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Lunëwen11

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  1. Toutes ces réactions ça vient de l'instinct de survie : nos ancêtres on sans doute vu de leurs congénères mourir en touchant un crapaud, ou mordus par une araignée ou un serpent.
  2. Mais ce serpent appartenait certainement à un voisin ! C'est dégueulasse de le mettre à la vente ! J'imagine ma tête si je retrouvais Dalida dans une animalerie après l'avoir perdue, je serais pas très contente. Ca arrive de laisser la porte fenêtre ouverte, surtout par cette chaleur, et des fugues aussi ça arrive, on n'est pas tous inconscients pour autant. Oui le serpent corail est un serpent extrêmement dangereux.
  3. ah mais je ne me pose pas la question, je la ferai quoiqu'elle m'en coute, j'ai appris aujourd'hui que je pouvais payer avec un échéancier, donc ça me rassure. Si tout se passe bien et que l'opération n'est pas nécessaire, j'aurai fini de payer en décembre.
  4. Je n'ai pas vraiment le courage de raconter la suite de son histoire tout de suite. Pyroli a un cancer de la peau sur le nez, un carcinome épidermoide nasal. Cela fait plusieurs années qu'il l'a mais aucun vétérinaire n'en a été inquiété. J'ai été faire plusieurs analyses et aujourd'hui, la question qui se pose est : doit on l'amputer du nez ou directement faire la radiothérapie. Selon les vétérinaires d'ici, la chirurgie causerait de gros problèmes de rhinites par la suite et serait, en plus désagréable et disgracieux pour le chat. De mon côté j'ai fait des recherches et beaucoup vantent l'efficacité de la radiothérapie seule. Cette hospitalisation se fera à Maison Alfort, près de Paris et me coûtera 900€. Je gagne 900€ par mois, et je paye mon loyer et pas mal d'autres trucs, donc j'ai demandé un échéancier, j'attends leur réponse. Autre souci, je ne suis libre que le week end et ils semblent ne pas travailler le week end. La vétérinaire m'a alors demandé s'il était bien raisonnable de soigner Pyroli, avec toutes ces contraintes, sa phrase m'a glacé le sang... Est ce bien raisonnable de sauver la vie à celui qui l'a fait pour vous ? Est ce raisonnable d'aimer son chat autant qu'un humain ? Dans ma famille, personne ne se pose cette question. Il y a eu des chats à y passer, Pyroli, c'est Pyroli, les autres, même sa mère, c'étaient des chats. Je ne sais pas comment le faire comprendre aux gens lorsque j'en parle, mes grands parents qui n'aiment pas les chats embrassent Pyroli comme s'il était leur petit fils. Ils détestent mes autres animaux, mais Pyroli n'est pas considéré comme un simple animal par eux. Vous allez sans doute vous dire que je suis tarée. C'est sûrement vrai. J'ai vécu une relation fusionnelle avec Pyroli depuis sa naissance, il y a dix ans, et aujourd'hui la mort vient essayer de me le prendre ! photos du 14 juillet 2010
  5. Ah par rapport à la drogue dessin ! ouii ! XD Mais ça n'a rien à voir ^^
  6. C'est aussi ce que m'a dit une amie qui a été adoptée (elle est psy aujourd'hui), l'enfant doit savoir dès le départ et on ne doit pas lui cacher la façon dont sa famille et les autres familles fonctionnent. Finalement, sur le plan sentimental, un bébé est fait avec deux personnes qui s'aiment si fort que ça a donné la vie. Je trouve cette version plus jolie que celle du choux et la rose. Pour moi, si le mariage est nécessaire, c'est pour plusieurs raisons qui touchent directement la famille. Je voudrais que nos enfants portent tous le même nom de famille, et que nous soyons toutes les deux reconnues comme étant les mères de nos enfants. Et Myléna voudrait se défaire du nom de famille de l'homme qui a détruit son enfance (son grand père paternel). Idéalement, au cours d'un mariage, elle prendrait du coup mon nom et ce serait réglé. Mais je ne suis pas un homme... Si le pacs avait les mêmes valeurs que le mariage, qu'il se faisait en mairie et pas au tribunal, personnellement, je me moquerais du mariage. Un enfant qui perd un de ses parents est toujours malheureux, mais on souffre généralement plus de l'absence de mère que de l'absence de père. Ça tient au fait que l'on a été accroché à elle pendant 9 mois. J'ai un ami qui a deux mamans, il ne s'est jamais plaint de ne pas avoir de papa, pour lui c'était normal, deux mamans lui suffisaient. Les moqueries à l'école c'est le sujet qui inquiète le plus les gens. Et je trouve ça normal. Ayant personnellement été la tête de turc à l'école, je m'aperçois que c'est ce qui effraie vraiment, le regard des autres. J'étais la petite fille aux pieds brûlés, une de mes camarades avait les cheveux roux, une autre avait des lunettes rondes... Tant de raisons de se moquer. Je pense que les enfants n'ont pas besoin d'aller chercher si loin pour se moquer de ceux qui sont différents, la méchanceté ça fait partie de l'apprentissage, on a tous martyrisé quelque chose ou quelqu'un dans notre enfance. Certains plus que d'autres, et on n'avait généralement aucun argument pour le faire. Selon moi, montrer aux yeux des enfants ce qui leur paraîtra normal au premier abord c'est le meilleur moyen de faire progresser l'image de l'homosexualité. Une homophobe, sur facebook disait que son fils, oh ! horreur ! Avait demandé à sa mère si lui aussi pourrait, plus tard, être amoureux d'un garçon. La mère lui a mis une fessée. Réaction atroce, typique, mais la phrase de l'enfant fait réfléchir : pour un garçon de sept ans l'homosexualité n'est pas quelque chose d'anormal. Il suffirait donc, simplement, de le faire continuer sur cette idée. On ne m'a jamais dit que c'était anormal avant le collège (les élèves), et je ne l'ai du coup jamais pensé jusqu'à cette période. En revanche, je pense qu'un enfant a VRAIMENT besoin d'une figure masculine, ça sert de pilier. Et comme je fréquente beaucoup de garçons (mon père, mon frère, mes amis) je ne pense pas que ça lui manquera. De mon côté, à partir de neuf ans, je n'ai plus eu de maman. Ma sœur était encore plus jeune, sept ans, elle n'en garde presque aucun souvenir. De nous deux c'est elle qui était la plus équilibrée (j'ai eu de gros soucis lorsque je me refoulais). Je suis sortie de ma dépression lorsque j'ai découvert et assumé mon homosexualité, et aujourd'hui je me sens heureuse, épanouie, et bien mieux dans ma peau que beaucoup de mes collègues, qui ont eu leurs deux parents. Avec mes deux parents, puis mon papa tout seul, même si j'ai eu de gros soucis avec lui, j'ai toujours reçu de l'amour et je pense que c'est ça qui fait que l'on se sente bien dans sa peau à l'age adulte. J'ai beaucoup d'amis qui ne savent pas ce qu'est le bonheur et qui entretiennent des relations très "prof-élève" avec leurs parents, divorcés ou non. A mon avis, l'amour est le premier pilier de la santé morale de l'enfant-adulte en devenir. Je pense qu'on ne peut pas influencer la sexualité de son enfant. Nombre d'homosexuels naissent de familles homophobes, l'acceptation est très difficile, mais l'enfant ne peut aller contre. Le pourcentage d'enfants hétéros est plus grand que celui d'homosexuels. Bien sûr, si j'ai une fille qui me ramène un petit branleur à la maison, j'aurai certainement beaucoup de mal à l'accepter, beaucoup plus que si elle me ramène un gentil garçon, mais ce n'est pas tellement une question de sexe, plus une question de style. En tant que lesbienne, je n'ai pas à interdire à mes enfants de s'assumer hétéros, j'en ai trop bavé dans ma vie pour le faire subir à mes enfants ce que mes camarades de collège m'ont fait vivre. S'ils sont hétéros, ou homos, cela ne changera rien à mes yeux. Enfin, pour en revenir à mon amie psy adoptée, elle n'a jamais ressenti le manque de ses parents de sang. Je pense que quand on reçoit tout ce qu'il faut comme amour et comme réponses dès son plus jeune age, on n'a pas besoin de chercher plus loin s'il n'y a pas plus vert de l'autre côté du muret.
  7. Gros coup de gueule contre les moustiques qui ont gâché ma nuit tant par leurs piqures que leurs bruits stridents !! JE LES HAIS !!!
  8. Je ne connaissais pas cette opération, combien pèse tu si ce n'est pas indiscret? (non je ne suis pas du tout intéressée par cette méthode )
  9. J'ai envie d'en discuter avec vous, quels sont vos avis à ces sujets?
  10. Lorsque Pyroli eut deux ans, nous avons déménagé dans la grande ville voisine, où mon père travaillait. Perdu dans la nouvelle maison, Pyroli a décidé de me suivre le premier jour de rentrée. Seulement j'étais déjà en retard et je n'ai pas pensé à le ramener à la maison. J'ai couru vers l'école pour qu'il ne me suive pas, au début il a essayé puis il s'est résigné et s'est arrêté. Ayant fait la route seul, je pensais qu'il retrouverait sa route, mais non. Pendant un mois je l'ai appelé, pleuré, j'étais désespérée. Il ne revenait pas. Mon père tardait à photocopier les affichettes que j'avais faites avec une photo de lui. C'est durant cette absence que je me souvint de la chatte blanche dont j'avais rêvé étant plus jeune, et je compris qu'il s'agissait de Pyroli, sauf qu'elle (à l'époque, on la pensait être une femelle) n'était pas toute blanche. Quand, enfin, les photocopies furent faîtes, le coup de fil ne tarda pas. Et c'est les larmes aux yeux que je retrouvai mon Pyroli, tout boudeur !
  11. à 8 ans, un rott est trop vieux pour être éduqué... Avant, il est toujours flexible. Tu peux lui dire ça à ce petit rigolo, et je serais curieuse d'apprendre que la police l'a récupérée... Au vu du comportement face au chien, je pense que vis à vis de l'enfant, ce ne sera pas mieux, aussi, je pense que ton souhait sera exhaussé.
  12. La saillie a eu lieu Samedi, on peut espérer voir des bébés naître de cette union, je croise les doigts.
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