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askook a répondu à un(e) sujet de Chance-reptil-virus dans Vos P'tits Virus
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Le nouveau pont de Volgograd, sur le fleuve la Volga, en Russie, vient d'offrir un spectacle ahurissant aux usagers de la route: il s'est soudain et dangereusement mis à onduler, comme porté au gré du vent, provoquant la panique et des embarras de circulation sur sept kilomètres. "Je roulais vers la maison quand ma voiture, sur le pont, a commencé à sautiller comme une balle!", s'exclame, pétrifié, un témoin dans le Moscow Times. Le sol du pont a ainsi ondulé pendant près d'une demi-heure, de haut en bas. Pas de blessé Le pont, qui paraît soudain bien fragile, n'est pourtant ouvert au public que depuis huit mois. Heureusement, aucun blessé n'est à déplorer sur les lieux de ces faits étonnants, mais la qualité de la construction du pont est désormais fortement remise en question. Le président Medvedev a d'ailleurs lancé une enquête sur la question. Giprotransmost, le constructeur, n'était pas disponible pour commenter l'incident insolite. Rafales Après vingt minutes de terreur, la police a pu fermer la passerelle. Une première inspection du pont n'a révélé aucun défaut ni dégât sur celui-ci. Même la peinture ne présenterait aucune fissure. Selon le ministre des transports, le pont - qui a exigé un coût de plus de 300 millions d'euros et treize années pour voir sa construction achevée - a pu subir ce phénomène étonnant suite à d'importantes rafales de vent. On attend avec impatience l'explication scientifique exacte de cet événement. Source:http://www.7sur7.be/7s7/fr/1506/Sciences/article/detail/1109468/2010/05/24/Un-pont-russe-ondule-comme-un-elastique-video.dhtml
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Il existe 6 espèces pour le genre Bombina. Bombina bombina (Linnaeus, 1761) Bombina lichuanensis Ye et Fei, 1993 Bombina maxima (Boulenger, 1905) Bombina orientalis (Boulenger, 1890) Bombina pachypus (Bonaparte, 1838) Bombina variegata (Linnaeus, 1758) Bombina fortinuptialis et Bombina microdeladigitora sont des synonymes de Bombina maxima Toutes les espèces du genre Bombina sont soumises au CDC (voir arrêté Perret du 10 août 2004). Extrait concernant les amphibiens. ESPÈCES DONT LA DÉTENTION NE PEUT ÊTRE AUTORISÉE, sauf dérogation accordée pour certaines à titre transitoire, qu’au sein d’un établissement d’élevage ou de présentation au public d’animaux d’espèces non domestiques autorisé conformément aux articles L. 413-2 et L. 413-3 du code de l’environnement à détenir des animaux de l’espèce considérée Amphibiens Caudata. Cryptobranchidés spp. Salamandres géantes. Protéidés spp. Protées et nectures. Triturus spp. Tritons. Taricha spp. Tritons rugueux. Dicamptodontidés spp. Salamandres géantes du Pacifique. Amphiumidés spp. Salamandres anguilles. Sirénidés spp. Sirènes. Gymnophiona. Rhinatrématidés spp. Céciliens à longue queue. Ichthyophiidés spp. Céciliens-poissons. Uraeotyphlidés spp. Céciliens-cobras. Scolécomorphidés spp. Céciliens-vers d’Afrique. Cécilidés spp. Céciliens-vers. Typhlonectidés spp. Céciliens aquatiques. Anura. Léiopelmatidés spp. Grenouilles à queue. Pipidés sauf Pipa spp. Discoglossidés spp. Discoglosses, crapauds sonneurs. Rhinophrynidés spp. Crapauds fouisseurs du Mexique. Pélobatidés spp. Pélobates, crapauds à couteau. Pélodytidés spp. Pélodytes, grenouilles persillées. Sooglossidés spp. Grenouilles des Seychelles. Rana spp. Hyla spp. sauf Hyla cinerea. Rainettes sauf rainette cendrée. Héléophrynidés spp. Grenouilles spectres. Allophrynidés spp. Grenouilles arboricoles des Guyanes. Brachycéphalidés spp. Crapauds ensellés. Rhinodermatidés spp. Grenouilles à nez pointu. Même si depuis, le genre Bombina a changé de famille. De la famille des Discoglossidae, les "crapauds sonneurs" sont passés dans la famille des Bombinatoridae, cela ne change pas leurs législation.
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Pour connaître les localités du Morelia viridis, tu devrais, en premier, étudier la répartition géographique de cette espèce. Les localités ne sont que le nom d'une île ou d'une ville où est collecté des Morelia viridis. Voici des cartes sur la répartition géographique du Morelia viridis. Illustrations issues de ggogle. PS/ Irian jaya se nomme depuis 2000 Nouvelle-Guinée occidentale Voici quelques localités (n'étant pas un spécialiste du Morelia viridis, elles ne seront surement pas toutes là). - Aru - Biak - Cap-York - Jayapura - Karubaga - Kofiou - Lereh - Merauke - Sorong - Yapen
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Des chercheurs munichois dévoilent certains secrets de fabrication des fils d'araignée La soie produite par les araignées est un matériau fascinant : ses fils sont 5 fois plus résistants que l'acier et 3 fois plus que les meilleures fibres synthétiques. Pourtant personne ne connait encore les secrets de fabrication de ces super-fils aux propriétés étonnantes. Des chercheurs de l'Université de Bayreuth (UBT) et de l'Université technique de Munich (TUM) dévoilent dans un article de la revue Nature du 13 mai 2010 certains des mécanismes à l'origine des fils d'araignée. Comme l'explique Horst Kessler, professeur à l'Institut d'études avancées de l'Université technique de Munich (TUM-IAS), les fils d'araignée ont une élasticité et une résistance extrêmes que l'on n'arrive pas à reproduire dans les fibres pures de protéines de soie d'araignées synthétisées en laboratoire. Comment l'araignée arrive-t-elle à produire ces fils en une fraction de seconde à partir des protéines de soie stockées dans ses filières? Les fils d'araignée sont constitués de molécules de protéines, qui sont en fait de longues chaines elles-mêmes constituées de milliers de "briques" : les acides aminés. Des analyses par diffractométrie à rayons X montrent que les fils se structurent en différents domaines, certains sont très stables grâce à des liaisons physiques entre les protéines, d'autres ne présentent pas ces réseaux denses et confèrent l'élasticité aux fils d'araignée. Dans les filières, les protéines de soie sont stockées dans une solution à des concentrations très élevées, et de manière à ce qu'elles ne s'agrègent pas. Afin de comprendre les mécanismes de formation des fils, les chercheurs ont analysé la solution des filières par des méthodes d'imagerie par résonance magnétique nucléaire (IRM). En collaboration avec la chaire de biomatériaux du professeur Thomas Scheibel à l'Université de Bayreuth (Bavière), ils ont pu identifier des éléments moléculaires impliqués dans les mécanismes de formation des fils, et décrire leur structure et leur mode d'action. Ces résultats ont permis de développer une sorte de filière artificielle grâce à des technologies de microsystème au laboratoire de physique de l'Université technique de Munich (TUM). Les scientifiques de Bayreuth poursuivent actuellement le développement de ce système biomimétique en collaboration avec un industriel. Les applications seraient nombreuses, de fils de suture pour des opérations médicales aux fibres techniques dans le secteur de l'automobile. Source: http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/63397.htm Article: http://www.nature.com/nature/journal/v465/n7295/full/nature08936.html
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Oreocryptophis porphyracea laticincta
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Vos P'tits Virus
Ce n'est pas ce que je dirai. Ce genre possède une réputation de serpent difficile à maintenir qui n'est pas justifiée à mon avis. Les spécimens ne posent aucun soucis d'alimentation, leur maintenance n'est pas compliqué ne demandant pas de paramètres impossibles à obtenir et la reproduction en captivité est courante. J'ai commencé une fiche d'élevage que je posterai d'ici quelques temps... Tout terrariophile ayant une vraie envie de maintenir des spécimens du genre Oreocryptophis et se donnant les moyens, peut y arriver... Oreocryptophis porphyracea ssp sont bien plus faciles à maintenir que Euprepiophis mandarinus. Le seul point délicat est effectivement la chaleur. Pour les terrariophiles du sud, c'est plus compliqué mais pas impossible. Mes "coxi" viennent de Corse... -
Le crocodile de l'Orénoque, espèce en danger sauvée par le marketing ? Michel Lacoste tient fièrement dans sa main vingt centimètres de vie témoignant de l'histoire de la Terre il y a des millions d'années: ce bébé crocodile de l'Orénoque (Colombie), en danger d'extinction, devra peut-être sa survie en liberté à une belle opération de marketing. Début mai, l'entrepreneur textile et fils du fondateur de la marque au croco, est venu à la rencontre de ce reptile, élevé en captivité en Colombie, l'un des dix pays au monde comptant la plus grande biodiversité, dont la journée mondiale se célèbre samedi. Le crocodile de l'Orénoque - bassin du fleuve du même nom traversant le Venezuela et la Colombie - est une espèce symbolique de ce pays, peuplant encore les chansons traditionnelle des "llanos" (plaines, ndlr) à l'est de la cordillère des Andes. L'impressionnante taille de ce carnivore aux 68 dents, à la peu grise ou jaunâtre - il peut mesurer jusqu'à sept mètres - ses rugissements et son caractère agressif effrayent les villageois, mais sa survie est indispensable. "Il est au sommet de la chaîne" de l'écosystème du fleuve de l'Orénoque et de ses affluents explique Willington Martinez, spécialiste du reptile: "c'est le plus grand prédateur" et il régule ainsi l'abondance de beaucoup d'espèces, notamment d'amphibiens et de plus petits caïmans. "Lorsqu'il est présent les rivières ont plus de poissons". Au début des années 1960 ils étaient encore nombreux et appréciés par les maroquiniers pour leur peau douce. "On vendait en Colombie un millier de peaux par jour", témoigne ce scientifique de la Station de biologie tropicale Roberto Franco de Villavicencio, s'occupant de la préservation de cette espèce. Mais rares sont désormais les spécimens en liberté, après des années de chasse intensive, interdite en 1968, et de déforestation. Selon une étude remontant à l'an 2000, seule une centaine de ces crocodiles ont pu être observés, explique Antonio Castro, coordinateur en Colombie de Chelonia, ONG espagnole qui tente de recenser cette population, classée dans la liste rouge des espèces gravement en danger d'extinction par l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Depuis le début des années 1990 dix couples ont donné naissance, en captivité, à environ 500 spécimen que la station Roberto Franco tentera de réintroduire dans leur habitat naturel. Une occasion parfaite saisie par "Save your logo", fonds de dotation pour la biodiversité créé en France proposant aux grandes marques de s'engager pour l'animal de leur logo. Lacoste a été le premier à se laisser séduire par Save your Logo, finançant Chelonia à hauteur de 150.000 euros sur trois ans notamment pour recenser les crocodiles de l'Orénoque. "Le crocodile (...) a été le surnom de mon père quand il jouait au tennis, et si nous pouvons rendre un petit peu au crocodile tout ce qu'il nous a apporté cela serait dommage de ne pas saisir l'occasion", a déclaré Michel Lacoste à l'AFP. Lacoste promet qu'il ne s'agit pas d'user ainsi "d'un support de communication" pour sa marque, mais de faire preuve de "responsabilité citoyenne". "Nous n'allons pas mettre des crocodiles empaillés dans chaque vitrine", ironise-t-il. Une fois l'étude terminée les scientifiques devront encore convaincre les habitants de l'Orénoque d'accepter le retour de ces reptiles. "Les gens les voient toujours comme une menace. Ils racontent que les crocodiles poursuivent leurs embarcations", explique Willington Martinez. Il faudra les "éduquer", leur expliquer qu'il ne s'agit que de femelles qui protègent leurs territoires. Chelonia espère aussi que sa réintroduction créera des emplois de pêcheurs en enrichissant la faune de la région et attirera les fans de l'écotourisme. Source: http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5g2f8nwAdu6gxFlaZ0A9ghxsr2KVg
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Oreocryptophis porphyracea laticincta
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Vos P'tits Virus
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Oreocryptophis porphyracea laticincta
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Vos P'tits Virus
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Spipoll, le Facebook des insectes pollinisateurs Sur Spipoll, un site lancé vendredi 21 mai, tous les amateurs sont invités à poster leurs photos d'insectes pollinisateurs. Le Muséum national d'histoire naturelle souhaite ainsi faciliter le travail des chercheurs. Spipoll-pour Suivi Photographique des Insectes POLLinisateurs- est un projet lancé vendredi 21 mai par le Muséum d'histoire naturelle de Paris, qui souhaite faire participer les citoyens aux recherches sur les insectes. En cette année 2010 de la biodiversité et la veille de la journée internationale de la biodiversité (le 22 mai), Spipoll tombe à pic: les insectes pollinisateurs sont d'excellents reflets de la biodiversité. Cette initiative fait aussi écho à la diffusion, mardi 18 mai, du documentaire sur "le mystère de la disparition des abeilles", sur Arte 100 000 photos fin 2010? Pour Romain Julliard, l'iniateur de ce projet, Spipoll "se focalise sur la nature ordinaire, qui assure le fonctionnement de l'écosystème". Le concept est simple et chacun peut participer à Spipoll. Il suffit de prendre son appareil et se poster une vingtaine de minutes devant une fleur pour photographier chaque type d'insectes qui vient la butiner, puis de mettre les images en ligne sur le site dédié. Grâce à une "clef de détermination" spécifiquement créée pour Spipoll, les participants identifient les espèces photographiées. "La diversité des insectes est énorme, il faut beaucoup de points d'observation, or il y a peu de spécialistes", explique Romain Julliard. Cette collection de photos sera utile aux chercheurs pour déterminer l'évolution des populations d'insectes pollinisateurs. Le recours aux photographes amateurs est donc très précieux pour dresser l'état de santé des pollinisateurs. Les chercheurs pourront aussi étudier les populations suivant la géolocalisation (centre-ville ou campagne, champ ou réserve naturelle). L'OPIE (Office pour les insectes et leur environnement), cocréateur de Spipoll, espère atteindre les 100 000 photos déposées sur le site d'ici la fin de l'année. Les pressions sur les pollinisateurs comme le réchauffement climatique ou les pratiques agricoles provoquent un déclin de ces insectes qui inquiète les chercheurs. Source: http://www.lexpress.fr/actualite/environnement/spipoll-le-facebook-des-insectes-pollinisateurs_893354.html
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Spipoll (Suivi Photographique des Insectes POLLinisateurs) Projet de sciences participatives, le SPIPOLL a pour but d’obtenir des données quantitatives sur les insectes pollinisateurs et/ou floricoles en mesurant les variations de leur diversité et celles de la structure des réseaux de pollinisation, sur l’ensemble de la France métropolitaine. http://www.spipoll.org/