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Admin-crevette-passion

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Tout ce qui a été posté par Admin-crevette-passion

  1. Admin-crevette-passion

    Cladophora

    +1 avec toi Max j'ai des lentilles dans tout mes bacs
  2. oui la ont vois mieux , c'est bien une bleu pearl
  3. un bac planté ou que mousse ? J'aime bien voir mes crevettes donc pour moi je plante pas il a que de la mousse de java et vous ?
  4. J'ai encore 4 bacs a mètre en eau et 3 grand bacs 1M50 a coller pour mettre au milieu de la pièce pour mes chérax et autre écrevisses
  5. Admin-crevette-passion

    Cladophora

    Pas d'accord, oui tu dois la serré fortement mais pas dans l'eau du bac. elle porte bien son nom de boule a nitrate donc pourquoi remettre le nitrate dans l'eau .......!!!!!
  6. Je vient de recevoir ma commande, tout est impeccable et sérieux. Franchement foncer , rushman ( Pascal ) est très sérieux Merci Pascal PS: il ma donner des cadeaux pour les concours photo Merci
  7. généralités sur les fruits d'aulnes et les feuilles de chêne Grâce aux tanins qu'ils contiennent, ils permettent d'acidifier l’eau (sous réserve que la dureté carbonatée ne soit pas trop élevée) en lui donnant la couleur thé des eaux noires d’Amazonie (entre autre). Rappelons que Le tanin est un « acide-tampon », autrement dit il permet d’éviter les fluctuations de pH dans le cas d’une utilisation en eau à faible kH. Il semblerait également que cet acide ait un effet bénéfique sur les algues... Pour finir, ils libèrent également un antibactérien utile en prévention de maladies. les fruits d'aulnes Récoltés sur les bords de rivières à l’automne (plus efficaces que ceux du printemps déjà lessivés par les pluies, les fruits d’aulnes se dégradent beaucoup moins vite que les feuilles de chêne, ils sont même quasiment imputrescibles. Un rinçage succin associé à un passage au micro-onde permet de les débarrasser d’éventuels agents pathogènes. Certains aquariophiles n’opèrent que le rinçage avant de les plonger dans l’eau directement dans le bac ou en filet dans la filtration, d’autres ne les lavent même pas. Les fruits non bouillis flottent au début, puis se gorgent d’eau et coulent en libérant leurs tanins La quantité nécessaire dépend de la dureté de l’eau… par exemple, compter 2 fruits d’aulnes pour 15l environ pour passer de 7,5 à 6,5 ; 2 pour 60l pour passer de 7,5 à 7 Petite expérience perso : attention à ne pas faire descendre le ph trop rapidement, quitte à espacer l'introduction des fruits d'aulnes : je suis allée un peu vite la dernière fois, et mes poissons ont déclaré des points blancs... En douceur donc, en douceur... Partager Feuilles de chêne, fruits d'aulnes etc... quel usage ? Par elobulle, le Jeudi 12 Mai 2005 (mis à jour le Lundi 16 Mai 2005 15:36). certaines essences d'arbre peuvent se montrer très utiles pour l'aquariophilie, et pas seulement pour la décoration... Article lu 63524 fois. généralités sur les fruits d'aulnes et les feuilles de chêne Grâce aux tanins qu'ils contiennent, ils permettent d'acidifier l’eau (sous réserve que la dureté carbonatée ne soit pas trop élevée) en lui donnant la couleur thé des eaux noires d’Amazonie (entre autre). Rappelons que Le tanin est un « acide-tampon », autrement dit il permet d’éviter les fluctuations de pH dans le cas d’une utilisation en eau à faible kH. Il semblerait également que cet acide ait un effet bénéfique sur les algues... Pour finir, ils libèrent également un antibactérien utile en prévention de maladies. les fruits d'aulnes Récoltés sur les bords de rivières à l’automne (plus efficaces que ceux du printemps déjà lessivés par les pluies, les fruits d’aulnes se dégradent beaucoup moins vite que les feuilles de chêne, ils sont même quasiment imputrescibles. Un rinçage succin associé à un passage au micro-onde permet de les débarrasser d’éventuels agents pathogènes. Certains aquariophiles n’opèrent que le rinçage avant de les plonger dans l’eau directement dans le bac ou en filet dans la filtration, d’autres ne les lavent même pas. Les fruits non bouillis flottent au début, puis se gorgent d’eau et coulent en libérant leurs tanins La quantité nécessaire dépend de la dureté de l’eau… par exemple, compter 2 fruits d’aulnes pour 15l environ pour passer de 7,5 à 6,5 ; 2 pour 60l pour passer de 7,5 à 7 Petite expérience perso : attention à ne pas faire descendre le ph trop rapidement, quitte à espacer l'introduction des fruits d'aulnes : je suis allée un peu vite la dernière fois, et mes poissons ont déclaré des points blancs... En douceur donc, en douceur... les feuilles de chêne Ces dernières se dégradent plus ou moins rapidement selon des facteurs tels que la période de récolte (durée écoulée après leur chute), ou le fait qu’on les ait faites bouillir avant utilisation… Mais cette dégradation ne semble pas entraîner de pic de pollution dans les bacs, car nombreux sont les aquariophiles qui laissent cette couche de matière organique sans jamais siphonner ! Les feuilles de chênes sont bouillies (car on ne ramasse jamais que des feuilles de chêne !) et déposées telles que dans le bac, ou broyées pour perdre leur aspect originel un peu trop européen. Elles permettent ainsi, broyées ou laissées entières, la colonisation de microorganismes bénéfiques au bac et proposent gîte et couvert providentiels pour les alevins... autres essences D’autres essences appartenant à la famille des bétulacées peuvent être utilisées dans des buts similaires, parmi lesquelles : - la feuille d’amandier - les feuilles séchées du hêtre Ces deux dernières sont encore plus efficaces que l’aulne ! Mais aussi : - le bouleau (feuilles, branchage et écorce) - les bogues de noisettes - les écorces et feuilles de saule (particulièrement le saule blanc) - l’osier - le charme - le peuplier - ... De ces arbres, on peut utiliser les chatons, les feuilles, les graines ou les fruits. Le saule blanc est connu pour son principe actif, la salicine (à la base de l’aspirine). De même que le saule pleureur et l’osier, il dégage de l’acide salicylique (anciennement appelé aspirine végétale), qui aurait des vertus anti-parasitaires variées. Le bouleau dégage lui aussi de l’acide salicylique, mais uniquement dans son écorce ou dans son bois, pas dans ses feuilles. Certaines de ces essences n’acidifient pas ou peu l’eau, leur intérêt est plus de l’ordre de la pharmacie. Source:aquabase
  8. Biologie et écologie Les vers de vase rouges sont en fait les larves d'un genre d'insectes qui ressemblent à des moustiques : Chironomus dont le plus connu est le Chironome plumeux (Chironomus plumosus). Elles sont très utilisées en tant que modèle d'étude en génétique, mais aussi en aquariophilie, dans l'alimentation des poissons. La larve de Chironome est appelée ver de vase, ou ver de vase rouge, en français, bloodwurm ("ver de sang") en anglais, et rottemuckelarven ("larve de vase rouge") en allemand. Elle doit sa coloration rouge à un pigment respiratoire, l'hémoglobine. Assez différente dans sa structure de l'hémoglobine des vertébrés, elle est composée d'une seule chaîne protéique, et s'apparente donc dans les faits plus à une myoglobine. Sa fonction est similaire : en liant les gaz respiratoires (dioxygène et dioxyde de carbone), elle permet leur transport dans le sang (hémolymphe) de l'animal, et facilite ainsi la respiration. Cette particularité confère à cette espèce une aptitude à survivre dans des milieux extrêmement anoxiques, là où d'autres ne le pourraient pas, et notamment les boues et vases du fond des mares et des étangs, là où la fermentation importante consomme la plus grande partie de l'oxygène disponible. Les Chironomes pondent dans les mares et les plans d'eau, où naissent les larves. En subissant la métamorphose, les larves se changent en imago (adultes), capables de voler et de se reproduire à leur tour. En devenant adulte, elles perdent également leur capacité à synthétiser de l'hémoglobine. Utilisation Compte tenu de la teneur en protéines, il convient de ne pas distribuer trop fréquemment les vers de vase, et d'adapter la quantité à l'espèce. Pour la plupart des poissons, une à deux distributions par semaine semblent un bon compromis. Attention, les vers de vases sont inadaptés à l'alimentation de certaines espèces. On met ainsi en garde contre les risques que présente leur distribution sur les espèces de cihlidés brouteurs, comme les M'Bunas du Malawi, ou les Tropheus du Tanganyika. Les larves de moustiques coulent au fond de l'aquarium; selon le type de poisson à nourrir, on préfèrera les distribuer sous forme surgelée, ou vivante. Les larves vivantes sont plus attractives, de par leurs mouvements. Elle stimulent notamment le frai. Elles présentent cependant le risque de s'enfouir rapidement dans le substrat, échappant ainsi à la voracité des poissons, et risquent d'y mourir, produisant ainsi une source de pollution inutile. Il convient donc de rester vigilant quant à la quantité à distribuer. Les espèces fouisseuses, comme les Corydoras ou les loches, sont capables d'extraire les vers de vase du substrat, et de les consommer malgré tout. Les larves surgelées ne doivent jamais être distribuées telles quelles : elles risqueraient de provoquer des brûlures des branchies, qui peuvent à terme s'avérer fatales. Pour les dégeler, on les fera tremper quelque temps dans de l'eau tiède. L'eau de décongélation est très chargée en nutriments et polluants, et risque de modifier significativement la quantité de nitrates de l'eau. Il faut donc égoutter convenablement les vers de vase, au moyen d'un tamis à artémias, notamment. Les larves lyophilisées, déshydratées, sont beaucoup plus légères, et flottent à la surface. Elles sont donc inappropriées pour l'alimentation des poissons de fond. Source: wikipedia
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