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Tout ce qui a été posté par Louva
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L'industrie de la fourrure ne devrait pas exister. De quelques manières que ce soit. M'enfin tant qu'il y a de la demande il y a de l'offre, la terrible loi du marché... Sinon pour éviter le cuir, le synthétique et le coton, ya... le lin et le chanvre... Encore cher c'est vrai, mais ca pollue bcp moins que le coton. Malheureusement toutes les productions de chanvre on été éradiquée en france, parce qu'on ne fait pas que des vêtements avec... le chanvre ça se fume aussi, c'est l'autre nom du canabis Dommage que ca reste cher le lin et le chanvre, mais c'est les vêtements les plus écologiques qui soient pour l'instant...
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Oui ils font des actions illégales (mais légitimes). Oui ils sont habillés en tenus de camouflage. Je trouve que le mot Résistance sonne bien. La résistance peut s'appliquer à n'importe quelle lutte qui à pour vocation de s'opposer à quelque chose d'honteux et de cruel. Si on reparle des résistant pendant la guerre, eux aussi ils faisaient des actions illégales voir violentes et pourtant... Enfin pour le site du RAF ils n'obligent rien ni personne. L'ALF a fait beaucoup de choses en Angletterre, des acitivites et militants ont réussis à faire interdir la chasse à courre et grâce à des vidéos filmé en douce dans les labos pharmaceutiques ils ont informé l'opinion publique de ce qui se passait réellement dans les labos...
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La RAF ont l'air vraiment pas mal, d'ailleurs je suis inscrite au forum depuis assez longtemps. Le problème est que l'info est très mal relayée en france, et on a très peu de cellules actives et militantes dans le genre. De plus ils soutiennent l'ALF c'est vraiment bien. Alors je vois pas le problème au sujet de ce sujet...
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Scientifiquement parlant l'homme n'est pas fait pour manger de la viande pour de multiples raisons (intestin trop long, absence de griffes, de dention de carnivore...) avancée entre autre par George Cuvier... Bon après chaucun fait comme il veut, je ne cautionne en aucun cas la pêche à grande échelle et l'élevage de poissons, mais personnellement je ne pêche plus (oui avant je pêchait avec mon père mais on relachait les poissons) par respect envers eux. J'aime les poissons, je n'en ai pas besoin pour survivre alors je n'ai aucune raison de les tuer.
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Quand la pollution transforme les mâles en femelles...
Louva a répondu à un(e) sujet de Louva dans Menaces sur la Biodiversité
Canis a raison ^^ et puis tous les gays ne sont pas éfféminés c'est sûr. Mais dans ce truc scientifique que j'ai trouvé ça n'a rien avoir avec un choix de partenaire du même sexe mais plutôt d'une transformation physique majeure. Première étape : stérilisation, seconde étape : transformations physiques chez l'homme. -
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Salut tout le monde. Voilà j'ai créé ma Junior Association dont je suis la présidente. C'est uen association sur la sauvegarde de l'environnement et la protection des animaux. Elle s'appelle L.E.S.T : Luttons Ensemble pour la Sauvegarde de la Terre. Petit descriptif : Actuellement 10 membres constituent L.E.S.T. (Luttons Ensemble pour la Sauvegarde de la Terre) => Nos idées et projets : sensibiliser la population à l'écologie, faire des expositions, organiser des randonnées en forêt, nettoyer des lieux naturels souillés, faire connaître au public les espèces menacées de notre région. Etre avant tout une sorte de relais entre les grandes associations nationales (WWF, ASPAS, LPO, LOUP.ORG, FERUS, SPA...) et la population pour diffuser des pétitions, tracts, affiches... Il consiste aussi à contacter des associations écologistes régionales pour faire des échanges, intervenir dans les milieux scolaires ... => Comment est née l'idée : L'idée est née grâce à notre amour et à notre respect de l'environnement et des animaux. Comme ce respect est de nos jours très souvent bafoué, et que la protection des milieux, de l'écologie et de la vie végétale et animal est un des problèmes majeurs de la société d'aujourd'hui, nous voulons favoriser les prises de consciences sur la Nature => Le but de ce site : est d'informer et de sensibiliser un maximum de personnes sur la condition animale, la destruction de l'environnement... etc... Et bien sûr de faire connaître les différentes actions que nous menons. Pour les actions j'ai un peu de mal à tout mettre en place. A la fête de l'association sportive de mon collège, j'étais présente. J'ai fait signer des dizaines de pétitions sur un peu tout en informant et sensibilisant les collégiens qui signaient. J'ai renvoyé le tout aux grandes associations. Sauf au wwf... je leur ai envoyé la pétition pour le loup et la lettre m'est revenue avec pour infos qu'il n'y avait pas de nom à l'adresse indiquée, bizarre... J'ai envoyé le communiqué de presse suite à la mort de Palouma à tout un tas de journaux locaux. Je remercie d'ailleurs Apasdeloups pour l'avoir écrit. Il faut que j'envoie une lettre au maire pout me faire connaître et voir si je ne peux pas profiter du système lol pour servir une cause comme la protection de la terre. Surtout que j'étais anciennement membre du CBJ (Conseil Bisontin des Jeunes) donc si je peux avoir une salle, ou bien plus par le maire, ça serait bien. Il faut aussi que j'appelle un gars de la galerie commerciale de géant casino pour demander si je peux mettre uen table et 2 chaises pour faire signer des trucs et informer les gens en mettant des panneaux et en leur parlant... Donc voilà pour l'instant c'est dur de tout mettre en place, surtout que je suis la seule membre active. Je vous raconte pas quand je dois courir après les membres (qui s'étaient pourtant engagés) pour faire une réunion. La dernière fois on était 2 ... La je doit remplir à nouveau la feuille d'habilitation (même si ça fait pas encore un an qu'on l'a) et je vais reprendre les choses en mains que ca arrête de partir en live... Voilà notre site : http://asso.lest.ifrance.com/
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hé bien Loulou, tu t'y connais en poissons lool. Avec les mises en oeuvres de pêche industrielles, on y fait tout et n'importe quoi... Mais l'exemple du Sénégal n'est pas un cas isolé... on veut "civiliser" à la méthode occidentale et américaine de rentabilité et enfait ont leur fait faire les même co****** que nous... M'enfin ils auraient pu leur faire planter des céréales du pays ça aurait fait moins de mal, et sans agriculture intensive. Et pour en revenir au poisson les 3/4 des stock de poissons pêchés industriellement sont destinés aux animaux d'élevages ou aux croquettes pour chiens (les tortues aussi entre dans la composition de croquettes pour animaux domestiques). L'élevage de poisson (comme le saumon) n'est absoulement pas une super idée pour palier à l'extinction des poissons sauvages, en sachant qu'il faut 7 kg de poissons sauvages pour faire un kg de poisson d'élevage... sans parler des conditions abominables de détention des poissons et l'impact sur l'environnement et sur la santé... enfin c'est une autre histoire. C'est quand même dommage qu'on attribue volontier la capacité d'avoir peur, d'avoir mal et autres à des animaux qu'on sent proche de nous et pas aux poissons. Enfin perso je me sens proche des poissons loool et que je veux pas leur faire du mal.. Ya même certaines personnes qui disent que les poissons c'est pas des animaux... là ca fait carrément peur, ils ont jamais vu les tableaux de classification des être vivants ? Nan mais n'importe quoi...
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LA SOUFFRANCE DES POISSONS Résumé d'un débat ayant eu lieu lors des Estivales de la Question Animale - Août 2003 - Texte conçu par Yves Bonnardel - La question des poissons et de ce qu'on leur fait subir est très rarement abordée ; pourtant, ce sont aussi des êtres sensibles, et ce sont de très loin, parmi les animaux vertébrés, nos plus nombreuses victimes : ce sont plusieurs centaines de milliards, sans doute même des milliers de milliards, de poissons qui sont tués chaque année dans le monde, essentiellement pour être mangés, ou pour produire des farines et huiles qui serviront à nourrir d'autres animaux, d'élevage (dont des poissons). L'intensité des souffrances qu'ils endurent, et le nombre d'êtres concernés devrait nous amener à considérer la question de la pêche et de l'élevage des poissons comme un problème prioritaire, un axe de lutte qu'il est d'autant plus urgent de développer que personne pour l'instant ne s'en soucie. La capacité des poissons à ressentir le stress et la douleur ne fait pas de doute : leur système nerveux central ressemble étroitement au nôtre. Lorsqu'ils sont poursuivis, enfermés, ou menacés de toute autre manière, ils réagissent comme le font les humains : par l'augmentation de leur fréquence cardiaque, de leur rythme respiratoire, et par une décharge hormonale d'adrénaline. Quand ils sont blessés, les poissons se tordent, halètent, et exhibent d'autres signes de douleur. Il est clair que les poissons ressentent la peur : si un vairon a été une fois attaqué par un brochet, ou en a seulement vu d'autres se faire attaquer, l'odeur d'un brochet suffit à lui faire prendre la fuite. Et les perches apprennent rapidement à éviter les hameçons simplement en en voyant d'autres s'y faire prendre. Pourtant, fréquemment cité par les magazines de pêche, le professor James D. Rose de l'Université du Wyoming aux USA, affirme avoir établi que les poissons ne possèdent pas cette région du cerveau spécifique qui permet la sensibilité. Parce qu'ils sont dépourvus de néo-cortex, les poissons ne ressentiraient ni souffrances ni détresse ni plaisirs, et leurs comportements lors de la capture, par exemple, seraient simplement des réponses réflexes à des stimuli. Ces arguments avaient dans l'ensemble déjà été réfutés il y a plusieurs années, notamment par David DeGrazia, professeur à l'Université Georges Washington. Le néo-cortex n'est pas la seule zone cérébrale permettant les perceptions sensibles et des arguments variés et de nombreuses expériences forment un si vaste faisceau de présomptions que l'on peut considérer qu'en fait nous avons des preuves de la sensibilité des poissons. Une équipe de l'Institut Roslin et de l'Université d'Édimbourg semble en outre avoir apporté une preuve "définitive" d'une perception de la douleur chez les poissons. L'étude, qui a porté sur la truite arc-en-ciel, démontre non seulement l'existence de récepteurs du système nerveux dans la tête du poisson qui réagissent aux stimuli, mais que l'application sur sa peau de substances nocives peut produire des changements profonds et durables de son comportement et de sa physiologie, tout comme c'est le cas avec des mammifères supérieurs. [?] la réaction à une substance nocive n'étant pas suffisante pour prouver la perception à la douleur, il a fallu démontrer que la conduite de l'animal est affectée de façon négative par l'expérience douloureuse, et que ces modifications de comportement ne sont pas uniquement le fait de réflexes. C'est pourquoi les chercheurs ont étudié les réactions de la truite à des stimulations extérieures, en leur administrant ou non des anesthésiques. "Tous ces travaux font apparaître que les critères permettant d'affirmer qu'il y a bien douleur de l'animal sont réunis", résument les chercheurs. (D'après un communiqué de l'AFP du 30 avril 2003) La pêche commerciale décime les poissons, en en tuant d'innombrables milliards chaque année. En général, pour eux, la mort n'est ni rapide ni indolore. Dans la pêche au chalut, un bateau traîne derrière lui à travers l'eau un énorme filet. Tous les poissons qui y entrent sont poussés par le mouvement de traction en direction de son extrémité en cul de sac effilé. Pendant une à quatre heures, les poissons pris sont tirés et pressés les uns contre les autres, avec divers débris et cailloux que ramasse le filet sur le fond : le frottement use leurs écailles et met leurs flancs complètement à vif. La décompression que subissent les poissons devient insoutenable dès lors que leur remontée forcée a lieu depuis une certaine profondeur. La chute de la pression provoque une dilatation du gaz enfermé dans leur vessie natatoire. Il arrive souvent que la pression interne qui en résulte fasse éclater la vessie natatoire, ou sortir les yeux de leurs orbites, ou œsophage et l'estomac par la bouche. « Beaucoup parmi eux n'avaient que des trous vides là où auraient dû se trouver les yeux », rapporte un observateur sur un chalutier. Une autre fois, il remarqua lors de la remontée du filet « une grande écume de bulles? provenant des milliers de vessies natatoires rompues. » Les poissons relativement petits sont d'ordinaire déversés sur de la glace pilée ; la plupart y meurent d'étouffement ou écrasés par les couches suivantes. Les poissons plus grands sont vidés sur le pont et l'équipage les larde de coups au moyen de courtes tiges pointues pour les trier, puis leur coupe la gorge et le ventre (pas nécessairement dans cet ordre). Entre-temps, les poissons non désirés (« déchets »), qui représentent parfois la majorité de la prise, sont rejetés par dessus bord, parfois à la fourche. Ceci dit, la pêche de loisir est évidemment également loin d'être sans douleur (et sans tuerie, bien sûr !) : le palais ou l'estomac du poisson dans lequel s'ancre l'hameçon est tout aussi sensible que le nôtre, et le poisson qui étouffe à l'air libre prend parfois plus d'une heure pour mourir. L'indifférence à l'égard des poissons est généralement totale, et on ne comptabilise leurs morts qu'en tonnes : matière première, produits de la mer, ressources halieutiques, "biomasse"? D'après « Les poissons : une sensibilité hors de portée du pêcheur », Joan Dunayer, paru dans les Cahiers Antispécistes Lyonnais n°1, et d'après un communiqué de l'AFP du 30 avril 2003 et d'après un encadré sur les travaux de Rose, dans la brochure à paraître sur les poissons. De Yves Bonnardel.
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Quand la pollution transforme les mâles en femelles...
Louva a répondu à un(e) sujet de Louva dans Menaces sur la Biodiversité
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Quand la pollution transforme les mâles en femelles...
Louva a répondu à un(e) sujet de Louva dans Menaces sur la Biodiversité
Oui c'est sûr que tout est contaminé... Et ca va pas aller en s'arrangeant... Lou d'arabie, tu m'as appris quelque chose je savais pas que la pollution faisait grossir... Dommage que l'expérience en question pratiquée par des scientifiques français, est été réalisée sur des animaux. Ah bé si c'est moi. Maintenant j'ai plus peur de rien, lol. Devenue écologiste radicale partisante des luttes contre le capitalisme, le libéralisme, l'impérialisme et la contre cruauté sur les animaux, c'est plus 2 fautes d'orthographes qui vont me faire peur, lol. Tout à fait... Il faudrait aussi éviter la viande (hormone, anti-dépresseurs, médicaments à l'intérieur) et le poisson (surtout le thon, ya plein de mercure dedans). Et aussi éviter tout ce qui est produit de soin, cela contient : paraben multiples, propylen-glycol (hautement cancérigène), parfum de synthèse, metylbenzylidene camphor (oestrogène), pariffine et tout ce qui contient du pétrole... toujours testés sur les animaux. -
Quand la pollution transforme les mâles en femelles...
Louva a répondu à un(e) sujet de Louva dans Menaces sur la Biodiversité
On est tous entrain de muter... Et avant que les hommes ne deviennent des femmes, ils seront stériles, surtout que ça touche majoritairement les hommes. 200 polluants relevé dans le cordon ombilical d'un bébé... Et comme le dit Herljios, ca veut dire que toutes les espèces sexuées finiront pas s'éteindre... -
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Des groupes écologistes américains ont remporté une victoire judiciaire mardi contre le gouvernement du président George W. Bush, qui voulait ouvrir aux bûcherons l'exploitation d'une forêt de séquoias géants protégés dans les montagnes de Californie. suite : http://www.cyberpresse.ca/article/20060823...5147/CPSCIENCES
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Quand la pollution transforme les mâles en femelles...
Louva a posté un sujet dans Menaces sur la Biodiversité
L’homme de demain est une femme par Dr Jean-Pierre Willem le Jeudi 29 juin 2006 Les hommes sont-ils en train de devenir des femmes ? Il est facile de démontrer que la dévirilisation de la société se fait en accéléré depuis quelques années : ce sont les femmes qui draguent les hommes, les enfants peuvent porter le nom de leur mère, les noms des métiers exercés par les femmes se féminisent, les femmes arrivent en masse dans la politique… Le mouvement est d’ailleurs accentué par la société de consommation. Le meilleur consommateur est devenu une femme… ou un gay. Mais la pression sociale et économique n’explique pas tout. Car depuis trente ans, on assiste à une féminisation de l’ensemble de la faune. On sait depuis longtemps que les poissons des lacs et des estuaires où se déversent les polluants se féminisent. Les ornithologues observent maintenant que les mouettes mâles couvent les œufs. Et, depuis peu, les zoologues constatent que les ours polaires, pourtant loin des zones de déversement, n’échappent pas à ces transformations. Chez l’humain, on constate aussi une baisse générale de la fertilité (diminution de 50 % du nombre de spermatozoïdes actifs en cinquante ans). Les malformations génitales se multiplient : à Montpellier, le professeur Charles Sultan, pédiatre endocrinologue, estime que le nombre de garçons qui ont un micropénis et d’autres malformations de l’appareil génital comme la descente incomplète des testicules (cryptorchidie) a été multiplié par trois en vingt ans. Le ratio de natalité fille/garçon, traditionnellement favorable aux garçons, s’est inversé. C’est la débandade ! Il apparaît maintenant clairement que l’industrie pétrochimique est la première responsable de cette dévirilisation du monde. Elle a déversé sur la planète des tonnes d’hydrocarbures aromatiques polycycliques sous des formes que l’on ne soupçonne même pas. Ces hydrocarbures présentent les mêmes propriétés que les œstrogènes des femmes, et les dépassent même en puissance. Il y en a partout : rejets de l’échappement automobile, insecticides et pesticides, matières plastiques, lessives et produits d’entretien, parfums, savons, shampooings, déodorants, crèmes… sans parler des hormones de synthèse que l’on trouve aussi dans tout aliment contenant des produits animaux. Aux États-Unis, on a recensé, dans le cordon ombilical des nouveaux-nés, deux cent de ces polluants. Le docteur John Lee résume bien la situation : « Nous sommes noyés dans une mer pétrochimique d’œstrogènes. Les conséquences potentielles de cette surexposition sont bouleversantes, surtout si l’on considère que l’une d’entre elles est la transmission des anomalies du système reproducteur à nos descendants. » Si quelques mâles survivent à ce génocide, ils le devront à la prudence de leurs parents qui auront vécu loin des grandes villes, mangé bio, évité la viande, bu de l’eau filtrée, employé des produits de soin et d’entretien naturels, éliminé les tissus synthétiques, détoxiné leurs organismes et banni la télé et les ordinateurs de leur foyer. Ceux qui adoptent ce comportement aujourd’hui sont souvent considérés comme des extrémistes sectaires. Ils seront peut-être, demain, notre Arche de Noé.