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Tout ce qui a été posté par Fidjy
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La communication : Le dressage des oiseaux par l'homme !
Fidjy a répondu à un(e) sujet de Fidjy dans Discussions sur le comportement des perroquets:
je vous donne l'adresse d'un site internet où l'on peut commander des clickers : www.animalin.net Ce site donne des informations sur le clicker training (Ecole de dressage pour chiens située à Toulouse) et l'adresse de sa boutique est : www.animalinboutique.fr Vous pouvez donc commander le clicker sur la rubrique : kitsclicker Certains trouvent les clikers dans des magasins de farces et attrapes sur Paris ou magasin dressage chiens. Des magasins comme celui-ci sont Bd Sébastopol par exemple. Mais il y en a beaucoup d'autres que l'on peut trouver par les pages jaunes, il suffit de téléphoner. Et il faut demander des "cliquets" ou bien encore des "criquets" car ils ne connaissent pas le mot clicker. ... -
Attention au sèche cheveux ?
Fidjy a répondu à un(e) sujet de Vini dans Discussions sur les perroquets:
Bien chers tous, je vous avouerais que moi aussi , j'ai employé le sèche cheveux sans savoir; je n'avais jamais été déconseillé...Je suis tombé sur un article vétérinaire très serieux et me dois de vous en informer. Donc je prends dès maintenant grande précaution, il nous reste aussi le ventilateur mais à petite vitesse, bien que c'est un courant d'air ?. Si certain utilise quand même le sèche cheveux malgré recommandation, faite le très peu de temps petite vitesse et pas dans le nez, aérer légèrement la pièce, et pas longtemps; mais éviter les risques que vous pourriez regrétter! mais l'article véto est catégorique et formel! Ils ont eu des accidents. Mais la dernière fois qu'il a voulu se mouiller je l'ai entouré d'un petite serviette 1 minute, puis il a voulu se secher seul; penser que dans la nature ils sont seul. J 'ai remarqué qu'avec les plumes mouillés, il voulait rester tranquille, pas de courant d'air à ce moment là SVP merçi -
Les symptômes d'une maladie chez le Perroquet
Fidjy a répondu à un(e) sujet de enzototi-paradis-bec-crochu dans Discussions sur la santé des perroquets:
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Le cliker pratiqué sur mes oiseaux!
Fidjy a répondu à un(e) sujet de christopheetmarcus dans Discussions sur les perroquets:
Certains trouvent les clikers dans des magasins de farces et attrapes à Paris, d'autres magasins pour dressage de chiens. Des magasins comme celui-ci sont Bd de Sébastopol par exemple. Mais il y en a beaucoup d'autres que l'on peut trouver dans les pages jaunes. Et il faut demander des "cliquets" ou bien encore des "criquets" car ils ne connaissent pas le mot clicker. Et vous pouvez téléphonez avec numéro pages jaunes Je vous donne l'adresse d'un site internet où l'on peut commander des clickers : www.animalin.net ou le le site suivant: Ce site donne des informations sur le clicker training (Ecole de dressage pour chiens située à Toulouse) et l'adresse de sa boutique est : www.animalinboutique.fr (Sur site vous les avez...en cliquant sur la gauche puis cliker....) Vous pouvez donc commander le clicker sur la rubrique : kitsclicker ... -
Le record en France de longévité chez l'homme!
Fidjy a répondu à un(e) sujet de Fidjy dans Perroquet café:
Dans le monde, l'espérance de vie s'améliore -- mais pas pour tous Au cours des 50 dernières années, l'espérance de vie moyenne à la naissance a augmenté de près de 20 ans dans l'ensemble du monde, passant de 46,5 ans en 1950-1955 à 65,2 ans en 2002. Cela représente un accroissement moyen de l'espérance de vie de 4 mois par an au cours de cette période. La progression moyenne a été de 9 ans dans les pays développés (Amérique du Nord, Australie, Europe, Japon et NouvelleZélande), de 17 ans dans les pays en développement à forte mortalité (chez les enfants et les adultes), notamment les pays africains et les pays pauvres d'Asie, de la Région de la Méditerranée orientale et d'Amérique latine, et de 26 ans dans les pays en développement à faible mortalité. Comme le montre la Figure 1.1, à l'importante disparité d'espérance de vie qui existait dans les années 50 entre les pays développés et les pays en développement a succédé une autre disparité importante qui distingue désormais des autres les pays en développement à forte mortalité. En 2002, l'espérance de vie à la naissance allait de 78 ans pour les femmes des pays développés à moins de 46 ans pour les hommes de l'Afrique subsaharienne, soit un écart d'un facteur 1,7 en ce qui concerne l'espérance de vie totale. Les exceptions à cette augmentation quasi générale de l'espérance de vie au cours des 50 dernières années se situent en Afrique et dans les pays d'Europe de l'Est qui constituaient l'ancienne Union soviétique. Dans ce dernier cas, l'espérance de vie à la naissance des hommes et des femmes a respectivement reculé de 2,9 et de 1 an au cours de la période 1990-2000. Le Tableau 1 de l'annexe donne, pour tous les Etats Membres de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), l'espérance de vie estimative des hommes et des femmes en 2002. L'accroissement qu'a connu l'espérance de vie dans les pays développés au cours de la première moitié du XXe siècle a été la conséquence du recul rapide de la mortalité, en particulier de la mortalité maternelle et infantile, mais aussi, chez les enfants et les jeunes adultes, de la mortalité due aux maladies infectieuses. L'accession à de meilleures conditions de logement, d'hygiène et de formation, la réduction de la taille des familles, l'accroissement du revenu et certaines mesures de santé publique telles que la vaccination contre les maladies infectieuses sont autant de facteurs qui ont largement contribué à cette transition épidémiologique. Dans beaucoup de pays développés, cette évolution a débuté il y a quelque 100 ou 150 ans. Elle s'est manifestée plus tardivement dans certains pays, comme le Japon, mais en suivant un cours beaucoup plus rapide. Dans nombre de pays en développement, la transition épidémiologique est survenue encore plus tard et elle n'est pas encore parvenue à son terme. Dans les pays développés, l'amélioration de l'espérance de vie est désormais principalement due à la diminution du taux de décès chez les adultes -
L'INTELLIGENCE DES ANIMAUX... Par ERIC JEAN-LOIC BRETON, mercredi 21 septembre 2005 à 20:42 :: FRANCE : SOCIETE :: #319 :: rss Les animaux sont considérés comme des êtres vivants inférieurs(puisqu'ils ne "peuvent", ne veulent ou ne savent pas parler)(encore que, de nos jours, tout est possible) .L'attitude de beaucoup, tend à nous montrer, qu'ils peuvent être considérés comme des attardés mentaux ou des petits enfants .Cependant, il faut reconnnaître la possibilité d'exceptions(et il y en a certainement beaucoup plus qu'on ne croit).Certains croient que le monde évolut au travers de différentes espèces d'animaux, pour arriver jusqu'à l'homme .Ils les ont même classé par différences de niveaux . Or si certains, croient en l'évolution, j'y crois aussi, mais elle n'est certainement pas systématique, je crois donc, personnellement, en la régression et surtout en la punition justifiée ou injustifiée .Je suis certain que des petits malins arrivent à punir des êtres en les faisant régresser .Et comme dans tous les domaines, il y a des erreurs ou des punitions injustifiées .Il y a donc des êtres, qui se retrouvent là où ils ne devraient pas être .D'autre part, il est clair, que cette théorie de l'évolution, refuse la possibilité à l'homme de se développer(pour mieux survivre, voire pour changer de corps), et refuse l'existence d'intelligences extra-terrestres(ainsi qu'une éventuelle complémentarité ou fusion avec elle) .Ce qui est une grave erreur, car personnellement je suis sûr(sans contestation possible), qu'il y a d'innombrables espèces inconnues qui peuplent notre environnement, la terre et l'univers (sans qu'on le sache et sans qu'on s'en aperçoive) .Alors, il serait temps de s'en apercevoir... Je crois également à la télépathie électronique(celle qui permet aux hommes de communiquer secrètement, ou celle qui permet de connaître les pensées de ses amis ou ennemis).Je crois également, aux dispatchings de données privées, secrètes et personnelles.Comme les pensées, la vie passée, présente et future d'un individu.Rien que ça ! Mais comment expliquer, que des animaux, des chiens, des mammifères ou des insectes puissent connaître vos pensées .Si c'était le cas, celà voudrait dire, qu'il y a des êtres qui nous contrôlent et nous dominent avec une technologie avancée qui dispatche nos moindres faits et gestes .A plusieurs reprises, j'ai constaté, que des animaux, faisaient, quelques instants plus tard, ce que j'avais imaginé, ce qu'il ne faisaient pas .Des perroquets parlent, des moineaux disent merçi, des souris et des rats contredisent mes pensées, des chiens viennent chercher des enfants à l'école, etc... Je n'avais jamais vu de punaises, c'est ce que je me suis dit un jour en en voyant à la télé .Le lendemain un groupe de cafards m'en présentait une .Depuis, plusieurs expériences m'ont montré, qu'ils pouvaient aller là, où on les attendait .Ils m'ont prouvé une certaine intelligence .Celà ne fait aucun doute à mes yeux .Mais il faut croire aussi, aux manipulations génétiques.Celles qui mélangeraient tous les genres, voire celles qui permettraient de voyager d'un corps à un autre . Aujourd'hui, il est certes possible, de faire des robots miniatures qui ressemblent à des animaux, voire à des insectes .Mais celà n'explique certainement pas tout, à moins que nous soyons en fin de compte tous des robots .
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Plus intelligent que l'homme ? Le cerveau le plus rapide au monde serait celui du dauphin. Des experts avancent même que les cétacés ne sont pas des animaux au sens strict mais plutôt un équivalent marin de l'humanité. Selon le chercheur américain Ken Levasseur, on aurait tort de croire que l'espèce humaine soit dotée d'une intelligence supérieure. Ce spécialiste des dauphins entend même prouver que certains cétacés disposent d'une intelligence au moins équivalente à celle d'un humain adulte. De nombreuses études ont déjà démontré les qualités extraordinaires de logique et de déduction dont peuvent faire preuve les dauphins. La star du genre, le dauphin femelle Phoenix, possède ainsi un cortex - la zone dédiée au raisonnement dans le cerveau - d'un volume supérieur de 10 % à celui de l'homme. On le sait aussi : les dauphins peuvent effectuer des opérations mentales complexes. L'écholocation en est la parfaite illustration. C'est une méthode de perception sensorielle qui leur permet de se situer par rapport à leur environnement, de détecter les obstacles et de communiquer à très grande distance. Le cétacé assure ce type de calcul mental à une vitesse inouïe et qui défie largement les capacités humaines en la matière. Pour Ken Levasseur, il s'agit d'ailleurs d'une preuve tangible de l'existence d'un langage propre aux dauphins.
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Les dangers qui entourent nos oiseaux, les intoxications
Fidjy a répondu à un(e) sujet de Fidjy dans Discussions sur la santé des perroquets:
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Ce qu'il faut savoir sur les rouleaux de papier hygiénique: Les germes, surtout fécales peuvent se retrouver dans l'air quand on chasse l'eau d'une toilette. Une étude scientifique a démontré que les bactéries ainsi dégagés peuvent se déposer sur les surfaces d'aisance en concentrations suffisantes pour répandre de maladies. Ce jour nous avons de graves maladies dont nous ne pouvons plus faire face et qui peut être un risque à l'homme aussi.... Ainsi le nuage créé par une chasse d'eau de toilette peut s'étendre jusqu'à 5 pieds/1.5 mètres de la cuvette transportant des bactéries fécales infectieuses sur les surfaces...Des infections sont fréquement identifiés et peuvent se développer: les infections de conduit urinaire, empoisonnement de sang, mal de gorge épidémiques, broncho pneumonie, diphtérie, hépatite, boutons, infections, pus, infections des reins, typhoide, fièvre...Bref, les maladies recensées pour les hommes dont seules les mains sont entrées en contact avec les accessoires et autour des cuvettes. Les rouleaux papiers hygiénique que l'on offre comme jouets à nos perroquets ont pour but d'être porté à leur bec et bouche. LES SCIENTIFIQUES ET VETERINAIRES PRECISENT NE JAMAIS OFFRIR DE ROULEAUX DE PAPIER HYGIENIQUES COMME JOUETS A TOUS NOS OISEAUX. NE JAMAIS LAISSER JOUER L'OISEAU OU FAIRE UN PASSAGE AU TOILETTE. SURTOUT SI UNE PERSONNE EST ATTEINTE DE DIARRHEE, TOUJOURS SE LAVER LES MAINS! SURTOUT AVANT DE TOUCHER NOS OISEAUX ON INSISTERA SUR LES LAVAGE DES DOIGTS. DESINFECTER NOS TOILETTES DONT LA CUVETTE ET TOUT LES ALENTOURS AVEC EAU DE JAVEL. L'ATMOSPHERE DES SALLES DE BAINS EST PROPICES AUX BACTERERIES ET MALADIES: lavabos, bidet , douches baignoire sont aussi des riques qui faut desinfecter, une fois par semaine laver le sol à l'eau de javel. Une bonne hygiène, n'oublions pas la grippe aviaire, ou autres maladies des oiseaux est à notre porte. Ne pas prendre de risque des rouleaux hygiénique comme jouet SVP. ce sont des conseils dont les références des laboratoires de vétérinaires UMCP. http://translate.google.com/translate?hl=fr&sl=en&u=http://medi-smart.com/infect.htm&prev=/search%3Fq%3Dmedi-smart.com/infect.htm%26hl%3Dfr%26lr%3D%26rls%3DGGLG,GGLG:2006-03,GGLG:fr%26sa%3DG
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ATTENTION Il ya plien de jouets dans les animaleries; il faut être sur ses gardes; ce n'est pas parce que le jouet est vendu en animalerie et que la mention "perroquet" y figure, qu'il est atomatiquement sécuritaire. Il n'y a aucune réglementation dans les magasins et n'importe qui peut vendre n'importe quoi. La sécurité est une priorité, l'oiseau va les porter à son bec. Votre perroquet vous fait confiance... Atttention ausx jouets à corde, ou jouets en bois avec par exemple vis oeillet...Bien limer les ongles de ses oiseaux aussi. Devant un doute, enlever le jouet au perroquet, il faut le surveiller. Sachez que des petits jouets pour petits oiseaux sont des dangers pour les grands... Il faut prendre des jouets conçus à la taille de l'oiseau...
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La vie a débuté dans les océans!
Fidjy a répondu à un(e) sujet de Fidjy dans Informations et Compagnie:
Des océans grouillants de vie: Et que dire des formes de vie présentes dans les cours d'eau, les lacs et les océans ? Des scientifiques affirment qu'on connaît environ 8400 espèces de poissons d'eau douce et environ 13300 poissons de mer. Le plus petit, Trimmaton nanus, un gobie qui vit dans l'océan Indien, n'est long que d'environ un centimètre. Le plus grand, le requin-baleine, peut mesurer jusqu'à 18 mètres de long. Ces chiffres ne prennent pas en compte les invertébrés (sans colonne vertébrale), ni bien sûr les espèces encore inconnues! -
Les perroquets vénérés par les indiens!
Fidjy a répondu à un(e) sujet de Fidjy dans Discussions sur les perroquets:
Mais Christophe Colomb fut autrefois fort impressionné par les perroquets des Antilles lors de ses voyages sur chacune des îles visitées. Cependant ses récits relataient plus des différentes utilisations qu'en faisaient les Indiens d'Amérique qu'ils n'en faisaient une description précise. Extrait des planches illustrées originales parue dans "Histoire générale des Antilles habitées par les François" du Révérend Père Du Tertre. A l'opposé l'aventurier génois De Cuneo, qui accompagna Christophe Colomb lors de son second voyage, témoigna en premier de l'usage de ces oiseaux en tant que denrées alimentaires, et donna une idée de leur grande diversité quand il décrivit "3 espèces de perroquets de taille et de couleurs différentes sur toutes les îles ... où j'ai été" (Morison 1963). Alors qui croire, les oiseaux étaient tués, ou sacré ? Les îles mentionnées ici étant : la Guadeloupe, Hispaniola, Cuba, la Jamaïque et peut-être Puerto-Rico ; les 3 types de psittacidés semblaient être : - des aras (Ara) - des perroquets (Amazona) - des perruches (Aratinga). Ses remarques suggérèrent que chacune des îles possédaient un représentant de chacun de ces genres. Malheureusement, au cours des deux siècles suivants aucun spécimen n'ayant été collecté et très peu de dessins réalisés, les descriptions écrites de la vie de ces oiseaux manquaient pour la plupart de détails. De plus quand les premiers naturalistes débarquèrent aux Antilles, plusieurs espèces de perroquets avaient déjà disparu. De surcroît, il n'y a aucune façon de savoir à quoi ces espèces ressemblaient, ni combien d'espèces existaient alors. Parmi ces naturalistes on compte les Pères Du Tertre et Labat qui laissèrent les meilleures descriptions de ces oiseaux bien qu'ils ne considèrent que certaines îles des Petites Antilles. En effet ni l'un ni l'autre n'ont indiqué à combien d'îles ils se référaient bien que l'on puisse présumer qu'il s'agissait des îles occupées par les Français : dans les années 1650, ces derniers étaient établis en Guadeloupe, en Dominique, en Martinique, mais occupaient également d'autres îles comme Sainte-Lucie ou Grenade. Mais tout comme De Cuneo, ils attestent de l'extraordinaire variété de psittacines qu'abritaient autrefois les Antilles. Une autre lacune des premières descriptions de perroquets - en plus d'être fragmentaires - réside dans le fait que sur certains points, elles sont rendues confuses par l'utilisation répandue des perroquets comme animaux de compagnie et comme monnaie d'échange par les Européens, par les Indiens avec eux et par les Indiens entre eux. Toutes les espèces d'Aras qui habitaient les Grandes et les Petites Antilles sont aujourd'hui éteintes et les 17 espèces encore présentes à l'heure actuelle vivent en Amérique du Sud et en Amérique Centrale. Plusieurs de ces espèces sont en grand danger et disparaissent inexorablement. Spécimen d'Ara tricolor Nul ne sait combien d'espèces ont autrefois habité les Antilles. Il est pour l'instant admis qu'il en existait 6 ou 7 espèces. -
LE CLASSEMENT DE L'INTELLIGENCE CHEZ LES ANIMAUX : Cerveau vaste et puissant que celui du dauphin, certes. Mais encore ? Qu'en fait-il ? C'est là l'ultime argument massue de notre dernier carré d'humanistes qui, très expressément, maintient la confusion entre Intelligence et Technologie. Or nous savons - nous ne pouvons plus nier - que d'autres types d'intelligences existent. On se reportera notamment au passionnant ouvrage de Marc Hauser "Wild Minds : what animals really think " (Allen Lane éditions, Penguin Press, London 2000) qui définit en termes clairs la notion "d'outillage mental ". Même si de grands paramètres restent communs à la plupart des espèces psychiquement évoluées, dit en substance l'auteur (règle de la conservation des objets, cartes mentales pour s'orienter, capacité de numériser les choses, etc.), à chaque environnement correspond néanmoins une vision du monde, un mode de pensée propre, qui permet à l'individu de survivre au mieux. Les écureuils sont capables de garder à l'esprit des cartes mentales d'une précision hallucinante, fondée sur des images géométriques. Les baleines chassent avec des rideaux de bulles, dont le réglage demande une grande concentration et une puissance de calcul peu commune. Les orques et les dauphins ne produisent rien, c'est vrai mais ils sont là depuis des millions d'années, ne détruisent pas leur biotope, vivent en belle harmonie, n'abandonnent pas leurs blessés, ne se font pas la guerre entre eux et dominaient tous les océans jusqu'à ce que l'Homme y viennent pour les détruire. Toutes vertus généralement qualifiées de "sens moral" et qui révèlent un très haut degré de compréhension du monde. Il en est de même pour l'être humain : technicien jusqu'au bout des doigts, champion incontesté de la manipulation d'objets et de chaînes de pensées, adepte des lignes droites, de la course et de la vitesse, il vit dans un monde à gravité forte qui le maintient au sol et lui donne de l'environnement une vision bidimensionnelle. L'imprégnation génétique de nos modes de conscience est forte : nous avons gardé de nos ancêtres la structure sociale fission-fusion mâtinée de monogamie, la protection de nos "frontières " est toujours assurée, comme chez les autres chimpanzés, par des groupes de jeunes mâles familialement associés (frères, cousins puis soldats se battant pour la Mère Patrie), notre goût pour la science, le savoir et les découvertes n'est qu'une forme sublimée de la néophilie presque maladive que partagent tous les grands primates, et notre passion pour les jardins, les parcs, les pelouses bien dégagés et les " beaux paysages " vient de ce que ceux-ci évoquent la savane primitive, dont les grands espaces partiellement arborés nous permettaient autrefois de nous cacher aisément puis de courir sur la proie... Mais bien sûr, l'homme est incapable de bondir de branche en branche en calculant son saut au plus juste, il est incapable de rassembler un banc de poissons diffus rien qu'en usant de sons, incapable de tuer un buffle à l'affût en ne se servant que de son corps comme arme, etc. Ce n'est certes pas pour nous un titre de gloire que d'être les plus violents, les plus cruels, les plus astucieux, les plus carnivores, mais surtout les plus habiles et donc les plus polluants de tous les grands hominoïdes ayant jamais vécu sur cette planète, et cela du seul fait que nous n'avons pas su ou pas voulu renoncer à nos outils mentaux primordiaux ni à nos règles primitives. Au-delà de nos chefs-d'œuvre intellectuels - dont nous sommes les seuls à percevoir la beauté - et de nos créations architecturales si calamiteuses au niveau de l'environnement, la fureur primitive des chimpanzés est toujours bien en nous, chevillée dans nos moindres gestes et dans tous nos désirs : plus que jamais, le pouvoir et le sexe restent au centre des rêves de tous les mâles de la tribu... Diverses expériences bien connues poue le classement: Le Dauphin, le numer one, capacité intellectuelle qui se rapproche le plus de l'homme. Le cerveau le plus rapide au monde serait celui du dauphin. Des experts avancent même que les cétacés ne sont pas des animaux au sens strict mais plutôt un équivalent marin de l'humanité. De vigoureux débats ont régulièrement lieu à propos de l'intelligence du dauphin, où se retrouvent et s'opposent globalement trois opinions : Il y a ceux qui mettent la barre très haut Ils pensent – peut-être à raison - que les dauphins sont dotés de pouvoirs paranormaux, et transcendent de très loin toutes nos possibilités mentales. Par exemple, pour Jim Nollman, la pensée cachalot étant produite par un cerveau cinq fois plus puissant que le nôtre est forcément cinq fois plus complexe et donc inaccessible à notre compréhension. Sur un mode nettement moins rationnel et plus égoïste, la mouvance New Age tend à considérer les dauphins comme des extraterrestres arrivant de Sirius pour apporter un message au Monde et servir aux progrès des Hommes. C'est de cette mouvance, malheureusement, qu'est issue la mode des Dolphin Assisted Therapy (DAT) et l'on peut donc craindre que ces idéologies ne servent avant tout à favoriser l'expansion de ce marché. Il y a ceux qui mettent la barre très bas. Et ceux-là très clairement, ont reçu pour mission de justifier les captures pour les delphinariums ou les massacres des baleines. On lira ainsi avec stupéfaction les études réductrices de M.Klinowska sur le site scandaleux des Norvégiens Tueurs de Baleines de l'association Highnorth Alliance. Celles-ci ramènent le cerveau du cétacé aux dimensions de celui du hérisson ou tendent à prétendre que les baleines ne sont finalement que de gros " bovidés de la mer", stupides, indolentes et presque insensibles. De même, toute la galaxie de chercheurs et vétérinaires vendus à l'industrie du delphinarium déclarera d'une seule voix que l'intelligence du dauphin ne dépasse guère celle du chien. Et il y a ceux qui tentent de faire la part des choses... Et notamment d'aborder de manière objective une série de d'études scientifiques ou d'observations de terrain convergentes. En regroupant ces recherches, en les collationnant, en les mettant en perspectives, il devient alors très difficile de croire que les cétacés puissent n'être que des "toutous marins"... Le cas du cheval "Hans le futé" Ce cheval répondait juste à des questions de mathématiques et de musique qui lui valaient une récompense. On s'est finalement aperçu qu'il ne connaissait rien aux mathématiques mais qu'il frappait du sabot jusqu'à ce que son interlocuteur humain change d'expression ou d'attitude. Ce que ça nous apprend : Les chevaux ne sont pas des mathématiciens en puissance mais, il a quand même fait preuve d'intelligence pour déterminer que changement d'attitude=bonne réponse=récompense, sachant que les questions étaient différentes à chaque fois. Trop souvent les humains ne voient que ce qu'ils veulent voir et passent à côté de choses simples, même si les scientifiques font de grands efforts pour contrer ce phénomène. Le cas de la femelle gorille "Koko" : classement numéro deux On a apprit à Koko le langage des signes, puisqu'il a été déterminé que la position de la gorge des grands singes les empêchait de produire des sons articulés grâce aux cordes vocales. Elle a apprit l'usage d'un clavier qui émet le mot désiré via un haut-parleur ainsi que environ 400 signes, on sait d'autre part que c'est le nombre de mots de vocabulaires moyens des humains non-instruits et incultes des civilisations occidentales. Koko apprécie les contes pour enfants ainsi que les chats et a obtenu deux chatons domestiques qu'elle a elle-même nommés respectivement bouboule et rouge à lèvre (à cause de son museau rose). Ce que ça nous apprend : Si Koko est capable de parler avec nous par signes, les gorilles sauvages ont forcément un langage pour communiquer entre eux bien qu'il ne soit pas vocal. Koko, qui a été particulièrement stimulée, a un intellect comparable à des humains sous-stimulés. Elle est capable d'utiliser des outils à répétition et d'avoir des raisonnements abstraits dont sont bourrés les contes pour enfants. Koko, qui est toujours un animal, a elle-même des chats domestiques... Le cas du perroquet "Alex" Ce perroquet est capable de nommer (en anglais) sept couleurs, cinq formes, vingt objets distincts et compter jusqu'à dix. Il est capable également d'expliquer que des carrés rouges et verts diffèrent par la couleur mais ont la même forme. Cet animal manifestait son irritation en disant "je m'en vais", paroles que ne lui ont jamais apprise ses dresseurs. Ce que ça nous apprend : Les perroquets peuvent physiologiquement reproduire les sons articulés du langage humain. Ils apprennent ce langage comme les bébés humains : en écoutant leur entourage et en essayant de faire les mêmes bruits. Ces animaux sont eux aussi capables d'exprimer des choses abstraites si on prend le temps de les écouter et savent reformuler des phrases nouvelles avec les différents mots qu'on leur apprend. L'oiseau se classerait en troisième position avant le cheval, le chien; le chat se retrouve bien loin, très loin dans le classement....
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l'oiseau le plus bavard au monde!
Fidjy a répondu à un(e) sujet de Fidjy dans Informations et Compagnie:
Mais a t-il été détronné par ALEX?: Les perroquets sont des oiseaux de la famille des psittacidés, au plumage généralement vivement coloré, dont certaines espèces sont très populaires comme oiseaux de cage pour leur aptitude à reproduire les sons qu'ils entendent, y compris la voix humaine. Cette popularité a fait que les perroquets sont de plus en plus rares à l'état sauvage dans les forêts tropicales, et ils sont par conséquent protégés par la convention de Washington, à l'annexe 1. En effet, on ne peut commercialiser un perroquet légalement que s'il est né en captivité, ou accompagné d'un certificat C.I.T.E.S (Convention on International Trade in Endangered Species, appelée aussi convention de Washington qui régit le commerce des espèces animales et végétales) s'il s'agit d'un oiseau d'importation. L'ara de Spix a même disparu à l'état sauvage. Les seuls spécimens vivant aujourd'hui sont des aras captifs. Les aras et les amazones, originaires d'Amérique tropicale, sont considérés comme des perroquets « vrais ». Les perruches, les inséparables, les piones, les touïs font partie de la même famille. Les cacatoès, en revanche, constituent une autre famille : les cacatuidés ; en fait, l'autre famille de psittaciformes. Le plus grand des perroquets est l'ara hyacinthe, ou ara bleu, qui mesure un mètre, queue comprise. Parmi les « parleurs », les plus connus sont les aras, notamment l'ara jaune et bleu ou l'ara macao, les amazones, les perruches à collier Indiennes, mais surtout les perroquets gris d'Afrique, parfois appelés familièrement « jaco » ou « jacquot ». Ara chloropterus en liberté.Ces perroquets sont réputés pour reproduire à la perfection les sons qu'ils entendent : les voix humaines, les animaux, le téléphone, une porte qui grince... Toutefois, les mots ne sont pas articulés parfaitement, et les perroquets ont une voix nasillarde. Seul le mainate religieux, ou merle des Indes, qui ne fait pas partie des psittacidés, mais de la famille des étourneaux, est capable de « parler » comme une personne. Une étude a été faite récemment pour évaluer l'intelligence de ces perroquets sur un spécimen de gris du Gabon nommé Alex. Cette étude laisse penser que le perroquet gris est aussi intelligent qu'un dauphin ou un grand singe. Il peut en effet reconnaître les formes, les couleurs, les matières, et les associer. Vous pouvez arriver à converser avec un perroquet grâce à une forme de dressage appelée modèle-rival, impliquant deux personnes, dont le dresseur. Le perroquet Alex détient le record de mots appris, qui s'élève à près de 800 mots. En captivité, les perroquets peuvent vivre seuls ou en couple, en cage, en volière ou en semi-liberté. Comme ce sont des animaux très grégaires, ils ont besoin de la compagnie d'un compagnon soit humain ou autre perroquet. Ils peuvent s'avérer affectueux et complices avec leur maître. Le nourrissage à la main s'est également bien développé depuis quelques années. Les éleveurs utilisant cette méthode prélèvent les oisillons au nid et les nourrissent jusqu'au sevrage. En débouchent des oiseaux qui n'ont pas peur de l'homme et qui s'apprivoisent facilement . La famille des Psittacidae rassemble plus de 400 espèces. Qui dit mieux? -
D'ou vient le mot perroquet?
Fidjy a répondu à un(e) sujet de Fidjy dans Discussions sur les perroquets:
Quant à l'étymologie du mot papeguay, papegay ou papegault, nous ne pouvons être d'accord avec un critique qui fait venir papegault du mot grec papoikos, jeu de nos ancêtres, ou de padoikos, jeu de l'arc, et qui trouve ainsi l'occasion de faire remonter le jeu du papeguay aux Troyens, et d'en trouver le description dans un chant de l'Iliade. Nous croyons la suivante préférable. Les Italiens appellent le perroquet papagallo ; les Espagnols papagayo. Chez nous-mêmes, au douzième siècle, papegault ne signifiait rien autre chose ; au moins doit-on tirer cette conséquence de la description suivante du papegault que nous avons trouvée dans un manuscrit de cette époque : « Papegault est un oiseau vert, mais son bec et ses pieds sont rouges et a plus grande langue et plus lee (déliée) que nul oiseau, parquoi il dit paroles articulées en semblance d'omme, se on lui enseigne de sa jouvence, dedans le second an de son âge, etc. » Au Moyen Age, le papegault n'était donc rien autre chose que le perroquet. M aintenant, qu'on se rappelle que dans tous les tirs à l'arc l'oiseau était le plus souvent en bois ou en carton, presque toujours peint en vert, et sinon imitant parfaitement le perroquet, ayant au moins la prétention de lui ressembler. Toutes ces considérations seront plus que suffisantes pour faire admettre que le jeu du papegault signifiait jeu du perroquet, et que ce jeu s'appelait ainsi, parce que l'oiseau qui servait de but aux tireurs avait été peut-être dans l'origine un perroquet véritable. -
L'attitude des oiseaux face aux femmes/hommes/enfants
Fidjy a répondu à un(e) sujet de Fidjy dans Discussions sur le comportement des perroquets:
Voici un sujet relatés par nos scientifiques, nous en avons parlé ci dessus: la phéromone: Certains acacias communs dans les savanes d’Afrique de l’Est avertissent leurs congénères que des animaux mangeurs de feuilles (girafes, par exemple) sont présents et s’en prennent à eux. Pour ce faire, ils émettent des messages chimiques (phéromones dispersées dans l’air) qui sont captés par les autres acacias : ceux-ci augmentent alors la teneur en tanins toxiques de leurs feuilles de manière préventive, pour dissuader les animaux consommateurs de feuilles «signalés» par le premier arbre de s’attaquer à eux. Mais les plantes, elle ne communiquent pas entre elles peut-on se dire!, et pourtant si. Cependant, comme elles sont très discrètes, on ne s'en aperçoit que rarement. Elles utilisent les phéromones, l'exemple le plus pertinent est celui d'une plante médicinale d'Afrique : les anciens disaient à son propos qu'il ne fallait en cueillir qu'un brin par bouquet. L'étude détaillée a révélée que la plante coupée ou arrachée libère immédiatement dans l'atmosphère des phéromones, lorsque celles-ci parviennent à une autre plante de la même famille, elle se met à sécréter dans sa sève une substance toxique, et tout le bouquet devient alors impropre à la consommation. On a étudié ce cas parce que des troupeaux se sont intoxiqués, forcés de brouter les dernières plantes qui résistaient à l'avancée du désert... Les animaux étaient morts et nul ne savait pourquoi puisqu'une fois le danger éloigné, les plantes reprennent le cour normal de leur existence et ne sont plus toxiques. Voila la nature communique comme nos animaux et nos oiseaux, c'est beau la vie -
Tiens donc voici un sujet moderne et à la mode:la phéromone dispersées dans l’air, nous en avons parlé dans la communication entre l'oiseau, la femme et l'enfant, je vous invite à aller voir le sujet, ainsi les animaux donc les oiseaux et même la végération communiquent. C'est beau la vie /viewtopic.forum?t=132
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Un risque parmi d'autres...à surveiller...à éviter
Fidjy a répondu à un(e) sujet de Fidjy dans Informations et Compagnie:
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Petites questions d'une débutante en callo...
Fidjy a répondu à un(e) sujet de cécile11 dans Discussions sur les perroquets:
Hello Cécile, mieux vaut tard que jamais de répondre... Mes confrères l'ont bien fait... Concernant la baignoire, je lui laisse en permanence et il y va quand il veut, je lui change l'eau tous les jours en nettoyant bien le récipient; et s'il se lave, je lui change l'eau après... Remarque: l'oiseau se baigne plus fréquement en été qu'en hiver. Mais quand l'oiseau crie de trop, c'est pour plaire, ou attirer la fumelle (du à l'ecxitation de son appareil sexuel), donc je mets un peu d'eau tiède dans le lavabo, et je lui lave avec l'eau pure le croupion et ou son sexe 30 secondes, simplement sans lui mouiller les plumes; ça le calme, il est ravi et plus de cri, voila un bon remède qui fait du bien à tout le monde. Mais tu peux l'habituer avec un vaporisateur d'eau, mais tu mets de l'eau tiède car le fait de vaporiser l'eau refroidit de suite... Mais je n'oblige pas mon oiseau sauf quand je veux qu'il parte au "dodo", car il resterait en permanence avec nos lumières chimiques à coté de moi. Pour le dressage je te renvoie au sujet du cliker training, voir venir me rejoindre sur msn messenger pout t'aider en direct et te l'expliquer, on a des résultats positifs avec tous les animaux et tous les oiseaux kiss -
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Le mot est aparu à la fin du 14ème siècle sous sa forme primitive paroquet, le terme perroquet a remplacé dans la langue française l’ancien mot papegai datant du 12ème siècle. Des hypothèses ont, dans le passé, été formulées au sujet de l’étymologie de papegai. Par exemple celle dont rend compte Liger, un auteur du 18ème siècle : «On appelait anciennement le perroquet papegai parce que, disait-on, il est comme le pape des oiseaux et selon d’autres de nos anciens, parce qu’il est digne d’être offert au pape». Il est vrai que le pape Léon X en hébergeait plusieurs au Vatican vers 1510. L’histoire de la présence des perroquets dans les sociétés humaines est bien plus ancienne. Les témoignages archéologiques viennent confirmer la place qui leur était faite comme animaux d’agrément. L’interprétation de certains hiéroglyphes donne à penser que l’Egypte pharaonique onnaissait les perroquets.
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SPARKIE En 1958, Sparkie, une perruche mâle, apparaît dans le Guiness Book of Records : déclassant tous les autres oiseaux parleurs de l’époque, cette perruche avait un vocabulaire de 531 mots et 383 phrases. Pendant sa vie, elle parcourut plus de 20.000 kilomètres avec sa maîtresse pour apparaître dans des émissions télévisées ou radiophoniques.
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Le prodige de la communication Une écrasante majorité d’êtres vivants qui peuplent notre planète a développé au cours de l’évolution un système de communication, c’est-à-dire un ensemble de signaux permettant de s’entretenir avec leurs semblables –ou parfois leurs ennemis- à des fins qui servent leur survie et/ou leur bien-être. Ces signaux peuvent être de natures très différentes : gestuelle : les différentes façons dont le loup tient la queue suivant qu’il veut exprimer la dominance, la soumission, la peur, la colère, etc. mimiques : les différents faciès du chimpanzé exprimant ses états d’âme envers les autres membres du groupe social; odeurs : glandes odorantes utilisées par de nombreux mammifères pour signaler quand une femelle est réceptive, messages olfactifs (urines…) indiquant les limites du territoire, etc. ; messages chimiques : «langage» utilisé par d’innombrables insectes ou par de nombreuses plantes (entre autres) ; cris et vocalisations : chant des oiseaux destiné à signaler leur présence à leurs rivaux potentiels, cris de menace des mammifères, etc. ; langage parlé : forme très élaborée de communication vocale, particulièrement développée chez l’espèce humaine. Communiquer : un besoin vital Même des espèces par nature solitaires peuvent maintenir un système de communication «par correspondance» avec leur semblables : l’ours brun, géant solitaire des forêts tempérées et boréales, ou le rhinocéros noir, géant solitaire des savanes africaines, communiquent leur présence sur un territoire et se renseignent sur les allées et venues d’autres individus grâce à un système efficace de marques olfactives (déjections, urines, autres liquides odorants) abandonnées aux endroits stratégiques. La faculté de communiquer avec d’autres créatures, et principalement avec ses semblables, et donc de leur transmettre des messages a offert une multitude d’avantages aux êtres vivants : meilleure cohésion des membres d’un même groupe, sécurité accrue à la fois de l’individu au sein d’un groupe et du groupe lui-même (transmission de signaux d’alarme à l’approche d’un ennemi), diminution du nombre de conflits (messages de dominance ou de soumission qui évitent des confrontations entre membres d’un groupe social) ou d’attaques (messages de menace qui découragent un prédateur d’attaquer), plus grande efficacité dans la recherche de nourriture, etc. La communication : un mystère… Il s’agit d’une étape importante dans l’évolution. La faculté de communiquer avec d’autres êtres vivants constitue ce que spécialistes appellent une «adaptation biologique évolutive», qui s’est souvent accompagnée de l’apparition d’organes spécifiquement destinés à la communication. Mais cette faculté remarquable recèle encore bien des mystères et pose beaucoup de questions aux scientifiques : à quel stade de l’évolution les êtres vivants ont-ils «pensé» à communiquer et comment ont-ils appris à le faire? Les techniques les plus avancées n’ont toujours pas permis de comprendre la naissance et le développement de cette faculté, qui nous paraît si évidente aujourd’hui mais qui demeurera longtemps encore un mystère et non un problème qu’il est raisonnable d’espérer élucider un jour… Le langage parlé : forme évoluée de communication Le langage parlé est une forme de communication très élaborée : c’est bien sûr celle qui interpelle et qui concerne le plus l’homme, puisque c’est cette forme de communication qu’il utilise abondamment lui-même (souvent associée à d’autres formes de communication comme les gestes, etc.). Mais il existe d’autres formes de communication élaborées : les fourmis utilisent des messages chimiques sous forme de phéromones pour transmettre aux autres membres de la colonie une série d’informations remarquable par leur diversité ou leur précision ; la danse des abeilles («danse» effectuée par une abeille de retour dans l’essaim ou la ruche pour indiquer aux autres ouvrières dans quelle direction et à quelle distance se trouvent des fleurs riches en pollen) est à ce point précise que les apiculteurs qui en connaissent les mécanismes peuvent eux-mêmes localiser les fleurs en question à quelques centaines de mètres près ! etc. D’autres espèces ont des capacités de communication moins élaborées dans leur contenu et leur diversité, mais leurs performances ont de quoi nous étonner ou nous épater : les éléphants communiquent à des kilomètres de distance en produisant des sons à basse fréquence… par leur estomac ; plusieurs espèces de grandes baleines (rorquals) peuvent communiquer par infrasons avec des congénères distants de plusieurs… centaines de kilomètres ; certains acacias communs dans les savanes d’Afrique de l’Est avertissent leurs congénères que des animaux mangeurs de feuilles (girafes, par exemple) sont présents et s’en prennent à eux. Pour ce faire, ils émettent des messages chimiques (phéromones dispersées dans l’air) qui sont captés par les autres acacias : ceux-ci augmentent alors la teneur en tanins toxiques de leurs feuilles de manière préventive, pour dissuader les animaux consommateurs de feuilles «signalés» par le premier arbre de s’attaquer à eux.