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C'est mouais !

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Tout ce qui a été posté par C'est mouais !

  1. Oui, bien sûr !!! Contact moi par Mp , je t'enverai une liste demain
  2. Tu peux mettre tes oeufs vermifugés en incubation, il n'y a pas de contre indication ni sur la fertilté, ni sur le dévelloppement.
  3. Il y a quand même une bonne raison a ça ! D'une part, le gel endommage les pores de la coquille et provoque une trop grande désidratation des oeufs pendant l'incubation, et d'autre part, il modifie la structure du blanc d'oeufs qui change de propriété physique.
  4. La moindre gelé est fatale pour l'oeuf.
  5. Question de novice : Est ce que la formation des juges est la même partout en France et en Europe ???
  6. Patience, pour une fois qu'on a un vrai hiver... L'anée dernière, c'était pas la même !
  7. Pour le reste, tu as ce lien, il explique pas mal les choses : http://www.braquedubourbonnais.info/fr/calcul-consanguinite.htm
  8. Généralités [modifier] Le gène est constitué d'une séquence de nucléotides, fragments unitaires de l'ADN. Cette séquence peut être modifiée d'une manière naturelle et aléatoire au niveau d'un ou plusieurs nucléotides, on parle de mutation. Une mutation introduit une variation par rapport à la séquence de départ : la séquence modifiée est un allèle du gène de départ. Dans une cellule diploïde, il y a deux allèles pour chaque gène : un allèle transmis par chaque parent. Les allèles transmis par les parents peuvent être identiques ou non. Chez l'être humain, chaque gène est présent en double exemplaire, l'un provenant du père, l'autre de la mère. Dans une population, on peut avoir plusieurs allèles d'un gène, représentant plusieurs formes alternatives du même gène. Si les allèles apportés par chaque parent sont identiques dans leur séquence nucléotidique, l'individu est homozygote pour ce gène. S’ils sont différents, l'individu est hétérozygote. Dans ce dernier cas, deux possibilités sont envisageables quant au phénotype résultant de l'expression du gène. Si l'un des deux allèles s'exprime et l'autre reste « muet », on dit que le premier est dominant et l'autre récessif. Les allèles dominants sont symbolisés par une lettre majuscule, et les récessifs par une lettre minuscule. Dans une population, un gène peut donc exister sous plusieurs variantes, le locus et la fonction restant constants. On dit qu'un gène est polyallélique ou polymorphe s’il est représenté par plus de deux allèles, ceux-ci étant reconnus en tant que tels s'ils se retrouvent à plus de 1% dans une population. Voir fréquence allélique. CF Wikipédia par exemple ou n'importe quel bouquin de biologie
  9. Tu te trompe Cyroit, et je pense que de ce niveau là, tu ne risque pas de me faire changer d'avis d'aussi tôt... Mais bon, je vais pas y passer ma journée ! LOL Pour ta dernière présision, évidement, je suis d'accord avec toi, ce n'était qu'un exemple simplifier comme écrit noir sur blanc en titre. J'ai essayer de prendre un exemple qui pouvais parler au plus grand nombre.. Bien évidement, il serait difficile de baser une approche génétique d'un sujet sur une variable.
  10. Au boulot, j'utilise modèle BLUP animal sur les poules. C'est a dire que nous faisons un estimation comme présentée ci-dessus mais en remontant le plus loin possible. Dans ce cas, la proportion des ascandant dans la note final est de : 25% parents 12.5% Grand parents 6.25% Arrière grand parents 3.125% Arrièrre arrière grad parents Etc... Plus on remonte loin, plus l'estimation est proche de la réalité. Ps : il s'agit ici d'une simplification des méthodes de calcules beaucoups plus complexe que cela.
  11. Prenons un exemple simplifier : Une poule 91 est accouplée avec un coq 96 deux poussins éclosent de leur union une poule 93 et un coq 95 La valeur phénotypique est donc de 93 points pour la femelle et de 95 points pour le coq. Mais, la valeur génétique vrai de ces sujets n'est pas la même. Pour en rechercher une estimation, on procède ainsi : Pour la femelle, on sait qu'elle partage 25% de son génôme avec son frère et avec chacun de ces parents. Donc : Estimation génétique réel femelle = 93 + (25% 95 + 25% 91 + 25% 96 )/1,75 = 93+(23.75+22.75+24)/1,75=93,4285 points Estimation génétique réel mâle = 95 +(25% 95 + 25% 91 + 25% 96)/1.75 = 95+(23.75+22.75+24)/1.75=94,5714 points Conclusion : La valeur génétique de la femelle est supérieur a celle exprimé et celle du mâle inférieur a celle exprimé. Donc, qu'en Julien dit : "Je vends chaque année lors des championnats de France et Régionaux d'excellents sujets 95, 96 sans aucun problème et je peux garder pour moi des 93. Pourquoi parce que haut delà du jugement et de la qualité du sujet lui même il faut constituer ses parquets en sachant ce que l'on veut faire." Il a 100% raison. Et ça s'explique trés bien depuis des modèles génétiques classique. Dans l'exemple, on a tout interet a garder cette femelle car elle a un potentiel génétique plus grand que son frère pourtant meilleur.
  12. Un gène est une partie d'un chromosome qui code pour un caratère donné ce gène peu prendre plusieurs forme que l'on nome allèles (ou mutations). Par exemple, pour le gène "couleur des yeux", tu as l'allèle "yeux bleu" ou l'allèle " yeux marron" , l'allèle "yeux vert", l'allèle "yeux jaune" etc... Chez l'homme, tu peu trés bien avoir pour le gène "couleur des yeux" deux allèles différents : Yeux marron/yeux bleu Donc, bien que tu ais les yeux marron, tes enfants pourrons avoir les yeux bleu...
  13. Exact, mais il a qu'en même 25% de chance qu'il est directement le défaut , 50% de chance qu'il en soit porteur, et seulement 25% qu'il n'en soit pas porteur. Ce qui, si je calcule bien fait 75% en faveur du défaut (visible ou non)
  14. la tu te contredit car tu dit plus haut que c'est 25 % entre frére et soeur alors qu'entre mére et fils c'est invariablement de 50 % tu confond encore gène et allèle ! pour un caratère donné, un enfant hérite d'un chromosome de sa mère et d'un de son père . Comme pour un gène donné, chacun des parent possède 2 allèles, (identique ou non) et qu'il n'en transmet qu'un seul,La consanguinité de parent à enfant, en supposant une consanguinité nulle (cas d'école impossible en pratique) entre les deux parents, est de 25%. En effet, l'enfant partage dans ce cas la moitié de ses chromosomes ou plus exactement de ses allèles avec chacun de ses parents. Exemple : Pour le gène QQ, la mère possède l'allele A et l'allèle B, le père l'allèle C et l'allèle D Un enfant AC pour le gène QQ n'a bien que 25% de son génôme en commun avec chacun de ces parents La consanguinité de ces enfants entre eux est la même que celle vis-à-vis de leur parents. Cela implique qu'un enfant d'un accouplement entre frère et sœur a le même degré de consanguinité qu'un enfant d'un accouplement entre parent et enfant. Donc, une enfant hérite de 50% des gènes de sa mère mais seulement de 25% de ces allèles
  15. Tu confond gène et allèles ce qui na rien a voir ! Quasiment toutes les poules ont les même gènes ! Le coefficient de consanguinité (% d'allèles en commum) entre un frère et une soeur est de 25% et ne varie pas de 0 à 100% (100% = clone et est trés trés rare en aviculture ; 0 est impossible tous simplement) Du reste, ce CC est le même entre un frére et une soeur qu'en un parent et un enfant. Il y a donc le même pourcentage d'allèle en commum entre une mère et son fils qu'entre un soeur et son frère. C'est en cela que l'estimation génétique d'un indivudus ce fait toujours par les parents mais aussi par les collatéraux.
  16. Je ne suis pas d'accord avec ce que tu dit, Au contraire, il est important de prendre en compte les frères et soeurs justement parceque le brassage génétique des parents peut faire apparaitre un défaut grave chez les uns qui peut être caché chez les autres bien qu'il en reste porteur. Les "défauts" ne sont pas tous dominant dans un croisement, bien au contraire et c'est bien pour ça que l'observation des frangins/frangines à un interet certain. Actuellement et a l'inverse de ce que tu affirme, prendre en compte les collatéraux veux bien dire quelques chose en génétique et tous les modèles actuel de calcul prennent en compte ce facteur. Car il y a une règle en génétique qui dit grosso modo que tu as plus de chance d'avoir une génétique proche de tes frères/soeurs, que de cousins ou d'un autres sujet plus ou moins éloigné.
  17. Ben justement Doudou, je recherche quelques chose de bien particulier pour ma volière, je t'envoi un MP
  18. Ha, ha, ha Bon, les mesures que je te donne concerne les GR, mais c'est la même chose avec les naine sauf que pour l'écartement, c'est plus faible. normalement et si j'ai de bon souvenir, sur les pékin, c'est deux doigts et demi.
  19. Merde, j'ai pas encore commancer a construire ma volière... Punaise, pouvait pas attendre quelques mois ! LOL Bon, en tout cas, j'y ferais peut être un sot
  20. Pour savoir qui pond, tu attrapes les poules, tu les reournes et tu places tes doigts entre la pointe des os pelviens (les deux pointes que tu sent à droite et a gauche du cloaque). 1 doigt = pond pas 2 doigts = prête a pondre 3 doigts = en pleine ponte. C'est imparable !
  21. Sinon, il y a le vaccin tous simplement, mais il est cher et pas du tout adapté a l'élevage amateur... Comme toujours quoi !
  22. Je serais plus nuancé que toi la dessus. je pense que pour avoir une bonne idée de la valeur d'un sujet, il faut avant tout prendre en compte ça valeur propre, mais aussi celles des parents, de ces collatéraux (frères soeurs) et enfin de sa descendance. Si sur une couvée issue des même parents tu as 10 poussins et tu as 8 x 00, 1x 92 et un seul 95, même s'il obtient toujours la même note de 95 sur 10 concours, tu as de forte chance que sa descendance ne soit pas top top... A l'inverse, si tu as sur cette couvée 8x 92, 1x 93 et ,1x 95 alors là, oui la valeur de ce sujet est certainement bonne. Pour estimer raisonablement la valeur d'un sujet, il faut le concidérer dans un ensemble et non comme une unité propre.
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