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askook

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  1. askook

    Telescopus semiannulatus

    Photos pour illustration. Source: google
  2. askook

    Telescopus semiannulatus

    Photos pour illustration. Source: google
  3. Photos pour illustration. Source: F.Dirks
  4. cheynei... Photos pour illustration. Source: Kai Schneider
  5. askook

    Gonyosoma oxycephalum

    Une autre série de photos... Photos pour illustration. Source: Kai Schneider
  6. askook

    Crocodylus porosus

    Crocodylus porosus de Bornéo n'est plus menacé d'extinction La population de crocodiles marin s'est fortement redressée ces dernières années à Bornéo, ce qui pousse les autorités de l'île asiatique à réclamer qu'il ne soit plus considéré comme une espèce menacée. Il y a entre 11.000 et 15.000 Crocodylus porosus contre 1.000 à 5.000 il y a 20 ans au Sabah, l'un des deux Etats malaisiens de Bornéo, l'immense île que se partagent la Malaisie, l'Indonésie et Brunei, a indiqué lundi Augustin Tuuga, directeur adjoint des services de la Faune sauvage de l'Etat. De ce fait, le crocodile de mer ne devrait plus être considéré comme un animal "en danger" à Bornéo par la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (CITES), a-t-il ajouté. Ce changement rendrait plus facile la chasse de ces reptiles alors que la demande est forte pour leur peau, notamment pour la maroquinerie, et leur viande, appréciée en Asie. "Pour que cela arrive, nous devons mettre en place un mécanisme nous permettant de suivre les évolutions de la population et d'être sûrs qu'elle reste à un niveau acceptable", a souligné M.Tuuga. Les crocodiles marins sont, avec ceux du Nil, les plus grands reptiles vivants avec une taille pouvant atteindre 4 à 6 m. Leur population a fortement diminué en Asie mais reste importante en Australie et en Papouasie-Nouvelle-Guinée. A Bornéo, la hausse du nombre d'individus a provoqué celle des attaques contre les humains, dont 23 sont morts et 15 blessés en dix ans, selon M. Tuuga. La dernière est celle d'un homme, dévoré alors qu'il pêchait des coquillages ce mois-ci. Le crocodile s'attaque à l'homme notamment parce que "sa zone d'habitat et ses sources de nourriture ont diminué sous la pression du développement, tandis que les hommes utilisent davantage les estuaires", a indiqué le responsable. Source: http://www.romandie.com/infos/news2/100628060308.kus2eotz.asp
  7. Iguane à Saint-Barthélemy... Photo pour illustration. Source: http://www.fotocommunity.fr/pc/pc/cat/12744/display/11500951
  8. Portrait de famille... Photo pour illustration. Source: http://www.fotocommunity.fr/pc/pc/cat/12744/display/10895790
  9. Effet « Velcro » chez des fourmis guyanaises En Guyane, la symbiose entre les fourmis du genre Azteca et l'arbre Cecropia (ou bois canon) est fréquente. Etonnante découverte : une espèce de fourmi (Azteca andreae) utilise le principe du « Velcro » pour s'agripper fermement aux feuilles du Cecropia et pouvoir ainsi capturer de très grosses proies. Le Cecropia, arbre emblématique de Guyane aussi appelé bois canon, a développé une relation symbiotique avec les fourmis arboricoles du genre Azteca. Le Cecropia fournit le logement (au niveau des tiges creuses) ainsi qu'une partie de la nourriture à ces petites fourmis qui, en retour, protègent l'arbre des envahisseurs. L'équipe d'Alain Dejean du laboratoire Ecologie des forêts de Guyane (ECOFOG, CNRS/Université Antilles-Guyane/INRA/AgroParisTech), en collaboration avec des chercheurs de Clermont-Ferrand, Toulouse(1) et de la station biologique de Doñana en Espagne, s'intéresse tout particulièrement aux interactions entre le Cecropia obtusa et une espèce d'Azteca récemment décrite en Guyane française : Azteca andreae. Les fourmis de cette espèce ne se nourrissent pas à partir de corps nourriciers fournis par l'arbre en plus du logement, mais ont mis au point une stratégie de chasse reposant sur une organisation sociale très élaborée. Les ouvrières se postent côte à côte sous la bordure des feuilles de l'arbre et attendent dans cette position d'éventuelles proies qui viendraient se poser pour trouver un abri ou attaquer les feuilles de l'arbre. Les scientifiques ont découvert que, dans cette position, les fourmis s'agrippent solidement aux feuilles grâce au principe du « Velcro » . En effet, la face inférieure des feuilles présente une ramification de longs poils qui constitue la partie «velours» sur laquelle s'accrochent les griffes des ouvrières formant la partie «crochets». Grâce à ce principe « Velcro », une fourmi peut maintenir jusqu'à plus de 5 000 fois son poids. Un groupe d'ouvrières peut capturer de très grosses proies, la plus grosse rencontrée étant un criquet de 18,61 g soit 13 350 fois le poids d'une ouvrière. Source: http://www2.cnrs.fr/presse/communique/1926.htm Un sphinx capturé par une aile sur un lobe de feuille, on voit des ouvrières en position de chasse sur la droite de la photo. © ECOFOG Cette photo représente des ouvrières en chasse sous une jeune feuille. Une guêpe noire a été capturée et est écartelée au centre du lobe de la feuille. © ECOFOG Article: http://www.plosone.org/article/info%3Adoi%2F10.1371%2Fjournal.pone.0011331
  10. Histoire d'eau... Photos pour illustration. Source: Kai Schneider
  11. askook

    Amélanisme

    Le terme albinos à été d’abord attribué aux humains souffrant d’une absence de pigmentation, résultant d’une peau blanche et des poils blancs, ainsi que des yeux rouges (du fait qu’on vois les vaisseaux sanguins aux travers puisqu’il n’y a pas de pigment). Aujourd’hui pour les humains, on parle d’albinisme, d’albinisme partiel, d’hypopigmentation etc… Comme le seul pigment (du moins de loin le plus important) chez les mammifères est la mélanine (notamment responsable pour le noir, le brun et certains jaunes et rouges), il est tout à fait compréhensible que l’état d’amélanisme (absence de mélanine) chez un mammifère reflète un sujet de coloration blanche (dépourvue de couleur). Dans certains dictionnaires, on dira que l’albinisme est le résultat de l’absence totale de pigmentation. Dans d’autres cas on dit que c’est l’absence du noir, vrai chez les mammifères, mais pas représentatif chez les oiseaux, les poissons et les reptiles. Ailleurs on parle d’une déficience de pigmentation normale… un peu nébuleux comme définition. Un mammifère amélanique est automatiquement albinos, c’est son seul pigment. là où la confusion a commencé, c’est quand on a commencé à définir l’albinisme comme étant un synonyme de l’amélanisme, car c’est seulement représentatif chez les mammifères. Par exemple, de la même façon qu’un mammifère albinos, un Pantherophis guttatus amélanique ne produit pas de noir. Seulement celui-ci ne sera pas blanc, puisqu’il a aussi d’autre pigments possibles chez les reptiles, dont les xanthophores (les jaunes) et les erythrophores (les rouges). À toutes fins pratiques, le terme albinos désigne un résultat, et non une réaction ou une cause. Chez l’humain, l’albinisme est causé par l’absence de la pigmentation noire, chez les plantes vertes, c’est l’absence de la chlorophylle qui fait en sorte qu’une plante sera blanche. Chez les reptiles, l’albinisme par définition devrait être l’absence de toutes pigmentations.
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