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askook

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Tout ce qui a été posté par askook

  1. Plus deux femelles de 2013 C'est prévu, que j'arrête. Mais ce n'est pas de ma faute, si je trouve des lots intéressants Je ne vais pas tous les garder. Je garde juste un mâle. Les autres vont aller chez des convertis "pituo", de la région centre...
  2. askook

    Lampropeltis nigra

    Je ne savais pas que les "nigra" pouvaient devenir entièrement noir..
  3. askook

    Pêle mêle de virus

    Que de jolis "virus"!!!!
  4. askook

    Ma boulengeri

    J'espère que le petit mâle, va suivre son exemple
  5. De l'obso!!!! Rare d'en voir...
  6. Super, Vincent... Tu dois être heureux!!!! Curieux, l'oeuf à droite, en haut
  7. Angleterre : une tortue centenaire et fugueuse retrouvée à 40km de chez elle Un habitante de Douvres (Angleterre) a récupéré, à son grand soulagement, sa tortue disparue depuis un an. La fugueuse, âgée de 109 ans, a été retrouvée par un couple 40 km plus loin, en pleine forme. Une belle histoire qui a amusé les médias britanniques. Nos confrères de la chaîne de télévision locale, ITV Meridian, lui ont consacré un long reportage la semaine dernière : Toby, tortue mâle âgée de 109 ans, s'était fait la malle en mai 2014, laissant sa propriétaire, Wendy Stokes, seule avec son chagrin. Mais il y a quelques jours, cette habitante de Douvres a reçu un réjouissant coup de fil qu'elle n'attendait plus. "On m'a demandé si j'avais perdu quelque chose. J'ai dit "oui, ma tortue", et on m'a répondu "on l'a, vous pouvez venir le chercher" . Le vilain fugueur a été retrouvé en pleine forme à Margate, un ville située à une quarantaine de kilomètres à l'est de Douvres. Wendy, sa propriétaire, avait eu la bonne idée d'écrire son nom, "Stokes", sur la carapace de l'animal, ainsi que son numéro de téléphone. Mais celui-ci était devenu illisible avec le temps. Heureusement, le couple qui a découvert Toby s'est montré persévérant et est parvenu à remonter jusqu'à sa propriétaire. Selon ITV Meridian, la tortue n'en était pas à son coup d'essai, puisqu'il s'agissait de sa 5e fugue. La plus longue cette fois.On n'est pas toujours raisonnable même quand on a 109 ans. Source: http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/2015/04/24/angleterre-une-tortue-centenaire-et-fugueuse-retrouvee-40km-de-chez-elle-711273.html
  8. Une grenouille transparente aux airs de Kermit la grenouille expose poumons et intestins à la vue de tous Une nouvelle espèce de grenouille appelée Hyalinobatrachium dianae a été découverte au Costa Rica. Semblable à la grenouille de verre (Centrolenidae), l’amphibien à la couleur citron-vert a la peau translucide sur sa face inférieure et a des yeux qui lui valent une ressemblance avec la célèbre marionnette du Muppet Show, Kermit la grenouille. La grenouille au ventre translucide rend ses organes internes facile à observer, mais ses grands yeux noirs et blancs ainsi que ses longues pattes effilées lui donnent un look distinctif. La grenouille a été photographiée par le Dr Brian Kubicki, qui a détaillé la nouvelle espèce dans une étude avec les zoologistes Stanley Salazar et Robert Puschendorf. Le Dr Kubicki a nommé la créature d’après le nom de sa mère, Janet Diana Kubicki, selon le Centre de recherche des amphibiens du Costa Rica. La grenouille n’avait auparavant pas été découverte par les scientifiques qui étudiaient la région, mais les auteurs de la trouvaille attribuent cela notamment au cri de la grenouille. Le Dr. Kubicki indique qu’il ressemble plus à celui d’un insecte que d’une grenouille, selon The Tico Times, un site d’actualité costaricien. L’étude révèle aussi que la grenouille n’est pas plus grande qu’un pouce : 2,5 cm de long seulement. Sur les photos des chercheurs, il est possible d’identifier les poumons, les intestins, ainsi que la présence d’œufs, voire les battements du cœur à travers la peau de la grenouille. Cependant, les chercheurs ne connaissent pas la raison qui a doté cette nouvelle espèce de grenouille d’un abdomen transparent. Quelques hypothèses sont cependant avancées : cela pourrait servir à éviter les effets néfastes des rayons de soleil sur leur organisme, les organes internes de ces grenouilles étant recouverts de cellules, nommées iridophores, qui réfléchissent la lumière. Autre idée, cette évolution de l’amphibien peut être une amélioration de la capacité de camouflage et de mimétisme, servant à se protéger des prédateurs. Source: http://www.toolito.com/news/nouvelle-espece-grenouille-costa-rica/
  9. askook

    Pipa pipa

    Le Crapaud du Suriname a ses têtards dans la peau … de son dos ! Le crapaud du Suriname (Pipa pipa) est un amphibien entièrement plat – ce qui lui a d’ailleurs valut son nom, "cerf-volant" en portugais – d’une dizaine de centimètres vivant dans les mares d’Amérique du Sud. Sa particularité : un mode d’incubation qui en feront frissonner plus d’un... Et pour cause, elle a lieu juste sous la peau de la femelle ! Un accouplement sportif À la saison des pluies, le mâle crapaud part en quête d’une femelle. Il émet alors des "clics" sonores à l’aide de l’os hyoïde, situé au niveau de son cou. Charmée, la femelle s’approche. Le mâle saute aussitôt sur son dos, l’agrippe solidement et l’accouplement a lieu, dans l’eau. Pendant plus de 12 heures, le mâle et la femelle vont se livrer à des acrobaties avec pour but d’insérer leurs œufs dans le dos de la femelle. Sous l’action d’hormones, la peau de la femelle est devenue plus fine à cet endroit. Pendant les longues heures de la copulation, les deux amphibiens vont faire des galipettes. À chacune de ces roulades, la femelle émet quelques œufs que le mâle fertilise. Il les glisse ensuite jusqu’au dos de sa compagne où il les insère. Au total, une centaine d’œufs seront implantés. Après l’accouplement, la peau les recouvrira progressivement, jusqu’à les rendre invisibles. Une méthode étrange mais avantageuse 4 mois après l’implantation sous-cutanée, les petits sortent enfin. À force de mouvements, ils se frayent un chemin hors de leur loge de chair. Mais ils n’en émergent pas au stade de têtards. Ils sont déjà formés. Des Crapauds du Suriname miniatures indépendants, qui reprennent leur liberté à la sortie du corps de leur mère. Ce mode d’incubation présente de ce fait un avantage non négligeable : les têtards échappent à toute prédation, abrités dans le dos de leur mère. Elle-même, pour ne pas mettre en danger sa couvée se fait discrète, pendant toute la durée de l’incubation. Source: http://www.sciencesetavenir.fr
  10. askook

    Quizz ophidien

    C'est bien ça!!! Rapide, celui-ci
  11. Qui suis-je [url=https://servimg.com/view/10021058/11503][/url]
  12. askook

    Quizz ophidien

    Ce n'est pas un Amphiesma...
  13. askook

    Quizz ophidien

    Ce n'est pas un Coluber.
  14. Il est mort. On ne sait pas de quoi. Mais on a récupéré Zelda. Un Pituophis bicéphale, né chez Anna, dont une des deux têtes est resté à l'état embryonnaire. On aime les "monstres"!!!!
  15. La femelle a pondu une douzaine d'oeuf, en 2014.
  16. askook

    Mes asiatiques

    J'adore tout le monde!!!!
  17. askook

    Une petite mue...

    Sympa la photo!!!!
  18. askook

    Mes américaines

    J'adore, le premier et le dernier spécimens!!!!
  19. askook

    Mon premier serpent

    Quelque soit l'espèce d'Antaresia que tu prendras, comme l'a dit pituophil, tu n'auras probablement pas de soucis avec eux. Le plus dur sera d'en trouver... Ce genre n'a guère convaincu les terrariophiles français!!!! Anecdote perso avec un A. childreni, qui nous a mangé un Boaedon fuliginosus... Concernant les Bogertophis subocularis, là aussi, le plus difficile sera d'en trouver. Attend que K-tio reproduisent ses spécimens... Les Pantherophis guttatus t'offriront un grand choix de mutations, et une maintenance facile... Pour eux, pas de soucis pour en trouver!!!! Il y en aura à la bourse, c'est sûr. Pour les Python regius, ne choisi pas de l'import. Trouves toi, un spécimen né chez un éleveur, près de chez toi. En cas de refus de nourriture, tu pourras le contacter facilement. Pour eux aussi, un choix énorme de mutations!!! Oublie, Opheodrys aestivus!!! Pituophil t'a déjà donné les raisons... Après, il y a d'autres genres, que tu risques de trouver pendant la bourse (Lampropeltis, Boaedon, Pituophis, Morelia, Boa, etc). Renseigne toi,un peu avant sur eux, on ne sait jamais. Un craquage est vite arrivé!!!!
  20. Une étude sur des fourmis de Manhattan montre que certaines espèces, mais pas toutes, ont adopté l’alimentation humaine, avec ses travers. Zoom sur ces insectes qui ont pris goût à la malbouffe. Tetramorium caespitum est une fourmi des villes. Elle semble adopter les nouvelles habitudes alimentaires humaines. © Ian Marsman Les animaux qui vivent en ville sont plus ou moins dépendants des humains qui leur fournissent une part de leur alimentation. Par conséquent, est-ce que lorsque notre alimentation évolue, les espèces urbaines sont elles aussi impactées ? C’est ce que se sont demandé des chercheurs de l’université d’État de Caroline du Nord qui ont enquêté sur le régime alimentaire des fourmis new-yorkaises. Certaines fourmis des rues ont adopté la malbouffe Dans un article paru dans la revue Proceedings of the Royal Society B, les scientifiques se sont intéressés au rôle des aliments humains dans l’alimentation de fourmis urbaines. Pour cela, ils ont utilisé les isotopes stables du carbone pour déterminer l’origine de celui qui est présent dans les organismes. Tous les animaux, y compris les humains, mangent des aliments contenant du carbone, mais le type atomique de l’élément informe sur la provenance des aliments. Les chercheurs ont testé plus de 100 fourmis collectées dans Manhattan, représentant de 21 espèces différentes et issues de sites divers. Résultats : les chercheurs ont trouvé que certaines espèces de fourmis, mais pas toutes, vivant dans les habitats les plus urbanisés de Manhattan, avaient une signature carbone associée avec des aliments transformés humains. Leurs organismes portaient donc les empreintes d’une alimentation de type « malbouffe ». En particulier, une espèce courante dans les rues, Tetramorium caespitum, laquelle avait les niveaux de carbone 13 les plus proches de ceux que l’on trouve dans l’alimentation humaine. Ces fourmis cherchent aussi à entrer dans les habitations où elles sont considérées comme des nuisibles. Un écosystème plus ou moins dépendant de l’alimentation humaine Une autre espèce de fourmi, Lasius emarginatus, a elle aussi été trouvée dans des rues de Manhattan. Mais l’analyse isotopique de ses éléments n’a montré aucune preuve d’une alimentation de type « humain ». La fourmi semblait plutôt passer son temps entre des nids souterrains et les branches des arbres de la ville. Certaines fourmis urbaines exploitent donc les changements de ressources humaines. Ces variations pourraient jouer un rôle dans la structure de l’écosystème, puisque certaines se sont mis à la malbouffe et ont développé un régime alimentaire proche de celui des humains. Pour Clint Penick, l’auteur qui a mené ces travaux : « Les aliments humains représentent clairement une portion significative de l’alimentation des espèces urbaines. Ce sont les fourmis qui mangent nos déchets, et ceci pourrait expliquer pourquoi les fourmis des rues sont capables d’atteindre d’aussi larges populations en ville ». Ces travaux visent à mieux comprendre les écosystèmes vivant à proximité de l’Homme, en ville par exemple, et les relations de notre espèce avec son environnement : « Nous voulions en apprendre plus sur la raison pour laquelle certaines espèces de fourmis sont capables de vivre à nos côtés, sur les trottoirs ou dans les bâtiments, alors que d’autres restent en périphérie du développement humain. Ceci pourrait aussi nous aider à déterminer quelles espèces sont plus actives pour nettoyer nos ordures ». Source: http://www.futura-sciences.com/ Article: http://rspb.royalsocietypublishing.org/content/282/1806/20142608
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