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Biocarburants et...Biodiversité
Michel23 a répondu à un(e) sujet de Ugatza dans Menaces sur la Biodiversité
Ce sommet est celui des producteurs d’huiles végétales, réunis à Madrid en Espagne ce mardi 17 avril 2007. Ces derniers estiment que la généralisation des biocarburants pour remplacer le pétrole n’est pas une solution adéquate pour l’avenir de la planète. Venant de la part des producteurs d’huiles, c’est étonnant, c’est comme si les grandes pétrolières affirmaient que l’avenir n’est pas dans l’essence et le pétrole. Un communiqué diffusé à l’occasion du colloque des producteurs d’huiles végétales par deux ONG affirme : «La fabrication et la consommation de soi-disant+biocarburants+ font peser des menaces sur la conservation des forêts tropicales, sur le climat et sur la sécurité alimentaire». Ça ressemble à une biocatastrophe en devenir. La suite : => http://www.la-vie-rurale.ca/contenu/12077 -
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Je pense que ces gens devraient avoir d'autres préoccupations Alpes : l'inquiétude des éleveurs Publié le mercredi 11 avril 2007 à 05H01 ERIC CAMOIN La "tremblante" du mouton était hier au centre des préoccupations des éleveurs réunis à Marcoux à l'occasion de l'assemblée générale du Groupement de défense sanitaire agricole. Il en existe trois formes et, heureusement, les deux formes observées dans le département ne présentent pas de danger pour l'homme (lire ci-contre). Mais les conséquences n'en sont pas moins dramatiques, notamment sur le plan économique. Deux cas de tremblante atypique (la forme la plus bénigne) ont été observés à 2006. C'est peu, mais les conséquences ont été considérables: pour neuf élevages, 18000 génotypages (pour repérer les bêtes sensibles) ont été réalisés et 5000 bêtes ont été abattues pour un coût total de 1,4million d'euros. "La police sanitaire mise en place dans ces troupeaux nous paraît disproportionnée", estiment les éleveurs qui espèrent la mise en place d'un allégement de la réglementation qui éviterait des pertes animales inutiles et un gaspillage financier. "La Commission européenne propose des mesures allant dans ce sens; espérons que notre ministère de tutelle voudra bien les suivre", a insisté le président Jean-Luc Fabre. La bestnoitiose se développe Autre sujet de préoccupation, chez les éleveurs bovins cette fois, la bestnoitiose, une maladie encore peu connue, due à un parasite vraisemblablement transmis par les piqûres de taons, qui se développe de façon inquiétante. Elle provoque notamment des fièvres, des oedèmes de la peau et évolue vers la mort de l'animal. En l'état actuel des connaissances, elle ne semble pas transmissible à l'homme. Au total, depuis l'été 2005, 292 cas ont été détectés sur le département. Plus inquiétant: sur 96 troupeaux visités par les vétérinaires, 57 se sont révélés infectés soit 59%! Les éleveurs souhaitent donc que les pouvoirs publics renforcent les recherches sur cette maladie et sur les moyens de lutte qui pourraient être développés à l'avenir. => 18000 génotypages (pour repérer les bêtes sensibles) : Les analyses de génotypage coûtent entre 15 et 20 € selon les laboratoires. L’Etat prenant en charge une partie du coût (10 € par animal), l’aide du Conseil général sera de 5 à 10 € par analyse de génotypage ; soit 18000 x 17 € = 306 000 € Source : http://www.laprovence.fr/articles/2007/04/11/20070411-DEPARTEMENT-Tremblante-et-bestnoitiose-preoccupent-les-eleveurs.php Je vous laisse juge de mes propos !!!!
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Je vous soumet une phrase tirée d'un célèbre journal : du sud-ouest de la France "Aujourd'hui à Serres, dans les Hautes-Alpes, s'est déroulée une réunion inter-massifs des organisations pastorales qui luttent contre la présence des prédateurs dans les divers massifs français. S'étaient déplacés des représentants de toutes les Pyrénées, des Alpes bien sûr, du Massif Central, du Jura, de Suisse. Les Espagnols avaient envoyé plusieurs messages" Mais je le redis encore une fois, j'ai compté les participants sur la photo du Daubé ? 85 en comptant "les éleveuses" (comprenez femmes d'eleveurs) et Dollo qui n'en est pas un Vous enlevez les cadors des associations anti-tout, les gus du Grand Charnier comptez combien il en reste
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Voila la motion adoptée lors de cette réunion : Motion adoptée par les participants de la rencontre intermassifs à Serres (05)du 16 avril 2007 Pour des montagnes vivantes et actives, contre l’ensauvagement de notre espace de vie. Dans les Alpes et les Pyrénées, le retour ou l’importation des prédateurs, ours, lynx et loups, traduit une volonté d’ensauvagement des massifs que nous refusons. Le développement inconsidéré des populations de grands prédateurs concerne aujourd’hui tous les massifs : Alpes, Pyrénées, Jura, Massif Central, Vosges… A l’inverse de cet ensauvagement, l’élevage extensif et le pastoralisme doivent rester la base de l’avenir de nos montagnes. Ces activités essentielles relient deux objectifs prioritaires dans les textes internationaux (FAO, Union Européenne notamment) : - assurer un mode de production respectueux de l’environnement comme du consommateur ; - façonner une montagne accueillante aux autres usagers, touristes, chasseurs, randonneurs, amateurs de nature… En montagne, la richesse patrimoniale de l’élevage extensif repose essentiellement sur des races locales, rustiques, adaptées à leurs milieux, et sur le savoir-faire séculaire des hommes. Ainsi, la biodiversité est le résultat du travail des hommes, tout autant que de la nature. Ce patrimoine naturel et culturel est aujourd’hui menacé au nom d’espèces sauvages devenues emblématiques : loup, lynx et ours sont l’arbre qui cache la forêt de la biodiversité. Ces espèces sont imposées sans réelle concertation avec les populations concernées : la seule négociation porte sur la dégradation des activités d’élevage qui en résulte. En Europe, face à de semblables difficultés, Suisse, Espagne, Slovénie, Roumanie, Norvège, Grèce, Finlande …, régulent ces populations et légitiment la défense des troupeaux attaqués. Les soussignés affirment leur volonté de continuer des modes de développement durable basé sur des formes d’élevage respectueuses de la biodiversité et des besoins des consommateurs, de continuer ainsi à façonner des montagnes entretenues, sécurisées, vivantes, accueillantes aux visiteurs et supports d’activités et d’emplois. Ils demandent aux candidats de s’engager sur : l’adoption par l’Etat Français, de la « Charte Européenne de la montagne »1 ; l’évolution de la législation européenne sur les grands prédateurs, beaucoup trop contraignante et inadaptée à l’explosion incontrôlée des populations de prédateurs sauvages ; la transparence de l’information et l’association des populations locales et de leurs représentants aux décisions de gestion de l’espace montagnard2 ; le droit de défense des troupeaux, qui passe par une autorisation de tir sur les prédateurs qui les approcheraient ; l’arrêt définitif de toute introduction de prédateurs ; la prise en compte des us et coutumes ; la fin de l’anormale proximité entre l’administration de l’environnement et les milieux associatifs écologistes dont elle est en partie issue. 1 Approuvée le 15/12/04 par l’Assemblée Parlementaire européenne suite à la recommandation 130 (2003) du Congrès des pouvoirs locaux et régionaux du Conseil de l’Europe. 2 En conformité avec l’article 4 de la charte européenne de l’autonomie locale adoptée par l’Assemblée Nationale le 30/06/06 (loi n°2006-823) Je trouve qu'avec la dernière résolution : "la fin de l’anormale proximité entre l’administration de l’environnement et les milieux associatifs écologistes dont elle est en partie issue." on peut mesurer l'incommensurable connerie de ces gens !!! Ca doit venir des représentants des Pyrénées, dont Louis faisait parti... (c'est bien leur style...)
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Sur cette page : http://www.ledauphine.com/photos/E05_1-101464416.T-x.0416212758.pdf Il y a une photo de l'assemblée...pour un regroupement "inter-massif" Alpes-Pyrénées-Jura-Massif-central...et un mouvement qui se voudrait "Européen", il n'y a quand même pas grand monde, la mise en scène n'est pas mal, beaucoup de chaises vides entre les participants pour "étaler" la masse, allez environ une petite centaine de personne !!
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LOUP-OURS-LYNX : Les éleveurs de montagne veulent se regrouper à l'échelle du continent La colère des éleveurs sera européenne Lionel ARCE-MENSO SERRES De chaque côté de la salle, deux éleveurs font tinter leurs sonnailles. Ils passent devant la banderole "ni ours, ni indemnisations, les Pyrénées vivantes et tranquilles". [...] Yves Feydy, syndicaliste drômois, a dépassé le seuil de la colère - "j'en suis à l'amertume". "Les seules avancées que nous avons eues, ce sont les indemnisations. On nous a donné du pognon pour qu'on ferme notre gueule, c'est tout". L'autre avancée, ce sont les protocoles de tir en cas d'attaques. "Mais avec ces protocoles-là, le loup peut dormir tranquille".[...] La suite : http://www.ledauphine.com/info/essentiels/hautesalpes/art_90222.php Je pense que ce pauvre type, l'éleveur Drômois, il veut le pognon, ne plus payer d'impots, et l'éradication totale du loup...et après il ira déverser du purin devant la préfecture...car il ne touche pas assez de sunvention pour les maladies de ses brebis..."la langue bleue mon p'ôv monsieur ça va nous mettre sur la paille..."
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Suisse - Au pays des brebis, du chien et du loup VALAIS. Dans le val Ferret, Olivier Sarrasin élève des chiens Montagne des Pyrénées. Il les place chez des bergers qui veulent protéger leurs moutons du loup. L'autre jour, il amenait un chiot au sein d'un troupeau. Reportage. Julien Rapp La première image est saisissante. A l'intérieur de la bergerie, au milieu des 130 brebis et de leur progéniture, trois chiots paressent sur la paille, entourés par les agneaux. Aucune agressivité. Au fond, l'œil distingue même deux chiens massifs, un mâle et une femelle, qui promènent leur dégaine majestueuse entre les moutons. La grande chienne se recouche, son corps disparaît, caché par les silhouettes laineuses des ovins. Samedi dernier. Il est un peu plus de 10 heures, dans la bergerie d'Olivier et Mireille Sarrasin, à Praz-de-Fort, au-dessus d'Orsières. Le couple élève des moutons, mais aussi des Montagne des Pyrénées, ces chiens appelés aussi Patou qui ont été popularisés par la série télévisée Belle et Sébastien. Cet animal est utilisé par les bergers pyrénéens qui le chargent de surveiller leurs troupeaux, et de les protéger contre le loup. Olivier Sarrasin est mandaté par la Confédération pour placer des Montagne auprès de propriétaires de bétail qui ont subi les attaques de prédateurs comme le loup, le renard ou l'ours, ou qui veulent s'en prémunir. Le grand chien mâle sort renifler un promeneur qu'il a tout l'air de ranger au rayon des bêtes sans grand danger ni intérêt. Puis il revient tranquillement dans la bergerie, et rejoint sa famille «élargie». La tolérance du cerbère «Un chiot des Pyrénées, ça naît et ça grandit au milieu des moutons, précise Olivier Sarrasin. Ce processus est destiné à le socialiser à ces bêtes, qu'il doit effectivement considérer comme sa propre famille. Un bon chien vient au contact de l'homme, il accepte de se laisser caresser, mais il doit revenir rapidement vers le troupeau. On lui en demande beaucoup. D'avoir une grande tolérance envers les animaux qu'il côtoie jour et nuit, d'être conciliant avec les touristes, et de protéger le troupeau.» Comme pour lui donner raison, devant une brebis querelleuse qui s'approche, un des chiots se couche en signe d'apaisement. Ce comportement soumis surprend le visiteur? Il est normal, pourtant: «Né parmi les moutons, le Montagne en est le gardien, bien sûr, mais il leur doit aussi une forme de soumission, ne doit jamais regarder un ovin en face.» Le couple se prépare à partir livrer Aicha, une jeune femelle Patou, à un berger de la région. Pour le petit, l'adaptation s'annonce difficile. «Ici, les bêtes vivent avec des chiens depuis dix ans. Ailleurs, c'est différent. La phase de socialisation va durer au moins trois mois.» L'équilibre entre le chien, le troupeau et l'éleveur de bétail est délicat. Il faut sensibiliser l'éleveur, qui doit être prêt à s'engager. Sans quoi Olivier Sarrasin retire l'animal. Deux heures plus tard, les Sarrasin ont gagné l'élevage de Jérôme Vannay à Murat, dans le même val Ferret, pour y intégrer Aicha. Il y a quelques mois, Jérôme a subi les attaques du loup. «12 bêtes tuées sur le coup. Après, on a mis deux jours à retrouver les animaux blessés. Ils se cachaient, terrorisés. Il a fallu en abattre encore 19, qui étaient condamnés, sans compter deux disparus.» 33 moutons perdus en une seule attaque? «Le loup est un tueur, affirme Sarrasin. Dans l'enclos, la panique des bêtes l'excite. Il se livre à un véritable massacre. Des dégâts que peut empêcher le Montagne. Sa présence décourage le prédateur. Le chien s'interpose, et si le loup est audacieux, il emportera au mieux une brebis. Sinon, il repartira bredouille.» La petite Aicha sort de sa caisse, elle entame sa nouvelle odyssée. Baloo, un Montagne adulte déjà propriété des Vannay, vient à sa rencontre. Il facilitera son intégration. Les Sarrasin se séparent de la petite. Ils ont l'air émus. «Je suis toujours inquiet, confie Olivier. Pour le chiot. S'il n'est pas bien soigné, je le reprendrai.» «Je me bats pour la vie» Aujourd'hui, les éleveurs achètent des chiens à Olivier Sarrasin. Mais hier, ils le considéraient comme un pro-loup, un traître ou, pire, un écologiste. «Je ne suis pas favorable au prédateur. Aucun éleveur ne l'est. Mais la question ne se pose plus en ces termes. Il est là, il nous faut nous adapter. Et si je suis écologiste, c'est de façon concrète. Je ne suis pas un rêveur. Ces brebis et cette herbe, c'est tout ce que je possède. Je me bats pour la vie.» Selon Olivier Sarrasin, les choses ont changé. «Avec le «Concept loup suisse» mis en place par Berne, on ne tuera plus aussi facilement le prédateur que par le passé. On veut laisser une chance à sa réintroduction dans les Alpes. Les lois s'appliquent aussi à cette vallée.» L'animal est protégé au niveau suisse, mais aussi au niveau européen. Ce qui garantit aux éleveurs une indemnisation cantonale et fédérale, explique-t-il. Et puis, continue-t-il, le prédateur constitue peut-être une chance. Les petits éleveurs sont en voie de disparition. Non pas à cause du carnivore, mais de la dépréciation des prix, de la concentration des acheteurs. La rentabilité devient difficile. «Le loup nous offre une visibilité. Grâce à lui, on parle de nous. A nous de faire comprendre au public que nous sommes les gardiens d'un patrimoine. Nous aimons cette terre. Nous l'entretenons. Et le Montagne des Pyrénées s'intègre bien dans ce patrimoine à conserver.» Au moment de partir retrouver ses chiens, Olivier Sarrasin glisse une dernière phrase. «Si on racontait à nos ancêtres qu'en 2007 le problème, c'est le loup, ils nous diraient: «Vous êtes tarés, ou quoi?» et il éclate de rire. Source : http://www.letemps.ch Je ne crois pas qu'en France il existe des éleveurs de chiens de protection qui soient mandatés par le ministère de l'agriculture pour placer ce genre de chien, toutes races confondues, chez des éleveurs de d'ovins...C'est bien dommage...
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Ils sont peut-être mort de "quenelles" intestines...les "vers" Adèche.... Non, plus sérieusement, rien n'a changé...à part LPO (Le CORA) et la FRAPNA qui tiennent tête aux chasseurs (Escrinet col libre) dans les autres domaines "Ils" font toujours régner leurs lois...je crains vraiment que cela soit pire que dans l'arc alpin...
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A ce niveau là j'ai bien peur que le petit Nicolas ne puisse faire grand chose… :méfiant: ..Condamné par le passé pour les mêmes faits, ce qui lui a valu une interdiction de chasse, cela ne l'empêchait pas... Donc on va lui enlever son permis de chasse pendant 5 ans Et 54 000 Euros que les enquêteurs ont décourverts sur ses comptes moins 12 500 Euros d'amende ça laisse pas mal de bénef non ? pour se racheter 4x4 et fusils....
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Je n'ai pas dit que Sarko cautionnait "leurs" agissements, j'ai dit que sarko cautionnait "les" chasseurs de camargue et "leurs" agissements, il ne se penche sur les problèmes ce qu'il cherche c'est des voix Maintenant, il doit y avoir dans le foruim(je ne sais plus ou) la dénonciation des paroles de Sarko, tout d'abord par un syndicat, oeuvrant au sein de l'ONCFS et par l'ASPAS je crois...fais une recherche...c'est comme pister le gibier ça peut être interessant... je ne suis quand même pas le setter de service Loulou tu confirmes ? les paroles de Sarko ? Je suis du même avis qu'Ugatza, peines encre plus sévères dans les deux cas, et encore plus sévère pour le cas de l'instit. Mais je me pose la question si ces gens là, avaient un permis de chasse, vu qu'ils ne respectent pas l'espèce humaine, qu'en serait-il des espèces animale ? Je ne veux pas faire le parallèle mais...il me semble parfois (souvent, mais je n'en fait pas une généralité) que la réciproque est vrai...
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Donc, méa culpa, les chassseurs sur ce coup là ne sont pas mis en cause, il n'y a que les sociétés de chasse qqui ont commandité le (sale)travail...mais là, ce n'était pas pour réguler, comme aurait dit Maurice...(tient un ange passe...) mais pour la bonne cause...le repeuplement :ange1: :ange1: (2 anges)