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sylvain951

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  1. sylvain951

    Polyomavirus

    Polyomavirus C’est une maladie virale qui touchent particulièrement les jeunes perroquets EAM avant le sevrage. Les symptômes sont : - Gosier jamais complètement dégagé - Abattement général - Diarrhée - Anorexie - Hémorragie sous cutanée La mort surviendra 2 à 3 jours après les premiers symptômes constatés. Le polyomavirus peut se transmettre à travers les fientes, les sécrétions nasales et la poussière de plumes, et ces dernières peuvent contaminer l’eau et la nourriture. Les parents souvent « porteur sain » du virus le transmettrons aux petits. Chez les perruches ondulées, la maladie (polyomavirus) se présente différemment. En plus de présenter les précédents symptômes, elle peut engendrer une altération du plumage similaire à la maladie PBFD. Ces deux maladies sont à la base de la pathologie appelé couramment « mue Française ». Il n’existe aucun traitement efficace, mais il existe un vaccin difficile d’accès. Le diagnostic s’établit à travers le test PCR sur échantillon de sang, ou avec un fragment d’organe. Les sujets positifs mais asymptomatiques devront être isolés et exclus de toute reproduction et cela jusqu’à ce qu’ils soient négatifs après les tests suivant, sous 90 à 120 jours. Source : http://perroquets.jimdo.com/perruches-et-perroquets/soins-et-sant%C3%A9/maladies-infectieuses/
  2. Maladie de Pacheco Les perruches ondulées et perroquets peuvent être victimes de nombreuses maladies virales, dont la maladie de Pacheco, une des plus redoutée. Elle est causé par un virus de l’herpès, provoquant d’importantes lésions au foie les amenant à mourir en quelques jours. Cette maladie est liée aux importations, et peut engendrer des porteurs sain chez les perroquets (souvent les conures). Les oiseaux contaminés présentent les symptômes suivants : - Mal-être général - Diarrhée jaunâtre caractéristique - OU mort rapide sans symptômes Le diagnostic se base sur des mémoires quantifiés et qualifiés des importations (taux de malades, de mortalité élevé, et de lésions hépatiques observées après autopsie). L’examen histologique du tissu hépatique du foie (et nécroses) seront révélateurs. Il n’existe pas de traitement efficace. L’acyclovir est une molécule pouvant diminuer la contagion entre perroquets mais est inefficace sur les sujets déjà atteints. Source : http://perroquets.jimdo.com/perruches-et-perroquets/soins-et-sant%C3%A9/maladies-infectieuses/
  3. sylvain951

    Proventriculite

    Proventriculite Cette maladie frappe souvent les perruches ondulées, les inséparables, les calopsittes et les perruches à collier. Le microorganisme responsable de la maladie est le « « megabacterium » situé dans le proventricule et altérant gravement la fonction gastrique. L’appétit n’est pas impactée mais l’amaigrissement de l’oiseau croit jusqu’à sa mort (fientes avec graines non digérées). Le traitement sera à base « d’amphotéricine B » par voie oral sur 10 jours minimum. Source : http://perroquets.jimdo.com/perruches-et-perroquets/soins-et-sant%C3%A9/maladies-infectieuses/
  4. Pseudo-tuberculose L'agent de cette maladie est une bactérie «Yersinia pseudotuberculosis». Les malades sont hérissés, l'évolution est rapide. L'épidémie atteint souvent qu'une espèce à la fois. Ils meurent dans un délai de 3 à 5 jours. Si il y a une incubation, elle n'a pas été discernable. Cette maladie peut être confirmée sans aucun doute possible en autopsiant les oiseaux décédés. La rate augmente de volume de façon importante. Le foie et la rate présentent de nombreux petits nodules blancs assez durs. Le foie peut être noir, et l'oiseau subit des congestions pulmonaires. Les prélèvements peuvent être effectués, de façon à faire déterminer la souche bactérienne avec certitude et connaître le traitement efficace. Garder l'oiseau en cage hôpital, sans contact avec les autres car la maladie est contagieuse. Voici des médicaments traitant cette maladie: •Pendant 10 jours, Chloramphenicol: Mycolicine. Ceci s'achète en cabinet vétérinaire. Dosage: 12 gouttes pour 60ml d'eau, ou bien 5ml par litre d'eau. Le plus grand conditionnement fait 50ml. •Baytril 10% en solution buvable 1ml/ litre d'eau (substance Enrofloxacine de la famille des fluoroquinoles), large spectre : Laboratoire Bayer Pharma division santé animale. Source : http://perroquets.jimdo.com/perruches-et-perroquets/soins-et-sant%C3%A9/maladies-infectieuses/
  5. Salmonellose et colibacillose Les perroquets peuvent contracter la salmonellose. Cette maladie peut évoluer vers sa forme aigue (diarrhée, anorexie, abattement et mort), ou chronique (arthrite, lésions hépatiques et troubles du système nerveux). La colibacillose est également une maladie bactérienne, aux symptômes plus variés. C’est l’agent « Escherichia Coli » qui est responsable de la variété des symptômes car il peut toucher différents organes. La bactérie peut contaminer l’œuf directement dans l’ovaire ou après la ponte, entrainant la mort de l’oisillon. Les symptômes seront : - Gastro-entérite (vomissement, diarrhée, amaigrissement, anorexie) - Troubles nerveux (tremblements, torticolis, manque de coordinations des mouvements) - Troubles de la reproduction (stérilité, pontes d’œufs petits, à la coquille molle) Le diagnostic de cette maladie comme celle des « staphylococcies, streptococcies et pseudo-tuberculose » sera l’isolement du germe là ou il sera (cloaque, narines, fientes, organes) à travers un examen bactériologique. L’antibiogramme permettra de déterminer l’antibiotique le plus adapté au traitement. source : http://perroquets.jimdo.com/perruches-et-perroquets/soins-et-sant%C3%A9/maladies-infectieuses/
  6. voici le liens vers les Annexes I, II et III valables à compter du 14 octobre 2010 http://www.cites.org/fra/app/Appendices-F.pdf
  7. L'alimentation du perroquet Le plus important est d'accepter que le perroquet n'a pas le même système digestif que nous et qu'il ne peut donc pas manger comme les humains. Même s'ils sont très friands de chips, de chocolat, de beurre, etc... il ne faut jamais en donner ! Sous peine de provoquer des troubles digestifs très graves pouvant se révéler mortels. Le pain surtout grillé peut-être donné en petite quantité mais bien évidemment pas trempé dans du lait ou du café. De manière générale, l'alimentation existe sous deux formes, un aliment complet à base de granulés compressés ou extrudés (qui n'est pas le plus utilisé mais qui évite le "triage" de la nourriture par l'oiseau pouvant conduire à des carences ou à des excès, ceci dit il vaut mieux que le perroquet soit habitué à le manger dès le début car sinon, il risque de le refuser) ou alors un mélange de graines composé de 70% de céréales (blé, millet, alpiste, maïs, riz etc...) et de 30 pour cent d'oléagineuses (tournesol, chènevis, arachide), on y ajoute des noix ou des amandes en petite quantité. Il faut en plus fournir des vitamines synthétiques ou des fruits (pommes, poire, abricot, raisin, etc...) et légumes (carottes, salades, etc...) et bien évidemment le traditionnel os de sèche ou bloc à "minéraux". Deux exemples parmi d'autres de pathologies liées à une alimentation déséquilibrée : - une nourriture composée de "restes" de table ou contenant uniquement de graines de tournesol (50% de MG) ou des cacahuètes (55% de MG) provoque au fil du temps une dégénerescence graisseuse du foie et des lipomes (boules de graisses sous la peau), le phénomène étant amplifié par le fait qu'en cage, il fait moins d'excercice que dans la nature. - une nourriture trop uniforme par exemple chez un perroquet qui ne mange que des graines sèches sans bloc de minéraux ou os de sèche va avoir un rapport CA/P déséqulibré car les graines contiennent beaucoup de phosphore ce qui va conduire à des fractures et des oeufs mal calcifiés. En ce qui concerne les fruits et les légumes (nécessaires pour l'apport en vitamine et oligo-éléments), il y en a trois à éviter absolument : - la rhubarbe riche en oxalates (gastro-entérites violentes). - l'avocat dont l'écorce est riche en pepsine (diminution de l'absorption des protéines conduisant à des oedèmes au niveau des poumons, de l'abdomen et de la gorge). - le persil (bon fournisseur de vitamine A mais riche en psoralènes qui provoquent une sensibilisation élevée au soleil). Ne pas oublier non plus que les pépins des fruits contiennent du cyanure, à faible dose pas de problème, mais en grande quantité ça peut devenir toxique ! Je vais maintenant dresser une liste non-exhaustive de ceux que l'on peut donner : Légumes : - Salade (laitues, chicorées et endives) : vitamine B9 - Carotte : vitamine A - Choux : fort complet (vitamine A, B1 et K + du fer et du zinc) - Epinard : fort complet (magnésium, calcium, fer, vitamine A, B (diverses), E et K) - Tomate - Petits pois : fort complet (zinc, phosphore, sélénium, cuivre, diverses vitamines B) - Et aussi haricots verts, betteraves, courges, céléri, fenouil, blette. Fruits : - Banane : très calorique donc ne pas en donner en excès. - Pomme - Poire - Raisin - kiwi : riche en vitamine C - Ananas - Cerise : vitamine B1 - Abricot : zinc - Kaki : vitamine A - Mangue : vitamine A - Fruit de la passion : très complet (fer, magnésium, phosphore + diverses vitamines B) - Et aussi groseille, ananas, orange, prune, melon, mûre et framboise. On peut aussi donner un oeuf dur (protéines, vitamine E, B, B2, B6 et A, ainsi que du phosphore, du calcium, du fer et du sodium) avec (+ de Ca) ou sans coquille, de la pâtée d'élevage et un peu de fromage blanc ou yaourt nature. Quant aux graines germées, elles sont plus facilement digestibles et riche en vitamines mais elles moisissent vite ! Comme boissson donner uniquement de l'eau à laquelle on peut éventuellement ajouter un peu du jus d'une orange pressée. En ce qui concerne la viande, il vaut mieux ne pas en donner. Si malgré tout vous voulez le faire, on peut fournir au perroquet un morceau de jambon de temps en temps mais surtout pas du boeuf qui est souvent allergisant. Quelques spécificités : - Le ara adore les noix de palmier. - Le perroquet gris du Gabon a besoin de beaucoup de calcium. - Les frugivores (grand éclectus par exemple) sont nourris principalement avec des fruits complémentés avec des verdures et des graines. - Les nectarivores (lori) reçoivent un nectar artificiel ou naturel à base de fruits, de miel, d'huile de foie de morue, de céréales et des vers de farine. - L'amazone a tendance à l'embonpoint : donc éviter chez eux encore plus que chez les autres, les aliments et graines qui contiennent beaucoup de graisses (voir plus haut). En ce qui concerne les perruches et les inséparables : En plus de l'os de seiche ou du bloc à minéraux et du gravier marin et/ou anisé, ils doivent recevoir les aliments suivants : Pour les inséparables : Graines (tournesol, millet, alpiste, avoine, chènevis, niger), fruits, verdure, graines germées et vers de farine en période de reproduction. Ils adorent le millet en grappe. Pour les perruches ondulées et calopsittes : Graines (millet, alpiste, gruau d'avoine auxquelles on ajoute du tournesol dans le cas des "grandes" perruches), graines germées, millet en grappe, verdure, fruits et pâtée d'élevage en période de reproduction ou deux fois par semaine en complément à l'alimentation de base Source : http://www.veterinaire-maindiaux.be/alimentationperroquet.php
  8. Comment déterminer le sexe de votre perrroquet Contrairement à la perruche ondulée où le dimorphisme sexuel est très marqué (cire bleue chez le mâle et marron chez la femelle), il est beaucoup plus difficile de déterminer le sexe chez le perroquet en se fiant uniquement à des différences de couleur. En effet, si c'est faisable avec un peu d'entraînement chez le Grand Eclectus (le vert domine chez le mâle alors que c'est le rouge chez la femelle) ou chez le Cacatoès rosablin (iris foncé chez le mâle, orangé chez la femelle), c'est totalement irréalisable chez le perroquet du Sénégal (Youyou), chez le perroquet gris du gabon et chez l'amazone à front bleu ou l'ara chloroptère pour ne citer que les plus connus. Il faut donc recourir à d'autres stratagèmes pour y parvenir. Une technique qui peut fonctionner une fois la maturité sexuelle atteinte (entre 3 à 6 ans suivant les sous-espèces), c'est de voir s'il est plus attiré par les femmes et dans ce cas on a beaucoup de chance d'avoir un mâle, si c'est l'inverse, c'est probablement une femelle. Malheureusement, cette technique a ses limites, en effet, certains perroquets sont tellement amitieux qu'ils se lient aussi bien avec les hommes que les femmes, d'autres sont agressifs et sont par conséquent très distants vis-à-vis des êtres humains. On estime que cette technique fonctionne dans 65 à 70 % des cas. Il arrive aussi qu'une femelle adulte se mette à pondre un oeuf clair (non fécondé) deux à trois fois par an mais c'est assez aléatoire et ce n'est d'ailleurs pas l'idéal pour sa santé. Il y a aussi moyen de vérifier la distance qui sépare les os pelviens et qui est plus grande chez la femelle mais il faut une grande expérience pour y arriver. Il existe aussi l'endoscopie, c'était il y a encore quelques années le moyen le plus utilisé car il donnait un résultat sûr à 100% mais elle nécessite d'anesthésier l'oiseau et de pratiquer une intervention "chirurgicale" afin de passer l'endoscope et ainsi observer les organes reproducteurs. Actuellement, il existe une technique beaucoup plus simple qui est le test ADN qui se réalise sur quelques gouttes de sang ou encore plus facile sur quelques plumes prélevées sur le perroquet. Source: http://www.veterinaire-maindiaux.be/sexageperroquet.php
  9. La reproduction La première chose à faire est de déterminer le sexe. Chez la plupart d'entre eux, la simple observation du plumage ne suffit pas, il faut avoir recours à des techniques modernes, il y a bien entendu l'endoscopie, mais c'est une méthode lourde et qui nécessite l'anesthésie de l'oiseau, l'autre solution est le sexage par ADN par l'intermédiaire de quelques plumes. Ensuite, il faut savoir que contrairement aux perruches et canaris, le perroquet est très fidèle et il n'est pas toujours évident de créer un couple, le mieux est d'avoir une grande volière avec plusieurs individus afin qu'ils puissent faire leur choix. La taille idéale du nid est de 30X30X60 cm. Pour la ponte et l'incubation voir le tableau ci-dessus. Il est rare de réussir à avoir des jeunes du premier coup, mais il faut persévérer. Afin d'obtenir de meilleurs résultats, il y a l'élevage artificiel : La couveuse doit être à 37,2°C avec 55% de taux d'humidité. Le rythme est d'un demi-tour en un quart d’heure puis trois-quarts d’heure sans mouvement et ceci 24/24H. Lorsque le jeune commence à faire un petit trou dans la coquille, il doit passer dans « l'écloserie » avec une température de 37,2°C et une hygrométrie de 75% afin de faciliter l'éclosion qui se produira dans les 3 jours suivants. Ensuite commence la période de nourrissage, au début toutes les deux heures et ensuite il faudra espacer suivant le degré de remplissage du jabot, c'est une phase délicate, car il faut éviter de le percer ou d'étouffer l'oisillon c'est donc davantage un travail de professionnels. Le plus simple pour un profane est d'employer une poudre (en vente dans le commerce) à laquelle on ajoute de l'eau afin d'obtenir une bouillie à donner à l'aide d'une cuillère spéciale, d'une seringue ou d'une sonde gastrique (attention car risque élevé de blessures au niveau du jabot si cette dernière est mal utilisée). Il est bien évident qu'il faut ajouter la bonne quantité d'eau à la poudre et qu'il faut faire preuve d'une hygiène parfaite durant cette phase et bien désinfecter le matériel entre chaque repas. Cette aseptie est aussi assurée par les lactobacilles, les probiotiques et les acides organiques présents dans l'alimentation en poudre citée plus haut. La température de l'éleveuse sera diminuée de 4 degrés par semaine afin d'arriver à la température ambiante vers un mois. L'objectif est bien évidemment d'obtenir un perroquet plus facile à éduquer suite au contact avec l'homme dès son plus jeune âge. Si vous manquez d'expérience, il vaut mieux prélever les jeunes vers 2 semaines et les nourrir seulement à partir de cette époque afin d'éviter les difficultés expliquées ci-dessus. Evidemment dans ce cas il n'est pas question d'utiliser une couveuse, mais bien de laisser les parents couver et élever les jeunes au début. Le sevrage a lieu entre deux mois et demi et cinq mois suivant les sous-espèces. Le baguage ayant lieu entre 10 et 14 jours. Source : http://www.veterinaire-maindiaux.be/perroquet.htm
  10. sylvain951

    Candidose

    Candidose Contrairement à l'aspergillose, candida albicans attaque surtout le système digestif. L'oiseau (surtout chez les jeunes) reste en boule dans un coin, ne s'alimente plus, maigrit, a de la diarrhée avec parfois une dyspnée et une déformation du bec et plus rarement des problèmes neurologiques.
  11. sylvain951

    Aspergillose

    Aspergillose Aspergillus fumigatus est une mycose qui profite d'une baisse d'immunité ou d'un traitement antibiotique prolongé pour pénétrer dans l'organisme sous forme de spores par la voie respiratoire surtout, mais aussi digestive ou à travers l'oeuf. On constate de l'abattement, une diarrhée, un amaigrissement et surtout une sinusite qui peut être compliquée par une broncho-pneumonie et des troubles nerveux. A l'autopsie on remarque principalement des plaques de couleur blanc-vert-jaunâtre qui tapissent les organes respiratoires et surtout les sacs aériens.
  12. Chlamydiose (psittacose-ornithose) Cette maladie est une zoonose (transmissible à l'homme) célèbre qui est à déclaration obligatoire dans de nombreux pays. Elle est transmise entre oiseaux surtout à partir de la voie respiratoire et parfois par la voie digestive, la contamination de l'oeuf est aussi possible. Elle est favorisée par le stress, le manque d'hygiène, etc... Un faible pourcentage parmi les volatiles qui suivent (perroquets, perruches, canaris, pigeons, etc...) développent la pathologie, par contre, beaucoup sont porteurs asymptomatiques et constituent donc un tremplin pour la propagation de l'infection de même que les oiseaux malades qui ont été guéris (blanchis) par des antibiotiques. Elle peut prendre trois formes : - suraiguë : mort en 24 heures sans signes visibles. - aiguë : d'abord, il y a une conjonctivite et des problèmes respiratoires (polypnée, jetage nasal), puis ce germe peut aussi affecter les organes internes (foie, poumons, rate, etc.) après une septicémie avec amaigrissement et troubles nerveux éventuels. Les psittacidés seront "gonflés", cesseront de manger et produiront des fientes verdâtres. Le décès se produit après 8 à 15 jours. - chronique : sans signes cliniques ou seulement les respiratoires. Après plusieurs semaines et des traitements éventuels, environ 50% des oiseaux peuvent guérir mais ils seront toujours excréteurs de Chlamydia psittaci et continueront ainsi à disséminer la maladie. Chez l'homme, elle est inhalée par les poussières, par le duvet cloacal ou plus simplement par les sécrétions nasales des oiseaux. Lorsqu'elle se développe, la maladie prend la forme d'une grippe mais elle peut devenir plus grave avec de la fièvre, de l'épistaxis, de la diarrhée ou une constipation puis une bronchopneumonie avec des lésions nerveuses. Une myocardite est parfois présente.
  13. La sinusite infra-orbitaire Complication fréquente de la rhinite, est marquée par une accumulation de pus dans le sinus infra-orbitaire suite à une communication avec la cavité nasale. Le jetage est abondant et épais mais le plus spectaculaire est le fait que la peau gonfle sous l'oeil ce qui provoque une fermeture de ce dernier et avec le temps son infection.
  14. sylvain951

    La rhinite

    La rhinite Il est très sensible à tout changement de température et aux courants d'air qui favorisent l'apparition d'une inflammation de la cire et de la muqueuse nasale, les agents responsables sont nombreux et variés (mycoplasme, aspergillose, gale, staphylocoque, substance toxique volatile, etc...). Elle se manifeste par un jetage nasal, un sifflement à la respiration qui est plus ou moins ample, une diminution de l'appétit et un animal qui est très calme avec une disparition de la parole. Le bec ouvert n'est pas rare. Si la pathologie n'est pas soignée rapidement, elle se complique souvent par une trachéo-bronchite, une aérosacculite (atteinte des sacs aériens) ou une pneumonie marquée par une respiration abdominale intense.
  15. Voici mon système pour avoir les fenêtres ouverte et les oiseaux en liberté, bien pratique en ce moment avec les températures qu'il fait. C’est en inox la maille fait 25X25 3 mm de diamètre C’est démontable en moins d'une minute et positionnable sur n'importe qu'elle fenêtre de l'appart, j'en ai fait 3 pour pouvoir crée des courants d'air J’ai créé une pièce en inox ou je peux fixer un perchoir et le positionné ou je veux sur la grille toujours en moins d'une minute
  16. Voici l'air de jeux que j'ai bricolé pour mettre sur le haut d'une porte, bien sûr il est démontable en 2 minutes et positionnable sur n'importe qu'elle porte de la maison.
  17. voici l'air de jeux que j'ai bricoler au dessus de la cage de sushi, elle s'eclate dessus
  18. Cacatoès à tête rouge Le Cacatoès à tête rouge ou Cacatoès gang-gang (Callocephalon fimbriatum) est une espèce de cacatoès australien. Cet animal est l'emblème du Territoire de la capitale australienne. Description Cet oiseau pèse en moyenne 250 grammes (pouvant aller jusque 280 g) pour 34 centimètres de long (valeurs extrêmes de 32 et 37 cm). Le plumage est gris avec des rayures blanches. Le mâle a une tête avec une crête rouge tandis que la femelle est entièrement grise avec une petite huppe grise. Il a un cri facilement reconnaissable rappelant une porte qui grince ou le bruit d'une bouteille de vin qu'on ouvre. L'immature ressemble à la femelle, le jeune mâle présentant un peu de rouge à la tête. Distribution et habitat Cet oiseau habite dans les bois des régions froides et humides des Alpes australiennes dans le sud-est de l'Australie où il peut vivre dans la neige se nourrissant de fruits d'eucalyptus. Il a été introduit sur Kangaroo Island. Mode de vie Ces oiseaux vivent en bandes d'une cinquantaine d'individus sauf pendant la période de reproduction où ils vivent en couple. Ils demeurent dans les arbres et ne descendent sur le sol que pour boire ou ramasser des fruits. Alimentation Ils se nourrissent de fruits d'eucalyptus, d'acacias et d'aubépine, une plante importée. Ils se nourrissent aussi d'insectes. Reproduction La femelle pond généralement deux œufs dans un nid construit en creusant un tronc d'arbre. La couvaison a lieu d'octobre à janvier et dure 28 à 30 jours. Les jeunes demeurent au nid environ huit semaines. Source: Wikipedia
  19. Cacatoès rosalbin Le Cacatoès rosalbin (Eolophus roseicapilla) est l'un des cacatoès les plus communs. C'est la seule espèce du genre Eolophus. Description Il mesure 35 à 36 cm de long pour un poids de 300 à 400 g. Il a un dos et des ailes d'un gris pâle ou moyen, une face et une poitrine rose et une huppe d'un blanc rosé. Le bec est clair et les pattes gris rosé. Les sexes sont semblables et ne diffèrent que par la couleur de l'iris : marron ou rougeâtre chez la femelle et noir ou brun foncé chez le mâle. Les immatures sont semblables aux adultes mais présentent des iris brun clair. Habitat Il occupe toutes les parties non boisées du continent australien. Sous-espèces[modifier] Le Cacatoès rosalbin est représenté par trois sous-espèces : Eolophus roseicapilla albiceps Schodde, 1989 aux cercles oculaires blanchâtres peuplant la Tasmanie ; Eolophus roseicapilla kuhli (Mathews, 1912) aux cercles oculaires gris rougeâtre ; Eolophus roseicapilla roseicapilla (Vieillot, 1817) aux cercles oculaires rosés. Reproduction La femelle pond 3 ou 4 œufs, parfois 5 ou 6. L'incubation dure 23 jours. Les jeunes demeurent au nid environ sept semaines. Animal de compagnie Cet oiseau, très connu pour sa beauté et son caractère doux, est un excellent animal de compagnie. Il lui faut une grande cage et beaucoup d'objets à décortiquer car, comme tous les cacatoès, il aime bien tout grignoter. Diverses mutations sont connues : cinnamon, bleue, ivoire, rose aux yeux noirs, argentée, crème panaché et blanche aux yeux noirs. Source : wikipedia
  20. sylvain951

    Cacatoés Noir

    Le Cacatoès noir Le Cacatoès noir (Probosciger aterrimus; en anglais: Palm Cockatoo) est un grand Psittacidae gris foncé ou noir de la sous-famille des cacatoès du genre monotypique Probosciger. Cette classification a été confirmée par des études génétiques (Brown & Toft, 1999, Astuti, 2004?). Sous-espèces Cet oiseau est représenté par quatre sous-espèces : Probosciger aterrimus aterrimus (Gmelin, 1788) ; Probosciger aterrimus goliath (Kuhl, 1820) ; Probosciger aterrimus macgillivrayi (Mathews, 1912) ; Probosciger aterrimus stenolophus (Oort, 1911). Description Adulte, c'est l'un des plus grands perroquets. Il s'agit d'un oiseau de 50 à 70 cm de long pesant entre 500 g et 1 kg. Il se caractérise par sa couleur noire, sa grande huppe et un des plus grands becs (9 cm de long) chez les perroquets ; et seul l'ara hyacinthe a un bec plus gros que le sien. Son bec a la particularité d'avoir une partie inférieure qui peut s'encastrer dans la partie supérieure, ce qui permet à l'oiseau de coincer une noix entre sa langue et sa mandibule supérieure et de l'ouvrir avec sa mandibule inférieure. Il a une tache rouge sur la joue qui change de couleur lorsqu'il est inquiet, malade ou nerveux. Il a également la capacité de vivre jusqu'à 90 ans. Le dimorphisme sexuel est peu marqué : la mandibule supérieure du bec est plus petite chez la femelle. Les immatures présentent un bec blanc grisâtre et des couvertures blanc jaunâtre. Alimentation Il se nourrit de graines, de baies, de plantes, d'insectes et de larves d'insectes. Distribution et habitat Il habite, autre particularité de ce perroquet, les forêts tropicales humides de la Nouvelle-Guinée, des Îles Aru, et d'Indonésie et du nord du Queensland (Cap York) en Australie. Il vit généralement seul, en couple ou en petites bandes de 5 à 7 individus. Les sous-espèces de Nouvelle-Guinée et des îles avoisinantes (goliath et stenolophus) sont de plus en plus rares dans la nature où elles sont très fortement menacées par un trafic en direction des pays du Moyen Orient et ceux de l'ancien bloc soviétique. Reproduction Le cacatoès se reproduit à partir de quatre ans. La période de reproduction va d'août à janvier ; la femelle pond un œuf unique dans le creux d'un arbre situé très haut qui servira d'une année à l'autre. L'œuf est couvé alternativement par les deux parents pendant 30 jours. L'oisillon restera au nid pendant 100 à 110 jours. L'oisillon ne sera pas capable de commencer à voler pendant encore deux semaines. Cri Dans la nature, cet oiseau utilise quatre cris différents. Il a aussi la particularité de taper avec une branche sur les troncs d'arbres pour produire un bruit sourd qui est entendu à 100 m à la ronde. Animal de compagnie A cause de son aspect, c'est un animal de compagnie très apprécié. Il s'y reproduit très mal et doit rester isolé. Source: Wikipedia
  21. Cacatoès à huppe jaune Taille : 45 à 50 cm Poids : 815 à 975 gr Longévité : 80 ans Identification : Le cacatoès à huppe jaune est un grand perroquet avec un plumage à dominante blanche. Chez les adultes de la race nominale, les couvertures auriculaires, les bases des plumes de la gorge et des joues sont infiltrées de jaune pâle. Comme son nom l'indique bien, la crête, formée de 6 plumes érectiles légèrement orientées vers l'avant, est jaune. Le dessous des ailes et de la queue son teintés de jaune pâle. L'anneau qui entoure l'œil affiche une couleur blanche. L'iris est brun foncé chez le mâle, brun rougeâtre chez la femelle. Le bec est gris noirâtre, les pattes grises. Les juvéniles ne sont guère différents des adultes. Chez certains jeunes oiseaux, quelques plumes clairsemées sont infiltrées de gris pâle. Les iris sont brun pâle Les cinq sous-espèces sont faiblement différenciées : C.g. galerita, est le seul qui possède du jaune pâle sur les couvertures auriculaires et à la base des plumes des joues et de la gorge. C.g. queenslandica, présente une taille inférieure, avec un bec plus large et très strié. C.g. fitzroyi, se distingue principalement par la largeur de son bec et son cercle oculaire bleu pâle. C.g. triton, a les plumes de la crête plus larges et le cercle oculaire bleu. C.g. eleonora, ressemble au précédent mais il a le bec plus petit. Le cacatoès à huppe jaune peut être confondu avec le cacatoès soufré (Cacatua sulphurea). Toutefois ce dernier est plus petit (33 cm) et occupe une aire de distribution totalement différente. Chant : Le cacatoès à huppe jaune émet un "ah-yai-yah" ou un "kai-yah" rauque dont la fin se termine par une inflexion montante ou descendante. Ce cri est lancé régulièrement en vol et parfois lorsque l'oiseau est perché sur une branche bien exposée. Le cri d'alarme est une série de notes abruptes et gutturales. Quand il se nourrit ou qu'il lisse ses plumes, ce cacatoès accompagne son activité par des braillements rauques ou par un sifflement strident et dissyllabique. Habitat : En Nouvelle-Guinée, le cacatoès à huppe jaune fréquente les forêts, les zones partiellement éclaircies, les savanes arbustives et les mangroves situées le long du littoral. En Australie, il accorde sa préférence aux galeries d'arbres qui longent les cours d'eau, en particulier dans les régions les plus arides. Sur ce continent, on le trouve également dans de nombreux types de forêts ou de zones boisées, telles que les forêts pluviales tempérées ou tropicales, les prairies pourvues d'arbres clairsemés, les terres agricoles et les plantations de bois dur ou de bois tendre. Il s'installe rarement à l'intérieur des forêts denses, choisissant en priorité les lisières et les clairières. Le cacatoès à huppe jaune s'est solidement établi dans les zones urbaines où ses effectifs sont en fort accroissement. Distribution : Cette espèce est endémique du nord et de l'est de l'Australie, de la Nouvelle-Guinée et des îles avoisinantes, en particulier les îles Arus, en Indonésie. Elle a été importé avec succès au îles Palau en Micronésie, en Nouvelle-Zélande et dans certaines îles de l'est des Moluques. Le cacatoès à huppe jaune vit principalement en-dessous de 1000 mètres d'altitude, mais on peut l'observer parfois jusqu'à 1500 m en Australie et plus de 2000 m dans l'est de la Nouvelle-Guinée. Cinq sous-espèces sont officiellement reconnues : C.g. galerita (est et sud-est de l'Australie, du nord Queensland jusqu'en Tasmanie et dans le sud-est de l'Australie Méridionale, y compris Kangaroo Island) - C.g. queenslandica (péninsule du Cap York et îles du détroit de Torres) - C.g. fitzroyi (nord de l'Australie, du district du Kimberley jusqu'au golfe de Carpentaria) - C.g. triton (îles de la Papouasie Occidentale, Nouvelle-Guinée) - C.g. eleonora (îles Arus). Comportements : Les cacatoès à huppe jaune sont des perroquets bruyants et assez faciles à observer, même s'ils sont davantage repérables par leurs cris. Pendant la saison de reproduction, ils vivent en couples ou en petits groupes familiaux, mais le reste de l'année, on les trouve en larges bandes pouvant contenir plusieurs centaines d'oiseaux. Dans les régions urbaines, et plus particulièrement dans les endroits qui sont pourvus de mangeoires, ils adoptent un comportement familier. Dans les autres lieux, ils conservent leur méfiance et leur prudence habituelle et ils sont très difficiles à approcher. Dans les contrées ouvertes, notamment en Australie Méridionale, ces oiseaux mettent en place un système de sentinelles qui est organisé de la façon suivante : pendant que le gros de la bande se nourrit, quelques oiseaux se tiennent à l'écart sur un perchoir avoisinant et sont susceptibles de donner l'alarme si un danger survient. Les cacatoès à huppe jaune ont une forte tendance à utiliser les dortoirs communs, même lorsque ces derniers sont éloignés des lieux de nourrissage. Ils y affluent en grand nombre et ils occupent souvent le site pendant une longue période. En Australie, on connaît un dortoir qui a été occupé par plus de 500 oiseaux pendant 17 années consécutives. A l'aube, les cacatoès à huppe jaune quittent leur perchoir pour aller se désaltérer dans une source environnante. En matinée et en fin d'après-midi, ils passent leur temps à se nourrir. Au milieu de la journée, aux moments les plus chauds, ils s'abritent dans les arbres environnants, abimant les feuillages et l'écorce à un point si important qu'ils en provoquent souvent la destruction. En soirée, les cacatoès à huppe jaune regagnent leur dortoir. Les oiseaux de Nouvelle-Guinée et du nord de l'Australie sont surtout arboricoles, alors que ceux du sud recherchent principalement leur nourriture à terre. Les cacatoès à huppe jaune assurent souvent une défense collective, ce qui leur permet de contrer avec succès les attaques des milans et des chauves-souris (Macheiramphus alcinus). Pendant les parades, les mâles font des révérences et balancent leur tête en formant une figure en forme de "8". Ils produisent un faible bavardage et hérissent leur crête. Le lissage mutuel de plumes et les attouchements du bec sont également des rituels très courants. Vol : Le cacatoès à huppe jaune possède un vol très caractéristique composé d'une alternance de battements rapides manquant d'amplitude et de glissades. Cet oiseau vole souvent à très haute altitude. Il se laisse glisser en larges cercles tournoyants pour se poser à terre. Nidification : En Australie, la saison de reproduction se déroule entre mai et août dans le nord et entre août et janvier dans le sud. En Nouvelle-Guinée, elle a lieu pendant tous les mois de l'année, bien que les mois les plus actifs se situent pendant la période qui va de mai à décembre. Cette espèce niche occasionnellement en colonies. Le nid est une cavité naturelle d'arbre placée entre 3 et 30 mètres au-dessus du sol dans un grand eucalyptus proche d'un cours d'eau. Il arrive également parfois que les cacatoès à huppe jaune pondent dans des trous de falaises calcaires le long de la rivière Murray. Dans ce cas, les oeufs sont déposés directement sur le sable. En Nouvelle-Zélande, ces oiseaux pondent au milieu de balles de foin dans des granges. Le nid contient habituellement 3 oeufs de couleur blanche. Ces derniers sont déposés sur une couche de débris en décomposition qui garnit le fond de la cavité. Les deux parents couvent à tour de rôle pendant une période d'environ 30 jours. Les poussins ont un duvet jaunâtre et prennent leur envol au bout de 6 à 9 semaines. Ils reviennent assez régulièrement au nid pour se reposer pendant encore environ 2 semaines. Les jeunes restent au sein du groupe familial pendant plusieurs mois. Ils recherchent leur nourriture ensemble à l'intérieur de petits groupes dispersés. Régime : Les cacatoès à huppe jaune sont principalement des végétariens et ils peuvent causer de grands dommages aux cultures. Ils creusent dans les terres qui ont été récemment semées, ingurgitent les épis murissants, occasionnent également des dégâts dans les récoltes qui sont stockées et dans les balles de foin dont ils arrachent le plastique. Ils se nourrissent d'une grande variété de graines, de fruits et de bourgeons qu'ils trouvent à la fois à terre et dans les arbres. Les cacatoès à huppe jaune consomment également des racines, des rhizomes, des noix, des baies y compris celles des aubépines, des fleurs ainsi que des bulbes et des larves d'insectes. Ils tiennent ces aliments avec leur patte et les attaquent avec leur bec puissant. Les oiseaux de la race nominale se restaurent en grosses bandes pouvant compter parfois plusieurs centaines d'individus alors que ceux des autres races dépassent rarement la vingtaine. Protection / Menaces : Le cacatoès à huppe jaune est un oiseau commun. Ses effectifs, estimés à plus de 500 000 individus, sont considérés comme stables ou comme légèrement en progression. Malgré son statut d'oiseau protégé sur la plupart de son aire de distribution, il n'est pas à l'abri de certaines menaces. Dans les régions qui ont une forte activité agricole, comme à Perth ou en Australie Méridionale, cette espèce ne bénéficie pas de protection lorsqu'elle pénètre dans les zones cultivées. Elle est susceptible d'être éliminée si elle cause des dommages aux cultures. En Nouvelle-Guinée, elle est parfois chassée pour ses plumes. Sur l'ensemble du continent australien, c'est un oiseau de compagnie très apprécié. Par chance, il s'avère très difficile à capturer. Sources : ◦Parrots of the World, Joseph M. Forshaw ◦Vol. 4 - Handbook of the Birds of the World, Josep del Hoyo-Andrew Elliott-Jordi Sargatal ◦Avibase, Lepage Denis ◦Wikipédia, Wikipedia, The Free Encyclopedia ◦THE AVIANWEB, Sibylle Faye
  22. ba mince c plus la meme photo ! j'aimé bien la tronche qu'il avait sur l'autre mdr jolie piou
  23. sylvain951

    mon meilleur ami

    superbe, un jolie petit male
  24. avertissement avant d'adopter un perroquet Vous souhaitez faire l'acquisition d'un perroquet, vous avez vue des vidéo ou rencontrer des personnes se promenant avec leur perroquets sur l'épaule, ça vous a donné envie. Nous sommes tous passé par là, mais été vous vraiment bien renseigné sur ces petite bête a plumes? Avez-vous pensez à tous les a côtés, tous les inconvénients ? Voici pour vous un petite liste de tout ce a quoi on doit penser avant de passé à l'acte : - Un perroquet quel que soit la taille crie (fort, très fort) - Il aura besoins d'une cage de bonne qualité (presque le même prix que le perroquet) - Il aura besoins de beaucoup de jouet (vraiment beaucoup) - Un perroquet fait une fiente toutes les 15 minutes (action chez sopalin obligatoire) - Un perroquet seul sa s'ennuie - Ça coute chère en frais vétérinaire - Ca mange (fruits et légumes frais tous les jours + graines) - Ca met des graines partout - Ca perd des plumes à longueur d'année - Ca détruit les meubles - Ca attaque l’IPod - Ca arrache les touches des claviers d'ordinateur - Ca joue avec les boucles d'oreille (même si il y a l'oreille accrocher a cette boucle ) - Ca arrache le papier peint - Ça mord (très fort si ça veut) - Ca a besoins de liberté (beaucoup) - Ca a besoins de présence - Ca parle, ça siffle, ça chante quand il y a le super film a la tv - Ca a besoins d'une cage dans la pièce principale - Ca a besoins d'un air de jeux en dehors de sa cage Ça vous branche toujours? Votre intérieur a près tout a besoins d'un petit rafraichissement style perroquet ? Aller y foncer chez un éleveur de confiance et réaliser votre rêve. Ha j'oublier d'autre petite chose importante : - le weekend end a amoureux à Venise ce n’est pas la peine d'y pense - Ça prend la place d'une personne dans la voiture - Les vacances ..... Faut trouver le camping, la location, l'hôtel qui les acceptes - Il faut une 2eme cage pour les vacances - Un perroquet à une espérance de vie de 80 ans vous avez qu'elle Age? Avez-vous pensé à trouver un parrain ou marraine pour s'occuper de lui une fois que vous serez partie ? - Les enfants sont grand maintenant on va profiter de la vie ! Ba non y'aura coco avec une intelligence d'un enfant de 6 ans. Si si je vous le jure, même bêtise, même besoins de vous. Toujours pas dégoutté? Toujours envie d'avoir votre boulle de plumes ? Alors aller y ! Foncer le chercher chez sont éleveur car malgré tous ses petit inconvenants c'est du pure bonheur, c'est des amours emplumer. Penser à nous le présenter quand vous il sera arrivé chez vous et en cas de coup dure nous sommes là pour vous aider.
  25. sylvain951

    Les aliments toxiques

    oui car vue qu'il peut etre toxique ont le met direct dans les toxiques. mais je tenais a signaler qu'il l'etait que si l'oiseaux va ensuite au soleil. ca evitera que certaine personne sois prix de panique parsque pioupiou a manger du persil. dans ce cas la pas de promenade pendant quelque heure le temps que ce sois ejecter
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