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Fidjy

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Tout ce qui a été posté par Fidjy

  1. Beaucoup d’oiseaux ont développé un système de communication vocale plus ou moins élaboré ; certains (les oiseaux chanteurs) peuvent produire une gamme de sons assez remarquable. Un certain nombre d’espèces peut imiter les chants d’autres oiseaux ou des bruits familiers présents dans leur environnement. Mais rares sont ceux à pouvoir reproduire des sons humains avec suffisamment de précision et plus rares encore sont ceux qui peuvent associer certains de ces sons à des situations précises ou à des stimuli particuliers (envie, contentement, etc.). L’imitation peut parfois dépasser le domaine sonore : un perroquet imita ainsi le «plop» d’un bouchon retiré d’une bouteille en introduisant sa patte dans son bec, comme le faisait son maître le doigt dans sa bouche. Plusieurs expériences et observations ont démenti le point de vue mécaniste selon lequel tous les oiseaux parleurs seraient incapables de moduler l’utilisation de leur «don» selon les circonstances. Certains oiseaux parleurs peuvent prononcer un «au revoir» à l’occasion du départ d’un visiteur, mais jamais à son arrivée…
  2. Chers amis, si ça ne marche pas demander en MP à l'administrateur de rajouter la localistaion en précisant laquelle, car je crois qu'a ce niveau il y a un blocage, Enzo m'en dira plus demain...
  3. OISEAUX POPULAIRES Dès la Renaissance, le statut des perroquets dans la perception des Européens allait profondément changer, l’oiseau se voyant affublé d’une consonance satirique, voire même ridicule… Dès la fin du 15è siècle, toute une série d’événements liés aux grandes découvertes géographiques allait contribuer à faire perdre aux oiseaux leur côté exotique et presque mythique et à les rendre plus accessible à un grand nombre d’Européens, plus seulement une élite financière ou sociale. La découverte des Amériques par Christophe Colomb allait permettre la découverte d’une variété surprenante de nouvelles espèces de psittacidés, répandues depuis les îles de la Caraïbe jusqu’aux vastes étendues ouvertes de Patagonie. D’un autre côté, l’extension du commerce dirigé par les Portugais en Afrique de l’Ouest allait populariser le perroquet gris du Gabon, parvenu en Europe pour la première fois en 1402 lorsque les Français avaient pris possession de l’archipel des Canaries. La découverte du Nouveau Monde allait mettre fin à l’association entre les perroquets et les mystères de l’Orient, perception solidement ancrée en Europe depuis la Rome antique. Rapidement, les psittacidés furent considérés comme les oiseaux typiques des Amériques. Les tout premiers explorateurs européens de l’Amérique se mirent à capturer et collectionner des psittacidés : ces oiseaux eurent l’honneur (si l’on peut dire !) d’être les premiers animaux vivants originaires du Nouveau Monde à débarquer dans la vieille Europe… Christophe Colomb lui-même en rapporta ainsi une quarantaine de spécimens de son premier voyage d’exploration. Les arrivages de perroquets et autres psittacidés vivants, originaires d’Amérique ou d’Afrique, rendirent les oiseaux populaires à un point que les Anciens n’auraient jamais été capables d’imaginer : pour la première fois sans doute, les perroquets avaient cessé d’être des oiseaux des riches et des nobles… Dès la fin du 17è siècle, les perroquets s’étaient transformés en personnages de proverbes : ils ne représentaient plus le merveilleux, le luxueux, l’imaginaire exotique, mais bien l’expression d’une certaine vulgarité, associés non plus aux rois et aux princes, mais aux idiots et aux déshérités ! La littérature en fait des personnages non plus de romances lyriques, mais plutôt de satires, de prose dramatique souvent liée à des controverses à caractère religieux ou à des conflits de classes empreints d’un certain ridicule. Les perroquets ont souvent leur morale particulière, se hasardent à critiquer certains aspects de l’ordre social ou religieux établi, d’une manière effrontée. Ils peuvent dire impunément ce que les hommes se voient refuser, tout en subissant toujours les conséquences de leur effronterie, comme pour satisfaire une certaine tradition de la morale… OISEAUX DE COMPAGNIE Le 19è siècle va voir apparaître l’émergence d’un nouveau type de relations entre les hommes et les perroquets. Jusqu’alors réservée aux couches sociales nanties, la présence d’animaux de compagnie commence à se généraliser dans les couches plus populaires de la population, un phénomène qui ira en s’amplifiant durant tout le 20è siècle. Les perroquets et autres psittacidés font partie de ces animaux de compagnie. Dès lors, ils ne sont plus forcément l’objet de la risée et de l’ironie de la population, mais parviennent à se tailler une nouvelle place dans le cœur de nombreux humains : comme une sorte de retour aux sources, une renaissance de leur vénération antique, cette fois adaptée à un public beaucoup plus large. Si les perroquets sont désormais accessibles à une plus large proportion de la population en Europe et qu’ils se popularisent dans des classes sociales moins élevées aux 18è et 19è siècles, ils demeurent tout aussi populaires auprès de la haute bourgeoisie et des classes dirigeantes. Louis XIV, roi de France, avait ainsi désigné un commerçant d’animaux pour être le «gouverneur, précepteur et régent des oiseaux, perroquets et singes de Sa Majesté». Madame de Pompadour, maîtresse de Louis XIV, avait un perroquet favori, dont elle fit un de ses héritiers. Les perroquets devenaient aussi les compagnons d’infortunes d’épouses lésées, comme Elisabeth de Bavière, impératrice d’Autriche, Alexandra du Danemark, princesse de Galles… Les années 1800 semblèrent marquer une sorte d’apogée de la popularité des perroquets en tant qu’oiseaux de compagnie. Dans les premières décennies du 20è siècle, lorsque les psittacidés furent associés à diverses maladies, dont principalement la psittacose, la demande diminua considérablement et l’intérêt porté à ces oiseaux par les particuliers passa totalement de mode. Une mode qui allait ressurgir quelques dizaines d’années plus tard, dans la seconde moitié du siècle. Aujourd’hui, les perroquets et les autres psittacidés continuent à jouir d’une énorme popularité auprès des hommes… mais aussi à souffrir d’une certaine ambiguïté. Comme si la double perception des perroquets par les humains était une espèce de fatalité, déjà bien présente à l’époque des Romains et qui se perpétue encore de nos jours. Les perroquets sont les compagnons chéris de millions d’êtres humains, qui souvent en ont fait des membres de la famille à part entière et leur vouent une affection, parfois un amour, presque sans limites. Mais par ailleurs, ils sont encore et toujours victimes d’une exploitation abusive et de persécutions intenses ; et leur popularité en tant qu’oiseaux compagnons de l’homme concourt à mener un certain nombre d’espèces vers leur perte… Les perroquets sont toujours présents dans une multitude de récits, de blagues, de dictons, où leur rôle n’est pas souvent des plus nobles ni des plus enviables, puisqu’ils sont le plus souvent les victimes d’une violence résultant de leur propre rôle dans la plupart de ces histoires … Les perroquets apparaissent aussi comme un des thèmes les plus importants dans l’industrie des souvenirs de voyage et autres gadgets dont le goût demeure bien souvent plus que douteux : figures ornementales de T-shirts et autres pièces d’habillement, mascottes, peluches, figurines animées ou non, les objets à l’image des perroquets se comptent par milliers, pour ne pas dire par millions. De quoi ravir les innombrables personnes qui, dans le monde entier, se passionnent pour la collection de toutes ces productions de ce qu’on serait tenté de qualifier d’«artisanat à la mode industrielle»…
  4. Excellent c'est mon signe astral chinois!!!!
  5. Coui coui, je tadore, je veux bien un jour être soigné par toi
  6. Curieusement, après ce qui sembla être une invasion de psittacidés apportés d’Inde au temps de l’Empire romain, les mentions de perroquets en Europe se font de plus en plus rares dans les siècles qui suivent. L’histoire des perroquets dans l’Europe médiévale brille surtout par l’absence de ces oiseaux, à quelques exceptions notoires près : le saint empereur catholique Frederick II, qui dirigea la sixième croisade, reçut du sultan de Babylone un cadeau royal : un cacatoès originaire de l’actuelle Indonésie ; Charles IV de France (14è siècle) hébergeait des perruches alexandrines dans sa ménagerie royale ; au 15è siècle, des psittacidés étaient détenus au Vatican. Par contre, les psittacidés comptent parmi les oiseaux apparaissant le plus régulièrement dans les planches illustrées des bestiaires de l’époque La réputation des perroquets au Moyen Age est empreinte de mystère, de superstitions, parfois de malice ou de fourberie, comme en témoignent les quelques anecdotes suivantes : «le perroquet a naturellement une voix qui lui permet de saluer les empereurs? Lorsque Charlemagne traversait les étendues arides du centre de la Grèce, il rencontra quelques perroquets. Ceux-ci le saluèrent, comme il se doit en langue grecque, lui disant : «Salut, empereur !». Les événements futurs allaient prouver le bien-fondé de ces salutations de la part des oiseaux, puisque Charlemagne, qui n’était à l’époque que roi de France, allait devenir Empereur du saint Empire catholique». (Thomas de Cantimpré, «De la nature des choses» - 1240) «un gentilhomme possédait un perroquet, qu’il envoya comme présent au pape Léon. Chaque fois que le perroquet rencontrait un passant durant son voyage, il lui criait : «Je vais chez le pape, je vais chez le pape». Et dès qu’il fut arrivé à destination et mis en présence du pape, l’oiseau cria «Salut, pape Léon». (Thomas de Cantimpré, «De la nature des choses» - 1240). «en Grande-Bretagne vivait un roi très généreux, qui possédait un perroquet et l’aimait profondément. Le roi, s’étant embarqué dans un voyage à travers les montagnes de Gilboa, rencontra un perroquet qui lui rappela celui qu’il possédait chez lui. Il lui dit : «Notre perroquet captif, qui te ressemble, t’envoie ses salutations». Entendant ces mots, l’oiseau tomba au sol comme mort. Déçu par la fourberie de l’oiseau, le roi poursuivit son voyage. De retour au pays, il raconta l’anecdote à son perroquet, qui l’écoutait attentivement. Puis il se laissa tomber de sa perche, comme mort lui aussi. Le roi ordonna qu’on porte son oiseau à l’extérieur, pour qu’il puisse revenir à lui en respirant de l’air frais. Mais dès qu’il fut dehors, l’oiseau s’envola au loin malicieusement, pour ne plus jamais réapparaître. Son maître était furieux et tout son entourage se plaignit longtemps encore d’avoir été trompé par le perroquet.» (Alexander Neckam – 1180) .
  7. Dans des récits antiques, les perroquets sont souvent associés à la splendeur des pays d’Orient, comme dans cette description d’un palais de l’Inde datant d’environ 200 avant J.C. : «… des perroquets y sont élevés et se regroupent autour du roi. Mais aucun Indien ne mange les perroquets, bien que ceux-ci soient très nombreux. La raison en est qu’ils les considèrent comme des oiseaux sacrés, qu’ils placent au-dessus de tous les autres oiseaux. Et ils précisent qu’ils ont raison, car les perroquets sont les seuls oiseaux à produire des imitations aussi convaincantes de la parole des hommes.»
  8. Non il va s'en sortir ton oiseau, pour l'aile c'est normal, elle a un rapport avec la patte, courage plus que 9 jours, et il n'a pas mauvaise mine...Je n'aime pas entendre ce genre d'avis des gens, laisse parler ton coeur et suis avec le tien, bravo, il te le rendra en amour cet oiseau tu verras :bravo:
  9. PERROQUETS DE RICHES Dans la Rome antique, certains notables vouaient déjà une admiration sans bornes aux perroquets, se hasardant même jusqu’à siéger au Sénat en compagnie de leur oiseau favori. Certains chroniqueurs signalent que de riches Romains faisaient fabriquer des cages en argent ou d’autres matières précieuses, et que le prix d’un perroquet dépassait parfois celui… d’un esclave ! 2500 ANS DE FASCINATION Au début des années 300 avant J.C., Alexandre le Grand, après avoir terminé sa conquête de l’empire perse, fit manœuvrer ses armées à travers l’Hindu Kush pour atteindre le nord de l’Inde. Lorsqu’il entreprit finalement le long chemin du retour vers l’Europe, il emporta avec lui, parmi bien d’autres «souvenirs», quelques spécimens d’un oiseau rare autant que magique. C’est ainsi que des perroquets apparurent pour la première fois sur le continent européen. La fascination des Européens envers ces oiseaux remarquable s’est poursuivie depuis près de 2500 ans et n’a pas cessé de nos jours… D’abord prisés par les puissants, parfois associés à des dieux, les perroquets apparurent comme des symboles vivants du luxe et des merveilles de l’Orient. Ils devinrent par la suite beaucoup plus «ordinaires», avant de connaître un nouveau et fantastique engouement en tant qu’animaux de compagnie. APPRECIES DES GRECS ET DES ROMAINS Les perroquets font office de figure exotique dans le monde de l’Europe antique : de nombreux témoignages des civilisations grecques et romaines reflètent la fascination que ceux-ci témoignaient à l’égard des psittacidés. On trouve de nombreuses mentions de perroquets dans les écrits des philosophes ayant un intérêt pour l’histoire naturelle, dans les œuvres des artistes littéraires et dans de nombreuses représentations de l’art visuel de l’époque. Les historiens grecs et romains semblent pourtant manifester deux types de sentiments assez contradictoires par rapport aux perroquets, les associant d’une part aux dieux et aux rois, pour les assimiler aux serviteurs et aux enfants d’autre part… Alexandrie devint à une époque la plaque tournante du commerce des perroquets dans le monde méditerranéen antique, les perroquets étant prisés par les rois et les empereurs comme objets de privilège. Un écrivain classique alla même jusqu’à rapporter que «les perroquets faisaient l’objet d’un culte très vivant dans la Rome antique». Pourtant, de nombreux témoignages écrits nous ont appris que les Romains appréciaient également les perroquets d’une autre façon : comme délicatesse culinaire ! Des recettes de l’époque sont même parvenues jusqu’à nos jours… Si aux quatre coins de la Terre, les hommes ont depuis toujours consommé des psittacidés (et c’est encore le cas aujourd’hui, notamment en Amérique centrale et en Amérique du Sud), ils le faisaient par nécessité. Les peuples précolombiens d’Amérique faisaient une ample consommation de ces oiseaux, tout comme le font encore certaines ethnies africaines ; les psittacidés représentaient une part importante du menu quotidien des premiers colons blancs s’aventurant dans les immensités du bush australien. Mais les Romains semblent être les seuls à avoir fait de ces oiseaux de véritables mets de choix… Comme si quelque chose avait obligé impérieusement les Romains à consommer les choses qu’ils trouvaient par ailleurs miraculeuses…
  10. La France est le pays qui détient le record d'espérance de vie en Europe. Elle est de 75,5 ans pour les hommes et de 83 ans pour les femmes selon de nouvelles données. Ces chiffres placent la France nettement au-dessus de la moyenne européenne qui est de 74,9 ans pour les hommes et de 81,2 ans pour les femmes. Les données 2001 fournies par l'Insee (Institut national de la statistique et des études économiques) montrent une augmentation de l'espérance de vie de trois mois et demi sur les douze derniers mois. Cette longévité s'expliquerait par la combinaison d'un certain type d'alimentation et d'un style de vie relativement décontracté. Seules les espagnoles approchent de près l'espérance de vie des françaises avec une moyenne de 82,7 ans. Les hommes français présentent par contre une espérance de vie inférieure à celle des suédois et des italiens, qui peuvent espérer vivre jusqu'à 76 ans. Autre bonne nouvelle pour la France, le taux de naissance est demeuré supérieur à 4 %, ce qui va contre la tendance européenne de baisse des naissances et de vieillissement de la population. Pour les oiseaux les reccords de longévité se trouvent en Angleterre
  11. Une nouvelle théorie remet en cause les idées admises sur l'émergence de la vie sur Terre et soulève une controverse parmi les scientifiques. Le scénario ne serait pas celui de briques élémentaires de la vie apparaissant à la surface terrestre, précédant et engendrant les cellules mais celui de cellules qui se seraient constituées avant que les molécules de la vie ne s'y introduisent. Ces cellules primitives n'étaient pas des cellules vivantes mais des cellules inorganiques faites de sulfure de fer et se formant tout au fond des océans, dans une complète obscurité. La vie aurait été une conséquence chimique des courants de convection traversant la croûte terrestre. Les cellules de sulfure de fer auraient constitué des micro-environnements propices aux réactions chimiques amenant à la vie. Aurait pris part à ces réactions le fluide hydrothermal, riche en hydrogène, monoxyde de carbone, cyanure et sulfure, remontant à partir de la croûte terrestre vers le plancher océanique. Une des conséquences de cette théorie est une plus grande probabilité de présence de la vie sur d'autres planètes ou encore sur des lunes telles qu'Europe (satellite de Jupiter). Ces nouvelles idées sont proposées par William Martin, de l'Université de Düsseldorf (Allemagne), et Michael Russell, du Centre de recherche environnemental écossais (Glasgow, Royaume-Uni). Elles sont détaillées dans la revue Philosophical Transactions of the Royal Society..
  12. les séchoirs sont enduits de TEFLON et sont très dangereux, lorsque votre sèche cheveux fonctionne et que sa température monte, il dégage une vapeur inodore et incolore, inoffensive chez les mammifères et l'homme mais mortelle chez les oiseaux. Plus dangereux encore losque celui ci est neuf ou très vieux car égratigné. Le teflon ou intoxication au POLYTERAFLUOROETHILENE mène directement à la mort de l'oiseau (petits ou gros); ainsi par une hemoragie pulmonaire. Ainsi les articles de cuisines même en basse température des poêles Téfal ou Silverstone ou autres marques dégagent une vapeur mortelle pour nos oiseaux. Donc pendant que vous cuisinez ne mettez pas vos oiseaux dans la même pièce SVP. Autres dangers: Les fers à repasser, Four à raclette, Gauffrier, Mini-grill, Plat à fondue électrique, Réchaud de table, Wok, Les revêtement anti-taches pour canapés et tapis sont mortels, Néfastes: Aérosol, Accumulation d'excréments, Acide muriatique Bleu à canon (nettoyant de fusil), Colles Créosote, Deet, Eau de javel, Encens, Sents-bons, Lampe berger Désodorisants rafraîchissant l'air Bougie parfumée Diffuseurs huiles essentielles, Désodorisant tapis, Fixatif à cheveux Fumée de cigarette et fumée en général, Gaz, Insecticide Pesticide (avec plaquette), Monoxide de carbonne Nettoyant à l'huile d epin, Nettoyant à four Four auto nettoyant, Parfums, Lotion rasage, Les peintures, Vernis, Laque, Poli à meuble, Pots pourri, Produits ménagers, Protecteur de soulier, de botte, Les fixateurs de photos, vernis à ongle, Teinture à cheuveux... Mieux vaut prévenir cher amis
  13. ATTENTION LE SECHOIR A CHEVEUX EST MORTEL Chers Amis, Je me dois de vous prévenir, actuellement les séchoirs sont enduits de TEFLON, lorsque votre sèche cheveux fonctionne et que sa température monte, il dégage une vapeur inodore et incolore, inoffensive chez les mammifères et l'homme mais mortelle chez les oiseaux. Plus dangereux encore losque celui ci est neuf ou très vieux car égratigné. Le teflon ou intoxication au POLYTETRAFLUOROETHYLENE mène directement à la mort de l'oiseau; ainsi par une hemoragie pulmonaire.Ainsi les articles de cuisines même en basse température des poêles Téfal ou Silverstone ou autres marques dégagent une vapeur mortelle pour nos oiseaux. Je me dois aussi de faire un article sur les dangers des fers à repasser, Four à raclette, gauffrier, Mini-grill, plat à fondue electrique, réchaud de table, Wok.....
  14. Fidjy

    bonjour

    Bon rétablissement à vous tous
  15. JEUX ROMAINS Sous la République (509 – 27 av. J.C.) comme sous l’Empire (jusqu’en 476 ap. J.C.), les jeux du cirque constituaient la forme majeure de spectacles. Ils étaient un élément spécifique et incontournable de la culture romaine, un ciment de la société. Ils servaient au pouvoir d’instrument de gouvernement et de contrôle du peuple. Panem et circenses («du pain et des jeux») suffisaient, d’après le poète Juvénal, au bonheur d’une population que l’on apaisait par le divertissement et les distributions de pain qui les précédaient. Les jeux étaient organisés dans l’amphithéâtre de la cité. Après que les cors aient soulevé les vivats du public, deux athlètes hideux, masqués, pénétraient dans l’arène : l’un gros, l’autre fluet. Leurs culbutes déclenchaient les rires. L’adresse des jongleurs et des écuyers était encore plus prisée. Les numéros équestres n’étaient guère différents de ceux que nous connaissons encore aujourd’hui. Le programme proposait aussi des équilibristes, des faiseurs de tours, des dompteurs d’animaux. Ces «mansuétaires» présentaient des oiseaux parleurs, des singes musiciens, des taureaux équilibristes, des ours boxeurs, des éléphants funambules, des lions rapportant dans leur gueule des lapins vivants… Les Romains se lassèrent vite de ces démonstrations pacifiques, réclamant des combats plus cruels : Sénèque condamne l’inhumanité des combats entre éléphants africains et indiens (dont le survivant devait écraser un homme) et ceux des gladiateurs. Sachez que les gourmets du Bas-Empire romain festoyaient aux pâtés de langues d’oiseaux parleurs, aux ragoûts de cervelles de rossignols et de paons, aux têtes de perroquets, aux trompes d’éléphants, aux tétines de truies n’ayant pas encore allaité de petits…
  16. Les sacs aériens, dont le nombre varie suivant les espèces, peuvent représenter une partie importante du volume corporel de l’oiseau (jusqu’à 18 % chez le canard colvert, par exemple). Ils n’interviennent pas directement dans l’absorption de l’oxygène dans le sang (comme les alvéoles pulmonaires chez l’homme), mais jouent un rôle essentiel dans la circulation de l’air et aident à refroidir le corps. Les oiseaux absorbent l’air par les narines ou le bec. L’air pénètre ensuite dans la trachée qui se sépare, à la base du cou, en deux bronches chacune reliée à un poumon et aux sacs pulmonaires auxquels celui-ci est relié. C’est au point de jonction des deux bronches que se situe le syrinx, l’organe vocal plus ou moins complexe (suivant les espèces) qui permet aux oiseaux d’émettre des sons. Les bronches des oiseaux sont en fait constituées d’anneaux de cartilage reliés par un tissu : cet assemblage maintient leur rigidité. A hauteur du syrinx, le tissu qui unit les anneaux de cartilage devient très fin pour prendre la forme de membranes élastiques (que l’on pourrait comparer au tympan de l’oreille humaine). Ces membranes peuvent vibrer lorsque leur tension est modifiée par des variations du passage de l’air dans le syrinx, variations possibles grâce à la présence d’une musculature assez sophistiquée que l’oiseau utilise pour modifier le rythme d’évacuation de l’air hors des poumons et des sacs aériens. Des performances très variables Certains oiseaux dont la gamme de sons est très réduite (cygnes, par exemple) ont un syrinx plus simple et produisent une partie des sons qu’ils émettent directement par leur longue trachée. Mais chez les oiseaux au langage plus complexe (comme le pinson, par exemple), le chant comprend deux parties distinctes produites par les membranes de chaque bronche. Le langage vocal des oiseaux va du très simple au très complexe suivant les espèces. Certains, comme les autruches par exemple, se contentent d’émettre quelques sons rudimentaires, tandis que d’autres sont de véritables virtuoses du chant et produisent des assemblages de notes très évolués. L’apanage des oiseaux «intelligents» L’aptitude d’un oiseau à parler «humain» (c’est-à-dire à reproduire des sons semblables à ceux émis par l’homme) sous-entend, outre la présence d’un syrinx élaboré, un développement suffisant des facultés cérébrales pour permettre la compréhension de ces sons et un système de commandes nerveuses permettant de «manipuler» suffisamment le syrinx pour une reproduction adéquate de ces sons. Ce sont ces capacités qui permettront à ces oiseaux d’assimiler une situation donnée à un son particulier (le perroquet qui salue l’ouverture de la porte du salon par le mot «bienvenue», par exemple) et de nuancer la voix pour reproduire au mieux ce son à la façon d’un homme.
  17. LE PERROQUET DE CHURCHILL Charlie, un des perroquets du célèbre Winston Churchill, Premier ministre britannique durant la seconde guerre mondiale, a fêté en 2005 ses 105 ans et continue de maudire Adolf Hitler et les nazis, comme le lui avait appris son maître. Il porte un nom d’homme et vient de fêter dignement ses 105 ans d’existence. Charlie, une femelle d’ara, est sans doute le plus vieil oiseau vivant en Grande-Bretagne. Mais plus incroyable encore, si le plumage bleu et or de Charlie a quelque peu perdu de sa superbe avec les années, le perroquet a apparemment gardé toute sa tête. Parmi ses expressions préférées figurent toujours le «putain de Hitler» et «putains de nazis», qu’il prononce avec l’inflexion caractéristique de Winston Churchill, son ancien maître. Ces mêmes jurons avaient autrefois choqué maints généraux ou amiraux lors de réunions de crise avec le Premier ministre ! Churchill avait acheté Charlie en 1937 et lui avait immédiatement appris à jurer. L’oiseau avait rejoint la ménagerie hétéroclite de l’homme d’Etat où se côtoyaient animaux de bétail, en particulier des agneaux et des cochons, d’autres perroquets et même un léopard. A la mort en 1956 de l’ancien Premier ministre, héros de la Seconde guerre mondiale, Charlie avait été acheté par Peter Oram, propriétaire d’une animalerie à Reigate (sud de Londres), qui la garda pendant 12 ans. Elle aboutit ensuite dans une institution pour animaux où elle se trouve toujours. Mais le célèbre perroquet de Churchill ne serait pas le plus vieux… Le plus vieux psittacidé connu serait un cacatoès à huppe jaune, décédé en 1982 au zoo de Londres et qui avait atteint l’âge canonique de 109 ans !
  18. D'accord Gaétane, merçi...Attention pour les jouets, faire attention que l'oiseau ne puisse pas se blesser voir les peintures qu'il pourrait avaler des jouets; prendre des jouets à la hauteur et corpulence de l'oiseau...Tant que j'y pense, le sommeil est indispensable à l'oiseau, pas de lumière artificielle le temps de sa convalescence. Le manque de sommeil est une source aussi de picage...Là aussi voir le sujet du sommeil déja traité (voir le moteur de recherche...)
  19. Si d'icçi 1 ou 2 mois, il n'y a pas de résultat tu peux aussi amployer le système de colorette autour du coup qui l'empêche de se piquer...
  20. Les reccords officiels de longévité sont: une perruche: 18 ans inséparable: 19 ans calpsitte: 32 ans Les autres perroquets suivant les races: 50 à 109 ans
  21. Merçi Gaetane et les autres des conseils. Pour le fromage personnellement, j'éviterai ou alors avec modération, pour les fruits, pense à enlever les pépins, mais je t'invite à aller voir les aliments, fleurs et arbres toxiques, sujets traités sur le forum...Tous avec toi, donne nous des nouvelles à chaque évolution. Pour information, il est normal pour un Aras de tenter de réduire à sa plus simple expression tout ce qui est à porté de bec et de tenter de s'emparer de ce qui ne l'est pas. Ce sont des comportements naturels de nidification qui découlent directement de l'intinct sexuel, même si souvent ces travaux de démolition ne ressemble à rien. Les aras sont capables de forer un tunel dans le mur séparant deux pièces de la maison, voir pour sortir dehors. Oui les jouets sont essentiels pour la santé mentale et physique de votre oiseau, comme l'hygiene, l'alimentation et bien sure votre afection...Sachez qu'un Aras qui s'ennui peut devenir un perroquet harcelant et insupportable. Le perroquet doit jouer et le cliker training d'içi 15 jours sera pour lui l'un des meilleurs remède. En effet l' Aras n'aime pas être seul, il communique en mordant, en mordillant, il a toujours besoin d'avoir un compagnon oiseau, sans cela il a un besoin indispensable d'être toujours en relation avec un groupe social humain; sans cela il fera de l'anxiété de séparation. Par contre il a un grand sens de l'humour et sait capter son auditoire. Il aime le contact physique avec son partenaire; il apprécie les careses, aime se chamailler, se tirailler, faire les plus beaux tours en spectacle; il aime se promener au sol, c'est un grand marcheur; il aime imiter les humains, voir danser parler. Pour le Aras tout est joué. Il a un enorme potentiel de destruction, très intelligent et curieux; sachez que c'est un oiseau très obéissant et cherche à plaire. D'un point de vue alimantaire il a besoin de gras plus que les autres perroquets; pour cela penser à lui donner des noix dans sa diète, et aussi des gouttes d'huile de blés germés(on trouve cela en magasin diététique), mais aussi des noix de macadam; il existe aussi des moulées et des pâtées d'elevage spécialement formulées pour le Ara. Bref cet oiseau et altruiste et très génereux; son but est de faire plaisir, le cliker s'impose pour lui
  22. Voici une attitude de mon oiseau calopsitte intéressante: Il renverse les verres sur la table avec son bec. Mais quel est son objectif? Si vous mettez un liquide à l'intérieur, il le renverse aussi, comme tous les verres qu'il voit debout. On pourrait dire qu'il vous aide à mettre la table. C'est vrai qu'au début je me demandais pourquoi les verres se trouvaient couchés, quelqu'un m' a fait une blague? Mais non, l'oiseau veut voir les verres couchés... En fait, il est intéressé par les verres avec un fond de liquide ou des tasses. Il renverse le verre ou la tasse pour rapidement mettre sa tête dedans et gôuter le nectare...Pas bête l'animal, mais le café et le sucre sont dangeureux pour sa santé... Il voudrait aussi renverser les bols de lait ou autres tous les matins. Bon moyen pour lui d'obtenir une nouvelle chose à gôutter: MIAM MIAM!! Mais la surveillance et le doigt pour la négation le suivent, il a déja cassé des verres en les faisant rouler sur les tables un midi, et oui ça fait grand bruit quand ça tombe...
  23. C'est un moyen qui permet de faire une carte de France ou du monde de tous les internautes. Vous êtes peut-être ravi de savoir dans quel pays se trouve la personne avec qui vous partager votre passion: Vous allez dans la fonction Profil encadré en jaune, 6eme mots en partant de la gauche vers la droite, c'est à dire le votre, et vous pouvez le modifier à tout moment. Ainsi si vous n'avez pas mis votre localisation, je vous invite à le faire, c'est sympa et c'est peut-être un ami proche de chez vous avec la même passion (exemple localisation: mettre: Perpignan, Belgique, Quebec, Paris, Toulouse...), si quelqu'un ne veut pas mettre sa ville, je l'invite fortement à mettre le pays ou il se trouve
  24. Ce que je ferai dans un premier temps, de l'amour à donner et surtout une très bonne alimentation, je te donne le conseil de notre meilleur professionnel Shanlung, donne lui la nourriture la plus naturelle, voir la recette de Shanlung : http://babelfish.altavista.com/babelfish/trurl_pagecontent?lp=en_fr&trurl=http%3a%2f%2fwww.geocities.com%2fshanlung9%2fwmikemash.htm le dossier du picage: /viewtopic.forum?t=177 et le dossier l'huile germe de blé /viewtopic.forum?t=157&highlight= C'est ainsi qu'il faut se battre, par la nourriture et par le fait d'occupper ton oiseau, il ne lui faut pas d'ennui, bon courage tiens nous au courant
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