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askook

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Tout ce qui a été posté par askook

  1. askook

    Articles de presse

    L’élevage de serpents, ma passion méconnue Depuis maintenant plus de deux ans, mon compagnon et moi sommes terrariophiles : nous maintenons plusieurs espèces de serpents à la maison, et nous adorons ça. Tout a commencé chez un ami à nous, où nous avons rencontré un bébé Pantherophis guttatus (serpent des blés) qu’il venait d’adopter. Tenant entre mes mains pour la première fois de ma vie une telle bestiole, je n’ai ressenti que de l’excitation et de la fascination. Je n’avais pas spécialement d’appréhension vis-à-vis des reptiles en général avant ce premier contact, et depuis toute petite j’affectionne toutes sortes d’animaux : c’était donc tout naturellement et avec plaisir que je découvrais ce drôle d’animal de compagnie Trois de nos bébés Pantherophis guttatus de phases différentes – ne sont-ils pas choupis ? Pour mon homme, ça a été une véritable révélation. Il a très vite voulu en adopter un aussi. À l’époque j’aurais préféré un élevage de bébés licornes mais bon : je me suis dit pourquoi pas et nous nous sommes lancés. Élever des serpents Notre premier bébé s’appelle Némeïa, c’est un python royal femelle que nous avons récupéré chez un particulier. Je me suis tout de suite attachée à elle, c’est une crème. Il faut savoir que pour débuter, le Python regius est une espèce idéale car très placide et pas un poil (enfin une écaille en l’occurrence) agressive. Vous pourrez manipuler la bête sans difficulté. Pour la petite anecdote, le Python royal tiendrait son nom vernaculaire du fait que la reine Cléopâtre elle-même aimait apparemment en porter autour de ses poignets. Après l’adoption de Mémé, tout s’est très vite enchaîné. Mon compagnon passait le plus clair de son temps à lire tout ce qu’il pouvait sur les serpents. Il apprenait énormément de choses, qu’il me transmettait au fur et à mesure. Au niveau des tâches, c’est en effet surtout lui qui met la main à la pâte, moi j’ai plus le rôle de l’assistante ! Durant les premiers mois, je ne partageais pas forcément la même envie que mon homme d’en adopter autant en si peu de temps. Je voulais y aller progressivement. Donc au début, je les trouvais surtout envahissants. Forcément, je passais de zéro serpent (je n’aurais même jamais pu imaginer en posséder un jour) à dix d’un coup. Mais très vite, on s’est rendus compte, lui comme moi, à quel point ces bestioles sont intéressantes et fascinantes… Nous découvrions chaque jour de nouvelles choses, et notre passion grandissait toujours plus. Plus nous avions d’informations, plus les préjugés que nous avions pu avoir se dérobaient, et plus l’idée d’élever ces bêtes à priori impressionnantes et insaisissables nous apparaissait finalement bien réelle et gérable. S’occuper de serpents Il faut bien savoir reconnaître une espèce afin de réagir en conséquence, car la majorité du temps, l’espèce détermine le caractère du serpent. Nous avons maintenant seize espèce différentes. Il y a certaines précautions à prendre avant de manipuler un serpent : Se laver les mains avant et après chaque manipulation. Il vaut mieux sortir le serpent de son terrarium à l’aide d’un crochet, car il n’aime pas trop être embêté dans son lieu d’habitat ; mieux vaut ne le prendre avec les mains qu’hors du terrarium. Il ne faut jamais stresser le serpent en le maintenant trop fermement par exemple : il ne faut pas le retenir, juste contrôler sa direction et le laisser « glisser ». Et bien sûr, autant d’animaux ça prend de la place : il faut une bonne taille de terrarium selon l’espèce et l’âge du serpent. Du coup nous avons une pièce entière dédiée à ça. Dans chaque terrarium, un dispositif est mis en place pour maintenir la température adéquate (grâce à un thermostat, un hygromètre et un minuteur). Concernant la nourriture, nous nous procurons des mus musculus (souris blanches) congelées que l’on trouve dans la plupart des animaleries proposant un rayon reptiles. Les espèces nées en captivité sont habituées à prendre la nourriture sous cette forme (décongelées au préalable bien entendu !). Pour l’achat, il y a plusieurs sources : les animaleries, les particuliers (contactés via des forums), les bourses et expositions, et les boutiques en lignes. Nous sommes passés par tous ces moyens-là, avec une préférence pour les éleveurs : il y a un meilleur suivi, la maintenance est certifiée… Et au niveau de la législation ? Les serpents sont désormais considérés comme des NAC (Nouvel Animal de Compagnie), il est donc tout à fait possible d’en acquérir sans conditions particulières, mais dans la mesure où l’espèce adoptée n’est pas soumise au CDC (le Certificat de Capacité) et sans dépasser un certain quota (tel nombre de spécimens pour telle espèce — mais il y a de la marge). Pour résumer le joyeux bazar que représente le CDC, il s’agit d’un certificat autorisant, entre autres, le maintien de certaines espèces (je ne parle que des serpents) classées comme dangereuses (les venimeux par exemple) ou protégées (appartenant par exemple à la faune guyanaise). C’est bien plus compliqué que ça mais en gros, de nombreuses espèces en vente en animaleries ou entre particuliers sont adoptables sans contrôle. Les serpents, entre mythes et réalité Il est vrai qu’en général, les serpents n’ont pas très bonne réputation. Dans la mythologie, dans la Bible, dans les légendes, ils véhiculent une image menaçante voire diabolique, et la plupart des gens les craignent ou ne conçoivent tout simplement pas que l’on puisse en élever en captivité. Certains sont rebutés par l’aspect physique, ce que je peux comprendre, ressentant moi-même la même chose pour les mygales par exemple. Alors évidemment, dans plusieurs pays, des espèces venimeuses se baladent un peu partout et peuvent être un fléau pour leurs humain•e•s. Je ne vais de plus pas vous dire que tous les serpents ont un caractère docile. Bien que je m’attache à ceux qui font partie de notre élevage, je sais pertinemment que cette affection ne sera jamais réciproque comme avec un toutou, qu’un serpent reste un reptile au cerveau limité aux seules fonctions de survie (se nourrir et se défendre donc). Je l’ai appris à mes dépends et je retiendrai à jamais la leçon. Je me suis en effet déjà fait mordre par notre premier serpent, Némeïa ; j’avais tellement confiance en son caractère docile et placide qu’un jour, trop confiante, je l’ai mal manipulée. Ça ne lui a pas plu et elle m’a mordue pour se défendre. Rien de grave, j’avais juste de petits marques de morsures sur le pouce et je n’ai pas beaucoup saigné, mais sur le coup ça fait mal : l’impact est assez puissant ! Nous restons par conséquent toujours prudents lors de manipulations. Quant aux gens de notre entourage, même s’ils ont pu être intrigués voire choqués au début, ils ont finalement été poussés par la curiosité et désireux de découvrir et toucher nos bébêtes. Ils ont tous été agréablement surpris. En tout cas, je suis heureuse qu’on ait été capables de le faire, car ce n’est pas de tout repos. Au quotidien, je ressens un réel plaisir à vivre entourée de terrariums abritant de magnifiques spécimens tous plus intéressants les uns que les autres. Croyez-moi, quand je suis dans mon canapé, je les trouve souvent bien plus enrichissants à mater qu’une émission à la télévision ! Ce sont à mes yeux des merveilles de la nature. Alors les madZ, si je vous invitais à venir boire un thé à la maison, vous viendriez ? Source: http://www.madmoizelle.com/elever-serpents-temoignage-329561
  2. askook

    Challet-Hérault

    Quelqu'un connait? Depuis ces dix dernières années, Challet-Hérault vous a permis de gagner des parts de marché et de fidéliser votre clientèle aquariophile grâce à notre travail et notre passion. Pour cela, nous avons réunis les plus grands éleveurs et importateurs allemands, pour vous offrir un choix d’espèces unique et vous garantir des animaux de qualités en eau douce comme en eau de mer. Fort de ce succès et toujours à l’écoute des animaliers et plus généralement du marché de l’animalerie, il nous a paru naturel de faire évoluer notre offre vivant vers la terrariophilie en vous proposant des reptiles et des insectes vivants nécessaires à leurs alimentations. Challet-Hérault a introduit cette nouvelle activité pour répondre aux besoins croissants des magasins. Aujourd’hui le secteur terrariophilie est en pleine essor. Grace à la richesse de notre disponible, mais aussi en raison de notre double compétence acquise sur le terrain en magasin et comme grossiste, nous vous proposerons les conseils les plus adaptés garantissant les meilleures perspectives de croissance de votre rayon. Posséder un rayon reptile dynamique est une chose, mais il vous faudra aussi fournir des soins adaptés à ces nouveaux animaux. C’est dans cette démarche que nous avons souhaité vous proposer en exclusivité une gamme complète d’aliments pour reptiles. Ces gammes constituées par et pour des passionnés s’étoffent régulièrement, afin de vous aider à développer et dynamiser vos rayons de terrariophilies. http://www.aquaterra-challet-herault.com/terrariophilie/
  3. Gagnééééééééé, Sylvain!!!!!
  4. Two Naturally Occurring Intergeneric Hybrid Snakes (Pituophis catenifer sayi x Pantherophis vulpinus; Lampropeltini, Squamata) from the Midwestern United States Journal of Herpetology, Vol. 46, No. 2, 257–262, 2012 JEFFREY B. LeClere, Erica P.Hoaglund, Jim Scharosch, Chrisopher E.Smith & Tony Gamble http://www.tc.umn.edu/~gambl007/publications/LeClere_etal_2012.pdf
  5. Observation of a gopher snake (Pituophis catenifer) constricting a red tailed hawk (Buteo jamaicensis) The Journal of Raptor Research.46(3):000–000 2012 Theodore J. Wenner https://evogentas.files.wordpress.com/2012/08/wenner_2012_rtbs.pdf
  6. Je n'ai plus de PC Je roule avec mon Note pour le moment Dommage que tu es loin, Filoue. On en a, à la maison, des vieux, qui ne servent plus!!!
  7. askook

    Scaleless

    Pituophissp.
  8. askook

    De nouveaux terrariums

    C'est, effectivement, une possibilité.
  9. Classique, hypo, albinos, au choix!!!!!
  10. Des chercheurs britanniques ont étudié la technique du saut des jeunes mantes religieuses. Pourtant sans ailes, elles réalisent un saut d'une rapidité et d'une précision impressionnante. TECHNIQUE. Alors que la mante religieuse adulte possède des ailes, les plus jeunes n’ont pas cet avantage. Elles compenseraient par des sauts hors du commun. Ainsi, des chercheurs de l’université de Cambridge ont montré que l’insecte peut effectuer un saut d'une durée inférieure au dixième de seconde, soit plus rapidement qu’un clignement d’œil humain. De plus, ces jeunes mantes religieuses atteignent toujours leur cible. Mais leurs résultats, publiés le 5 mars 2015 dans la revue Current Biology, vont plus loin. Ils expliquent comment l’insecte combine rapidité et précision durant le saut. Les jeunes mantes religieuses tournent de façon indépendante, mais coordonnée, trois parties de leur corps durant le saut : l’abdomen, les pattes avant et les pattes arrière. La jeune mante religieuse tourne sur elle-même environ 2,5 fois par seconde ! Découverte au hasard Ces chercheurs britanniques ont découvert cette prouesse technique par accident. Après avoir acheté quelques mantes religieuses pour une autre étude, ils se sont rapidement rendus compte qu’elles sautaient régulièrement et très rapidement. Ils ont donc filmé plus de 380 sauts afin d’analyser la technique de l’insecte... Une telle précision est rare dans le monde des insectes. Ces derniers ne savent pas contrôler leur saut une fois lancés et atterrissent dans des directions imprévisibles alors que la jeune mante religieuse contrôle parfaitement son saut. Ce contrôle peut se révéler une source d'inspiration utile pour de futures applications adaptées à de petits robots. C’est pourquoi l’étude n’est pas terminée : après l’analyse du mouvement, les chercheurs britanniques veulent maintenant comprendre le rôle du cerveau dans le contrôle du saut. Source: http://www.sciencesetavenir.fr Article: http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S096098221500086X
  11. Photonic crystals cause active colour change in chameleons Nature Communications 6, Article number: 6368 doi:10.1038/ncomms7368 Jérémie Teyssier, Suzanne V. Saenko, Dirk van der Marel & Michel C. Milinkovitch http://www.nature.com/ncomms/2015/150302/ncomms7368/full/ncomms7368.html
  12. Comment les caméléons changent de couleur Ils seraient capables de gérer le reflet de la lumière sur leur peau. A la différence du calamar et du poulpe, le caméléon ne modifie pas sa couleur uniquement grâce aux pigments contenus dans sa peau. Une récente étude menée par l’université de Genève, publiée par la revue Nature et rapportée par le site Live Science, montre que ce lézard se repose sur une structure cellulaire capable «d’affecter la façon dont la lumière reflète sa peau.» En étudiant 5 caméléons panthères de Madagascar, les chercheurs ont constaté qu’ils possédaient deux couches superposées de cellules pigmentaires appelées chromatophores, contenant des nanocrystaux. «Les caméléons peuvent changer l’arrangement structurel de la couche de cellules supérieure en relaxant ou en excitant la peau, ce qui entraîne un changement de couleur, explique Live Science. Par exemple, un caméléon mâle peut être dans un état relaxé quand il est posé sur une branche, et dans un état excité quand il aperçoit un mâle rival.» «Les couleurs très visibles impressionnent l’autre mâle (pour le chasser) ou la femelle (pour l’attirer)», explique à Discovery News Michel Milinkovitch, professeur du département de génétique et d’évolution à l’université de Genève. Quand la peau est relaxée, les cellules sont serrées entre elles et reflètent une lumière à la longueur d’onde basse, créant ainsi une couleur bleue. A l’inverse, quand la peau est excitée, la longueur d’onde de la lumière reflétée est plus haute et la peau du caméléon prend une teinte jaune, orange ou rouge. Quand il s’agit de se camoufler, Michel Milinkovitch explique à Live Science que la peau du lézard contient des pigments jaunes qui, une fois mélangés avec le reflet bleu, donneront une teinte verte. Dans la vidéo qui suit, on peut observer un caméléon passer du vert au jaune, puis du jaune au rouge. Source: http://www.slate.fr Article: http://www.nature.com/ncomms/2015/150302/ncomms7368/full/ncomms7368.html Liens: http://www.livescience.com/50096-chameleons-color-change.html http://www.sciencesetavenir.fr/animaux/20150311.OBS4320/nano-cristaux-l-arme-secrete-du-cameleon-pour-changer-de-couleur.html
  13. Reptile au centre de tri de St-Prouant. Il s'agit d'un serpent des blés C'est un serpent des blés, pas un python qui a été découvert au centre de tri de Saint-Prouant. Au delà de l'anecdote, le syndicat Trivalis s'inquiète de telles "incivilités". La photo s'est répandue comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux depuis mardi matin. On voit un pompier tenir dans sa main un reptile. Identifié dans un premier temps comme un python albinos, le serpent est en fait un serpent des blés albinos (elaphe guttata), une espèce courante aux Etats-Unis et totalement inoffensive. Source: http://www.ouest-france.fr/serpent-au-centre-de-tri-de-saint-prouant-le-python-est-en-fait-un-boa-3242705
  14. Saint-Prouant : un boa sur la chaîne de tri des emballages Lundi 9 mars, un salarié, chargé du tri des emballages à Saint-Prouant, découvre, sur le tapis, un serpent vivant parmi les bouteilles, briques, cartonettes et autres emballages. Tout le monde est sauf. Néanmoins, les exploitants, qui travail au tri des emballages sur ses équipements publics aux fins de recyclage, témoignent régulièrement, et trop souvent, d’incivilités auxquelles les agents se trouvent confrontés, parfois, au péril de leur santé. Voici à titre d'exemple l'inventaire à la Prévert des objets qui n'ont rien à faire sur un tapis de tri : Givrand : Poudre chimique, seringues, abats, produits vétérinaires, animaux morts etc. La Roche-sur-Yon : Abats, animaux morts, bloc de bêton, seringues, Saint-Prouant : Serpent, seringues, animaux morts, Mouzeuil-Saint-Martin : Grenade, animaux morts, etc. Comment empêcher les habitants de mettre tout et n’importe quoi dans le sac jaune ou dans la colonne ?. Les élus de Trivalis et des collectivités locales tiennent à informer sur le type d’éléments anormaux ou dangereux trouvés sur les chaînes du tri en Vendée. Pour que chacun prenne conscience du difficile travail réalisé en centre de tri. Source: http://france3-regions.francetvinfo.fr/pays-de-la-loire/2015/03/10/saint-prouant-un-boa-sur-la-chaine-de-tri-des-emballages-672311.html
  15. askook

    Philodryas aestiva

    Je préfère tes Philodryas psammophidea.
  16. De belles batailles, en vue, pour les prochains quizzs !!!
  17. Ghost Photo de Jennifer Joseph
  18. Résistance aux antibiotiques : la piste des alligators En matière de défense contre les agressions, l’alligator a des choses à nous apprendre. On connaissait l’épaisseur de son cuir ou la puissance de ses mâchoires. L’essentiel est pourtant ailleurs, caché dans un système immunitaire extraordinaire. Jugez plutôt : voilà un animal qui se vautre dans les pires cloaques, s’inflige des blessures effrayantes, mais reste imperméable aux bactéries qui pullulent dans ces milieux. Quel est donc son secret ? A l’heure où les résistances aux antibiotiques se multiplient et où la recherche peine à trouver de nouveaux remèdes, pourrions-nous nous inspirer de cet animal ? En 2008, des scientifiques américains ont apporté une première réponse. Ils ont découvert que du sérum sanguin tiré du reptile pouvait détruire 23 souches bactériennes. L’arme de destruction massive dissimulée dans le sang de la bête semblait être une enzyme. Prometteuse, la piste n’a pas permis d’aboutir à l’élaboration de médicaments. Mais l’enzyme n’agissait pas seule. Et c’est une autre voie que l’équipe de l’université George Mason de Fairfax, en Virginie, a explorée et dont elle publie les résultats dans la revue Plos One : celle des peptides antimicrobiens. Ces protéines d’un genre particulier pullulent dans nos organismes. On les trouve dans les poumons, sur la peau, dans le sang. Composées de seulement 20 à 50 acides aminés,... Source: http://www.lemonde.fr/sciences/article/2015/03/09/resistance-aux-antibiotiques-la-piste-des-l-alligators_4590096_1650684.html
  19. askook

    Mutations chez Heterodon nasicus

    Red White Toffeeconda (candycane line)
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