "Perce Neige Nunavik 99" Explorer, découvrir, rencontrer les peuples du froid, apprendre, partager, donner un sens à ce qu'il entreprend. Voilà ses priorités. Il va donner quatre buts à cette expédition. Les buts : culturel - ethnologique - humanitaire - pédagogique C'est le 19 janvier 1999 qu'il quitte Chisasibi, un village indien Cri sur la baie James. Tout en ralliant 12 villages Inuit il va rejoindre Kuujjuaq situé au sud de la baie d'Ungava. Kuujjuaq est aussi la capitale du Nunavik avec ses 1500 habitants. Un périple de 2800 kilomètres. Trois mois dans la toundra et sur la banquise. Au village de Kuujjuarapik, terme de sa première étape, pendant quatre jours, il va accueillir Sophie, Jacqueline, Yvan et Rodolphe, tous quatre handicapés mentaux et ambassadeur de Perce-Neige. François Beiger, en compagnie des Inuit, leur a préparé un programme d'activités : construction d'un igloo, pêche sous la glace, rencontre avec les enfants Inuit de l'école et bien sûr une promenade en traîneau à chiens... Le 7 avril 1999, après 2800 kilomètres de parcourus, 9 tempêtes de blizzard, l'explorateur François Beiger arrive à Kuujjuaq, dans la plus grande discrétion. Il vient de s'enrichir d'une extraordinaire expérience humaine qu'il relate dans son livre "Nunavik 99" et dans son film de 52 minutes du même titre. Film qui a été sélectionné au Festival du Film d'Exploration Jules Verne à Paris en 1999. Au fil des années, François Beiger est reconnu comme le spécialiste des chiens polaires, des peuples Inuit et Amérindiens, de l'Arctique. Conférencier reconnu et aimé, il captive son public par ses récits racontés avec passion. Il collabore régulièrement avec les télévisions, radios, journaux et magazines en France et au Canada. Auteur de récits et de romans d'aventures pour la jeunesse et pour adultes. 1998 - François Beiger, crée également "La Fondation pour la Trisomie" cause qui lui tient à cœur. 2001 - En France il crée l’association « Handicap, Rêves et Défis Jeunesse » Cette Association a pour but d’offrir aux handicapés mentaux la possibilité de pouvoir faire des voyages et des activités exceptionnelles, hors du commun. Il développe aussi un Centre de zoothérapie. Cette Association a aussi pour rôle de défendre les droits des personnes handicapées mentales et de faire en sorte que leur intégration dans notre monde moderne et au près des jeunes se fasse dans le respect. C’est encore d’informer les parents de ces personnes handicapées des différentes possibilités et activités. 2003- « Objectif-Groenland. » avril - mai 2003. Un projet avant tout humanitaire et pédagogique. Objectif : Offrir à de jeunes handicapés mentaux un voyage, en compagnie de trois collégiennes, à Tasiilaq sur la Côte Est du Groenland. Puis il réalise une expédition à l'intérieur du Groenland en chiens de traîneau. 2003 - Il fonde en France « l'Institut Français de Zoothérapie » et développe en Isère le premier Centre de Zoothérapie. Il crée les premiers séminaires de formation à la zoothérapie. Côté littérature : Découvrez sa bibliographie Il intervient auprès des jeunes pour des ateliers d'animations dans les collèges, lycées, universités, foyers, hôpitaux d'enfants, centres de jeunes, Université du Temps libre, sur les sujets à voir en page conférences
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Extrait d'un tres beau site officiel sur Paul Emile Victor: http://www.paulemilevictor.fr/ Paul-Emile Victor (1907-1995) par Daphné Victor Né à Genève le 28 juin 1907, Paul-Emile Victor est, dès son enfance, attiré par les pôles. Il grandit à Saint-Claude (Jura) avec ses parents Eric et Laure Victor. Sa soeur Lily nait le 30 novembre 1908. Les Etablissements Victor fabriquent des pipes. En 1919, la famille s'installe à Lons-le-Saunier (Jura), où le père ouvre une usine de fabrication de pipes et stylos. 1925-1928 : Après son bac, Paul-Emile suit les cours de l'Ecole Centrale de Lyon qu'il quitte sans passer son diplome. Il réussit l'examen d'entrée à l'Ecole Nationale de la marine marchande. 1933 : Suit les cours de Marcel Mauss. Rencontre le commandant Charcot. Diplômé de l'Institut d'Ethnologie de Paris et de l'Ecole Navale de Marseille. 1934-1935 : Chef de l'expédition française sur la cote est de Groenland. Attaché au musée d'Ethnographie du Trocadéro, il organise en 1934 sa première expédition polaire. Le Commandant Charcot le dépose, avec trois compagnons, pour un an sur la côte est du Groenland, chez les Eskimo d'Ammassalik. Début 1935, il traverse le désert de glace du Groenland (l'Inlandsis), d'ouest en est, en traîneaux à chiens, avec Robert Gessain, Michel Perez et Eigil Knuth. 1936 : Traversée de l'inlandsis groenlandais d'Ouest en Est en traineaux à chiens. En 1936-1937, il y revient seul et s'installe à Kangerlussuaq (côte est) et vit au sein d'une famille esquimaude pendant quatorze mois, "comme un eskimo parmi les eskimo". En 1939, il fait un séjour d'études ethnographiques en Laponie, avec les docteurs Michel et Raymond Latarjet. Il quitte la France après l'armistice de 1940, s'installe en 1941 aux Etats-Unis où il s'engage dans l'US Air Force. Obtention de la nationalité americaine. En 1943, pilote et parachutiste, il devient instructeur à l'Ecole d'Entraînement Polaire, où il crée en 1944 les escadrilles de "Search and Rescue" pour l'Alaska, le Canada et le Groenland, chargées de la recherche et du sauvetage des équipages aériens. 1946 : Démobilisé en juillet. Mariage, le 30 juillet, avec Eliane Decrais. Le 28 fevrier 1947, il crée les Expéditions Polaires Françaises (EPF) - Missions Paul-Emile Victor, qu'il dirigera jusqu'en 1976. 30 mai 1947 : Naissance de son fils Jean-Christophe, puis le 6 novembre 1952 de Stéphane et Daphné. 1948 : Expédition Groenland. Les missions se succèdent jusqu'en 1953 1948 - 1949 : Premiere expedition des Expeditions polaires françaises (EPF) en Antarctique (sans Paul-Emile Victor). Le Commandant Charcot, bateau acquis par les EPF, bloqué par la glace le 11 fevrier 1949, fait demi-tour sans pouvoir accoster. 20 janvier 1950 : André-Frank Liotard et Max Douguet plantent le drapeau français en terre Adelie, cent dix ans après Dumont d'Urville. 1955-1958 : PEV est nommé président du sous-comité Antarctique constitué en 1953 par le CNRS pour préparer l'Année géophysique internationale du 1er juillet 1957 au 31 décembre 1958. 1956 : Premier voyage de Paul-Emile Victor en terre Adelie. Après trois ans d'absence française, une nouvelle expedition y construit la base Dumont-d'Urville. Au même moment, la base Charcot voit le jour, à 320 km à l'interieur du continent blanc. 1959 : Obtient du gouvernement que les expéditions en terre Adelie deviennent permanentes. A la tête des EPF, Paul-Emile Victor conduit de nombreuses expéditions au Groenland (Arctique) et en Terre Adélie (Antarctique) où est construite une base scientifique française permanente. Il est en outre Chef de l'Expédition Glaciologique Internationale au Groenland (E.G.I.G.), Président du Scientific Committee on Antarctic Research - SCAR, Président du Comité Antarctique Français pour l'Année Géophysique Internationale (AGI). Il enchaine les campagnes d'été pratiquement tous les ans en terre Adelie jusqu'à celle de 1975-1976. A partir de 1962, il organise de multiples activités sur la défense de l'homme et de son environnement, collaborant en particulier avec Louis Armand (1905-1971 ) et devient en 1968, Délégué Général de la Fondation pour la Sauvegarde de la Nature. Il crée en 1974, avec Alain Bombard, Jacques-Yves Cousteau, Louis Leprince-Ringuet, Haroun Tazieff, Jacqueline Auriol, le professeur Jacques Debat, le Groupe Paul-Emile Victor pour la Défense de l'Homme et de son Environnement. 1er mars 1965 : Epouse en secondes noces Colette Faure, et naissance le 30 septembre 1971 de Teva. 1976 : Quitte la direction des Expeditions polaires françaises. Auteur de quarante ouvrages scientifiques, techniques et de vulgarisation, Paul-Emile Victor réalise en 1977 son second rêve d'adolescence : il s'installe avec sa famille sur une île déserte de la Polynésie Française, sur le Motu Tane ( l'"île de l'homme" en tahitien ) où il dessine, peint, expose. En Fevrier 1987, pour fêter ses 80 ans, il retourne en Terre Adélie puis au Pôle Nord en avril-mai avec l'expedition de Hubert de Chevigny et Nicolas Hulot. 1989 : Inauguration du Musée polaire à Prémanon (Jura) . 1992 : Inauguration de l'Institut français pour la recherche et la technologie polaire (IFRTP), qui reprend les activités des EPF et de la mission de recherche du territoire des Terres australes et antarctiques françaises. Il s'éteindra sur son îlot de Bora Bora, le 7 mars 1995, et sera, selon sa volonté, immergé en haute mer depuis la frégate "Dumont d'Urville", de la Marine Nationale, au large de Bora Bora. Daphné Victor
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Le husky de Sakhaline, également connu sous le nom de Karafuto-Ken, est une race de chien utilisée comme chien de traîneau Origine: Ils ont pour origine l'île de Sakhaline, au nord du Japon. aspect Cette race est un type de spitz, connexe au Spitz et à l'Akita japonais Inu. La taille change entre 56 centimètres et 66 centimètres au garrot avec une gamme de poids de 30 kilogrammes à 40 kilogrammes. Les oreilles sont petites, aigu, parfois légèrement incliné expédie ou parfois tombant. Cette race vient dans beaucoup de couleurs, incluant mais non limitées à reinette-rouge et à noir. Les poils sont très fin et raide, avec une sous poil très denses, semblable aux poils du chien du Groenland histoire Karafuto-ken décompose comme Karafuto, le nom japonais pour Sakhaline ; par conséquent, ceci fournit l'origine géographique de la race. Cette race est maintenant rarement employée ; donc, peu de sélectionneurs restent au Japon.
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Description du standard de l'esquimaux canadien par le Club Canin Canadien http://www.ckc.ca/fr/ Origines et rôle Le chien esquimau canadien est une race aborigène qui a eu plusieurs appellations. En tant que race, Le Club Canin Canadien a, par le passé, nommé ce chien «Eskimo», «Esquimau Husky», «Esquimau Dog» et «Husky». Les Inuit du Canada Arctique appellent ce chien «Quimmiq». La race a 1100 à 2000 ans d'histoire interdépendante de la culture des Esquimaux de Thule qui, suivant la culture de Dorset, occupèrent la côte et l'archipel appelés maintenant Canada Arctique. Quoique faisant partie de la famille des spitz, l'origine de l'esquimau canadien se perd dans la préhistoire Inuit qui inclut les migrations Mongoles de l'Asie vers l'Amérique du Nord. La lignée existante des chiens esquimaux canadiens vit le jour à partir des souches premièrement élevées par la Fondation pour la recherche sur le chien esquimau dans les territoires du Nord-Ouest. Le travail de la Fondation durant une période de 6 ans fut d'abord financé par le gouvernement canadien et des Territoires du Nord-Ouest et impliqua l'achat de spécimens restants chez les Inuit de la Péninsule de Boothia, de la péninsule de Melville et des parties de l'île de Baffin. Le chien esquimau canadien, comme tous les chiens primitifs, est essentiellement carnivore, son régime habituel étant constitué de phoque, morse, poisson ou caribou. Pendant des siècles cette race a été utilisée comme chien de trait, étant capable de tirer de 45 à 80 kg par chien sur des distances de 15 à 70 milles par jour. Il était aussi utilisé comme chien de chasse pour les chasseurs Inuit, situant les phoques respirant aux trous. En tant que chien de chasse il savait aussi traquer et retenir le boeuf musqué et l'ours polaire pour les chasseurs Inuit. En été, le chien était employé comme chien de bât pouvant transporter jusqu'à 15 kg. Aspect général Le chien esquimau canadien est de construction puissante, de dimensions moyennes, avec une encolure et une poitrine fortes, des membres de longueur moyenne. Typique chez les spitz, la tête est en forme de coin, portée haute avec des oreilles droites et épaisses. Les yeux sont placés en oblique donnant une apparence sérieuse. La queue touffue est portée au-dessus du dos ou enroulée sur le dos. La hauteur au garrot est à peu près la même que la hauteur aux hanches, ossature moyenne à forte et bien musclée, le chien montre un physique puissant et majestueux indiquant qu'il n'est pas construit pour la vitesse mais plutôt pour l'endurance. Pendant l'hiver, le corps est recouvert d'un manteau épais, le poil de couverture étant droit, voire hérissé; le sous-poil est dense, ce qui permet à l'animal de supporter aisément les rigueurs de ces hautes latitudes. Une longue crinière couvrant l'encolure et les épaules apparaîtra chez les mâles. La conformation d'ensemble du chien esquimau canadien devrait être force, puissance et endurance en équilibre avec agilité, vivacité et audace. La femelle aura normalement un poil de couverture plus court et sera toujours visiblement plus petite que le mâle. Les jeunes femelles auront une ossature plus légère, une tête plus étroite qui tendra à donner une expression plus amicale que les mâles. Les mâles et les femelles ont une croissance rapide mais équilibrée atteignant pratiquement la taille nécessaire pour travailler autour des sept mois. Dans tous les cas, le temps de la maturation continue jusqu'à trois ans, les chiens atteignant alors leur apparence très majestueuse. Les chiots sont souvent décrits comme des adultes en miniatures, ayant les oreilles érigées et la queue enroulée déjà entre trois et cinq semaines. Il peut y avoir, occasionnellement, des périodes durant l'adolescence pendant lesquelles les oreilles ne sont pas pleinement dressées mais il est important de noter que les oreilles du chien esquimau canadien n'ont pas la même croissance graduelle pour se tenir droites autour de quatre mois comme chez d'autres races. Tempérament Le caractère du chien esquimau canadien doit refléter la résistance au travail difficile inhérente à sa race. Il ne doit pas être perçu comme un animal de compagnie mais plutôt comme un chien primitif domestiqué à l'origine par les Inuit pour des tâches spécifiques dans le milieu arctique particulièrement dur. À sa maturité, le chien esquimau canadien est de nature gentille et affectueuse avec l'homme, appréciant sa présence. Même avec les étrangers il est rarement réservé. Habituellement, il est bienveillant et d'une curiosité inoffensive ou devient complètement distant. Le chien a l'instinct de meute profondément ancré et s'il vit en groupe, la hiérarchie s'établira sous le commandement total du dominant. Le comportement à l'intérieur de la meute est normalement bien structuré et contrôlé mais il n'est pas rare de voir des chiens balafrés ou aux oreilles déchirées, originaires de chenils où ils vivaient en groupe ou en meute. Comparé aux races modernes domestiques, le chien esquimau canadien répond presque trop fortement à n'importe quel stimuli, que ce soit la nourriture, le travail, la provocation ou le jeu. Pour cette raison, le chien devrait être un compagnon pour l'adulte et n'est pas à considérer comme animal de compagnie pour enfant. Taille La hauteur des mâles se situe entre 23 et 27 1/2 pouces (58 - 70 cm) au garrot et approximativement identique aux hanches. Le poids de forme des mâles devra généralement être de 66 à 88 livres (30 à 40 kg) en proportion avec la hauteur. La hauteur des femelles devra être de 19 1/2 à 23 1/2 pouces (50 - 60 cm) au garrot et approximativement identique aux hanches. Le poids de forme des femelles devrait se situer entre 40 et 66 livres (18 - 30 kg). Robe et couleur Sujet à une mue annuelle habituellement en août ou en septembre, la robe est épaisse et dense avec un poil de couverture dur et rigide dont la longueur peut varier de 3 à 6 pouces (7 - 15 cm). Une crinière couvrant la nuque et les épaules peut faire paraître le mâle plus large et plus haut au garrot qu'il ne l'est en réalité. Le sous-poil est très dense pour donner une excellente protection pendant les plus extrêmes conditions de l'hiver. Pendant la mue, le sous-poil tombe en touffes pendant quelques jours. Les femelles ont généralement une fourrure plus courte dans l'ensemble, partiellement dû à la mue supplémentaire habituelle après la mise bas. Aucune couleur unique ou échantillon de couleur ne devra dominer dans la race, les couleurs et mélanges de couleurs du chien esquimau canadien seront : (a) Robe blanche complète avec pigmentation autour des yeux, sur la truffe et les lèvres (il ne s'agit pas d'un albino); (b) Robe blanche avec seulement une toute petite quantité de roux, chamois (y compris les ombres couleur cannelle), gris ou noir autour des oreilles et des yeux; (c) Robe blanche avec des marques rousses, chamois, cannelles, grises ou noires autour des oreilles et des yeux ou la tête complètement marquée de ces couleurs, parfois des petites pastilles de la même couleur sur le corps, généralement autour des hanches ou sur le flanc; (d) Roux et blanc, ou chamois et blanc, ou cannelle et blanc ou noir et blanc avec une distribution 50/50 de chaque couleur sur les différentes parties du corps; (e) Robe rousse ou chamois ou cannelle avec du blanc sur la poitrine et/ou les membres et sous le corps; (f) Corps sable ou noir ou gris foncé avec du blanc sur la poitrine et/ou les membres, sous le corps, occasionnellement étendu à l'encolure comme une collerette; (g) Robe gris-argent ou blanc-grisâtre; (h) Sous-poil chamois à brun avec poil de couverture noir. Très commun chez les chiens avec une couleur bien marquée sur la tête est le masque ombré de blanc autour des yeux et/ou autour de la truffe avec ou sans points au-dessus des yeux. Dans de très rares occasions les points au-dessus des yeux autant que les marques sur les joues pourront être de couleur chamois ajoutant ainsi une troisième couleur sur un chien normalement bicolore. La pigmentation du nez variera du noir au brun clair (spécialement pour les robes claires avec du roux, cannelle ou chamois sur le corps). Les truffes de couleur brun pâle peuvent occasionnellement être tachées de ladre. Tête Dans son ensemble, le crâne serait décrit comme étant massif mais bien proportionné, large et en forme de coin. Souvent décrite comme ressemblant à une tête de loup, la tête du chien esquimau canadien a un front plus haut. Les jeunes femelles ont un crâne plus étroit que les mâles. Le museau est effilé et de longueur moyenne. Gueule : mâchoires lourdes et puissantes, garnies de dents larges, les canines sont bien développées. Les incisives ferment en ciseaux. Les dents sont parfaitement adaptées à la façon instinctive qu'a le chien de déchirer soit le poisson ou la viande. Les lèvres sont noires ou brunes avec du rose. Les yeux sont généralement foncés mais la couleur noisette ou jaune peuvent apparaître chez certains sujets. Ils sont petits, écartés l'un de l'autre et placés obliquement ce qui tend à donner au chien une expression plus sauvage et trompeuse qu'il ne mérite. Les oreilles sont courtes, épaisses avec des extrémités légèrement arrondies. Elles sont dressées, tournées vers l'avant et couvertes d'un poil court et dense. L'espace entre les oreilles pour les mâles doit être compris entre 5 et 6 pouces (13 - 15 cm). Pour les femelles, la distance varie entre 4,5 et 5,5 pouces (11 - 14 cm). Le cri naturel est un hurlement, pas un aboiement. Lorsqu'ils sont en groupe, les chiens donnent souvent de la voix dans un étrange choeur de diverses fréquences, ce qui est un des sons émouvants de l'Arctique. Un ensemble de chiens produira un crescendo persistant pendant des périodes variables jusqu'à un signal de tonalité spéciale qui l'interrompra brutalement. Cou L'encolure est courte, droite, épaisse et très musclée. Membres antérieurs Le chien a des épaules fortes attachées obliquement avec une musculature moyenne. Les aplombs antérieurs sont droits mais semblent arqués à cause du triceps bien développé au-dessus et derrière le coude ainsi que de la musculature prononcée de l'avant-bras. Les pieds sont larges, sensiblement ronds, bien cambrés avec des coussinets épais et bien garnis de poil entre eux; toutefois, sous les froides conditions hivernales, cette fourrure deviendra plus longue pour couvrir le dessous des coussinets. Corps Le corps devra accentuer davantage l'impression de puissance et d'endurance au moyen d'une poitrine profonde, large, bien musclée avec un rein bien développé. On ne trouve qu'une légère dépression au niveau du flanc. Curieusement, la colonne vertébrale, palpée sous la robe, est bien marquée. Le corps doit surtout être bien musclé et sans graisse. La peau est épaisse et résistante. Les femelles ont un corps plus petit et moins musclé que les mâles. Membres postérieurs Les hanches peuvent paraître aussi prononcées que la colonne vertébrale et sont à la même hauteur que le garrot. Les membres sont très musclés, les cuisses bien gigotées en appui sur des jarrets solides. Les chevilles sont bien angulées. Le pied arrière est semblable au pied avant mais sensiblement plus long. Les aplombs arrières sont droits, les jarrets ne tournant ni vers l'intérieur, ni vers l'extérieur. Queue La queue est large et touffue et généralement portée relevée ou enroulée sur le dos. Dans certaines occasions, les femelles adultes peuvent porter la queue tombante. Allure La démarche de ce chien de travail est puissante, le trot est vif, les membres postérieurs se déplaçant dans l'axe du déplacement des pattes antérieures pendant la propulsion mais avec une légère abduction pendant le retour de la foulée arrière. Cela est spécialement prononcé chez les mâles adultes ayant travaillé sur de longues distances en harnais. La démarche peut paraître maladroite à un oeil non exercé mais elle résulte d'une large prise au sol générée par des cuisses bien développées. Cette démarche particulière est une foulée efficace et équilibrée nécessaire à la traction de lourdes charges jour après jour. L?allure ne doit en aucun cas paraître raccourcié ou pagayante (les membres se projetant vers l?extérieur, les pieds se levant peu du sol). Les femelles sont plus rapides et légères que les mâles et sont capables de passer du trot naturel au galop pour maintenir la vitesse de course sur de plus longues distances que les mâles. Défauts Tête : museau carré ou lèvres lâches, yeux ronds ou protubérants. Membres : légers, ossature fine ou jarrets de vache. Cou : long et fin. Robe : poil court, de mauvaise qualité. Corps : poitrine étroite, manque général de musculature, graisse excessive, ligne dorsale inclinée, ossature grossière ou absence d'os fins chez la femelle. Pieds : plats ou ouverts. Caractéristiques éliminatoires Yeux bleus; ergots aux membres postérieurs; oreilles tombantes (exception faite pour les oreilles déchirées par une bataille); toute coupe ou tonte de la robe au moyen de ciseaux; aucun doute ne doit subsister à propos du port de la queue qui doit être enroulée ou portée haute chez le mâle (sachant que la queue peut être portée basse en signe de soumission ou en cas de stress); prognathisme supérieur ou inférieur.
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Bon bin leS 3 et 4 novembre c'est la course de Mondoubleau comptant pour le championnat d'europe terre (sauf erreur de ma part). Perso j'y vais en spectateur pour decouvrir en plus je serais a domicile car "ma famille habite dans le loir et cher....................". Par compte ya t'il du monde du forum qui prevoit d'y venir? coureur ou spectateur