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Jonathan: Aldabrachelys gigantea de 183 ans vivant sur une île britannique
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Tortues - Crocodiles
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Jonathan: Aldabrachelys gigantea de 183 ans vivant sur une île britannique
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Tortues - Crocodiles
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Jonathan: Aldabrachelys gigantea de 183 ans vivant sur une île britannique
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Tortues - Crocodiles
Ste Hélène, l’île qui héberge la tortue de 182 ans des Seychelles, accueillera ses premiers vols touristiques l’année prochaine - En 1882, à l'âge de 50 ans environ, un Seychellois unique dans son genre –Jonathan ; une tortue géante des Seychelles, supposée d’être le plus ancien animal vivant sur la planète, a été déplacée de l'archipel de l'Océan Indien pour être transporté vers l’un des endroits les plus isolés et éloignés sur terre. L’année dernière la SNA avait écrit sur Jonathan, en racontant comment à un âge estimé de 182 ans, la tortue passait ses journées sur le territoire d’outre-mer britannique de Ste Hélène en compagnie de David, Emma, Frederika et Myrtle qui ont été identifiés à l’aide des archivages du Dr Justin Gerlach (Seychelles Nature Protection Trust) comme des tortues géantes de l’atoll Aldabra. Depuis sa découverte dans les années 1500 par les navigateurs portugais, l’île de Ste Hélène avait une importance stratégique. Elle a été utilisée comme point d’arrêt pour les navires qui faisaient le voyage périlleux autour du cap de ‘Bon espoir » pour rejoindre l’Océan Indien et la mer de Chine méridionale dans la course pour acquérir des épices précieuses et des territoires par les colonisateurs européens. Dans les années suivantes l’île a été utilisée comme une zone d'isolation idéale pour les prisonniers politiques hostiles aux Britanniques, notamment Napoléon Bonaparte qui a été exilé dans cette petite île au milieu de l’Océan Atlantique jusqu’à sa mort, en 1821, ainsi que plus de cinq mille prisonniers de guerre des Boers. Nous ne savons pas s’il y a des touristes seychellois qui ont déjà visité Ste Hélène, mais avec l’annonce que l’île éloignée de l’Atlantique Sud va accueillir son premier service aérien commercial devrait encore plus les encouragerà faire le voyage et découvrir le lien incroyable qui unit les deux nations insulaires avant que la tortue géante Jonathan ne s’éteigne. Selon un article publié par l'AFP, le gouvernement de Ste Hélène, avait annoncé cette semaine que les négociations finales étaient en cours pour que Comair; une société d’aviation sud-africaine, puisse faire le vole une fois par semaine de Johannesburg à un nouvel aéroport qui devrait ouvrir l'année prochaine. Comair a conclu un accord de licence avec British Airways, la compagnie aérienne nationale du Royaume-Uni. « Le vol du Boeing 737 de 138 sièges sera de quatre heures et demie», rapporte l'AFP. Cette initiative est considérée comme susceptible de déclencher un «afflux de touristes" dans l’île de St Hélène, désormais il y aura un accès plus rapide dans l’île par rapport aux cinq jours qu'il faut actuellement pour y accéder à travers «un service de bateau irrégulier» au départ de Cape Town en Afrique du Sud. Source: http://www.seychellesnewsagency.com -
Jonathan: Aldabrachelys gigantea de 183 ans vivant sur une île britannique
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Tortues - Crocodiles
Jonathan, une tortue seychelloise fête ses 183 ans à Sainte-Hélène Jonathan est une tortue géante des Seychelles qui vit sur l’île de Sainte-Hélène, un territoire d’outre-mer britannique perdu dans l’Atlantique Sud. Elle est entrée dans l’histoire pour avoir hébergé un captif célèbre, Napoléon mort sur l’île en 1821. Jonathan serait à ce jour le plus vieil animal vivant sur Terre toutes espèces confondues. Capturée à Aldabra aux Seychelles en 1832, elle serait arrivée à Sainte-Hélène avec trois autres tortues sans doute amenée par un gouverneur de l’époque. Jonathan avait alors déjà une cinquantaine d’années. Elle a été baptisée dans les années 1930 par le gouverneur Sir Spencer Davis. Jonathan coule des jours paisibles dans un enclos à Plantation House, la résidence officielle du gouverneur de Sainte-Hélène. Au cours de sa longue vie, il a engendré deux descendants. Son âge approximatif a été déterminé grâce à une photographie découverte dans un album illustrant la guerre des Boers. On y voit une tortue à côté d’un prisonnier de guerre. Le cliché a été pris en 1902 et la tortue pourrait bien être Jonathan. Souffrant de la cataracte, la tortue est presque aveugle. Elle a du mal à marcher et à se nourrir. Elle bénéficie des soins attentifs du vétérinaire Jonathan qui vient lui donner chaque jour à manger. Les touristes qui visitent l’île sur les traces de Napoléon sont invités à ne pas déranger l’illustre pensionnaire. Aldabrachelys gigantea, la Tortue géante des Seychelles, unique représentant du genre Aldabrachelys, est une espèce de tortues terrestres de la famille des Testudinidae. Elle est endémique des Seychelles. C’est la plus grosse tortue terrestre, puisqu’elle peut atteindre 1,2 m pour 300 kg (chez les mâles), soit un peu plus que les 250 kg de la Tortue géante des Galapagos. Les femelles sont un peu plus petites, mesurant en moyenne 90 cm. On pense que la longévité peut dépasser 150 ans. Cette espèce est considérée comme vulnérable par l’UICN. Elle est très surveillée par le gouvernement et les organisations internationales. Afin d’éviter une extinction sur Aldabra, divers groupes ont été récemment introduits sur de petites îles de l’océan Indien, comme Frégate, Cousin, ou Mahé. Elle est classée en Annexe II de la CITES. Sur l’atoll corallien d’Aldabra on observe une énorme concentration en tortues, puisque leur nombre est estimé à 150 000 individus. Source: http://www.clicanoo.re -
Galapagos : tuer les rats pour sauver les tortues
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Tortues - Crocodiles
Après plus de 50 ans d’effort de conservation, les chercheurs ont enfin aperçu des bébés tortues en liberté sur l’île Pinzón dans l’archipel des Galápagos. Une première en plus de 100 ans ! Les bébés tortues géantes de l'île de Pinzón (Chelonoidis ephippium), située dans l'archipel des Galápagos, semblent enfin avoir repris le dessus sur leurs plus grands prédateurs... les rats ! En effet, menacée par les rongeurs laissés par les baleiniers et les pirates au 17e et au 18e siècles, cette espèce a frôlé l’extinction dans les années 1960 alors qu’il ne restait qu’environ 100 individus. C’est à ce moment que le Parc national des Galápagos et ses collaborateurs ont décidé d’instaurer un programme de protection des bébés tortues. Les petits élevés en captivité Les œufs de tortues sont donc recueillis afin que les nouveaux-nés soient élevés en captivité jusqu’à ce qu’ils atteignent une taille "à l’épreuve" des rats (vers l’âge de 4-5 ans). Parallèlement, un programme d’éradication des rongeurs a aussi été mis en place en 2012. Ces deux mesures semblent avoir porté leurs fruits, car les chercheurs ont aperçu dix bébés tortues au début du mois de décembre 2014. Selon eux, "il pourrait y en avoir beaucoup plus, car elles sont difficiles à repérer en raison de leur petite taille et de leur camouflage". Cette découverte "indique que la tortue géante est de nouveau apte à se reproduire par elle-même dans la nature", concluent-ils dans une correspondance de Nature. Source: http://www.sciencesetavenir.fr/ Article: http://www.readcube.com/articles/10.1038%2F517271a -
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Bienvenu parmi les éleveurs de rats, en clapier. J'imagine que les clapiers en béton sont standards,au niveau dimensions. J'en ai un, qui fait, 65 cm x 60 cm (dimensions intérieures), et l'autre est un double Dans le plus petit, comme ceux que tu vas avoir, il y a 12 reproducteurs (10 femelles, 2 mâles). Paille, foin, excellent!!!!! Perso, je n'ai plus que des copeaux, depuis que l'on a plus de lapins, à leur mettre comme litière. je change la litière à fond, une fois toutes les 3 semaines. Il me faut un sac de 40l, pour tous les clapiers.. Pour la nourriture, je récupère aussi du pain en boulangerie. Cela ne doit pas être la nourriture de base. Mais ils n'ont rien contre. Les miens préfèrent le pain, vraiment dur. Ils ne sont pas fans de la viennoiserie... J'en utilise deux sac de 25 kg tous les dix jours, pour environ 80 rats... Au niveau nourriture, je leur donne des croquettes à chien, et tous les restes de repas, que l'on me donne (pâtes, riz, viandes, légumes, etc.). Les rats sont omnivores. Ils mangent presque de tout. A éviter les agrumes et le chocolat...
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Frelon asiatique : découvertes sur ses attirances pour les abeilles Apparu en 2004 en France, le frelon à pattes jaunes ou frelon asiatique, représente une menace pour l’apiculture, mais aussi pour la biodiversité, notamment celle des insectes pollinisateurs. Considéré comme envahissant, il représente un sérieux prédateur pour l’abeille domestique. Les populations d’abeilles, en déclin partout dans le monde, sont fragilisées par les attaques. Plusieurs chercheurs du CNRS et de l’Inra ont étudié les bases olfactives du comportement du frelon asiatique afin de comprendre les modes d’orientation de ce prédateur, mais aussi de développer des stratégies de lutte ou de piégeage efficaces. Originaire du nord de l’Inde, de Chine et d’Indonésie, le frelon asiatique, Vespa velutina est apparu en France en 2004, et il s’est largement répandu depuis. Il se nourrit essentiellement d’hyménoptères et en particulier d’abeilles domestiques, Apis mellifera, ses principales proies, car elles sont une source importante de protéines pour l’alimentation de ses larves. Partout dans le monde, malheureusement, les populations d’abeilles sont en déclin. Ce nouveau prédateur contribue à l’affaiblissement des colonies, même s’il n’est pas le seul facteur en cause. Celles-ci étant parmi les principaux pollinisateurs de fleurs sauvages et de cultures agricoles, leur disparition est une préoccupation majeure. Dans ce contexte, le frelon a été classé espèce nuisible pour A. mellifera en France, sur arrêté ministériel du 28 décembre 2012, ce qui donne un cadre légal à sa destruction. Frelon asiatique de l’espèce Vespa velutina nigrithorax. © Didier Descouens, CC BY-SA3.0 Attiré par l’odeur du miel et du pollen Pour détecter ses proies à distance, le frelon fait usage de signaux olfactifs. Bien que leur nature demeure encore inconnue, ils s’avèrent efficaces pour la détection de sources alimentaires. Les équipes de recherche des unités Évolution génomes comportement écologie de Gif-sur-Yvette (CNRS, Université Paris-Sud, IRD) et Santé et agroécologie du Vignoble de l’Inra de Bordeaux ont étudié le pouvoir attractif de différents composés caractéristiques des ruches. Un test à choix multiples, dans lequel des ouvrières de frelons sauvages V. velutina choisissent un ou plusieurs appâts odorants a été mis en place par les chercheurs. Il en résulte que le frelon est fortement attiré par l’odeur des produits de la ruche, tels que le pollen et le miel. Lors du test de composés spécifiques, le géraniol, constituant de la phéromone d’agrégation des abeilles et le p-xylène, molécule que l’on retrouve entre autres dans le poisson ou les fruits de mer, se sont également révélés très attrayants. Les phéromones produites par les larves d’abeille ou par la reine ont également attiré le frelon, mais dans une moindre mesure. Ces travaux publiés dans la revue Plos One permettent de mieux comprendre les déterminants de l’orientation de ce prédateur et ouvrent la possibilité d’une lutte par piégeage plus efficace. Source:http://www.futura-sciences.com Article: http://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0115943
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Cet insecte n'oublie jamais la première plante où il a copulé et y retourne de préférence pour se reproduire. SENTIMENTAL. Qu’elle fut, ou pas, une franche réussite, on se souvient tous de sa première fois, toute toute première fois. Or, la mémoire vive des premiers émois n’est pas seulement une constante humaine nous apprennent Magali Proffit (université de Montpellier, CNRS) et David Carrasco de l’université suédoise des sciences agricoles (Alnarp) dans un article publié par Ecology Letters. Elle semble également partagée par le papillon de nuit Spodoptera littoralis. Cet insecte originaire d’Afrique a comme lieu de débauche l’embarras du choix. Pas difficile pour son alimentation avec une quarantaine de plantes à portée de ses mandibules et redoutable ravageur des cultures au stade de chenille, cette espèce est pourtant une grande sentimentale. Comme vient de le démontrer les deux biologistes, elle n’oublie jamais le premier lieu où elle a copulé et où elle s’est nourrie, les deux comportements allant généralement de pair chez les insectes. L'expérience doit être forte sexuellement mais aussi gustativement Pour en avoir le cœur net, les chercheurs ont brouillé les inclinaisons naturelles de Spodoptera. Alors que l’animal préfère largement les plants de coton à ceux du chou, ils ont forcé le destin et joué les entremetteurs en obligeant quelques spécimens à passer leur premier rendez-vous amoureux sur un chou. Le résultat ravira tous les lecteurs « fleur bleue » : en dépit de ses préférences innées, l’animal aura tendance par la suite à retourner plus préférentiellement sur un chou que sur du coton, que ce soit pour se reproduire ou pour y déposer ses œufs. Mais, attention, il ne suffit pas que l’insecte soit simplement familier avec la plante ou que celle-ci embaume les phéromones sexuelles, comme l’ont testé les chercheurs. Ce n’est donc pas seulement une question d’habituation ou d’attraction chimique. Car, il est nécessaire que l’insecte se soit véritablement reproduit et nourri sur la plante pour qu’il en conserve une mémoire aussi forte. Preuve que sa première fois doit être très marquante, sexuellement mais également gustativement, pour qu’il y retourne encore et encore et encore. Source: http://www.sciencesetavenir.fr Article: http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/ele.12419/abstract
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Snakes of the world. A catalogue of living and extinct species (pdf)
askook a posté un sujet dans Systématique
Snakes of the World: A Catalogue of Living and Extinct Species—the first catalogue of its kind—covers all living and fossil snakes described between 1758 and 2012, comprising 3,509 living and 274 extinct species allocated to 539 living and 112 extinct genera. Also included are 54 genera and 302 species that are dubious or invalid, resulting in recognition of 705 genera and 4,085 species. Features: Alphabetical listings by genus and species Individual accounts for each genus and species Detailed data on type specimens and type localities All subspecies, synonyms, and proposed snake names Distribution of species by country, province, and elevation Distribution of fossils by country and geological periods Major taxonomic references for each genus and species Appendix with major references for each country Complete bibliography of all references cited in text and appendix Index of 12,500 primary snake names The data on type specimens includes museum and catalog number, length and sex, and collector and date. The listed type localities include restrictions and corrections. The bibliography provides complete citations of all references cited in the text and appendix, and taxonomic comments are given in the remarks sections. This standard reference supplies a scientific, academic, and professional treatment of snakes—appealing to conservationists and herpetologists as well as zoologists, naturalists, hobbyists, researchers, and teachers. Ouvrage en pdf: http://www.cnah.org/pdf/88253.pdf -
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