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sylvain951

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  1. Art. 1er. - Pour l'application des articles R. 411-5 et R. 413-8 susvisés du code de l'environnement, sont considérés comme des animaux domestiques les animaux appartenant à des populations animales sélectionnées ou dont les deux parents appartiennent à des populations animales sélectionnées. On appelle population animale sélectionnée une population d'animaux qui se différencie des populations génétiquement les plus proches par un ensemble de caractéristiques identifiables et héréditaires qui sont la conséquence d'une politique de gestion spécifique et raisonnée des accouplements. Une espèce domestique est une espèce dont tous les représentants appartiennent à des populations animales sélectionnées ou sont issus de parents appartenant à des populations animales sélectionnées. Une race domestique est une population animale sélectionnée constituée d'un ensemble d'animaux d'une même espèce présentant entre eux suffisamment de caractères héréditaires communs dont l'énumération et l'indication de leur intensité moyenne d'expression dans l'ensemble considéré définit le modèle. Une variété domestique est une population animale sélectionnée constituée d'une fraction des animaux d'une espèce ou d'une race que des traitements particuliers de sélection ont eu pour effet de distinguer des autres animaux de l'espèce ou de la race par un petit nombre de caractères dont l'énumération définit le modèle. Art. 2. - Les espèces, races et variétés domestiques visées à l'article 1er sont énumérées en annexe au présent arrêté. Art. 3. – Le directeur de la nature et des paysages et le directeur général de l'alimentation sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 11 août 2006. La ministre de l'écologie et du développement durable,Pour la ministre et par délégation : Le directeur de la nature et des paysages, J.-M. Michel Le ministre de l'agriculture et de la pêche, Pour le ministre et par délégation : Le directeur général de l'alimentation, J.-M. Bournigal ANNEXE ESPÈCES, RACES ET VARIÉTÉS D'ANIMAUX DOMESTIQUES AU SENS DES ARTICLES R. 411-5 ET R. 413-8 DU CODE DE L'ENVIRONNEMENT Avertissement Pour la taxonomie, les références bibliographiques sont : · pour les mammifères : Mammal Species of the World de Wilson et Reeder, édition de 1993 ; · pour les oiseaux : The Howard and Moore complete Checklist of the Birds of the World de Howard et Moore, édition de 2003 ; · pour les amphibiens : The completely illustrated Atlas of Reptiles and Amphibians for the Terrarium de Obst, Richter et Jacob, édition de 1988 ; · pour les poissons : Encyclopédie illustrée des poissons de Frank, édition de 1979 ; · pour les insectes : Les Insectes d'Europe de Chinery, édition de 1976. Lorsqu'une espèce, dans sa totalité, est domestique, celle-ci est citée sans préciser le nom de ses diverses races et variétés. Lorsque, au sein d'une espèce dont il existe des représentants non domestiques, les races et variétés domestiques sont nombreuses celles-ci ne sont pas énumérées. Seules sont énumérées, lorsqu'elles sont peu nombreuses, les races et variétés domestiques sélectionnées au sein d'une espèce dont il existe des représentants non domestiques. Mammifères Canidés : · le chien (Canis familiaris). Félidés : · le chat (Felis catus). Mustélidés : · le furet, race domestique du putois (Mustela putorius). Equidés : · le cheval (Equus caballus) ; · les races domestiques de l'âne (Equus asinus). Suidés : · le porc (Sus domesticus). Camélidés : · le dromadaire (Camelus dromedarius) ; · les races domestiques du chameau (Camelus bactrianus) ; · le lama (Lama glama) ; · l'alpaga (Lama pacos). Cervidés : · le renne d'Europe (Rangifer tarandus). Bovidés : · les races domestiques du boeuf (Bos taurus) ; · le yack (Bos grunniens) ; · le zébu (Bos indicus) ; · le buffle (Bubalus bubalis) ; · les races domestiques de la chèvre (Capra hircus) ; · les races domestiques du mouton (Ovis aries). Muridés : · les races domestiques de la souris (Mus musculus) ; · les races domestiques du rat (Rattus norvegicus) ; · les races domestiques du hamster (Mesocricetus auratus) ; · les races domestiques de la gerbille (Meriones unguiculatus). Chinchillidés : · les races domestiques du chinchilla (Chinchilla lanigera x Chinchilla brevicaudata). Caviidés : · le cochon d'Inde (Cavia porcellus). Léporidés : · les races domestiques du lapin (Oryctolagus cuniculus). Oiseaux Galliformes : Phasianidés : · les variétés domestiques de la caille du Japon (Coturnix japonica) ; · les variétés domestiques de la caille peinte de Chine (Coturnix chinensis) ; · les races et variétés domestiques du coq bankiva (Gallus gallus) ; · la variété lavande du coq de Sonnerat (Gallus sonneratii) ; · les variétés domestiques du paon ordinaire ou paon bleu (Pavo cristatus) : · le paon blanc ; · le paon panaché ou pie ; · le paon nigripenne ; · la variété blanche du paon spicifère (Pavo muticus) ; · les variétés domestiques du faisan ordinaire (Phasianus colchicus) notamment : · le faisan blanc ; · le faisan pie ou panaché ; · le faisan de Bohême ; · les variétés gris cendré, fauve, isabelle, diluée ; · les formes géantes ; · les variétés domestiques du faisan doré (Chrysolophus pictus) : · le faisan doré charbonnier (mutation « obscurus ») ; · le faisan doré jaune (mutation « luteus ») ; · le faisan doré saumoné ou isabelle (forme « infuscatus ») ; · le faisan doré cannelle ; · les races et variétés domestiques de la pintade à casque d'Afrique occidentale (Numida meleagris galeatus) ; · les races et variétés domestiques du dindon mexicain (Meleagris gallopavo gallopavo). Ansériformes : Anatidés : · le cygne dit « polonais » (Cygnus « immutabilis »), variété de couleur du cygne tuberculé ou cygne muet (Cygnus olor) ; · la variété argentée du cygne noir (Cygnus atratus) ; · les oies de Chine et de « Guinée », variétés domestiques de l'oie cygnoïde (Anser cygnoides) ; · les races et variétés domestiques de l'oie cendrée (Anser anser) ; · les variétés blanche et blonde de l'oie d'Egypte (Alopochen aegyptiaca) ; · les races et variétés domestiques du canard colvert (Anas platyrhynchos) ; · les variétés bleue et noire du canard ou sarcelle de Laysan (Anas laysanensis) ; · la variété argentée du canard ou pilet des Bahamas (Anas bahamensis) ; · les variétés blonde et blanche du canard carolin (Aix sponsa) ; · la variété blanche du canard mandarin (Aix galericulata) ; · les races et variétés domestiques dites canards de Barbarie, du canard musqué (Cairina moschata). Columbiformes : Columbidés : · les races et variétés domestiques du pigeon biset (Columba livia) ; · les variétés domestiques, constituant la tourterelle domestique ou tourterelle rieuse (Streptopelia « risoria »), de la tourterelle rose et grise (Streptopelia roseogrisea) ; · les variétés domestiques de la colombe diamant (Geopelia cuneata). Psittaciformes : Psittacidés : · les variétés domestiques de la perruche ondulée (Melopsittacus undulatus) ; · les variétés pastel, cinnamon, lutino, opaline de la perruche omnicolore (Platycercus eximius eximius) ; · les variétés bleue, jaune, cinnamon de la perruche de Pennant (Platycercus elegans) ; · la variété cinnamon de la perruche palliceps (Platycercus adscitus) ; · les variétés cinnamon, lutino, vert de mer, opaline de la perruche à croupion rouge (Psephotus haematonotus haematonotus) ; · les variétés cinnamon, panaché, jaune aux yeux noirs, lutino, ailes en dentelles (lacewing) de la perruche à bandeau rouge ou kakariki à front rouge (Cyanoramphus novaezelandiae novaezelandiae) ; · les variétés cinnamon, panaché, lutino, ailes en dentelles (lacewing) de la perruche à tête d'or ou kakariki à front jaune (Cyanoramphus auriceps) ; · les variétés opaline (rose), jaune, fallow, ino, isabelle de la perruche de Bourke (Neopsephotus bourkii) ; · les variétés foncée, lutino, panaché, cinnamon de la perruche élégante (Neophema elegans) ; · les variétés foncée, ventre rouge, poitrine et ventre rouges, jaune, opaline, grise de la perruche d'Edwards ou perruche turquoisine (Neophema pulchella) ; · les variétés bleu de mer, bleue à poitrine blanche, ino, ventre rouge, cinnamon, grise de la perruche splendide (Neophema splendida) ; · les variétés domestiques de l'inséparable à face rose (Agapornis roseicolis) ; · les variétés domestiques de l'inséparable de Fischer (Agapornis fischeri) ; · les variétés domestiques de l'inséparable masqué ou à tête noire (Agapornis personatus) ; · la variété lutino de l'inséparable de Liliane (Agapornis lilianae) ; · les variétés foncée, bleue, violet de l'inséparable nigrigenis (Agapornis nigrigenis) ; · les variétés domestiques de la perruche à collier d'Asie (Psittacula krameri manillensis) ; · les variétés foncée et panachée de la perruche tête de prune (Psittacula cyanocephala) ; · les variétés grise, lutino, albino de la perruche grande alexandre (Psittacula eupatria) ; · les variétés bleue, lutino, albino de la perruche souris (Myiopsitta monachus monachus) ; · les variétés vert foncé, bleue, foncé bleue, lutino, albino de la perruche rayée ou perruche catherine (Bolborhynchus lineola lineola) ; · les variétés bleue, lutino, albino (bleue et lutino) de la perruche à calotte bleue ou perruche princesse de Galles (Polytelis alexandrae) ; · les variétés bleue et ino de la perruche de Barnard (Barnardius zonarius barnardi) ; · la variété bleue de la perruche à collier jaune ou perruche vingt-huit (Barnardius zonarius semitorquatus) ; · les variétés bleue, fallow, lutino, albino, cinnamon de la perruche céleste (Forpus coelestis) ; · les variétés bleue et cinnamon de la conure de molina (Pyrrhura molinae) ; · les variétés domestiques de la perruche calopsitte (Nymphicus hollandicus). Passériformes : Corvidés : · la variété opale du geai des chênes (Garrulus glandarius). Sturnidés : · la variété brune de l'étourneau sansonnet (Sturnus vulgaris). Turdidés : · les variétés albino, blanche du merle noir (Turdus merula) ; · les variétés brune, albino, satinée de la grive musicienne (Turdus philomelos). Passeridés : · les variétés brune, phaeo, agate, opale, blanche, albino, lutino ivoire, satinée, brune pastel du moineau domestique (Passer domesticus) ; · les variétés brune, opale, brune opale du moineau friquet (Passer montanus). Estrildidés : · les variétés domestiques constituant le moineau du Japon (Lonchura « domestica ») du domino (Lonchura striata) ; · les variétés domestiques du diamant mandarin (Taeniopygia guttata castanotis) ; · les variétés domestiques du diamant de Gould (Eryhrura gouldiae) ; · les variétés brune et isabelle du diamant modeste (Neochemia modesta) ; · les variétés brune, à bec jaune, pastel et argenté du diamant à goutelettes (Stagonopleura guttata) ; · les variétés à masque jaune et pastel du diamant à queue rousse (Neochmia ruficauda) ; · les variétés brune, isabelle, crème ino du diamant à longue queue (Poephila acuticauda) ; · la variété crème ino du diamant à bavette (Poephila cincta) ; · la variété lutino du diamant de Kittlitz (Erythrura trichroa) ; · la variété bleue du diamant psittaculaire ou pape de Nouméa (Erythrura psittacea) ; · les variétés brune, opale, et grise du bec de plomb (Lonchura malabarica) ; · les variétés brune, pastel, ventre noir et crème ino du bec d'argent (Lonchura cantans) ; · les variétés blanche, brune, opale et pastel du padda ou calfat (Lonchura oryzivora) ; · les variétés blanche, brune, collier jaune du cou-coupé (Amadina fasciata). Fringillidés : · les races et variétés domestiques, dites « canaris » du serin des Canaries (Serinus canaria) ; · les variétés brune et phéo du roselin du Mexique (Carpodacus mexicanus) ; · les variétés brune, agate et lutino du verdier de Chine (Carduelis sinica) ; · les variétés brune, agate et lutino du verdier de l'Himalaya (Carduelis spinoïdes) ; · les variétés brune et pastel du tarin rouge du Venezuela (Carduelis cucculata) ; · les variétés brune, agate, isabelle, vert dilué, vert double dilué, brune diluée, brune double diluée, agate diluée, agate double diluée, isabelle diluée et isabelle double diluée du tarin des aulnes (Carduelis spinus) ; · les variétés brune, agate, isabelle, pastel, brun pastel du sizerin flammé (Carduelis flammea) ; · les variétés blanche, brune, agate, pastel, isabelle et satiné du chardonneret élégant (Carduelis carduelis) ; · les variétés isabelle, agate, brune, isabelle satiné, lutino du verdier (Carduelis chloris) ; · les variétés pastel, brune, brun pastel du bouvreuil (Pyrrhula pyrrhula) ; · les variétés brune, agate, opale du pinson des arbres (Fringilla coelebs). Amphibiens Anoures : · la race « Rivan 92 » de la grenouille rieuse (Rana ridibunda). Urodèles : · la variété albinos de l'axolotl (Ambystoma mexicanum). Poissons · la carpe Koï (Cyprinus carpio). · les poissons rouges et japonais (Carassins auratus). · les races et variétés domestiques du guppy (Poecilia reticulata). · les races et variétés domestiques du danio (Brachydanio rerio). · les races et variétés domestiques du combattant (Betta splendens). Insectes · le ver à soie (Bombyx mori). · les variétés domestiques de l'abeille (Apis spp.). · les variétés domestiques de la drosophile (Drosophila spp.). ANNEXE 2 Arrêté du 12 décembre 2000 fixant les diplômes et les conditions d'expérience professionnelle requis par l'article R. 213-4 du code rural pour la délivrance du certificat de capacité pour l'entretien d'animaux d'espèces non domestiques (JORF du 11/02/2001) La ministre de l'aménagement du territoire et de l'environnement, Vu le code de l'environnement, et notamment son article L. 413-2 ; Vu le livre II (Protection de la nature) du code rural, et notamment son article R. 213-4 paragraphe II ; Vu la directive 89/48/CEE du Conseil du 21 décembre 1988 relative à un système général de reconnaissance des diplômes d'enseignement supérieur qui sanctionnent des formations professionnelles d'une durée minimale de trois ans ; Vu la directive 92/51/CEE du Conseil du 18 juin 1992 relative à un deuxième système général de reconnaissance des formations professionnelles qui complète la directive 89/48/CEE ; Vu l'avis de la Commission nationale consultative pour la faune sauvage captive, Arrête : Art. 1er. - Sous réserve des dispositions des articles 2, 3 et 4, à l'appui de leur demande de certificat de capacité pour l'entretien d'animaux d'espèces non domestiques au sein des établissements autres que ceux d'élevage, de vente, de location ou de transit des espèces de gibier dont la chasse est autorisée, les requérants doivent justifier d'une durée minimale d'expérience fixée, en fonction des titres ou diplômes dont ils sont titulaires, à l'annexe I du présent arrêté. Cette expérience peut avoir été acquise en une ou plusieurs périodes, au sein d'un ou plusieurs établissements, ayant le même type d'activité (élevage, vente, location, transit, soins aux animaux de la faune sauvage ou présentation au public) que celui faisant l'objet de la demande. Au sein de ces établissements, l'expérience doit avoir été acquise dans l'entretien d'animaux d'espèces ou de groupes d'espèces faisant l'objet de la demande. Art. 2. - En dérogation aux dispositions du premier alinéa de l'article 1er, les titulaires d'un certificat de capacité pour un type d'activité dans l'exercice duquel ils justifient d'une expérience d'au moins deux ans peuvent présenter une demande d'extension de ce certificat, pour le même type d'activité, à l'entretien d'animaux d'autres espèces ou groupes d'espèces s'ils possèdent une expérience d'au moins deux mois acquise dans les conditions prévues aux deuxième et troisième alinéas de l'article 1er. Art. 3. - En dérogation aux dispositions du premier alinéa de l'article 1er, les titulaires d'un certificat de capacité pour un type d'activité dans l'exercice duquel ils justifient d'une expérience d'au moins trois ans peuvent présenter une demande d'extension de ce certificat à un type d'activité différent ainsi, éventuellement, qu'à l'entretien d'animaux d'autres espèces ou groupes d'espèces, s'ils possèdent une expérience acquise dans les conditions prévues aux deuxième et troisième alinéas de l'article 1er, d'une durée : - d'au moins deux mois si la demande porte sur l'élevage, la vente, la location, le transit, le soins aux animaux de la faune sauvage, la présentation au public d'animaux des espèces figurant sur la liste prévue à l'article R. 213-4, paragraphe III, du code rural ; - d'au moins un an si la demande porte sur la présentation au public d'animaux d'autres espèces. Art. 4. - En dérogation aux dispositions du premier alinéa de l'article 1er, les personnes qui justifient d'une expérience d'au moins trois ans en matière d'élevage professionnel d'animaux d'espèces domestiques ou d'élevage d'agrément d'animaux d'espèces ou de groupes d'espèces non domestiques faisant l'objet de la demande peuvent présenter une demande de certificat de capacité pour l'activité d'élevage s'ils possèdent une expérience d'au moins deux mois acquise dans les conditions prévues aux deuxième et troisième alinéas de l'article 1er ou, si la demande est sollicitée pour l'élevage d'agrément uniquement, s'ils ont suivi une formation répondant aux conditions décrites à l'annexe II du présent arrêté. Art. 5. - Pour l'application du présent arrêté, les titres ou diplômes délivrés dans un Etat membre de l'Union européenne ou dans un Etat partie à l'accord sur l'Espace économique européen ouvrent les mêmes droits que ceux attribués aux titres ou diplômes cités en annexe I du présent arrêté dans la mesure où ils sanctionnent un niveau d'étude et un programme d'enseignement équivalents. Pour obtenir le bénéfice de leur titre ou diplôme, les intéressés doivent en justifier et produire une attestation émanant des autorités compétentes de l'Etat dans lequel ces titres ou diplômes ont été obtenus, indiquant le niveau de formation ou le programme d'enseignement. Les documents non établis en français doivent être accompagnés d'une traduction certifiée conforme à l'original par un traducteur assermenté. Art. 6. - Les dispositions du présent arrêté s'appliquent aux demandes de certificat de capacité présentées à compter du 1er octobre 1999. Les dispositions du présent arrêté ne s'appliquent pas aux demandes de certificat de capacité présentées par les titulaires d'un certificat de capacité à durée limitée si elles portent sur des types d'activité et des espèces faisant l'objet du certificat initial. Art. 7. - L'arrêté du 30 juin 1999 fixant les diplômes et les conditions d'expérience professionnelle requis par l'article R. 213-4 du code rural pour la délivrance du certificat de capacité pour l'entretien d'animaux d'espèces non domestiques est abrogé. Art. 8. - La directrice de la nature et des paysages est chargée de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 12 décembre 2000. Pour la ministre et par délégation : La directrice de la nature et des paysages, C. BARET ANNEXE I DUREE MINIMALE D'EXPERIENCE REQUISE DANS LE TYPE D'ACTIVITE ET DANS L'ENTRETIEN D'ANIMAUX D'ESPECES OU DE GROUPES D'ESPECES FAISANT L'OBJET DE LA DEMANDE TITRE OU DIPLOME Type d’activité AUCUN DES TITRES ou diplômes mentionnés aux (1), (2) et (3) TITRE OU DIPLOME de niveau V (1) TITRE OU DIPLOME de niveau IV bac (2) TITRE OU DIPLOME de niveau postsecondaire (3) Elevage ou présentation au public « simple » (4) 3 ans 1 an 6 mois 2 mois Autre présentation au public (5) 5 ans 4 ans 3 ans 18 mois Vente, location, transit 3 ans 1 an (6) 6 mois 2 mois Soins à la faune sauvage 2 ans 2 ans 2 ans 2 ans (7) (1) Diplôme homologué au niveau V sous les codes 112 (chimie-biologie, biochimie), 113 (sciences naturelles, biologie-géologie), 118 (sciences de la vie), 210 (spécialités plurivalentes de l’agronomie et de l’agriculture), 212 (productions animales, élevage spécialisé, soins aux animaux) ou 213 (forêts, espaces naturels, faune sauvage, pêche), de la nomenclature des spécialités de formation approuvée par le décret n° 94-522 du 21 juin 1994 portant approbation de la nomenclature des spécialités de formation. (2) Baccalauréat série scientifique ou baccalauréat professionnel délivré par le ministère de l’agriculture et de la pêche ou autre diplôme homologué au niveau IV sous les codes mentionnés au (1) ci-dessus, de la nomenclature des spécialités de formation approuvée par le décret du 21 juin 1994 susvisé. (3) Titre ou diplôme sanctionnant un cycle d’au moins deux années d’études post-secondaires à caractère biologique, agricole, agronomique ou vétérinaire. (4) Si la présentation au public ne porte que sur des animaux des espèces figurant sur la liste prévue à l’article R. 213-4, paragraphe III, du code rural. (5) Si la présentation au public porte sur des animaux d’autres espèces que celles figurant sur la liste prévue à l’article R. 213-4, paragraphe III, du code rural. (6) Pour les titulaires du brevet d’études professionnelles agricoles, option « Services », spécialité « vente d’animaux de compagnie, de produits et accessoires d’animalerie », la durée minimale d’expérience est de neuf mois. (7) Aucune condition d’expérience n’est exigé pour les titulaires du diplôme de docteur-vétérinaire. ANNEXE II CONDITIONS MINIMALES DE LA FORMATION VISEE A L'ARTICLE 4 1. La formation doit comprendre un enseignement théorique d'au minimum vingt heures sur les sujets suivants, se rapportant aux espèces ou groupes d'espèces faisant l'objet de la demande de certificat de capacité : Anatomie, biologie et comportement ; Contention, manipulation, procédés d'identification et de marquage ; Alimentation, reproduction en captivité ; Milieu de vie en captivité : paramètres conditionnant la qualité du milieu de vie, installations ; Prophylaxie des maladies ; Sécurité des personnes ; Conservation des espèces menacées ; Réglementation. La formation doit être dispensée par une ou plusieurs personnes physiques compétentes dans les sujets abordés ou titulaires d'un certificat de capacité pour l'entretien des espèces ou des groupes d'espèces considérés. 2. La formation théorique doit être complétée par une expérience d'au minimum cinquante heures acquise, en une ou plusieurs périodes, dans un ou plusieurs établissements d'élevage ou de présentation au public d'animaux d'espèces ou de groupes d'espèces non domestiques faisant l'objet de la demande. 3. Les formations théoriques et pratiques doivent faire l'objet d'attestations mentionnant leur contenu et établies par leurs responsables. Liste établie au 1er septembre 1999 des titres et diplômes de niveau IV ou V, homologués sous les codes précisés en annexe de l’arrêté du 30 juin 1999 susvisé, de la Nomenclature des spécialités de formation prévue par le décret n° 94-522 du 21 juin 1994 portant approbation de la Nomenclature des spécialités de formation 112, 113, 118 Aucun titre ou diplôme homologué Niveau IV - Brevet de Technicien Agricole (Ministère de l’Agriculture et de la pêche) - Vendeur spécialisé en végétaux et produits de jardin (Groupe Piverdière) - Certificat de Capacité Technique Agricole et Rurale : option Productions et services associés (Union Nationale des maisons familiales et rurales d’éducation et d’orientation) - CFP Technicienne Rurale (Ministère de l’Emploie et de la Solidarité). Fin d’homologation : 21/08/80 - Certificat de Capacité Technique Agricole et Rurale associés (Union Nationale des maisons familiales et rurales d’éducation et d’orientation) . Fin d’homologation : 31/10/98 - Diplôme d’études agricoles du second degré (Ministère de l’Agriculture et de la Pêche). Fin d’homologation : 31/01/97 - Diplôme des écoles régionales d’agriculture (Ministère de l’Agriculture et de la Pêche). Fin d’homologation : 31/01/97 - Brevet d’Agent Technique Agricole (Ministère de l’Agriculture et de la Pêche). Fin d’homologation : 31/01/97 - Technicien de vente Jardinerie et distribution moderne (Groupe Piverdière). Fin d’homologation :25/10/97 Niveau V - Brevet d’Etudes Professionnelles Agricoles (Ministère de l’Agriculture et de la Pêche). - Brevet Professionnel Agricole (Ministère de l’Agriculture et de la Pêche). - Brevet d’Enseignement Agricole (Ministère de l’Agriculture et de la Pêche). Fin d’homologation : 31/01/97 - Brevet d’Apprentissage Agricole (Ministère de l’Agriculture et de la Pêche). Fin d’homologation : 31/01/97 - Brevet d’Apprentissage et d’Aptitude Professionnelle (Ministère de l’Agriculture et de la Pêche). Fin d’homologation : 31/01/97 Niveau IV - Maîtrise en élevage (Union Nationale Rurale d’éducation et de promotion). - Brevet Technique des métiers maréchal ferrant (Assemblée Permanente des Chambres de Métiers). Niveau V - BSAT Maréchalerie (Ministère de la Défense). - Auxiliaire spécialisé vétérinaire (Centre National de Formation en Alternance). - Certificat d’Aptitude Professionnelle option Maréchalerie (Ministère de l’Agriculture et de la Pêche). - Certificat d’Aptitude Professionnelle option Employé d’élevage (Ministère de l’Agriculture et de la Pêche). - Certificat d’Aptitudes Professionnelle : option employé d’élevage de petits animaux (Ministère de l’Agriculture et de la Pêche). - Certificat d’Aptitude Professionnelle : option palefrenier soigneur (Ministère de l’Agriculture et de la Pêche). - Certificat d’Aptitude Professionnelle : option cavalier, soigneur, lad jockey, lad driver d’entraînement (Ministère de l’Agriculture et de la Pêche). - Toiletteur Canin (Chambre des Métiers d’Alsace CFA de Mulhouse) - Toiletteur Canin (Citée de la formation professionnelle Centre de Formation d’Apprentis Marmande) - Certificat d’Aptitude Professionnelle : option animalier de laboratoire (Ministère de l’Agriculture et de la Pêche). Fin d’homologation : 06/08/99 - CFP Vacher Porcher (Ministère de l’Emploi et de la Solidarité). Fin d’homologation : 21/08/80 - BMP1 Maréchalerie (Ministère de la Défense). Fin d’homologation : 31/12/94 - BMP2 Maréchalerie (Ministère de la Défense). Fin d’homologation : 30/06/97 - Brevet de Compagnon : maréchal-ferrant (Chambre des Métiers d’Alsace). Fin d’homologation : 21/01/99 - Brevet de Compagnon : maréchal-ferrant (Chambre des Métiers de la Moselle). Fin d’homologation : 21/01/99 - EFAA Poissonnier (Assemblée permanente des chambres de métiers). Fin d’homologation : 14/01/97 - Brevet de Compagnon : toiletteur pour animaux (Chambre des métiers d’Alsace CFA de Mulhouse). Fin d’homologation : 24/02/95 - Toiletteur pour animaux (Centre de Formation d’Apprentis Marmande). Fin d’homologation : 24/02/95 - Auxiliaire spécialisé vétérinaire (CFPA de jeunes d’Aix en Provence). Fin d’homologation : 24/07/95 Niveau IV - Chef de chantier et d’aménagement de la nature (Institut de gestion de l’espace, du paysage, de l’eau et de l’environnement). - Technicien en entretien de cours d’eau (CCI de Valence et de la Drôme). - Agent technique des milieux aquatiques, spécialités garde-pêche (Conseil Supérieur de la Pêche). - Certificat de Capacité Technique Agricole et Rurale option Forêt (Union nationale des maisons familiales rurales d’éducation et d’orientation. - Chef de chantier et d’aménagement de la nature (rivières et bocages de Basse-Normandie). - Technicien de l’arbre urbain (Centre de formation professionnelle forestière). Fin d’homologation : 09/09/98 Niveau V - Certificat d’Aptitude Professionnelle option conducteur des machines de l’exploitation forestière (Ministère de l’Agriculture et de la Pêche). - Certificat d’Aptitude Professionnelle option employé d’exploitation forestière, abattage, façonnage (Ministère de l’Agriculture et de la Pêche). - Certificat d’Aptitude Professionnelle option ouvrier sylviculteur (Ministère de l’Agriculture et de la Pêche). - Chef d’équipe, d’entretien et d’aménagement de la nature (Institut de gestion de l’espace, du paysage, de l’eau et de l’environnement). - EFAA taxidermiste (Assemblée permanente des chambres de métiers). Fin d’homologation : 14/01/97 - Chef d’équipe, d’entretien et d’aménagement de la nature (Rivière et bocages de Basse-Normandie). Fin d’homologation : 01/03/96 - Certificat Technique Professionnel, spécialité garde-pêche (Conseil Supérieur de la Pêche). Fin d’homologation : 17/04/98 - CFP marin-pêcheur (Association nationale pour la formation professionnelle des adultes). Fin d’homologation : 31/12/98 ANNEXE 3 Arrêté du 17 janvier 2000 fixant les conditions dans lesquelles le certificat de capacité pour l'entretien des animaux d'espèces non domestiques peut être délivré sans consultation de la commission départementale des sites, perspectives et paysages (JORF du 05/02/2000) La ministre de l'aménagement du territoire et de l'environnement, Vu le livre II (Protection de la nature) du code rural, et notamment ses articles L. 213-2 et R. 213-4, paragraphe IV ; Vu l'arrêté du 30 juin 1999 fixant les diplômes et les conditions d'expérience professionnelle requis par l'article R. 213-4 du code rural pour la délivrance du certificat de capacité pour l'entretien d'animaux d'espèces non domestiques ; Vu l'avis de la Commission nationale consultative pour la faune sauvage captive, Arrête : Art. 1er. - Le certificat de capacité pour l'entretien des animaux d'espèces non domestiques peut être délivré sans consultation de la commission départementale des sites, perspectives et paysages pour les types d'activité, les espèces ou groupes d'espèces et dans les conditions de diplômes ou d'expérience professionnelle figurant dans le tableau en annexe au présent arrêté. Art. 2. - La directrice de la nature et des paysages est chargée de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 17 janvier 2000. Pour la ministre et par délégation : La directrice de la nature et des paysages, M.-O. GUTH ANNEXE Types d'activité et espèces ou groupes d'espèces pour lesquels le certificat de capacité est accordé et diplômes ou conditions d'expérience requis TYPE D’ACTIVITE ET ESPECES OU GROUPES D’ESPECES pour lesquels le certificat de capacité est accordé DIPLOMES OU CONDITIONS D’EXPERIENCE 1. Vente d’animaux appartenant aux groupes zoologiques suivants Invertébrés, poissons amphibiens, reptiles, oiseaux, mammifères, à l’exception des espèces : - considérées comme dangereuses (1) ; - figurant en annexe A du règlement européen d’application de la convention de Washington (2). Le requérant a satisfait aux épreuves E 5 Sciences appliquées et technologie et E 7 Pratiques professionnelles du baccalauréat professionnel, option Technicien-conseil vente en animalerie. (1) Dont la liste est établie par l’arrêté du 21 novembre 1997 définissant deux catégories d’établissements autres que les établissements d’élevage, de vente et de transit des espèces de gibier dont la chasse est autorisée, détenant des animaux d’espèces non domestiques. (2) Règlement (CE) n° 338/97 du Conseil du 9 d écembre 1996 modifié relatif à la protection des espèces de faune et de flore sauvages par le contrôle de leur commerce. ANNEXE 4 LISTE DES ESPECES CONSIDEREES COMME DANGEREUSES Mammifères Ordre des Carnivores : espèces dont le poids adulte est supérieur ou égal à 6 kgs Ordre des Primates Ordre des Proboscidiens Ordre des Périssodactyles Famille des Rhinocérotidés Famille des Tapiridés Famille des Equidés Ordre des Artiodactyles Famille des Camélidés Camelus bactrianus Famille des Suidés Famille des Tayassuidés Famille des Hippopotamidés Famille des Cervidés à l’exception des genres Hydropotes, Mazama et Pudu Famille des Giraffidés Famille des Bovidés Sous famille des Bovinés à l’exception du genre tetracerus Sous famille des Bosélaphinés Sous famille des Tragélaphinés Sous famille des Réduncinés Sous famille des Alcélaphinés Sous famille des Aépycérotinés Sous famille des Hippotraginés Sous famille des Caprinés : Espèces dont le poids adulte est supérieur ou égal à 50 kgs Marsupiaux : espèces dont le poids adulte est supérieur ou égal à 25 kgs Oiseaux Ordre des Struthioniformes Famille des Struthionidés Famille des Rhéidés Famille des Dromaiidés Famille des Casuaridés Reptiles Ordre des Squamates Sous ordre des Ophidiens Famille des Atractaspididés Atractaspis spp Famille des Boïdés : espèces dont la taille adulte est supérieure ou égale à 3 m Famille des Colubridés Boiga spp Dispholidus typus Natrix tigrina Rhabdophis tigrinus Thelotornis capensis Thelotornis kirtlandii Famille des Elapidés Famille des Vipéridés Sous ordre des Sauriens Famille des Hélodermatidés Heloderma spp Famille des Varanidés Varanus spp : espèces dont la taille adulte est supérieure ou égale à 3 m Ordre des Crocodiliens Ordre des Chéloniens : espèces dont la largeur de la bouche à l’âge adulte est supérieure ou égale à 4 cm, appartenant aux familles suivantes. Famille des Chélydridés Chelydra spp Macrochelys spp Macroclemys spp Famille des Kinosternidés Staurotypus spp Famille des Pélomédusidés Pélusios niger Famille des Trionychidés Amyda spp Apalone spp Aspideretes spp Chitra spp Pelochelys spp Rafetus spp Trionyx spp Famille des Chéloniidés Eretmochelys spp Caretta spp Lepidochelys spp Famille des Dermochélyidés Dermochelys coriacea Amphibiens Phyllobates spp Poissons Chondrichtyens Ostéichtyens Classe des Actinoptérygiens Sous famille des Scorpaénidés Sous famille des Synancéidés Sous famille des Trachinidés Scorpions Arachnides Ordre des Aranéidés Sous ordre des Mygalomorphes Sous ordre des Aranéomorphes ou Labidognathes Latrodectus spp Loxosceles spp Phoneutria spp Mollusques Gastéropodes Famille des Conidés Céphalopodes Ordre des Octopodes Hapalochlaena maculosa Hapalochlaena lunulata Myriapodes Scolopendromorphes Source : http://www.indre.pref.gouv.fr/prefecture/environnement/Protection/nature/Protection/guide_certificat_capacite.pdf
  2. Le certificat de capacité ETABLISSEMENTS DETENANT DES ANIMAUX D’ESPECES NON DOMESTIQUES (AUTRES QUE GIBIERS) - 1ere étape L’entretien régulier des animaux d’espèces non domestiques* est assuré par une où plusieurs personnes titulaire d’un Certificat de Capacité. - 2eme étape Les établissements détenant des animaux d’espèces non domestiques sont soumis à Autorisation d’Ouverture au titre : - de la Protection de la Nature et des Installations Classées pour les établissement de présentation au public ; - de la Protection de la Nature pour les établissements non ouverts au public et les établissements de vente. * La liste des espèces animales domestiques est présentée en annexe 1 (page 15) Le Certificat de Capacité Le Certificat de Capacité est un acte individuel de l’administration, il est personnel et incessible. Ce n’est pas un diplôme mais une autorisation administrative d’exercer une responsabilité au sein d’un établissement. Le Certificat de Capacité est délivré pour : - un type d’activité (présentation au public, élevage, vente) ; - certaines espèces ou groupes d’espèces animales non domestiques. Le titulaire doit en demander l’extension à d’autres espèces que celles mentionnées par la décision, ou le transfert à d’autres types d’établissements, dès lors qu’il envisage une modification des conditions d’exercice de ses fonctions. Le Certificat de Capacité peut être accordé sans limitation de durée ou pour une période probatoire dans la mesure où le candidat a besoin de parfaire ses connaissances. S’il s’avère que le titulaire du Certificat de Capacité se montre incompétent à entretenir des animaux pour lesquels il est certifié et notamment en cas de fautes graves et/ou répétées, ou si le titulaire à fait l’objet d’une condamnation pour infraction à la loi relative à la protection de la nature ou à la protection animale, il pourra être procédé à l’abrogation partielle ou totale du Certificat de Capacité. L’intéressé doit, par ailleurs, respecter l’ensemble des obligations légales, réglementaires et administratives tant nationales qu’internationales applicables à la faune sauvage (ex : la réglementation relative aux espèces autochtones protégées, la convention de Washington…). Demande de Certificat de Capacité Les demandeurs doivent justifier d’une durée minimale d’expérience professionnelle fixée, en fonction des diplômes dont ils sont titulaires, par l’Arrêté Ministériel du 12 décembre 2000 figurant en annexe 2. Le dossier de demande est composé d’une série de pièces et de documents. Il comprend 2 parties introduites par une lettre de demande : - Informations concernant la personne du demandeur ; - Informations concernant le projet ou l’établissement impliqué. Trois exemplaires du dossier, reliés, doivent être déposés par le demandeur ou adressés en envoi recommandé au Préfet du département dans lequel l’établissement est ou sera situé. Dans le cas d’un établissement itinérant, il s’agit du département dans lequel se trouve le siège social. Pour le département de l’Indre., les dossiers sont directement déposés ou adressés en envoi recommandé à : Préfecture de l’Indre – Secrétariat général – Mission développement durable Place de la Victoire et des alliés B.P. 583 36019 CHATEAUROUX CEDEX Pour les dossiers relatifs à l’activité d’élevage ou de vente, le Préfet décide de l’attribution ou du refus du Certificat de Capacité après l’avis de la Commission Départementale des Sites, réunie en Préfecture. Il en est de même pour l’activité de présentation au public d’animaux appartenant aux espèces suivantes : Mammifères - Bovidés : Bison d’Amérique (Bison bison) Bison d’Europe (Bison bonasus) Toutes les espèces de gibier dont la chasse est autorisée. Oiseaux - Struthionidés : Autruche (Struthio camelus) - Rhéidés : Nandou (Rhea americana) - Casuaridés : Emeu (Dromaius novahollandiae) - Phasianidés : toutes les espèces. - Dendrocygnidés : toutes les espèces. - Anatidés : toutes les espèces. - Psittacidés : les espèces qui ne figure pas à l’annexe A du Règlement du 9 décembre 1996 relatif à la protection des espèces de faune et de flore sauvage par le contrôle de leur commerce. - Columbidés : toutes les espèces. - Gruidés : toutes les espèces. - Phoenicoptéridés : Flamant rose (Phoenicopterus ruber) Flamant du Chili (Phoenicopterus chiliensis) Toutes les espèces de gibier dont la chasse est autorisée n’appartenant pas aux groupes d’espèces précitées. Pour les dossiers relatifs à l’activité de présentation au public d’animaux n’appartenant pas aux espèces précédentes, le Préfet décide de l’attribution ou du refus du Certificat de Capacité après l’avis de la Commission Nationale Consultative pour la Faune Sauvage Captive réunie au Ministère de l’Environnement à Paris. L’Arrêté du 17 janvier 2000 fixe les conditions dans lesquelles le Certificat de Capacité peut être délivré sans consultation de la Commission Départementale des Sites. Cet Arrêté est présenté en annexe 3. Constitution du dossier Chaque pièce doit apparaître sur une ou plusieurs feuilles séparées avec mention en haut du numéro et du titre de la rubrique correspondante indiquée ci-après et être classée dans l’ordre. Liste des pièces constitutives Pièce n°1 : Lettre de demande (qui peut être précédée d’un sommaire), rédigée (sur une feuille séparée) selon le modèle proposé ci-dessous : Je soussigné(e) (nom et prénom) présente une demande de Certificat de Capacité pour (l’élevage, la présentation au public, la vente) d’animaux vivants d'espèces non domestiques. Je certifie sur l'honneur l'exactitude des informations que j'apporte dans ce dossier. Fait à , Le (Date) Signature I INFORMATIONS CONCERNANT LA PERSONNE DU DEMANDEUR Pièce n°2 : Fiche d'information (rédigée sur une feuille séparée) contenant dans l'ordre : Nom : Prénoms : Date de naissance et Age : Profession actuelle : Adresse du domicile : Numéro de téléphone du domicile : Pièce n°3 : Bulletin Numéro 3 du casier judiciaire (demande effectuée à l'adresse suivante : Casier Judiciaire National ; 44079 NANTES Cedex 01). Pièce n°4 : Curriculum vitae sur feuille(s) séparée(s) incluant les informations suivantes : Date Etat civil et adresse : Nom : Prénom : Date de naissance : Lieu de naissance : Adresse du domicile : Numéro de téléphone : Etudes (dans l'ordre chronologique depuis le début) : Période (mois et année) ; pour chaque période : niveau ; établissement (nom et adresse) ; diplôme ou certificat éventuellement obtenu. Veiller à donner l'intitulé exact de ce diplôme ou de ce certificat, tel qu'il apparaît sur le document. La copie de ce diplôme ou certificat sera jointe au dossier pour en constituer la 5ème pièce. Inscrire la mention "P.J. n° X" après la désignation de chaque diplôme ou certificat lorsque sa copie est effectivement jointe au dossier. Emplois - carrière - expérience professionnelle (dans l'ordre chronologique depuis le début jusqu'au jour de la rédaction de ce curriculum) : Période (jour, mois et année), pour chaque période : responsabilité ou fonction ; organisme employeur (nom et adresse suffisamment précise pour permettre éventuellement de contacter ces employeurs). Veiller à donner les intitulés exacts de ces activités et employeurs tels que mentionnés sur les copies des documents qui seront jointes pour constituer la 6ème pièce de ce dossier (P.J.). Stages et formation complémentaires en développant ceux qui concernent les animaux. Pour chaque élément : Période (jour, mois et année) durée ; Nature ou objectif ; Etablissement (nom et adresse) ; Domaine ou Service impliqué ou fréquenté. Veiller à donner les intitulés exacts de ces activités tels que mentionnés sur les copies des documents qui seront jointes pour constituer la 6ème pièce de ce dossier (P.J.). Publications, brevets, réalisations diverses (effectués par vous même : seul, ou en collaboration), Ecrites (ouvrage, article dans une revue, document polycopié, etc.) ; Orales (conférence, exposé, cours,) ; Médiatisée (interviews, participation à des émissions radiophoniques, télévisées etc.). Veiller à donner l'intitulé exact de ces publications tel que mentionné sur la copie du document qui sera jointe, en pièce justificative, pour constituer la 6ème pièce de ce dossier (P.J.). Participations à des activités, des associations ou des organismes ayant pour objet la protection ou la connaissance des animaux ; part prise dans ces activités. Veiller à donner l'intitulé exact de ces activités tel que mentionné sur la copie du document qui sera jointe, en pièce justificative, pour constituer la 6ème pièce de ce dossier (P.J.). Autres Informations (connaissance des langues, permis de conduire, voyages etc.). Pièce n°5 : Pièces justificatives des informations du curriculum vitae: Copies des diplômes, des certificats, des attestations, des publications etc. mentionnés dans le curriculum et portant le numéro correspondant. Pièce n°6 : Note présentant les modalités d'acquisition des compétences en matière d'animaux et de leur enrichissement : - Etudes, stages. Pour chaque élément, préciser : la date, la durée, le thème, le nom et l'adresse de l'établissement, le nom du ou des maîtres de stage, l'expérience acquise. - Visites et contacts (parc animalier, centre d'élevage, personnalité pédagogique, scientifique, médiatique, etc.). Pour chaque élément, préciser : la date, le nom et l'adresse de l'établissement ou de l'interlocuteur, l'expérience acquise. - bibliographies, lectures d'ouvrages : citer les ouvrages et revues pertinents que vous possédez, consultez ou avez consultés. - etc. Pièce n°7 : Note précisant votre fonction dans l'établissement : Cas de salariés ou stagiaires d’un établissement existant : le contrat de l’employeur précisant le temps de présence et les responsabilités confiées au demandeur. Cas d’un projet pour lequel vous serez le seul responsable prévu de l’entretien des animaux : un engagement précisant cette activité (voir exemples ci-dessous). Cas d’un projet pour lequel vous ne serez pas le seul responsable des animaux (prévu) : un engagement précisant votre fonction et le volume horaire que vous consacrerez effectivement à l'élevage et à l'entretien des animaux dans l'établissement (voir exemples ci-dessous). Exemples : a) Pour un établissement de présentation au public : "Je serai (suis) le seul responsable de l'entretien des animaux de mon projet (établissement). Je serai (suis) aidé par un employé, de mon épouse. Je me chargerai (charge) de leur présentation au public, seul, avec l'aide d'un employé, de mon fils. "Je serai (suis) avec M. X directeur, avec mon frère, déjà titulaire du Certificat de Capacité, coresponsable de l'entretien des animaux de l'établissement. b) Pour un établissement d'élevage, de vente ou transit à caractère "commercial" ou "professionnel" ou de soins à des animaux de la faune locale : "Je souhaite être employé, de préférence à temps-plein, dans un élevage, dans un commerce d'animaux de compagnie et à plus long terme, éventuellement, me mettre à mon compte. "Je travaillerai à mi-temps dans l'établissement pendant la première année, puis à temps complet si le besoin s'en faisait sentir. Je serai chargé surtout de l'entretien de l’élevage et de la vente des reptiles. "Je serai (suis) employé à temps plein, avec un collègue, comme responsable des animaux de l'établissement". "Je serai (suis) gérant de mon établissement et serai (suis) aidé par un employé, de mon épouse pour l’élevage, l'entretien et la vente des animaux. "Je serai (suis) le seul responsable de l'élevage, de l'entretien, de la vente, des soins donnés aux animaux de mon projet (établissement). "Je serai (suis) responsable, avec mon épouse, de l'élevage, de l'entretien, de la vente des animaux de mon projet (établissement). II INFORMATIONS CONCERNANT LE PROJET (OU L'ETABLISSEMENT) DU DEMANDEUR INSTRUCTIONS GENERALES : Les informations seront plus détaillées dans le cas d'un établissement de : - présentation au public ; - vente ; - soins pour animaux de la faune sauvage ; - détention d'un nombre important d'espèces ; - détention d'espèces plus "sensibles", car protégées, rares ou dangereuses, que dans le cas d'un élevage "d'amateur" ou d'agrément d'espèces relativement communes. Si votre demande intéresse plusieurs projets, établissements ou types d’activités (exemple: commerce traditionnel de détail et grossiste, présentation fixe et activité ambulante), chacun des projets ou type d’activité sera l'objet de la constitution d'une partie II particulière. Pièce n°8 : Informations relatives au projet ou à l'établissement : - Forme juridique : (exemples : Nom Propre, S.N.C., S.A., S.A.R.L., E.U.R.L., S.C.E.A., E.A.R.L., Association loi 1901, élevage amateur, etc.) ; - Dénomination ou raison sociale ou activité : (exemple : commerce d'animaux d'agrément) ; - Enseigne ; - Activité : (exemples : établissement fixe ou mobile de présentation au public, élevage, centre de soins, vente, transit d’animaux d’espèces non domestiques) ; - Adresse (même s'il ne s'agit que d'un projet sans engagement de votre part) ; - Numéro de téléphone ; - N° d'inscription éventuel au registre du commerce (commerçants) ; - N° d'inscription éventuel à la M.S.A. (éleveurs agriculteurs) ; - Date d'ouverture souhaitée ou effective (à indiquer même si l'établissement n'a pas encore fait l'objet d'une autorisation préfectorale d'ouverture) ; - Le cas échéant, copie de l'arrêté Préfectoral d'autorisation d'ouverture ; - Nom et adresse du Directeur ou du représentant de l'établissement ; - Date, effective ou prévue, de la prise de fonction dans l'établissement ; par exemple : "dès l'obtention du Certificat de Capacité". Les informations suivantes doivent permettre d'apprécier d'emblée l'importance de l'établissement ou du projet : - Superficie du projet ou de l'établissement : (dans le cas de locaux situés dans une maison d'habitation, préciser par exemple : "la salle de séjour ... de X m² de mon domicile personnel") ; 6 - Etablissements itinérants associés ; - Liens éventuels avec d'autres établissements ; - Nombre total d'espèces prévues dans le projet ou que l'établissement détient effectivement (faire séparément état des espèces domestiques éventuelles) : Dans le cas d'un établissement exerçant une activité itinérante, même si elle est restreinte, établir deux fiches séparées : une pour les installations fixes, permanentes, et une pour les installations mobiles. Pièce n°9 : Note relative aux spécimens qui sont hébergés ou que vous souhaiteriez héberger dans l'établissement indiquant : A) classé, sous forme de tableau : Le nom vernaculaire de chaque espèce ; Le nom scientifique de chaque espèce (genre et espèce) ; La famille ; Le nombre d'individus mâles ; Le nombre d'individus femelles ; Le nombre d'individus dont le sexe n'est pas déterminé ; Le nombre total d'individus ; Le statut de protection (espèce du patrimoine français, espèce de la faune guyanaise, espèce inscrite aux annexes de la Convention de Washington ou du Règlement Communautaire Européen). (Note : dans le cas des établissements existants, pour les espèces françaises ou guyanaises protégées et pour les espèces inscrites aux annexes I, II et III de la Convention de Washington, prière de fournir les pièces justificatives de l'origine des spécimens). NOTE : Les animaux de races ou d'espèces domestiques (voir annexe 1) ainsi que les espèces de gibier dont la chasse est autorisée ne sont pas concernés par la réglementation relative à ce Certificat de Capacité. Cependant, il est souhaitable de faire figurer le nom des espèces domestiques détenues ou souhaitées après le tableau qui suit. Le tableau comprendra éventuellement deux parties : - une éventuelle mentionnant les espèces que vous détenez actuellement - une mentionnant les espèces que vous souhaitez détenir D’une manière générale, les espèces seront présentées regroupées dans l'ordre taxinomique exemple : nom vernaculaire nom scientifique famille nbre mâle nbre feml nbre indé nbre total Observations, Statuts ESPECES DETENUES ACTUELLEMENT Mammifères Loup commun Canis lupus lupus Canidés 2 2 Ann II de la Conv de Washington Oiseaux Ara macao Ara macao Psittacidés 1 1 2 Ann I de la Conv de Washington + Guyane Reptiles Boa constricteur Boa constrictor Boïdés 1 1 Ann II de la Conv de Washington Poissons Scalaire Pterophyllum scalare Cichlidés 10 10 Non protégé ESPECES SOUHAITEES Oiseaux Autruches Struthio camelus Struthionidés 6 18 24 Non protégé Amphibiens Crapaud vert du Sonora Bufo retiformis Bufonidés 1 1 Ann II de la Conv de Washington Insectes Machaon de Luzon Papilio chikae Papilionidés 5 Ann I de la Conv de Washington Espèces domestiques (voir annexe 1) détenues ou souhaitées : B) les informations sur la biologie des espèces :  Origine géographique ;  Biotope ;  Danger éventuel pour l’Homme, ;  Danger éventuel pour la Faune locale ;  Cohabitation des différentes espèces ;  Age de maturité sexuelle ;  Saison de reproduction ;  Taille des portées ou des nichées ;  Durée de la gestation, de l’incubation, de la vie larvaire ;  Poids des jeunes à la naissance ;  Nombre de jeunes escomptés par femelle et par an. Pièce n°10 : Plans des installations existantes (et/ou) prévues (présentés de préférence en format A4) Note : pour un établissement exerçant une activité itinérante, même si elle est restreinte, l'intégralité de ces informations sera donnée pour la ou les parties "sédentaire" de l'établissement. Pour sa ou ses parties mobiles, produire les plans détaillés des installations en situation de déplacement et en situation d'exposition. - Plan de situation de l'établissement (échelle 1/20.000e à 1/100.000e), permettant de localiser l'établissement ou le projet par rapport au réseau routier et à une grande ville ; - Plan cadastral (1/2.500e) ou portion de plan de la ville précisant la localisation de l'établissement, l'élevage, l'animalerie ou le centre commercial, et ses abords ; - Plan parcellaire ou plan de masse à l'échelle du cadastre (1/500e par exemple) ; - Plan détaillé de l'installation de présentation au public, d'élevage ou de vente (au 1/100e ou 1/200e) portant précisément les renseignements ci-après, munis d'un numéro ou d'un repère d'identification : l'emplacement : - des cages ; - des terrariums, aquaterrariums, aquariums, en indiquant leur volume ; - des espèces susmentionnées ; - des parcours pour le public. les locaux ou les emplacements : - d'accueil des visiteurs ; - de secours d'urgence au public ; - destinés à la reproduction ; - destinés au stockage des oeufs, à l'incubation, à l’éclosion ; - destinés à l’élevage des jeunes pendant leurs premiers jours ; - de soins vétérinaires ; - de mise en quarantaine ; - de préparation et de stockage des aliments ; - de culture de plantes pouvant servir de nourriture à vos animaux ou aux décors des installations ; - d'élevage d'animaux pouvant servir de nourriture à vos pensionnaires ; - d'entreposage de l'outillage et des accessoires ; - d'entreposage des engins de transport ; - destinés au matériel technique (de chauffage, de filtration, de ventilation, etc.) ; - destinés aux installations et matériel itinérant ; - destinés à l'administration (bureaux) ; - etc. Pièce n°11 : Description détaillée des installations, accessoires et matériel Notes : - Pour les établissements de présentation au public, ces installations doivent être conformes aux prescriptions de l'Arrêté Interministériel du 21 août 1978 modifié. - Pour les établissements itinérants, décrire à la fois les installations "sédentaires" et les installations mobiles. - Le nom de chaque installation ou équipement sera précédé du numéro ou du repère correspondant porté sur le plan. - Clôtures extérieures et intérieures : nature, maille du grillage, écartement des barreaux, écartement et nature des poteaux de soutien, hauteur au- dessus du sol, profondeur d’enfoncement ou fixation dans le sol. - Enclos en indiquant leur nature, leur résistance prévue et leurs dimensions. - Logements, abris pour les animaux, arbres, rochers, abreuvoirs, etc. de plein air. - Cages en mentionnant leur nature et leurs dimensions. - Terrariums en mentionnant leur nature et leurs dimensions. - Aquaterrariums en mentionnant leur nature et leurs dimensions. - Aquariums en mentionnant leur nature et leurs dimensions. - Arbres, rochers, abreuvoirs, abris, mis à la disposition des animaux dans les cages, aquariums, terrariums etc. - Accessoires. - Oxygénateurs, pompes, compresseurs, filtres (pour l’eau, l’air), brumisateurs, humidificateurs, sondes thermiques, etc. ; préciser leurs caractéristiques et performances. - Systèmes de ventilation et de chauffage, etc. ; préciser leurs caractéristiques et performances, - Equipements des locaux techniques (incubateurs, couveuses, etc.) - Locaux, Serres, Cages, terrariums, aquariums, etc. pour les plantes ou les animaux destinés à servir de nourriture aux pensionnaires, - Locaux ou Emplacements destinés à la rééducation ou à la préparation à la réinsertion dans la nature, - Locaux ou Emplacements destinés à la quarantaine et aux soins vétérinaires (préciser la nature des matériaux des parois, du plafond, et des produits disponibles, - Locaux ou Emplacements destinés à la réception des déchets et des cadavres (préciser la nature des matériaux des parois, du plafond, et des produits disponibles, - Locaux ou Emplacements installés en poste de secours aux visiteurs (obligatoire pour les établissement de présentation au public). Pièce n°12 : Photographies, schémas, notices d'utilisation et plans complémentaires sur les équipements, sur l'agencement général des installations (Numéroter et inscrire votre nom au dos des clichés s'ils ne sont pas reliés ou attachés avec les autres pièces du dossier). Particulièrement pour les établissements présentant des animaux au public : * circuit de visite, * fiches d’information, * panneaux pédagogiques, Pièce n°13 : (Vente et Elevage surtout) Dossier décrivant le flux d'animaux qui transitent dans l'établissement : - Volume ou nombre d'individus, groupe par groupe ou espèce par espèce ou variété par variété entrant et sortant de l’établissement, - Répartition saisonnière des flux, - Origine et source des animaux : + type d’approvisionnement : * achat (éventuellement nom et adresse de fournisseurs prévus), * élevage (éventuellement nom et adresse de fournisseurs prévus), * capture (exemple : dans leur milieu naturel, mon jardin, la baie de Somme) + critères de choix de ces origines et de ces sources, + contrôle effectué sur ces éléments, + modalités de transport des animaux reçus, - Modalités de réception et d’acclimatation + contrôles effectués à la réception des animaux, + organisation du stockage des animaux reçus, + modalités précises sur l'acclimatation des animaux reçus, - Modalités d’élevage Mammifères * Reproducteurs * Mise bas * Allaitement * Elevage des jeunes * Animaux prêts à la commercialisation ou à l’abattage * Renouvellement des reproducteurs Oiseaux * Reproducteurs * OEufs collecte des oeufs, stockage des oeufs, Incubation (naturelle, artificielle), paramètres ; * Elevage des jeunes * Animaux prêts à la commercialisation ou à l’abattage * Renouvellement des reproducteurs Reptiles Poissons Invertébrés - Destination des animaux, + précautions prises sur le choix des destinataires (compétences, installations), + information, formation des destinataires ou de la clientèle sur les animaux détenus : . Statut de conservation de l'espèce, . Réglementation, . Besoins biologiques, . Besoins sanitaires, . Besoins comportementaux, + modalités de transport des animaux expédiés, - Modalités d'entretien des animaux et des installations déconcentrées éventuelles, Pièce n°14 : Document relatif au régime alimentaire dont bénéficient les animaux - Aspects qualitatifs (nature des produits de base utilisés), - Aspects quantitatifs (quantité donnée ou pourcentage incorporé aux mélanges), - Particularités du régime chez les reproducteurs, - Modalités de préparation des aliments, - Stockage de produits de base ou des aliments préparés, - Fréquence de la distribution des repas, - Etc. A établir par espèce ou par groupe d'espèces et éventuellement par groupe d'âge. Pièce n°15 : (uniquement pour l’élevage), Tableau récapitulatif de l'ensemble des résultats éventuels obtenus, sur les trois derniers exercices au minimum en : - Reproduction, - Fertilité, - Prolificité (production), - Croissance, etc., en indiquant les méthodes de contrôle de ces résultats. Pièce n°16 : Pièce permettant d'apprécier la politique menée en matière de santé des animaux (politique sanitaire) qui précise : - Votre attitude à l'égard des animaux nouvellement introduits, - Votre politique permanente de prévention des maladies et accidents, - Les systèmes de purification de l'air, de l'eau, - Les contrôles effectués sur l'environnement de vos animaux. Exemples de contrôles : * pour les espèces aériennes et les incubateurs à oeufs : contrôle de l'humidité, de la température de l'air, de la ventilation, etc. * pour les espèces aquatiques : contrôle du PH, de la dureté totale (tous les sels minéraux), de la dureté temporaire ou dureté carbonatée (Bicarbonates de Calcium responsables du pouvoir tampon du milieu), de la salinité (eau de mer), de l'ammoniac, des nitrites, des nitrates, de la température de l'eau, etc. - Les causes principales de variation de ces paramètres notamment dans le cas de votre projet, - Les moyens prévus pour ajuster ces paramètres en cas de déviation, - Les moyens prévus pour assurer le contrôle de ces paramètres pendant les jours fériés et les périodes de fermeture de l'établissement, - les mesures d’hygiène prises : nettoyage, désinfection, évacuation des déchets, (méthode, fréquence, produits utilisés, etc.) - Les traitements de routine ou éventuellement administrés aux animaux, - Votre attitude face à un animal malade, - Modèle de fiche d'infirmerie, - Les moyens et techniques de désinfection utilisés, - La mortalité effective ou prévue, - Nom du Vétérinaire attaché à l’établissement, etc. Pièce n°17 : Description de la politique générale menée et des conditions de fonctionnement de l'établissement - Politique générale. Exemples : Conception de votre activité de présentation au public, d’éleveur, de transit ou de vente, Possibilité d'hébergement ou d'adoption d'animaux abandonnés, ou de soins aux animaux sauvages, - Activités connexes. Exemples : Présentation au public, Elevage, Vente, Soins aux animaux de la faune sauvage, Transit d'animaux d'espèces domestiques, de plantes, etc. - Description des caractéristiques de fonctionnement de l'établissement tels : organigramme, structures, horaires, règlement intérieur (article 1er de l'Arrêté Ministériel du 21 août 1978) avec ses sites d’affichage, etc. * Pour les établissements de présentation au public, ces caractéristiques doivent être conformes à l'Arrêté Ministériel susvisé. * Pour les établissements itinérants : ajouter le nom des villes, des régions ou des pays de stationnement prévus ou visités. * Pour les établissements assurant des prestations à l'extérieur de leurs locaux propres : adresse des emplacements déconcentrés. - Dispositifs de sécurité prévus en cas d'évasion d’un animal dangereux, susceptible d'effrayer ou de se développer dans l'environnement tel : arthropode, crocodile, serpent, rongeur, certains mammifères carnivores, etc. A titre indicatif : exemples de mesures : + "fermeture des issues" double porte d'entrée, volets ou rideaux étanches à déclenchement automatique lors de rupture d'une paroi de cage (capteur sur vitres) ; + évacuation du public ; + localisation de l'animal ; + localisation et accessibilité des matériels de capture ; + tentative de capture : par filets, épuisettes, crochets emmanchés, gants, bottes, lassos, froid (aérosols, pulvérisation), et aussi par présentation de leurre, de proie, de congénère attractif captif voire finalement par piège, fusil de capture avec seringue, fusil de chasse ; + information aux "Services publics de sécurité". - Plan de secours et ses sites d’affichage (présentation au public) - Mesures prévues en cas de non respect du règlement intérieur ou du plan de secours, - Mesures prévues en cas de morsure, de coup de bec, de coup de pied, de griffure ou de blessure occasionnée par un animal à une personne. A titre indicatif, exemples de mesures : + sérums spécifiques disponibles, + trousse ou armoire à pharmacie visible et accessible, + liste et numéro de téléphone de médecins et de centres de soins appropriés exposés bien en vue, + appel des services d'urgence ou d'un médecin. Pièce n°18 : (uniquement pour la présentation au public) Description de l'information donnée au public en mentionnant (éventuellement sous forme d’un dossier photographique) : - Le fil conducteur de la collection, - Les supports pédagogiques : panneaux, affichettes, cassettes vidéo, jeux informatiques, - Les programmes proposés aux écoliers, aux lycéens et aux étudiants, - Les documents exposés dans les emplacements ou les salles de présentation, - Le contenu des documents qui seront diffusés dans la salle ou l'emplacement vidéo, - L'ébauche ou un exemple des types de panneaux pédagogiques apposés devant les enclos, les cages ou les aquariums, - Les informations orales ("informations zoologiques" ou autres) éventuellement délivrées, - Le circuit de visite - Les dispositions relatives à la sécurité du public, - Les plans de secours en cas de problème (évasion d'un animal, incendie, etc.), - etc. Lors de participation des animaux à un spectacle : - Nature du spectacle, - Durée du spectacle, - Fréquence du spectacle, - Méthode de dressage, - Fréquence des répétitions, - Mesures à prendre pour la sécurité du public. Pièce n°19 : Si vous avez déjà reçu des animaux, une copie des pièces de contrôle : - notamment celles exigées par la réglementation : (présentation au public, enseignement, expérimentation, élevage, location, transit d’animaux avec ou sans C.I.T.E.S.) 1 : Livre journal des mouvements d'animaux détenus en captivité (CERFA N° 07-0363), (copie des pages réservées pour au moins 3 espèces), 2 : Inventaire permanent des entrées et des sorties d'animaux d'espèces non domestiques détenus en captivité (CERFA N° 07-0362), 3 : Livre de soins vétérinaires. (vente d’animaux avec C.I.T.E.S.) 1 : Livre d'enregistrement chronologique (CERFA N° 07-0470) pour les animaux inscrits à l’annexe II de la Convention de Washington. 2 : Recueil des factures d’achat pour tous les spécimens et recueil des factures de vente pour les spécimens avec C.I.T.E.S. Ces documents sont disponibles, directement ou par l'intermédiaire de votre libraire, auprès de : Editions BERGER-LEVRAULT - 5 Rue André Ampère - 54250 CHAMPIGNEULLES (tél. : 03 83 38 83 83 ; télécopie : 03 83 38 86 10 et 03 38 37 12). - Pour les espèces inscrites aux annexes de la Convention de Washington : copie des certificats dits de la "CITES" ou de la "Convention de Washington" ou copie des factures correspondant à ces même espèces mentionnant le ou les numéros des Certificats CITES. Eventuellement, copie de tout autre document justifiant de l'origine licite de ces spécimens. Pièce n°20 : (pour les établissements existant déjà), comptes annuels des trois derniers exercices (bilans, comptes de résultats et annexes) présentés selon le plan comptable (ne concerne pas les élevages amateurs). Pièce n°21 : (pour les établissements à créer) Comptes prévisionnels à cinq ans avec plan de financement (ne concerne pas les élevages amateurs). L’Autorisation d’Ouverture Les établissements détenant des animaux d’espèces non domestiques sont soumis à Autorisation d’Ouverture au titre : - de la Protection de la Nature et des Installations Classées pour les établissement de présentation au public, - de la Protection de la Nature pour les établissements non ouverts au public et les établissements de vente. L’Arrêté Ministériel du 21 novembre 1997 définit 2 catégories d’établissements : - Etablissement de première catégorie : ce sont les établissements hébergeant des animaux d’espèces non domestiques qui présentent des dangers ou inconvénients graves pour les espèces sauvages, les milieux naturels ainsi que pour la sécurité des personnes. Ce sont : - les établissements de présentation au public ; - les établissements d’élevage, de location, de vente ou de transit lorsqu’il détiennent des animaux dont la capture est interdite ou appartenant à des espèces inscrites à l’annexe A du Règlement Communautaire Européen du 09 décembre 1996 ou lorsqu’ils détiennent des animaux d’espèces dangereuses dont la liste figure en annexe 4 (page 24). - Etablissement de deuxième catégorie : ce sont tous les autres établissements dont ceux habilités à héberger, soigner et entretenir les animaux de la faune sauvage momentanément incapables de pourvoir à leur survie dans le milieu naturel. Demande d’Autorisation d’Ouverture Les dossiers de demande d’Autorisation d’Ouverture doivent être déposés par le demandeur ou adressés en envoi recommandé au Préfet du département dans lequel l’établissement est situé. Dans le cas d’un établissement mobile, il s’agit du département dans lequel le demandeur a son domicile. Pour le département de …………………….., les dossiers sont directement déposés ou adressés en envoi recommandé à : ……………………………………………………………………………………….. ……………………………………………………………………………………….. ……………………………………………………………………………………….. ……………………………………………………………………………………….. en sept exemplaires pour les établissements de première catégorie,en deux exemplaires pour les établissements de deuxième catégorie. Pour les dossiers relatifs aux établissements de première catégorie, le préfet accorde ou non l’Autorisation d’Ouverture après l’avis des diverses administrations concernées, de la commune et de la Commission Départementale des Sites. Pour les dossiers relatifs aux établissements de deuxième catégorie, le préfet accorde ou non l’Autorisation d’Ouverture sans consultations obligatoires. L’Autorisation d’Ouverture est tacite s’il n’y à pas de réponse de l’administration 2 mois après la réception de la demande. Constitution du dossier Pour les établissements de présentation au public, le dossier doit être constitué conformément au décret n° 77-1133 du 21 septembre 1977 relatif aux installations classées pour la protection de l’environnement. Pour les autres établissements, le dossier doit comprendre : - une note mentionnant : · s’il s’agit d’une personne physique, ses nom, prénoms et domicile, · s’il s’agit d’une personne morale, sa dénomination ou sa raison sociale, sa forme juridique,l’adresse de son siège social ainsi que la qualité du signataire de la demande ; - une note précisant la nature des activités que le demandeur se propose d’exercer ; - la liste des équipements fixes ou mobiles et le plan des installations ; - la liste précise des espèces (noms communs et noms scientifiques) et le nombre d’animaux de chaque espèce dont la détention est demandée, ainsi que le plan de leur répartition dans l’établissement. Pour rappel, seules les espèces animales non domestiques mentionnées dans le ou les certificat(s) de capacité du ou des responsable(s) de l’entretien des animaux doivent être présentes dans l’établissement; - une notice indiquant les conditions de fonctionnement prévues ; - le certificat de capacité du ou des responsable(s) de l’entretien des animaux dans l’établissement. ANNEXE 1 Arrêté du 11 août 2006 fixant la liste des espèces, races ou variétés d'animaux domestiques (JORF du 07/10/2006) Le ministre de l'agriculture et de la pêche et la ministre de l'écologie et du développement durable, Vu le code de l'environnement, et notamment ses articles L. 411-1 à L. 413-5, R. 411-5 et R. 413-8 ; Vu l'avis du Conseil national de la protection de la nature en date du 15 juin 2006,Arrêtent :
  3. Arreté de guyane JORF n°213 du 14 septembre 2006 page 13544 texte n° 32 ARRETE Arrêté du 24 juillet 2006 modifiant les arrêtés du 17 avril 1981 modifié fixant les listes des mammifères protégés sur l'ensemble du territoire, du 17 avril 1981 modifié fixant les listes des oiseaux protégés sur l'ensemble du territoire, du 15 mai 1986 fixant sur tout ou partie du territoire national des mesures de protection des mammifères représentés dans le département de la Guyane, du 15 mai 1986 fixant sur tout ou partie du territoire national des mesures de protection des oiseaux représentés dans le département de la Guyane, du 15 mai 1986 fixant sur tout ou partie du territoire national des mesures de protection des reptiles et amphibiens représentés dans le département de la Guyane, du 22 juillet 1993 modifié fixant la liste des insectes protégés sur le territoire national, du 22 juillet 1993 relatif à la liste des insectes protégés en région Ile-de-France complétant la liste nationale, du 22 juillet 1993 modifié fixant la liste des amphibiens et des reptiles protégés sur l'ensemble du territoire, du 27 juillet 1995 fixant la liste des mammifères marins protégés sur le territoire national, du 14 août 1998 fixant sur tout le territoire national des mesures de protection des oiseaux représentés dans les Terres australes et antarctiques françaises NOR: DEVN0650442A Le ministre de l'agriculture et de la pêche et la ministre de l'écologie et du développement durable, Vu le règlement (CE) n° 338/97 du Conseil du 9 décembre 1996 relatif à la protection des espèces de faune et de flore sauvages par le contrôle de leur commerce ; Vu le code de l'environnement, et notamment ses articles L. 411-1 à L. 412-1 et R. 411-1 à R. 411-5 ; Vu l'arrêté du 17 avril 1981 modifié fixant les listes des mammifères protégés sur l'ensemble du territoire ; Vu l'arrêté du 17 avril 1981 modifié fixant les listes des oiseaux protégés sur l'ensemble du territoire ; Vu l'arrêté du 15 mai 1986 fixant sur tout ou partie du territoire national des mesures de protection des mammifères représentés dans le département de la Guyane ; Vu l'arrêté du 15 mai 1986 fixant sur tout ou partie du territoire national des mesures de protection des oiseaux représentés dans le département de la Guyane ; Vu l'arrêté du 15 mai 1986 fixant sur tout ou partie du territoire national des mesures de protection des reptiles et amphibiens représentés dans le département de la Guyane ; Vu l'arrêté du 22 juillet 1993 modifié fixant la liste des insectes protégés sur le territoire national ; Vu l'arrêté du 22 juillet 1993 relatif à la liste des insectes protégés en région Ile-de-France complétant la liste nationale ; Vu l'arrêté du 22 juillet 1993 modifié fixant la liste des amphibiens et des reptiles protégés sur l'ensemble du territoire ; Vu l'arrêté du 27 juillet 1995 fixant la liste des mammifères marins protégés sur le territoire national ; Vu l'arrêté du 14 août 1998 fixant sur tout le territoire national des mesures de protection des oiseaux représentés dans les Terres australes et antarctiques françaises ; Vu l'avis du Conseil national de la protection de la nature, Arrêtent : Article 1 A l'article 3 quater de l'arrêté du 17 avril 1981 susvisé fixant les listes des mammifères protégés sur l'ensemble du territoire, sont ajoutés les alinéas ainsi rédigés : « L'interdiction de naturalisation prévue aux articles 1er et 3 ter et l'interdiction de transport, de colportage, d'utilisation, de mise en vente, de vente ou d'achat, prévue aux articles 1er, 3 bis et 3 ter, ne s'appliquent pas aux spécimens nés et élevés en captivité et marqués conformément aux dispositions fixées par arrêté du ministre chargé de la protection de la nature et du ministre chargé de l'agriculture, ou légalement introduits en France. Toutefois, la marque du spécimen est conservée en place sur celui-ci au moment de la naturalisation et tout animal naturalisé est mentionné dans un registre coté et paraphé par le maire ou le commissaire de police et tenu sans blanc ni rature, afin de permettre le contrôle de sa provenance. Sur ce registre figure en tête le nom ou la raison sociale du taxidermiste, son adresse ainsi que son numéro d'enregistrement au registre des métiers. Pour chaque animal, le registre précise le nom scientifique et le nom commun, l'origine et la destination, les nom et prénom de la personne qui l'a remis, le numéro du permis d'importation le cas échéant, ainsi que les dates d'entrée et de sortie de l'atelier de taxidermie. Les exemptions ci-dessus aux interdictions de naturalisation, de transport, de colportage, d'utilisation, de mise en vente, de vente ou d'achat ne dispensent pas de l'obtention des autorisations requises, le cas échéant, au titre du règlement (CE) n° 338/97 du Conseil du 9 décembre 1996 relatif à la protection des espèces de faune et de flore sauvages par le contrôle de leur commerce. » Article 2 A l'article 4 ter de l'arrêté du 17 avril 1981 susvisé fixant les listes des oiseaux protégés sur l'ensemble du territoire : 1. Le deuxième alinéa est remplacé par les dispositions suivantes : « L'interdiction de naturalisation, de transport, de colportage, d'utilisation, de mise en vente, de vente ou d'achat, prévue aux articles 1er, 2 et 3, ne s'applique pas aux spécimens nés et élevés en captivité et marqués conformément aux dispositions fixées par arrêté du ministre chargé de la protection de la nature et du ministre chargé de l'agriculture, ou légalement introduits en France. » 2. Sont ajoutés les alinéas ainsi rédigés : « Toutefois, la marque du spécimen est conservée en place sur celui-ci au moment de la naturalisation et tout animal naturalisé est mentionné dans un registre coté et paraphé par le maire ou le commissaire de police et tenu sans blanc ni rature, afin de permettre le contrôle de sa provenance. Sur ce registre figure en tête le nom ou la raison sociale du taxidermiste, son adresse ainsi que son numéro d'enregistrement au registre des métiers. Pour chaque animal, le registre précise le nom scientifique et le nom commun, l'origine et la destination, les nom et prénom de la personne qui l'a remis, le numéro du permis d'importation le cas échéant, ainsi que les dates d'entrée et de sortie de l'atelier de taxidermie. Les exemptions ci-dessus aux interdictions de naturalisation, de transport, de colportage, d'utilisation, de mise en vente, de vente ou d'achat ne dispensent pas de l'obtention des autorisations requises, le cas échéant, au titre du règlement (CE) n° 338/97 du Conseil du 9 décembre 1996 relatif à la protection des espèces de faune et de flore sauvages par le contrôle de leur commerce. » Article 3 A l'article 3 bis de l'arrêté du 15 mai 1986 susvisé fixant sur tout ou partie du territoire national des mesures de protection des mammifères représentés dans le département de la Guyane, sont ajoutés les alinéas ainsi rédigés : « L'interdiction de naturalisation, de transport, de colportage, d'utilisation, de mise en vente, de vente ou d'achat, prévue aux articles 1er, 2 et 3, ne s'applique pas aux spécimens nés et élevés en captivité et marqués conformément aux dispositions fixées par arrêté du ministre chargé de la protection de la nature et du ministre chargé de l'agriculture, ou légalement introduits en France. Toutefois, la marque du spécimen est conservée en place sur celui-ci au moment de la naturalisation et tout animal naturalisé est mentionné dans un registre coté et paraphé par le maire ou le commissaire de police et tenu sans blanc ni rature, afin de permettre le contrôle de sa provenance. Sur ce registre figure en tête le nom ou la raison sociale du taxidermiste, son adresse ainsi que son numéro d'enregistrement au registre des métiers. Pour chaque animal, le registre précise le nom scientifique et le nom commun, l'origine et la destination, les nom et prénom de la personne qui l'a remis, le numéro du permis d'importation le cas échéant, ainsi que les dates d'entrée et de sortie de l'atelier de taxidermie. Les exemptions ci-dessus aux interdictions de naturalisation, de transport, de colportage, d'utilisation, de mise en vente, de vente ou d'achat ne dispensent pas de l'obtention des autorisations requises, le cas échéant, au titre du règlement (CE) n° 338/97 du Conseil du 9 décembre 1996 relatif à la protection des espèces de faune et de flore sauvages par le contrôle de leur commerce. » Article 4 A l'article 3 bis de l'arrêté du 15 mai 1986 susvisé fixant sur tout ou partie du territoire national des mesures de protection des oiseaux représentés dans le département de la Guyane : 1. Le deuxième alinéa est remplacé par les dispositions suivantes : « L'interdiction de naturalisation, de transport, de colportage, d'utilisation, de mise en vente, de vente ou d'achat, prévue aux articles 1er, 2 et 3, ne s'applique pas aux spécimens nés et élevés en captivité et marqués conformément aux dispositions fixées par arrêté du ministre chargé de la protection de la nature et du ministre chargé de l'agriculture, ou légalement introduits en France. » 2. Sont ajoutés les alinéas ainsi rédigés : « Toutefois, la marque du spécimen est conservée en place sur celui-ci au moment de la naturalisation et tout animal naturalisé est mentionné dans un registre coté et paraphé par le maire ou le commissaire de police et tenu sans blanc ni rature, afin de permettre le contrôle de sa provenance. Sur ce registre figure en tête le nom ou la raison sociale du taxidermiste, son adresse ainsi que son numéro d'enregistrement au registre des métiers. Pour chaque animal, le registre précise le nom scientifique et le nom commun, l'origine et la destination, les nom et prénom de la personne qui l'a remis, le numéro du permis d'importation le cas échéant, ainsi que les dates d'entrée et de sortie de l'atelier de taxidermie. Les exemptions ci-dessus aux interdictions de naturalisation, de transport, de colportage, d'utilisation, de mise en vente, de vente ou d'achat ne dispensent pas de l'obtention des autorisations requises, le cas échéant, au titre du règlement (CE) n° 338/97 du Conseil du 9 décembre 1996 relatif à la protection des espèces de faune et de flore sauvages par le contrôle de leur commerce. » Article 5 A l'article 3 bis de l'arrêté du 15 mai 1986 susvisé fixant sur tout ou partie du territoire national des mesures de protection des reptiles et des amphibiens représentés dans le département de la Guyane, sont ajoutés les alinéas ainsi rédigés : « L'interdiction de naturalisation, de transport, de colportage, d'utilisation, de mise en vente, de vente ou d'achat, prévue aux articles 1er, 2 et 3, ne s'applique pas aux spécimens nés et élevés en captivité et marqués conformément aux dispositions fixées par arrêté du ministre chargé de la protection de la nature et du ministre chargé de l'agriculture, ou légalement introduits en France. Toutefois, la marque du spécimen est conservée en place sur celui-ci au moment de la naturalisation et tout animal naturalisé est mentionné dans un registre coté et paraphé par le maire ou le commissaire de police et tenu sans blanc ni rature, afin de permettre le contrôle de sa provenance. Sur ce registre figure en tête le nom ou la raison sociale du taxidermiste, son adresse ainsi que son numéro d'enregistrement au registre des métiers. Pour chaque animal, le registre précise le nom scientifique et le nom commun, l'origine et la destination, les nom et prénom de la personne qui l'a remis, le numéro du permis d'importation le cas échéant, ainsi que les dates d'entrée et de sortie de l'atelier de taxidermie. Les exemptions ci-dessus aux interdictions de naturalisation, de transport, de colportage, d'utilisation, de mise en vente, de vente ou d'achat ne dispensent pas de l'obtention des autorisations requises, le cas échéant, au titre du règlement (CE) n° 338/97 du Conseil du 9 décembre 1996 relatif à la protection des espèces de faune et de flore sauvages par le contrôle de leur commerce. » Article 6 A l'article 1er de l'arrêté du 22 juillet 1993 susvisé fixant la liste des insectes protégés sur le territoire national sont ajoutés les alinéas ainsi rédigés : « L'interdiction de préparation aux fins de collections, de transport, de colportage, d'utilisation, de mise en vente, de vente ou d'achat ne s'applique pas aux spécimens nés et élevés en captivité ou légalement introduits en France. Toutefois, tout animal naturalisé est mentionné dans un registre coté et paraphé par le maire ou le commissaire de police et tenu sans blanc ni rature, afin de permettre le contrôle de sa provenance. Sur ce registre figure en tête le nom ou la raison sociale du taxidermiste, son adresse ainsi que son numéro d'enregistrement au registre des métiers. Pour chaque animal, le registre précise le nom scientifique et le nom commun, l'origine et la destination, les nom et prénom de la personne qui l'a remis, le numéro du permis d'importation le cas échéant, ainsi que les dates d'entrée et de sortie de l'atelier de taxidermie. Les exemptions ci-dessus aux interdictions de préparation aux fins de collections, de transport, de colportage, d'utilisation, de mise en vente, de vente ou d'achat ne dispensent pas de l'obtention des autorisations requises, le cas échéant, au titre du règlement (CE) n° 338/97 du Conseil du 9 décembre 1996 relatif à la protection des espèces de faune et de flore sauvages par le contrôle de leur commerce. » Article 7 A l'article 1er de l'arrêté du 22 juillet 1993 susvisé fixant la liste des insectes protégés en région Ile-de-France complétant la liste nationale, sont ajoutés les alinéas ainsi rédigés : « L'interdiction de préparation aux fins de collections, de transport, de colportage, d'utilisation, de mise en vente, de vente ou d'achat ne s'applique pas aux spécimens nés et élevés en captivité ou légalement introduits en France. Toutefois, tout animal naturalisé est mentionné dans un registre coté et paraphé par le maire ou le commissaire de police et tenu sans blanc ni rature, afin de permettre le contrôle de sa provenance. Sur ce registre figure en tête le nom ou la raison sociale du taxidermiste, son adresse ainsi que son numéro d'enregistrement au registre des métiers. Pour chaque animal, le registre précise le nom scientifique et le nom commun, l'origine et la destination, les nom et prénom de la personne qui l'a remis, le numéro du permis d'importation le cas échéant, ainsi que les dates d'entrée et de sortie de l'atelier de taxidermie. Les exemptions ci-dessus aux interdictions de préparation aux fins de collections, de transport, de colportage, d'utilisation, de mise en vente, de vente ou d'achat ne dispensent pas de l'obtention des autorisations requises, le cas échéant, au titre du règlement (CE) n° 338/97 du Conseil du 9 décembre 1996 relatif à la protection des espèces de faune et de flore sauvages par le contrôle de leur commerce. » Article 8 A l'article 4 de l'arrêté du 22 juillet 1993 susvisé fixant la liste des amphibiens et reptiles protégés sur l'ensemble du territoire, sont ajoutés les alinéas ainsi rédigés : « L'interdiction de naturalisation, prévue aux articles 1er, 2 et 3 et l'interdiction de transport, de colportage, d'utilisation, de mise en vente, de vente ou d'achat, prévue à l'article 1er, ne s'appliquent pas aux spécimens nés et élevés en captivité et marqués conformément aux dispositions fixées par arrêté du ministre chargé de la protection de la nature et du ministre chargé de l'agriculture, ou légalement introduits en France. Toutefois, la marque du spécimen est conservée en place sur celui-ci au moment de la naturalisation et tout animal naturalisé est mentionné dans un registre coté et paraphé par le maire ou le commissaire de police et tenu sans blanc ni rature, afin de permettre le contrôle de sa provenance. Sur ce registre figure en tête le nom ou la raison sociale du taxidermiste, son adresse ainsi que son numéro d'enregistrement au registre des métiers. Pour chaque animal, le registre précise le nom scientifique et le nom commun, l'origine et la destination, les nom et prénom de la personne qui l'a remis, le numéro du permis d'importation le cas échéant, ainsi que les dates d'entrée et de sortie de l'atelier de taxidermie. Les exemptions ci-dessus aux interdictions de naturalisation, de transport, de colportage, d'utilisation, de mise en vente, de vente ou d'achat ne dispensent pas de l'obtention des autorisations requises, le cas échéant, au titre du règlement (CE) n° 338/97 du Conseil du 9 décembre 1996 relatif à la protection des espèces de faune et de flore sauvages par le contrôle de leur commerce. » Article 9 A l'article 1er de l'arrêté du 27 juillet 1995 susvisé fixant la liste des mammifères marins protégés sur le territoire national, sont ajoutés les alinéas ainsi rédigés : « L'interdiction de naturalisation, de transport, de colportage, d'utilisation, de mise en vente, de vente ou d'achat ne s'applique pas aux spécimens nés et élevés en captivité et marqués conformément aux dispositions fixées par arrêté du ministre chargé de la protection de la nature et du ministre chargé de l'agriculture, ou légalement introduits en France. Toutefois, la marque du spécimen est conservée en place sur celui-ci au moment de la naturalisation et tout animal naturalisé est mentionné dans un registre coté et paraphé par le maire ou le commissaire de police et tenu sans blanc ni rature, afin de permettre le contrôle de sa provenance. Sur ce registre figure en tête le nom ou la raison sociale du taxidermiste, son adresse ainsi que son numéro d'enregistrement au registre des métiers. Pour chaque animal, le registre précise le nom scientifique et le nom commun, l'origine et la destination, les nom et prénom de la personne qui l'a remis, le numéro du permis d'importation le cas échéant, ainsi que les dates d'entrée et de sortie de l'atelier de taxidermie. Les exemptions ci-dessus aux interdictions de naturalisation, de transport, de colportage, d'utilisation, de mise en vente, de vente ou d'achat ne dispensent pas de l'obtention des autorisations requises, le cas échéant, au titre du règlement (CE) n° 338/97 du Conseil du 9 décembre 1996 relatif à la protection des espèces de faune et de flore sauvages par le contrôle de leur commerce. » Article 10 A l'article 1er de l'arrêté du 14 août 1998 susvisé, sont ajoutés les alinéas ainsi rédigés : « L'interdiction de naturalisation, de transport, de colportage, d'utilisation, de mise en vente, de vente ou d'achat ne s'applique pas aux spécimens nés et élevés en captivité et marqués conformément aux dispositions fixées par arrêté du ministre chargé de la protection de la nature et du ministre chargé de l'agriculture, ou légalement introduits en France. Toutefois, la marque du spécimen est conservée en place sur celui-ci au moment de la naturalisation et tout animal naturalisé est mentionné dans un registre coté et paraphé par le maire ou le commissaire de police et tenu sans blanc ni rature, afin de permettre le contrôle de sa provenance. Sur ce registre figure en tête le nom ou la raison sociale du taxidermiste, son adresse ainsi que son numéro d'enregistrement au registre des métiers. Pour chaque animal, le registre précise le nom scientifique et le nom commun, l'origine et la destination, les nom et prénom de la personne qui l'a remis, le numéro du permis d'importation le cas échéant, ainsi que les dates d'entrée et de sortie de l'atelier de taxidermie. Les exemptions ci-dessus aux interdictions de naturalisation, de transport, de colportage, d'utilisation, de mise en vente, de vente ou d'achat ne dispensent pas de l'obtention des autorisations requises, le cas échéant, au titre du règlement (CE) n° 338/97 du Conseil du 9 décembre 1996 relatif à la protection des espèces de faune et de flore sauvages par le contrôle de leur commerce. » Article 11 Le directeur de la nature et des paysages et le directeur général de l'alimentation sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 24 juillet 2006. La ministre de l'écologie et du développement durable, Pour la ministre et par délégation : Le directeur de la nature et des paysages, J.-M. Michel Le ministre de l'agriculture et de la pêche, Pour le ministre et par délégation : Le directeur général de l'alimentation, J.-M. Bournigal Source: http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000460424&dateTexte=
  4. Les especes CITES Quelque 5000 espèces animales et 28.000 espèces végétales sont protégées par la CITES de la surexploitation visant à alimenter le commerce international. Elles figurent dans les trois annexes à la Convention où elles sont regroupées en fonction de la gravité du risque d'extinction que leur fait courir ce commerce. Les annexes peuvent couvrir des groupes entiers - primates, cétacés (baleines, dauphins et marsouins), tortues de mer, perroquets, coraux, cactus et orchidées - mais parfois, seule une sous-espèce ou une population géographiquement isolée est inscrite (la population d'un seul pays, par exemple). Le tableau figurant ci-dessous indique le nombre approximatif d'espèces inscrites aujourd'hui* aux annexes CITES. Tout type de plante ou d'animal sauvage peut figurer sur la liste des espèces protégées par la CITES (voir la résolution Conf. 9.24 (Rev. CoP14), de sorte que la gamme des espèces sauvages inscrites aux annexes va de la sangsue au lion et de certains conifères aux népenthes. Alors que les espèces CITES les plus connues sont des espèces emblématiques comme les ours et les baleines, les groupes les plus nombreux à être protégés par la Convention sont constitués de plantes et d'animaux retenant moins l'attention, comme les aloès, les coraux, les moules et les grenouilles. Vous trouverez sur ce site la liste de toutes les espèces inscrites aux annexes CITES ainsi que des photos de nombreuses espèces. Pour plus de détails sur ces espèces, consulter la base de données sur les espèces CITES créée par le PNUE-WCMC. Source : http://www.cites.org/fra/disc/species.shtml
  5. Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction Signée à Washington le 3 mars 1973 Amendée à Bonn, le 22 juin 1979 Les Etats contractants Reconnaissant que la faune et la flore sauvages constituent de par leur beauté et leur variété un élément irremplaçable des systèmes naturels, qui doit être protégé par les générations présentes et futures; Conscients de la valeur toujours croissante, du point de vue esthétique, scientifique, culturel, récréatif et économique, de la faune et de la flore sauvages; Reconnaissant que les peuples et les Etats sont et devraient être les meilleurs protecteurs de leur faune et de leur flore sauvages; Reconnaissant en outre que la coopération internationale est essentielle à la protection de certaines espèces de la faune et de la flore sauvages contre une surexploitation par suite du commerce international; Convaincus que des mesures doivent être prises d'urgence à cet effet; Sont convenus de ce qui suit: Article I Définitions Aux fins de la présente Convention et, sauf si le contexte exige qu'il en soit autrement, les expressions suivantes signifient: a) "Espèces": toute espèce, sous-espèce, ou une de leurs populations géographiquement isolée; b) "Spécimen": i) tout animal ou toute plante, vivants ou morts; ii) dans le cas d'un animal: pour les espèces inscrites aux Annexes I et II, toute partie ou tout produit obtenu à partir de l'animal, facilement identifiables, et, pour les espèces inscrites à l'Annexe III, toute partie ou tout produit obtenu à partir de l'animal, facilement identifiables, lorsqu'ils sont mentionnés à ladite Annexe; iii) dans le cas d'une plante: pour les espèces inscrites à l'Annexe I, toute partie ou tout produit obtenu à partir de la plante, facilement identifiables, et, pour les espèces inscrites aux Annexes II et III, toute partie ou tout produit obtenu à partir de la plante, facilement identifiables, lorsqu'ils sont mentionnés auxdites Annexes; c) "Commerce": l'exportation, la réexportation, l'importation et l'introduction en provenance de la mer; d) "Réexportation": l'exportation de tout spécimen précédemment importé; e) "Introduction en provenance de la mer": le transport, dans un Etat, de spécimens d'espèces qui ont été pris dans l'environnement marin n'étant pas sous la juridiction d'un Etat; f) "Autorité scientifique": une autorité scientifique nationale désignée conformément à l'Article IX; g) "Organe de gestion": une autorité administrative nationale désignée conformément à l'Article IX; h) "Partie": un Etat à l'égard duquel la présente Convention est entrée en vigueur. -------------------------------------------------------------------------------- Article II Principes fondamentaux 1. L'Annexe I comprend toutes les espèces menacées d'extinction qui sont ou pourraient être affectées par le commerce. Le commerce des spécimens de ces espèces doit être soumis à une réglementation particulièrement stricte afin de ne pas mettre davantage leur survie en danger, et ne doit être autorisé que dans des conditions exceptionnelles. 2. L'Annexe II comprend: a) toutes les espèces qui, bien que n'étant pas nécessairement menacées actuellement d'extinction, pourraient le devenir si le commerce des spécimens de ces espèces n'était pas soumis à une réglementation stricte ayant pour but d'éviter une exploitation incompatible avec leur survie; b) certaines espèces qui doivent faire l'objet d'une réglementation, afin de rendre efficace le contrôle du commerce des spécimens d'espèces inscrites à l'Annexe II en application de l'alinéa a). 3. L'Annexe III comprend toutes les espèces qu'une Partie déclare soumises, dans les limites de sa compétence, à une réglementation ayant pour but d'empêcher ou de restreindre leur exploitation, et nécessitant la coopération des autres Parties pour le contrôle du commerce. 4. Les Parties ne permettent le commerce des spécimens des espèces inscrites aux Annexes I, II et III qu'en conformité avec les dispositions de la présente Convention. -------------------------------------------------------------------------------- Article III Réglementation du commerce des spécimens d'espèces inscrites à l'Annexe I 1. Tout commerce de spécimens d'une espèce inscrite à l'Annexe I doit être conforme aux dispositions du présent Article. 2. L'exportation d'un spécimen d'une espèce inscrite à l'Annexe I nécessite la délivrance et la présentation préalables d'un permis d'exportation. Ce permis doit satisfaire aux conditions suivantes: a) une autorité scientifique de l'Etat d'exportation a émis l'avis que cette exportation ne nuit pas à la survie de l'espèce intéressée; b) un organe de gestion de l'Etat d'exportation a la preuve que le spécimen n'a pas été obtenu en contravention aux lois sur la préservation de la faune et de la flore en vigueur dans cet Etat; c) un organe de gestion de l'Etat d'exportation a la preuve que tout spécimen vivant sera mis en état et transporté de façon à éviter les risques de blessures, de maladie, ou de traitement rigoureux; d) un organe de gestion de l'Etat d'exportation a la preuve qu'un permis d'importation a été accordé pour ledit spécimen. 3. L'importation d'un spécimen d'une espèce inscrite à l'Annexe I nécessite la délivrance et la présentation préalables d'un permis d'importation et, soit d'un permis d'exportation, soit d'un certificat de réexportation. Un permis d'importation doit satisfaire aux conditions suivantes: a) une autorité scientifique de l'Etat d'importation a émis l'avis que les objectifs de l'importation ne nuisent pas à la survie de ladite espèce; b) une autorité scientifique de l'Etat d'importation a la preuve que, dans le cas d'un spécimen vivant, le destinataire a les installations adéquates pour le conserver et le traiter avec soin; c) un organe de gestion de l'Etat d'importation a la preuve que le spécimen ne sera pas utilisé à des fins principalement commerciales. 4. La réexportation d'un spécimen d'une espèce inscrite à l'Annexe I nécessite la délivrance et la présentation préalables d'un certificat de réexportation. Ce certificat doit satisfaire aux conditions suivantes: a) un organe de gestion de l'Etat de réexportation a la preuve que le spécimen a été importé dans cet Etat conformément aux dispositions de la présente Convention; b) un organe de gestion de l'Etat de réexportation a la preuve que tout spécimen vivant sera mis en état et transporté de façon à éviter les risques de blessures, de maladie, ou de traitement rigoureux; c) un organe de gestion de l'Etat de réexportation a la preuve qu'un permis d'importation a été accordé pour tout spécimen vivant. 5. L'introduction en provenance de la mer d'un spécimen d'une espèce inscrite à l'Annexe I nécessite la délivrance préalable d'un certificat par l'organe de gestion de l'Etat dans lequel le spécimen a été introduit. Ledit certificat doit satisfaire aux conditions suivantes: a) une autorité scientifique de l'Etat dans lequel le spécimen a été introduit a émis l'avis que l'introduction ne nuit pas à la survie de ladite espèce; b) un organe de gestion de l'Etat dans lequel le spécimen a été introduit a la preuve que dans le cas d'un spécimen vivant, le destinataire a les installations adéquates pour le conserver et le traiter avec soin; c) un organe de gestion de l'Etat dans lequel le spécimen a été introduit a la preuve que le spécimen ne sera pas utilisé à des fins principalement commerciales. -------------------------------------------------------------------------------- Article IV Réglementation du commerce des spécimens d'espèces inscrites à l'Annexe II 1. Tout commerce de spécimens d'une espèce inscrite à l'Annexe II doit être conforme aux dispositions du présent Article. 2. L'exportation d'un spécimen d'une espèce inscrite à l'Annexe II nécessite la délivrance et la présentation préalables d'un permis d'exportation. Ce permis doit satisfaire aux conditions suivantes: a) une autorité scientifique de l'Etat d'exportation a émis l'avis que cette exportation ne nuit pas à la survie de l'espèce intéressée; b) un organe de gestion de l'Etat d'exportation a la preuve que le spécimen n'a pas été obtenu en contravention aux lois sur la préservation de la faune et de la flore en vigueur dans cet Etat; c) un organe de gestion de l'Etat d'exportation a la preuve que tout spécimen vivant sera mis en état et transporté de façon à éviter les risques de blessures, de maladie, ou de traitement rigoureux. 3. Pour chaque Partie, une autorité scientifique surveillera de façon continue la délivrance par ladite Partie des permis d'exportation pour les spécimens d'espèces inscrites à l'Annexe II, ainsi que les exportations réelles de ces spécimens. Lorsqu'une autorité scientifique constate que l'exportation de spécimens d'une de ces espèces devrait être limitée pour la conserver dans toute son aire de distribution, à un niveau qui soit à la fois conforme à son rôle dans les écosystèmes où elle est présente, et nettement supérieur à celui qui entraînerait l'inscription de cette espèce à l'Annexe I, elle informe l'organe de gestion compétent des mesures appropriées qui doivent être prises pour limiter la délivrance de permis d'exportation pour le commerce des spécimens de ladite espèce. 4. L'importation d'un spécimen d'une espèce inscrite à l'Annexe II nécessite la présentation préalable soit d'un permis d'exportation, soit d'un certificat de réexportation. 5. La réexportation d'un spécimen d'une espèce inscrite à l'Annexe II nécessite la délivrance et la présentation préalables d'un certificat de réexportation. Ce certificat doit satisfaire aux conditions suivantes: a) un organe de gestion de l'Etat de réexportation a la preuve que le spécimen a été importé dans cet Etat conformément aux dispositions de la présente Convention; b) un organe de gestion de l'Etat de réexportation a la preuve que tout spécimen vivant sera mis en état et transporté de façon à éviter les risques de blessures, de maladie ou de traitement rigoureux. 6. L'introduction en provenance de la mer d'un spécimen d'une espèce inscrite à l'Annexe II nécessite la délivrance préalable d'un certificat par l'organe de gestion de l'Etat dans lequel le spécimen a été introduit. Ledit certificat doit satisfaire aux conditions suivantes: a) une autorité scientifique de l'Etat dans lequel le spécimen a été introduit a émis l'avis que l'introduction ne nuit pas à la survie de ladite espèce; b) un organe de gestion de l'Etat dans lequel le spécimen a été introduit a la preuve que tout spécimen vivant sera traité de façon à éviter les risques de blessures, de maladie ou de traitement rigoureux. 7. Les certificats visés au paragraphe 6 ci-dessus peuvent être délivrés, sur avis de l'autorité scientifique pris après consultation des autres autorités scientifiques nationales, et, le cas échéant, des autorités scientifiques internationales, pour le nombre total de spécimens dont l'introduction est autorisée pendant des périodes n'excédant pas un an. -------------------------------------------------------------------------------- Article V Réglementation du commerce de spécimens d'espèces inscrites à l'Annexe III 1. Tout commerce de spécimens d'une espèce inscrite à l'Annexe III doit être conforme aux dispositions du présent Article. 2. L'exportation d'un spécimen d'une espèce inscrite à l'Annexe III par tout Etat qui a inscrit ladite espèce à l'Annexe III nécessite la délivrance et la présentation préalables d'un permis d'exportation qui doit satisfaire aux conditions suivantes: a) un organe de gestion de l'Etat d'exportation a la preuve que le spécimen en question n'a pas été obtenu en contravention aux lois sur la préservation de la faune et de la flore en vigueur dans cet Etat; b) un organe de gestion de l'Etat d'exportation a la preuve que tout spécimen vivant sera mis en état et transporté de façon à éviter les risques de blessures, de maladie ou de traitement rigoureux. 3. Sauf dans les cas prévus au paragraphe 4 du présent Article, l'importation de tout spécimen d'une espèce inscrite à l'Annexe III nécessite la présentation préalable d'un certificat d'origine et, dans le cas d'une importation en provenance d'un Etat qui a inscrit ladite espèce à l'Annexe III, d'un permis d'exportation. 4. Lorsqu'il s'agit d'une réexportation, un certificat délivré par l'organe de gestion de l'Etat de réexportation précisant que le spécimen a été transformé dans cet Etat, ou qu'il va être réexporté en l'état, fera preuve pour l'Etat d'importation que les dispositions de la présente Convention ont été respectées pour les spécimens en question. -------------------------------------------------------------------------------- Article VI Permis et certificats 1. Les permis et certificats délivrés en vertu des dispositions des Articles III, IV et V doivent être conformes aux dispositions du présent Article. 2. Un permis d'exportation doit contenir des renseignements précisés dans le modèle reproduit à l'Annexe IV; il ne sera valable pour l'exportation que pour une période de six mois à compter de la date de délivrance. 3. Tout permis ou certificat se réfère au titre de la présente Convention; il contient le nom et le cachet de l'organe de gestion qui l'a délivré et un numéro de contrôle attribué par l'organe de gestion. 4. Toute copie d'un permis ou d'un certificat délivré par un organe de gestion doit être clairement marquée comme telle et ne peut être utilisée à la place de l'original d'un permis ou d'un certificat, à moins qu'il ne soit stipulé autrement sur la copie. 5. Un permis ou un certificat distinct est requis pour chaque expédition de spécimens. 6. Le cas échéant, un organe de gestion de l'Etat d'importation de tout spécimen conserve et annule le permis d'exportation ou le certificat de réexportation et tout permis d'importation correspondant présentés lors de l'importation dudit spécimen. 7. Lorsque cela est réalisable, un organe de gestion peut apposer une marque sur un spécimen pour en permettre l'identification. A ces fins, le terme "marque" désigne toute empreinte indélébile, plomb ou autre moyen approprié permettant d'identifier un spécimen et conçu de manière à rendre toute contrefaçon aussi difficile que possible. -------------------------------------------------------------------------------- Article VII Dérogations et autres dispositions particulières concernant le commerce 1. Les dispositions des Articles III, IV et V ne s'appliquent pas au transit ou au transbordement de spécimens sur le territoire d'une Partie, lorsque ces spécimens restent sous le contrôle de la douane. 2. Lorsqu'un organe de gestion de l'Etat d'exportation ou de réexportation a la preuve que le spécimen a été acquis avant que les dispositions de la présente Convention ne s'appliquent audit spécimen, les dispositions des Articles III, IV et V ne sont pas applicables à ce spécimen, à la condition que ledit organe de gestion délivre un certificat à cet effet. 3. Les dispositions des Articles III, IV et V ne s'appliquent pas aux spécimens qui sont des objets personnels ou à usage domestique. Toutefois, ces dérogations ne s'appliquent pas: a) s'il s'agit de spécimens d'une espèce inscrite à l'Annexe I, lorsqu'ils ont été acquis par leur propriétaire en dehors de son Etat de résidence permanente et sont importés dans cet Etat; b) s'il s'agit de spécimens d'une espèce inscrite à l'Annexe II: i) lorsqu'ils ont été acquis par leur propriétaire, lors d'un séjour hors de son Etat de résidence habituelle, dans un Etat dans le milieu sauvage duquel a eu lieu la capture ou la récolte; ii) lorsqu'ils sont importés dans l'Etat de résidence habituelle du propriétaire; iii) et lorsque l'Etat dans lequel a eu lieu la capture ou la récolte exige la délivrance préalable d'un permis d'exportation; à moins qu'un organe de gestion ait la preuve que ces spécimens ont été acquis avant que les dispositions de la présente Convention ne s'appliquent aux spécimens en question. 4. Les spécimens d'une espèce animale inscrite à l'Annexe I élevés en captivité à des fins commerciales, ou d'une espèce de plante inscrite à l'Annexe I reproduite artificiellement à des fins commerciales, seront considérés comme des spécimens d'espèces inscrites à l'Annexe II. 5. Lorsqu'un organe de gestion de l'Etat d'exportation a la preuve qu'un spécimen d'une espèce animale a été élevé en captivité ou qu'un spécimen d'une espèce de plante a été reproduit artificiellement, ou qu'il s'agit d'une partie d'un tel animal ou d'une telle plante, ou d'un de ses produits, un certificat délivré par l'organe de gestion à cet effet est accepté à la place des permis et certificats requis conformément aux dispositions des Articles III, IV ou V. 6. Les dispositions des Articles III, IV et V ne s'appliquent pas aux prêts, donations et échanges à des fins non commerciales entre des hommes de science et des institutions scientifiques qui sont enregistrés par un organe de gestion de leur Etat, de spécimens d'herbiers et d'autres spécimens de musées conservés, desséchés ou sous inclusion et de plantes vivantes qui portent une étiquette délivrée ou approuvée par un organe de gestion. 7. Un organe de gestion de tout Etat peut accorder des dérogations aux obligations des Articles III, IV et V et autoriser sans permis ou certificats les mouvements des spécimens qui font partie d'un zoo, d'un cirque, d'une ménagerie, d'une exposition d'animaux ou de plantes itinérants à condition que: a) l'exportateur ou l'importateur déclare les caractéristiques complètes de ces spécimens à l'organe de gestion, b) ces spécimens entrent dans une des catégories spécifiées au paragraphe 2 ou 5 du présent Article, c) l'organe de gestion ait la preuve que tout spécimen vivant sera transporté et traité de façon à éviter les risques de blessures, de maladie ou de traitement rigoureux. -------------------------------------------------------------------------------- Article VIII Mesures à prendre par les Parties 1. Les Parties prennent les mesures appropriées en vue de la mise en application des dispositions de la présente Convention ainsi que pour interdire le commerce de spécimens en violation de ses dispositions. Ces mesures comprennent: a) des sanctions pénales frappant soit le commerce, soit la détention de tels spécimens, ou les deux; b) la confiscation ou le renvoi à l'Etat d'exportation de tels spécimens. 2. Outre les mesures prises en vertu du paragraphe 1 du présent Article, une Partie peut, lorsqu'elle le juge nécessaire, prévoir toute procédure de remboursement interne des frais qu'elle a encourus et résultant de la confiscation de spécimens qui ont fait l'objet d'un commerce en violation de mesures prises en application des dispositions de la présente Convention. 3. Dans toute la mesure du possible, les Parties feront en sorte que les formalités requises pour le commerce de spécimens s'effectuent dans les meilleurs délais. En vue de faciliter ces formalités, chaque Partie pourra désigner des ports de sortie et des ports d'entrée où les spécimens doivent être présentés pour être dédouanés. Les Parties feront également en sorte que tout spécimen vivant, au cours du transit, de la manutention ou du transport soit convenablement traité, de façon à éviter les risques de blessures, de maladie et de traitement rigoureux. 4. En cas de confiscation d'un spécimen vivant, résultant des dispositions du paragraphe 1 du présent Article, les modalités suivantes s'appliquent: a) le spécimen est confié à un organe de gestion de l'Etat qui a procédé à cette confiscation; b) l'organe de gestion, après avoir consulté l'Etat d'exportation, lui renvoie le spécimen à ses frais, ou l'envoie à un centre de sauvegarde ou tout endroit que cet organe juge approprié et compatible avec les objectifs de la présente Convention; c) l'organe de gestion peut prendre l'avis d'une autorité scientifique ou consulter le Secrétariat chaque fois qu'il le juge souhaitable, afin de faciliter la décision visée à l'alinéa b) ci-dessus, y compris le choix d'un centre de sauvegarde. 5. Un centre de sauvegarde, visé au paragraphe 4 du présent Article, est une institution désignée par un organe de gestion pour prendre soin des spécimens vivants, particulièrement de ceux qui ont été confisqués. 6. Sur le commerce des spécimens des espèces inscrites aux Annexes I, II et III, chaque Partie tient un registre qui comprend: a) le nom et l'adresse des exportateurs et des importateurs; b) le nombre et la nature de permis et de certificats délivrés; les Etats avec lesquels le commerce a eu lieu; le nombre ou les quantités et types de spécimens, les noms des espèces telles qu'inscrites aux Annexes I, II et III et, le cas échéant, la taille et le sexe desdits spécimens. 7. Chaque Partie établit des rapports périodiques sur la mise en application, par cette Partie, de la présente Convention, et transmettra au Secrétariat: a) un rapport annuel contenant un résumé des informations mentionnées à l'alinéa b) du paragraphe 6 du présent Article; b) un rapport bisannuel sur les mesures législatives, réglementaires et administratives prises pour l'application de la présente Convention. 8. Les informations visées au paragraphe 7 du présent Article seront tenues à la disposition du public, dans la mesure où cela n'est pas incompatible avec les dispositions législatives et réglementaires de la Partie intéressée. -------------------------------------------------------------------------------- Article IX Organes de gestion et autorités scientifiques 1. Aux fins de la présente Convention, chaque Partie désigne: a) un ou plusieurs organes de gestion compétents pour délivrer les permis et les certificats au nom de cette Partie; b) une ou plusieurs autorités scientifiques. 2. Au moment du dépôt des instruments de ratification, d'acceptation, d'approbation ou d'adhésion, chaque Etat communique au gouvernement dépositaire le nom et l'adresse de l'organe de gestion habilité à communiquer avec les organes de gestion désignés par d'autres Parties, ainsi qu'avec le Secrétariat. 3. Toute modification aux désignations faites en application des dispositions du présent Article doit être communiquée par la Partie intéressée au Secrétariat pour transmission aux autres Parties. 4. L'organe de gestion cité au paragraphe 2 du présent Article doit, à la demande du Secrétariat ou de l'organe de gestion d'une des Parties, leur communiquer l'empreinte des cachets et sceaux qu'il utilise pour authentifier ses certificats et permis. -------------------------------------------------------------------------------- Article X Commerce avec des Etats non-Parties à la présente Convention Dans le cas d'exportation ou de réexportation à destination d'un Etat qui n'est pas Partie à la présente Convention, ou d'importation en provenance d'un tel Etat, les Parties peuvent, à la place des permis et des certificats requis par la présente Convention, accepter des documents similaires, délivrés par les autorités compétentes dudit Etat; ces documents doivent, pour l'essentiel, se conformer aux conditions requises pour la délivrance desdits permis et certificats. -------------------------------------------------------------------------------- Article XI Conférence des Parties 1. Le Secrétariat convoquera une session de la Conférence des Parties au plus tard deux ans après l'entrée en vigueur de la présente Convention. 2. Par la suite, le Secrétariat convoque des sessions ordinaires de la Conférence au moins une fois tous les deux ans, à moins que la Conférence n'en décide autrement, et des sessions extraordinaires lorsque la demande écrite en a été faite par au moins un tiers des Parties. 3. Lors des sessions ordinaires ou extraordinaires de cette Conférence, les Parties procèdent à un examen d'ensemble de l'application de la présente Convention et peuvent: a) prendre toute disposition nécessaire pour permettre au Secrétariat de remplir ses fonctions, et adopter des dispositions financières; b) examiner des amendements aux Annexes I et II et les adopter conformément à l'Article XV; c) examiner les progrès accomplis dans la voie de la restauration et de la conservation des espèces figurant aux Annexes I, II et III; d) recevoir et examiner tout rapport présenté par le Secrétariat ou par toute Partie; e) le cas échéant, faire des recommandations visant à améliorer l'application de la présente Convention. 4. A chaque session, les Parties peuvent fixer la date et le lieu de la prochaine session ordinaire à tenir conformément aux dispositions du paragraphe 2 du présent Article. 5. A toute session, les Parties peuvent établir et adopter le règlement intérieur de la session. 6. L'Organisation des Nations Unies, ses institutions spécialisées, l'Agence internationale de l'énergie atomique, ainsi que tout Etat non-Partie à la présente Convention peuvent être représentés aux sessions de la Conférence par des observateurs qui ont le droit de participer à la session sans droit de vote. 7. Tout organisme ou toute institution techniquement qualifiés dans le domaine de la protection, de la conservation ou de la gestion de la faune et de la flore sauvages qui ont informé le Secrétariat de leur désir de se faire représenter aux sessions de la Conférence par des observateurs y sont admis - sauf si un tiers au moins des Parties s'y opposent - à condition qu'ils appartiennent à une des catégories suivantes: a) organismes ou institutions internationaux, soit gouvernementaux soit non gouvernementaux, ou organismes ou institutions nationaux gouvernementaux; b) organismes ou institutions nationaux non gouvernementaux qui ont été approuvés à cet effet par l'Etat dans lequel ils sont établis. Une fois admis, ces observateurs ont le droit de participer aux sessions sans droit de vote. -------------------------------------------------------------------------------- Article XII Le Secrétariat 1. Dès l'entrée en vigueur de la présente Convention, un Secrétariat sera fourni par le Directeur exécutif du Programme des Nations Unies pour l'environnement. Dans la mesure où il le juge opportun, ce dernier peut bénéficier du concours d'organismes internationaux ou nationaux appropriés, gouvernementaux et non gouvernementaux, compétents en matière de protection, de conservation et de gestion de la faune et de la flore sauvages. 2. Les attributions du Secrétariat sont les suivantes: a) organiser les conférences des Parties et fournir les services y afférents; b) remplir les fonctions qui lui sont confiées en vertu des dispositions des Articles XV et XVI de la présente Convention; c) entreprendre, conformément aux programmes arrêtés par la Conférence des Parties, les études scientifiques et techniques qui contribueront à l'application de la présente Convention, y compris les études relatives aux normes à respecter pour la mise en état et le transport appropriés de spécimens vivants et aux moyens d'identifier ces spécimens; d) étudier les rapports des Parties et demander aux Parties tout complément d'information qu'il juge nécessaire pour assurer l'application de la présente Convention; e) attirer l'attention des Parties sur toute question ayant trait aux objectifs de la présente Convention; f) publier périodiquement et communiquer aux Parties des listes mises à jour des Annexes I, II et III ainsi que toutes informations de nature à faciliter l'identification des spécimens des espèces inscrites à ces Annexes; g) établir des rapports annuels à l'intention des Parties sur ses propres travaux et sur l'application de la présente Convention, ainsi que tout autre rapport que lesdites Parties peuvent demander lors des sessions de la Conférence; h) faire des recommandations pour la poursuite des objectifs et la mise en application des dispositions de la présente Convention, y compris les échanges d'informations de nature scientifique ou technique; i) remplir toutes autres fonctions que peuvent lui confier les Parties. -------------------------------------------------------------------------------- Article XIII Mesures internationales 1. Lorsque, à la lumière des informations reçues, le Secrétariat considère qu'une espèce inscrite aux Annexes I ou II est menacée par le commerce des spécimens de ladite espèce ou que les dispositions de la présente Convention ne sont pas effectivement appliquées, il en avertit l'organe de gestion compétent de la Partie ou des Parties intéressées. 2. Quand une Partie reçoit communication des faits indiqués au paragraphe 1 du présent Article, elle informe, le plus rapidement possible et dans la mesure où sa législation le permet, le Secrétariat de tous les faits qui s'y rapportent et, le cas échéant, propose des mesures correctives. Quand la Partie estime qu'il y a lieu de procéder à une enquête, celle-ci peut être effectuée par une ou plusieurs personnes expressément agréées par ladite Partie. 3. Les renseignements fournis par la Partie ou résultant de toute enquête prévue au paragraphe 2 du présent Article sont examinés lors de la session suivante de la Conférence des Parties, laquelle peut adresser à ladite Partie toute recommandation qu'elle juge appropriée. -------------------------------------------------------------------------------- Article XIV Incidences de la Convention sur les législations internes et sur les conventions internationales 1. Les dispositions de la présente Convention n'affectent pas le droit des Parties d'adopter: a) des mesures internes plus strictes en ce qui concerne les conditions auxquelles le commerce, la capture ou la récolte, la détention ou le transport de spécimens d'espèces inscrites aux Annexes I, II et III sont soumis, mesures qui peuvent aller jusqu'à leur interdiction complète; b) des mesures internes limitant ou interdisant le commerce, la capture ou la récolte, la détention ou le transport d'espèces qui ne sont pas inscrites aux Annexes I, II ou III. 2. Les dispositions de la présente Convention n'affectent pas les mesures internes et les obligations des Parties découlant de tous traités, conventions ou accords internationaux concernant d'autres aspects du commerce, de la capture ou de la récolte, de la détention ou du transport de spécimens, qui sont ou pourront entrer en vigueur à l'égard de toute Partie y compris, notamment, toute mesure ayant trait aux douanes, à l'hygiène publique, à la science vétérinaire ou à la quarantaine des plantes. 3. Les dispositions de la présente Convention n'affectent pas les dispositions ou les obligations découlant de tout traité, convention ou accord international conclus ou à conclure entre Etats, portant création d'une union ou d'une zone commerciale régionale, comportant l'établissement ou le maintien de contrôles communs douaniers extérieurs et la suppression de contrôles douaniers intérieurs, dans la mesure où elles ont trait au commerce entre les Etats membres de ladite union ou zone. 4. Un Etat Partie à la présente Convention, qui est également partie à un autre traité, à une autre convention ou à un autre accord international en vigueur au moment de l'entrée en vigueur de la présente Convention et dont les dispositions accordent une protection aux espèces marines inscrites à l'Annexe II, sera dégagé des obligations qui lui sont imposées en vertu des dispositions de la présente Convention en ce qui concerne le commerce de spécimens d'espèces inscrites à l'Annexe II qui sont pris par des navires immatriculés dans cet Etat et conformément aux dispositions dudit traité, de ladite convention ou dudit accord international. 5. Nonobstant les dispositions des Articles III, IV et V de la présente Convention, toute exportation d'un spécimen pris conformément au paragraphe 4 du présent Article ne nécessite qu'un certificat d'un organe de gestion de l'Etat dans lequel il a été introduit attestant que le spécimen a été pris conformément aux dispositions des autres traités, conventions ou accords internationaux en question. 6. Aucune disposition de la présente Convention ne préjuge la codification et l'élaboration du droit de la mer par la Conférence des Nations Unies sur le Droit de la mer convoquée en vertu de la Résolution no 2750 C (XXV) de l'Assemblée générale des Nations Unies, ni les revendications et positions juridiques, présentes ou futures, de tout Etat touchant le droit de la mer, et la nature et l'étendue de sa juridiction côtière et de la juridiction qu'il exerce sur les navires battant son pavillon. -------------------------------------------------------------------------------- Article XV Amendements aux Annexes I et II 1. Les dispositions suivantes s'appliquent en ce qui concerne les amendements apportés aux Annexes I et II lors des sessions de la Conférence des Parties: a) Toute Partie peut proposer un amendement aux Annexes I ou II pour examen à la session suivante de la Conférence. Le texte de la proposition d'amendement est communiqué au Secrétariat 150 jours au moins avant la session de la Conférence. Le Secrétariat consulte les autres Parties et organes intéressés au sujet de l'amendement, conformément aux dispositions des alinéas b) et c) du paragraphe 2 du présent Article et communique les réponses à toutes les Parties 30 jours au moins avant la session de la Conférence. b) Les amendements sont adoptés à la majorité des deux tiers des Parties présentes et votantes. A cette fin "Parties présentes et votantes" signifie les Parties présentes et s'exprimant affirmativement ou négativement. Il n'est pas tenu compte des abstentions dans le calcul de la majorité des deux tiers requise pour l'adoption de l'amendement. c) Les amendements adoptés à une session de la Conférence entrent en vigueur 90 jours après ladite session pour toutes les Parties, à l'exception de celles qui formulent une réserve conformément aux dispositions du paragraphe 3 du présent Article. 2. Les dispositions suivantes s'appliquent en ce qui concerne les amendements apportés aux Annexes I et II dans l'intervalle des sessions de la Conférence des Parties: a) Toute Partie peut proposer un amendement aux Annexes I ou II pour examen dans l'intervalle des sessions de la Conférence des Parties par la procédure de vote par correspondance stipulée dans le présent paragraphe. b) Pour les espèces marines, le Secrétariat, dès réception du texte de la proposition d'amendement, le communique à toutes les Parties. Il consulte également les organismes intergouvernementaux compétents particulièrement en vue d'obtenir toutes données scientifiques que ces organismes sont à même de fournir et d'assurer la coordination de toute mesure de conservation appliquée par ces organismes. Le Secrétariat communique aux Parties dans les meilleurs délais les vues exprimées et les données fournies par ces organismes ainsi que ses propres conclusions et recommandations. c) Pour les espèces autres que les espèces marines, le Secrétariat, dès réception du texte de la proposition d'amendement, le communique aux Parties. Par la suite, il leur transmet ses propres recommandations dans les meilleurs délais. d) Toute Partie peut, dans un délai de 60 jours à partir de la date à laquelle le Secrétariat a transmis ses recommandations aux Parties en application des alinéas b) ou c) ci-dessus, transmettre audit Secrétariat tous commentaires au sujet de la proposition d'amendement ainsi que toutes données et tous renseignements scientifiques nécessaires. e) Le Secrétariat communique aux Parties, dans les meilleurs délais, les réponses qu'il a reçues, accompagnées de ses propres recommandations. f) Si aucune objection à la proposition d'amendement n'est reçue par le Secrétariat dans un délai de 30 jours à partir de la date à laquelle il transmet les réponses et recommandations reçues en vertu des dispositions de l'alinéa e) du présent paragraphe, l'amendement entre en vigueur 90 jours plus tard pour toutes les Parties sauf pour celles qui font une réserve conformément aux dispositions du paragraphe 3 du présent Article. g) Si une objection d'une Partie est reçue par le Secrétariat, la proposition d'amendement doit être soumise à un vote par correspondance conformément aux dispositions des alinéas h), i) et j) du présent paragraphe. h) Le Secrétariat notifie aux Parties qu'une objection a été reçue. i) A moins que le Secrétariat n'ait reçu les votes affirmatifs ou négatifs, ou les abstentions d'au moins la moitié des Parties dans le délai de 60 jours qui suit la date de notification conformément à l'alinéa h) du présent paragraphe, la proposition d'amendement sera renvoyée pour nouvel examen à la session suivante de la Conférence des Parties. j) Dans le cas où le nombre de votes reçus émanent d'au moins la moitié des Parties, la proposition d'amendement est adoptée à la majorité des deux tiers des Parties ayant exprimé un vote affirmatif ou négatif. k) Le Secrétariat notifie aux Parties le résultat du scrutin. l) Si la proposition d'amendement est adoptée, elle entre en vigueur 90 jours après la date de notification par le Secrétariat de son acceptation, à l'égard de toutes les Parties, sauf à l'égard de celles qui font une réserve conformément aux dispositions du paragraphe 3 du présent Article. 3. Durant le délai de 90 jours prévu à l'alinéa c) du paragraphe 1 ou à l'alinéa l) du paragraphe 2 du présent Article, toute Partie peut, par notification écrite au gouvernement dépositaire faire une réserve au sujet de l'amendement. Tant que ladite réserve n'est pas retirée, cette Partie est considérée comme un Etat qui n'est pas Partie à la présente Convention en ce qui concerne le commerce des espèces visées. -------------------------------------------------------------------------------- Article XVI Annexe III et amendements à cette Annexe 1. Toute Partie peut à tout moment soumettre au Secrétariat une liste d'espèces qu'il déclare avoir fait l'objet, dans les limites de sa compétence, d'une réglementation aux fins visées au paragraphe 3 de l'Article II. L'Annexe III comprend le nom de la Partie qui a fait inscrire l'espèce, les noms scientifiques desdites espèces, les parties d'animaux et de plantes concernés et les produits obtenus à partir de ceux-ci, qui sont expressément mentionnés, conformément aux dispositions de l'alinéa b) de l'Article I. 2. Chaque liste soumise en application des dispositions du paragraphe 1 du présent Article est communiquée aux Parties aussitôt après sa réception, par le Secrétariat. La liste entrera en vigueur, en tant que partie intégrante de l'Annexe III, 90 jours après la date de communication. Après communication de ladite liste, toute Partie peut, par notification écrite adressée au gouvernement dépositaire, formuler une réserve au sujet de toute espèce, de toute partie ou de tout produit obtenu à partir des animaux ou plantes concernés, et, tant que cette réserve n'a pas été retirée, l'Etat est considéré comme un Etat non-Partie à la présente Convention en ce qui concerne le commerce de l'espèce ou de la partie ou du produit obtenu à partir des animaux ou plantes concernés. 3. Une Partie qui a inscrit une espèce à l'Annexe III peut en effectuer le retrait par notification écrite au Secrétariat qui en informe toutes les Parties. Ce retrait entre en vigueur 30 jours après la date de cette communication. 4. Toute Partie soumettant une liste d'espèces en vertu des dispositions du paragraphe 1 du présent Article communique au Secrétariat une copie de toutes les lois et des règlements internes applicables à la protection de ces espèces, accompagnée de tout commentaire que la Partie juge nécessaire ou que le Secrétariat peut lui demander. Tant que les espèces en question restent inscrites à l'Annexe III, la Partie communique tout amendement apporté à ces lois et règlements ou tout nouveau commentaire, dès leur adoption. -------------------------------------------------------------------------------- Article XVII Amendements à la Convention 1. Une session extraordinaire de la Conférence des Parties est convoquée par le Secrétariat, si au moins un tiers des Parties en fait la demande par écrit, pour examiner et adopter des amendements à la présente Convention. Ces amendements sont adoptés à la majorité des deux tiers des Parties présentes et votantes. A cette fin, "Parties présentes et votantes" signifie les Parties présentes et s'exprimant affirmativement ou négativement. Il n'est pas tenu compte des abstentions dans le calcul de la majorité des deux tiers requise pour l'adoption de l'amendement. 2. Le texte de toute proposition d'amendement est communiqué par le Secrétariat aux Parties 90 jours au moins avant la session de la Conférence. 3. Un amendement entre en vigueur pour les Parties qui l'ont approuvé le soixantième jour après que les deux tiers des Parties ont déposé un instrument d'approbation de l'amendement auprès du gouvernement dépositaire. Par la suite, l'amendement entre en vigueur pour toute autre Partie 60 jours après le dépôt par ladite Partie de son instrument d'approbation de l'amendement. -------------------------------------------------------------------------------- Article XVIII Règlement des différends 1. Tout différend survenant entre deux ou plusieurs Parties à la présente Convention relativement à l'interprétation ou l'application des dispositions de ladite Convention fera l'objet de négociations entre les Parties concernées. 2. Si ce différend ne peut être réglé de la façon prévue au paragraphe 1 ci-dessus, les Parties peuvent, d'un commun accord, soumettre le différend à l'arbitrage, notamment à celui de la Cour permanente d'arbitrage de la Haye, et les Parties ayant soumis le différend seront liées par la décision arbitrale. -------------------------------------------------------------------------------- Article XIX Signature La présente Convention sera ouverte à la signature à Washington jusqu'au 30 avril 1973 et après cette date, à Berne jusqu'au 31 décembre 1974. -------------------------------------------------------------------------------- Article XX Ratification, acceptation, approbation La présente Convention sera soumise à ratification, acceptation ou approbation. Les instruments de ratification, d'acceptation ou d'approbation seront déposés auprès du gouvernement de la Confédération Suisse, qui est le gouvernement dépositaire. -------------------------------------------------------------------------------- Article XXI Adhésion La présente Convention sera ouverte indéfiniment à l'adhésion. Les instruments d'adhésion seront déposés auprès du gouvernement dépositaire. -------------------------------------------------------------------------------- Article XXII Entrée en vigueur 1. La présente Convention entrera en vigueur 90 jours après le dépôt du dixième instrument de ratification, d'acceptation, d'approbation ou d'adhésion auprès du gouvernement dépositaire. 2. Pour chaque Etat qui ratifiera, acceptera ou approuvera la présente Convention ou y adhérera postérieurement au dépôt du dixième instrument de ratification, d'acceptation, d'approbation ou d'adhésion, la présente Convention entrera en vigueur 90 jours après le dépôt par cet Etat de son instrument de ratification, d'acceptation, d'approbation ou d'adhésion. -------------------------------------------------------------------------------- Article XXIII Réserves 1. La présente Convention ne peut faire l'objet de réserves générales. Seules des réserves spéciales peuvent être formulées conformément aux dispositions du présent Article et de celles des Articles XV et XVI. 2. Tout Etat peut, en déposant son instrument de ratification, d'acceptation, d'approbation ou d'adhésion, formuler une réserve spéciale concernant: a) toute espèce inscrite aux Annexes I, II ou III; ou b) toutes parties ou tous produits obtenus à partir d'un animal ou d'une plante d'une espèce inscrite à l'Annexe III. 3. Tant qu'un Etat Partie à la présente Convention ne retire pas sa réserve formulée en vertu des dispositions du présent Article, cet Etat est considéré comme un Etat qui n'est pas Partie à la présente Convention en ce qui concerne le commerce des espèces, parties ou produits obtenus à partir d'un animal ou d'une plante spécifiés dans ladite réserve. -------------------------------------------------------------------------------- Article XXIV Dénonciation Toute Partie pourra dénoncer la présente Convention par notification écrite adressée au gouvernement dépositaire. La dénonciation prendra effet douze mois après la réception de cette notification par le gouvernement dépositaire. -------------------------------------------------------------------------------- Article XXV Dépositaire 1. L'original de la présente Convention, dont les textes anglais, chinois, espagnol, français et russe font également foi, sera déposé auprès du gouvernement dépositaire qui en transmettra des copies certifiées conformes aux Etats qui l'ont signée ou qui ont déposé des instruments d'adhésion à ladite Convention. 2. Le gouvernement dépositaire informe les Etats signataires et adhérents à la présente Convention et le Secrétariat des signatures, du dépôt des instruments de ratification, d'acceptation, d'approbation ou d'adhésion, de la présentation ou du retrait des réserves, de l'entrée en vigueur de la présente Convention, de ses amendements et des notifications de dénonciation. 3. Dès l'entrée en vigueur de la présente Convention, un exemplaire certifié conforme de ladite Convention sera transmis par le gouvernement dépositaire au Secrétariat des Nations Unies aux fins d'enregistrement et de publication conformément à l'Article 102 de la Charte des Nations Unies. En foi de quoi, les Plénipotentiaires soussignés, dûment autorisés, ont signé la présente Convention. Fait à Washington ce troisième jour de mars, mil neuf cent soixante-treize. Source : http://www.cites.org/fra/disc/text.shtml#texttop
  6. Geste de 1er urgence Saignement d'une griffe Causes Griffe taillée trop courte ou arrachée par accident (exemple, coincée dans un jouet, morsure d'un autre animal). Que faire ? Contrôler l'hémorragie en appliquant de la poudre hémostatique (Quick stop), du nitrate d'argent, de la farine ou de la fécule de maïs. Faire une pression à la base de la griffe et éponger tout résidu de sang avant d'éponger le produit coagulant. Une griffe cassée occasionne de l'inconfort au perroquet pendant quelques heures. Il est normal que l'oiseau tienne sa patte surélevée. Par contre, si elle est arrachée à la racine, la douleur est beaucoup plus vive. Si la plaie est profonde, il y a risque d'infection du doigt. Consultez votre vétérinaire : un antibiotique et un médicament contre la douleur seront peut-être nécessaires. Parfois un bandage de protection est installé. La griffe cassée repousse toujours, à moins que sa racine ait été endommagée. À ce moment, la repousse se fera anormalement (griffe croche, friable, plus courte) ou pas du tout. Saignement du bec Causes Traumatisme (exemple : perroquet qui tombe après avoir subi une mauvaise taille de plumes de vol, qui se fait mordre par un autre oiseau ou qui reste coincé dans un jouet). Que faire ? Contrôler l'hémorragie en appliquant de la farine ou de la fécule de maïs. Il est pratique de verser une bonne quantité du produit sur un morceau de tissu et d'y laisser mordre l'oiseau. Soyez très prudent si vous utilisez de la poudre hémostatique ou du nitrate d'argent pour arrêter le saignement du bout du bec du perroquet, il faut absolument éviter que l'oiseau en ingère, car ces produits sont toxiques et occasionnent des dommages au système digestif - essuyer parfaitement après la manoeuvre. Si le bout de bec de votre perroquet cassé n'est pas tombé, consultez votre vétérinaire. Il faudra peut-être qu'il soit taillé. Cette procédure est délicate et repart souvent le saignement qui doit être à nouveau contrôlé. Une blessure au bec est toujours douloureuse. Certains perroquets refuseront de manger de la nourriture dure (graine, moulée) pendant quelques jours. Il faudra alors leur offrir des repas adaptés composés de nourriture molle (moulée gonflée dans l'eau, riz, pâtes alimentaires, légumes cuits, etc.). N'hésitez pas à nourrir votre perroquet avec de la pâtée d'élevage pendant cette période de transition. Un bec cassé est aussi sensible aux écarts de température. L'eau glacée et les aliments chauds sont à éviter. Lorsque seule l'extrémité du bec a été brisée, il repousse sans problème. Si la blessure a eu lieu sur une autre partie du bec, il est possible qu'il demeure une cicatrice ou un défaut dans la croissance future du bec. Saignement sur le thorax Causes Très courant chez les perroquets aux plumes de vol taillées qui tombent fréquemment au sol. Que faire ? Appliquer une légère pression sur la plaie (l'oiseau a besoin de faire bouger son thorax pour respirer; une pression trop intense pourrait le tuer). Il ne faut jamais appliquer de poudre hémostatique ou de nitrate d'argent sur la peau. Les plaies mineures guérissent bien, seules, à la condition que le perroquet ne chute plus. Un désinfectant (Hibitane ou iode 1%) est appliqué quotidiennement jusqu'à la guérison. Pour les autres cas, voyez le vétérinaire. Des points cutanés sont parfois nécessaires ainsi que l'administration d'antibiotiques. Pour les perroquets très nerveux qui s'élancent sans cesse dans le vide, une serviette épaisse est installée au fond de la cage. Il est aussi recommandé de s'installer sur le divan ou sur un lit lorsqu'on manipule un perroquet cascadeur qui ne cesse de se lancer dans le vide. Saignement d'une plume Causes Traumatisme. (Plume de sang). Une plume en croissance contient un gros vaisseau sanguin, ainsi que des terminaisons nerveuses. Lorsqu'elle est cassée, un saignement plus ou moins important survient. Que faire ? Faire une pression à l'endroit du saignement à l'aide d'un coton sec. Repérer la plume cassée et retirez-la. Si l'opération vous est trop difficile (votre perroquet ne coopère pas du tout), appliquez de la farine sur le bout si l'hémorragie persiste. Vous devez voir le vétérinaire rapidement afin qu'il retire la plume. Sans cette intervention, le saignement peut recommencer à tout moment. Des hémorragies fatales sont possibles. Il ne faut jamais appliquer d'eau ou d'autres liquides sur une plume de sang cassée, cela ravive le saignement. Suite à l'aventure, l'aile ou la queue du perroquet demeurera sensible pendant quelques heures. Il est possible qu'il la tienne un peu écartée de son corps et qu'elle soit tremblotante. C'est normal. Saignement prés du cloaque Causes Plaie causée par des chutes répétées (encore les plumes de vol taillées). Lorsque le perroquet tombe, les plumes caudales sont ramenées vers le haut, étirant la peau entre l'anus et la base de la queue. Ces hyperextensions provoquent le déchirement cutané. Que faire ? Éviter les chutes et ne plus tailler les plumes des ailes du perroquet. Pour les très petites plaies, une désinfection locale est suffisante (Hibitane ou iode 1%). Des points de suture et des antibiotiques sont nécessaires pour les grandes ouvertures. Abdomen gonflé Causes Oeuf retenu (souvent secondaire à une mauvaise alimentation = manque de calcium, vitamine A et D3), tumeur interne (rein, foie, etc.), salpingite (infection de l'utérus provoquant l'accumulation de sécrétions et de débris), lipome (un oiseau obèse accumule souvent des couches de gras au niveau de l'abdomen et du thorax. J'ai reçu dernièrement une perruche de 76 grammes!!!). Que faire ? Comme les causes sont variées, il vaut mieux consulter rapidement. La plupart des problèmes peuvent être réglés. Plumage enduit d'huile Causes Contact avec de l'huile ou de l'eau chaude ou des surfaces chaudes (ampoule allumée). Le perroquet peut aussi se brûler en mâchouillant un fil électrique ou en ingérant de la pâtée trop chaude. Que faire ? Appliquer de l'eau froide sur la brûlure. Dans le cas d'ingestion de pâtée trop chaude, faites boire de l'eau froide immédiatement en massant le jabot. Consultez le vétérinaire. Ne jamais appliquer de corps gras sur une brûlure. Garder l'oiseau dans un endroit calme et chaud. Brûlures Causes Contact avec de l'huile ou de l'eau chaude ou des surfaces chaudes (ampoule allumée). Le perroquet peut aussi se brûler en mâchouillant un fil électrique ou en ingérant de la pâtée trop chaude. Que faire ? Appliquer de l'eau froide sur la brûlure. Dans le cas d'ingestion de pâtée trop chaude, faites boire de l'eau froide immédiatement en massant le jabot. Consultez le vétérinaire. Ne jamais appliquer de corps gras sur une brûlure. Garder l'oiseau dans un endroit calme et chaud. Brûlures mineures externes •Laissez couler de l'eau froide sur la peau. •Séchez convenablement et appliquez une dilution de chlorhexidine (Hibitane) 1/40. •On peut utiliser une crème antibiotique à l'eau (Hibitane / Flamazine, sur prescription). •On peut utiliser une crème antibiotique (genre Polysporin) sur les surfaces cornées, mais jamais sur la peau en contact avec les plumes. Par contre, il faut savoir que ce genre de crème peut causer des levures. •Ne jamais utiliser de crème à base de cortisone (cushing). •Ne mettez surtout pas de beurre, onguent ou tout autre corps gras sur la ou les blessures. •La lésion doit être pansée pour la protéger et la garder propre. L'utilisation de pansement Biodress est recommandée. Brûlures majeures externes •Trempez le membre brûlé dans l'eau froide (ne pas faire couler d'eau sur une brûlure majeure). •Ne touchez pas l'endroit brûlé avec les doigts. •Ne crevez pas les petites cloques qui se forment. •Enduisez la plaie d'une dilution de chlorehexidine 1/40 avec un coton-tige stérile. •On peut utiliser une crème antibiotique à l'eau (Hibitane / Flamazine, sur prescription). •On peut utiliser une crème antibiotique (genre Polysporin) sur les surfaces cornées, mais jamais sur la peau en contact avec les plumes. Par contre, ce genre de crème peut causer des levures. •Ne jamais utiliser de crème à base de cortisone (cushing). •Couvrez la plaie d'un pansement non collant (ne pas utiliser de tissus pelucheux sur la plaie: gaze, ouate, etc.). Pansement Biodress recommandé. •Enveloppez le perroquet dans une couverture épaisse (les grands brûlés refroidissent très rapidement). •Trouvez un vétérinaire… C'est urgent! Brûlures internes •Nourriture ou liquide trop chaud ou cuit (réchauffé) au micro-ondes. Ce genre de brûlure arrive surtout aux bébés perroquets nourris à la main (EAM), lorsque nourris d'aliments chauds à plus de 110°F ou 43°C. •À l'aide d'une seringue, faire boire de l'eau fraîche à l'oiseau, puis masser le jabot pour diluer la nourriture trop chaude. •Il arrive souvent qu'on ne se rende compte de cet état que quelques heures ou jours après l'ingestion. En voici les signes: •Le perroquet refuse de manger. •Coloration brun jaune du jabot (on dirait un bleu). •Perforation du jabot. •Prenez toujours rendez-vous avec votre vétérinaire en cas de brûlure interne. Il faudra parfois avoir recours à la chirurgie pour enlever les tissus brûlés. Brûlures chimiques externes •Rincez la plaie à grande eau froide (tenter d'essuyer la plaie ou la peau à l'aide d'un linge risque d'étendre le produit chimique sur l'oiseau et aggraver le problème). •De l'eau et encore de l'eau! Irriguer la légion atteinte 15-30 minutes. •Mettre dilution de chlorhexidine 1/40 sur la brûlure. •On peut utiliser une crème antibiotique à l'eau (Hibitane / Flamazine, sur prescription). •On peut utiliser une crème antibiotique (genre Polysporin) sur les surfaces cornées, mais jamais sur la peau en contact avec les plumes. Par contre, ce genre de crème peut causer des levures. •Ne jamais utiliser de crème à base de cortisone (cushing). •Panser légèrement la plaie avec un pansement Biodress. •Vétérinaire Brûlures chimiques internes •Les acides produisent une brûlure très corrosive qui induit une nécrose coagulée qui limite la pénétration vers des tissus plus profonds (brûlure sèche). Les lésions sont généralement visibles. •Les alcalis causent une nécrose "liquéfiée" qui permet la pénétration du produit vers des tissus plus profonds. Ils continuent de brûler jusqu'à ce que l'alcali soit neutralisé par les tissus (brûlure liquide). Causent beaucoup de dommage. Que faire •Faites boire à l'oiseau une dilution de lait et d'eau comme neutralisant (grande quantité requise pour diluer le produit). •Vous ne devez pas essayer de neutraliser les acides et alcalis avec les "antidotes" communément suggérés (jus de citron, vinaigre, anti-acide, bicarbonate de soude). Il a été prouvé qu'ils sont non seulement inefficaces, mais qu'en plus ils risquent d'aggraver les brûlures par la chaleur dégagée par la réaction exothermique de neutralisation. (R.W. Gfeller, S.P. Messonnier) Empoissonnement au plomb Le plomb est une des causes les plus fréquentes d'empoisonnement chez nos perroquets de compagnie (saturnisme). Le plomb est un métal usuellement utilisé pour une foule d'articles d'usage courant dont il est souvent difficile d'en préciser la provenance ou la cause dans un cas d'intoxication. Chez les perroquets, ce métal mou et facile à mâchouiller est attrayant autant pour les petites espèces de perroquet que pour les gros. Une fois ingéré, le plomb est désagrégé dans l'estomac par les acides et absorbé dans le sang. L'empoisonnement peut être aigu ou chronique. L'empoisonnement au plomb nécessite l'intervention du vétérinaire qui administrera un antidote à l'oiseau. Le plomb s'attaque à tous les organes (gastro-intestinaux, le foie, système nerveux, moelle des os et système sanguin (détruit les globules rouges)). Il n'est pas rare que le vétérinaire doive faire une chirurgie pour extraire les particules de plomb ingérées. C'est un empoisonnement qui peut être mortel pour son perroquet si on ne réagit pas à temps. Quelques sources d'empoisonnement au plomb Antiquités (teintures, vernis, ferrures) Balles de golf Base d'ampoules Batteries (piles) Bijoux de fantaisie Câbles et fils électriques Certaines fermetures éclair Certaines teintures ou shampoings colorants pour les cheveux Certains émaux ou glaçures de céramique (importation surtout) Cristal de plomb Dolomite Garnitures de vêtement métalliques Graines de plantation (arsenic de plomb) Jouets pour perruche avec contrepoids Lampes Tiffany Linoléum Lubrifiants pour automobile et autres Mastic Matériel de plomberie Métal galvanisé Papier métallique autour de certaines bouteilles de vin ou de champagne Peinture d'artiste en tube Peintures / teintures à base de plomb (vieil appartement ou antiquité) Pièces de jeu de Monopoly Plâtre Plombs de carabine à air Plombs de pêche Poids de rideaux Soldats de plomb Soudure Tains des miroirs Vitraux Vitres teintées Symptômes de l'intoxication par les métaux lourds •Perte de poids •Faiblesse •Dépression •Diarrhée vert-émeraude (symptômes neurologiques: perte d'équilibre, tête penchée, convulsions, perte de la vision) •Vomissement •Anorexie •Grande soif et surproduction d'urine •Sang dans l'urine ou urine rouge vin (plus fréquent chez l'amazone et l'électus) *Il est important de noter que plusieurs bijoux (chaînettes, boucles d'oreilles, bagues, etc.) vendus à prix très bas dans les magasins à grande surface sont parfois composés d'alliages pouvant contenir du plomb. Il n'est pas recommandé de les offrir aux jeunes enfants qui ont parfois l'habitude de les porter à leur bouche. Des cas d'intoxications humaines ont été rapportés au Canada. ** Ces listes ne sont pas exhaustives. Empoisonnement au zinc L'intoxication au zinc est une autre source d'empoisonnement très répandue chez les perroquets. Le zinc est un métal à peu près présent partout dans l'environnement de votre oiseau. Il faut être vigilant. Les peintures Les peintures métallisées ou à dorures (antiquage), les peintures pour automobiles. En fait, il faut se méfier des peintures qui colorent notre environnement quotidien (lampes, meubles, accessoires décoratifs, etc.) et des cages de perroquet de "fabrication maison". Les accessoires de décoration qui veulent donner l'impression d'antiquité ou ceux vendus dans les magasin "du dollar"…tsst..tssst! Le grillage galvanisé Malheureusement, encore de nos jours, le grillage galvanisé est utilisé couramment dans la fabrication de cages ou de volières "maison " pour perroquet. En plus du zinc, ce grillage contient beaucoup d'impuretés telles que le plomb, le cuivre, le fer et l'étain qui sont tous, eux aussi, très toxiques. On a constaté que la plupart des grillages galvanisés contiennent 99% de zinc et que d'autres sont de 98% zinc et 1% plomb…alors, pour ceux qui se posent encore la question sur le grillage galvanisé…! De plus, la rouille, poudre blanche associée au métal galvanisé est hautement toxique. Où encore trouve-t-on du zinc? •Les mangeoires galvanisées (croyez-le ou non, ça existe réellement). •Pièces de jeu de Monopoly •Pièces de monnaie •Les crochets, chaînes, loquets, mousquetons, œillets et autres pièces qui entrent dans la fabrication de jouets pour perroquets. Ces derniers sont souvent galvanisés (apparence terne) ou plaqués zinc (plus brillants). Il vaudrait mieux les remplacer par des accessoires d'acier inoxydable ou plaqués nickel. •Broche •Fertilisant •Oxyde de zinc •Shampoing à base de zinc •Crème ou onguent à base de zinc •Clou, vis et autres quincailleries Mythe fallacieux Encore un mythe qui a l"a couenne dure", celui qui veut qu'on puisse "nettoyer" les matériaux galvanisés ou enduits de zinc avec…du vinaigre!!! Ce procédé aurait pour but de rendre ces matériaux sans danger. IL N'EN EST RIEN! Le nettoyage au vinaigre ne neutralise pas le zinc, que ce soit sur les broches métalliques d'une cage ou dans les pièces de quincaillerie. La galvanisation est une méthode à rabais de protection du métal contre la rouille en le trempant dans du zinc en fusion. L'acier plaqué zinc est le moins cher des aciers. Le nettoyage au vinaigre ne sert qu'à enlever la fine poudre qui se forme sur la surface (excessivement toxique) sans endommager la couche de zinc qui sert de protection au métal. En aucun cas, les milieux acides comme le vinaigre ne neutralisent le zinc. Symptômes de l'intoxication par les métaux lourds •Perte de poids •Faiblesse •Dépression •Diarrhée vert-émeraude (symptômes neurologiques: perte d'équilibre, tête penchée, convulsions, perte de la vision) •Vomissement •Anorexie •Grande soif et surproduction d'urine •Sang dans l'urine ou urine rouge vin (plus fréquent chez l'amazone et l'électus) *Il est important de noter que plusieurs bijoux (chaînettes, boucles d'oreilles, bagues, etc.) vendus à prix très bas dans les magasins à grande surface sont parfois composés d'alliages pouvant contenir du plomb. Il n'est pas recommandé de les offrir aux jeunes enfants qui ont parfois l'habitude de les porter à leur bouche. Des cas d'intoxications humaines ont été rapportés au Canada. ** Ces listes ne sont pas exhaustives. Il c'est fait la belle Que faire ? avertir les voisins. sortir sa cage dehors si possible. mettre des graines, fruits et légumes bien en vue a l'extérieur pour essaye de l'attiré. avertir la mairie. avertir les vétérinaires de la région. mettre des affiches avec récompense ou pas ( perso je pense qu'une récompense sa aide) dans les mairies voisine , les vétérinaires, gendarmerie, écoles, ...... bien sur essayer de le chercher en l'appelant ou en sifflant sont air préféré. faire le tour des site et forum sur les perroquet pour lancer un appel a l'aide. ...... certain perroquet sont retrouvé quelque heure après leur évasion , quelque jours, voir même après des années. alors ne pas perdre espoir tout et possible . Dans tous les cas Dans tous les cas , pas de panique , prenez le temps de bien réfléchir avant toute action pour ne pas aggraver l'urgence de votre oiseau. Ont reste et ont téléphone a sont vétérinaire aviaire pour prendre rendez vous et lui demander conseils. un perroquet qui voie que vous paniqué et courrez dans tous les sens va lui aussi se mettre dans le même état que vous !
  7. Comment trouver sont vétérinaire aviaire ? L'ordre des vétérinaire interdit de publier les nom et adresse des vétérinaire aviaire donc grande difficulté pour nous d'en trouver un proche de notre domicile. par contre rien n'interdit de donner une liste pour connaître c'est fameux numéro de téléphone. en surfant un peut j'ai trouver cette liste forte sympathique des conseils régionaux à contacter afin de leur demander la liste des vétérinaire aviaire proche de chez vous. ALSACE 3 chemin du cuivre 67000 Strasbourg Tel : 0388291056 Départements : Bas Rhin et Haut Rhin AQUITAINE ET TOM OUTRE MER 40 rue de Belfort 33000 Bordeaux Tel : 0556245693 fax : 0556245700 Départements : Dordogne ; gironde ; Landes ; lot et Garonne ; Pyrénées atlantiques ; nouvelle Calédonie ; Polynésie Française AUVERGNE 406 chemin du pal 03290 Dompière/Besbre Tel+fax : 0470346063 Départements : Allier ; Cantal ; Haute Loire ; Puy de dôme BOURGOGNE BP 21069 Dijon 21010cedex Tel : 0380439409 fax : 0280418709 Départements : Cote d'or ; Nièvre ; Saône et Loire ; Yonne BRETAGNE 23 rue Lesage BP 2596 35059 Rennes cedex Tel : 0299637195 fax : 0299388279 Départements : Cote d'Armor ; Finistère ; Ile et Vilaine ; Morbihan CENTRE 23/25 avenue de la libération 4500 Orléans Tel : 0238708108 fax : 0238708109 Départements : Cher ; Eure et Loire ; Indre ; Indre et Loire ; Loire et cher ; Loiret CHAMPAGNE - ARDENNES 2 rue du château vert 08260 Auvilliers les forges Tel : 0324543233 fax : 0324543676 Départements : Ardennes ; Aube ; Marne ; Haute marne FRANCHE CONTE BP 21069 2010 Dijon cedex Tel : 0380439409 fax : 0380418745 Départements : Belfort ; Doubs ; Haute Saône ; Jura ILE DE FRANCE Siège social 34 rue Breguet 75011 paris Tel : 0147001289 fax : 0147002178 Départements : Paris ; Seine et marne ; Yvelines ; Essonne ; haut de seine ; seine st Denis ; Val de marne ; Val d'Oise ; Martinique ; Guyane ; Réunion ; Guadeloupe LANGUEDOC ROUSILLON 23 rue de l'aqueduc romain 34350 Vendres Tel : 0467324516 fax : 0467325398 Départements : Aude ; Gard ; Hérault ; Lozère ; Pyrénées orientales LIMOUSIN 2 place du marché 23700 Auzances Tel : 0555671848 fax : 0555671464 Départements : Corrèze ; Creuse ; Haute Vienne LORRAINE 19 rue de crebagne 57380 Faulquemont Tel : 0387915200 fax : 0387907527 Départements : Meurthe et Moselle ; Meuse ; Moselle ; Vosges MIDI PYRENEES 23 chemin des capells BP 87614 31076 Toulouse cedex 03 Tel : 0534504447 fax : 0534504756 Départements : Ariège ; Aveyron ; Haute Garonne ; Gers ; Lot ; haute Pyrénées ; Tarn ; Tarn et Garonne NORD PAS DE CALAIS 39 rue fleury proust 59500 Douai Tel : 0327968438 fax : 0327971602 Départements : Nord et pas de calais NORMANDIE 12 rue michel 14000 Caen Tel : 0231521101 fax : 0231342034 Départements : Calvados ; Eure ; Manche ; Orne ; Seine maritime PACA 183 avenue maréchal Lyautey 0600 Nice Tel : 0493807046 fax : 0493851898 Départements : Alpes de hautes Provence ; Alpes maritimes ; bouche du Rhône ; Corse ; Var et Vaucluse PAYS DE LOIRE Parc club du perray 6 rue de la rainiere BP 63916 Nantes cedex 44339 Tel : 0240500663 fax : 0240506917 Départements : Loire atlantique ; Maine et Loire ; Mayenne ; Sarthe ; Vendée PICARDIE 18 rue cormont 80000 Amiens Tel : 0327968438 fax : 0327973352 Départements : Aisne ; Oise ; Somme RHONE - ALPES 110 avenue barthélémy bujet 69009 Lyon ;; Tel : 0472571665 fax : 0472571669 Départements : Ain ; Ardèche ; Drome ; Isère ; Loire ; Savoie ; Haute Savoie liste trouvé sur le forum : http://www.nospsittacides.net/forum/viewtopic.php?t=2485
  8. Comment trouver sont vétérinaire aviaire ? L'ordre des vétérinaire interdit de publier les nom et adresse des vétérinaire aviaire donc grande difficulté pour nous d'en trouver un proche de notre domicile. par contre rien n'interdit de donner une liste pour connaître c'est fameux numéro de téléphone. en surfant un peut j'ai trouver cette liste forte sympathique des conseils régionaux à contacter afin de leur demander la liste des vétérinaire aviaire proche de chez vous. ALSACE 3 chemin du cuivre 67000 Strasbourg Tel : 0388291056 Départements : Bas Rhin et Haut Rhin AQUITAINE ET TOM OUTRE MER 40 rue de Belfort 33000 Bordeaux Tel : 0556245693 fax : 0556245700 Départements : Dordogne ; gironde ; Landes ; lot et Garonne ; Pyrénées atlantiques ; nouvelle Calédonie ; Polynésie Française AUVERGNE 406 chemin du pal 03290 Dompière/Besbre Tel+fax : 0470346063 Départements : Allier ; Cantal ; Haute Loire ; Puy de dôme BOURGOGNE BP 21069 Dijon 21010cedex Tel : 0380439409 fax : 0280418709 Départements : Cote d'or ; Nièvre ; Saône et Loire ; Yonne BRETAGNE 23 rue Lesage BP 2596 35059 Rennes cedex Tel : 0299637195 fax : 0299388279 Départements : Cote d'Armor ; Finistère ; Ile et Vilaine ; Morbihan CENTRE 23/25 avenue de la libération 4500 Orléans Tel : 0238708108 fax : 0238708109 Départements : Cher ; Eure et Loire ; Indre ; Indre et Loire ; Loire et cher ; Loiret CHAMPAGNE - ARDENNES 2 rue du château vert 08260 Auvilliers les forges Tel : 0324543233 fax : 0324543676 Départements : Ardennes ; Aube ; Marne ; Haute marne FRANCHE CONTE BP 21069 2010 Dijon cedex Tel : 0380439409 fax : 0380418745 Départements : Belfort ; Doubs ; Haute Saône ; Jura ILE DE FRANCE Siège social 34 rue Breguet 75011 paris Tel : 0147001289 fax : 0147002178 Départements : Paris ; Seine et marne ; Yvelines ; Essonne ; haut de seine ; seine st Denis ; Val de marne ; Val d'Oise ; Martinique ; Guyane ; Réunion ; Guadeloupe LANGUEDOC ROUSILLON 23 rue de l'aqueduc romain 34350 Vendres Tel : 0467324516 fax : 0467325398 Départements : Aude ; Gard ; Hérault ; Lozère ; Pyrénées orientales LIMOUSIN 2 place du marché 23700 Auzances Tel : 0555671848 fax : 0555671464 Départements : Corrèze ; Creuse ; Haute Vienne LORRAINE 19 rue de crebagne 57380 Faulquemont Tel : 0387915200 fax : 0387907527 Départements : Meurthe et Moselle ; Meuse ; Moselle ; Vosges MIDI PYRENEES 23 chemin des capells BP 87614 31076 Toulouse cedex 03 Tel : 0534504447 fax : 0534504756 Départements : Ariège ; Aveyron ; Haute Garonne ; Gers ; Lot ; haute Pyrénées ; Tarn ; Tarn et Garonne NORD PAS DE CALAIS 39 rue fleury proust 59500 Douai Tel : 0327968438 fax : 0327971602 Départements : Nord et pas de calais NORMANDIE 12 rue michel 14000 Caen Tel : 0231521101 fax : 0231342034 Départements : Calvados ; Eure ; Manche ; Orne ; Seine maritime PACA 183 avenue maréchal Lyautey 0600 Nice Tel : 0493807046 fax : 0493851898 Départements : Alpes de hautes Provence ; Alpes maritimes ; bouche du Rhône ; Corse ; Var et Vaucluse PAYS DE LOIRE Parc club du perray 6 rue de la rainiere BP 63916 Nantes cedex 44339 Tel : 0240500663 fax : 0240506917 Départements : Loire atlantique ; Maine et Loire ; Mayenne ; Sarthe ; Vendée PICARDIE 18 rue cormont 80000 Amiens Tel : 0327968438 fax : 0327973352 Départements : Aisne ; Oise ; Somme RHONE - ALPES 110 avenue barthélémy bujet 69009 Lyon ;; Tel : 0472571665 fax : 0472571669 Départements : Ain ; Ardèche ; Drome ; Isère ; Loire ; Savoie ; Haute Savoie liste trouvé sur le forum : http://www.nospsittacides.net/forum/viewtopic.php?t=2485
  9. sylvain951

    Petit oisillon

    non a la tomber du jours il devrait moins reclamer je pense
  10. sylvain951

    Petit oisillon

    de memoire il me semble avoir lus que ca mange toute les heures
  11. sylvain951

    Petit oisillon

    pour le torchon ou le coton je ne c pas, a mon avis le coton et dangereux en cas d'indigestion. pour la lampe si tu en a une oui il faudrait lui mettre. il n'y avait pas le nie la ou ton fils la trouver? car la meilleur chose a faire et de le remettre dedans
  12. sylvain951

    Petit oisillon

    sinon il et trop choux ce bébé
  13. sylvain951

    Petit oisillon

    je c juste qu'il ne faut trop le manipulé sinon tu ne poura pas lui rendre sa liberté, il moura dans les heures suivant sa remise en liberté. contante toi de le toucher juste pour le nourire, rien de plus
  14. Choix et aménagement d'une cage Le choix de la cage La taille de la cage va dépendre de l'espèce de l'oiseau que vous voulez adopter et du nombre d'oiseaux que vous voulez placer dans cette cage. Vous devez éviter le surpeuplement qui est source de nombreuses maladies. Il est préférable de choisir d'abord l'oiseau que vous souhaitez acheter et de sélectionner ensuite la cage qui lui convient le mieux. En effet, certains oiseaux de grande taille ne peuvent pas vivre dans des cages et devront loger dans des volières spacieuses. Si vous habitez en appartement, nous vous conseillons de choisir des oiseaux de petite taille pouvant vivre en cage ou de transformer une pièce de votre appartement en volière pour accueillir des oiseaux de grand format. Les dimensions de la cage Nous vous conseillons de choisir une cage la plus grande possible car un oiseau en captivité a besoin d'espace pour pouvoir voler, se sentir bien et être en bonne santé. En effet, l'oiseau va passer dans sa cage la majorité voire la totalité de son temps. Les oiseaux qui aiment grimper comme les perroquets apprécieront une cage haute. Les passereaux voleront mieux dans une cage de forme allongée. Exemple 1 : Une cage destinée à un petit passereau qui vivra en appartement doit au minimum mesurer un mètre de long avec une hauteur de 70 cm et une profondeur de 40 cm. Exemple 2 : Si vous achetez un mainate, vous devez choisir une grande cage pour perroquet et non la cage pour mainate que vous proposera le vendeur qui sera trop petite. Le modèle de cage •La forme de la cage Dans les animaleries vous trouverez de nombreux modèles de cage. Vous ne devez pas vous laisser séduire par certains modèles très décoratifs mais non adaptés aux besoins des oiseaux. Par exemple, les cages rondes ou pointues ne conviennent pas. Il est préférable de choisir une cage de forme rectangulaire ou carrée. •Les portes La ou les portes doivent vous permettre d'accéder facilement à l'intérieur de la cage afin de pouvoir capturer aisément l'oiseau. La taille de la porte doit être suffisante pour que vous puissiez introduire votre main et l'oiseau sans le blesser. Le système de fermeture des portes doit être inviolable surtout pour les perroquets. Ils sont capables avec leur bec d'ouvrir de nombreuses portes de cage et il est dangereux de les laisser voler dans un appartement sans surveillance. •Les barreaux Pour les Psittacidés (perroquets et perruches), des barreaux verticaux sont préférables à des barreaux horizontaux dans lesquels l'oiseau peut se luxer une aile. Pour les autres oiseaux, le sens des barreaux n'a pas d'importance. L'espace entre les barreaux ou la taille des mailles du grillage ne doivent pas permettre à l'oiseau d'y passer la tête sous peine d'accident. Le diamètre des barreaux dépend également de la taille des pattes de l'oiseau. Les barreaux lisses sont les plus utilisés, en effet les barreaux à rainure peuvent créer des irritations des pattes. •L'entretien de la cage Pour faciliter le nettoyage, il est judicieux de choisir une cage à fond amovible. Le fond de la cage doit être si possible séparé par une grille du fond de la cage pour éviter que les pattes de l'oiseau ne soient en contact avec ses déjections. Le fond de la cage est garni d'une litière absorbante comme du sable ou de l'argile pour chats. Il faut éviter le papier et les sciures de bois. Une cage en plastique manque d'aération et favorisera les problèmes respiratoires. La cage doit être nettoyée et désinfectée régulièrement. Il faut pour cela choisir un modèle faciles à nettoyer et qui ne rouille pas. Les accessoires présents dans la cage •Les perchoirs Différents perchoirs seront installés dans la cage à des niveaux différents. Leur diamètre dépend celui de la patte de l'oiseau. Par exemple, les canaris ont besoin de perchoirs de 1 cm de diamètre alors que ceux destinés aux perroquets mesureront 3 à 4 centimètres. •la mangeoire et l'abreuvoir Leur taille devra être adaptée au nombre d'oiseaux présents dans la cage ou la volière. On veillera à changer l'eau et les légumes frais présents dans la cage tous les jours. •le nid Vous devez aussi placer dans la cage un nid ou une boîte en bois où l'oiseau pourra se réfugier en cas de peur et s'isoler quand il en ressent le besoin. Il est déconseillé de placer un nid dans une cage contenant une femelle seule car celle-ci va pondre sans pouvoir avoir de poussins et risque des problèmes de santé comme la rétention d'œuf par exemple. Si vous avez un couple et que vous souhaitez le faire reproduire, vous devez acheter un nid adapté à l'espèce dans les magasins spécialisés. Les passereaux utilisent des nids de type corbeille. Les perruches et les perroquets sont cavernicoles et nichent dans la nature dans des cavités comme celles des arbres creux. Le nichoir sera soit un nichoir bûche, soit un nichoir fermé avec une ouverture dont le diamètre dépendra de l'oiseau. Le diamètre du trou sera de 4 cm de diamètre pour la perruche ondulée et de 4,5 cm pour la perruche callopsite. Ce nichoir sera placé en hauteur dans la cage et surtout pas au sol. •la baignoire Les passereaux aiment prendre des bains dans des baignoires de taille suffisante pour qu'ils puissent s'ébattre. Vous devez leur proposer la baignoire tous les jours en la fixant par exemple à une porte. Les perruches et les perroquets apprécieront des brumisations à l'eau tiède effectuées soit à travers les barreaux soit à l'extérieur de la cage si l'oiseau est familier. Certains propriétaires leur donnent même des douches légères. •Les jouets Les jouets ne doivent pas être trop nombreux pour ne pas encombrer la cage et laisser la possibilité à l'oiseau de voler. Le choix des jouets va dépendre de l'espèce d'oiseau que vous possédez. Si vous en possédez plusieurs, vous pouvez les utiliser à tour de rôle. L'emplacement de la cage L'emplacement de la cage est capital à la bonne santé de vos oiseaux. Pour choisir judicieusement cet emplacement , plusieurs facteurs doivent être pris en compte: •L'air et la température Les oiseaux sont sensibles aux brusques changements de température et aux courants d'air. La cage doit donc être placée dans une pièce à température stable et non exposée aux courants d'air mais bien aérée. Par exemple, la cuisine n'est pas le lieu idéal pour installer vos oiseaux. •L'ensoleillement Les oiseaux apprécient d'être exposés directement au soleil sauf l'été aux heures très chaudes. Il faut pour cela ouvrir la fenêtre ou placer la cage sur le balcon à l'abri des courants d'air, mais il ne faut pas placer la cage derrière une vitre (effet de serre). La cage doit être placée dans une pièce lumineuse et les oiseaux doivent bénéficier d'exposition directe aux rayons du soleil. En effet, les ultra-violets ne franchissent pas les vitres. •L'humidité L'humidité favorise notamment les maladies respiratoires et vous devez éviter d'exposer les oiseaux à la pluie ou à une atmosphère humide. Les oiseaux n'apprécient ni la fumée (cigarettes, cheminée), ni les vapeurs de cuisine. Si vous avez la chance de pouvoir disposer d'une pièce réservée aux oiseaux, il est souhaitable d'équiper cette pièce d'un bon appareil de chauffage et d'un système de ventilation et filtration de l'air ambiant. •Le stress Les oiseaux sont sensibles au stress. Vous devez éviter les gestes brusques, le bruit, la présence de personnes auxquels ils ne sont pas habitués. Certains oiseaux apprécient la musique à condition de choisir un niveau sonore correct. La présence d'un chat, d'un chien ou même d'un furet peut aussi les effrayer. Bien que les oiseaux soient sensibles aux dérangements de toute sorte, ils ont besoin de votre présence et de vos soins quotidiens. Ils vous connaissent et n'aiment pas être délaissés surtout dans le cas des Psittacidés. La liberté surveillée A moins que vous ne disposiez d'une pièce transformée en volière, vous aurez probablement envie de laisser votre oiseau voler dans votre appartement de temps en temps. Vous ne devez libérer votre ou vos oiseaux que lorsque vous êtes présents pour le surveiller. Un appartement présente de nombreux dangers pour un oiseau en liberté. Votre oiseau peut avaler des petits objets pouvant occasionner des occlusions intestinales par exemple. Il sera ravi d'aller goûter à vos plantes vertes décoratives, mais beaucoup d'entre elles sont toxiques. L'oiseau peut également se cogner aux vitres ou aux miroirs en volant. Il peut s 'échapper par une fenêtre ouverte. Les plaques électriques sont des sources potentielles de brûlure des pattes. Voici quelques exemples de petits accidents domestiques qui peuvent mettre en péril la santé de votre oiseau. C'est pourquoi nous vous recommandons de libérer votre oiseau uniquement lorsque vous êtres présents. Le mots de l'equipe Perroquet du monde : Une cage n'ai jamais trop grande, mais toujours trop petite vous passeriez vous toute la journée dans une piece grande comme vos WC ? Source: http://www.wanimo.com/fr/oiseaux/info-pratique/achat-d-un-oiseau-cc152/choix-et-amenagement-d-une-cage-cf483/
  15. Comment choisir un oiseau ? Décider d'adopter un animal n'est jamais à prendre à la légère. Si vous souhaitez adopter un oiseau, il faudra bien y réfléchir, choisir l'espèce qui vous convient le mieux et vous informer au maximum sur les besoins de l'espèce en question. Votre nouveau compagnon devra disposer d'une cage la plus spacieuse possible placée dans un endroit tranquille. Vous devrez également prévoir du temps pour vous occuper de lui. Il faut savoir que les oiseaux sont le plus souvent bruyants et que ce sont des animaux de compagnie plutôt salissants. Il faudra choisir l'espèce en fonction de votre tolérance aux bruits et être prêt à passer souvent le balai ou l'aspirateur autour de leur cage. Les enfants et les oiseaux Les oiseaux ne sont pas des animaux de compagnie idéaux pour les enfants, surtout pour les très jeunes enfants. Si votre enfant souhaite adopter un oiseau, il vous faudra aussi être prêt à vous en occuper. Il est alors préférable que votre enfant déjà assez âgé et assez mature pour comprendre la responsabilité que représente l'adoption de cet oiseau. Certaines espèces, comme les perruches callopsittes sont plus particulièrement recommandées pour les enfants. En effet les callopsittes sont des oiseaux assez calmes et pacifiques, de plus une fois apprivoisées, elles sont très câlines. Evitez que les très jeunes enfants ne touchent la cage des perruches ou des perroquets, car ils risquent de leur faire peur et de se faire mordre à travers les barreaux. Si votre enfant est asthmatique ou allergique au chien ou au chat et qu'il veut adopter un oiseau, il sera prudent de consulter un allergologue afin d'être sûr qu'il n'y a pas de contre-indication. Quelle espèce d'oiseau choisir ? Des petits becs droits (canaris ou mandarin) ou des perruches en couple sont à choisir de préférence si vous avez peu de temps à consacrer à vos futurs oiseaux. Si au contraire vous voulez avoir une relation privilégiée avec votre oiseau, une perruche ou un perroquet apprivoisé peut être un charmant animal de compagnie qui pourra apprendre quelques tours voire quelques mots. Gardez toujours à l'esprit avant d'acheter un oiseau, que sa durée de vie peut être longue: de 5 à 10 ans pour les plus petits (canaris…), jusqu'à 50 ans voire 80 ans pour les plus grands perroquets. Les petits oiseaux à becs droits, comme les Canaris ou les Mandarins, ont de belles couleurs, des comportements très intéressants à observer et les Canaris, en particulier, ont un chant très agréable à entendre. Les perruches ont de très belles couleurs, sont très belles à regarder et peuvent être apprivoisées d'autant plus que vous les adoptez jeunes ou qu'elles ont été élevées à la main. Certaines perruches, notamment les perruches ondulées mâles, peuvent apprendre à prononcer quelques mots. D'autres peuvent apprendre à siffler des airs, comme les mâles callopsittes. Les perroquets sont des animaux très intelligents, la plupart peuvent apprendre quelques mots, certaines espèces étant très réputées pour leur capacité à parler, comme le perroquet Gris du Gabon ou les Amazones. Le choix d'un perroquet n'est cependant pas à prendre à la légère, en effet ils sont très intelligents et peuvent souffrir de troubles du comportement (cris, agressivité, picage…) s'ils ne sont pas détenus dans des conditions idéales et s'ils n'ont pas été bien éduqués. L'achat proprement dit Toutes ces considérations prises en compte, vous pouvez aller acheter votre nouveau compagnon dans une animalerie ou directement chez un éleveur. Voici quelques conseils qui faciliteront votre choix. Nous vous conseillons de choisir un animal jeune (deux à trois mois environ) afin de pouvoir l'apprivoiser facilement. Des oiseaux importés ont été régulièrement disponibles en animalerie jusqu'à aujourd'hui. Ils étaient capturés en milieu sauvage et avaient donc généralement très peur de l'homme. Ils sont généralement cédés moins chers et sont reconnaissables par l'absence à leur patte de bague fermée (preuve de naissance en captivité, car elles ne peuvent être posées que sur des jeunes encore au nid) et la présence d'une bague ouverte, refermée autour de la patte à l'aide d'une pince après la capture. Un perroquet importé aura généralement très peur de l'homme et sera donc un très mauvais choix si vous recherchez un perroquet de compagnie. Mieux vaut donc économiser plus longtemps et prendre un jeune oiseau d'élevage. Concernant les perruches et perroquets, il est d'ailleurs possible d'adopter des jeunes oiseaux déjà apprivoisés qui ont été élevés à la main. Il faut cependant bien faire attention à ce que le jour de l'adoption le jeune oiseau soit bien sevré : il faut qu'il soit capable de manger par lui-même et ne doit plus recevoir de pâtée d'élevage à la seringue. Certains éleveurs malhonnêtes vendent des jeunes non sevrés à des personnes inexpérimentées en leur disant que « c'est tout simple » ce qui est faux et peut entraîner une catastrophe. Le nourrissage d'un jeune oiseau ne s'improvise pas et le cap du sevrage est particulièrement délicat. On voit trop souvent des jeunes vendus non sevrés mourir dans les bras de leur nouveau propriétaire désespéré, qui s'y était déjà attaché et se sent coupable. Le sevrage a généralement lieu entre 2 et 3 mois selon l'espèce, voire beaucoup plus pour les plus grands perroquets. Si vous êtes toute la journée absents, vous pouvez aussi choisir de prendre deux oiseaux de la même espèce qui cohabiteront et qui se tiendront mutuellement compagnie lorsque vous ne serez pas là. Attention, si vous adoptez un mâle et une femelle, n'oubliez pas qu'une fois vos oiseaux devenus adultes, ils souhaiteront se reproduire, éviter donc d'adopter un mâle et une femelle issus des mêmes parents ou d'espèces différentes pour éviter la consanguinité ou l'hybridation. Si vous détenez votre couple dans les meilleures conditions et leur mettez un nid, vous pourrez les voir s'accoupler et la femelle pondra. La réussite de la reproduction n'est jamais assurée et de nombreuses conditions sont à remplir, d'un autre côté, si vous avez des jeunes, vous pourrez avoir des problèmes pour placer les nombreux petits qui naîtront. Si vous ne voulez pas de reproduction, prenez deux oiseaux du même sexe. Pour information, chez certaines espèces, il est impossible de différencier le mâle de la femelle à l'œil nu, certains éleveurs passent donc par des laboratoires qui déterminent le sexe des oiseaux grâce à leur ADN. Assurez-vous que votre futur petit compagnon soit en bonne santé en contrôlant les points suivants: •Plumage brillant et lisse. •Yeux brillants et regard vif. •Absence de plaies. •Pas d'yeux qui "pleurent", ni de narines qui coulent, ni d'éternuements. •Le « cloaque », c'est-à-dire l'arrière train, doit être propre sans traces de fientes collées. •De même les fientes visibles doivent être fermes, moulées, de couleur blanche (les urates) et vert sombre (les matières fécales). Des fientes liquides peuvent être un signe de stress ou de maladies (diarrhée). •Votre futur compagnon doit pouvoir se déplacer facilement et ne pas avoir de problème pour voler et grimper dans sa cage. •Enfin si vous voyez un oiseau malade ou si l'hygiène de l'endroit vous semble douteuse, allez chercher votre futur compagnon ailleurs ! Le mots de l'equipe Perroquets du monde: Nous vous conceillons d'adopter votre compagnon au pres d'un eleveur, les prix etant beaucoup moins chere et la "qualité" etant beaucoup plus superieure a ceux trouver generalement en animalerie Papier a demander lors de la reception de votre compagnon : - Le certificat de session - le certificat de sexage - le resultat des differants test t'elle que la PBDF Source: http://www.wanimo.com/fr/oiseaux/info-pratique/achat-d-un-oiseau-cc152/-l-achat-proprement-dit-cf492/
  16. Les intoxications chez les oiseaux Les symptômes En cas d'intoxication, les symptômes sont assez nombreux. Il est important de toujours bien surveiller votre oiseau. En effet, comme il ne peut pas s'exprimer, c'est par l'observation de ses symptômes que vous pourrez déceler une intoxication au plus tôt, ce qui peut lui sauver la vie. Les symptômes généralement constatés sont : •un abattement important •un plumage ébouriffé •des tremblements et des convulsions •une perte de l'appétit •une paralysie, ou raideur des pattes et des ailes •des régurgitations ou des vomissements •des diarrhées •des difficultés respiratoires •il peut même tomber dans le coma Si votre oiseau présente un ou plusieurs symptômes, appelez votre vétérinaire IMMEDIATEMENT. Les intoxications par les plantes Tout d'abord, lorsque vous choisissez des perchoirs en bois ou des plantes à mettre dans vos volières, assurez vous qu'il s'agit bien d'espèces végétales non toxiques, comme par exemple le saule, le noisetier, les arbres fruitiers non traités ou le bambou. Lors de sorties à l'extérieur de sa cage, ne laissez pas votre oiseaux manger vos plantes d'intérieurs. La plupart sont en effet toxiques. Les aliments dangereux pour les oiseaux Certains aliments que nous mangeons couramment sont déconseillés voire mortels pour nos oiseaux : •L'ingestion d'avocat est ainsi mortelle pour les oiseaux. La dose mortelle dépend de l'espèce, mais le décès survient généralement rapidement suite à une insuffisance respiratoire. •Le chocolat et le café sont eux-aussi toxiques pour les oiseaux. En effet la caféine et la théobromine sont des excitants puissants. Vu le faible poids d'un oiseau, la dose toxique est très rapidement atteinte. •L'alcool, les aliments salés ou sucrés sont à proscrire eux-aussi. Là encore la dose dangereuse est vite atteinte. •Dans le doute, mieux vaut éviter le persil et la rhubarbe (principalement les feuilles). En effet certaines sources classent ces aliments parmi les aliments toxiques. Les intoxications causées par des gaz et des produits chimiques Les oiseaux sont particulièrement sensibles au niveau respiratoire. Il est très déconseillé de placer leur cage dans une cuisine, en effet les fumées de cuisson sont rapidement toxiques. C'est le cas notamment des gaz produits par des ustensiles trop chauffés comportant du Téflon (poêles anti-adhésives, grille-pain, sèche-cheveux, etc.). Sous l'action d'une chaleur excessive, le téflon produit un gaz inodore, incolore, sans danger pour l'homme mais mortel pour les oiseaux : le Tétra-fluoroéthylène. Les produits de nettoyage peuvent aussi être dangereux, car ils sont souvent concentrés et leurs vapeurs irritantes pour l'homme peuvent rapidement devenir dangereuses pour les oiseaux. Conclusion Si vous observez ne serait-ce qu'un seul symptôme, consultez au plus tôt votre vétérinaire. Si vous avez en votre possession le toxique absorbé, prenez-le avec vous et montrez-le à votre vétérinaire. Si ce n'est pas le cas, notez précisément le début des symptômes et leur évolution. Et rappelez-vous que c'est de la rapidité d'intervention que dépend souvent la survie de votre oiseau. Source: http://www.wanimo.com/fr/oiseaux/fiches-sante/la-sante-des-oiseaux-cc141/les-intoxications-chez-les-oiseaux-cf490/
  17. La mue physiologique La mue est le changement de plumage de l'oiseau. Les plumes Les plumes sont des productions cornées particulières aux oiseaux. Elles ont plusieurs rôles : •elles permettent l'isolation thermique du corps de l'oiseau. •elles assurent l'aérodynamisme en augmentant la surface corporelle (ailes–queue). •elles permettent aux oiseaux d'une même espèce de se reconnaître. •elles sont présentes chez les mâles lors des parades nuptiales (rôle attractif). Ces plumes ont une durée de vie limitée. Elles s'usent et doivent être remplacées pour conserver leurs différents rôles. Elles représentent environ 10 % du poids de l'oiseau et leur nombre varie en fonction de l'espèce. Par exemple, un canari possède 1 500 plumes, une tourterelle 2 500 plumes. Après quelques mois ou quelques années, la plume se détache et tombe. Elle est remplacée par une nouvelle plume qui se développait déjà à partir du même follicule plumeux. Cette période de mue est importante et éprouvante pour l'oiseau. Si les oiseaux sont en bonne santé et que leur alimentation est bien adaptée à leurs besoins, la mue se déroule normalement. Si l'oiseau est malade ou souffre de carences, la mue pourra être longue, partielle ou encore retardée. Les plumages successifs chez l'oisillon •Le plumage natal (néoptile): premier plumage constitué de duvet présent sur le corps de façon plus ou moins développé chez les oisillons suivant les espèces. •Le plumage pré-juvénile: lors de la mue post-natale, le duvet est remplacé par les plumes juvéniles. •Le plumage juvénile: il correspond à l'apparition des premières vraies plumes de contours. Chez les nidicoles (espèces dont les petits naissent sans plumes et qui restent au nid jusqu'à ce qu'ils soient capables de voler et de se nourrir, ex. le perroquet), les plumes apparaissent rapidement avant le départ du nid. Chez les nidifuges (espèces dont les petits naissent avec un duvet et qui suivent leurs parents dés leur naissance, ex. les canards), cette mue juvénile est plus progressive et plus tardive. Les principaux plumages successifs de l'adulte •Le plumage post-juvénile •Le plumage prénuptial: il précède la période de nidification. •Le plumage nuptial: lors des parades. •Le plumage post nuptial après la période de nidification. •Le plumage du 2ème hiver. •Le plumage de la 2ème mue prénuptiale •etc. La période de la mue La mue est souvent associée à la période de reproduction de l'espèce. Elle dure plusieurs semaines et se situe à des périodes variables au cours de l'année suivant les espèces. Chez les passereaux, la mue a lieu après la fin de période de reproduction, à la fin de l'été. Elle dure un mois à un mois et demi. Le chant est souvent interrompu pendant cette période. Chez le canari, elle se déroule le plus souvent en juillet et en août. 'est également le cas chez les perroquets. Chez certains psittacidés, la mue est plus discrète. Elle se déroule toute l'année avec des pics saisonniers (printemps et été pour les perruches ondulées par exemple) Les modalités de la mue Selon les espèces, la mue peut être massive: c'est le cas chez les canaris et de nombreux passereaux exotiques. La mue se déroule de façon différente suivant le type de plumes concernées. Pour les plumes de couverture, elle n'est pas simultanée ainsi l'oiseau ne se retrouve jamais nu. Pour les plumes servant au vol, la mue s'effectue dans un ordre défini, de façon synthétique et progressive pour ne pas gêner le vol. Chez les canards, cette mue est simultanée. Pendant quelques semaines, les oiseaux se cachent car ils ne peuvent pas voler. On parle alors d'éclipse. Le déterminisme de la mue est complexe. De nombreux facteurs jouent un rôle dans son déclenchement: la photopériode (c'est-à-dire l'alternance jour-nuit), les sécrétions hormonales, la période de reproduction et les conditions de vie. Chez les oiseaux en captivité, cet équilibre complexe entre les différents facteurs est souvent modifié et des mues anormales apparaissent. Les hormones sexuelles influencent la couleur, la forme et la disposition des plumes en croissance. D'autres facteurs favorisent aussi la mue. Il s'agit de la température, l'humidité, la luminosité, l'alimentation, la ponte ou encore le sexe de l'oiseau. Il faut savoir que la mue est une période critique pour l'oiseau. Ces os sont fragilisés et plus sujets aux fractures, car les réserves de calcium des os sont utilisées pour la fabrication des nouvelles plumes. Les besoins en protéines de bonne qualité sont élevés chez l'oiseau pendant la période de mue. En effet, les plumes sont constituées de kératine, protéine constituée principalement d'acides aminés soufrés. Il faut donc donner plus de protéines et de sels minéraux aux oiseaux pendant cette période. Ainsi, la qualité des plumes qui repoussent dépend de la richesse en acides aminés soufrés de la ration. Souvent l'oiseau est fatigué durant cette période : il ne chante plus et est plus sensible aux infections. Conclusion L'aspect du plumage reflète l'état de santé de l'oiseau. La mue étant une période éprouvante pour l'oiseau, il faut particulièrement surveiller son alimentation et ses conditions de vie pendant cette période. Votre vétérinaire peut vous proposer des compléments alimentaires spéciaux pour cette période de mue. Source: http://www.wanimo.com/fr/oiseaux/fiches-sante/la-sante-des-oiseaux-cc141/la-mue-physiologique-cf481/
  18. Les espèces Africaines et Asiatiques (tous de l'espèce psittacidés, sous-famille psittacinae, mais pas les sous-espèces) Inséparable - Agapornis : Inséparable de Madagascar (à tête grise) - Agapornis cana Inséparable à face rouge - Agapornis pullaria Inséparable d'Abyssinie - Agapornis taranta Inséparable de Fischer- Agapornis fischeri Inséparable Masqué- Agapornis personata Inséparable à joues noires- Agapornis nigrigenis Inséparable de Lilian ou Nyassa- Agapornis lilianae Inséparable à collier- Agapornis swinderniana Grand perroquet Vasa - Coracopsis vasa Petit perroquet noir - Coracopsis nigra Loricule & Coryllis - Loriculus : Loricule ou Coryllis Vernal (ou d'inde) - Loriculus vernalis Loricule de Ceylan - Loriculus beryllinus Loricule des plilippines - Loriculus philippensis Coryllis des Moluques - Loriculus amabilis Loricule ou coryllis à tête d'or - Loriculus aurantifrons Loricule à gorge jaune - Loriculus pusillus Coryllis vert - Loriculus exilis Coryllis de Wallace - Loriculus flosculus Loricule à tête bleue - Loriculus galgulus Loricule à tête rouge - Loriculus stigmatus Perroquet - Poicephalus : Perroquet robuste - Poicephalus robustus Perroquet à calotte rouge - Poicephalus guglielmii Perroquet à face jaune - Poicephalus flavifrons Perroquet du sénégal - Poicephalus senegalus Perroquet des niam niam - Poicephalus crassus Perroquet à ventre rouge - Poicephalus rufiventris Perroquet de Meyer - Poicephalus meyeri Perroquet de Ruppell - Poicephalus ruppellii Perroquet à tête brune - Poicephalus cryptoxanthus Perruche - Psittacula : Perruche Alexandre - Psittacula eupatria Perruche à collier - Psittacula krameri Perruche de l'île maurice - Psittacula echo Perruche à tête de prune - Psittacula cyanocephala Perruche de l'himalaya - Psittacula himalayana Perruche de finsch - Psittacula finschii Perruche à tête rose - Psittacula roseata Perruche intermédiaire - Psittacula intermedia Perruche de malabar - Psittacula columboides Perruche de layard - Psittacula calthorpae Perruche de derby - Psittacula derbiana Perruche à moustaches - Psittacula alexandri Perruche des nicobar - Psittacula caniceps Perruche à queue longue - Psittacula longicauda Gris du Gabon - Psittacus erithacus Source: http://www.perruches.org/t217-liste-des-especes-de-perroquets-psittaciformes
  19. Les espèces Sud-Américaines (tous de l'espèce psittacidés, sous-famille psittacinae, mais pas les sous-espèces) Amazone - Amazona : Amazone de cuba - Amazona leucocephala Amazone à bec jaune - Amazona collaria Amazone à bec noir - Amazona agilis Amazone à front blanc - Amazona albifrons Amazone du yucatan - Amazona xantholora Amazone de tucuman - Amazona tucumana Amazone de porto rico - Amazona vittata Amazone à joues vertes - Amazona viridigenalis Amazone à couronne lilas - Amazona finschi Amazone diadème (à front rouge) - Amazona autumnalis Amazone du brésil (à queue rouge) - Amazona brasilensis Amazone de dufresne - Amazona dufresniana Amazone à face jaune - Amazona xanthops Amazone de prêtre - Amazona pretrei Amazone d'hispaniola - Amazona ventralis Amazone Festive - Amazona festiva Amazone à épaulettes jaune - Amazona barbadensis Amazone à front bleu - Amazona aestiva Amazone à front jaune - Amazona achrocephala Amazone à ailes orange - Amazona amazonica Amazone mercenaire - Amazona mercenaria Amazone poudré - Amazona farinosa Amazone vineuse - Amazona vinacea Amazone de sainte-lucie - Amazona versicolor Amazone de bouquet - Amazona arausiaca Amazone impériale - Amazona imperialis Amazone de saint-vincent - Amazona guildingii Source: http://www.perruches.org/t217-liste-des-especes-de-perroquets-psittaciformes
  20. Liste des Perroquets Du Pacifique (tous de l'espèce psittacidés, sous-famille psittacinae, mais pas les sous-espèces) Ara - Anodorhynchus : Ara Hyacinthe - Anodorhynchus hyacintinus Ara à collier jaune - Primolius auricollis Ara bleu - Ara ararauna Ara canindé - Ara glaucogularis Ara chloroptère - Ara chloropterus Ara d'Illiger Primolius maracana Ara de Buffon - Ara ambiguus Ara de Coulon - Primolius couloni Ara de Lafresnaye - Ara rubrogenys Ara de Lear - Anodorhynchus leari Ara de Spix - Cyanopsitta spixii Ara macavouanne - Orthopsittaca manilata Ara militaire - Ara militaris Ara noble - Diopsittaca nobilis Ara rouge - Ara macao Ara vert - Ara severus Caique - Hapalopsittaca : Caïque à ailes noires - Hapalopsittaca melanotis Caïque à face rouge - Hapalopsittaca amazonina Caïque de Fuertes - Hapalopsittaca fuertesi Caïque de Salvin - Hapalopsittaca pyrrhops Caique - Pyrilia : Caïque à capuchon - Pyrilia haematotis Caïque à joues roses - Pyrilia pulchra Caïque à tête noire - Pyrilia caica Caïque chauve - Pyrilia aurantiocephala Caïque de Barraband - Pyrilia barrabandi Caïque de Bonaparte - Pyrilia pyrilia Caïque vautourin - Pyrilia vulturina Caïque à ventre blanc - Pionites leucogaster Caïque maïpourri - Pionites melanocephalus Caïque mitré - Pionopsitta pileata Caïque à queue courte - Graydidascalus brachyurus Conure - Pyrrhura Conure à cape noire - Pyrrhura rupicola Conure à col blanc - Pyrrhura albipectus Conure à oreillons - Pyrrhura hoematotis Conure à poitrine brune - Pyrrhura calliptera Conure à poitrine grise - Pyrrhura griseipectus Conure à ventre rouge - Pyrrhura perlata Conure aile-de-feu - Pyrrhura egregia Conure d'Orcès - Pyrrhura orcesi Conure de Bonaparte - Pyrrhura lucianii Conure de Deville - Pyrrhura devillei Conure de Hellmayr - Pyrrhura amazonum Conure de Hoffmann - Pyrrhura hoffmanni Conure de Molina - Pyrrhura molinae Conure de Pfrimer - Pyrrhura pfrimeri Conure de Souancé - Pyrrhura melanura ssp. Conure de Berlepsch - Pyrrhura melanura berlepschi Conure de Vieillot - Pyrrhura frontalis Conure des Santa Marta - Pyrrhura viridicata Conure emma - Pyrrhura emma Conure leucotique - Pyrrhura leucotis Conure perlée - Pyrrhura lepida Conure rougissante - Pyrrhura roseifrons Conure tête-de-feu - Pyrrhura rhodocephala Conure tiriba - Pyrrhura cruentata Conure versicolore - Pyrrhura picta ssp. Conure de Todd - Pyrrhura picta caeruleiceps Conure - Aratinga Conure à front rouge - Aratinga canicularis Conure à gorge rouge - Aratinga rubritorquis Conure à tête bleue - Aratinga acuticaudata Conure à tête d'or - Aratinga auricapillus Conure à tête rouge - Aratinga erythrogenys Conure aztèque - Aratinga nana Conure couronnée - Aratinga aurea Conure cuivrée - Aratinga pertinax Conure de Chapman - Aratinga alticola Conure de Cuba - Aratinga euops Conure de Finsch - Aratinga finschi Conure de Hocking - Aratinga hockingi Conure de Pinto - Aratinga pintoi Conure de Ridgway - Aratinga strenua Conure de Socorro - Aratinga brevipes Conure de Wagler - Aratinga wagleri Conure de Weddell - Aratinga weddellii Conure des cactus - Aratinga cactorum Conure jandaya - Aratinga jandaya Conure maîtresse - Aratinga chloroptera Conure mitrée - Aratinga mitrata Conure pavouane - Aratinga leucophthalma Conure verte - Aratinga holochlora Conure soleil - Aratinga solstitialis Conure à gros bec Rhynchopsitta pachyrhyncha Conure à front brun - Rhynchopsitta terrisi Conure à long bec - Enicognathus leptorhynchus Conure magellanique - Enicognathus ferrugineus Conure à joues d'or - Ognorhynchus icterotis Conure dorée - Guaruba guarouba Conure de Patagonie - Cyanoliseus patagonus Conure nanday - Nandayus nenday Conure à pinceaux d'or - Leptosittaca branickii Conure veuve - Myiopsitta monachus Pione à tête bleue - Pionus menstruus Pione à bec rouge - Pionus sordidus Pione de Maximilien - Pionus maximiliani Pione pailletée - Pionus tumultuosus Pione givrée - Pionus seniloides Pione à couronne blanche - Pionus senilis Pione noire - Pionus chalcopterus Pione violette - Pionus fuscus Papegeai maillé - Deroptyus accipitrinus Crick à ventre bleu - Triclaria malachitacea Psittacule à poitrine orange - Cyclopsitta gulielmitertii Psittacule double-oeil - Cyclopsitta diophthalma Psittacule de Desmarest - Psittaculirostris desmarestii Psittacule d'Edwards - Psittaculirostris edwardsii Psittacule de Salvadori - Psittaculirostris salvadorii Perruche lunulée - Bolbopsittacus lunulatus Perruche- Prosopeia Perruche écarlate - Prosopeia splendens Perruche masquée - Prosopeia personata Perruche pompadour - Prosopeia tabuensis Perruche cornue - Eunymphicus cornutus Perruche d'Ouvéa - Eunymphicus uvaeensis Perruche- Cyanoramphus Perruche calédonienne - Cyanoramphus saisseti Perruche de Norfolk - Cyanoramphus cookii Perruche des Antipodes - Cyanoramphus unicolor Perruche à tête d'or - Cyanoramphus auriceps Perruche des Chatham - Cyanoramphus forbesi Perruche de Malherbe - Cyanoramphus malherbi Perruche de Sparrman - Cyanoramphus novaezelandiae Perruche de Reischek - Cyanoramphus hochstetteri Perruche à tête pourpre - Purpureicephalus spurius Perruche à collier jaune - Barnardius zonarius ssp. Perruche de Barnard - Barnardius zonarius barnardi Perruche- Platycercus Perruche à ventre jaune - Platycercus caledonicus Perruche de Pennant - Platycercus elegans Perruche à tête pâle - Platycercus adscitus Perruche omnicolore - Platycercus eximius Perruche gracieuse - Platycercus venustus Perruche à oreilles jaunes - Platycercus icterotis Perruche à bonnet bleu - Northiella haematogaster Perruche- Psephotus Perruche à croupion rouge - Psephotus haematonotus Perruche multicolore - Psephotus varius Perruche à capuchon noir - Psephotus dissimilis Perruche à ailes d'or - Psephotus chrysopterygius Perruche de Bourke - Neopsephotus bourkii Perruche- Neophema Perruche à bouche d'or - Neophema chrysostoma Perruche élégante - Neophema elegans Perruche des rochers - Neophema petrophila Perruche à ventre orange - Neophema chrysogaster Perruche turquoisine - Neophema pulchella Perruche splendide - Neophema splendida Perruche de Latham - Lathamus discolor Perruche ondulée - Melopsittacus undulatus Perruche terrestre - Pezoporus wallicus Perruche nocturne - Pezoporus occidentalis Perruche- Psittacella Perruche de Brehm - Psittacella brehmii Perruche peinte - Psittacella picta Perruche modeste - Psittacella modesta Perruche de Madarasz - Psittacella madaraszi Perruche à croupion bleu - Psittinus cyanurus Perruche de Geoffroy - Geoffroyus geoffroyi Perruche à col bleu - Geoffroyus simplex Perruche hétéroclite - Geoffroyus heteroclitus Perruche- Prioniturus Palette momot - Prioniturus montanus Palette de Mindanao - Prioniturus waterstradti Palette de Palawan - Prioniturus platenae Palette verte - Prioniturus luconensis Palette à couronne bleue - Prioniturus discurus Palette des Sulu - Prioniturus verticalis Palette de Cassin - Prioniturus flavicans Palette à manteau d'or - Prioniturus platurus Palette de Buru - Prioniturus mada Perruche à bec de sang - Tanygnathus megalorynchos Perruche de Luçon - Tanygnathus lucionensis Perruche de Müller - Tanygnathus sumatranus Perruche de Buru - Tanygnathus gramineus Grand Éclectus - Eclectus roratus Perruche tricolore - Alisterus amboinensis Perruche à ailes vertes - Alisterus chloropterus Perruche royale - Alisterus scapularis Perruche jonquille - Aprosmictus jonquillaceus Perruche érythroptère - Aprosmictus erythropterus Perruche de Barraband - Polytelis swainsonii Perruche mélanure - Polytelis anthopeplus Perruche d'Alexandra - Polytelis alexandrae Toui aymara - Psilopsiagon aymara Toui à bandeau jaune - Psilopsiagon aurifrons Toui catherine - Bolborhynchus lineola Toui d'Orbigny - Bolborhynchus orbygnesius Toui à front roux - Bolborhynchus ferrugineifrons Toui du Mexique - Forpus cyanopygius Toui été - Forpus passerinus Toui de Spix - Forpus xanthopterygius Toui à lunettes - Forpus conspicillatus Toui de Sclater - Forpus modestus Toui céleste - Forpus coelestis Toui à tête jaune - Forpus xanthops Toui tirica - Brotogeris tirica Toui à ailes variées - Brotogeris versicolurus Toui à ailes jaunes - Brotogeris chiriri Toui flamboyant - Brotogeris pyrrhoptera Toui à menton d'or - Brotogeris jugularis Toui de Deville - Brotogeris cyanoptera Toui para - Brotogeris chrysoptera Toui à front d'or - Brotogeris sanctithomae Toui des tépuis - Nannopsittaca panychlora Toui de D'Achille - Nannopsittaca dachilleae Toui à sept couleurs - Touit batavicus Toui de Huet - Touit huetii Toui du Costa Rica - Touit costaricensis Toui à front bleu - Touit dilectissimus Toui à queue pourprée - Touit purpuratus Toui à dos noir - Touit melanonotus Toui à queue d'or - Touit surdus Toui tacheté - Touit stictopterus Lori- Loriinae Lori noir - Chalcopsitta atra Lori- Chalcopsitta Lori de Duyvenbode - Chalcopsitta duivenbodei Lori flamméché - Chalcopsitta sintillata Lori cardinal - Chalcopsitta cardinalis Lori- Eos Lori arlequin - Eos histrio Lori écaillé - Eos squamata Lori écarlate - Eos bornea Lori réticulé - Eos reticulata Lori à joues bleues - Eos cyanogenia Lori masqué - Eos semilarvata Lori- Lorius Lori noira - Lorius garrulus Lori des dames - Lorius domicella Lori tricolore - Lorius lory Lori à ventre violet - Lorius hypoinochrous Lori à nuque blanche - Lorius albidinucha Lori à collier jaune - Lorius chlorocercus Lori des Fidji - Phigys solitarius Lori- Vini Lori fringillaire - Vini australis Lori de Kuhl - Vini kuhlii Lori de Stephen - Vini stepheni Lori nonnette - Vini peruviana Lori ultramarin - Vini ultramarina Lori- Glossopsitta Lori à bandeau rouge - Glossopsitta concinna Lori à masque rouge - Glossopsitta pusilla Lori à couronne pourpre - Glossopsitta porphyrocephala Lori- Charmosyna Lori des palmiers - Charmosyna palmarum Lori à menton rouge - Charmosyna rubrigularis Lori de Meek - Charmosyna meeki Lori de Buru - Charmosyna toxopei Lori strié - Charmosyna multistriata Lori de Wilhelmina - Charmosyna wilhelminae Lori à front rouge - Charmosyna rubronotata Lori coquet - Charmosyna placentis Lori à gorge rouge - Charmosyna amabilis Lori de Margaret - Charmosyna margarethae Lori féérique - Charmosyna pulchella Lori de Joséphine - Charmosyna josefinae Lori papou - Charmosyna papou Lori bridé Oreopsittacus arfaki Lori de Musschenbroek - Neopsittacus musschenbroekii Lori émeraude - Neopsittacus pullicauda Lori sombre - Pseudeos fuscata Loriquet- Trichoglossus Loriquet orné - Trichoglossus ornatus Loriquet de Forsten - Trichoglossus forsteni Loriquet de Weber - Trichoglossus weberi Loriquet harnaché - Trichoglossus capistratus Loriquet à tête bleue Trichoglossus haematodus Loriquet de Biak - Trichoglossus rosenbergii Loriquet de Swainson - Trichoglossus moluccanus Loriquet à col rouge - Trichoglossus rubritorquis Loriquet eutèle - Trichoglossus euteles Loriquet jaune et vert - Trichoglossus flavoviridis Loriquet de Johnstone - Trichoglossus johnstoniae Loriquet de Ponapé - Trichoglossus rubiginosus Loriquet vert - Trichoglossus chlorolepidotus Loriquet- Psitteuteles Loriquet versicolore - Psitteuteles versicolor Loriquet iris - Psitteuteles iris Loriquet de Goldie - Psitteuteles goldiei Micropsitte pygmée - Micropsitta keiensis Micropsitte de Geelvink - Micropsitta geelvinkiana Micropsitte à tête fauve - Micropsitta pusio Micropsitte de Meek - Micropsitta meeki Micropsitte de Finsch - Micropsitta finschii Micropsitte de Bruijn - Micropsitta bruijnii Source :http://www.perruches.org/t217-liste-des-especes-de-perroquets-psittaciformes
  21. 10 trucs pour apprendre à parler à votre perroquet ! Lorsque l'on choisit d'adopter un perroquet, c'est parce qu'il a de la conversation. Mais si certains psittacidés, comme les perroqets et perruches sont à l'aise pour manier notre language, ils doivent néanmoins passer par la case "apprentissage". Voici les clefs de leurs réussite. 1.1. Acquérir une espèce parlante Cela semble logique et pourtant... Si tous les perroquets peuvent apprendre à parler, certains sont plus doués que d'autres. Les Gris du Gabon (Psittacus erithacus) sont les premiers de la classe, suivis des amazones (genre amazona) et des cacatoès ( genre cacatuidae). Si vous voulez un oiseau parlant beaucoup, optez pour un Gabonnais (Ex : Bémol, le perroquet de Syboule !) 2.2. Bien choisir son oiseau Si le chois d'un jeune est conseillé pour un bon apprivoisement, il n'est pas indispensable pour bien lui apprendre à parler. Vous aures d'aussi bons résultats avec un adulte. Cependant faites attention à ne pas prendre un oiseau "crieur". Si celui-ci a pris l'habitude de pousser des cris stridents il sera très difficile de lui faire passer cette manie et de lui faire prononcer des mots. 3.3. Ne pas se precipiter Pour que l'apprentissage se passe bien, nul besoin de précipiter les choses surtout avec un bébé perroquet. Il n'est peut-être pas prêt à parler. Inutile de s'énerver et de sauter les étapes! Assurez-vous que votre perroquet à bien intégré un mot avant de passer à un autre. Les premiers mots seront les moins faciles à obtenir. Comme tout animal, il doit "apprendre à apprendre". 4.4. Lui parler beaucoup Pour que votre oiseau parle, il faut donner l'exempler. Parlez-lui beaucoup, en articulant bien. Mettez luio la radio... Vous pouvez même enregistrer des cassettes que vous lui passerez pendant vos absences. Il n'est pas question de le noyer sous les flots continus de paroles , mais il faut lui faire entendre le maximum de choses. 5.5. Récompenser Lorqsu'il prononce un mot, félicitez-le, avec votre voix mais aussi avec une friandise. Si la récompense est systématique il aura envie de recommencer. S'il ne recoit aucun encouragement, il ne saura jamais qu'il est sur le bon chemin. 6.6. Offrir les bonnes friandise Le choix des friandise est important: ellles doivent être aooréciées de l'oiqeau. Donnez des petits aliments qu'il ne consomme que rarement et qui le motiveront. Elles ne doivent pas non plus être néfastes pour sa santé. Les cacahuètes sont souvent utilisées mais elles sont très riches ne lipides. Consommées en grosses quantitiés, elles peuvent rendre malade votre oiseau. 7.7. Ignorer les mauvais comportements Optez pour le renforcement positif qui consiste à récompenser le bon et à ignorer le mauvais. Il se trompe ? Ne réagissez pas et renouvelez-lui votre demande. Inutile de le gronder, il se peut tout à fait qu'il n'ait simplement pas compris votre attente ! La pire punition reste l'indifférence totale mais n'en usez que pour un comportement négatif (coup de bec, destruction) et non durant l'apprentissage. 8.8. Etre patient et persévérant Dans le monde des perroquets on a tendance à évoquer la regèles des 3 P : Patience, Persévérance et Prononciation. Elle est parfaitement vraie ! 9.9. Faire attention à ce qu'on dit Parfois, les perroquets apprennent des choses innatendues qu'on aurait préféré ne jaimais entendre sortir de leurs becs. Comme un jeune enfant, votre perroquet peut décider de retenir votre insulte favorite, alors méfiance, n'oubliez pas qu'on vous écoute! 10.10. Accepter qu'il ne parle pas Cela ne fait pas plaisir à entendre lorsque l'on achète un perroquet, mais tous ne parlent pas, il faut se faire une raison. Même chez les espèces réputées pour leur vocabulaire étendu comme le Gris Gabon, on trouve des animaux qui refusent de parler. Si l'apprentissage ne mène à rien, qu'il préf_re utiliser des vocalises d'oiseau, vous n'y pourrez pas grand-chose... Source: http://veterinaire-conseils.blogspot.com/2011/03/10-trucs-pour-apprendre-parler-votre.html
  22. apprendre a parler a un perroquet A l'état naturel un perroquet ne parle pas, mais émet son propre language composé.......de sons aigus et stridents mêmes si , il imite parfois les bruits rencontrés régulièrement. Il n'est pas facile de vous expliquez la parole ( l'imitation) chez le perroquet, elle est fonction des capacités de votre oiseau a écouter, retenir, et interpreter Cher certain perroquets , il y a association d'une action et d'un mot ( ouverture d'un frigot et fromage ,) Ils seront plus doués que d'autres pour apprendrent rapidement, mais ne retiendrons peut être pas la leçon ( ils oublient ) ...... d'autre apprenent lentemen il ne faut pas apprendre n'importe quoi a son perroquet sur le moment cela va faire sourire , mais a la longue cela agace ou ne plaira peut être plus a votre entourage Dans un premier temps, il faut bien dire que tout les perroquets ne sont pas <<>> * 10/100 imitent plusieurs dizaines de mots, * 80/100 imitent quelques mots, et siffle *et les 10/100 pas un seul mot mais siffle Donc tous ne peuvent pas imiter la voie humaine 1/ certains perroquet vous interpretent n'importe quels bruits ( porte, chien, chat, téléphone ) mais ne parlerons que quelque mots 2/ certains perroquets seront des siffleurs qui interpretent ou chante pour communiquer avec vous mais ne parlerons que quelque mots très mal; 3/ certains seront parleurs (10/100 ) ce perroquet là imitera la voie humaine de façon convenable a force de patience et dévouement de son maitre Voici mon espérience avec Mousse Ce que je vous raconte là , vous le retrouverez surement dans certains manuels que je n'ai pas trouver , mais que m'a conseillé Mr Brunet Donc comme vous le savez déja, le talent de votre perroquet repose sur sa prédisposition à imiter les sons, les bruits de son entourage , les intonations, il sifflera, fera du bruitage le résultat se fera en fonction des capacités de votre perroquet , mais il ne sera jamais muet ; il vous faudra de la patience, beaucoup de patience ,de la douceur et du calme Pour les leçons , le soir de préférence à heure fixe, dans un endroit calme ,sans bruit extérieur, lumière tamisé ou dans la pénombre; Si vous remarqué une agitation de votre perroquet pendant la leçon arreter ( quand nous parlons à Mousse il tend le cou et incline la tête , quand il n'accepte pas la leçon il agite la tête ( comme pour extraire quelque chose d'une oreille ) Avant que votre perroquet ne répéte un mot il faut attendre un à deux mois et il imitera la voie de tel personne plutot que tel autre pour mousse nous avons attendus 6 mois et ne retient que les leçons de Fatima mon épouse au début Mousse il ne parla que seul dans sa cage sans notre présence, par la suite il le fera avec nous, surtout sur mon épaule un perroquet parlera parce qu'il se sentira en confiance avec vous et son entourage,et bien sur parce qu'il sera heureux et en bonne santé. En premier lieu, répétez toujours le même mot chaque jour(ex Mousseou autre nom donné à un perroquet ) . Il faut être patient,il ne faut pas perdre espoir, ne pas se décourager ,car automatiquement, un jour ou l'autre il répétera la leçon .( je vous est dit 6 mois pour Mousse ) Une fois qu'il aura répété ce premier mot ( Mousse ) ajouter un autre mot du genre( au revoir ) se qui donne ( mousse au revoir ) et après quelque temps votre perroquet dira <<>> Au début mal puis de plus en plus claire j'ai remarqué, qui répete par la suite des mots similaires ( cacao, cacaouète, .......papa, paco ,pas beau, bo bo , ) Continuez ainsi avec de nouveau mots , votre perroquet répétera le premier mot au bout d'un à deux mois peut être plus, ou peut être moins et ceci en lui donnant des leçons tous les jours pensant 15 minutes les leçons , le soir , a la tombé du jour , dans un moment de calme,....... ( dans certains pays d'amérique du Sud les leçons sont effectuées dans le font d'un trou dans le noir total ou à l'interieur d'un fût ) Patience......Patience........Pati.............. Source : http://veterinaire-conseils.blogspot.com/2011/03/apprendre-parler-un-perroquet.html
  23. Traitement des maladies pour perroquet LES MALADIES AVIAIRES Il existe malheureusement dans le monde des perroquets des maladies qui peuvent causer leur mort. Heureusement, la pluspart de ces maladies lorsque détectées peuvent être soignées avant le point de non retour. Ici je vous informe sur ces différentes maladies, leurs symptômes, leurs traitements, les vaccins disponibles. Voici donc ces maladies: LA MALADIE DU BEC ET DES PLUMES (PBFD) Psittacine Beak and Feather Disease. Maladie détecté en 1975 en Australie. C'est un VIRUS ou un CIRCOVIRUS des plus cruel pour les oiseaux. Cette maladie touche la pluspart du temps les oiseaux de plus de 3 mois et de moins de 3 ans. Par contre elle n'épargne pas non plus les oiseaux plus vieux par contamination. Elle est transmissible par les fientes, la poudre, la désintégration du duvet, les sécrétions nasales et par l'air.I l existe un vaccin qui peut aider énormément l'oiseau à ne pas contracter cette maladie. Mais avant de pouvoir reçevoir ce vaccin il faut que l'oiseau ait été au préalable testé négatif à la maladie. Pour ce faire, vous n'avez qu'à vous rendre chez votre vétérinaire aviaire et lui faire prendre une prise de sang. Quand vous aurez le résultat négatif du test vous pourrez à ce moment faire donner le vaccin à l'oiseau. Voici quelques symptômes de cette maladie: •Le plumage est terne et sans vie. •Diarrhée de couleur verte contenant du mucus. •Des plumes anormales. •Pousse de plumes anormale (plume en croissance qui n'arrive pas à sortir du tube). •La corne des deux mendibules (bas et haut du bec) se casse et repousse constamment. •Perte de poid du à la nécrose du palais et la déformation du bec (L'oiseau ne se nourrit plus). Pour éviter la contamination entre oiseau il faut absolument lors de la réception d'un nouvel oiseau faire la quarantaine. Si jamais vous n'avez pas fait ni le test de dépistage ni la quarantaine et qu'un de vos oiseaux est contaminé ou mort de cette maladie vous devez: •Faire passez le test de dépistage à tous les autres oiseaux de la maison. •Séparer les oiseaux contaminés des oiseaux non contaminés. •Vous ne devez placer l'oiseau contaminés là ou il sera seul et jamais en contact avec d'autres non contaminés, •Placez les non contaminés dans des familles d'accueils. •D'ésinfecter la maison au grand complet. ( linges, livres, ustensils de cuisine, vaisselle, bibelots, etc.). •Aucun oiseau ne doit entrer chez vous avant le temps minimum d'un an après la désinfection de la maison ou l'oiseau atteint de PBFD était. •Avisez chaque propirétaire d'oiseau ayant eu un contact avec l'oiseau contaminé. CHLAMYDIOSE AVIAIRE ou ORNITHOSE ou PSITTACOSE Maladie détectée fin de l'année 2007. C'est une BACTÉRIE qui peut se transmettre à l'humain, c'est donc une zoonone (transmisible à l'humain) grave du a la CHLAMIDOPHILA PSITTACI. Cette maladie peut être détecté par le biais de prise de sang faite chez votre vétérinaire aviaire, elle attaque le foie de l'oiseau. Maintenant le test est réel à 90% il n'existe presque plus de faux positifs. Les résultats sont plus longs à venir (une semaine au lieu de 2 jours) mais cela en vaut la peine. Pour l'humain la maladie apparait sous forme de grippe, problèmes respiratoires, pneumonie, etc. Toute personne ayant des problèmes respiratoires doit aviser son médecin qu'il possède un perroquet afin de passer le test pour la psittacose. Elle est transmisible par les morsures et par les fientes. Voici quelques symptômes de cette maladie: •Urates jaunes (partie liquide des selles) •Perte d'appétit •Perte de poid •Écoulement nasale •Éternument Ce qui est important à savoir c'est que l'oiseau peut être porteur sans avoir de symptômes apparents on dit que l'oiseau est porteur asymtomatique. Si un oiseau est testé positif il sera soigné avec des antibiotiques sous forme d'injection une fois par semaine pendant une période d'environ 5 semaines. À la fin de la période d'injection l'oiseau devra refaire un test de dépistage pour confirmé qu'il n'a plus la maladie. Chaque oiseau qui a été en contat avec l'oiseau contaminé doit: •Passer un test de dépistage afin de déterminé si il est contaminé ou non. OU •Suivre un traitement sous forme de gouttes à ingérer une fois par jour pour environ 5 semaines. Avisez chaque propriétaire d'oiseau ayant eu un contact avec l'oiseau contaminé. LA MALADIE DE PACHECO C'est une maladie causé par un virus appelé herpesviridae. Cette maladie peut rester latente pendant longtemps. Elle peut être détectée par une prise de sang faite chez votre vétérinaire aviaire. Le virus attaque les reins, le foie, la rate et la moelle osseuse de l'oiseau. Elle est transmissible par les fientes qu'aux oiseaux seulement. Voici quelques symptômes: •Des urates vert-jaunatres •Anorexie •Perte de joie de vivre •Convultion (juste avant la mort) •L'étargie •Diarrhée intermittente Il n'existe malheureusement aucun traitement pour guérir cette maladie. Une bonne hygiene de vie, bonne alimentation aideront l'oiseau à faire passer la maladie si celle-ci veut bien passer. II existe un vaccin qui n'est pas sur à 100% car il existe plusieurs souches du virus. LE POLYOMA VIRUS La maladie du polyoma est un virus qui attaque plus particulièrement les oisillons en période de sevrage. Le virus incube de 1 à 3 jours. Les oisillons mourront et ceux qui s'ent sortent ne seront pas automatiquement porteur de la maladie. Il existe un vaccin préventif qui peut être donné à l'oiseau mais pour ce faire il faut que l'oiseau ait été préalablement testé négatif à la maladie.Cette maladie peut-être détectée par une prise de sang faite chez votre vétérinaire aviaire. Cette maladie atteint très rarement les oiseaux adultes. Voici quelques symptômes: •Somnolence •Manque d'appétit •Diarrhée Il n'existe aucun traitement pour cette maladie. Source : http://veterinaire-conseils.blogspot.com/2011/03/traitement-des-maladies-pour-perroquet.html
  24. Traitement des troubles des psittacidés Préambule Il est bien évident qu'il ne s'agit en aucune manière à se substituer au savoir d'un vétérinaire. Ce qui suit est destiné à vous sensibiliser aux différents problèmes rencontrés avec vos perroquets. Avant d’envisager un traitement des troubles du comportement, il est indispensable d’établir un bilan clinique, le plus complet possible, afin que toute origine organique puisse être éliminée, à savoir les maladies d’origine, bactérienne, virale, fongique, parasitaire, allergique, alimentaire (carences) (André 2004). Ceci fait, l’approche thérapeutique va être guidée par le recueil détaillé des commémoratifs et par l’identification du ou des facteurs déclenchants des troubles observés. Ces éléments sont collectés à la faveur d’une conversation approfondie avec le propriétaire. Plus le trouble est installé, plus il sera difficile d’obtenir des résultats tangibles. Les traitements s’inscrivent sur le long terme et exigent beaucoup de compréhension et de patience, de la part du maître. Il faut, avant tout, s’assurer que l’oiseau bénéficie d’un vrai sommeil réparateur d’au moins 10 heures, respectueux du nycthémère, loin de tout bruit et lumière. Thérapie comportementale chez les psittacidés On incitera le propriétaire à renforcer positivement (encouragements, jeux, caresses, friandises…) les attitudes ou comportements souhaités chez son oiseau. Cette façon de faire s’inspire des techniques de conditionnement opérant. Dans le même temps, il sera nécessaire de renforcer négativement les attitudes ou comportements à éliminer. Plutôt que de les sanctionner, il sera toujours préférable d’éviter les conditions d’apparition des comportements non souhaités. Dans tous les cas, il est essentiel d’éviter la surenchère, la répétition des conflits, sous peine de déclencher l’apparition de comportements stéréotypés. Agressivité des perroquets Elle est très souvent liée à la peur. Dans ce cas, il est nécessaire de sécuriser l’environnement de l’oiseau, de faire preuve de beaucoup de douceur et de patience. Une autre source possible d’agression relève de manifestations hiérarchiques. On évitera, en particulier, que le perroquet prenne place, en position dominante, sur l’épaule de son maître, sauf autorisation de ce dernier. Il faut éluder toute confrontation et, en cas d’agressivité, ignorer l’oiseau, déplacer sa cage, momentanément, en « zone neutre », c'est-à-dire dans une pièce où il n’a plus ses repères territoriaux habituels. Dans le cas d’une imprégnation excessive vis-à-vis d’une personne, associée à des manifestations agressives à l’encontre des autres membres de la famille, il est utile de pratiquer régulièrement, une « thérapie de groupe » dans une pièce neutre. Au cours de cette séance, l’oiseau est manipulé par chaque membre de la famille et amené à répondre positivement à quelques ordres simples, récompenses à l’appui. Tous les participants devraient, en théorie, arriver à s’occuper de manière similaire de l’oiseau et établir une interactivité (jeux, toilettage mutuel sur le crâne, attitudes, friandises, brumisations…), de façon à éviter le phénomène d’imprégnation exagérée vis-à-vis d’une personne. Cris chez les perroquets Il faut éviter de répondre à la sollicitation du perroquet, qui cherche à attirer l’homme par ses vocalisations plus ou moins puissantes et surtout, éviter de répondre, à l’unisson, par des cris, sous peine de renforcer l’attitude de l’oiseau. Pour interrompre ces vocalisations excessives, on peut le surprendre, à distance, par l’envoi d’un jet d’eau. Il est encore possible de le tranquilliser, en le plaçant à l’obscurité, pendant quelque temps, puis de revenir ensuite s’occuper de lui. Il est constructif de l’apaiser, par la parole, à distance, d’une pièce à l’autre et également, d’anticiper le déclenchement de vocalisations par trop puissantes, en détournant son attention. Troubles du comportement à connotation sexuelle Dans l’hypothèse où le perroquet régurgite exagérément ou se masturbe en présence d’une personne, celle-ci doit rompre aussitôt le contact et doit chercher à réduire l’imprégnation qui la lie à cet oiseau. Des caresses trop prolongées, particulièrement en région cloacale, sont à éviter. Mouvements stéréotypés chez les perroquets Il faut essayer de détecter quel est le facteur conflictuel déclenchant, pour ensuite tenter de l’éliminer. Picage des psittacidés Comme cela a été dit plus haut, ce trouble nécessite de longs développements qui n’ont pas leur place ici. La seule chose qu’il est possible de dire avec certitude, quant au traitement, c’est qu’il n’existe pas de « pilule miracle» ! Thérapie médicamenteuse chez les perroquets Il peut être utile, dans certains cas, de conforter la thérapie comportementale par l’apport de psychotropes. Il faut cependant bien avoir conscience qu’il ne s’agit pas là d’une panacée, que ces substances ne règlent en aucun cas le problème de fond et peuvent, au mieux, apporter une amélioration temporaire. Elles doivent être employées suffisamment longtemps, au minimum pendant deux mois, pour qu’un éventuel effet positif puisse être observé. Source: http://veterinaire-conseils.blogspot.com/2011/03/traitement-des-troubles-des-psittacides.html
  25. Plantes toxiques et non toxiques Végétaux non toxiques ARBRES Abies Acacia Aralia Betula Eucalyptus Fagus Ficus elastica Fraxinus Larix Magnolia Malus Nothofagus Picea Populus Salix Scheffleraactinophylla Ulmus Sapin Albizzia Aralia Bouleau Gommier Hêtre Caoutchouc Frêne Mélèze Magnolia Pommier (fruits) Faux Hêtre Sapin Peuplier Saule Arbre ombrelle Orme ARBUSTES Abelia Ananas comosus Aralia Arbutus Beaucarnearecurvata Begonia Berberis Bougainvillea Camellia Carissa macrocarpa Codiaeumvariegatum Cornus Dalhia Elaeagnusaugustifolia Gardeniajasminoïdes Heteromelesarbutifolia Hibiscus rosa Impatiens Nandinadomestica Pieriscretica Pyracantha Rhapiolepis Rosa Sambucus Syringavulgaris Abélia Ananas commun Aralia Arbousier Nolina Bégonia Epine-vinette Bougainvillié Camélia Carissa Croton panaché Cornouiller Dahlia Olivier de Bohême Gardenia Photinia arbustifolia Ketmie rose Impatiente ou balsamine Nandina Andromède Buisson ardent Rhaphiolepsis Rosier Sureau Lilas commun PLANTES VIVACES Adiantum Anethumgraveolens Aspleniumnidus Aphelandrasquarrosa Aralia Arctostapsylosmanzanita Arctotisstoechadifolia Asparagus densiflorus Aspidistra Aspleniumnidus Calamintha Calendula officinalis Centaureacyanus Cerastium vulgatum Chamaemelumnobile Chlorophytum comosum Cichoriumintybus Cirsium Coleusblumei Echeveria Eugenia Fittoniaverschaffeltti Gypsophilapaniculata Hemerocallis Iresineherbstii Lysimachia Maranta leuconeura Melicaofficinalis Mentha Menthax piperita Nephrolepsisbosotoniensis Nephrolensisexaltata Peperomia Petunia Pileacadierei Platyceriumbifurcatum Plectranthusaustralis Raphiolepsis Ruellia Saintpaulina Sedum morganianum Sempervivum Seneciorowleyanus Sinningiaspeciosa Stellariamedia Symphytumofficinalis Tagetes Taraxacumofficinalis Tradescantia fluminensis Tropaeolummajus Viola Papillaire (fougère) Aneth odorant Fougère Aphèlandre Aralia Grappe d'ours Arctotis Asperge Aspidistra Fougère Calament Souci des jardins Centaurée bleuet ou barbe bleue Céraiste Camomille romaine Chlorophytum Chicorée sauvage ou endive Cirsium Coleus Echevéria Eugénia Fittonia Gypsophile brouillard Hémérocalle Irésine Lysimaque Maranta Mélique Menthe Fougère Pépéromia Pétunia Plante alluminium Fougère Plectrante Raphiolépsis Ruellia Violette africaine Orpin Joubarbe Séneçon Sinningia Mourron des oiseaux Consoude officinalis Roses et oeillet d'inde Pissenlit Tradescantia Grande capucine Pensées et voilettes PLANTES GRIMPANTES Cissus Cissusrhombifolia Gynuraaurantiaca Hoya Kalanchoeblossfeldiana Lonicera Passifloracaerulea Trachelospermum Vitis Vigne Vigne Gynura Hoya Kalanchoe Chèvrefeuille Passiflore bleue Trachelospermum Vigne BULBES Alliumsavitum Lilium Ail Lis PALMIERS Aloe Beaucarnearecurvata Chamaerops humilis Cordyline terminalis Dracaena fragrans Phoenix dactylifera Yucca Aloés Nolina Eventail Cordyline Dragonnier Palmier dattier Yucca CACTEES Crassula ovata Rhipsalidopsis Schlumbergera truncata Crassula Cactus Cactus crabe Végétaux toxiques ARBRES ET ARBRISSEAUX Acacia greggi Acer rubrum Acokanthera Aesculushippocastanum Ficus Ilexaquifolium Juniperus Neriumoleander Perseaamericana Philadelphus Phytolacca americana Quercus Robiniapseudoacacia Taxus Mimosa Erable de la Colchide Carissa Marronnier blanc Ficus Houx Genévrier Laurier rose Avocatier Seringa Phytolacca Chêne Faux Acacia blanc If ARBUSTES Buxus Euonymus Hydrangea Kalmia Ligustrumvulgare Melia azadarach Philodendron Rhododendron Rhododendron canadensis Sambucusmexicana Symphoricarposalbus Toxicodendrondiversilobrum Buis Fusain Hortensia Laurier des montagnes Troëne commun Lilas des Indes Philodendron Rhododendron Rhododendron Sureau du mexique Symphorine furet blanc Sumac arbustif PLANTES VIVACES Aconitum Actaeapachypoda Actaearubra Amaranthus Arisaema Asclepia Caladium Celastrus Colocasia Coniummaculatum Convallariamajalis Delphinium Dieffenbachia Digitalispurpurea Heliotropium Hyoscyamusniger Lantana Lobelia Lupinus Medicagolupulina Menthapulegium Mirabilis jalapa Nicotiana Ornithogalumumbellatum Paeoniaofficinalis Papaver somniferrum Primula Ranunculus Rheumrhabarbarum Rhusvernix Rumex Solanummelongena Solanumpseudocpsicum Solanumtuberosum Toxicodendronradicans Trifolium repens Vicia Vincaminor Vincarosea Zantedeschiaaethiopica Aconit Herbe de saint Christophe Actée Amarante Arisaema Asclépias Caladium Célastrus Colocasia Cigué tachée Muguet pied d'alouette Dieffembachia Digital pourpre Heliotrope Jusquiame noire Camara Lobélia Lupin Luzerne Menthe Belle de nuit Tabac Ornithogale, daùe d'onze heures Pivoine des jardins pavot à opium Primevère Renoncule Rheum Sumac Paradelle Morelle Morelle Morelle Sumac Trèfle rampand Vesce Petite pervenche Pervenche de Madagascar Arum HERBACEES Astragalus Atopabelladonna Cannabis sativa Circuta Daphnemezereum Datura Euphorbiapulcherrima Menispermumcanadense Oxalis acetosella Poincianaand related Ricinuscommunis Rumex Salviaofficinalis Seneciojacobea Solanumcarolineuse Astragalus Belladone Chanvre cultivé Circulaire Bois joli ou Bois gentil Stramoine Euphorbe Menispermum du canader Oxalis Oiseau de paradis Ricin commun Paradelle Sauge officinale Sèneçon arbustif Morelle PLANTES GRIMPANTES Clematis montanae Epipemnumaureum Gelsemiumsempervirens Hedera Lathyrusodoratus Wistaria Clématite du Montana Epipemnum Gelsemium Lierre Pois de senteur Glycine BULBES Amaryllis Hyacinthusorientalis Iris Narcissus Narcissusjonquilla Tulipa Zigadenusvenenosus Amaryllis Jacinthe d'Orient Iris Narcisse Narcisse ou petite Jonquille Tulipe Zigadenus ou Zigedenus PALMIERS Cycas revoluta Cycas révoluté CACTEES Lophophorawilliamsii Peyote
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