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sylvain951

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Tout ce qui a été posté par sylvain951

  1. sylvain951

    Les aliments toxiques

    Le persil et mauvais si l'oiseau fait ensuite un sejour au soleil. sinon c loing d'etre mauvais pour eux, bien au contraire
  2. petite liste de fromage au lait cuit Abondance (fromage) Aiguille d'Orcières Appenzell Appenzell 45%MG Appenzeller Asiago DOP Avalin Babybel Babybel (gehört zum halbfesten Schnittkäse) BBeaufort (fromage) Bergkäse Bleu (pasteurisé) Boulette d’Avesne Boursin Brebiou Brillat savarin nature et aux herbes Buchettes de chèvre Cabretou CChaux d'Abel Chamois d’or Chaource Chaumes Chester Chura Crabot Emmental Emmental de Savoie Emmental français Epoisse Etorki FFormaggio d'alpe ticinese Fol epi Fricâlin Frischkäse Friulano (fromage) Fromage à tartiflette 45% Fromage d'Évora GGrana Padano DOP Gouda nature, fruité, affiné ou au cumin Gouda, Edamer (gehören zum Schnittkäse) Grana padano Gruyère Gruyère bzw. Greyerzer Gruyère de Savoie Halloumi Hartkäse (fromages à pâte dure) Hüttenkäse istara Itchebai JJarlsberg Jura (fromage) Kaïkou Kiri le Beaufort le Comté Leerdammer l'Emmental L'Etivaz Lou pérac Manchego Maroilles Mascarpone Massipou Mimolette vieille et extra vieille MMont Saint-Benoît Mozzarella Parmesan Pavé d’affinois Pecorino Pecorino romano DOP Ptit basque Ptit billy Quark Raclette label rouge Rambol aux noix Reblochon et fromage à tartiflette Richemont Ricotta Saint Agur Saint Albray Saint felicien tentation Saint moret Saint Nectaire (pasteurisé) SŞvaiţer St albray st felicien tentation Streichkäse Tartare Tilsiter Schnittkäse tomme catalane Vieux pané Vieux Système VValbert Weichkäse und verarbeiteter Käse surtout ne pas donner la croute, car si bacterie il y a c la qu'elle se trouve, ne pas donner de fromage acheter raper car bien souvent c du fromage au lait crue ( meme l'emmentale raper qui en regle generale n'a rien d'un emmentale a part peut etre le gout) liste fournie a titre d'information verifier par vous meme avant d'en donner a vos oiseaux verifier l'etiquette avant de le donner et si acheter a la coupe, demander l'information au fromager pour moi ca doit rester une friandise occasionnel et en petite quantité PS : pour info cette liste vaux aussi pour les femmes enceinte source : tellement de site different qu'il faudrait un post complet
  3. sylvain951

    Les aliments toxiques

    ont peut rajouter la rubarbe merci pour la liste
  4. elle est trop choux ta pupuce. c beau un perroquets en exterieure
  5. sylvain951

    aire de jeux

    belle realisation, c vraiment domage que je n'ai pas la place pour en faire un aussi grand des heures de jeux en vue
  6. sylvain951

    Petit oisillon

    tout a fait c pas facile, pauvre petit , au moins vous aurez tenté
  7. Conure tête-de-feu => Pyrrhura rhodocephala (Sclater & Salvin), 1871 Statut de protection : Annexe II/B (CW/CE), "risque faible/faiblement concerné" par l'IUCN depuis 2000. Statut de la population sauvage : Elle ne semble pas en danger même si son aire de répartition est restreinte. Sa population reste stable même si elle n'est pas très commune. Elle subit peu de pression. Statut de la population captive : Peu courante mais en nette augmentation. Habitat : Forêts denses, régions boisées voir ouvertes jusqu'à 3000 m d'altitude. Distribution : Ouest du Vénézuela. Taille : 25 cm pour environ 80 g. Commentaires : Peu de données sont disponibles sur sa vie à l'état naturel. En captivité on la rencontre de plus en plus, suite à des importations relativement récentes. Sa reproduction ne pose pas de difficultés. Les jeunes n'ont pas la tête rose, juste quelques plumes.
  8. Conure à gorge bleue => Pyrrhura cruentata (Wied), 1820. Statut de protection : Annexe I/A (CW/CE), "vulnérable" par l'IUCN depuis 1994. Statut de la population sauvage : L'espèce survit avec de petites populations fragmentées par la perte de leur habitat mais son déclin est rapide. Elle survit seulement dans une poignée de réserves. Statut de la population captive : Peu courante mais en nette augmentation. Habitat : Forêts humides plutôt primaires et lisières ainsi que des plantations parfois. Distribution : Est du Brésil de Bahia à Rio de Janeiro. Taille : 30 cm pour 90 g. Commentaires : La conure à gorge bleue se nourrit de graines et fruits. Elle se rencontre en petits groupes de 4 à 10 individus. Cette conure est en grand danger dans la nature du fait de la perte de son habitat suite à la déforestation et les populations subsistantes sont trop éloignées les unes des autres pour permettre des échanges génétiques grâce à des migrations. En captivité elle se reproduit volontiers, c'est un oiseau robuste qui pond de 4 à 9 oeufs incubés durant 22 à 25 jours et l'envol des jeunes a lieu à 45 jours environ. Les jeunes sont plus ternes, ont moins de rouge sur les ailes et ont l'oeil foncé. Source : http://www.psitta.info/Psittacinae/Pyrrhura/cruentata/
  9. sylvain951

    Petit oisillon

    au mince elle avait eu a boire? par cette chaleur?
  10. sylvain951

    Ara macavouanne

    Ara macavouanne Taille : 46 à 51 cm Poids : 290 à 390 gr Longévité : 40 ans Distribution : Depuis la Colombie et la Bolivie jusqu'en Guyane et au Brésil. Identification : Ara de taille moyenne atteignant une longueur de 51 cm et un poids de 390 grammes. Plumage vert avec une marge marron sur chaque plume du plastron et une zone rougeatre sur le ventre. C'est la seule espèce d'ara dont la peau nue de la face soit jaune vif. Bec noir. Statut en captivité : La plus rare des petites espèces d'aras en captivité. Quasiment disparue des collections européennes et asiatiques. Très rarement reproduit. CRIS ET CHANTS : L’ara macavouanne lance des cris haut-perchés. Quand il est en vol, il émet des gémissements « choii-aa », ou des « wrr-rake » sonores, et des « screeet » rythmés. Quand il se nourrit, on peut entendre des sortes de ronronnements, et plusieurs cris rauques. HABITAT : L’ara macavouanne a besoin des palmiers Aguaje (Mauritia flexuosa) pour nidifier et se nourrir. On le trouve aussi parfois dans les savanes avec des arbres inondées saisonnièrement, et dans les mangroves. COMPORTEMENTS DANS LA VIE SAUVAGE : L’ara macavouanne est habituellement résident dans son habitat, mais il peut effectuer des déplacements saisonniers dans certaines zones. Cet oiseau est bruyant et très grégaire, souvent vu en groupes de plus d’une centaine. Ils dorment la nuit dans des dortoirs communautaires dans les palmiers où ils se rassemblent en grandes bandes. L’ara macavouanne se nourrit au milieu des frondaisons des Aguajes où il est pratiquement invisible avec son plumage vert. Après avoir quitté le dortoir tôt le matin, les groupes se posent à la cime des arbres proches, afin de prendre des bains de soleil et de se toiletter tout en criant. Ensuite, les oiseaux s’envolent vers les zones de nourrissage. Pendant la période de reproduction, les groupes sont moins importants. Les couples abandonnent le groupe le temps de nidifier, et même les dortoirs sont moins fréquentés. L’ara macavouanne se nourrit surtout des fruits de l’Aguaje. C’est un palmier très haut qui produit un grand nombre de fruits, et qui pousse naturellement sur des sols inondés. VOL : L’ara macavouanne effectue un vol rapide avec des battements fermes. Il est peu discret en vol. REPRODUCTION DE L’ESPECE : La saison de reproduction varie suivant le pays. L’ara macavouanne nidifie dans des trous dans les palmiers morts dont le pied est souvent dans l’eau, offrant ainsi aux oiseaux une bonne protection contre les prédateurs. La femelle dépose 2 à 4 œufs blancs. L’incubation dure environ 23 à 26 jours. Les jeunes restent au nid pendant approximativement 73 à 78 jours. Ils restent ensuite en groupes familiaux après la reproduction, et rejoignent les grands groupes et les dortoirs communautaires. ALIMENTATION : L’ara macavouanne se nourrit principalement des fruits de l’Aguaje (Mauritia flexuosa). Ces fruits poussent de décembre à juin. Ils sont de couleur rougeâtre et présentent des écailles régulières, recouvrant une noix dure et une pulpe riche. PROTECTION/MENACES/ STATUTS : Les populations de l’ara macavouanne dépendent des Aguajes pour la nourriture et la nidification. Ces palmiers sont beaucoup utilisés pour les constructions, ce qui peut avoir de mauvaises conséquences pour le futur de cette espèce. L’ara macavouanne est menacé par l’éclaircissage de ces palmiers, et par le piégeage pour le commerce des animaux domestiques. Cependant, l’ara macavouanne est en général commun dans une grande partie de son aire de distribution, excepté en Colombie, en Guyane et au Venezuela où il est menacé par la perte de l’habitat. Source: wikipedia http://www.oiseaux-birds.com/fiche-ara-macavouanne.html
  11. L'Ara de Lear ou Ara cobalt L'Ara de Lear ou Ara cobalt appartient au genre Anodorhynchus, tout comme l'Ara hyacinthe dont il est très proche. L'espèce est nommée d'après l'artiste, ornithologue et poète britannique Edward Lear (1812-1888). Description: Cet oiseau mesure près de 75 cm. Il se distingue de l'Ara hyacinthe par sa coloration tendant plus vers le bleu azur que vers le bleu violet, ainsi que par la couleur de la paupière qui est blanche (tandis que l'Ara Hyacinthe l'a de couleur noire). L'Ara de Lear est de taille nettement inférieure (75 cm) comparé à l'Ara Hyacinthe (95 cm). Répartition: Cet oiseau peuple une aire d'environ 8 000 kilomètres-carrés au nord-est de l'État de Bahia au Brésil1. Menaces: Cet oiseau était considéré en danger critique d'extinction : en 19892, moins de 100 individus répartis en petites populations. Les quelques couples existant en captivité ayant des difficultés à se reproduire, il semble peu probable qu'ils puissent être à l'origine d'une réintroduction dans le milieu naturel1. Son statut de conservation a été réévalué en 2009 suite à des efforts de protection fructueux ayant permis à la population d'Aras de Lear de remonter à près de 1000 individus2. Il est maintenant classé parmi les espèces en danger de disparition3. Source: Wikipedia
  12. sylvain951

    Ara à collier jaune

    Ara à collier jaune Chez cet ara de petite taille, le front, la partie emplumée des joues et l'avant du capuchon sont brun-noir, virant au vert bleuâtre sur l'arrière du capuchon et les côtés du cou. La nuque est recouverte d'un large collier jaune doré. L'ensemble des parties supérieures est vert avec des bases bleues sur certaines plumes. Les petites et les moyennes couvertures sont vertes. L'alula et les couvertures primaires sont entièrement bleus. Les rémiges primaires sont bleues, les secondaires sont vertes avec une forte nuance bleue sur les filets extérieurs. Le dessous des ailes est complètement jaune-olive, excepté les rémiges qui sont jaunâtres sans éclat. Les parties inférieures affichent une couleur verte. Les rectrices du dessus de la queue sont brun rougeâtre à la base, vertes dans la partie médiane et bleues à la pointe. Les rectrices externes sont majoritairement bleues. Le dessous de la queue est jaune terne. Le bec est noirâtre avec une terminaison couleur ardoise. La peau nue qui recouvre les lores et les joues est blanche avec une légère nuance paille. Les iris sont orange, les pattes rose chair. Les juvéniles ressemblent fortement à leurs parents. Toutefois, ils ont un bec gris avec un culmen blanc, des iris gris et des pattes gris pâle. Les immatures ont une nuque dont le collier tire sur le roux. Chant : En vol, les aras à collier émettent de puissants "scree-eeat, scree-eeat" qui résonnent aux oreilles européennes un peu comme le cri d'une mouette rieuse (Larus ridibundus). En cas d'alarme, ils délivrent également des notes bruyantes et rudes dont on dit qu'elles ressemblent à celles de la conure à tête bleue (Aratinga acuticaudata). Habitat : Les aras à collier jaune fréquentent une grande variété d'habitats boisés. On les trouve dans les forêts humides et tropicales qui recouvrent les collines des Andes, mais également dans les parcelles sèches de feuillus et dans les prairies parsemées d'arbres. Ils sont aussi présents à la lisière des arbres et dans les savanes. Contrairement à la plupart des espèces de perroquets, ils supportent très bien les profondes modifications qui sont apportées à leur habitat. Ils sont donc relativement communs dans les bouquets d'arbres résiduels situés au milieu des terres agricoles et à la périphérie des grands centres urbains. Distribution : Les aras à collier jaune sont endémiques du centre de l'Amérique du Sud. Leur bastion occupe le nord et l'est de la Bolivie, le sud-est du Mato-Grosso, le nord du Paraguay et le nord-ouest de l'Argentine, dans les provinces de Jujuy et de Salta. Une population isolée vit également au Brésil, à cheval sur les états du Goias, de Mato-Grosso et de Parà. Ces oiseaux vivent jusqu'à 600 m d'altitude, mais localement, ils peuvent grimper jusqu'à 1700 mètres. L'espèce est considérée comme monotypique. Comportements : Les aras à collier jaune vivent généralement en couples ou en petites bandes, même en dehors de la saison de reproduction. De plus grands rassemblements peuvent s'opérer lorsque la nourriture est abondante ou lorsqu'il s'agit de rejoindre les dortoirs communs à la tombée de la nuit. Au sein de ces très grandes troupes, les couples appariés semblent alors à première vue moins apparents que chez les autres espèces d'aras. Les aras à collier jaune recherchent leur nourriture dans les arbres et dans les buissons, mais il leur arrive occasionnellement de venir à terre. Ces oiseaux ont un vol agile, rapide et direct. Les aras à collier jaune sont généralement sédentaires. Néanmoins, dans certaines régions, on assiste à quelques courts mouvements saisonniers. Nidification : La saison de nidification se déroule en décembre en Argentine. Le nid est situé dans une cavité d'arbre parfois jusqu'à 20 mètres au-dessus du sol. La ponte comprend habituellement 3 ou 4 oeufs. C'est tout ce qu'on possède comme informations provenant du milieu naturel. En captivité, la femelle couve seule pendant environ 23 jours. Le cycle de reproduction est particulièrement long car les jeunes oisillons ne quittent le nid qu'au bout de 7 semaines après l'éclosion. Régime : L'ara à collier jaune possède un régime végétarien. Il consomme des fruits de Byrsonima et de figuiers, des fleurs d'erythrina, du maïs et différentes sortes de graines provenant des bois locaux. Protection / Menaces : L'espèce n'est pas globalement menacée. Au début des années 1980, en Bolivie, la capture des oiseaux pour le commerce des volières atteignait le chiffre inquiétant de plus de 3200 oiseaux par an. Heureusement, le trafic a été strictement interdit à partir de 1984. L'effectif des populations du Paraguay et du nord de l'Argentine était considéré comme plutôt faible, mais au cours des dernières années, la tendance s'est inversée, l'espèce ayant colonisé de nouveaux territoires. Source : http://www.oiseaux.net/oiseaux/ara.a.collier.jaune.html
  13. Ara sévère ou Ara à front châtain Statut de protection : Annexe II/B (CW/CE) Taille : 40-49cm Poids : 307 à 387 grammes Longévité : environ 30 ans Reproduction : 2 a 4 oeufs Durée d'incubation : 26 à 28 jours Sevrage : 84 jours (12 semaines) Il y a deux sous-espèce d'Ara sévère: Ara severus severus (Linnaeus) 1758 Ara severus castaneifrons (Lafresnaye) 1847 Par contre, il y a un doute à la validité des sous-espèces puisque la différence ne serait qu'au niveau de la taille. Particularité des adultes L'Ara sévère est presqu'en majorité vert avec des rémiges bleues. Ses épaules sont rouges comme le dessous de sa queue. La zone nue de sa face est blanc, il a le bec noir et les yeux jaunes. Particularités des juvéniles La queue des juvéniles est plus courte. Les yeux sont gris. Particularités comportementales C'est un ara très sociable, enjoué et amusant. Aime énormément se balançer sur les cordages, gruger et mâcher. Il est considéré comme un bon parleur. Source : trop pour tous le cité
  14. sylvain951

    Ara de Lafresnaye

    Ara de Lafresnaye Ara rubrogenys Ordre des Psittaciformes – Famille des Psittacidés Statut : En danger Nombre : Une estimation datant de 1993 évalue la population entre 1 000 et 2 000 individus Répartition : Région de l'Est des Andes Nourriture : Graines, fruits, baies, insectes Taille : 55 à 60 cm Envergure : 80 à 86 cm Poids : 500 à 650 gr Reproduction : 1 à 3 œufs couvés pendant 28 à 30 jours DESCRIPTION DE L’OISEAU : L’ara de Lafresnaye est endémique de Bolivie où il vit dans une zone très restreinte des Andes. L’adulte a le plumage vert-olive, avec les épaules rouge orangé. La queue graduée est vert- olive avec les extrémités des plumes bleues. Sur les ailes, les rémiges sont bleu turquoise. Sur les parties inférieures, le corps est vert. Le dessous des ailes présente des petites couvertures rouge orangé, et des rémiges vert jaunâtre. Les cuisses sont rouges. Sur la tête verte, le front, la calotte et les couvertures auriculaires sont rouge orangé. Les parties nues de la face sont rouge rosâtre, parcourues de fines lignes de plumes foncées. Le bec puissant et crochu est noirâtre. Les yeux sont orange entourés d’un cercle oculaire nu rouge rosâtre. Les pattes et les doigts sont gris foncé. Les deux sexes sont semblables. Le juvénile est plus terne que les adultes, et n’a pas les taches rouge orangé de la tête et des épaules, ou bien elles sont indistinctes. Les cuisses sont vertes et non rouges, mais teintées d’orange. Les yeux sont bruns.
  15. Le Ara militaire (Ara militaris ) Description Ce grand perroquet vert a le front rouge et le croupion bleu turquoise. Ses pattes sont gris foncé, son bec noir et l'iris de l’œil jaune. Il pèse environ 900 g. Habitat Il vit en montagne, dans les régions tempérées semi-arides et les forêts tropicales, près des cours d'eau. Il fréquente aussi la zone côtière. Durant l'été, on peut le trouver à des altitudes atteignant 2 500 m. En hiver, il descend dans les grands ravins. Répartition Il vit de l'ouest du Mexique jusqu’à la Bolivie, au nord-ouest de l'Argentine et à l'extrême ouest du Venezuela. Nidification Il niche dans des trous creusés par les pics et des cavités dans des falaises calcaires. La femelle pond en général 2 ou 3 œufs et l'incubation dure entre 25 et 28 jours. Alimentation Il se nourrit de fruits, de noix et de bourgeons tendres. Prédateurs Il est chassé par l’aigle harpie. Longévité Plus de 50 ans Statut Espèce en danger, Annexe II de la Cites. Écologie Il vole habituellement en couple, parfois en groupe. Il peut aussi planer. Son bec est bien adapté au mode de déplacement de l’oiseau: il lui sert de troisième pied lorsqu’il grimpe. Ses plumes multicolores sont encore aujourd'hui des parures recherchées par les Indiens. Les perroquets sont souvent menacés par le trafic d'animaux. Son habitat est très fragmenté, et de ce fait l'espèce est considérée comme en danger. Source: wikipedia
  16. Ara Macao L'Ara rouge ou Ara macao (Ara macao) est un grand perroquet coloré vivant dans les forêts tropicales américaines. Il s'agit de l'oiseau national du Honduras. Description L'ara rouge mesure 86 centimètres de long, dont plus de la moitié est constitué de les longues rectrices pointues typiques de tous les aras. Il pèse un kilogramme en moyenne. Il peut vivre jusqu'à 75 ans, mais sa durée de vie moyenne va de 30 à 50 ans. Le plumage est essentiellement écarlate, mais les plumes de la croupe et du dessus de la queue sont bleu clair, le dessus des ailes est de couleur jaune, les extrémités des plumes de la queue et la partie supérieure de part et d'autre des pennes des ailes sont bleu foncé et le dessous des ailes et les pennes de la queue sont rouge foncé avec des reflets métalliques dorés. Certains individus peuvent avoir du vert sur les ailes près de la bande jaune. Trois sous-espèces présentent des différences de largeur de la bande jaune sur les ailes. La peau nue autour des yeux est blanche jusqu'au bec. De petites plus blanches se trouvent également sur le visage. Le dimorphisme sexuel est faible. La seule différence extérieur identifiable entre les oiseaux se fait avec l'âge : les jeunes ont des yeux sombres, tandis que les adultes ont des yeux jaune clair. Il ressemble beaucoup à l'Ara chloroptère, leur principale différence de plumage est le jaune sur ses ailes en lieu et place du vert. Habitat et répartition L'ara rouge habite dans les forêts humides tropicales américaines, de l'est du Mexique à l'Amazonie péruvienne et brésilienne, dans les terres basses jusqu'à 500 m d'altitude. Alors qu'elles sont peu fréquentes sur le continent, de grandes colonies d'aras rouges peuvent être observées sur l'Île Coiba sur la côte pacifique du Panama. Les populations d'aras rouges ont fortement diminué en raison de la destruction de son habitat, des captures pour le commerce et par l'épandage de pesticides pour les cultures. Au Costa Rica par exemple, l'ara rouge n'occupe plus que 9100 km² contre 42'500 km² auparavant. L'aire de distribution de l'ara rouge reste toutefois la plus grande de tous les oiseaux du genre ara avec une superficie estimée à 6'700'000 km², même si leur habitat est fragmenté et qu'ils ne forment souvent que de petites colonies locales. Régime alimentaire L'Ara rouge mange principalement des fruits et des graines. Ils aiment notamment les pommes, les noix, les bananes et d'autres fruits, ainsi que le nectar et les bourgeons. Son bec lui permet de casser très facilement les coquilles des noix et des autres fruits de ce genre. Reproduction Le couple n'effectue qu'un cycle de reproduction par an. La femelle pond deux ou trois œufs dans une cavité d'arbre. Elle les couve pendant 27 jours. Les jeunes s'envolent à l'âge de trois mois mais ne deviennent indépendants qu'entre quatre et cinq mois. Comportement Les aras rouges sont des oiseaux extrêmement sociaux qu'on ne trouve presque qu'en groupe, souvent d'une vingtaine d'individus. Les aras ne s'éloignent de leur groupe, en couple, que pendant la période de reproduction. Ils recherchent ensemble leur nourriture, puis retournent le soir dans un endroit commun pour dormir. À des moments précis en effet, les aras s'envolent ensemble pour chercher un endroit où dormir, ce deux fois par jour (à midi et la nuit). Les membres d'une même famille volent très près les uns des autres et recherchent un contact corporel lorsqu'ils dorment. Les chercheurs n'ont pas pu distinguer de hiérarchie chez les aras jusqu'à maintenant, car leurs groupes ne semblent pas être menés par un chefaillon. Toutefois, les aras les plus jeunes laissent toujours la priorité aux plus âgés lorsqu'il s'agit de se nourrir : ce n'est que quand les plus vieux ont terminé de manger que les plus jeunes commencent. La raison de cette pratique est toutefois plus pragmatique que due à la politesse. Les oiseaux plus âgés sont en effet plus expérimentés et savent mieux que les autres où l'on trouve de la nourriture. Les oiseaux les plus jeunes apprennent en observant et en imitant les plus âgés afin de devenir plus tard eux aussi des modèles. Les aras ne possèdent pas de territoires propres, mais parcourent régulièrement une zone étendue dont ils n'essayent pas d'interdire l'accès aux autres aras. Il arrive ainsi que plusieurs groupes d'aras se rassemblent sur un même arbre. L'abondance de nourriture rend une défense du territoire complètement inutile. Toutefois, lorsque plusieurs groupes se retrouvent sur un même arbre, ils font très attention à ne pas se mélanger. Il n'y a pas non plus de lutte pour trouver un partenaire chez les aras : comme pour la plupart des autres espèces de perroquets, lorsqu'un couple s'est formé, il demeure ensemble jusqu'à la mort de l'un des deux. Les cris ont une fonction importante pour la cohésion des couples et des groupes dans ces forêts tropicales très denses. Les aras rouges étant des animaux sociaux, ils font plus que de simples cris : ils émettent des sons différenciés qui ont des significations différentes pour leurs congénères. Relations avec d'autres espèces Les plus grands prédateurs des aras sont les rapaces diurnes. Les mammifères carnivores ne sont que rarement dangereux pour les aras rouges puisque ils chassent au sol. Par ailleurs, les aras rouges évitent les aras hyacinthes, plus gros, qui sont de sérieux concurrents dans leur quête de nourriture. Source: wikipedia
  17. sylvain951

    Ara de Buffon

    Ara de Buffon Ara ambigua Ordre des Psittaciformes – Famille des Psittacidés QUELQUES MESURES : L : 85 à 90 cm Poids : 1260 à 1400 gr LONGEVITE : Jusqu’à 60 ans DESCRIPTION DE L’OISEAU : L’ara de Buffon est une espèce menacée et classée comme étant en Danger d’Extinction. Mais aujourd’hui, la plupart des habitats restants sont protégés par des Réserves Naturelles et des programmes de conservation. L’adulte est très semblable à l’Ara militaire (Ara military), avec un plumage similaire, mais l’ara de Buffon est plus grand. Il a le plumage vert, mais plus clair que celui de l’ara militaire. Les parties supérieures sont vert jaunâtre, y compris la calotte et les couvertures sus-alaires. Le croupion et les couvertures sus-caudales sont bleues, ainsi que les rémiges qui sont un peu plus foncées. La longue queue graduée est rouge orangé avec les extrémités bleues. Sur les parties inférieures, le corps est vert jaunâtre, mais le bas-ventre et les couvertures sous-caudales sont bleus. Les sous-caudales sont vert-olive. Le dessus des ailes présente des couvertures vertes, alors que les rémiges sont vert-olive. La tête est vert jaunâtre avec le front rouge. La peau nue de la face est blanc rosâtre, parcourue de fines lignes de plumes noirâtres et rougeâtres. Le grand bec robuste est noir, plus clair vers l’extrémité. Les yeux sont jaune pâle, avec un cercle oculaire blanc rosâtre. Les pattes et les doigts sont gris foncé. Les deux sexes sont semblables. Le juvénile ressemble aux adultes avec le plumage davantage teinté de vert-olive. On trouve deux sous-espèces : Ara ambigua ambigua, qui vit à l’est du Honduras et du Nicaragua, jusqu’au Costa Rica et au Panama, et au nord-est de la Colombie. Ara ambigua guayaquilensis, vit à l’ouest de l’Equateur où se trouvent deux populations isolées. CRIS ET CHANTS : L’ara de Buffon émet des cris rauques sonores, et des grognements «aowrk ». Il est bruyant en vol. HABITAT : L’ara de Buffon vit dans les humides forêts pluviales, dans la canopée. Quand il se nourrit, il peut être vu dans des zones plus découvertes, mais il fréquente aussi les contreforts boisés des collines. Il est visible jusqu’à 1000 mètres d’altitude. DISTRIBUTION GEOGRAPHIQUE : L’ara de Buffon vit depuis l’est du Honduras, jusqu’au nord-ouest de la Colombie et l’ouest de l’Equateur. COMPORTEMENTS DANS LA VIE SAUVAGE : L’ara de Buffon se nourrit de graines et de fruits, et aussi de noix à coquille très dure. On le trouve en couples ou en petits groupes de dix à quinze oiseaux se nourrissant ensemble. Il adore les fruits de l’amandier Dipteryx panamensis. Grâce à son grand bec puissant, il est capable de casser la coquille dure afin de récupérer la partie tendre à l’intérieur. Cette nourriture est importante pour l’espèce au moment de la saison de reproduction. L’ara de Buffon effectue quelques mouvements saisonniers vers les côtes pour se nourrir, et cherche tout particulièrement le Dipteryx panamensis. Mais il peut aussi se déplacer ensuite vers l’intérieur des terres pour se reproduire. L’ara de Buffon est une espèce arboricole, souvent en train de bouger dans la canopée des grands arbres. Il se déplace dans la forêt suivant la disponibilité des arbres fruitiers. VOL : L’ara de Buffon est capable de voler sur de longues distances et à des hauteurs considérables. A travers les arbres de la forêt, il vole en dessous de la canopée. Il a un vol rapide et direct, qu’il effectue avec des battements fermes et peu profonds. REPRODUCTION DE L’ESPECE : La saison de reproduction a lieu de décembre à avril, mais elle peut varier suivant le lieu géographique. L’ara de Buffon nidifie dans des cavités, habituellement un trou dans un arbre, souvent dans un amandier. La femelle dépose 2 à 3 œufs blancs. L’incubation dure environ un mois, effectuée par la femelle. Les jeunes sont nourris par les deux adultes, et quittent le nid au bout de 11 semaines après la naissance. ALIMENTATION : L’ara de Buffon se nourrit principalement de graines et de fruits, particulièrement ceux de l’amandier Dipteryx panamensis. Il peut consommer des fruits à coque très dure grâce à son bec robuste. PROTECTION / MENACES / STATUTS : L’ara de Buffon est une espèce en Danger d’Extinction. Son déclin est dû à la perte de l’habitat à cause des excès de déforestation à l’intérieur de son habitat, mais aussi à cause des dérangements. Cette espèce dépend d’un habitat forestier intact et il est nécessaire de maintenir un minimum d’oiseaux reproducteurs en bonne santé. Ang : Great Green Macaw All : Bechsteinara Esp : Guacamayo Ambiguo Ital : Ara di Buffon Nd : Buffon-ara Texte de Nicole Bouglouan Source : http://www.oiseaux-birds.com/fiche-ara-buffon.html
  18. sylvain951

    Ara chloroptère

    Ara chloroptère Ara chloroptera est l'un des Aras les plus connus. L'Ara chloroptère ou Ara à ailes vertes (Ara chloroptera) est un grand Psittacidae néotropical souvent confondu avec l'Ara macao. Description L'Ara chloroptère mesure jusqu'à 95 centimètres de longueur et pèse jusqu'à 1,5 kg. Il a un corps robuste et trapu, une longue queue, une grande tête rouge avec des joues dont la peau blanche et nue est striée et tachée de rouge. Les plumes du corps et de la queue sont également rouges avec des traces jaunes vers le bas du ventre et quelques rectrices bleues. Les rémiges sont aussi de cette couleur tandis que les couvertures alaires sont vertes (d'où le nom spécifique de cet oiseau). Le bec est massif avec la mandibule supérieure rose chair et l'inférieure noire. Les pattes sont gris foncé et les iris noirs bordés de clair. Ses cris sont stridents. Habitat L'Ara chloroptère vit de manière diurne, à basse et moyenne altitude dans les forêts tropicales en particulier le long des fleuves. Répartition Cet oiseau vit au Panama, en Colombie, au Venezuela, en Bolivie, au Brésil (Parana et Mato Grosso), le sud du Mexique, le Paraguay et en Argentine (dans le nord du pays). Alimentation Il s'agit d'un oiseau granivore et frugivore. Reproduction L'Ara chloroptère niche dans le creux des arbres. La femelle pond deux oeufs qu'elle couve pendant 27 jours environ. Les jeunes s'envolent à l'âge de trois mois mais ne deviennent indépendants qu'entre quatre et six mois. Ces animaux forment des couples fidèles toute leur vie. Source: Wikipedia
  19. Ara Ararauna Statut CITES : Annexe II , Révision du 06/06/81 L'Ara bleu (Ara ararauna), encore appelé Ara bleu et jaune ou Ara ararauna, est un grand perroquet du genre Ara facilement reconnaissable aux couleurs de son plumage. Cet oiseau est protégé par la Convention de Washington (Annexe II) et l'arrêté ministériel du 15 mai 1986 listant les espèces d'oiseaux protégées de Guyane. Description Détail de la tête et du haut de la poitrine. Il mesure 90 cm de long et pèse 1,3 kg. Dessus bleu turquoise, dessous jaune d'or. Front et calotte bleu-vert. Sous caudales jaune bleuté. Collier noir sous la face. Joues blanches dénudées, marquées de quelques stries de plumes noires. Yeux jaunes, bec et pattes noirs. Femelle plus petite. Distribution Les aras bleus sont surtout présents en Amérique centrale et du Sud du Panama au nord du Paraguay ainsi qu'en Guyane. Habitat Encore assez commun dans certaines régions. Forêts, savanes, zones découvertes, marais et abords de l'eau. En couple ou en bandes. Les couples restent formés à l'intérieur des bandes, même en vol. Ils nichent dans des trous de palmiers secs. Reproduction La ponte est de 2 ou 3 œufs, l'incubation dure 25 à 28 jours. Les jeunes quittent le nid à 3 mois environ. Alimentation Granivore, frugivore. Captivité Ce sont des oiseaux très affectueux et très intelligents qui apprennent extraordinairement bien à imiter et à parler. On trouve de nombreux jeunes en captivité, mais il faut parfois des années à un couple pour entreprendre une famille. Il est conseillé d'installer un nichoir de 55 par 55 et 85 cm, avec un trou de vol de 17 cm de diamètre, en bois épais (4 cm). Chaque couple devra disposer d'un nichoir tout au long de l'année, car les oiseaux aiment y dormir. Ils peuvent se montrer extrêmement protecteurs et donc agressifs envers leur propriétaire pendant la reproduction. Ils sont superbes, mais requièrent une grande cage, une volière étant encore mieux. Source: wikipedia
  20. Ara canindé L'Ara canindé (Ara glaucogularis auparavant Ara caninde), ou Ara à gorge bleue est une espèce d'oiseau appartenant à la famille des Psittacidae. Elle n'a été redécouverte qu'en 1992. Description Cet oiseau ressemble superficiellement à l'Ara bleu. Il s'en distingue par l'absence de coloration verte au niveau du front et de la calotte remplacée par une nuance bleue ciel, les zones de peau nue blanche autour des yeux entièrement couvertes de nombreuses stries bleues et surtout la gorge bleue (au lieu de noire), coloration beaucoup plus étendue à ce niveau que le noir chez l'Ara bleu. Répartition L'ara à gorge bleue est endémique de Bolivie. Il habite une gigantesque zone peu peuplée et difficilement explorable, les savanes inondables du Béni. Dans ces conditions, il est difficile de préciser la distribution exacte de l'espèce. Cependant, l'association Armonia, portant ses efforts sur cet aspect, a plus que doublé le nombre de sites connus pour héberger cet Ara et a même découvert une nouvelle zone d'extension située à l'ouest du Rio Mamoré et de l'aire historique de répartition aux environs de la ville de Trinidad. Malgré la distance qui sépare les deux populations, il n'est pas impossible que des échanges aient lieu grâce à une chaîne d'îlots forestiers1. Menaces et protection Cette espèce est en danger critique d'extinction. La menace principale pesant sur elle est le trafic illégal des oisillons et des oiseaux adultes pour le commerce des oiseaux de volière, ceci malgré une protection officielle tant au niveau local qu'international. Avec le soutien financier de la Cepa et du CDE, les responsables d'Armonia ont le projet de construire un écolodge du même type que celui édifié pour l'Ara de Lafresnaye, structure qui serait également une station de recherches pour des universitaires boliviens. Sensibiliser les habitants des petites villes et des villages présents dans l'aire de répartition de l'Ara à gorge bleue est également une préoccupation d'Armonia : centres d'information, ateliers d'éducation environnementale et programmes radiophoniques sont envisagés. Le but est également d'identifier les problèmes humains qui contribuent au déclin de cet ara et, en coopération avec les habitants, de chercher des solutions à court terme pour conserver l'espèce1. Source: wikipedia
  21. Amazone de la Guadeloupe L'Amazone de la Guadeloupe (Amazona violacea) est un perroquet endémique de la Guadeloupe aujourd'hui disparu. Description Cette espèce ressemblait vraisemblablement beaucoup à Amazona imperialis sauf qu'elle était de plus grande taille et avait l'oeil cerné de rouge. Elle a été décrite par Jean-Baptiste Du Tertre (1654 et 1667) puis par le père Labat (1742) puis par Mathurin Jacques Brisson (1760) avant d'être nommée par Johann Friedrich Gmelin en 1789. Disparition L'Amazone de la Guadeloupe a disparu comme les autres perroquets de cette île au XVIIIe siècle. En 1779, Buffon note l'espèce comme très rare, elle est présumée éteinte peu de temps après. On suppose que la chasse est la cause de cette disparition car il s'agissait selon Jean-Baptiste Du Tertre d'un met de premier choix.
  22. L'Ara des Antilles ou Ara de la Guadeloupe (Ara guadeloupensis) Description Christophe Colomb mentionne le ara de la Guadeloupe lors de ces récits de voyages : "Ils apportèrent des perroquets de deux ou trois sortes et particulièrement de cette grande espèce qu'on trouve dans l'île de la Guadeloupe, et qui ont une longue queue (...)". Plus tard, les Pères Labat et du Tertre le décrivirent avec beaucoup plus de détails. Le Père Du Tertre le considérait comme "le plus beau et le plus grand de tous les perroquets des îles" et le décrivit ainsi : "Il a la tête, le col, le ventre et le dessus du dos, de couleurs de feu : ses ailes sont mêlées de plumes jaunes, de couleur azur, et de rouge cramoisi : sa queue est toute rouge et longues d'un pied et demi". Ces descriptions poussant à penser qu'il était assez proche du Ara macao avec une queue plus courte et d'un rouge plus vif Répartition Selon le Père Pinchon (1976), la répartition géographique de l'espèce se limitait à la Guadeloupe continentale et à la Martinique. Consommant au besoin les fruits du mancenillier (Hippomane mancinella), il fréquentait donc les zones littorales ou l'on rencontre cette essence. Taxinomie Cette espèce était probablement très proche du Ara macao que l'on retrouve en Amérique du Sud et sur l'île de Trinidad. Rothschild distinguait deux espèce de Ara différentes : Ara purpurescens en Guadeloupe et Anadorhynchus martinicus (synonyme de Ara erythrura et Ara martinica) en Martinique. Aujourd'hui, il est très difficile de déterminer si ces deux espèces diffère vraiment. Disparition L'ara de la Guadeloupe a disparu de cette île au XVIIIe siècle, comme les autres perroquets. En 1760, l'espèce était très rare et a disparu peu de temps après. On suppose que la chasse est la cause de cette disparition, que ce soit pour le consommer, bien que, selon Jean-Baptiste Du Tertre, il ne s'agissait pas d'un mets de premier choix. Peu farouche, il préférait lorsqu'il était surpris à terre se défendre plutôt que de fuir. Pour cela, il se mettait sur le dos mordant et griffant avec son bec et ses pattes. Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Ara_des_Antilles
  23. Conure de Caroline Habitat et comportement Un perroquet ayant la capacité de vivre aux États-Unis est en soi quelque chose de singulier, et il existe d’étonnantes observations de cette espèce volant au-dessus de champs couverts de neige. À l’époque de son abondance, l’espèce aimait les plaines boisées et montrait une préférence pour les terrains proches de l’eau. Elle vivait principalement dans les platanes, cyprès ou érables, et se perchait pour la nuit dans des moignons de branches creux à l’intérieur desquels les individus s’entassaient et s’agglutinaient. À l’aube, les oiseaux s’envolaient jusqu’aux branches supérieures des arbres et ensuite restaient tranquilles la plus grande partie de la journée. La fin de l’après-midi et le début de soirée voyaient de fortes poussées d’activité. Quand les oiseaux décidaient de se nourrir, ils s’envolaient rapidement vers les sites d’alimentation choisis et arrivaient dans un flamboiement de couleurs. Reproduction En ce qui concerne la nidification, les descriptions divergent. Quelques observations font état de plusieurs conures pondant leurs œufs en commun dans des troncs d’arbres, alors que d’autres indiquent que les nids fragiles, composés de brindilles, étaient placés à la fourche des branches. On sait peu de choses des habitudes de nidification de ces conures. Elles avaient la réputation d’être des parents peu attentifs et le taux d’échec était assez élevé. Historique de sa disparition Tout comme son compatriote le pigeon migrateur, la Conure de Caroline passa en l’espace d’un siècle d’effectifs abondants à quelques individus, pour finalement s'éteindre. Cette espèce fut un temps considérée comme nuisible, avec ses mœurs alimentaires grégaires, qui s’exerçaient à travers le Sud et l’Est des États-Unis. Elle ruinait les vergers, pillait les champs de maïs, détruisait les récoltes de grains, et provoqua ainsi la colère de l’homme. Il semble que l’espèce était peu habile à se défendre. Quand des individus étaient tirés, leurs compagnons volaient en criant au-dessus des morts et des blessés et finalement se posaient parmi leurs camarades abattus, devenant ainsi des cibles faciles. Durant la plus grande partie du XIXe siècle, la Conure de Caroline fut un oiseau particulièrement commun. Même jusque dans les années 1880 on pouvait la trouver en abondance. Malgré tout, quelques années après, l’espèce ne pouvait plus guère être rencontrée dans la nature. Comme le siècle touchait à sa fin, quelques individus survivaient encore en captivité, plus particulièrement un groupe dans ce même zoo de Cincinnati qui accueillit le dernier pigeon migrateur. Les toutes dernières Conures de Caroline furent un couple nommé Lady Jane et Incas ; en 1917, ces deux oiseaux étaient compagnons de cage depuis quelque 32 ans. C’est alors que Lady Jane mourut, laissant Incas comme unique représentant de l’espèce. Il survécut, seul, pour quelques mois, jusqu’au 21 février 1918, quand il mourut dans sa cage, entouré de ses gardiens. Ceux-ci étaient unanimes : leur oiseau était mort de chagrin. Son corps fut congelé et envoyé pour conservation au Smithsonian Institution à Washington, mais, curieusement, il n’y arriva jamais ou, s’il arriva, il fut dérobé. Cela n’a peut-être guère d’importance ; il existe plusieurs centaines de spécimens de cette espèce dans les musées du monde entier. Il y a plusieurs prétendues observations datant des années 1920 et 1930 supposées se rapporter à des Conures de Caroline survivant encore à l’état sauvage, mais elles sont probablement fausses. Il y a peu de doutes que l’homme et ses effets sur l’environnement furent responsables de la disparition de cet oiseau, mais les facteurs qui l’ont directement provoquée restent quelque peu mystérieux. En l’espace de 90 ans environ, l’aire de répartition de la conure se réduisit graduellement d’est en ouest, en direction du Mississippi, et les dates des dernières observations dans les différentes régions coïncident avec l’extension de la colonisation par les Blancs et la destruction des forêts. La persécution permanente et la destruction de l’habitat sont largement admis comme ayant été les causes directes de l’éradication de ces perroquets. Cependant, il est trop facile de dire que ces oiseaux étaient de tels destructeurs de fruits et de céréales qu’ils furent impitoyablement exterminés. Il existait probablement des causes plus subtiles, et il est possible que l’espèce connaissait déjà un déclin naturel, mais l’importance de la persécution en tant qu’influence secondaire ne doit pas être sous évaluée. Le déclin de ces oiseaux était déjà perceptible en 1831, quand John James Audubon écrivait : « Les effectifs de nos perroquets sont en train de diminuer très rapidement ; et dans certains districts où ils étaient abondants il y a 25 ans, on ne peut presque plus en voir… Il semblerait que le long du Mississippi il n’en reste plus que la moitié de ceux qui existaient il y a 15 ans. » Quand il fut évident qu’ils étaient devenus extrêmement rares et que la Floride s’avéra être leur dernier refuge, les collectionneurs et les chasseurs dénichèrent avidement les derniers groupes ; comme c’est souvent le cas quand une chose se raréfie, la demande augmente fortement et la course finale vers l’extinction s’accélère. Quelle fut l’importance de la persécution comme cause de l’extinction ? Etait-elle si intense et si généralisée que le taux de mortalité dépassait celui des naissances dans l’ensemble de l’aire de répartition ? Ces questions ne peuvent pas être résolues sur base des données dont nous disposons, mais il est certain que les oiseaux étaient pris pour cible et qu’à cause de leurs mœurs grégaires il était possible d’en détruire de grandes quantités avec peu d’efforts. Un récit d’Audubon dramatise peut-être un peu, mais il nous donne une image de ce qui se passait vers 1830 : « Le perroquet consomme ou détruit presque toutes les sortes de fruits sans distinction, et de ce fait il est toujours un visiteur indésirable pour le planteur, le fermier ou le jardinier. Les meules de blé dressées dans les champs sont prises d’assaut par des bandes de ces oiseaux, qui généralement les recouvrent si totalement qu’elles donnent l’impression d’avoir été couvertes d’un tapis aux couleurs chatoyantes. Ils s’accrochent tout autour de la meule, en extraient les épis et détruisent deux fois plus de grains qu’il serait nécessaire pour les rassasier. Ils s’attaquent aux poiriers et aux pommiers alors que les fruits sont encore petits et loin d’être mûrs, et cela rien que pour les pépins. Comme pour les meules de blé, ils s’abattent en grands nombres sur les pommiers de nos vergers et les poiriers de nos jardins, et comme si ce n’était que pour nuire, cueillent les fruits, les ouvrent jusqu’au centre et, désappointés à la vue des pépins qui sont encore tendres et d’aspect laiteux, laissent tomber la pomme ou la poire et en prennent une autre, passant de branche en branche jusqu’à ce que les arbres, qui au départ étaient si prometteurs, soient complètement dénudés. Ils s’attaquent aux mûres, noix de pécan, raisins et même baies de cornouillers, avant leur maturité, et font partout les mêmes dégâts. N’imaginez pas que tous ces méfaits soient commis sans de sévères représailles de la part des planteurs. Les perroquets sont détruits en grandes quantités : pendant qu’ils sont occupés à cueillir les fruits où à extraire les épis hors des meules, l’exploitant les approche à son aise et fait un carnage. Tous les survivants s’envolent avec des cris stridents, volent alentour pendant quelques minutes et reviennent se poser à la même dangereuse place. Le fusil claque à nouveau, 8 ou 10, voire 20, sont tués à chaque décharge. Les oiseaux qui vivent encore s’enfuient en criant toujours aussi fort, mais retournent encore sur la meule pour y être tirés, jusqu’à ce qu’il en reste si peu que le fermier considère que ça ne vaut plus la peine d’user davantage de munitions. J’en ai vu plusieurs centaines détruits de cette façon en l’espace de quelques heures, et me suis procuré un plein panier de ces oiseaux dans le but de sélectionner de beaux spécimens pour les dessiner. » À l’époque de leur abondance, on en voyait de grandes bandes comprenant parfois 200 ou 300 oiseaux, mais quand ils devinrent rares la taille des vols diminua et en fin de compte on ne vit plus que des petits groupes, des couples et à l’occasion des individus solitaires. Leurs biotopes favoris étaient les vallées fluviales aux forêts denses, les forêts-galeries et les marécages à cyprès, mais ils partaient loin à la recherche de nourriture. Ils arrivaient dans le Sud de la Louisiane fin avril, quand les mûres noires étaient à maturité. Leur régime se composait de graines, de fruits, de noix, de boutons et probablement de bourgeons. Ils ingéraient du sable et du gravier pour faciliter la digestion. Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Perruche_de_Caroline
  24. Voici une liste des perroquets qui ont disparus de la surface du globe bien souvent du a la bétisse humaine. L’Ara de la Guadeloupe Ara guadeloupensis Disparu vers 1800, il ressemblait très certainement à l'ara macao car il a été décrit comme étant de couleur rouge, jaune, azur et rouge foncé. Il vivait dans les Antilles françaises et il était apparemment très courant, malheureusement il fut chassé et capturé par les hommes ce qui fit disparaître l'espèce à jamais... Le Perroquet de la Guadeloupe Amazona violacea Cette amazone disparu en 1742 était de couleur violette avec l'oeil cerné de rouge et vivait uniquement en Guadeloupe. Elle fut malheureusement chassé pour sa beauté, sa capacité a parler mais aussi pour manger sa viande qui semblait très aprécié au XVIIème siècle. La Perrique (perruche) de Guadeloupe Aratinga labati Vivant en Guadeloupe, cette conure était apparemment verte et de petite taille d'après les auteurs mesurant enviorn 45cm tout de même. Elle fut également chassée par les hommes pour sa viande...disparue en 1800. Perroquet mauricien à large bec, Lophopsittacus mauritianus Ce perroquet était gris-bleu et ne pouvais pas voler. Il vivait à l'île Maurice et s'est éteint en 1675. Le perroquet disparu Lophopsittacus bensoni (1764) était probablement une sous-espèce ou l'espèce nominale. Perroquet rouge et vert Necropsittacus borbonicus Il a disparu en 1680 à cause de la chasse, on dit qu'il avait la tête rouge et vivait sur l'île de la Réunion. Necropsittacus rodericanus Perroquet de Rodrigues Vivait aux Île Rodrigues (Mascareignes) éteint en 1761. Perruche de Tahiti Cyanoramphus zealandicus Ce "kakariki" vivait dans les forêts de Tahiti, elle s'est éteinte vers le milieu du XVIIIIème siècle. Il existe 5 individus naturalisés dont deux en France au musée d'histoire naturelle de Paris et à Perpignan. Ce perroquet a disparu à cause de la chasse, de la destruction de son habitat et à cause d'espèces introduites dans son milieu par l'homme. Amazone de la Martinique Amazona martinicana Cette amazone vivait sur l'île de la Martinique disparu au XVIIIème siècle encore une fois à cause de la chasse et de la déforestation. L'Ara glauque Anodorhynchus glaucus De la même famille que l'ara hyacinthe et de Lear, il mesurait 72 cm et vivait au Amérique du Sud. Son plumage était bleu-gris. Le dernier individu de cette espèce est mort en 1938 au Zoo de Buenos Aires. Ara atwoodi Aussi appelé Ara de Dominique, vivait aux Antilles. Eteinte en 1791. Ara erythrocephala Cette espèce s'est éteinte au 19ème siècle (1847), elle était originaire de Jamaïque. Ara gossei Originaire de Jamaïque, cette espèce s'est éteinte en 1765. Ara tricolor Vivait à l'île des Pins et à Cuba. Son extinction s'est produite fin du 19ème siècle. Conuropsis carolinensis Perruche de Caroline Aussi appelée conure à tête jaune, cette espèce vivait en Amérique du Nord, elle a été chassée car elle détruisait les fruits de la culture. Elle s'est éteinte en 1918. pour des informations sur son mode de vie et son histoire: http://fr.wikipedia.org/wiki/Perruche_de_Caroline Cyanoramphus ulietanus Perruche de Raiatea Eteinte en 1773 à cause de la chasse, de la destruction de son habitat et de l'introduction d'espèces exogènes par l'homme. Il existe 2 individus naturalisés. Mascarinus mascarinus Mascarin de la Réunion Vivait dans l'île de la Réunion, disparu en 1780. Doté d'un imposant bec rouge et d'une tête couleur lilas, le mascarin de la Réunion était long de 35 cm. Son plumage était marron, à l'exclusion d'une bande blanche à la base de la queue. Psittacula eques Perruche verte de la Réunion Disparu vers 1740, elle mesurait 43 cm environ avait un plumage vert et un collier noir. Nestor Productus Nestor de Norfolk Il était un gros perroquet à bec proéminent, au plumage brun-olive et au poitrail orange qui vivait sur l'île de Norfolk. Disparu en 1851 à cause de la chasse et de la volonté d'en faire un animale de compagnie. Psephotus pulcherrimus perruche de paradis Disparu en 1927 du fait de la chasse, destruction de l'habitat... Psittacula exsul Perruche de Newton Eteinte en 1875 à cause de la chasse et de la disparition de son habitat. Psittacula wardi Perruche des Seychelles Eteinte en 1883 à cause des captures, cette espèce étant déjà rare auparavant. Dix individus seraient conservés dans les musées.
  25. sylvain951

    Petit oisillon

    j'ai trouver un sujet de discution sur un autre forum a sujet du sauvetage d'une mesange http://forums.futura-sciences.com/biologie/87967-zoologie-jai-trouve-une-petite-mesange.html
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