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Leioheterodon madagascariensis (Duméril, Bibron & Duméril, 1854) Synonymes Heterodon madagascariensis Dyuméril & Bibron, 1854 Anomalodon madagascariensis Jan, 1865 Lioheterodon madagascariensis Boulenger, 1893 Leioheterodon madagascariensis Glaw & Vences, 1994 Répartition géographique Afrique Madagascar, îles de Nosy Bé et Nosy Sakatia, Archipel des Comores. Portrait Photo pour illustration. Source: google
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Des chercheurs du groupe Conservation International établissant l’inventaire de la faune en Indonésie ont récemment découvert une espèce inconnue de grenouille au long nez (Litoria sp). Ces scientifiques ont annoncé lundi avoir découvert de nouvelles espèces lors d'une expédition menée en 2008 en Indonésie. Sa découverte fut un heureux hasard, après que l'herpétologue Paul Oliver la repère installée sur un sac de riz dans le camping. Après vérification, il s'est avéré que la grenouille, surnommée Pinocchio par les scientifiques à cause de son long nez, était une espèce inconnue. Lorsque le batracien émet des coassements, son appendice nasal pointe vers le haut, mais il se dégonfle quand l'animal est moins actif. Source: http://planetesolidaire.blogspot.com/2010/05/de-nouvelles-especes-animales.html Article: http://www.conservation.org/newsroom/pressreleases/Pages/New_Species_in_Foja_Mountains.aspx
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Madagascar est sanctionné par un moratorium de 6 mois Lors de la 15ème conférence des parties sur la convention CITES sur le commerce des espèces menacées qui s’est tenue à Qatar du 13 au 25 mars dernier, Madagascar a été notifié d’un moratorium de 6 mois, allant jusqu’au 30 septembre, qui suspend le commerce de tous les produits issus du crocodile, qu’ils proviennent des fermes ou des artisans. Cette suspension aura un impact considérable sur le secteur qui est déjà affecté par la crise actuelle, particulièrement suite à la baisse de fréquentation des touristes. Par ailleurs, les importateurs vont se tourner vers d’autres pays fournisseurs. Il est à espérer que cette situation devrait permettre à toutes les parties prenantes dans la filière, des autorités de tutelle aux collecteurs sur terrain, de se rapprocher et de travailler ensemble dans la transparence, pour une meilleure gestion durable de cette espèce. Si elle était bien gérée, la filière crocodile apporterait des bénéfices économiques considérables pour tous ceux qui y sont impliqués et, partant, pour le pays. Le prix du centimètre de peau de crocodile sur le marché international peut atteindre 4 USD, selon la qualité. En 2007 par exemple, les produits dérivés du crocodile apportaient plus de 13 millions d’Ariary en redevances à l’Etat, ce qui représente plus de 28% des redevances totales venant du commerce des espèces sauvages (faune et flore), sur un chiffre d’affaire de plus de 1,4 milliards d’Ariary. Espèce protégée La population de crocodiles du Nil (Crocodylus niloticus) de Madagascar est inscrite à l’Annexe II de la CITES, la convention internationale des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction. À l’heure actuelle, ces animaux ne sont pas nécessairement menacés d’extinction, mais ils risquent de disparaître de nos rivières si le commerce dont ils font l’objet n’est pas contrôlé strictement. D’une manière générale, le commerce international des spécimens des espèces inscrites à l’Annexe II peut être autorisé, mais doit faire l’objet d’un permis d’exportation ou d’un certificat de réexportation. Manque de contrôle Pour le cas de Madagascar, le problème se situe à deux niveaux. Le premier se rapporte à l’élevage en ranch. En effet, il est stipulé que toutes les parties devraient interdire le commerce des produits issus d’un tel établissement d’élevage, à moins que ce commerce respecte la réglementation en la matière. La raison en est que cet élevage en ranch pourrait servir à dissimuler ou à blanchir des peaux de crocodiles adultes capturés dans la nature. Quant au second point, il se rapporte sur les lacunes constatées concernant le suivi des populations de crocodiles du Nil à Madagascar. Il a été constaté que la supervision et le contrôle des fermes d’élevage étaient insuffisants, et que cet état de chose favorisait les abus. Par ailleurs, les informations sur l’état du stock dans la nature ne sont pas disponibles pour bien asseoir les quotas de commerce annuel. Dans ses recommandations, la CITES avait alors suggéré que la Stratégie et plan de gestion des crocodiles de Madagascar, préparée en 2004, devrait être actualisée puis appliquée d’une manière effective. Par ailleurs, des recommandations spécifiques sur le programme d’élevage en ranch de Madagascar ont formulées, et qui ont, notamment, amené à la suspension temporaire des exportations de spécimens de C. niloticus provenant de l’un des établissements existant dans le pays. Un plan d’action de trois ans (2007-2010) avait été établi pour améliorer la gestion du crocodile à Madagascar, a indiqué Tiana Ramahaleo, coordonateur du programme sciences de la conservation et espèces, au WWF Madagascar et Océan Indien Occidental. Dans le cadre de ce plan, des travaux de recherche sur terrain pour mieux comprendre l’abondance et les exploitations de crocodile le long des rivières historiquement riches en crocodile ont été commissionnés par WWF, a-t-il dit. « Ces travaux ont montré que le long de la Mahavavy, on trouve à peine un crocodile par km de rivière. La situation est un peu meilleure le long des rivières Soahany et Manambaho, ainsi que leurs affluents, où l’abondance relative atteint jusqu’à 5 individus par km. Sur une centaine de crocodiles recensés, la taille est estimée à 3 pieds au maximum, ce qui veut dire que les crocodiles de grande taille font l’objet d’une chasse très active dans les sites étudiés. L’autre explication aussi est que due à la pression de chasse très forte, les grands individus sont devenus très méfiants et se cachent facilement », a conclu Tiana Ramahaleo. La chasse Ces données contredisent la perception générale qui indique que les crocodiles sont encore en nombre à Madagascar. En fait, une telle perception est souvent alimentée par les attaques qui sont souvent l’œuvre d’un nombre limité d’individus dangereux. Au cours du dernier trimestre 2009, des études ont été menées dans la Région du Melaky, par une équipe du Département de biologie animale de l’université d’Antananarivo. Les attaques existent bel et bien dans les sites visités où les communautés sont très exposées à ces animaux. Ainsi, le long de la rivière Mahavavy, 5 personnes sont mortes suite aux attaques de crocodile en 2008. Dans les zones traversées par les rivières Manambaho et Soahany, 8 personnes ont été tuées, et plus d’une vingtaine blessées. Les communautés paient un lourd tribut économique à cause des crocodiles car dans les sites visités, les crocodiles tuent plus d’une cinquantaine de bœufs par an, par endroit. Selon Andry Malalan’Ny Aina Rakotondrazafy, membre national du Groupe des Spécialistes des Crocodiles, « l’esprit qui prévaut généralement est de considérer tous les crocodiles comme dangereux et que, de ce fait, ils devraient être tués. Ceci est exacerbé par le fait que la culture protectrice des crocodiles est en train de disparaître dans plusieurs régions de Madagascar », a-t-il poursuivi. « Les conséquences sont dramatiques pour les populations de crocodiles car des individus encore très jeunes sont tués, et des œufs sont détruits systématiquement. La plupart du temps, la chasse est effectuée par des chasseurs spécialisés venant d’autres régions, et les communautés locales ne perçoivent généralement pas les retombées économiques des ventes des produits du crocodile », a-t-il conclu. Sur une portion de la rivière de Soahany, l’équipe a recensé une douzaine de nids sur une portion de un kilomètre. C’est une zone de collecte d’œufs destinés à une ferme installée à Antananarivo, une collecte de 2,000 œufs environ, par an, au cours des cinq dernières années. Quant au nombre de chasseurs, ils se comptaient par centaines dans les années 80 et 90, mais, aujourd’hui, ils ne sont que trois. La plupart se sont reconvertis dans d’autres activités, car les prix des peaux vertes ont considérablement chuté. Source: http://www.madagascar-tribune.com/Sanctionnees-par-un-moratorium-de,14076.html
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Crocodylus porosus pullule sur l’île papoue de Nouvelle-Bretagne L’augmentation sensible de la population de crocodiles d’eau de mer (Crocodylus porosus) dans la province insulaire papoue de Nouvelle-Bretagne orientale inquiète de plus en plus les autorités locales. La dernière victime d’une attaque de l’un de ces reptiles a été signalée début mai. Il s’agissait d’un villageois de la tribu Mungo, qui a été emporté par un crocodile alors qu’il se baignait dans la rivière Lark toute proche, rapporte mardi le quotidien papou The National, citant un agent du service provincial de l’environnement, Luke Waipo. Ce dernier ajoute que tout près du chef-lieu de cette province, la ville de Rabaul, au pied d’un des deux volcans qui flanquent la ville, le Vulcain, se trouve un lac, lui aussi infesté de crocodiles. Tout proche de ce lac : le village des Karavia, dans le district de la Gazelle. Selon cet agent, plusieurs personnes ont déjà signalé la perte d’animaux de taille très respectables, comme des chiens et des cochons, happés par des crocodiles. Encore plus proche de la ville, sur l’une de ses plages, un autre crocodile a été découvert il y a deux semaines, suscitant un avis des autorités appelant la population et surtout les enfants à la plus grande prudence, surtout lorsqu’ils s’adonnent à des activités de pêche, de collecte de coquillages et de baignade. « Tout comme sur l’île de Manus et celle de Nouvelle-Irlande, les crocodiles de mer de la Nouvelle-Bretagne orientale sont agressifs, surtout lorsqu’ils protègent leurs petits », a rappelé l’agent gouvernemental, qui rappelle que ces huit dernières années, non seulement de nombreux animaux mais aussi douze personnes ont été attaquées dans cette même région et qu’au moins deux d’entre elles n’y ont pas survécu. Les crocodiles de mer sont aussi aperçus à intervalles régulier plus au Sud de la Papouasie-Nouvelle-Guinée, dans la partie Nord de l’Australie, aux îles Salomon et jusqu’au Nord de l’archipel voisin de Vanuatu où leur chasse a longtemps alimenté un commerce florissant de cuir. Source:http://www.tahiti-infos.com/Les-crocodiles-pullulent-sur-l-ile-papoue-de-Nouvelle-Bretagne_a3277.html
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Une nouvelle étude génétique du Royaume-Uni offre aux évolutionnistes un rebondissement dans le domaine de la biodiversité. Les lézards provenant d'une même île mais vivant dans des habitats différents bien qu'adjacents s'accouplent moins avec des espèces indigènes que les lézards provenant d'îles différentes. Les résultats de cette étude s'inscrivent dans le cadre du projet SPECIATION FACTORS («Testing the relative importance of factors in speciation: the Martinique Anoles»), financé à hauteur d'environ 160 000 euros au titre du programme Marie Curie du sixième programme-cadre (6e PC). Les résultats, publiés dans la revue Public Library of Science (PLoS) Genetics, apportent des informations sur le rôle de l'isolation géographique dans la spéciation. Des années durant, des scientifiques ont mené des études évolutives sur les îles partout dans le monde, telles que l'Indonésie, l'Asie, et les îles Galápagos au large des côtes d'Amérique du Sud. Ces îles ont permis aux chercheurs de déterminer la théorie conventionnelle sur la spéciation allopatrique, selon laquelle des populations proches sont isolées géographiquement, limitant ainsi les échanges génétiques entre les groupes. La Martinique (aux Antilles) telle que nous la connaissons aujourd'hui est composée d'un certain nombre d'îles anciennes qui se sont unifiées en une seule terre récemment. D'après les données phylogéniques et géologiques, ces îles hébergeaient des espèces de lézards arboricoles (anolis) depuis six à huit millions d'années. «Au cours des 150 dernières années, depuis l'étude de Darwin sur des îles et son 'Origine des espèces', l'archipel de l'île a joué un rôle important dans la compréhension de l'évolution et de la spéciation des espèces», commentent les auteurs. «Les îles représentent la vision traditionnelle de la spéciation allopatrique géographique, où les génomes divergent en raison de l'isolement jusqu'à ce que les différences accumulées provoquent un isolement reproductif et la permettent de coexister sans croisement». Le professeur Roger Thorpe de l'école de sciences biologiques de l'université Bangor au Royaume-Uni et ses collègues ont testé génétiquement les lézards en vue d'étudier leur isolement reproductif. L'utilisation de marqueurs génétiques neutres a permis de déterminer si les lézards échangeaient librement leurs gènes entre espèces et n'agissent pas comme s'ils provenaient d'espèces distinctes. De plus, selon les chercheurs, l'isolement génétique est plus important entre congénères d'habitats différents qu'entre lézards provenant d'îles anciennes distinctes. «Effectivement, l'isolement génétique est renforcé entre populations adjacentes de la même espèce mais d'habitats différents qu'entre allo-espèces supposées séparées provenant d'anciens environnements communs», commentent les auteurs. «Cela réfute la théorie de la spéciation allopatrique dans une étude de cas d'un système sensé l'exemplifier, et démontre l'importance de la spéciation écologique.» Quant aux prochaines étapes, le professeur Thorpe expliquait: «Nous tenterons d'identifier les gènes contrôlant les traits influençant le processus de spéciation.» Source: http://cordis.europa.eu/fetch?CALLER=FR_NEWS&ACTION=D&SESSION=&RCN=32112 Article: http://www.plosgenetics.org/article/info:doi/10.1371/journal.pgen.1000929
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