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Heteroliodon occipitalis Boulenger, 1896 Synonymes Pseudoxyrhopus occipitalis Boulenger, 1896 Heteroliodon torquatus Boettger, 1913 Heteroliodon occipitalis Raxworthy & Nussbaum, 1994 Commentaire Heteroliodon torquatus est un synonyme d'Heteroliodon occipitalis (Raxworthy & Nussbaum, 1994) Répartition géographique Afrique Madagascar (Sud). Portrait Photo pour illustration. Source: google
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Faits divers concernant les mygales et les araignées
askook a répondu à un(e) sujet de Reptile-city62 dans Mygales - Arachnides - Scorpions
Ce genre de découverte arrive quand même de temps en temps. Nous avons vécu ce genre de fait divers... Dans les années fin 90, un supermarché de marque "Atac", si situant à La Ferté St Aubin à une vingtaine de kilomètre de chez nous, on a contacté un samedi matin, par le biais du Muséun d'Histoire Naturelle d'Orléans, pour que l'on vienne prendre une mygale que les employés du rayon fruits et légumes avait découvert dans un carton de banane provenant d'Afrique (je ne sais plus de quel pays exactement mais il me semble que c'est la côte d'Ivoire). La magasin ne voulait pas appeler les services vétérinaires de peur, qu'ils obligent la fermeture du magasin le temps d'une inspection. Les employés avaient réussi à attraper la mygale et l'avaient mise dans une barquette transparente. Le directeur, nous a demandé de sortir très discrètement de son magasin une fois la mygale entre nos mains. La mygale était en forme et très vive (elle s'est même sauvé lors de son transfert de la barquette à son terrarium). Elle avait supporté les différents transports, stockage et autres manipulations... -
Les bourdons sont très à cheval sur leurs horaires de travail Des chercheurs de l'université Queen Mary de Londres au Royaume-Uni ont découvert que les bourdons sont très pointilleux sur les horaires et la durée de leur travail. Les découvertes, présentées dans la revue BMC Biology, résultent du projet LAPBIAT («Lapland atmosphere-biosphere facility» qui a reçu près de 1,5 million d'euros au titre de l'action «Infrastructures de recherche» du sixième programme-cadre de l'UE (6e PC) afin d'étudier les interactions entre les écosystèmes situés au Nord du cercle polaire arctique. Le professeur Lars Chittka et le doctorant Ralph Stelzer ont conduit leur étude sur un site de recherche dans le Nord de la Finlande. Ils ont marqué 1049 ouvrières avec des étiquettes RFID afin de suivre leurs horaires de sortie et de retour à la ruche pendant le jour permanent de l'été arctique, et plus particulièrement leur rythme circadien de butinage. Les chercheurs avaient fait l'hypothèse que les butineuses utiliseraient le jour permanent pour travailler plus longtemps, ramener davantage de nourriture et favoriser la croissance de la colonie. Des études précédentes ont montré que le rythme circadien des insectes sociaux est assez souple, et qu'ils peuvent modifier l'expression des gènes horloge pour satisfaire les besoins de la colonie. Les chercheurs ont testé les rythmes de butinage de colonies de bourdons (Bombus terrestris et B. pascuorum) dans le Nord de la Finlande pendant l'été, alors que le soleil reste au-dessus de l'horizon plusieurs semaines d'affilée. L'étude a porté sur le comportement de bourdons locaux et de colonies importées dans l'Arctique. Les deux espèces ont travaillé en «équipe de jour», l'activité la plus intense étant concentrée autour de midi. Les chercheurs ont observé que les bourdons sont tous rentrés au nid quelques heures avant minuit, et ne sont donc pas restés actifs en permanence. «Nous avons constaté que les bourdons ne tirent pas naturellement parti d'une journée continue, ce qui suggère que la 'pause nocturne' a quelque avantage», explique M. Stelzer. Les chercheurs ont établi que les ouvrières de bourdons restaient fidèles à un rythme de travail diurne. Près des 95% des ouvrières de B. terrestris ont conservé un rythme diurne fiable, avec une durée moyenne de 23,8 heures. Les activités de butinage étaient principalement conduites entre 8 heures et 23 heures. De leur côté, les ouvrières de B. pascuorum (l'espèce locale) butinaient surtout entre 6 et 22 heures. Les chercheurs ont fait l'hypothèse que les bourdons s'appuyaient sur un facteur du milieu pour connaître l'heure en l'absence de l'alternance jour-nuit. Leurs travaux ont montré que les insectes étaient probablement sensibles à l'intensité et à la qualité de la lumière, ou à l'évolution de la température. «Dans des conditions de luminosité permanente, la synchronisation de l'horloge circadienne peut se baser sur les fluctuations quotidiennes du spectre lumineux, notamment dans la gamme des UV (ultraviolets)», soulignent les auteurs. «Malgré le soleil de minuit, la température diminue pendant la 'nuit', et les bourdons pourraient avoir besoin de retourner au nid pour réchauffer leur couvain», expliquaient les chercheurs. «On a également proposé qu'une période de sommeil aide les bourdons à se souvenir des informations recueillies pendant leur journée de travail.» Source: http://cordis.europa.eu/fetch?CALLER=FR_NEWS_FP7&ACTION=D&DOC=1&CAT=NEWS&QUERY=012988f103ce:3c77:7e7dba4f&RCN=32265 Article: http://www.biomedcentral.com/1741-7007/8/93
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Grâce à l’utilisation combinée du scanner et de l’imagerie par résonance magnétique (IRM) des scientifiques Danois ont pu observer l’intégralité des tissus et organes internes de plusieurs animaux vivant : alligators, serpents et tarentules. Des images exceptionnelles seront présentées ce mercredi lors de la réunion annuelle de la Société de biologie expérimentale, à Prague. Pour la première fois, il sera possible d’observer, de façon non invasive, comment un serpent, un python de Birmanie, adapte ses organes internes en vue d'un gros gueuleton et sa digestion, jusqu'à disparition complète de sa proie. Les scientifiques pensent que cette technique d’observation supplantera bientôt les habituels croquis et schémas et évitera ainsi bon nombre de dissections. « Les pythons sont réputés pour leur capacité à jeuner pendant de nombreux mois et pour ingérer des repas très importants d’un seul coup » raconte Kasper Hansen de l'Université d'Aarhus au Danemark. Les techniques modernes de numérisation ont montré combien l'extrême adaptation des organes internes permet au serpent d’alterner des périodes de jeûne et des repas pantagruéliques. Pour observer au plus près ce phénomène, les chercheurs ont scanné l’animal avant et pendant 2, 16, 24, 40, 48, 72 et 132 heures après l'ingestion d'un rat. La succession des images a révélé une disparition progressive de l'organisme du rat, accompagnée d'une expansion globale de l'intestin, de la diminution de la vésicule biliaire, et une augmentation de 25% du volume cardiaque. Source: http://www.sciencesetavenir.fr/actualite/nature-environnement/20100629.OBS6377/l-anatomie-revelee.html Un python géant de Birmanie avec trois rats dans son intestin. C’est la première fois que le cycle de digestion complet d'un python est visualisé grâce à l’IRM et au scanner MR Research Center, Aarhus University Hospital, Denmark
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Faits divers concernant les ophidiens
askook a répondu à un(e) sujet de Reptile-city62 dans Serpents
Un serpent aux Vaucrises CHÂTEAU-THIERRY (Aisne). Nez à nez avec un serpent, un agent de la Maison du Cil a gardé l'animal dans sa pince jusqu'à l'arrivée des pompiers. «JE ne l'oublierai jamais ! » Jusque-là, Michel Tancray n'avait vu des serpents que dans les livres ou dans les animaleries. Sa rencontre de mardi avec une couleuvre, dans le quartier des Vaucrises, restera l'un des grands moments de sa carrière, entamée il y a presque six ans. « J'étais en train de ramasser des papiers derrière l'immeuble Roussillon, avenue Otmus, raconte cet agent de proximité de la Maison du Cil, dans la descente de cave, j'ai vu ce serpent. » Sur le coup, il a cru que c'était un jouet en plastique ! « Quand je l'ai pris avec ma pince, il s'est redressé », explique-t-il. C'est alors que l'émotion est sans doute montée d'un cran, même si l'employé n'a pas perdu son sang-froid : « J'ai serré la pince. » Un tête-à-tête entre l'homme et l'animal d'environ un quart d'heure a suivi, pendant qu'une habitante appelait les pompiers et que ceux-ci arrivaient. Michel Tancray a transporté le reptile dans sa pince, un peu plus loin, puis l'a maintenu au sol ; mais le serpent se débattait et parvenait à progresser… Le « palpitant » du découvreur a alors un peu accéléré son rythme, mais les sapeurs-pompiers sont arrivés, il a pu le déposer dans un carton fermé. Aujourd'hui, il le sait, l'animal n'était pas dangereux. C'est ce que confirment les responsables de la boutique Iguana 02, à laquelle il a, depuis, été confié, en attendant l'identification du propriétaire. Il s'est sans doute échappé d'un domicile. « Ce sont des couleuvres d'élevage, ça ne mange que les souris », explique le commerçant, qui en vend… Il s'agit d'une Elaphe Gutatta, une couleuvre américaine appelée couramment serpent des blés. Elle mesure 1,10 m et il s'agit donc d'un adulte. Les pompiers, parmi lesquels la formation Nac (Nouveaux animaux de compagnie) est de plus en plus répandue, le rappellent, les serpents domestiques ne sont pas venimeux et recherchent les endroits frais et humides. Si le reptile castel sortait sa langue, c'est parce qu'il s'en sert pour sentir, grâce aux capteurs de Jacobson… Et la bête est curieuse ! Source: http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/un-serpent-aux-vaucrises-il-en-pince-pour-le-reptile -
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Les pythons royaux sont des serpents très répandus en Afrique de l'Ouest. De couleur "marron-noire" il est exceptionnel de découvrir un exemplaire sauvage entièrement blanc... Un petit village dans le sud du Togo à environ 50 km de Lomé la capitale, je suis sur site pour opérer un décompte de reptiles sur une zone d'élevage en mode de ranching. Le système de l'élevage en ranching est une particularité du Togo qui protège autant que possible ses ressources naturelles. Le ranching permet d'élever des reptiles en milieu naturel avec l'appui des populations rurales. Nous sommes au mois d'avril, la saison des pluies n'est pas encore amorcée, les femelles ont pondu leurs oeufs et les jeunes pythons ont éclos. Avec un groupe de villageois, nous avons déterminé plusieurs zones de recherches qui nous permettent de procéder à un comptage assez précis des populations animales sur l'étendue de la zone. Avec des houes et des coupe-coupe, les "captureurs" retournent les souches pourrissantes, creusent les terriers ou inspectent les termitières. Dès qu'un reptile est repéré, il est mesuré, pesé, sexé et identifié par un marquage au niveau de ses écailles. Ainsi nous savons que nous ne comptons pas deux fois de suite le même animal. Le python royal est un serpent très commun sous nos latitudes. Poïkilotherme (température interne fluctuante et dépendante des facteurs extérieurs) il passe ses journées à l'abri dans des terriers et ses nuits à chasser de petits rongeurs grâce à un odorat très développé et à des fossettes thermo-sensibles situées à l'avant de son museau. Dépourvu de venin, c'est un reptile paisible et peu agressif, qui cohabite sans problème avec les humains. Je viens de retourner une vieille souche de palmier. De prime abord, elle semble inhabitée. Alors que je m'apprête à continuer mon chemin, un léger mouvement attire mon attention. A l'intérieur même de la souche, un animal se meut. Je m'approche, j'écarte les écorces pourries et là apparait un superbe python royal entièrement blanc qui me laisse bouche bée. Très rare, il ne s'agit nullement d'un reptile albinos, mais d'un leucistique, c'est à dire une particularité génétique dûe à un gène récessif qui donne à l'animal une couleur blanche avec des yeux de couleur tout à fait normale ( alors que chez les albinos ils sont toujours rouges ). Cette trouvaille est exceptionnelle pour deux raisons, tout d'abord cette mutation est très très rare et ensuite les animaux qui en sont atteints vivent généralement peu de temps car cette anormalité les rend plus visible auprès des prédateurs. Ma trouvaille mesure 90 cm, c'est un mâle âgé d'un an environ. C'est presque l'émeute chez les villageois qui n'en n'avaient jamais vu de semblable. Bientôt, la rumeur fait le tour du village et des centaines de personnes accourent pour voir le serpent blanc. Il faudra ramener le calme pour éviter la bousculade. Le python est dit royal ( régius en latin) car il semblerait que la Reine Cléopâtre en portait enroulés autour de ses poignets, comme des bijoux. Celui-ci, porte à merveille son nom. Le premier témoignage de la découverte d'un python blanc en Afrique de l'Puest date de 1966 et était situé au Ghana voisin. Après l'avoir pris en photo sous toutes les coutures, l'étrange animal est relâché sous les applaudissements de la foule hilare. Dans cette partie du Togo, le python est un fétiche, il est tabou et ne risque aucunement d'être tué. Source: http://www.lepost.fr/article/2010/06/17/2118027_extraordinaire-decouvrez-un-python-royal-entierement-blanc.html
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Faits divers concernant les mygales et les araignées
askook a répondu à un(e) sujet de Reptile-city62 dans Mygales - Arachnides - Scorpions
Araignées tropicales dans les... bananes Ce n'est pas si courant. Mais ça arrive. Récemment, deux araignées tropicales ont déclenché une certaine panique à l'hypermarché Auchan. Au départ, c'est une cliente qui a aperçu une bestiole dans les bananes, en provenance des Antilles. Les pompiers ont immédiatement été appelés à la rescousse. « Je travaille depuis dix-huit ans dans la grande distribution, c'est la première fois que cela nous arrive, explique obligeamment un responsable sécurité. Notre fournisseur en Martinique-Guadeloupe a été averti. Nous avons ensuite trouvé une deuxième araignée dans la réserve. » Au final, « de couleur très pâle » et « peu velues », les arachnides n'appartenaient pas à une espèce dangereuse. Heureusement. Il n'y a pas si longtemps, en 2008, une araignée venimeuse a été découverte parmi les bananes d'un supermarché aux Pays-Bas. De l'espèce brésilienne Phoneutria nigriventer, également appelée « araignée-banane », pour sa capacité à se cacher dans des régimes de bananes. Le venin de cette araignée provoque de violentes douleurs, voire des paralysies. Chez les hommes, la morsure peut s'accompagner d'une douloureuse érection qui persiste des heures et qui peut mener à l'impuissance. En Belgique, chaque année, on signale 3 ou 4 cas de mygales ou d'araignées tropicales importées d'Amérique du Sud, principalement via le port d'Anvers. Source: http://www.aisnenouvelle.fr/index.php/cms/13/article/458254/Araignees_tropicales_dans_les_bananes -
Chelonoidis abingdonii "Lonesome George"
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Tortues - Crocodiles
Un programme de réintroduction sauve la tortue géante des Galapagos La réintroduction d’espèces que Charles Darwin a côtoyées suscite l’espoir pour d’autres. Des scientifiques ont réussi à réintroduire les tortues géantes aux Galapagos où l’espèce avait frôlé l’extinction. Dans le reste de l’archipel, l’espoir renaît. La semaine dernière, l’observation d’Hispanola, l’île la plus méridionale, a confirmé, que les efforts entrepris pour réintroduire des petits de tortue géante avaient porté leurs fruits : la population atteint désormais 1 500 individus. Le projet a pour but de replonger à l’époque où l’homme n’avait pas encore éradiqué l’espèce qui a inspira à Charles Darwin sa théorie de l’évolution. « C’est la fin heureuse d’une histoire triste », résume Johannah Barry, présidente de Galapagos Conservancy, une organisation basée en Virginie et qui a en partie financé l’étude. Les résultats préliminaires de l’étude, conduite sur 10 jours par les gardiens du parc national des Galapagos ont révélé que l’albatros, le cactus et la végétation boisée ont également entamé leur convalescence, redonnant à l’île un aspect proche de celui qu’avait pu observer Darwin deux siècles auparavant. « Une des espèces de tortue géante (Chelonoidis nigra hoodensis) ne comptait plus que 15 individus dans les années 70 alors qu’elle était très répandue auparavant », explique Washington Tapia, un employé du parc qui a mené l’observation en utilisant des appareils électroniques pour suivre les animaux. « Pendant l’expédition, nous avons découvert des nids, des tortues tout juste sorties de l’œuf et des adultes, tous nés à Hispanola. Ce qui indique que la population se porte bien. » La population est à présent comprise entre 1 500 et 2 000 individus, poursuit Linda Cayot, conseiller scientifique à Galapagos Conservancy. « Nous pourrons affiner nos conclusions quand les résultats de l’observation seront analysés. » La population d’origine était estimée à 5 000 individus avant de devenir le mets privilégié des marins de passage. Le succès du projet a permis la mise en œuvre d’un plan similaire sur une autre île, Pinta, avec les mêmes espèces, dans l’espoir de recréer un écosystème « pré-humain ». Les îles volcaniques éparpillées sur presque 1 000 kilomètres à l’Ouest de l’Equateur sont classées au patrimoine mondial de l’UNESCO et sont le refuge de dizaines d’espèces endémiques. 95 % des 4 800 km² du territoire sont des zones protégées. « C’est vraiment incroyable de se trouver dans un des rares endroits où l’on peut observer l’évolution en temps réel », se réjouit Henry Nicholls, ambassadeur du Galapagos Conservation Trust. Il considère la réintroduction de la tortue géante d’Hispanola comme une très bonne nouvelle. « C’est une espèce emblématique qui capte l’attention du public ». Les autorités ont décidé de massacrer les envahisseurs dans les années 70 en faisant appel à des équipes de tireurs d’élite mais quelques chèvres ont survécu, se sont reproduites et le problème persista jusqu’aux années 90 où l’on utilisa des hélicoptères, des chiens et des systèmes de traçage radio. La nouvelle méthode consistait à utiliser des chèvres Juda munies de colliers électroniques permettant de retrouver les troupeaux furtifs. « Mois après mois, les tireurs revenaient, tuaient toutes les chèvres sauf les Juda. Une fois les troupeaux éradiqués, les Judas furent tuées à leur tour », explique Nicholls. La menace pour les espèces endémiques a fait qu’il y eut peu de protestations à propos du massacre des chèvres. « Le public n’a pas contesté ces mesures car les tortues étaient en danger », dit Barry. Les scientifiques ont déplacé 15 tortues géantes, les dernières de leur espèce, depuis leur habitat dévasté sur Hispanola vers un lieu de reproduction en captivité. Une fois les chèvres éradiquées, les petits nés du programme furent réintroduits sur l’île. « Les tortues ont commencé à jouer leur rôle d’architecte de l’écosystème », précise Tapia, directeur de la mission d’observation de l’île. « Nous pouvons dire avec certitude que l’intégrité écologique d’Hispanola est en train d’être restaurée. Un plan similaire pour repeupler Pinta, dans le Nord de l’archipel est en cours d’élaboration. » Cependant, la seule tortue encore en vie de Pinta, Lonesome George, ne s’est jamais reproduite malgré des décennies passées en captivité. Source: http://www.developpementdurable.com/environnement/2010/06/A5138/un-programme-de-reintroduction-sauve-la-tortue-geante-des-galapagos.html -
L’agence américaine de conservation de la nature Fish and Wildlife Service (FWS) a annoncé le 28 juin le lancement d’un plan de sauvetage inédit pour les tortues du golfe du Mexique. Ces experts de la vie sauvage s’apprêtent à collecter des dizaines de milliers d’œufs de tortues en voie de disparition, afin de les déplacer loin de la marée noire qui continue de sévir. Le plan vise à relocaliser 700 à 800 couvées actuellement ensevelies sous le sable des plages d’Alabama et du nord-ouest de la Floride. « Des plans de relocalisation de nids de tortues ont été entrepris dans le passé, mais jamais à cette échelle » témoigne Charles Underwood, du service gouvernemental Fish and Wildlife en charge de l’opération. Une fois collectés, les nids sont emballés individuellement dans des boîtes en polystyrène puis transportés par route sur la côte centre-est de la Floride où ils resteront à température contrôlée jusqu'à la fin de l'incubation. A l’éclosion, les bébés seront amenés à la main jusqu’à l’océan. Au moins 50.0000 d’entre eux sont attendus, si l’on estime qu’environ 70 œufs par nid survivront au transfert et à la période d’incubation. La majorité de ces nids appartiennent à la tortue Caouanne (caretta caretta), grand modèle à la carapace en forme de cœur. Les œufs de la tortue de Kemp, Luth et de la tortue verte seront également récoltés, mais dans une moindre mesure. Si les résultats de cette méthode à risque sont très incertains, « ne prendre aucune mesure entraînerait vraisemblablement la perte de la totalité des nouveau-nés de tout le nord du golfe du Mexique » selon Sandy McPherson, coordonnateur FWS en charge des tortues de mer. Déjà plus de 550 de ces tortues ont été retrouvées mortes le long de la côte du golfe du Mexique, et le bilan s’alourdit de jour en jour. Source: http://www.journaldelenvironnement.net/article/bp-les-tortues-vont-changer-de-nurserie,17889
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Ithycyphus goudoti (Schlegel, 1837) Synonymes Herpetodryas goudoti Schlegel, 1837 Dryophylax goudotii Duméril & Bibron, 1854 Philodryas goudotii Günther, 1858 Ithycyphus caudolineatus Günther, 1873 Stenophis longicaudus Boettger, 1896 Ithycyphus goudoti Boulenger, 1896 Répartition géographique Afrique Madagascar. Portrait Photo pour illustration. Source: http://herpetophoto.blogspot.com/
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