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Tout ce qui a été posté par askook
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Nous n'avons jamais eu de naissance de Boa constrictor, mais ayant élevé de l'Epicrates cenchria et de l'Epicrates maurus, nous avons eu des naissances d'espèces ovovivipares. Une mise bas n'a rien de comparable à une éclosion. En rentrant dans la pièce d'élevage, rien qu'à l'odeur, nous savions qu'il y avait des naissances. Aller à la recherche de tous les nouveau-nés qui se promenaient dans le terrarium et qui ne pensaient qu'à mordre, c'était un vrai bonheur. Nous séparions les bébés de la mère, après leur avoir fait un petit nettoyage. Nous les mettions, par trois ou quatre, dans des boites avec au sol du papier essuie-tout, une cachette et un petit récipient d'eau. Nous nous sommes jamais occupé des cordons, nous attendions qu'ils tombent touts seuls, ce qui arrivait dans les deux ou trois jours après la naissance. Toutes nos femelles mangeaient tous les oeufs non fécondés, les oeufs non développés ainsi que les mort-nés.
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Les crocodiles s'épuisent s'ils nagent plus de vingt minutes. Les chercheurs se demandaient donc comment certains ont pu parcourir de longues distances en mer. Ce mystère a été percé par une étude australienne qui a récemment démontré que les crocodiles savaient surfer. Crocodylus porosus peut en effet utiliser les courants marins pour de longs voyages, explique Hamish Campbell de l'université du Queensland. Il a bagué 27 crocodiles adultes dans la rivière Kennedy, à une soixantaine de kilomètres de la côte, dans le nord-est de l'Australie. Il a ensuite utilisé des sonars pour suivre leurs allées et venues pendant un an. Il en a repéré huit qui avaient fait de longs voyages en mer à plusieurs reprises. "Il semblait improbable qu'ils aient nagé tout le temps", souligne Hamish Campbell. "Quand nous avons regardé les courants de surface résiduels sur les images satellite, nous avons pu voir assez clairement qu'ils suivaient en fait les courants". Un mâle a ainsi parcouru près de 600km en 25 jours pour gagner une autre rivière, où il est resté sept mois avant de revenir à son point de départ. "Nous n'avons absolument aucune idée de pourquoi il est allé là-bas". Publiée dans la "Revue de l'écologie animale", une publication scientifique britannique, l'étude de Hamish Campbell montre que les courants marins peuvent porter les crocodiles. Cela explique pourquoi l'on peut trouver la même race de crocodiles d'estuaire dans divers pays séparés par des étendues maritimes. Les crocodiles d'estuaire, qui peuvent atteindre les six mètres de long, vivent dans des rivières et des mangroves sur une superficie de plus de 10.000km2 dans le Pacifique Sud-Est, de l'Inde aux îles Fidji, de la Chine à l'Australie. Le zoologue Grahame Webb, un expert australien des crocodiles, sans lien avec l'étude, estime que le travail d'Hamish Campbell a montré pour la première fois comment ces reptiles utilisaient les courants. "Les longs voyages en mer ont toujours été un peu rares pour les crocos et les gens soupçonnaient que les courants puissent jouer un rôle", note Grahame Webb. "Cette étude montre qu'ils sont bien plus mobiles que ce que les gens croyaient". Les grands crocodiles sont puissants mais se fatiguent vite. Un effort prolongé peut leur être fatal. Un crocodile coincé dans un piège qui se débat pendant 20 minutes provoque un tel afflux d'acide lactique dans son sang qu'il peut en mourir, souligne Grahame Webb. S'ils s'épargnent les efforts physiques en se laissant porter par les courants, les crocodiles peuvent alors effectuer de longs voyages en mer: ils sont en effet capables de survivre des mois sans boire et sans manger. AP Source: http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/monde/20100709.FAP5160/des-crocodiles-surfeurs.html
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Dans l’Hérault, le trafic d’animaux ne tarit pas Le trafic d’animaux exotiques ne concerne pas que le port de Marseille ou l’aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle. Dans l’Hérault, depuis 2004, près de 2 000 animaux ont été saisis par les autorités, tandis que des centaines d’autres sont abandonnes par leurs propriétaires. « Pas plus tard qu’hier, nous avons hérité de deux singes magots, une femelle adulte et un petit, dont leurs maîtres ne voulaient plus. » Laurence Colas, directrice du zoo du Lunaret à Montpellier, n’est plus guère étonnée par de tels abandons. Il faut dire qu’elle a déjà récupéré, par le passé, une quinzaine de singes. « La plupart proviennent du Maroc, poursuit-elle. Les touristes les trouvent mignons, en achètent un… Pour passer la frontière, ils les endorment avant de les cacher dans leurs bagages. Et ils se retrouvent ensuite avec un animal dont, un jour, ils ne veulent plus. Parmi les animaux ramenés de l’étranger, beaucoup meurent durant le voyage ou au bout de quelques mois, comme les caméléons. » Dans un bâtiment réservé aux animaux placés en quarantaine, le bébé magot, seul dans une vaste cage, porte encore le ridicule harnais dont l’avait affublé son ancien propriétaire. Il devrait bientôt rejoindre l’enclos du zoo réservé à ses congénères, dont les deux tiers proviennent de saisies ou d’abandons. La femelle magot, elle, pourrait ne pas trouver sa place au sein du clan : « Certains animaux ayant grandi chez des particuliers ne sont plus réhabilitables, explique Laurence Colas. Certains sont agressifs, d’autres s’automutilent… » Achetés puis « jetés » Animaux séduisants devenus encombrants, achetés puis jetés… Les singes ne sont pas les seuls à faire les frais de ces caprices égoïstes : la directrice du zoo désigne ici et là un caméléon, un boa, un serpent-roi, un serpent des blés… « On nous a aussi amené un lémurien de Madagascar, on nous a proposé de reprendre des piranhas… » L’engouement pour les NAC (nouveaux animaux de compagnie) n’est pas étranger à ce phénomène : la demande reste forte, d’autant que les animaux exotiques sont faciles à se procurer : « On peut trouver ce qu’on veut sur internet, mais on peut aussi acheter de tout dans des bourses aux reptiles, en Hollande ou en Allemagne. Bien souvent, les passionnés se connaissent et fonctionnent en réseau », explique Laurent Retière, agent technique de l’environnement à l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS). De tels réseaux existent aussi dans l’Hérault, comme l’a notamment prouvé l’affaire qui a éclaté autour d’une ferme pédagogique, à Cessenon-sur-Orb, en 2004, où l’ONCFS a saisi pour 150 000 euros d’animaux : tatou, lynx, gibbon, singes hamadryas, tortues, harfang des neiges, renard polaire, pélican, chat-léopard du Bengale… « Ils étaient achetés illégalement à l’étranger puis revendus ici à des particuliers, raconte Laurent Retière. Avec cette affaire, nous avons réalisé que l’Hérault représentait une plaque tournante, au moins régionale, pour ce genre de trafics. » Et depuis, les affaires s’enchaînent. En 2006, l’ONCFS découvre 250 papillons capturés ou importés, puis épinglés et mis sous cadres pour être vendus. En octobre 2008, saisie record : 640 tortues entassées dans un jardin sont retrouvées chez un particulier près de Béziers. Tortues d’Hermann, tortues grecques, cistudes d’Europe, mais aussi de dangereuses tortues serpentines de 25 kg, et de rares émydes lépreuses. Un mois plus tard, nouvelle saisie dans le Gard de 150 animaux exotiques, parmi lesquels nombre de venimeux : boas, pythons, scorpions, une cinquantaine de mygales, des rainettes de Guyane… Là non plus, le propriétaire ne possédait pas les certificats de capacité nécessaires pour la détention de tels animaux. Et la liste des affaires se poursuit : « 400 animaux naturalisés ont été saisis début 2010 à Frontignan chez un chasseur. Il ramenait dans ses valises les bêtes qu’il avait tuées en Afrique ou en Amérique du Sud, puis il les naturalisait, raconte Laurent Retière. Nous avons trouvé chez lui 270 espèces différentes d’oiseaux… » Ainsi, depuis 2004, l’ONCFS a saisi dans l’Hérault environ mille animaux vivants, et presque autant d’animaux morts. Lâchés dans le Salagou, le Lez ou la Mosson Certains spécimens devenus trop envahissants ou encombrants sont également abandonnés par leurs propriétaires en pleine nature. L’exemple le plus connu est celui des tortues de Floride, relâchées un peu partout, dans le lac du Salagou, le Lez ou la Mosson. Des écrevisses de Louisiane colonisent également nos cours d’eau. Un phénomène qui évolue en fonction des modes : « On a vu des grenouilles xénopes, très voraces, relâchées dans des rivières, se souvient Laurence Colas. Par le passé, c’étaient des youyous du Sénégal, des oiseaux parfois jugés trop bruyants. » Aujourd’hui, à Frontignan, c’est une population de martins tristes, une espèce d’oiseaux très envahissante, qui pose problème. « Les animaux relâchés causent de gros soucis et entraînent des déséquilibres écologiques, enchaîne Laurent Retière. Des tortues serpentines, capables d’attaquer n’importe quoi, ont été retrouvées dans la nature, tout comme des tortues-alligators de 60 kg, dont la morsure peut couper la main d’un enfant… Ces espèces agressives mettent en péril les autres populations de tortues. » La plupart des tortues saisies dans notre département proviennent du Maroc. Achetées là-bas quelques euros, elles sont revendues ici 50, 100, voire 200 euros. Le trafiquant risque une amende de 50 euros, soit bien moins que pour un polo portant un faux crocodile… « C’est pire pour les gris du Gabon, poursuit Laurent Retière. Achetés 2 euros au Cameroun, ils valent ici environ 1 500 euros. Au final, le risque est quasiment nul pour un bénéfice énorme. » La volonté des autorités d’accentuer ou non la répression sera décisive dans les années à venir. Pour Laurence Colas, l’enjeu est de taille : « Il faut rappeler que le trafic international d’animaux est le troisième au monde, après la drogue et les armes. » Mais un autre facteur apparaît lui aussi comme déterminant dans le devenir de la faune sauvage : la prise de conscience, par tous, que la place des animaux sauvages n’est pas dans un salon. n Sarah Finger Mygales, serpents et scorpions d’ici Notre région est naturellement riche en animaux « exotiques », comme l’explique David Sautet, chargé d’études en expertise faunistique aux Ecologistes de l’Euzière : « La lycose de Narbonne compte parmi les plus grosses araignées de France. On la prend fréquemment pour une mygale mais elle appartient à la famille des tarentules. Elle est assez répandue, surtout en garrigue, et possède deux gros crochets pour injecter son venin, douloureux mais peu dangereux pour l’homme. Elle confectionne, à la surface du sol, des pièges en forme de chaussette avec un capot circulaire recouvert de terre et qu’elle tient fermé. Elle laisse dépasser deux pattes et, dès qu’elle sent quelque chose, elle surgit, capture sa proie et la tire dans sa cachette. » La veuve noire est également présente chez nous. Dotée de grandes pattes, beaucoup moins poilue que la précédente, elle possède un abdomen noir un peu allongé marqué de quelques taches rouges. Potentiellement dangereuse mais peu agressive, elle se loge dans les anfractuosités des murs. La couleuvre de Montpellier, le plus grand serpent de France, peut atteindre 2,40 m. La population de ce serpent vif mais inoffensif est en régression, car fréquemment victime des voitures. Enfin, le scorpion languedocien, de couleur jaune, venimeux, se trouve à proximité des habitations. Source: http://berry-aspas.spaces.live.com/blog/cns!B16A79AF69A1A06C!18325.entry
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Les lucioles mâles synchronisent leur luminescence pour mieux séduire Les lucioles mâles synchronisent leur luminescence de manière à ce que les femelles puissent mieux détecter leur message amoureux et choisir le partenaire idoine, selon une étude publiée jeudi. Depuis des décennies les entomologistes se demandaient pourquoi certaines espèces de lucioles "clignotent" de manière synchronisée, avec de vastes groupes d'insectes volant la nuit et émettant à l'unisson des flashs de lumière rythmés et à répétition, éclairant parfois toute une forêt. Les premières expériences conduites en laboratoire par des chercheurs américains ont levé le voile sur ce mystère en révélant que ce phénomène maintient la capacité des lucioles femelles à repérer les mâles. Un grand nombre d'observations scientifiques ont été faites sur ce phénomène des flashs luminescents synchronisés des lucioles mais jusqu'à présent "personne n'avait testé en laboratoire l'hypothèse selon laquelle il s'agissait ou pas d'une fonction biologique", relève Andrew Moiseff, un entomologiste de l'Université du Connecticut (nord-est), principal auteur de cette étude parue dans la revue américaine Science datée du 9 juillet. Les lucioles, qui sont une variété de coléoptères, produisent une bioluminescence afin de s'accoupler. Pour ce faire les mâles émettent des signaux luminescents selon une partition spécifique à leur espèce alors qu'ils volent à la recherche de femelles, précise le chercheur. Ces signaux consistent en un ou plusieurs flashs suivis par une pause très caractéristique durant laquelle les lucioles femelles, perchées sur des feuilles ou des branches, produisent un seul flash lumineux en guise de réponse si elle repère un mâle jugé attrayant, poursuit-il. Les expériences en laboratoire ont montré que les femelles répondaient dans plus de 80% des cas quand les flashs luminescents étaient émis à l'unisson ou presque. Mais quand ils n'étaient pas synchronisés, la réponse des femelles était de 10% ou moins. "Quand de nombreux lucioles mâles émettent en même temps une grande densité de signaux luminescents, il est très difficile pour les femelles de reconnaître les caractéristiques des signaux luminescents émis par les mâles de leur espèce", observe Andrew Moiseff. "Mais si les lucioles mâles synchronisent leurs flashs luminescents, ils peuvent maintenir la grande précision de leurs signaux en présence de nombreux autres mâles", poursuit-il. Pour cette recherche ces entomologistes ont collecté des lucioles femelle de l'espèce des Photinus carolinus venant du parc national des "Smoky Mountains" dans le Tennessee (sud). Dans le laboratoire, ils ont exposé ces lucioles femelles à des diodes électroluminescentes imitant la fréquence des émissions lumineuses des mâles à l'unisson et aussi de façon désordonnée. "Les lucioles ont des têtes et des cerveaux minuscules mais sont capables de choses complexes et étonnantes", s'émerveille Andrew Moiseff qui s'intéresse particulièrement dans ses recherches au rôle joué par la physiologie animale pour déterminer l'évolution. Source: http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5iUg4KVzuRal8KdKe7R2QriTWL84g Article: http://www.sciencemag.org/cgi/content/abstract/329/5988/181
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Voici un sujet abordé sur un site de conseil juridique... Je suis bailleur d’un logement dont les locataires ont acquit un serpent qui se trouve dans un vivarium.Je ne peux préciser si il le font sortir ou pas ,en tout cas pas devant moi. l’arrête du 11 aout 2006 fixant la liste des animaux domestiques ne prévoit pas de reptiles dans son annexe ,art R411.5 et R413.8 du code de environnement. je ne souhaite pas que cet animal reste dans les murs, que puis je faire? merci d’avance de votre réponse salutations J'attends les réponses des avocats...
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Faits divers concernant les ophidiens
askook a répondu à un(e) sujet de Reptile-city62 dans Serpents
Un python royal se promène dans les rues de Rodange (Luxembourg) RODANGE - Un serpent de 1,10 mètre s'est enfui jeudi matin de son terrarium. L'animal, non vénimeux et non dangereux, selon la police, est actuellement en liberté. La panthère noire qui avait tant fait parler d'elle en début d'année n'est désormais plus seule à se promener dans la nature. L'animal a été rejoint, jeudi, par un python royal. Échappé de son terrarium vers 10h15, le serpent de 1,10 mètre de long a été aperçu rue de la Terre Noire. Selon la police, contactée par lessentiel.lu, les recherches ont été abandonnées vers 12h, l'animal ayant pris la fuite à proximité de la forêt. La police a tenu à préciser que le serpent n'était aucunement dangereux pour les promeneurs. Source: http://www.lessentiel.lu/news/luxembourg/story/26717708 -
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Faits divers concernant les ophidiens
askook a répondu à un(e) sujet de Reptile-city62 dans Serpents
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Etre sur le terrain ou être terrario ?
askook a répondu à un(e) sujet de Chance-reptil-virus dans Divers
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Etre sur le terrain ou être terrario ?
askook a répondu à un(e) sujet de Chance-reptil-virus dans Divers
Il est tout à fait possible de vivre la terrariophilie sans qu'elle soit "pourrie" par l'argent. Si tu prends une passion pour gagner de l'argent, alors là c'est foutu. Si tu as une passion pour le plaisir et que tu fais attention à bien la séparer de l'argent, alors là c'est gagné. C'est ce que je fais depuis des décennies. Pour moi cela a été facile, je ne porte aucun intérêt à l'argent... -
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Du venin de scorpion comme alternative aux pesticides On savait que les coccinelles et certaines variétés de guêpes permettent de lutter efficacement contre les insectes indésirables dans nos cultures (pucerons, pyrale du maïs…). Voici qu’un chercheur de l’université de Tel Aviv se lance dans un autre défi écologique: utiliser du venin de scorpion pour fabriquer des pesticides alternatifs. Des chercheurs de l’université de Tel Aviv placés sous la direction du professeur Michael Gurevitz ont entrepris d’étudier les propriétés du venin de scorpion. Leur but? Développer un nouveau mode de lutte écologique contre les insectes ravageurs de cultures. Pour parvenir à leurs fins, les scientifiques ont isolé des séquences génétiques des neurotoxines présentes dans le venin du scorpion et ont ensuite réussi à mettre au point une méthode génétique permettant de transformer et de manipuler ces neurotoxines et de les transformer en bactéries. Par cette manipulation, les scientifiques espèrent limiter la toxicité de ces poisons à certains insectes nuisibles comme les lépidoptères ou les mouches, évitant ainsi des effets indésirables sur les insectes et ! sur les animaux utiles à l’environnement. A terme, cette alternative pourrait remplacer les produits traditionnellement utilisés en agriculture, comme les dérivés synthétiques de la pyréthrine dont le spectre de toxicité est très large ou d’autres produits phyto-sanitaires dont la toxicité est encore plus problématique. Source: http://www.terredisrael.com/wordpress/?p=23030
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Une tortue sauvée par le commandant Cousteau relachée
askook a posté un sujet dans Tortues - Crocodiles
Une tortue sauvée par le commandant Cousteau embarque sur le MSC Magnifica MSC Cruises a transporté une passagère très particulière à bord du bord du MSC Magnifica. Du 27 au 29 juin, le paquebot a accueilli à son bord Isabel, une tortue de mer sauvée il y a quarante ans par Jacques Cousteau. Isabel. Après avoir passé 30 ans à l'aquarium de Stuttgart, l'animal, long de 1 mètre, avait été transféré à la Stazione Zoologica Anton Dohrn de Naples. Plutôt que de la laisser en captivité jusqu'à la fin de sa vie, il a été décidé de tenter de relâcher Isabel dans son élément naturel. A l'occasion de l'année internationale de la biodiversité, MSC Cruises s'est impliqué dans l'opération en assurant le « convoyage » de la tortue entre l'Italie et la Turquie. Durant ses deux jours à bord du Magnifica, Isabel a fait l'objet de toutes les attentions, deux zoologistes italiens la suivant sur le navire et la présentant aux passagers, expliquant les enjeux de l'opération. Partie de Bari, la tortue est arrivée à Izmir, où elle a été remise aux spécialistes de l'université de Pamukkale. Ces derniers seront chargés de la relâcher sur la plage d''Iztuzu, l'un des trois sites protégés pour tortues de mer en Turquie. Equipée d'un petit émetteur satellite, Isabel continuera d'être suivie par les scientifiques, permettant ainsi d'enrichir les connaissances sur cette espèce. Source: http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=113592 -
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Dromicodryas Boulenger, 1893 Dromicodryas bernieri (Duméril, Bibron & Duméril, 1854) Synonymes Herpetodryas Bernierii Duméril & Bibron, 1854 Herpetodryas bernieri var. trilineata Boettger, 1877 Dromicodryas bernieri Boulenger, 1893 Dromicodryas bernieri ramavali Kaudern, 1922 Liopholidophis pseudolateralis Guibé, 1954 Dromicodryas bernieri Glaw & Vences 1994 Répartition géographique Afrique Madagascar, île de Nosy Bé Portrait Photo pour illustration. Source: google