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Reptoterraclub-reptoterraclub a posté un sujet dans Achat/vente animaux.
ATTENTION: Service réservé aux membres du repto terra Club. Ce service permet de poster une annonce en "post-it" à savoir qui restera en tête de liste et plus longtemps. Cela concerne des annonces "à long terme" comme par exemple proposer des insectes comme nourriture (surplus d'élevage), du verre en vrac que vous pouvez avoir régulièrement, du substrat, si vous cherchez un livre ou un certain type d'animal peu courant... Bref une annonce appelée à rester plusieurs semaines voire plusieurs mois (max. 6 mois, ensuite elle rejoindra les autres annonces). Les annonces de vente "clasiques" et ponctuelles d'animaux ou de matériel n'entrent pas dans ce cadre. Pour cela rédigez votre annonce comme n'importe quelle annonce (respectant les regles) et mentionnez qu'il s'agit d'une "annonce permanente", les modérateurs ou administrateurs décideront si oui ou non elle peut-être placée comme annonce permanente (merci de ne pas abuser du système sinon il sera supprimé). Le cas des annonces proposées en annonce permanente sera étudié dans les 48 heures. Merci de la compléter régulièrement (et non d'en créer une autre) et de prévenir quand elle n'a plus cours. De plus, une seule annonce par section (une pour la section matériel, une autre pour la section animaux) et par membre. Les utilisateurs du forum pourront y répondre, merci de les tenir informés (une annonce manifestement à l'abandon sera remise en message classique). -
Julien, membre de la section alsacienne nous convie dans sa "pièce à bêtes" au fin fond du pays de Hanau... O. taenuira ridleyi... Qui nous fait bon accueil! Difficile de la faire tenir tranquille! P. guttatus ghost Quelques beaux résultats de reproductions passées: Terrarium avec un bon gros spécimen de Thamnophis Bogertophis subocularis photogénique!!! Teratoscincus scincus L'incubateur de labo réadapaté pour les reptiles: Quelques oeufs en incubation:
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Lepidophyma flavimaculatum Date de première parution: 29 mars 2005. Taxonomie : Lepidophyma flavimaculatum DUMERIL 1851 est parfois nommé aussi L. flavimaculata. Le genre Lepidophyma comporte 18 espèces. Ce genre fait partie de la famille des Xantusidés répartie en deux sous-familles : Les Xantusiinés (Genres Xantusia et Lepidophyma) et les Cricosaurinés (genre Cricosaura). Apparentée aux Scincidés (Infra ordre des Scincomorphes) et aux Teidés avec lesquels ils peuvent être confondus, les Xantusiidés se démarquent par l’absence de paupières comme les Geckos. Ce sont tous des Lézards de taille moyenne, nocturnes et vivant dans les zones humides des forêts tropicales. En anglais, L. flavimaculata est nommé « night lizard », Lézard de nuit, il est parfois aussi nommé « lézard crocodile ». Description : La taille museau cloaque atteint 9 à 11 cm, pour une longueur totale de 21 à 29 cm avec des records de 39 cm (Campbell, 1998). L’allure de ce petit lézard est assez atypique, outre l’absence de paupières couvrant ses yeux à pupille ronde, le crane est recouvert de grosses écailles. Les labiales inférieures se rejoignent au milieu de la gorge. Le reste du corps est recouvert de petites écailles granuleuses dont certaines sont épineuses, notamment sur les flancs format des rangées verticales et deux rangées longitudinales longeant la colonne vertébrale. La queue est sertie d’anneaux d’écailles épineuses séparées par 4 anneaux d’écailles normales. Le corps est noir ou brun foncé avec des points jaunes ou beiges sur tout le corps sauf les grosses écailles de la tête. Les écailles labiales inférieures et supérieures sont barrées de lignes verticales blanches ou jaunes. Il y a de grandes variations entre les populations sur l’intensité des taches et la coloration générale plus claire ou plus foncée. Le ventre est blanc ou jaune et parsemé de petites écailles carrées alignées en rangées (10 rangées longitudinalement). Répartition et Biotope : L. flavimaculatum se retrouve sur le côté est de l’Amérique centrale : Bélize, Costa-rica, Panama, sud du Nicaragua et nord du guatemala. L. reticulatum lui se situe dans la même zone de répartition mais sur la côte ouest., les deux espèces se rejoignent dans la région de Tilaran. On le retrouve jusqu’à 1500 mètres d’altitude. L. flavimaculatum est un fossile vivant ! Il a du s’adapter aux conditions climatiques du milieu et de la fin du tertiaire comme tous les Xantusiidés et se retrouve cantonné aux zones très humides et sombres de la forêt tropicale à proximité des cours d’eau ainsi que dans les bananeraies (Bezy 1972). Les populations sont très séparées les unes des autres, mais souvent en forte densité dans un même lieu. Ils ont pu survivre ainsi isolés grâce à la parthénogenèse comme certains autres Scincomorphes tel que Lacerta saxicola. La reproduction parthénogénétique permet à une femelle de créer des embryons viables sans accouplement avec un mâle, en bref de fabriquer un clone ! Toutefois les mâles existent chez L. flavimaculatum, mais en cas d’isolement, la parthénogenèse est le seul moyen de survie pour ces Lézards aux faibles capacité de colonisation. Seuls les espèces que la nature a doté, grâce au hasard des mutations, de cette capacité de reproduction ont survécu. De ce fait, et malgré la séparation des populations, le phénomène de « clonage » ne permettant pas un brassage génétique suffisant, il n’y a pas à priori de sous-espèces de L. flavimaculatum. Cependant, la reproduction non sexuée semble être un cas de force majeure et très limitée. Ce comportement ne se produit que si le groupe ne se compose que de femelles, si on y ajoute un male la reproduction redevient sexuée, si on le supprime la parthénogenèse prend le dessus. Comportement : Les Lepidophyma sont terrestres et réputés nocturnes alors qu’ils sont souvent aperçus en journée (Lee 2000). Ils évoluent lentement dans la végétation dense et humide. Leur température corporelle ne nécessite pas de fortes chaleurs, elle est optimale à 23°C (d’après Mora et Merchan), un puissant chauffage n’est donc pas nécessaire en captivité. L. flavimaculatum n’aime pas être manipuler, il mord farouchement, même si sa petite taille fait de ces morsures de petits pincements qui ne traversent pas la peau… Mais il y croit lui ! Ne lâchant pas prise ! Ce sont des Lézards assez indolents et peu agressif entre eux, en tout cas entre femelles, je ne sais pas si c’est le cas entre mâles car habitant en communauté restreinte il est possible que la territorialité soit moins exacerbée que chez les autres Sauriens. Captivité : Un terrarium de 60 sur 40 sur 40 peut accueillir un trio ou un quatuor soit composé de femelles soit un mâle et plusieurs femelles. Pour provoquer une reproduction parthénogénétique il convient d’héberger un groupe de 3 ou 4 femelles au minimum, seules elles ne se reproduisent pas (comm. Perso. G. Hagenstein). Le fond est composé de petiotes écorces pour Reptiles ou de tourbe. N placera e vrac des morceaux d’écorces de lièges en guise d’abri et un récipient d’eau plat et large (coupelle en terre cuite pour pots de fleurs) dans laquelle on plonge une pierre plate pour éviter les noyades des Lézards et surtout des proies. On peut planter le terrarium, l’humidité, la faible chaleur sont alors idéales pour la croissance de quelques fougères, broméliacées, Scindapsus ou Ficus pumila. Les mousses sont aussi les bienvenues. Le chauffage fourni par un petite plaque chauffante sur un tiers du terrarium offrira une température ambiante de 23 à 26°C avec une température maximale de 28°C au point chaud. Les besoins en chaleur de cette espèce étant peu connus, une bonne variation est préférable. Mais on évitera de monter trop haut en température, la température ambiante maximale se situe au-dessus de 28°C. La nuit, la température baissera jusqu’à 20°C. Même lorsqu’il s’active le jour, L. flavimaculatum reste dans les sous-bois sombres et la végétation épaisse. Une trop forte luminosité peut l’effrayer. N’ayant que peu d’informations sur sa maintenance, je ne peux pas affirmer qu’un tube UV soit nécessaire ou superflu, mais il semble superflu. Quoi qu’il en soit, un faible éclairage est suffisant. L’humidité semble être sujet à controverse si j’en croit les différentes discussions autour de ce Lézard. Certains préconisent une humidité modérée de 60 à 70%, mas vu son biotope, une forte humidité semble plus appropriée à savoir 80 à 90%. On peut trancher le débat en ne pulvérisant que la partie « fraîche » du terrarium. Le tiers resté au-dessus du chauffage étant laissé plus sec. Une humidité moyenne de 70% semble suffisante, les cachettes état souvent plus humides. Alimentation : Insectivores ont les nourrit de grillons, vers de farine en petites quantités, vers de teigne de ruches, jeunes criquets voire jeunes blattes. L. smithii est omnivore, se nourrissant des figues tombées à terre, L. flavimaculatum pourrait également compléter son alimentation de fruits (Cooper, 2000). Ca reste encore à vérifier… Reproduction : L. flavimaculatum est ovovivipare, toutefois, comme certaines espèces ovovivipares comme Lacerta vivipara ou Sceloporus malachiticus, dans les conditions plus rudes, en altitude par exemple, ils deviennent volontiers ovipares. Ce comportement (qui n’a pas lieu en terrarium) n’est pas confirmé chez L. flavimaculatum. La femelle met au monde 1 à 8 jeunes après 90 jours de gestation. Aucun renseignements sur la méthode de reproduction en captivité, mais il ne semble pas qu’il y ai de préparatifs précis à part une baisse de la luminosité ramenée de 14h à 8 h par jours durant un mois (Fischer). Les mâles possèdent 10 à 12 pores fémoraux sous chaque cuisses, c’est le seul dimorphisme sexuel visible. Mais la capacité des femelles de se reproduire sans mâle (ce qui ne donnera que des femelles) est une expérience intéressante que je compte mener. Car si ce Lézard étrange n’est pas une « reine de beauté », il n’en reste pas moins fascinant par son originalité. Coût : On peut trouver L. flavimaculatum pour la modique somme de 20 à 30€ ! Pourtant abondant sur les « stock list » il est peu demandé car peu connu. Le mal est réparé ! (c) Vincent Noël.
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Teratoscincus scincus Date de première parution: 23 août 2006 Classification : Le genre Teratoscincus fait partie de la famille des Geckonidés (superfamille des Gekkotiae). Les Teratoscincinés, dont fait partie le genre Teratoscincus (c’est d’ailleurs le seul genre), est constitué de Geckos ne possédant pas de doigts adhésifs mais se démarquant par l’absence de paupières comme les Geckoninés. Le genre Teratoscincus lui possède 5 espèces, à savoir : T. bedriagai, T. przewalskii, T. roborowskii, T. toksincus, T. microlepis et T. scincus (Boulenger, 1885) qui est divisé lui en trois sous-espèces : T. s. sincus, T. s. keyrserlingi et T. s. rustawoni. La distinction entre les sous-espèces n’est pas évidente. T. s. keyrselingi est la plus grande avec ses 20 cm, la plus fréquente en captivité et souvent la plus colorée. T. s. scincus mesure autour de 12 cm. La tête de ce petit lézard est très grosse et courte. Ses yeux sont grands et ronds, d’où sont nom anglais de "cat’s eyes Gecko" à savoir : "gecko œil de chat". La pupille est fendue trahissant ses mœurs nocturnes. Les écailles sont assez grosses, rondes et imbriquées, sauf sur la tête. La peau, malgré son apparence solide peut se rompre facilement, il faut donc se méfier lors de manipulations. Le ventre est blanc pâle ainsi que la gorge. A mesure qu’on remonte sur les flancs et le dos, la coloration vire au jaune. Le dos et la tête sont quadrillés de lignes sombres qui se croisent ou s’entremêlent, quant à la queue est entièrement sombre. Répartition et biotope : T. s. keyrselingii est la sous-espèce à la zone de répartition la plus vaste et la plus au sud : Kazakhstan, Iran, est de la péninsule arabique. T. s. scincus est cantonné entre la mer Caspienne et l’ouest de la Chine, dans des régions plus continentales au point de vue climatique. Ces geckos vivent dans les murs, les rocailles, les amas de pierres et de végétaux des zones arides et semi-arides. Toutefois ils fuient la chaleur en se cachant dans les interstices et les terriers humides et plus frais. Le climat est sec et chaud en été mais peut devenir très froid en hiver. En terrarium : On peut maintenir un couple de T. scincus dans un terrarium de 60 sur 30 cm de base, la hauteur ayant peu d’importance vu qu’il s’agit d’un lézard terrestre. Le sol est constitué de sable fin ou d’éclats de hêtre sur une épaisseur de 4 ou 5 cm. Il s’agira d’un terrarium de type désertique, les aérations devront s’avérer efficaces. Le chauffage sera réparti sur une moitié du terrarium, un petit spot de 40W peut également servir de chauffage. La température ambiante sera de 27 à 30°C, au point chaud elle se situera entre 32 et 35°C. On aménagera de nombreuses cachettes constituées de racines de tourbières ou pots de fleurs renversés ou cassés ou de pierres plates bien agencées. Dans la zone fraîche, on placera, comme chez les Geckos léopards une boite humide dans laquelle tous les lézards pourront s’y loger sans se marcher sur les pieds. Pour cela une boite en plastique percée d’un large trou et entourée de plaques de liège, ruban adhésif ("chaterton", comme pour les hamsters) ou résinée et sablée pour les plus perfectionnistes contiendra un mélange de tourbe blonde et de mousses. Le tout restera légèrement humide (non pas détrempé). On peut également mettre de la sphaigne séchée ou de la vermiculite humide. D’autres récipients peuvent être utilisés, c’est à l’imagination de chacun. Si bons nombres d’auteurs estiment que les tubes UV sont inutiles, le "principe de préoccupation" devrait nous forcer à en installer. Mais beaucoup ne s’en servent pas et réussissent très bien. On peut observer les promenades nocturnes de nos hôtes avec une petite ampoule rouge ou bleue ou un tube actinique (utilisé en aquariophilie marine) de faible luminosité, les geckos n’y verront que du feu ! Nourriture : On les nourrit de grillons, jeunes criquets, petites blattes (bien que ces geckos ne soient pas très agiles), larves de Zophobas morio, vers de farine saupoudrés de calcium et divers insectes. On nourrit les jeunes tous les jours et les adultes tous les deux jours. Malgré qu’ils soient nocturnes, l’arrivée des proies les fera vite sortir de leurs cachettes et si l’une d’entre elle échappe à leur gourmandise, ils la chasseront une fois la nuit tombée ce qui tombe bien puisque la plupart des Insectes comme les grillons ou les blattes sont nocturnes. Si les proies sont bien nourries il n’y a pas lieu d’ajouter des vitamines, en revanche le calcium est nécessaire surtout aux jeunes et aux femelles gestantes. Reproduction : Sa reproduction est jugée parfois difficile. Peu productif, elle est toutefois de mieux en mieux maîtrisée. T. scincus ne pond en effet que deux à quatre œufs par ponte, même s’il y en a plusieurs dans l’année, en général 4 par an. On pratique une période de repos identique à celle effectuée pour Eublepharis macularius à savoir une baisse de la luminosité (ramenée à 8 ou 6 heures) et de la température jusqu’à 24-25°C de température ambiante et 27-28°C de température locale. Cette période dure un mois, comptez également deux semaines de baisse avant la période de repos et deux semaines de hausse après. Les accouplements ont lieu lors ou peu après cette remontée vers les conditions optimales. Lors de cette période, les lézards mangeront encore, mais de petites proies et en quantité plus faible. Il est important que les femelles soient en pleine forme. On aura pris soin de rajouter du calcium sur les repas avant la baisse de température et tout de suite après. Une femelle en mauvaise condition physique sera retirée du terrarium en attendant son rétablissement au risque de mourir d’épuisement suite aux harcèlements du mâle. Les œufs mesurent 15 mm de long et ne doivent pas être incubés dans une humidité saturée (30 à 40% d’humidité relative suffit). L’incubation de T. s. keyerslingi dure environ 80 à 90 jours contre 60 jours pour T. s. sincus et mesurent à la naissance environ 5 cm. Les jeunes sont séparés et maintenus dans les mêmes conditions que les adultes. Les petites boites type ferplast ou Geo sont tout indiquées. Le fond est recouvert d’éclats de hêtre de gros calibre ou simplement de journal ou d’essuie tout. Une cachette est offerte ainsi qu’un petit récipient d’eau. Matures dès leur deuxième année, mâles et femelles sont assez difficiles à distinguer voire impossible avant la maturité sexuelle. Les mâles adultes possèdent les fameuses excroissances orangées à la base de la queue et l’intérieur des cuisses est de couleur sombre. Ce dernier critère est toutefois surtout visible en période de reproduction.
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Petit guide d’identification des espèces et sous-espèces de T. scincoides et Tiliqua sp. Irian Jaya par photos afin de savoir qui est qui ! Il est important de connaître l’espèce ou la sous-espèce que l’on possède notamment si on souhaite faire de la reproduction. J’ai très (trop !) souvent vu sur des forums ou des sites ou même dans des animaleries ou des magazines qui ont pignon sur rue des spécimens mal étiquetés, mal identifiés ou pire, des couples formés de deux espèces différentes. Le groupe « scincoides » (Shea 2000) : Tiliqua sp. Irian Jaya, T. gigas et T. scincoides sont très proches, la barrière génétique est fragile et ils peuvent s’hybrider facilement donnant les hybrides fertiles d’où le danger. La confusion la plus fréquente reste celle entre Tiliqua scincoides scincoides et Tiliqua sp. irian Jaya souvent identifié comme une sous-espèce indonésienne de T. scincoides, ce qui est faux. Actuellement cette espèce, qui a de caractéristiques communes à T. gigas evanescens et à T. scincoides reste sans nom. Certains estiment qu’il s’agit d’une population de T. gigas evanescens ou une autre sous-espèce de T. gigas, d’autres enfin l’affilie à T. scincoides. Mais en tous les cas il ne s’agit pas d’une variété indonésienne de T. scincoides scincoides ou T. scincoides intermedia malgré les ressemblances (surtout avec T. s. scincoides). Les hybridations de cette espèce et T. scincoides scincoides ont gravement mis en péril les populations captives de l’espèce australienne, qui rappelons-le est protégée dans son pays. Aujourd’hui il est rare de trouver des spécimens de T. s. scincoides, et souvent ils ne sont pas de lignée pure car ont été mélangés avec Tiliqua sp. iran Jaya. Même si le formatage, la copie conforme et la pensée condescendante universelle est de mise actuellement, il serait dommage de se retrouver avec une seule variété de Tiliqua alors qu’il existe 7 sous-espèces bien différentes les unes des autres parmi les 3 espèces du groupe scincoides. ! Voici donc un outil à l’usage de ceux qui veulent en savoir plus et ne pas se tromper, ni se faire avoir !!! Tiliqua scincoides : Caractéristiques : Queue courte (tiers de la longueur totale). Origines EXCLUSIVES : Australie ou îles de Tanimbar (Indonésie). Pattes avants marquées d’un dégradé homogène de blanc à gris, les pattes arrières et avant en se ressemblent pas. Pattes arrières avec des marques noires contrastées, pas à l’avant. Tiliqua scincoides scincoides : Est de l’Australie. Ci-dessous un spécimen de la population foncée avec bande temporale (caractéristique ESCLUSIVE de T. scincoides scincoides au sein de l'espèce T. scincoides - car de rares T. sp. Irian jaya possèdent des bandes temporales). Notez la couleur des pattes avant et l’agencement des taches oranges et noires sur les flancs. Les lignes sur la queue sont bien nettes. Un spécimen plus clair, sans bande temporale, on note néanmoins les marques oranges sur les flancs et la coloration des pattes signe qu’il s’agit de T. scincoides scincoides. Tiliqua scincoides intermedia : Nord de l’Australie Notez l’agencement des taches et colorations sur le dos et les flancs. Il est différent de chez T. scincoides scincoides. Jamais de bande temporale, coloration de fond jaune, pattes avant claires immaculées. Les lignes sur la queue sont bien moins nettes que chez T. s. scincoides, elles se diffusent et se transforment en petites taches laissant deviner le dessins des bandes Tiliqua scincoides chimaerea. Iles de Tanimbar et Babar Coloration plus claire, les bandes dorsales sont moins marquées et moins contrastées. Coloration de fond jaune à gris très clair. Comparaison des marques dorsales de T. s. scincoides, intermedia et chimaerea. (de gauche à droite) Tiliqua sp. Irian Jaya souvent et faussement nommée Tiliqua scincoides « indonésie ». Origine : Sud de la province d’Irian Jaya, partie indonésienne de la Nouvelle-Guinée. Espèce très fréquemment importée car une des rares encore non protégée. La queue peut être courte comme T. scincoides ou longue comme T. gigas. Les pattes avant sont maculées de taches noires ou gris très foncé comme les pattes arrières, il s’agit du critère le plus fiable et qui permet d’éliminer l’appartenance à Tiliqua scincoides ou la pureté du spécimen (hybride). Bande temporale rarement présent mais certains spécimens en possèdent. Pattes avants de Tiliqua scincoides scincoides (première et deuxième photos) et Tiliqua sp. Irian Jaya (dernière photo): Afin de préserver la diversité biologique populations captives de Tiliqua, et de conserver les souches pures : N’HYBRIDEZ PAS LES ESPECES ET SOUS-ESPECES DIFFERENTES !!! Plus sur http://tiliqua.wifeo.com http://www.bluetongueskinks.net Toutes photos de l'auteur sauf mentions contraires, photos empruntées avec accord des auteurs: Zach griffith et Donna Fitzgerald.
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Epicrates angulifer - Le boa arc-en-ciel cubain
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Date de première parution: 11 janvier 2006. Epicrates angulifer Le Boa Arc-en-ciel cubain. C’est l’une des plus grandes espèces d’Epicrates. Malgré ses apparences peu colorées, c’est un très beau serpent, ses irisations confirment bien son nom de Boa arc en ciel. Classification : Il fait partie de la famille des Boidés et de la sous-famille des Boinés. Le genre Epicrates comprend 10 espèces, Epicrates angulifer est monotypique (pas de sous-espèces). Répartition et biotope : On le trouve sur toute l’île de Cuba ainsi que les archipels limitrophes : Los Canarreos, Los Colorados, Sabana-Camaguey et l’île de Juvendos. Il vit dans les zones à végétation dense et les rares forêts tropicales qui survivent à Cuba ainsi que les mangroves. Le climat est tropical à deux saisons : Chaud et humide en été, sec en hiver. Les températures hivernales sont légèrement plus basses qu’en été. Taille et morphologie: C’est le plus grand Serpent de Cuba et le plus grand des Epicrates avec des records de 450 cm. En captivité les plus grands spécimens enregistrés atteignent environ 3.5 m, mais en moyenne ils atteignent 2.5 à 3m, les mâles dépassent rarement les 250 cm. Le poids est souvent faible par rapport à la taille et au poids d’autres grands Boidés (surtout les mâles). C’est un Serpent très fin et svelte. Le diamètre du corps est homogène, le cou lui est mince et la tête massive et aplatie. Les écailles labiales sont grandes abritant les fossettes thermosensibles. La dentition en revanche est impressionnante ! Motifs et coloration : Les motifs varient assez peu et en apparence la coloration semble terne, néanmoins, comme beaucoup d’ Epicrates c’est compter sans les irisations parcourant le corps tout entier et qui donne toute sa beauté au Boa cubain. La coloration de fond est brun clair à ocre. Des motifs parcourent tout le dos et sont brun foncé à noir. Ces motifs dorsaux sont en forme de losanges irréguliers placés en file indienne, parfois se joignant. Ils sont bordés d’une marge blanche ou jaune. De part et d’autres des grandes tâches dorsales de petites tâches irrégulières de même couleur. Sur les flancs, des losanges dont les bords sont foncés et le centre clair longent le corps. Le ventre est blanc. La tête possède des motifs très discrets sombres qui disparaissent avec l’age laissant une coloration presque uniforme identique à la coloration de fond. L’œil est entièrement brun foncé à noir et discret. Sa coloration ressemble un peu à celle d’Epicrates cenchria alvarezi. Comportement dans la nature : Terrestre et arboricole, il passe beaucoup de temps à arpenter les arbres pour chasse, mais il est tout aussi habile au sol. Foncièrement nocturne, il passe la journée dans un arbre creux ou sous des souches au sol. Habile et rapide, il attaque quiconque veut le toucher. Les forêts cubaine sont riches en cavernes et crevasses qu’ Epicrates angulifer affectionne particulièrement et où il passe la saison sèche et où il chasse également les chauves-souris. Comportement en captivité : N’achetez pas de sujet adulte sauvage ! C’est un animal nerveux et irascible, les sujets sauvages mordent sans hésiter et vu sa taille il peut devenir dangereux. D’autant plus que ces spécimens sont en mauvais état et très stressés donc encore plus agressifs. Les sujets nés en captivité restent des animaux nerveux à manipuler avec précaution. Les jeunes peuvent se calmer et cesser de morde systématiquement, néanmoins il faut se méfier surtout à l’approche des repas. Ils n’aiment pas être manipulés, toutefois il est conseillé de les manipuler dès leur plus jeune age pour qu’il perdent un peu de leur méfiance envers l’Homme. C’est un serpent qui a besoin de se sentir en sécurité et au calme. Néanmoins, surtout les petits spécimens, ils gardent souvent la fâcheuse habitude de déféquer sur les mains et l’odeur est persistante ! Epicrates angulifer est sociable, du moins les couples. On peut les maintenir ensemble, mais il faudra les séparer lors de la période de repos et par précaution lors des repas ce qui n’est pas toujours facile vu la taille du Reptile. Terrarium : Vu la taille de l’animal et ses tendances arboricoles, un terrarium vaste et assez haut est nécessaire. Classiquement il est estimé que la hauteur doit représenter les deux tiers voir la même dimension que la longueur du terrarium. Pour les juvéniles jusqu’à un an, on peut les placer dans un terrarium de 80x50x50 cm, vu leur taille la hauteur sera suffisante. Puis, quand il mesurera entre 120 et 200 cm il faudra opter pour un terrarium de 120x60x80 cm (LxlxH). Les spécimens adultes de 200-250 cm seront logés séparément dans des terrariums de 150x80 cm de base pour 100 ou mieux 120 à 150 cm de haut. Le substrat est composé de gazon synthétique, essuie-tout, plaques de carton ou copeaux pour reptiles. Les déjections sont à la mesure du serpent, ce substrat doit être facile à changer. On dispose une à deux vastes cachettes. On ajoute un bac d’eau pouvant contenir tout le Boa, il servira à la baignade et aussi à augmenter le taux d’humidité (et assez haut car n’oubliez pas le principe d’Archimède : tout serpent plongé dans un liquide… inonde le terrarium). Quelques grosses branches solides seront placées pour permettre à Epicrates angulifer de grimper. Les sujets nés en captivité sont robustes et ne posent aucun problème, les jeunes en revanche ont besoin de beaucoup d’humidité, il est conseillé de maintenir une partie du substrat humide (papier essuie-tout). Chauffage et humidité : La température ambiante est de 28-30°C , le serpent se chauffant sur le sol au-dessus des câbles ou sous la lampe profitera d’une chaleur de 32-33°C et jusqu’à 35°C maximum tant que la température ambiante n’excède pas 30°C. La nuit la température descend à 24°C. L’humidité sera de 70 à 80%. Le bac d’eau devrait suffire, si ce n’est pas le cas augmentez le volume d’eau. Il est conseillé de pulvériser le terrarium au moment de la mue. Nourriture : Son corps assez svelte ne lui permet pas de manger des proies aussi importantes qu’un Boa constrictor de même taille. Jusqu’à 120 cm on n’offrira que des souris. On pourra passer à des rats de taille moyenne jusqu’à 180-200 cm, ensuite de gros rats seront offerts. On les nourrit tous les 15 jours, l’agressivité s’accroît avec la faim. Evitez les lapins même pour les gros spécimens, préférez les gros rats ou des cochons d’Inde. Période de repos : L’alimentation de la femelle sera copieuse deux mois avant cette période, puis elle est mise au jeun deux semaines et enfin les paramètres pourront être descendus et amenés à 20-22°C durant un à deux mois. Ensuite on remontera le tout et une fois les paramètres optimaux revenus, le nourrissage sera abondamment repris si possible avec de petites proies mais en grande quantité. Une forte humidité favorise le comportement sexuel. Accouplement et gestation : Maturité sexuelle à trois ans, mais attendez 4 voire 5 ans avant de les reproduire. Ils ne posent aucun problème majeurs, la méthode est traditionnelle. Après une mue on place le mâle avec une, ou mieux plusieurs femelles. En cas d’échec il peut être judicieux de le stimuler en le mettant en présence d’un autre mâle, mais attention : Il faut surveiller car ça peut « cartonner » ! Mais en général ce n’est pas nécessaire. Il n’y a pas de parade nuptiale, l’accouplement se fait tout de suite et ils peuvent se répéter plusieurs fois avant que la femelle refuse le mâle. Il faut attendre la deuxième voire la troisième reproduction pour obtenir de bonnes portées, les premières sont souvent maigres. Epicrates angulifer est ovovivipare, il met au monde 1 à 8 petits selon la taille et l’age de la femelle (des records de plus 20 jeunes ont été mentionnés) qui sortent au bout de 4 à 5 mois de gestation (j’ai trouvé des mentions de 8 mois de gestations, sachant qu’elle dépende de la température). Peu d’informations existent sur sa reproduction en captivité. Les jeunes mesurent entre 55 et 75 cm. Ils sont plus arboricoles que les adultes. On les nourrit de souris « sauteuses » car ils sont nerveux. Les boites dans lesquelles on les élève sont garnies de papier essuie-tout humide, mais il ne faut pas pulvériser de l’eau sur les Serpents, sinon ils sont pris de panique. La température est de 30°C et l’humidité de 80-90%. Statut : Classé en annexe II de la convention de washington. Animal considéré comme dangereux par sa taille, CDC obligatoire. (c) repto terra club - Vincent Noël (article complet paru dans le Repto Terra 24) -
Par Philippe Mosbach - Président du RTC Date de première parution: 24 avril 2005 Bogertophis subocularis – La couleuvre du Trans-Pecos Anciennement nommée Elaphe subocularis, on trouve deux sous-espèces de B. subocularis. La sous-espèce nominative : B. subociularis subocularis BROWN 1901 et B. subocularis amplinotus WEBB 1990. La taille moyenne oscille entre 120 et 150 cm avec des records notés à 167 cm. Il existe plusieurs phases différentes en coloration la phase normale étant la plus colorée. Les autres couleurs (phase « blonde ») constitue également de belles colorations, il existe d’autres phases dont l’albinos. Pour le moment j’ai réussi a me procurer quatre phases différentes que j’ai eu énormément de mal à trouver. La coloration typique est gris-bleu assez clair. Le dos est parsemé d’une quarantaine de motifs brun clairs à foncés formants tantôt des carrés qui deviennent au niveau de la queue des taches, tantôt des H dirigés vers l’arrière, tantôt des carrés plus arrondis formant presque des ovales. Les contours des motifs peuvent être nets et géométriques ou plus irréguliers. Au niveau de la nuque les motifs ont tendance à se joindre en deux lignes de part et d’autre de la colonne vertébrale. La tête elle est non marquée de motifs. Les deux sous espèces se distinguent principalement par le comptage de l’écaillure : B. subocularis subocularis : Ventrales : 260 à 279 écailles. Sous-caudales : 65 à 81 écailles. Rangées de dorsales au milieu du corps : 31 à 35. B. subocularis amplinotus : Ventrales : 268 à 282 écailles. Sous-caudales : 73 à 78 écailles. Rangées d’écailles dorsales au milieu du corps : 33 à 36. Originaire du nord du Mexique et du sud des Etats-Unis. Sa répartition nord comprend la région frontalière entre le Texas et le Méxique ainsi que le Nouveau Mexique (USA). On la rencontre dans les régions de Chihuahua et Coahuila, poussant jusqu’à Torreon au sud. La phase blonde est surtout répartie dans le bas Pecos (Monts Franklin) et la région de Lajitas au Texas où les premiers sujets furent récoltés en 1977. B. subocularuis amplinotus est inféodée à la région de Durango, plus au sud que B. s. subocularis. Leur biotope est semi désertique, température de 28° à 31° la journée est de 22° à 25° la nuit. Vous pouvez, en décor, utiliser soit de la sciure dépoussiérée ou bien de la litière végétale : les deux conviennent. Comme cachette prendre un pot de fleur troué, un petit bac à eau et, en plante, un petit cactus (ou autre genre) en plastique de préférence (par mesure d’hygiène). On la nourrit de souris dont la taille dépend de celle du serpent. Elle s’adapte vite au mort. Pour ce qui est de la reproduction il faut les faire hiberner comme toute les « Elaphe » de novembre à fin janvier. Je pense qu’il est préférable de les faire hiberner à une température de 15°C est non 10°C comme la plupart des Elaphe. Le reste du cycle se passe normalement c'est-à-dire 45 à 50 jours pour la ponte est 55 à 65 jours pour l’éclosion. Ne pouvant affirmer les jours exactes puisque à l’heure actuelle je n’ai pas encore réussi à les reproduire puisque la plupart de mes spécimens ne sont pas encore matures sexuellement.
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Liste des espèces de testudinidés
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Mise à jour mai 2008 - source Reptile database. Genre Astrochelys: Tortue rayonnée et tortue à soc de Madagascar. Astrochelys radiata Shaw 1802 Astrochelys yniphora Vaillant 1885 Genre Chelonoidis: C. denticulata et C. carbonaria vivent dans les zones humides d'Amazonie et de Guyane. C. chilensis (C. petersi parfois considérée aussi) vit dans les zones semi-arides du sud de l'Amérique du sud et enfin, C. nigra: la fameuse torue géante des Galapagos (nombreuses sous-espèces) Chelonoidis carbonaria Spix 1824 Chelonoidis chilensis Gray 1870 Chelonoidis denticulata Linnaeus 1766 Chelonoidis nigra Quoy & Gaimard 1824 Chersina angulata Schweigger 1812 (Afrique du sud: Ressemble à nos Testudo, très rare.) Genre dipsochelys : Tortues géantes de l'océan Indien (Seychelles...). Dipsochelys abrupta Grandidier 1868 Dipsochelys arnoldi Bour 1982 Dipsochelys daudinii DumÉril & Bibron 1835 Dipsochelys dussumieri Gray 1831 Dipsochelys grandidieri Vaillant 1885 Dipsochelys hololissa GÜnther 1877 Genre Geochelone: Inde pour G. elegans et G. platynota, Afrique our G. sulcata. Geochelone elegans Schoepff 1795 Geochelone platynota Blyth 1863 Geochelone sulcata Miller 1779 Genre Gopherus: Tortues fouisseuses américaines (sud et sud-ouestdes USA) Gopherus agassizii Cooper 1863 Gopherus berlandieri Agassiz 1857 Gopherus flavomarginatus Legler 1959 Gopherus polyphemus Daudin 1802 Genre Homopus: Tortues naines d'Afrique du sud, mesurent entre 8 et 15 cm de carapace, très rares. Homopus areolatus Thunberg 1787 Homopus boulengeri Duerden 1906 Homopus femoralis Boulenger 1888 Homopus signatus Schoepff 1801 Homopus solus Branch 2007 Genre Indotestudo: Tortues forestières d'Asie tropicale. Indotestudo elongata Blyth 1854 Indotestudo forstenii Schlegel & MÜller 1844 Indotestudo travancorica Boulenger 1907 Genre Kinixys: Tortues à charnière mobile d'Afrique (carapace et non plastron comme d'autres tortues boites). Kinixys belliana Gray 1831 Kinixys erosa Schweigger 1812 Kinixys homeana Bell 1827 Kinixys lobatsiana Power 1927 Kinixys natalensis Hewitt 1935 Kinixys spekii Gray 1863 Malacochersus tornieri Siebenrock 1903 : Tortue "galette", carapace flexible et très plate, savanes d'Afrique de l'est. Anexe I CITES. Genre Manouria: Grandes espèces de forêts ombrophiles d'Asie du sud-est. Manouria emys Schlegel & MÜller 1844 Manouria impressa GÜnther 1882 Genre Psammobates: Tortues étoilées léopard d'Afrique du sud (sauf P. pardalis qui vita dans toute l'Afrique sub-saharienne). Souvent très rares sauf P. pardalis. Psammobates geometricus Linnaeus 1758 Psammobates oculifer Kuhl 1820 Psammobates pardalis Bell 1828 (ex: Geochelone pardalis, aussi nommée Stygmochelys pardalis - la fameuse Tortue léopard) Psammobates tentorius Bell 1828 Genre Pixys: Petites tortues de Madagascar - très rares. Pyxis arachnoides Bell 1827 Pyxis planicauda Grandidier 1867 Genre Testudo (incl. Agrionemys et Eurotestudo): Tortues européennes, Moyen-orient, Asie centrale et Afrique du nord. Taxons très contestés et souvent remaniés. Testudo graeca Linnaeus 1758 (Bon nombre de ses sous-espèces sont considérées par certains spécialistes comme espèce: T. ibera, T. terrestris, T. floweri...) Testudo hermanni Gmelin 1789 (Testudo h. boettgeri est souvent considérée comme une espèce à part entière, de même que T. hercegoviensis) Testudo horsfieldii Gray 1844 Testudo kleinmanni Lortet 1883 Testudo marginata Schoepff 1792 Testudo nabeulensis Highfield 1990 -
Date de première parution: 24 avril 2005 – Remise à jour mai 2008. Terrapene ornata - La tortue boite ornée ATTENTION: Classé dans l'annexe 2 de l'arrêté du 10/08/04 - Interdit de détention en France sauf détenteurs du Certificat de capacité. Classification : Famille des Emydidé (famille de tortues classiquement aquatiques), sous-famille des Emydinés. Genre Terrapene comprenant 4 espèces. 2 sous-espèces : Terrapene ornata ornata (AGASSIZ 1857) et Terrapene ornata luteola SMITH & RAMSEY 1952. Répartition et biotope : Centre et sud des USA de l’Illinois au Texas en passant par le Kansas, le Missouri, l’est de la Louisine, l’Oklahoma… Ainsi que le nord du Mexique. Elle vit dans des zones ouvertes pourvues de végétation : praires, cultures et dans les zones désertiques de sa répartition elle vit dans des zones proches des cours d’eau. T. o. luteola vit au sud de la répartition dans les zones arides (Texas, Nouveau Mexique, Mexique jusqu’à la côte pacifique.) et T. o. ornata au centre des USA jusqu’au nord ouest du Mexique. T. o. luteola est plus désertique que sa cousine. Description : En moyenne 14-16 cm de longueur de carapace. Elle possède toutes les caractéristiques classique d’une tortue terrestre vraie (testudinidés) : Dossière bombée (un peu plus plate que chez T. carolina), pattes épaisses et recouvertes de grosses écailles imbriquées, pattes arrières courtes et trapues, pas de palmes, le cou est assez court, la tête rectangulaire. Le plastron possède une caractéristique qui lui a valu son nom de « Tortue boite » et que l’on retrouve chez des tortues aux même mœurs en Asie, les Cuora. Entre les plaques pectorales et abdominales se trouve une jointure flexible permettant à la partie avant du plastron de se replier et de protéger la tête de la tortue quand elle la replie dans la carapace. La coloration de fond est jaune-sable à brun foncé voire noir. Des marques jaunes sont présentes sur les pattes et la tête mais on la distingue surtout par les rayures jaunes sur chaque écailles de la dossière partant du centre de chaque écaille et formant une étoile. Une ligne jaune longue le centre de la dossière suivant la colonne vertébrale. Chez les jeunes cette lignes est très marquée. On distingue principalement T. o. ornata de T. o. lotulea par les marques sur le plastron : Chez T. o. ornata on distingue des rayures claires sur fond sombre recouvrant la totalité des plaques du plastron et désordonnées alors que chez T. o. luteola, le centre des écailles est rayé en forme d’étoile par des lignes claires mais les bords des plaques sont claires unies.. Chez T. o. ornata on compte sur la dossière 5 à 9 lignes jaunes par écailles costales contre 10 à 15 chez T. o. luteola. On peut facilement confondre T. ornata avec T. carolina bauri qui possède aussi les « étolies » sur le dos, mais le plastron de T. carolina bauri n’est pas marqué, la dossière de T. c. bauri est plus haute et bombée et pourvue d’une carène dorsale marquée. Contrairement à Terrapene carolina, la couleur des yeux n’indique pas le sexe (qui sont rouges chez T. carolina). La queue des femelles est plus courte que chez les mâles. Le plastron est creusé vers l’intérieur chez les mâles et parfaitement plat chez les femelles. Ces signes n’apparaissent vraiment qu’au bout de 4 à 5 ans. Comportement : Diurne et crépusculaire en période chaude. Elle s’expose au soleil en général le matin et se retire dans sa cachette quand il fait trop chaud. C’est une très bonne escaladeuse mais une mauvaise nageuse. Les relations intra et interspécifiques sont bonnes, néanmoins les animaux affamés se livrent bataille pour manger, les mâles peuvent être agressifs entre eux au printemps. Elle s’avère vorace. Elle passe également beaucoup de temps dans l’eau, apprécient les flaques d’eau où elle a « pieds » et n’immergeant que la moitié de sa hauteur de carapace. Dans la nature leur espérance de vie est d’une trentaine d’année, en terrarium elles peuvent vivre plus de 50 ans, les records étant de 80 ans ! L’absence d’hibernation réduit considérablement l’espérance de vie qui d’ailleurs fluctue dans la nature selon l’origine géographique. Dérangée elle se réfugie dans sa carapace fermant la charnière du plastron. Terrarium intérieur : Le terrarium est un terrarium ouvert. Il mesure 180 cm de long sur 60 cm de large. Il est bois aggloméré et mesure 30 cm de haut. Le sol est recouvert de gazon synthétique, mais récemment j’ai recouvert une partie avec des éclats de chêne sur une bonne épaisseur, des pierres plates (grès des Vosges) permettent l’accès à cette zone où se trouve la cachette (une boite en bois), les tortues aiment y creuser une excavation la nuit. J’ai disposé quelques obstacles, des pierres plantes et une souche plate afin qu’elles escaladent et usent un peu leurs griffes qui poussent très vite. Ayant l’habitude de déféquer dans l’eau, le sol n’est jamais souillé, une fois par semaine je passe l’aspirateur dessus pour enlever la poussière et les restes de nourriture séchés ou les feuilles des plantes qui entourent le terrarium. Une ampoule de 60W chauffe une extrémité à 32-35°C. Le reste est à température de la pièce à reptiles : 24-25°C mais monte à 30°C en été. Un tube pour reptiles de 75 cm est fixé sur un côté à 20 cm des tortues. Dans ce genre de terrarium, l’aération est maximale.Il est déconseillé d’utiliser des parois translucides, les tortues passent alors leur temps à gratter contre ne comprenant pas qu’elles ne peuvent en sortir ! Le chauffage au sol est inutile vu l’ouverture du terrarium, il vaut mieux préférer une ampoule classique ou Infra-Rouges. L’atmosphère doit être assez sèche, et surtout bien ventilée. On place un bac d’eau dont le niveau est de 3 à 5 cm max. et dans lequel une tortue pet entièrement se baigner. La température se situe autour de 25°C avec un point chaud localisé à 32-35°C voir 40°C pour T. o. luteola si il reste très localisé. La cachette est indispensable. On peut mettre es plantes vivantes type Yucca, Cycas, Pheonyx ou plantes grasses, le pot sera assez haut (pour ne pas que la tortue atteigne la terre) et bien stable (entouré de pierres ou fixé au plancher) et ainsi créer un beau jardin intérieur, évitez les feuilles tombantes qui seront dévorées. Les édifices de pierres seront appréciés si ils sont faciles à escalader. Il faut régulièrement leur couper les ongles, avec un simple coupe-ongle, mais attention de ne pas entailler la partie charnue de l’ongle, on la voit à la base de l’ongle, formant une pointe rosâtre. Enclos extérieur : Jadis j’avais la possibilité de mettre mes tortues dehors. L’enclos mesurait trois mètres sur deux et était entouré d’une barrière de bois enfoncée de 20 cm dans le sol et de 60 cm de haut. Exposée plein sud, des arbustes alentours offraient de l’ombre sur plus de la moitié de la surface. Un petit bassin de un mètre sur 2 et 50 cm de profondeur fait avec une bâche à bassin abritait des tortues aquatiques (Cuora, Chinemys, Mauremys). Une grande planche de bois lestée permettait aux tortues de sortir de l’eau. Les Terrapene allaient souvent dans l’eau, le plus souvent d’ailleurs, le corps immergé e la tête hors de l’eau, s’agrippant à la planche inclinée. Ce sont de mauvaises nageuses mais elles n’ont pas peur de plonger et ne se noient pas pour peu qu’elles puissent facilement remonter sur la terre ferme. Un petit conifère servait d’abri mais un autre abri en bois fut construit. La terre était dans cet abri remuée et mélangée à des écorces de pin, les tortues aimaient s’y enterrer. Tout le reste était engazonné, des pierres plates en grès de Vosges semi enterrées servait de zone de bronzage. Mes tortues étaient placée dehors de mai à septembre puis rentrées. Nourriture : T. ornata est omnivore, chaque spécimen a ses préférences (qui varient aussi au cours de l'année). Mais de manière général elles apprécient énormément les aliments carnés. Aux adultes on offre des souriceaux décongelés ou vivants, des vers de farine, des lombrics, des zophobas morio (vu la rapidité de cette larve et le danger qu’elle représente pour tout ce qui est en bois, je noie les larves dans un verre d’eau avant de les donner), des grillons tués au congélateur, des teignes de ruche, des escargots frais (gare aux espticides) ou en boite mais sans le beurre persillé ! On peut aussi donner de la viande de bœuf ou de la viande blanche voire de la nourriture pour chien mais avec parcimonie (je mélange pour ma part la viande hachée ou la nourriture ur chien avec des granulés pour tortues végétariennes humidifiés et le tout mixé) ! Je donne à peu près un morceau (tenant dans une cuillère à soupe) de nourriture pour chien en boite une fois par mois. Elles en raffolent bien entendu mais cette nourriture comme son nom l’indique est élaborée pour les chiens ! Elles apprécient aussi énormément le poisson, de préférence entier. On peut donner des joëls décongelés, personnellement j’ai pour habitude de donner les vifs pour la pêche qui n’ont pas survécu, parfois du saumon ou des filets de truite. Préférez le poisson de rivière au poisson de mer. En ce qui concerne les végétaux, qu’il faut parfois mélanger à la nourriture carnée car certains spécimens font la fine bouche. On leur donne de la salade (sauf la laitue), des fruits juteux et tendres (fruits rouges, raisins, pêche…), des germes de soja, de la tomate, des carottes râpées, du riz cuit et divers végétaux sauvages comme les pissenlits, la luzerne, le trèfle mais aussi des fleurs d’hibiscus, des épinards, des brocolis râpés et aussi des champignons de Paris. Il existe aussi des granulés pour tortues boites, mais c'est une nourriture d'appoint, à mélanger à la nourriture habitule (pas plus de la moitié de la ration). Pour ma part, je nourris deux à trois fois par semaine de nourriture carnée (le plus souvent des Zophobas, gros vers de terre, souriceaux, viande hachée et poissons). En permanence, une assiette plate est remplie de végétaux frais divers, une partie du menu que j’offre à mes lézards végétariens sont réservés aux tortues. Une fois par semaine, j’ajoute du carbonate de Calcium, quand aux vitamines ils sont présents naturellement dans une alimentation riche et variée néanmoins, une fois par mois j’ajoute un peu de vitamines. Dans la nature, les Terrapene mangent tout ce qu’elles trouvent et surtout peuvent attraper (quoiqu’elles sont moins lente qu’on le croit !) : Limaces, vers et larves, insectes, champignons (même toxiques), fleurs, herbes, fruits tombés ainsi que des charognes de poissons ou de petits vertébrés. J’acquis ma première Terrapene ornata à quatorze ans, un an plus tard la seconde. La première me fut volée dans son enclos, l’autre je la possède toujours et elle va sur ses 25 ans. Depuis que les Terrapene sont en annexe II de la convention de Washington il est difficile d’en trouver. Terrapene coahuila est en annexe I. (c) repto terra club - Vincent Noël.
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Date de première parution: 01 juin 2005. Remise à jour mai 2008. Cuora amboinensis - La tortue boite d’Amboine Classification : Cheloniens criptodires. Autrefois classée dans les Emydidés, elle fait partie de la famille des Geoemydidés et de la sous famille des geoemydinés. Cette famille comprend l’ancienne sous-famille des Batagurinés alors classée chez les emydidés et une de nombreux genres jadis classés chez les emydidés. Le genre Cuora comprend 10 espèces. Cuora amboinensis (SUWOCK 1798) est souvent attribuée à DAUDIN 1802 comme premier descripteur. L’espèce comprend 4 sous –espèces : Cuora amboinensis amboinensis DAUDIN 1802, Cuora amboinensis couro (SCHWEIGGER 1812), Cuora amboinensis kamaroma RUMMLER & FRITZ 1991, Cuora amboinensis lineata MCCORD & PHILIPPEN 1998. En 2002, Galgon et Fritz découvrirent des hybrides entre Chinemys reevesi et Cuora amboinensis kamaroma. Nom communs : Tortue boite d’Amboine, Tortue boite malaise. Malayan box turtle. Description et comportement : La carapace atteint 20 cm de longueur à l’age adulte. La couleur de la dossière est brun foncé à noir, le plastron est jaune avec des taches larges et brunes. Le corps est noir, des lignes jaune horizontales parcourent le côté de la tête, la tempe et la gorge son jaunes ou blanches. L’œil est barré d’une ligne noire. Une carène vertébrale assez fine parcourt le sommet de la carapace, deux autres encore plus discrètes sur les côtés. La dossière est bombée, mais aplatie à son sommet. Le plastron comporte une charnière entre les écailles fémorales et abdominales permettant à la tortue de fermer le plastron et de se protéger entièrement dans sa carapace d’où son nom de tortue boite. Il existe des spécimens albinos. On distingue mâles et femelles vers 4 ans, la queue de la femelle est plus courte que celle du mâle, les écailles anales sont plus écartées et le plastron de la femelle est plat alors que celui du mâle est creusé vers l’intérieur. Répartition et biotope : Îles Andaman, VietNam, Thaïlande, Malaisie, Indonésie (jusqu’aux îles Sulawesi), Philippines, Birmanie, Cambodge. Climat tropical à saison sèche courte et forte saison humide (moussons.) Vit dans les marais, rizières, étangs et autres cours d’eau à faible profondeur et calmes. S’enfonce loin dans les terres. Aquaterrarium : D’autres espèces du genre Cuora ont des tendances vraiment terrestres et vivent alors en terrarium, Cuora amboinensis est surtout aquatique. On la loge dans un aquaterrarium de 100 cm sur 50 cm de base pour deux à trois spécimens, la zone terrestre recouvre le tiers de la surface et est facile d’accès (pierres plates en escalier, tubes de lièges). Une vitre siliconée en travers de l’aquarium pet servir de séparation terre/eau, elle doit être étanche car la zone terrestre doit avoir un substrat sec. Sous cette zone terrestre, en étant bricoleur on peut aménager un filtre avec une pompe et des plaques de mousse bleue pour aquarium. La profondeur d’eau fera 20 cm maximum, ce ne sont pas de bonnes nageuses surtout les adultes. Le fond sera composé soit de sable soit de gravier plus gros que la gueule ou laissé nu. Le substrat de la zone terrestre sera composé d’écorces de pin, de sable ou de gros gravier. Les vraies pantes seront dévorées, on utilisera de fausses plantes aquatiques et terrestres. Une cachette avec un pot de fleur cassé ou un tube de liège sera disposé dans la zone terrestre. Je logeais un couple de Cuora amboinensis en compagnie de Chinemys reevesi dans un aquaterrarium de 120 sur 40 cm. La zone terrestre était une boite en plastique remplie de sable, le fond garni de gros graviers, des pierres plates formaient des étages et un filtre extérieur de 840 l/h filtrait le tout. En été elles sortaient dans un enclos extérieur : photo. La zone terrestre sera chauffée par un spot Infra-rouge ou classique de 60 à 100W et chauffera la moitié de celle-ci à 32-33°C, le reste étant à 30°C. Un chauffage-thermotstat pour aquarium sera placé à la sorte du filtre dans l’eau et bien accroché par des ventouses et protégé cardans leur marche aquatique les tortues ont tendance à balloter le tube de verre et à le briser. Le mieux est de siliconer le support (vendu avec en général) aux vitres de l’aquarium. On règle de thermostat sur 26°C. Un tube fluorescent pour reptile éclairera l’aquaterrarium et offrira les UVB indispensables. Le filtre devra pouvoir retirer les grosses impuretés et comme dans un aquarium épurer biologiquement l’eau même si les tortues y sont peu sensibles. On utilisera des mousses bleues pour aquarium et des petits tubes de céramique filtrants. Un filtre extérieur est le bienvenu ou un filtre interne s’il est à l’abri des assauts de nos Reptiles. Comme en aquariophilie, ne lavez pas les masses filtrantes à l‘eau chaude au risque de tuer les bactéries filtrantes y vivant. Du charbon actif sera le bienvenu pour désodoriser et déclore l’eau. Toutes les deux semaines la moitié voire les deux tiers de l’eau sont changés. Attention ! Les tortues aquatiques sont vecteurs de Salmonelles comme tous les reptiles. Mais vivant dans l’eau, ces salmonelles se développent à foison, attention aux personnes fragiles : enfants en bas age, personnes agées, femmes enceintes ou personnes atteintes de troubles immunitaires. De manière générale, lavez vous toujours les mains après avoir manipulé ces animaux et leur eau et ce sans toucher à tout ustensile ou meuble servant à l’alimentation humaine. Alimentation : Omnivore, les jeunes sont majoritairement carnivores, les adultes plus végétariens. On offre aux juvéniles des lombrics, chair de poissons ou poissons entiers (éperlans ou poissons d’eau douce morts), moules décortiquées, crevettes entières, gammares congelés, vers de vase congelés, vers de farine, grillons morts (congelés). Aux adultes on offre le même type de nourriture carnée, en plus de souriceaux congelés. La nourriture carnée peut être déposée dans l’eau, les végétaux seront plutôt placés sur terre : Salades (sauf laitue), luzerne, trèfle, pissenlit, fleurs d’hibiscus, fruits juteux, épinards, tomates, carottes râpées et des plantes aquatiques (Elodea, Ceratophyllum, Vallisneria). Les légumes verts sont à offrir tous les jours, une fois par semaine on offre un apport carné et des fruits une à deux fois par semaine. Les jeunes mangeront des aliments carnés tous les deux ou trois jours. L’apport en calcium est hebdomadaire. Reproduction : Une variation de la photopériode passant de 12 à 6-8 heures durant un mois et éventuelement une baisse de la température générale de 2-3°C. Au retour des conditions normales et la reprise de l’alimentation les accouplements devraient se produire. Néanmoins, des reproductions ont été réussies sans ce genre de variation, la séparation des spécimens durant quelques semaines est également un facteur stimulant. La ponte se fait sur terre, le pondoir sera un récipient rempli de tourbe, de sable et de mousses séchés d’au moins 30 cm de diamètre et 15 cm de profondeur. Il est aussi possible de la transférer dans une caisse en plastique assez grande recouverte du même substrat et équipée d’un petit bac d’eau de la taille de la tortue et chauffé par un spot. La ponte se fait imminente quand la femelle se met à creuser partout, souvent les tortues ont l’habitude de creuser des faux nids pour brouiller es pistes. Le nombre d’œufs est limité : 1 à 3 œufs en général, la femelles peut effectuer plusieurs pontes à quelques semaines d’intervalle. Ils mesurent 30 mm et leur coquille est dure. On les transfère dans un incubateur classique à une température de 28-30°C et 90-100% d’humidité et dure 80 à 90 jours. Comme chez la plupart des tortues , la température d’incubation conditionne le sex ratio, je n’ai pas les fourchettes précises pour Cuora amboinensis. Les jeunes peuvent être élevés en communauté dans un aquarium ou une bassine de plastique remplie de 5-6 cm d’eau seulement et une pierre plate sous une lampe. La croissance est rapide la première année, la maturité est atteinte à 4-5 ans. Des espérances de vie de plus de 30 ans ont été observées. Conclusion : C’est une espèce robuste mais devenue plus cher à cause de son statut assez récent. Agréable, sociable et active, c’est un hôte idéal pour l’aquaterrarium. Statut : Classée en annexe II de la Convention de Washington. Elle a beaucoup souffert de son utilisation locale comme nourriture et comme ingrédient de la médecine asiatique. Vincent NOËL – juin 2005.
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Nous cherchons des photos (faites "maison") pour illustrer cette liste... Un site utile pour les plantes sauvages: http://www.fleurs-des-champs.com/phototheque/index_fleurs_nc.htm Aliments à bon taux de Calcium et plein de vitamines (parfois plus que les fruits notamment le cresson, le pissenlit, les fanes de carottes ou de navet, l'ortie...): * : Feuilles et fleurs · Trèfle* · Séneçon, pissenlit, laiteron* (tout ce qui ressemble à des pissenlits) · Mauve (Malva silvestris)* · Lupin à feuilles étroites · Plantain (majeur et lancéolé) · Vesce * · Mouron blanc* (plante rampante à trrès petites feuilles et petites fleurs blanches) · Pourpier · Luzerne* (plus le plan est vieux plus il est riche en calcium, le mieux étant la luzerne séchée) . Ortie urtiquante: Fauchez les plans (non montés en graine), laissez-les sécher une nuit et jettez-les dans l'enclos de vos tortues... · Campanule* · Cardamine des prés (plante très bondante dans les prés, haute, fleurs regroupées blanches-roses à violettes) · Gratteron (plante très hautes à feuilles fines poussant en étoiles autour de la tige) · Onagre · Chicorée sauvage · Salade frisée · Endives · Mâche · Epinards (avec modération contient des oxalates) · Blettes · Céleri branche · Fanes de carotte et de radis. · Courges et potirons (à hacher) · Kalanchoe · Figuier de barbarie (retirer les épines, à hacher ou en tranche pour les tortues) · Cresson · Persil. · Choux vert (avec modération, contient des oxalates) . Sedum (plante grasse de rocaille) . De l'herbe ou du foin pour les espèces de milieux secs. Fruits : (10 à 20% de la ration max) · Figues fraiches (riche en calcium) . Kaki (riche en calcium) · Oranges. · Kiwis · Fruits rouges (+ calcium) · Tomates · Banane (+ calcium) · Mangue · Papaye · Pommes, poires. Autres aliments à donner en petite quantité (10-20% de la ration) : · Germes de soja · Germes de blé · Fleurs d’hibiscus (très abondantes tout l'été, les fleurs émergent en permanence) · Feuilles et fleurs de robinier faux acacia · Carottes (rapées) . Fleurs de courgettes ou de potirons . Fleurs de Forsithya (arbuste très commun à fleurs jaunes qui fleurit abondamment au début du printemps mais sur une courte période, les fleurs viennent avant les feuilles) Vous pouvez compléter la liste ci-desus si vous trouvez une plante comestible et intéressante du point de vue nutritionnel (merci de mentionner la source de votre info) ou si vous avez des photos...
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Les 3 familles composant l'infra-ordre des Platynota (ou Varanoïdes) Varanidae: 64 espèces. Les espèces notées d'une * sont soumises à CDC. Varanus acanthurus Boulenger 1885 Varanus albigularis Daudin 1802 * Varanus auffenbergi Sprackland 1999 * Varanus baritji King & Horner 1987 Varanus beccarii Doria 1874 Varanus bengalensis Daudin 1758 Varanus boehmei Jacobs 2003 Varanus bogerti Mertens 1950 Varanus brevicauda Boulenger 1898 Varanus bushi Aplin, Fitch & King 2006 Varanus caerulivirens Ziegler, BÖhme & Philipp 1999 * Varanus caudolineatus Boulenger 1885 Varanus cerambonensis Philipp, BÖhme & Ziegler 1999 * Varanus doreanus Meyer 1874 * Varanus dumerilii Schlegel 1839 * Varanus eremius Lucas & Frost 1895 Varanus exanthematicus Bosc 1792 Varanus finschi BÖhme, Horn & Ziegler 1994 * Varanus flavescens Hardwicke & Gray 1827* Varanus giganteus Gray 1845 * Varanus gilleni Lucas & Frost 1895 Varanus glauerti Mertens 1957 Varanus glebopalma Mitchell 1955 * Varanus gouldii Gray 1838 * Varanus griseus Daudin 1803 * Varanus indicus Daudin 1802 * Varanus jobiensis Ahl 1932 * Varanus juxtindicus BÖhme, Philipp & Ziegler 2002 Varanus keithhornei Wells & Wellington 1985 Varanus kingorum Storr 1980 Varanus komodoensis Ouwens 1912 * Varanus kordensis Meyer 1874 Varanus mabitang Gaulke & Curio 2001 * Varanus macraei BÖhme & Jacobs 2001 * Varanus melinus BÖhme & Ziegler 1997 * Varanus mertensi Glauert 1951 * Varanus mitchelli Mertens 1958 Varanus nebulosus Gray 1831 Varanus niloticus Linnaeus 1758 * Varanus olivaceus Hallowell 1857 Varanus ornatus Daudin 1803 * Varanus panoptes Storr 1980 * Varanus pilbarensis Storr 1980 Varanus prasinus Schlegel 1839 Varanus primordius Mertens 1942 Varanus rainerguentheri Ziegler, BÖhme & Schmitz 2007 Varanus reisingeri EidenmÜller & Wicker 2005 Varanus rosenbergi Mertens 1957 * Varanus rudicollis Gray 1845 * Varanus salvadorii Peters & Doria 1878 * Varanus salvator Laurenti 1768 * Varanus scalaris Mertens 1941 Varanus semiremex Peters 1869 Varanus similis Mertens 1958 Varanus spenceri Lucas & Frost 1903 * Varanus spinulosus Mertens 1941 * Varanus storri Mertens 1966 Varanus telenesetes Sprackland 1991 Varanus timorensis Gray 1831 Varanus tristis Schlegel 1839 Varanus varius White 1790 * Varanus yemenensis BÖhme, Joger & SchÄtti 1989 * Varanus yuwonoi Harvey & Barker 1998 * Varanus zugorum BÖhme & Ziegler 2005 Helodermatidae (Monstres de Gila, helodermes...) Lézards du sud des USA et nord du Mexique, les deux espèces sont venimeuses. Heloderma horridum Wiegmann 1829 * Heloderma suspectum Cope 1869* Lantahnotidés Les Helodermes ne sont pas les seuls lézards venimeux comme on le croit souvent, ce lézard des forêts de Bornéo dit "lézard crocodile sans oreilles" est ou "fossile vivant". Des études montrent que ses ancêtres seraient eux-meême les ancêtres des serpents. Lanthanotus borneensis Steindachner 1878* Lanthanotus borneensis
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Liste des espèces de la famille des COLUBRIDAE
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P: Pantherophis bairdi Yarrow 1880 Pantherophis emoryi Baird & Girard 1853 Pantherophis flavirufus Cope 1867 Pantherophis gloydi Conant 1940 Pantherophis guttatus Linnaeus 1766 Pantherophis obsoletus Say 1823 Pantherophis slowinskii Burbrink 2002 Pantherophis spiloides DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Pantherophis vulpinus Baird & Girard 1853 Parahelicops annamensis Bourret 1934 Pararhabdophis chapaensis Bourret 1934 Pararhadinaea melanogaster Boettger 1898 Pareas boulengeri Angel 1920 Pareas carinatus Boie 1828 Pareas chinensis Barbour 1912 Pareas formosensis Van Denburgh 1909 Pareas hamptoni Boulenger 1905 Pareas iwasakii Maki 1937 Pareas macularius Theobald 1868 Pareas margaritophorus Jan 1866 Pareas monticola Cantor 1839 Pareas nuchalis Boulenger 1900 Pareas stanleyi Boulenger 1914 Phalotris bilineatus DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Phalotris concolor Ferrarezzi 1993 Phalotris cuyanus Cei 1984 Phalotris labiomaculatus De Lema 2002 Phalotris lativittatus Ferrarezzi 1993 Phalotris matogrossensis Lema, D’agostini & Cappelari 2005 Phalotris mertensi Hoge 1955 Phalotris multipunctatus Puorto & Ferrarezzi 1993 Phalotris nasutus Gomes 1915 Phalotris nigrilatus Ferrarezzi 1993 Phalotris punctatus De Lema 1979 Phalotris tricolor DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Philodryas aestiva DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Philodryas arnaldoi Amaral 1932 Philodryas baroni Berg 1895 Philodryas boliviana Boulenger 1896 Philodryas chamissonis Wiegmann 1835 Philodryas cordata Donnelly & Myers 1991 Philodryas hoodensis Van Denburgh 1912 Philodryas inca Schmidt & Walker 1943 Philodryas laticeps Werner 1900 Philodryas livida Amaral 1923 Philodryas mattogrossensis Koslowsky 1898 Philodryas nattereri Steindachner 1870 Philodryas olfersii Lichtenstein 1823 Philodryas oligolepis Gomes 1921 Philodryas patagoniensis Girard 1858 Philodryas psammophidea GÜnther 1872 Philodryas simonsii Boulenger 1900 Philodryas tachymenoides Schmidt & Walker 1943 Philodryas trilineata Burmeister 1861 Philodryas varius Jan 1863 Philodryas viridissima Linnaeus 1758 Philothamnus angolensis Bocage 1882 Philothamnus battersbyi Loveridge 1951 Philothamnus bequaerti Schmidt 1923 Philothamnus carinatus Andersson 1901 Philothamnus dorsalis Bocage 1866 Philothamnus girardi Bocage 1893 Philothamnus heterodermus Hallowell 1857 Philothamnus heterolepidotus GÜnther 1863 Philothamnus hoplogaster GÜnther 1863 Philothamnus hughesi Trape & Roux-esteve 1990 Philothamnus irregularis Leach 1819 Philothamnus macrops Boulenger 1895 Philothamnus natalensis Smith 1840 Philothamnus nitidus GÜnther 1863 Philothamnus ornatus Bocage 1872 Philothamnus punctatus Peters 1867 Philothamnus semivariegatus Smith 1847 Philothamnus thomensis Bocage 1882 Phimophis chui Rodrigues 1993 Phimophis guerini DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Phimophis guianensis Troschel 1848 Phimophis iglesiasi Gomes 1915 Phimophis scriptorcibatus Rodrigues 1993 Phimophis vittatus Boulenger 1896 Phyllorhynchus browni Stejneger 1890 Phyllorhynchus decurtatus Cope 1868 Pituophis catenifer Blainville 1835 Pituophis deppei DumÉril 1853 Pituophis lineaticollis Cope 1861 Pituophis melanoleucus Daudin 1803 Pituophis ruthveni Stull 1929 Plagiopholis blakewayi Boulenger 1893 Plagiopholis delacouri Angel 1929 Plagiopholis nuchalis Boulenger 1893 Plagiopholis styani Boulenger 1899 Plagiopholis unipostocularis Zhao, Jiang, Huang 1978 Platyceps afarensis SchÄtti & Ineich 2004 Platyceps atayevi Tuniyev & Shammakov 1993 Platyceps collaris MÉnÉtriÉs 1832 Platyceps florulentus Geoffroy 1827 Platyceps karelini Brandt 1838 Platyceps najadum Eichwald 1831 Platyceps rhodorachis Jan 1865 Platyceps rogersi Anderson 1893 Platyceps saharicus SchÄtti & Mccarthy 2004 Platyceps ventromaculatus Gray 1834 Pliocercus elapoides Cope 1860 Pliocercus euryzonus Cope 1862 Pliocercus wilmarai Smith, Perez-higareda & Chiszar 1996 Poecilopholis cameronensis Boulenger 1903 Prosymna ambigua Bocage 1873 Prosymna angolensis Boulenger 1915 Prosymna bivittata Werner 1903 Prosymna frontalis Peters 1867 Prosymna greigerti Mocquard 1906 Prosymna janii Bianconi 1862 Prosymna meleagris Reinhardt 1843 Prosymna ornatissima Barbour & Loveridge 1928 Prosymna pitmani Battersby 1951 Prosymna ruspolii Boulenger 1896 Prosymna semifasciata Broadley 1995 Prosymna somalica Parker 1930 Prosymna sundevalli Smith 1849 Prosymna visseri Fitzsimons 1959 Psammodynastes pictus GÜnther 1858 Psammodynastes pulverulentus Boie 1827 Psammophis aegyptius Marx 1958 Psammophis angolensis Bocage 1872 Psammophis ansorgii Boulenger 1905 Psammophis biseriatus Peters 1881 Psammophis condanarus Merrem 1820 Psammophis crucifer Daudin 1803 Psammophis elegans Shaw 1802 Psammophis jallae Peracca 1896 Psammophis leightoni Boulenger 1902 Psammophis leithii GÜnther 1869 Psammophis leopardinus Bocage 1887 Psammophis lineolatus Brandt 1836 Psammophis longifrons Boulenger 1896 Psammophis mossambicus Peters 1882 Psammophis namibensis Broadley 1975 Psammophis notostictus Peters 1867 Psammophis phillipsi Hallowell 1844 Psammophis pulcher Boulenger 1895 Psammophis punctulatus DumÉril & Bibron 1854 Psammophis rukwae Broadley 1966 Psammophis schokari Forskal 1775 Psammophis sibilans Linnaeus 1758 Psammophis subtaeniatus Peters 1881 Psammophis tanganicus Loveridge 1940 Psammophis trigrammus GÜnther 1865 Psammophis trinasalis Werner 1902 Psammophis zambiensis Hughes 2002 Psammophylax rhombeatus Linnaeus 1758 Psammophylax tritaeniatus GÜnther 1868 Psammophylax variabilis GÜnther 1893 Pseudablabes agassizii Jan 1863 Pseudaspis cana Linnaeus 1758 Pseudoboa coronata Schneider 1801 Pseudoboa haasi Boettger 1905 Pseudoboa martinsi Zaher, Oliveira & Franco 2008 Pseudoboa neuwiedii DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Pseudoboa nigra DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Pseudoboa serrana Morato, Moura-leite, Prudente & BÉrnils 1995 Pseudoboodon boehmei Rasmussen & Largen 1992 Pseudoboodon gascae Peracca 1897 Pseudoboodon lemniscatus DumÉril & Bibron 1854 Pseudoboodon sandfordorum Spawls 2004 Pseudocyclophis persicus Anderson 1872 Pseudoeryx plicatilis Linnaeus 1758 Pseudoeryx relictualis Schargel, Rivas-fuenmayor, Barros & PÉfaur 2007 Pseudoficimia frontalis Cope 1864 Pseudoleptodeira latifasciata GÜnther 1894 Pseudoleptodeira uribei Bautista & Smith 1992 Pseudorabdion albonuchalis GÜnther 1896 Pseudorabdion ater Taylor 1922 Pseudorabdion collaris Mocquard 1892 Pseudorabdion eiselti Inger & Leviton 1961 Pseudorabdion longiceps Cantor 1847 Pseudorabdion mcnamarae Taylor 1917 Pseudorabdion montanum Leviton & Brown 1959 Pseudorabdion oxycephalum GÜnther 1858 Pseudorabdion sarasinorum MÜller 1895 Pseudorabdion saravacense Shelford 1901 Pseudorabdion talonuran Brown, Leviton & Sison 1999 Pseudorabdion taylori Leviton & Brown 1959 Pseudotomodon trigonatus Leybold 1873 Pseudoxenodon bambusicola Vogt 1922 Pseudoxenodon baramensis Smith 1921 Pseudoxenodon inornatus Boie 1827 Pseudoxenodon karlschmidti Pope 1928 Pseudoxenodon macrops Blyth 1855 Pseudoxenodon stejnegeri Barbour 1908 Pseudoxyrhopus ambreensis Mocquard 1895 Pseudoxyrhopus analabe Nussbaum, Andreone, Raxworthy 1998 Pseudoxyrhopus ankafinaensis Raxworthy & Nussbaum 1994 Pseudoxyrhopus heterurus Jan 1863 Pseudoxyrhopus imerinae GÜnther 1890 Pseudoxyrhopus kely Raxworthy & Nussbaum 1994 Pseudoxyrhopus microps GÜnther 1881 Pseudoxyrhopus oblectator Cadle 1999 Pseudoxyrhopus quinquelineatus GÜnther 1881 Pseudoxyrhopus sokosoko Raxworthy & Nussbaum 1994 Pseudoxyrhopus tritaeniatus Mocquard 1894 Pseustes cinnamomeus Wagler 1824 Pseustes poecilonotus GÜnther 1858 Pseustes sexcarinatus Wagler 1824 Pseustes shropshirei Barbour & Amaral 1924 Pseustes sulphureus Wagler 1824 Psomophis genimaculatus Boettger 1885 Psomophis joberti Sauvage 1884 Psomophis obtusus Cope 1864 Ptyas carinata GÜnther 1858 Ptyas dhumnades Cantor 1842 Ptyas dipsas Schlegel 1837 Ptyas fusca GÜnther 1858 Ptyas korros Schlegel 1837 Ptyas luzonensis GÜnther 1873 Ptyas mucosa Linnaeus 1758 Ptyas nigromarginatus Blyth 1854 Ptychophis flavovirgatus Gomes 1915 Pythonodipsas carinata GÜnther 1868 -
Liste des espèces de la famille des COLUBRIDAE
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O: Oligodon affinis GÜnther 1862 Oligodon albocinctus Cantor 1839 Oligodon ancorus Girard 1858 Oligodon annulifer Boulenger 1893 Oligodon arnensis Shaw 1802 Oligodon barroni Smith 1916 Oligodon bitorquatus Boie 1827 Oligodon booliati Leong & Grismer 2004 Oligodon brevicauda GÜnther 1862 Oligodon catenata Blyth 1854 Oligodon chinensis GÜnther 1888 Oligodon cinereus GÜnther 1864 Oligodon cruentatus GÜnther 1868 Oligodon cyclurus Cantor 1839 Oligodon dorsalis Gray & Hardwicke 1835 Oligodon durheimi Baumann 1913 Oligodon eberhardti Pellegrin 1910 Oligodon erythrogaster Boulenger 1907 Oligodon erythrorhachis Wall 1910 Oligodon everetti Boulenger 1893 Oligodon forbesi Boulenger 1883 Oligodon formosanus GÜnther 1872 Oligodon hamptoni Boulenger 1900 Oligodon inornatus Boulenger 1914 Oligodon jintakunei Pauwels, Wallach, David, Chanhome 2002 Oligodon joynsoni Smith 1917 Oligodon juglandifer Wall 1909 Oligodon kunmingensis Kou & Wu 1993 Oligodon lacroixi Angel & Bourret 1933 Oligodon lungshenensis Zheng & Huang 1978 Oligodon macrurus Angel 1927 Oligodon maculatus Taylor 1918 Oligodon mcdougalli Wall 1905 Oligodon melaneus Wall 1909 Oligodon melanozonatus Wall 1922 Oligodon meyerinkii Steindachner 1891 Oligodon modestum GÜnther 1864 Oligodon mouhoti Boulenger 1914 Oligodon multizonatus Zhao & Jiang 1981 Oligodon nikhili Whitaker & Dattatri 1982 Oligodon ningshaanensis Yuan 1983 Oligodon ocellatus Morice 1875 Oligodon octolineatus Schneider 1801 Oligodon ornatus Van Denburgh 1909 Oligodon perkinsi Taylor 1925 Oligodon petronellae Roux 1914 Oligodon planiceps Boulenger 1888 Oligodon praefrontalis Werner 1913 Oligodon pulcherrimus Werner 1909 Oligodon purpurascens Schlegel 1837 Oligodon rhombifer Werner 1924 Oligodon semicinctus Peters 1862 Oligodon signatus GÜnther 1864 Oligodon splendidus GÜnther 1875 Oligodon subcarinatus GÜnther 1872 Oligodon sublineatus DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Oligodon taeniatus GÜnther 1861 Oligodon taeniolatus Jerdon 1853 Oligodon templetoni Linnaeus 1758 Oligodon theobaldi GÜnther 1868 Oligodon torquatus Boulenger 1888 Oligodon travancoricus Beddome 1877 Oligodon trilineatus DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Oligodon unicolor Kopstein 1926 Oligodon venustus Jerdon 1853 Oligodon vertebralis GÜnther 1865 Oligodon waandersi Bleeker 1860 Oligodon woodmasoni Sclater 1891 Omoadiphas aurula KÖhler, Mccranie & Wilson 2001 Omoadiphas texiguatensis Mccranie & Castaneda 2004 Opheodrys aestivus Linnaeus 1766 Opheodrys vernalis Harlan 1827 Opisthotropis alcalai Brown & Leviton 1961 Opisthotropis andersonii Boulenger 1888 Opisthotropis balteatus Cope 1895 Opisthotropis boonsongi Taylor & Elbel 1958 Opisthotropis cheni Zhao 1999 Opisthotropis daovantieni Orlov, Darevsky & Murphy 1998 Opisthotropis guangxiensis Zhao, Jiang & Huang 1978 Opisthotropis jacobi Angel & Bourret 1933 Opisthotropis kikuzatoi Okada & Takara 1958 Opisthotropis kuatunensis Pope 1928 Opisthotropis lateralis Boulenger 1903 Opisthotropis latouchii Boulenger 1899 Opisthotropis maculosus Stuart & Chuaynkern 2007 Opisthotropis maxwelli Boulenger 1914 Opisthotropis premaxillaris Angel 1929 Opisthotropis rugosus Lidth De Jeude 1890 Opisthotropis spenceri Smith 1918 Opisthotropis typicus Mocquard 1890 Oreocalamus hanitschi Boulenger 1899 Oreocryptophis porphyracea Cantor 1839 Orthriophis cantoris Boulenger 1894 Orthriophis hodgsoni GÜnther 1860 Orthriophis moellendorffi Boettger 1886 Orthriophis taeniurus Cope 1861 Oxybelis aeneus Wagler 1824 Oxybelis brevirostris Cope 1861 Oxybelis fulgidus Daudin 1803 Oxybelis wilsoni Villa & Mccranie 1995 Oxyrhabdium leporinum GÜnther 1858 Oxyrhabdium modestum DumÉril & Bibron 1853 Oxyrhopus clathratus DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Oxyrhopus doliatus DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Oxyrhopus erdisii Barbour 1913 Oxyrhopus fitzingeri Tschudi 1845 Oxyrhopus formosus Wied 1820 Oxyrhopus guibei Hoge & Romano 1977 Oxyrhopus leucomelas Werner 1916 Oxyrhopus marcapatae Boulenger 1902 Oxyrhopus melanogenys Tschudi 1845 Oxyrhopus occipitalis Wied-neuwied 1824 Oxyrhopus petola Linnaeus 1758 Oxyrhopus rhombifer DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Oxyrhopus trigeminus DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 -
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M & N: Macrocalamus chanardi David & Pauwels 2005 Macrocalamus gentingensis Yaakob & Lim 2002 Macrocalamus jasoni Grandison 1972 Macrocalamus lateralis GÜnther 1864 Macrocalamus schulzi Vogel & David 1999 Macrocalamus tweediei Lim 1963 Macrocalamus vogeli David & Pauwels 2005 Macropisthodon flaviceps DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Macropisthodon plumbicolor Cantor 1839 Macropisthodon rhodomelas Boie 1827 Macropisthodon rudis Boulenger 1906 Macroprotodon cucullatus Geoffroy De St-hilaire 1827 Maculophis bella Stanley 1917 Madagascarophis citrinus Boettger 1877 Madagascarophis colubrinus Schlegel 1837 Madagascarophis meridionalis Domergue 1987 Madagascarophis ocellatus Domergue 1987 Malpolon moilensis Reuss 1834 Malpolon monspessulanus Hermann 1804 Manolepis putnami Jan 1863 Masticophis anthonyi Stejneger 1901 Masticophis aurigulus Cope 1861 Masticophis bilineatus Jan 1863 Masticophis flagellum Shaw 1802 Masticophis lateralis Hallowell 1853 Masticophis lineolatus Hensley 1950 Masticophis mentovarius DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Masticophis schotti Baird & Girard 1853 Masticophis taeniatus Hallowell 1852 Mastigodryas amarali Stuart 1938 Mastigodryas bifossatus Raddi 1820 Mastigodryas boddaerti Sentzen 1796 Mastigodryas bruesi Barbour 1914 Mastigodryas cliftoni Hardy 1964 Mastigodryas danieli Amaral 1935 Mastigodryas dorsalis Bocourt 1890 Mastigodryas heathii Cope 1876 Mastigodryas melanolomus Cope 1868 Mastigodryas pleei DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Mastigodryas pulchriceps Cope 1868 Mastigodryas sanguiventris Taylor 1954 Mehelya capensis Smith 1847 Mehelya crossi Boulenger 1895 Mehelya egbensis Dunger 1966 Mehelya gabouensis Trape & ManÉ 2005 Mehelya guirali Mocquard 1887 Mehelya laurenti De Witte 1959 Mehelya nyassae GÜnther 1888 Mehelya poensis Smith 1847 Mehelya stenophthalmus Mocquard 1887 Mehelya vernayi Bogert 1940 Meizodon coronatus Schlegel 1837 Meizodon krameri SchÄtti 1985 Meizodon plumbiceps Boettger 1893 Meizodon regularis Fischer 1856 Meizodon semiornatus Peters 1854 Micropisthodon ochraceus Mocquard 1894 Mimophis mahfalensis Grandidier 1867 Montaspis gilvomaculata Bourquin 1991 Myersophis alpestris Taylor 1963 Myron richardsonii Gray 1849 Natriciteres fuliginoides GÜnther 1858 Natriciteres olivacea Peters 1854 Natriciteres variegata Peters 1861 Natrix maura Linnaeus 1758 Natrix megalocephala Orlov & Tuniyev 1987 Natrix natrix Linnaeus 1758 Natrix tessellata Laurenti 1768 Nerodia clarkii Baird & Girard 1853 Nerodia cyclopion DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Nerodia erythrogaster Forster 1771 Nerodia fasciata Linnaeus 1766 Nerodia floridana Goff 1936 Nerodia harteri Trapido 1941 Nerodia paucimaculata Tinkle & Conant 1961 Nerodia rhombifer Hallowell 1852 Nerodia sipedon Linnaeus 1758 Nerodia taxispilota Holbrook 1838 Ninia atrata Hallowell 1845 Ninia celata Mccranie & Wilson 1995 Ninia diademata Baird & Girard 1853 Ninia espinali Mccranie & Wilson 1995 Ninia hudsoni Parker 1940 Ninia maculata Peters 1861 Ninia pavimentata Bocourt 1883 Ninia psephota Cope 1875 Ninia sebae DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Nothopsis rugosus Cope 1871 -
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I & L : Ialtris agyrtes Schwartz & Rossman 1976 Ialtris dorsalis GÜnther 1858 Ialtris parishi Cochran 1932 Iguanognathus werneri Boulenger 1898 Imantodes cenchoa Linnaeus 1758 Imantodes gemmistratus Cope 1861 Imantodes inornatus Boulenger 1896 Imantodes lentiferus Cope 1894 Imantodes phantasma Myers 1982 Imantodes tenuissimus Cope 1867 Ithycyphus blanci Domergue 1988 Ithycyphus goudoti Schlegel 1837 Ithycyphus miniatus Schlegel 1837 Ithycyphus oursi Domergue 1986 Ithycyphus perineti Domergue 1986 Lampropeltis alterna Brown 1901 Lampropeltis calligaster Harlan 1827 Lampropeltis getula Linnaeus 1766 Lampropeltis mexicana Garman 1884 Lampropeltis pyromelana Cope 1866 Lampropeltis ruthveni Blanchard 1920 Lampropeltis triangulum LacÉpÈde 1789 Lampropeltis webbi Bryson, Dixon & Lazcano 2005 Lampropeltis zonata Lockington 1835 Lamprophis abyssinicus Mocquard 1906 Lamprophis aurora Linnaeus 1758 Lamprophis erlangeri Sternfeld 1908 Lamprophis fiskii Boulenger 1887 Lamprophis fuliginosus Boie 1827 Lamprophis fuscus Boulenger 1893 Lamprophis geometricus Schlegel 1837 Lamprophis guttatus Smith 1843 Lamprophis inornatus DumÉril & Bibron 1854 Lamprophis lineatus DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Lamprophis maculatus Parker 1932 Lamprophis olivaceus DumÉril 1856 Lamprophis swazicus Schaefer 1970 Lamprophis virgatus Hallowell 1854 Langaha alluaudi Mocquard 1901 Langaha madagascariensis Bonaterre 1790 Langaha pseudoalluaudi Domergue 1988 Leioheterodon geayi Mocquard 1905 Leioheterodon madagascariensis DumÉril & Bibron 1854 Leioheterodon modestus GÜnther 1863 Leptodeira annulata Linnaeus 1758 Leptodeira bakeri Ruthven 1936 Leptodeira frenata Cope 1886 Leptodeira maculata Hallowell 1861 Leptodeira nigrofasciata GÜnther 1868 Leptodeira punctata Peters 1866 Leptodeira rubricata Cope 1893 Leptodeira septentrionalis Kennicott 1859 Leptodeira splendida GÜnther 1895 Leptodrymus pulcherrimus Cope 1874 Leptophis ahaetulla Linnaeus 1758 Leptophis cupreus Cope 1868 Leptophis depressirostris Cope 1861 Leptophis diplotropis GÜnther 1872 Leptophis mexicanus DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Leptophis modestus GÜnther 1872 Leptophis nebulosus Oliver 1942 Leptophis riveti Despax 1910 Leptophis santamartensis Bernal-carlo & Roze 1994 Leptophis stimsoni Harding 1995 Lepturophis albofuscus DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Lepturophis borneensis Boulenger 1900 Limnophis bicolor GÜnther 1865 Lioheterophis iheringi Amaral 1935 Liopeltis calamaria GÜnther 1858 Liopeltis frenatus GÜnther 1858 Liopeltis herminae Boettger 1895 Liopeltis philippinus Boettger 1897 Liopeltis rappi GÜnther 1860 Liopeltis stoliczkae Sclater 1891 Liopeltis tricolor Schlegel 1837 Liophidium apperti Domergue 1984 Liophidium chabaudi Domergue 1984 Liophidium mayottensis Peters 1874 Liophidium rhodogaster Schlegel 1837 Liophidium therezieni Domergue 1984 Liophidium torquatum Boulenger 1888 Liophidium trilineatum Boulenger 1896 Liophidium vaillanti Mocquard 1901 Liophis almadensis Wagler 1824 Liophis amarali Wettstein 1930 Liophis andinus Dixon 1983 Liophis angustilineatus Schmidt & Walker 1943 Liophis anomalus GÜnther 1858 Liophis atraventer Dixon & Thomas 1985 Liophis boursieri Jan 1867 Liophis breviceps Cope 1861 Liophis carajasensis Da Cunha 1985 Liophis ceii Dixon 1991 Liophis cobellus Linnaeus 1758 Liophis cursor LacÉpÈde 1789 Liophis dilepis Cope 1862 Liophis dorsocorallinus Esqueda, Natera, La Marca & Ilija-fistar 2007 Liophis elegantissimus Koslowsky 1896 Liophis epinephelus Cope 1862 Liophis festae Peracca 1897 Liophis flavifrenatus Cope 1862 Liophis frenatus Werner 1909 Liophis guentheri Peracca 1897 Liophis jaegeri GÜnther 1858 Liophis janaleeae Dixon 2000 Liophis juliae Cope 1879 Liophis leucogaster Jan 1863 Liophis lineatus Linnaeus 1758 Liophis longiventris Amaral 1925 Liophis maryellenae Dixon 1985 Liophis melanauchen Jan 1863 Liophis melanotus Shaw 1802 Liophis meridionalis Schenkel 1902 Liophis miliaris Linnaeus 1758 Liophis ornatus Garman 1887 Liophis paucidens Hoge 1953 Liophis perfuscus Cope 1862 Liophis poecilogyrus Wied-neuwied 1825 Liophis problematicus Myers 1986 Liophis reginae Linnaeus 1758 Liophis sagittifer Jan 1863 Liophis steinbachi Boulenger 1905 Liophis subocularis Boulenger 1902 Liophis tachymenoides Schmidt & Walker 1943 Liophis taeniurus Tschudi 1845 Liophis torrenicolus Donnelly & Myers 1991 Liophis triscalis Linnaeus 1758 Liophis tristriatus Rendahl & Vestergren 1941 Liophis typhlus Linnaeus 1758 Liophis vanzolinii Dixon 1985 Liophis viridis GÜnther 1862 Liophis vitti Dixon 2000 Liophis williamsi Roze 1958 Liopholidophis dimorphus Glaw, Nagy, Franzen & Vences 2007 Liopholidophis dolicocercus Peracca 1892 Liopholidophis grandidieri Mocquard 1904 Liopholidophis rhadinaea Cadle 1996 Liopholidophis sexlineatus GÜnther 1882 Liopholidophis varius Fischer 1884 Lycodon alcalai Ota & Ross 1994 Lycodon aulicus Linnaeus 1758 Lycodon bibonius Ota & Ross 1994 Lycodon butleri Boulenger 1900 Lycodon capucinus Boie 1827 Lycodon cardamomensis Daltry & WÜster 2002 Lycodon chrysoprateros Ota & Ross 1994 Lycodon dumerili Boulenger 1893 Lycodon effraenis Cantor 1847 Lycodon fasciatus Anderson 1879 Lycodon fausti Gaulke 2002 Lycodon ferroni Lanza 1999 Lycodon flavicollis Mukherjee & Bhupathy 2007 Lycodon flavomaculatus Wall 1907 Lycodon jara Shaw 1802 Lycodon kundui Smith 1943 Lycodon laoensis GÜnther 1864 Lycodon mackinnoni Wall 1906 Lycodon muelleri DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Lycodon osmanhilli Taylor 1950 Lycodon paucifasciatus Rendahl & Smith 1943 Lycodon ruhstrati Fischer 1886 Lycodon solivagus Ota & Ross 1994 Lycodon stormi Boettger 1892 Lycodon striatus Shaw 1802 Lycodon subcinctus Reinwardt 1827 Lycodon tessellatus Jan 1863 Lycodon tiwarii Biswas & Sanyal 1965 Lycodon travancoricus Beddome 1870 Lycodon zawi Slowinski, Pawar, Win, Thin, Tun, Gyi, Oo & Tun 2001 Lycodonomorphus bicolor GÜnther 1893 Lycodonomorphus laevissimus GÜnther 1862 Lycodonomorphus leleupi Laurent 1950 Lycodonomorphus rufulus Lichtenstein 1823 Lycodonomorphus subtaeniatus Laurent 1954 Lycodonomorphus whytii Boulenger 1897 Lycodryas maculatus GÜnther 1858 Lycodryas sanctijohannis GÜnther 1879 Lycognathophis seychellensis Schlegel 1837 Lycophidion acutirostre GÜnther 1868 Lycophidion albomaculatum Steindachner 1870 Lycophidion capense Smith 1831 Lycophidion depressirostre Laurent 1968 Lycophidion hellmichi Laurent 1964 Lycophidion irroratum Leach 1819 Lycophidion laterale Hallowell 1857 Lycophidion meleagris Boulenger 1893 Lycophidion namibianum Broadley 1991 Lycophidion nanus Broadley 1958 Lycophidion nigromaculatum Peters 1863 Lycophidion ornatum Parker 1936 Lycophidion pygmaeum Broadley 1996 Lycophidion semiannule Peters 1854 Lycophidion semicinctum DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Lycophidion taylori Broadley & Hughes 1993 Lycophidion uzungwense Loveridge 1932 Lycophidion variegatum Broadley 1969 Lystrophis dorbignyi DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Lystrophis histricus Jan 1863 Lystrophis matogrossensis Scrocchi & Druz 1993 Lystrophis pulcher Jan 1863 Lystrophis semicinctus DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Lytorhynchus diadema DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Lytorhynchus gasperetti Leviton 1977 Lytorhynchus kennedyi Schmidt 1939 Lytorhynchus maynardi Alcock & Finn 1897 Lytorhynchus paradoxus GÜnther 1875 Lytorhynchus ridgewayi Boulenger 1887 -
Liste des espèces de la famille des COLUBRIDAE
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G & H: Geagras redimitus Cope 1876 Geophis anocularis Dunn 1920 Geophis bellus Myers 2003 Geophis betaniensis Restrepo & Wright 1987 Geophis bicolor GÜnther 1868 Geophis blanchardi Taylor & Smith 1939 Geophis brachycephalus Cope 1871 Geophis cancellatus Smith 1941 Geophis carinosus Stuart 1941 Geophis chalybeus Wagler 1830 Geophis championi Boulenger 1894 Geophis damiani Wilson, Mccranie & Williams 1998 Geophis downsi Savage 1981 Geophis dubius Peters 1861 Geophis duellmani Smith & Holland 1969 Geophis dugesii Bocourt 1883 Geophis dunni Schmidt 1932 Geophis fulvoguttatus Mertens 1952 Geophis godmani Boulenger 1894 Geophis hoffmanni Peters 1859 Geophis immaculatus Downs 1967 Geophis incomptus Duellman 1959 Geophis isthmicus Boulenger 1894 Geophis juarezi Nieto-montes De Oca 2003 Geophis juliai PÉrez-higareda, Smith & LÓpez-luna 2001 Geophis laticinctus Smith & Williams 1963 Geophis laticollaris Smith, Lynch & Altig 1965 Geophis latifrontalis Garman 1883 Geophis maculiferus Taylor 1941 Geophis mutitorques Cope 1885 Geophis nasalis Cope 1868 Geophis nephodrymus Townsend & Wilson 2006 Geophis nigroalbus Boulenger 1908 Geophis nigrocinctus Duellman 1959 Geophis omiltemanus GÜnther 1893 Geophis petersii Boulenger 1894 Geophis pyburni Campbell & Murphy 1977 Geophis rhodogaster Cope 1868 Geophis rostralis Jan 1865 Geophis russatus Smith & Williams 1966 Geophis ruthveni Werner 1925 Geophis sallaei Boulenger 1894 Geophis semidoliatus DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Geophis sieboldi Jan 1862 Geophis talamancae Lips & Savage 1994 Geophis tarascae Hartweg 1959 Geophis zeledoni Taylor 1954 Gerarda prevostiana Eydoux & Gervais 1822 Gomesophis brasiliensis Gomes 1918 Gongylosoma baliodeirus Boie 1827 Gongylosoma longicauda Peters 1871 Gongylosoma mukutense Grismer, Das & Leong 2003 Gongylosoma nicobariensis Stoliczka 1870 Gongylosoma scripta Theobald 1868 Gonionotophis brussauxi Mocquard 1889 Gonionotophis grantii GÜnther 1863 Gonionotophis klingi Matschie 1893 Gonyophis margaritatus Peters 1871 Gonyosoma jansenii Bleeker 1858 Gonyosoma oxycephalum Boie 1827 Grayia caesar GÜnther 1863 Grayia ornata Bocage 1866 Grayia smithii Leach 1818 Grayia tholloni Mocquard 1897 Gyalopion canum Cope 1861 Gyalopion quadrangulare GÜnther 1893 Haplocercus ceylonensis GÜnther 1858 Hapsidophrys lineatus Fischer 1856 Hapsidophrys smaragdina Schlegel 1837 Helicops angulatus Linnaeus 1758 Helicops carinicaudus Wied-neuwied 1825 Helicops danieli Amaral 1938 Helicops gomesi Amaral 1921 Helicops hagmanni Roux 1910 Helicops infrataeniatus Jan 1865 Helicops leopardinus Schlegel 1837 Helicops modestus GÜnther 1861 Helicops pastazae Shreve 1934 Helicops petersi Rossman 1976 Helicops polylepis GÜnther 1861 Helicops scalaris Jan 1865 Helicops tapajonicus Da Frota 2005 Helicops trivittatus Gray 1849 Helicops yacu Rossman & Dixon 1975 Helophis schoutedeni De Witte 1942 Hemerophis socotrae GÜnther 1881 Hemirhagerrhis hildebrandtii Peters 1878 Hemirhagerrhis kelleri Boettger 1893 Hemirhagerrhis nototaenia GÜnther 1864 Hemirhagerrhis viperina Bocage 1873 Hemorrhois algirus Jan 1863 Hemorrhois hippocrepis Linnaeus 1758 Hemorrhois nummifer Reuss 1834 Hemorrhois ravergieri MÉnÉtries 1832 Heterodon nasicus Baird & Girard 1852 Heterodon platirhinos Latreille 1801 Heterodon simus Linnaeus 1766 Heteroliodon fohy Glaw, Vences & Nussbaum 2005 Heteroliodon lava Nussbaum & Raxworthy 2000 Heteroliodon occipitalis Boulenger 1896 Heurnia ventromaculata Jong 1926 Hierophis gemonensis Laurenti 1768 Hierophis spinalis Peters 1866 Hierophis viridiflavus LacÉpÈde 1789 Hologerrhum dermali Brown, Leviton, Ferner & Sison 2001 Hologerrhum philippinum GÜnther 1858 Homalopsis buccata Linnaeus 1758 Hormonotus modestus DumÉril & Bibron 1854 Hydrablabes periops GÜnther 1872 Hydrablabes praefrontalis Mocquard 1890 Hydraethiops laevis Boulenger 1904 Hydraethiops melanogaster GÜnther 1872 Hydrodynastes bicinctus Herrmann 1804 Hydrodynastes gigas DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Hydrodynastes melanogigas Franco, Fernandes & Bentim 2007 Hydromorphus concolor Peters 1859 Hydromorphus dunni Slevin 1942 Hydrops caesurus Scrocchi, Lucia-ferreira, Giraudo, Avila & Motte 2005 Hydrops martii Wagler 1824 Hydrops triangularis Wagler 1824 Hypsiglena tanzeri Dixon & Lieb 1972 Hypsiglena torquata GÜnther 1860 Hypsirhynchus ferox GÜnther 1858 -
Liste des espèces de la famille des COLUBRIDAE
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E & F Echinanthera amoena Jan 1863 Echinanthera cephalomaculata Di Bernardo 1994 Echinanthera cephalostriata Di Bernardo 1996 Echinanthera cyanopleura Cope 1885 Echinanthera melanostigma Wagler 1824 Echinanthera undulata Wied 1824 Eirenis africana Boulenger 1914 Eirenis aurolineatus Venzmer 1919 Eirenis barani Schmidtler 1988 Eirenis coronella Schlegel 1837 Eirenis coronelloides Jan 1862 Eirenis decemlineatus DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Eirenis eiselti Schmidtler & Schmidtler 1978 Eirenis hakkariensis Schmidtler & Eiselt 1991 Eirenis levantinus Schmidtler 1993 Eirenis lineomaculatus Schmidt 1939 Eirenis mcmahoni Wall 1911 Eirenis medus Chernov 1940 Eirenis modestus Martin 1838 Eirenis punctatolineatus Boettger 1892 Eirenis rechingeri Eiselt 1971 Eirenis rothii Jan 1863 Eirenis thospitis Schmidtler & Lanza 1990 Elachistodon westermanni Reinhardt 1863 Elaphe bimaculata Schmidt 1925 Elaphe carinata GÜnther 1864 Elaphe climacophora Boie 1826 Elaphe davidi Sauvage 1884 Elaphe dione Pallas 1773 Elaphe leonardi Wall 1921 Elaphe maculata Ma & Zong 1984 Elaphe quadrivirgata Boie 1826 Elaphe quatuorlineata Lacepede 1789 Elaphe rufodorsata Cantor 1842 Elaphe sauromates Pallas 1811 Elaphe schrenckii Strauch 1873 Elapoidis fusca Boie 1826 Elapomorphus lemniscatus DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Elapomorphus lepidus Reinhardt 1861 Elapomorphus quinquelineatus Raddi 1820 Elapomorphus spegazzinii Boulenger 1913 Elapomorphus wuchereri GÜnther 1861 Emmochliophis fugleri Fritts & Smith 1969 Emmochliophis miops Boulenger 1898 Enhydris albomaculata DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Enhydris alternans Reuss 1834 Enhydris bennettii Gray 1842 Enhydris bocourti Jan 1865 Enhydris chanardi Murphy & Voris 2005 Enhydris chinensis Gray 1842 Enhydris doriae Peters 1871 Enhydris dussumieri DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Enhydris enhydris Schneider 1799 Enhydris gyii Murphy, Voris & Auliya 2005 Enhydris indica Gray 1842 Enhydris innominata Morice 1875 Enhydris jagorii Peters 1863 Enhydris longicauda Bourret 1934 Enhydris maculosa Blanford 1881 Enhydris matannensis Boulenger 1897 Enhydris pahangensis Tweedie 1946 Enhydris pakistanica Mertens 1959 Enhydris plumbea Boie 1827 Enhydris polylepis Fischer 1886 Enhydris punctata Gray 1849 Enhydris sieboldi Schlegel 1837 Enhydris smithi Boulenger 1914 Enuliophis sclateri Boulenger 1894 Enulius bifoveatus Mccranie & KÖhler 1999 Enulius flavitorques Cope 1868 Enulius oligostichus Smith, Arndt & Sherbrook 1967 Enulius roatanensis Mccranie & KÖhler 1999 Eridiphas slevini Tanner 1943 Erpeton tentaculatum LacÉpÈde 1800 Erythrolamprus aesculapii Linnaeus 1766 Erythrolamprus bizonus Jan 1863 Erythrolamprus guentheri Garman 1883 Erythrolamprus mimus Cope 1868 Erythrolamprus ocellatus Peters 1869 Erythrolamprus pseudocorallus Roze 1959 Etheridgeum pulchrum Werner 1924 Euprepiophis conspicillata Boie 1826 Euprepiophis mandarina Cantor 1842 Euprepiophis perlacea Stejneger 1929 Exallodontophis albignaci Domergue 1984 Farancia abacura Holbrook 1836 Farancia erytrogramma Palissot De Beauvois 1802 Ficimia hardyi Mendoza-quijano & Smith 1993 Ficimia olivacea Gray 1849 Ficimia publia Cope 1866 Ficimia ramirezi Smith & Langebartel 1949 Ficimia ruspator Smith & Taylor 1941 Ficimia streckeri Taylor 1931 Ficimia variegata GÜnther 1858 Fimbrios klossi Smith 1920 Fordonia leucobalia Schlegel 1837 -
Liste des espèces de la famille des COLUBRIDAE
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Darlingtonia haetiana Cochran 1935 Dasypeltis atra Sternfeld 1912 Dasypeltis confusa Trape & ManÉ 2006 Dasypeltis fasciata Smith 1849 Dasypeltis gansi Trape & ManÉ 2006 Dasypeltis inornata Smith 1849 Dasypeltis medici Bianconi 1859 Dasypeltis sahelensis Trape & ManÉ 2006 Dasypeltis scabra Linnaeus 1758 Dendrelaphis bifrenalis Boulenger 1890 Dendrelaphis calligastra GÜnther 1867 Dendrelaphis caudolineatus Gray 1834 Dendrelaphis caudolineolatus GÜnther 1869 Dendrelaphis cyanochloris Wall 1921 Dendrelaphis formosus Boie 1827 Dendrelaphis gastrostictus Boulenger 1894 Dendrelaphis gorei Wall 1910 Dendrelaphis grandoculis Boulenger 1890 Dendrelaphis haasi Van Rooijen & Vogel 2008 Dendrelaphis hollonrakei Lazell 2002 Dendrelaphis humayuni Tiwari & Biswas 1973 Dendrelaphis inornatus Boulenger 1897 Dendrelaphis kopsteini Vogel & Van Rooijen 2007 Dendrelaphis lorentzi Lidth De Jeude 1911 Dendrelaphis ngansonensis Bourret 1935 Dendrelaphis oliveri Taylor 1950 Dendrelaphis papuensis Boulenger 1895 Dendrelaphis pictus Gmelin 1789 Dendrelaphis punctulatus Gray 1826 Dendrelaphis salomonis GÜnther 1872 Dendrelaphis striatus Cohn 1905 Dendrelaphis subocularis Boulenger 1888 Dendrelaphis tristis Daudin 1803 Dendrolycus elapoides GÜnther 1874 Dendrophidion bivittatus DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Dendrophidion boshelli Dunn 1944 Dendrophidion brunneus GÜnther 1858 Dendrophidion dendrophis Schlegel 1837 Dendrophidion nuchale Peters 1863 Dendrophidion paucicarinatus Cope 1894 Dendrophidion percarinatus Cope 1893 Dendrophidion vinitor Smith 1941 Diadophis punctatus Linnaeus 1766 Diaphorolepis laevis Werner 1923 Diaphorolepis wagneri Jan 1863 Dinodon flavozonatum Pope 1928 Dinodon gammiei Blanford 1878 Dinodon orientale Hilgendorf 1880 Dinodon rosozonatum Hu & Zhao 1972 Dinodon rufozonatum Cantor 1842 Dinodon semicarinatum Cope 1860 Dinodon septentrionalis GÜnther 1875 Dipsadoboa aulica GÜnther 1864 Dipsadoboa brevirostris Sternfeld 1908 Dipsadoboa duchesnei Boulenger 1901 Dipsadoboa elongata Barbour 1914 Dipsadoboa flavida Broadley & Stevens 1971 Dipsadoboa shrevei Loveridge 1932 Dipsadoboa underwoodi Rasmussen 1993 Dipsadoboa unicolor GÜnther 1858 Dipsadoboa viridis Peters 1869 Dipsadoboa weileri Lindholm 1905 Dipsadoboa werneri Boulenger 1897 Dipsas albifrons Sauvage 1884 Dipsas alternans Fischer 1885 Dipsas andiana Boulenger 1896 Dipsas articulata Cope 1868 Dipsas bicolor GÜnther 1895 Dipsas boettgeri Werner 1901 Dipsas brevifacies Cope 1866 Dipsas catesbyi Sentzen 1796 Dipsas chaparensis Reynolds & Foster 1992 Dipsas gaigeae Oliver 1937 Dipsas gracilis Boulenger 1902 Dipsas incerta Jan 1863 Dipsas indica Laurenti 1768 Dipsas infrenalis Rosen 1905 Dipsas latifasciata Boulenger 1913 Dipsas latifrontalis Boulenger 1905 Dipsas maxillaris Werner 1909 Dipsas neivai Amaral 1926 Dipsas nicholsi Dunn 1933 Dipsas oreas Cope 1868 Dipsas pakaraima Macculloch & Lathrop 2004 Dipsas pavonina Schlegel 1837 Dipsas perijanensis Aleman 1953 Dipsas peruana Boettger 1898 Dipsas polylepis Boulenger 1912 Dipsas pratti Boulenger 1897 Dipsas sanctijoannis Boulenger 1911 Dipsas schunkii Boulenger 1908 Dipsas temporalis Werner 1909 Dipsas tenuissima Taylor 1954 Dipsas variegata DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Dipsas vermiculata Peters 1960 Dipsas viguieri Bocourt 1884 Dipsina multimaculata Smith 1847 Dispholidus typus Smith 1829 Ditaxodon taeniatus Hensel 1868 Ditypophis vivax GÜnther 1881 Dolichophis caspius Gmelin 1789 Dolichophis cypriensis SchÄtti 1985 Dolichophis jugularis Linnaeus 1758 Dolichophis schmidti Nikolsky 1909 Drepanoides anomalus Jan 1863 Dromicodryas bernieri DumÉril & Bibron 1854 Dromicodryas quadrilineatus DumÉril & Bibron 1854 Dromophis lineatus DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Dromophis praeornatus Schlegel 1837 Drymarchon caudomaculatus WÜster , Yrausquin & Mijares-urrutia 2001 Drymarchon corais Boie 1827 Drymarchon couperi Holbrook 1842 Drymarchon melanurus DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Drymobius chloroticus Cope 1886 Drymobius margaritiferus Schlegel 1837 Drymobius melanotropis Cope 1876 Drymobius rhombifer GÜnther 1860 Drymoluber apurimacensis Lehr, Carrillo & Hocking 2004 Drymoluber brazili Gomes 1918 Drymoluber dichrous Peters 1863 Dryocalamus davisonii Blanford 1878 Dryocalamus gracilis GÜnther 1864 Dryocalamus nympha Daudin 1803 Dryocalamus philippinus Griffin 1909 Dryocalamus subannulatus DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Dryocalamus tristrigatus GÜnther 1858 Dryophiops philippina Boulenger 1896 Dryophiops rubescens Gray 1835 Duberria lutrix Linnaeus 1758 Duberria variegata Peters 1854 -
ATTENTION: Les annonces qui ne respectent pas SCRUPULEUSEMENT les consignes ci-dessous seront supprimées. En cas de récidive, l'utilisateur recevra un avertissement, la prochaine étape étant le bannissement... L'espace petites annonces est réservé aux particuliers, pour les professionnels, se reporter au forum "nouveautés" ou au règlement. Seules les annonces ayant un lien avec la terrariophilie seront acceptées. La vente d'animaux domestiques (sauf rongeurs) est interdite. Pour pouvoir poster une annonce il faut avoir au moins 1 message à son actif, à savoir un message de présentation dans la rubrique "présentez-vous!" Consignes obligatoires de rédaction: Dans le TITRE: Mentionner s'il s'agit d'une VENTE, RECHERCHE, d'un ECHANGE ou DON. Vous devez obligatoirement mentionner: Le NOM SCIENTIFIQUE - le SEXE des spécimens - l'ORIGINE (NC ou sauvage) et le PRIX! Vous devez également noter s'il s'agit d'animaux soumis à CITES ou visés par l'arrêté du 10 aout 2004. NUL N'EST CENSE IGNORER LA LOI! Vous devez connaitre le statut légal de votre animal! Rappel le numéro de CITES est un numéro d'importation, pas une preuve de naissance en captivité dans l'Union Européenne... Les modérateurs peuvent ajouter des commentaires s'ils le jugent utile. Voir également le sujet " Aux acheteurs et vendeurs". N'oubliez pas de mettre une photo, c'est un GROS plus qui vous sera sans doute demandé. IMPORTANT: Ne donnez pas en public votre numéro de téléphone ou adresse!!! Lorsque votre annonce n'est plus valable, merci de le mentionner en réponse a l'annonce afin qu'elle puisse être classée. Cela facilitera le travail des modérateurs. Un maximum de 2 "UP" est autorisé (réponses ayant pour but de faire remonter une annonce en début de liste)... Ensuite le message sera verrouillé. Soyez patient, inutile d'abuser de cette fonction si l'annonce est encore bien visible ou si elle n'est en ligne que depuis quelques jours... Responsabilité: Le RTC dégage toute responsabilité en cas de vente frauduleuse ou d'escroquerie, mais nous encourageons les victimes à en référer à l'administration du site si un utilisateur s'avère être peu scrupuleux. Toute annonce de plus de 6 mois qui sera restée sans réponse sera automatiquement archivée.
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Annonces commerciales et magasins partenaires
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Bonjour, Les professionnels et sociétés souhaitant passer des annonces dans la section "nouveautés" doivent d'abord demander l'autorisation à un administrateur. Cela peut-être accordé de manière ponctuelle (annonce d'ouverture d'un magasin...) en dehors de tout partenariat. La section "petites annonces" est réservée aux particuliers. Néanmoins, nous cherchons des partenariats avec des magasins et boutiques en ligne qui pourront poster leurs annonces et faire part de leurs promotions et nouveautés soit dans la catégorie réservées aux membres du RTC soit dans la catégorie "Nouveautés". Cette possibilité est laissée aux membres du RTC (qui sont également professionnels) ou aux magasins et boutiques en ligne offrant une réduction aux membres du RTC (voire du forum) qui achètent chez eux. Les conditions du partenariat sont à discuter en privé avant toute publication de publicité. Cette publicité sera placée en "post-it" et pourra être fixe ou rééditée régulièrement. -
Liste des espèces de la famille des COLUBRIDAE
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Calamaria abstrusa Inger & Marx 1965 Calamaria acutirostris Boulenger 1896 Calamaria albiventer Gray 1835 Calamaria alidae Boulenger 1920 Calamaria apraeocularis Smith 1927 Calamaria battersbyi Inger & Marx 1965 Calamaria bicolor DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Calamaria bitorques Peters 1872 Calamaria boesemani Inger & Marx 1965 Calamaria borneensis Bleeker 1860 Calamaria brongersmai Inger & Marx 1965 Calamaria buchi Marx & Inger 1955 Calamaria butonensis Howard & Gillespie 2007 Calamaria ceramensis De Rooij 1913 Calamaria crassa Lidth De Jeude 1922 Calamaria curta Boulenger 1896 Calamaria doederleini Gough 1902 Calamaria eiselti Inger & Marx 1965 Calamaria everetti Boulenger 1893 Calamaria forcarti Inger & Marx 1965 Calamaria gervaisii DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Calamaria grabowskyi Fischer 1885 Calamaria gracillima GÜnther 1872 Calamaria griswoldi Loveridge 1938 Calamaria hilleniusi Inger & Marx 1965 Calamaria ingeri Grismer, Kaiser & Yaakob 2004 Calamaria javanica Boulenger 1891 Calamaria joloensis Taylor 1922 Calamaria lateralis Mocquard 1890 Calamaria leucogaster Bleeker 1860 Calamaria linnaei Boie 1827 Calamaria longirostris Howard & Gillespie 2007 Calamaria lovii Boulenger 1887 Calamaria lumbricoidea Boie 1827 Calamaria lumholtzi Andersson 1923 Calamaria margaritophora Bleeker 1860 Calamaria mecheli Schenkel 1901 Calamaria melanota Jan 1862 Calamaria modesta DumÉril & Bibron 1854 Calamaria muelleri Boulenger 1896 Calamaria nuchalis Boulenger 1896 Calamaria palawanensis Inger & Marx 1965 Calamaria pavimentata DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Calamaria pfefferi Stejneger 1901 Calamaria prakkei Lidth De Jeude 1893 Calamaria rebentischi Bleeker 1860 Calamaria schlegelii DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Calamaria schmidti Marx & Inger 1955 Calamaria septentrionalis Boulenger 1890 Calamaria suluensis Taylor 1922 Calamaria sumatrana Edeling 1870 Calamaria thanhi Ziegler & Quyet 2005 Calamaria ulmeri Sackett 1940 Calamaria virgulata Boie 1827 Calamaria yunnanensis Chernov 1962 Calamodontophis paucidens Amaral 1936 Calamodontophis ronaldoi Franco, De Carvalho Cintra & De Lema 2006 Calamorhabdium acuticeps Ahl 1933 Calamorhabdium kuekenthali Boettger 1898 Cantoria annulata De Jong 1926 Cantoria violacea Girard 1857 Carphophis amoenus Say 1825 Carphophis vermis Kennicott 1859 Cemophora coccinea Blumenbach 1788 Cerberus microlepis Boulenger 1896 Cerberus rynchops Schneider 1799 Cercaspis carinatus Kuhl 1820 Cercophis auratus Schlegel 1837 Chamaelycus christyi Boulenger 1919 Chamaelycus fasciatus GÜnther 1858 Chamaelycus parkeri Angel 1934 Chamaelycus werneri Mocquard 1902 Chapinophis xanthocheilus Campbell & Smith 1998 Chersodromus liebmanni Reinhardt 1861 Chersodromus rubriventris Taylor 1949 Chilomeniscus savagei Cliff 1954 Chilomeniscus stramineus Cope 1860 Chionactis occipitalis Hallowell 1854 Chionactis palarostris Klauber 1937 Chironius bicarinatus Wied 1820 Chironius carinatus Linnaeus 1758 Chironius exoletus Linnaeus 1758 Chironius flavolineatus Boettger 1885 Chironius fuscus Linnaeus 1758 Chironius grandisquamis Peters 1869 Chironius laevicollis Wied 1824 Chironius laurenti Dixon, Wiest & Cei 1993 Chironius monticola Roze 1952 Chironius multiventris Schmidt & Walker 1943 Chironius quadricarinatus Boie 1827 Chironius scurrulus Wagler 1824 Chironius vincenti Boulenger 1891 Chrysopelea ornata Shaw 1802 Chrysopelea paradisi Boie 1827 Chrysopelea pelias Linnaeus 1758 Chrysopelea rhodopleuron Boie 1827 Chrysopelea taprobanica Smith 1943 Clelia bicolor Peracca 1904 Clelia clelia Daudin 1803 Clelia equatoriana Amaral 1924 Clelia errabunda Underwood 1993 Clelia hussami Morato, Franco & Sanches 2003 Clelia langeri Reichle & Embert 2005 Clelia montana Franco, Marques & Puorto 1997 Clelia plumbea Wied 1820 Clelia quimi Franco, Marques & Puorto 1997 Clelia rustica Cope 1878 Clelia scytalina Cope 1867 Clonophis kirtlandii Kennicott 1856 Coelognathus erythrurus DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Coelognathus flavolineata Schlegel 1837 Coelognathus helena Daudin 1803 Coelognathus radiata Boie 1827 Coelognathus subradiata Schlegel 1837 Collorhabdium williamsoni Smedley 1931 Coluber andreanus Werner 1917 Coluber bholanathi Sharma 1976 Coluber brevis Boulenger 1895 Coluber constrictor Linnaeus 1758 Coluber dorri Lataste 1888 Coluber elegantissimus GÜnther 1878 Coluber gracilis GÜnther 1862 Coluber insulanus Mertens 1965 Coluber largeni SchÄtti 2001 Coluber manseri Leviton 1986 Coluber messanai SchÄtti & Lanza 1989 Coluber mormon Baird & Girard 1852 Coluber rubriceps Venzmer 1919 Coluber schmidtleri SchÄtti & Mccarthy 2001 Coluber scortecci Lanza 1963 Coluber sinai Schmidt & Marx 1956 Coluber smithi Boulenger 1895 Coluber somalicus Boulenger 1896 Coluber taylori Parker 1949 Coluber thomasi Parker 1931 Coluber variabilis Boulenger 1905 Coluber vittacaudatus Blyth 1854 Coluber zebrinus Broadley & SchÄtti 1997 Compsophis albiventris Mocquard 1894 Compsophis boulengeri Peracca 1892 Compsophis fatsibe Mercurio & Andreone 2005 Compsophis infralineata GÜnther 1882 Compsophis laphystia Cadle 1996 Compsophis vinckei Domergue 1988 Compsophis zeny Cadle 1996 Coniophanes alvarezi Campbell 1989 Coniophanes andresensis Bailey 1937 Coniophanes bipunctatus GÜnther 1858 Coniophanes dromiciformis Peters 1863 Coniophanes fissidens GÜnther 1858 Coniophanes imperialis Baird 1859 Coniophanes joanae Myers 1966 Coniophanes lateritius Cope 1862 Coniophanes longinquus Cadle 1989 Coniophanes meridanus Schmidt & Andrews 1936 Coniophanes piceivittis Cope 1869 Coniophanes quinquevittatus DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Coniophanes sarae Ponce-campos & Smith 2001 Coniophanes schmidti Bailey 1937 Conophis lineatus DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Conophis morai Perez-higareda, Lopez-luna & Smith 2002 Conophis pulcher Cope 1869 Conophis vittatus Peters 1860 Conopsis acuta Cope 1886 Conopsis amphisticha Smith & Laufe 1945 Conopsis biserialis Taylor & Smith 1942 Conopsis lineata Kennicott 1859 Conopsis megalodon Taylor & Smith 1942 Conopsis nasus GÜnther 1858 Contia tenuis Baird & Girard 1852 Coronella austriaca Laurenti 1768 Coronella brachyura GÜnther 1866 Coronella girondica Daudin 1803 Crisantophis nevermanni Dunn 1937 Crotaphopeltis barotseensis Broadley 1968 Crotaphopeltis braestrupi Rasmussen 1985 Crotaphopeltis degeni Boulenger 1906 Crotaphopeltis hippocrepis Reinhardt 1843 Crotaphopeltis hotamboeia Laurenti 1768 Crotaphopeltis tornieri Werner 1908 Cryophis hallbergi Bogert & Duellman 1963 Cyclocorus lineatus Reinhardt 1843 Cyclocorus nuchalis Taylor 1923 Cyclophiops doriae Boulenger 1888 Cyclophiops major GÜnther 1858 Cyclophiops multicinctus Roux 1907 Cyclophiops semicarinatus Hallowell 1861 -
Liste des espèces de la famille des COLUBRIDAE
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Balanophis ceylonensis GÜnther 1858 Bibilava epistibes Cadle 1996 Bibilava infrasignatus GÜnther 1882 Bibilava lateralis DumÉril & Bibron 1854 Bibilava martae Glaw, Franzen & Vences 2005 Bibilava stumpffi Boettger 1881 Bitia hydroides Gray 1842 Blythia reticulata Blyth 1854 Bogertophis rosaliae Mocquard 1899 Bogertophis subocularis Brown 1901 Boiga andamanensis Wall 1909 Boiga angulata Peters 1861 Boiga barnesii GÜnther 1869 Boiga beddomei Wall 1909 Boiga bengkuluensis Orlov, Kudryavtzev, Ryabov And Shumakov 2003 Boiga blandingii Hallowell 1844 Boiga bourreti Tillack, Ziegler & Khac Quyet 2004 Boiga ceylonensis GÜnther 1858 Boiga cyanea DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Boiga cynodon Boie 1827 Boiga dendrophila Boie 1827 Boiga dightoni Boulenger 1894 Boiga drapiezii Boie 1827 Boiga forsteni DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Boiga gokool Gray 1835 Boiga guangxiensis Wen 1998 Boiga irregularis Merrem 1802 Boiga jaspidea DumÉril, Bibron & DumÉril 1854 Boiga kraepelini Stejneger 1902 Boiga multifasciata Blyth 1861 Boiga multomaculata Boie 1827 Boiga nigriceps GÜnther 1863 Boiga nuchalis GÜnther 1875 Boiga ochracea GÜnther 1868 Boiga philippina Peters 1867 Boiga pulverulenta Fischer 1856 Boiga quincunciata Wall 1908 Boiga ranawanei Samarawickrama, Samarawickrama, Wijesena & Orlov 2005 Boiga saengsomi Nutaphand 1985 Boiga schultzei Taylor 1923 Boiga siamensis Nootpand 1971 Boiga tanahjampeana Orlov & Ryabov 2002 Boiga trigonata Schneider 1802 Boiga wallachi Das 1998 Boiruna maculata Boulenger 1896 Boiruna sertaneja Zaher 1996 Bothrolycus ater GÜnther 1874 Bothrophthalmus lineatus Peters 1863 Brachyorrhos albus Linnaeus 1758 Brygophis coulangesi Domergue 1988 Buhoma depressiceps Werner 1897 Buhoma procterae Loveridge 1922 Buhoma vauerocegae Tornier 1902