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Pseudoxenodon karlschmidti Pope, 1928 Sous-espèces - Pseudoxenodon karlschmidti karlschmidti Pope, 1928 - Pseudoxenodon karlschmidti popei Gressitt, 1936 - Pseudoxenodon karlschmidti sinii Fan, 1931 Commentaire Pseudoxenodon karlschmidti sinii Fan, 1931 (publié en mai 1931) est préféré à Pseudoxenodon angusticeps sikiangensis Mell, 1931 (publié le 31 Juillet 1931) par Zao & Adler, 1993 Répartition géographique Asie Chine (Région du Guangxi; Provinces du Fujian, Guangdong, Guizhou, Hainan), Viêt Nam (Nord). Portrait Pseudoxenodon karlschmidti karlschmidti Photo pour illustration. Source: google
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Pseudoxenodon inornatus Boie, 1827 Sous-espèces - Pseudoxenodon inornatus inornatus Boie, 1827 - Pseudoxenodon inornatus buettikoferi Brongersma & Helle, 1951 - Pseudoxenodon inornatus jacobsonii Lidth de Jeude, 1922 Répartition géographique Asie Indonésie [île de Bornéo (Kalimantan) Java, Sumatra].
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Pseudoxenodon Boulenger, 1890 Pseudoxenodon bambusicola Vogt, 1922 Synonymes Pseudoxenodon melli Vogt, 1922 Pseudoxenodon bambusicola Smith, 1943 Répartition géographique Asie Chine (Région du Guangxi; Provinces du Fujian, Guangdong, Guizhou, Hainan), Viêt Nam (Tam Dao dans la province du Vinh Phuc). Portrait Photo pour illustration.Source: google
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Oreocryptophis porphyracea laticincta
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Vos P'tits Virus
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Faits divers concernant les ophidiens
askook a répondu à un(e) sujet de Reptile-city62 dans Serpents
Fin de cavale pour le python Le serpent a été capturé sain et sauf, à la Frescoule, après trois heures d'intervention. Récit En direct de la Frescoule, les experts tentent d'attraper le python qui s'est échappé...", commentent des adolescents, téléphone portable à la main, derrière le périmètre de sécurité mis en place par la police municipale, près de l'école Georges-Lapierre. "Eh viens! On fait une vidéo pour la mettre sur Facebook". Nul doute que, quelques minutes seulement après la capture du python de la Frescoule, les images circulaient déjà sur la Toile... pour le plus grand soulagement des habitants du quartier, venus en nombre, assister au spectacle. Il aura fallu pas moins de trois heures d'intervention, menée conjointement par les pompiers, les services techniques municipaux, la Société des eaux de Marseille (Sem) ainsi que deux entreprises privées, pour arriver à déloger le reptile, qui avait élu domicile dans une des canalisations du réseau des eaux usées de la Ville. "Refroidir" l'animal Il est 10h30, quand les agents du service réseaux et circulation, sous la houlette d'Alain Svetina, se mettent à la chasse de celui que nous avions surnommé le "python des toilettes", en référence à ses deux apparitions dans la cuvette de deux appartements du bâtiment Nº16, allée Philippe-Brocard. Entourés de Christophe Tardito et DE M. Capasso de la société BS Assainissement, mandatée par Domicil et le syndic Logicil, responsables de l'immeuble, les agents de la ville explorent les canalisations du bâtiment à l'aide de caméras, avant d'envoyer des fumigènes pour tenter de faire sortir le reptile. Mais rien. Le serpent a décampé. Autour de l'immeuble, ils soulèvent deux plaques d'égouts, puis sous la troisième, plus petite, appartenant au domaine public, surprise ! Le python est là, entouré sur lui-même. Alors que les habitants s'approchent doucement, ou observent depuis leur balcon, les accès à d'autres ramifications sont alors bouchés, dans l'attente de l'arrivée des pompiers. Pour eux, l'opération est délicate et inédite. Quelle solution employer pour déloger l'animal? La première envisagée semble la plus sûre. Une piqûre prodiguée par le vétérinaire pour endormir la bête et le sortir en sécurité. La seconde, le "refroidir" avec du dioxyde de carbone. Le temps joue contre les pompiers, car le vétérinaire ne peut se déplacer immédiatement. Ils décident d'appliquer leur méthode. Reste que le python, qui n'a pas apprécié ce coup de froid, s'est déroulé pour une fois encore se faire la malle, dans la canalisation. Maintenu un bon moment par la queue pour éviter qu'il ne s'échappe, un soldat du feu finit par lâcher prise. Il est près de midi. Arnaud, le héros Les discussions vont de plus en plus belle entre les différents intervenants. Que faire? Quel système employer désormais? Les riverains, eux, de plus en plus intrigués, posent nombre de questions qui font parfois sourire: "Ça y est, ils ont débouché le python?", lance un jeune garçon. D'autres préconisent, en rigolant, "de jeter un appât dans la canalisation, un chien ou un chat." Certains, plus expéditifs, "une balle dans la tête et on n'en parle plus..." L'heure tourne, le python erre dans la canalisation de plusieurs mètres de long. Personne ne sait à quelle hauteur il peut être. Un habitant, fan de photographie et ancien employé de zoo, propose de descendre dans la bouche d'égout pour tenter d'apercevoir quelque chose. Malgré le flash, le reptile se fait désirer. L'attente est longue. Sous un soleil de plomb, quelques ados provocateurs tentent de passer sous les bandes délimitant la zone. 13h20. L'entreprise d'assainissement Vilar arrive sur les lieux. Dans le même temps, d'autres policiers municipaux et parmi eux, Arnaud Duverne qui jouera un rôle essentiel par la suite. Les Vilar, père et fils, sont à la manoeuvre. La technique est simple: noyer la conduite puis ensuite procéder à l'autopression. Le serpent sous les eaux ne peut alors que refaire surface d'un côté ou de l'autre de la canalisation. Pendant ce temps, Arnaud Duverne, ancien gendarme spécialiste des forêts profondes s'équipe de gants et les pompiers se préparent à intervenir. Quelques minutes seulement après le début de cette tentative de la dernière chance, le reptile montre sa tête, à l'endroit même où il a été aperçu au départ. Arnaud Duverne est aux aguets. Alors que le python se montre à nouveau, il l'attrape et le sort d'un seul geste. Sain et sauf, le reptile sera conduit au zoo de la Barben. Le capitaine Demarle, de la caserne de Vitrolles, confiait qu'il était content de voir la situation rentrer dans l'ordre après une opération "délicate mais originale." Son propriétaire, toujours en déplacement hier, encourt des poursuites pour mise en danger de la vie d'autrui. Il devra également payer tous les frais qui incombent à la capture de son python qui a bien fini de terroriser les habitants du quartier. Source: http://www.laprovence.com/article/vitrolles/fin-de-cavale-pour-le-python Les photos de l'intervention: -
Ventoux : interpellé en train de capturer des insectes protégés Un homme originaire des Alpes-Maritimes a été interpellé par les agents du Service Départemental de l’Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage, le 5 juin dernier dans le massif du Mont Ventoux, révèle l'ONCFS. L'individu procédait à la capture illicite de Carabes dorés (Carabus auratus), un insecte rare et protégé, grâce à plusieurs pièges qui ont été saisis. Le Carabe doré est un insecte rare, qui bénéficie d’une protection intégrale par Arrêté Ministériel en date du 23 avril 2007 et dont l’habitat est également protégé par Arrêté Préfectoral de Biotope du 13 novembre 1990. Il risque six mois d’emprisonnement et 9 000 euros d’amende, les faits constituant un délit pénal. Source: http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/ventoux-interpelle-en-train-de-capturer-des-insectes-proteges
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A part les espèces dont je suis amoureux depuis mes débuts en terrariophilie (E. mandarina, Z. situla, L. aurora, O.porphyracreus) et qui représentent à mes yeux la beauté ophidienne, le choix des autres espèces que j'élève, est maintenant, souvent dû au challenge que représente leur maintien en captivité et leur reproduction. Donc en priorité, la rareté...
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Pas de problème! Non je n'élèves pas cette espèce, c'est juste un de mes projet pour plus tard, donc il vaux mieux se renseigner avant plutôt qu'après avoir la bête, et puis j'ai encore beaucoup de temps avant de l'avoir! La maintenance en captivité de Pseudoxenodon n'a pas l'air facile et en trouver encore moins. Dommage, car ce sont de bien jolis serpents et surtout intéressant par leur comportement à déployer une coiffe. Et contrairement aux Hydrodynastes, les espèces de ce genres ne sont pas soumis au CDC... Bonne chance pour ce projet
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Les scientifiques de cinq pays sur trois continents différents ont communiqué les résultats de leurs études, selon lesquels onze espèces de serpents sont en déclin, certainement à cause du réchauffement climatique. La disparition de ces animaux risque d’avoir de graves conséquences sur l’écologie puisque ce sont des prédateurs qui ont une importance capitale dans la chaîne alimentaire, et donc dans l’écosystème. Ils permettent entre autres d'éliminer des rongeurs nuisibles tels les rats et les souris. Selon l’étude, sur les dix-sept espèces de serpents observées, onze ont vu leur nombre décroître brutalement. Ce nombre est resté stable pour seulement cinq espèces et une seule a subi une très légère hausse. Même s’il n’y a pas de réelle preuve de la cause de cette diminution, les chercheurs pensent qu’elle serait due à la destruction de l’habitat de ces reptiles, qui souffrent également de la raréfaction de leurs proies, de moins en moins nombreuses. En cause : le réchauffement climatique. Les résultats de l’étude sont publiés dans les Royal Society journal Biology Letters. Parmi les espèces menacées : la coronelle lisse, la vipère aspic, la vipère d’Orsini, la vipère du Gabon, la vipère rhinocéros, le python royal, la couleuvre verte et jaune ainsi que la couleuvre d'Esculape. Source: http://www.maxisciences.com/serpent/serpents-decouvrez-de-superbes-images-de-ces-predateurs-menaces_art7742.html Article: http://rsbl.royalsocietypublishing.org/content/early/2010/06/03/rsbl.2010.0373.abstract?sid=95aa7327-3875-41d5-87bf-d69168ee4785
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300 tortues découvertes en Malaisie Trois cent (300) tortues de Madagascar ont été découvertes par les douaniers de l’aéroport international de Kuala Lumpur, en Malaisie, le 1er juin dernier. Ces animaux, endémiques de Madagascar, étaient enfermées dans deux valises qui contenaient également de la drogue, selon l’organisme TRAFFIC en Asie du Sud-Est. Ces tortues se composaient de 285 sokake, tortues radiées Astrochelys radiata, 14 kapika, tortues araignées Pyxis arachnoïdes, et de une angonoka, tortue à soc Geochelone yniphora, cette dernière étant très rare et très menacée, selon le statut de l’IUCN. Les deux valises contenant ces tortues et la drogue étaient arrivées à Kuala Lumpur par un vol d’Air Mauritius. Les tortues sont vivantes et ont été prises en charge par le Département de la Biodiversité et des Parcs Nationaux (Perhilitan) de Malaysie qui étudie actuellement les moyens de rapatrier ces tortues sur Madagascar. C’est donc un nouveau dossier sur le trafic des tortues endémiques à Madagascar qui vient d’être ouvert avec cette découverte à Kuala Lumpur. Un dossier de plus par rapport aux marchés d’animaux de compagnies qui existent en Asie du Sud Est, dont celui de Bangkok. Ces animaux étant interdits à la vente, il est plus qu’évident qu’il proviennent d’un vaste réseau de trafiquants : tout d’abord au niveau des régions, puis à nos frontières mêmes, et enfin toute la chaîne des commanditaires-revendeurs en Asie du Sud Est. Ces trois espèces de tortues sont inscrites dans l’Annexe 1 de la CITES, la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction. Selon l’UICN, la tortue à soc Astrochelys yniphora est vraiment très menacée ; sa population est estimée entre 100 et 400 individus répartis sur une superficie de 1500 km², dans le nord-ouest de Madagascar. Relevons que l’Annexe I de la CITES comprend toutes les espèces menacées d’extinction et le commerce de leurs spécimens n’est autorisé que dans des conditions exceptionnelles. Quant à l’Annexe II, elle comprend toutes les espèces qui ne sont pas nécessairement menacées d’extinction mais dont le commerce des spécimens doit être réglementé pour éviter une exploitation incompatible avec leur survie. « TRAFFIC, l’organisme de contrôle qui regroupe l’UICN et le WWF, se félicite de la diligence des autorités de la Malaysie dans cette affaire, toutefois elle a exprimé son inquiétude du fait que les coupables de ce crime semblent avoir échappé », a déclaré le directeur régional de TRAFFIC dans le Sud-Est asiatique, le Dr William Schaedla. Aussi, il a exhorté les autorités du département malaysien des douanes et l’autorité en charge de la biodiversité de poursuivre l’enquête afin de démasquer les trafiquants. Dans le cas des tortues malgaches, il s’agit de la première grande prise à l’étranger en cette année 2010 qui est, rappelons-le, l’année mondiale de la biodiversité. Par le passé, des exportations illégales ont été découvertes autant à Madagascar qu’à l’étranger, notamment dans les pays de l’Asie du Sud-Est d’où ces animaux repartent parfois vers d’autres pays. Dans le trafic de tortues, il convient de rappeler quelques dossiers ces dernières années. En 2008, en Thaïlande, 269 tortues radiées ont été saisies au marché de Chatuchak, à Bangkok. La tortue radiée est l’espèce la plus courante sur ce marché spécialisé dans la vente des animaux de compagnie. Deux ans plus tôt, en 2006, un ressortissant malgache avait été arrêté à l’aéroport de Bangkok pour trafic de tortues radiées. En 2005, il y a eu l’affaire de trois militaires malgaches qui ont introduit illégalement 180 tortues radiées à La Réunion. Mais il n’y a pas que les tortues. D’autres espèces font également l’objet de trafic, pour ne rappeler que les 500 caméléons et les centaines d’amphibiens découverts à Ivato dans les bagages respectifs d’un chinois et d’un russe. Trafic de tortues et bois de rose : la biodiversité malgache se vide et il est impératif que des mesures sévères soient prises. Source: http://www.madagascar-tribune.com/300-pieces-decouvertes-en-Malaisie,14223.html
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Faits divers concernant les ophidiens
askook a répondu à un(e) sujet de Reptile-city62 dans Serpents
Ils volent un boa constrictor Deux jeunes garçons qui ont l'air tout à fait « normaux » se mettent un jour des cagoules sur la tête, pénètrent chez un passionné de reptiles, le frappent et lui volent son boa. Huit mois avec sursis. La procureure Hoflack résume bien la situation : « On est dans du tragi-comique. C'est le vol du boa constrictor par deux pieds nickelés dans les principaux rôles. Et ces deux pieds nickelés n'hésitent pas à utiliser du scotch pour s'en prendre à la victime, car ils ont vu trop de films. La réalité, c'est que ces deux types ont des problèmes d'argent. C'est le drame de la précarité sociale : on vole un boa, on braque les petites surfaces, c'est devenu un sport national. » Que s'est-il passé, ce jour-là - le 14 décembre 2009 - dans la tête de Justin G. et de Benoît S. ? Cagoules sur la tête, ils sonnent chez M., rue Guynemer à Armentières. Le bousculent, le frappent. Le plus massif des deux donne des coups de poing, traîne la victime dans les toilettes, la ligote avec un rouleau de scotch, pendant que l'autre, plus gringalet, s'empare du boa constrictor : une femelle d'un an et demi, mesurant un mètre cinquante. Leur mobile ? « L'argent », expliqueront-ils en garde à vue. Le curieux animal vaudrait entre 130 et 300 euros. Tout ça pour ça ? « Qu'est-ce que c'est que cette façon ? », demande, interloquée, la présidente Reliquet, avec cette voix semblable à celle de Caroline Dublanche, les soirs de libre antenne à la radio. Surgit alors un autre mobile : selon Benoît S., le boa était victime de maltraitance de la part de son maître. C'est un passionné de reptiles qui parle : « Je connaissais la victime. Je lui achetais des insectes pour mes reptiles. Et j'ai bien vu, l'hygiène et la nourriture du boa, c'était pas ça. » « Même si c'est vrai, ça ne vous excuse en rien » , répond du tac au tac la présidente dont le visage moitié rieur, moitié grave, exprime bien cette situation tragi-comique. Pour payer les factures Les deux prévenus ont bon nombre de points communs : ils sont du secteur d'Armentières, âgés de 21 ans, en concubinage, pères tous les deux, gagnant 1 000 à 1 300 euros par mois, tatoués au cou, passionnés de reptiles, en jean et tee-shirt blanc. Deux compères dans toute leur splendeur, qui ont voulu jouer aux gangsters ou qui ont eu un coup de folie, de bêtise, d'inconscience. « C'était pour payer les factures et faire des courses » , explique maladroitement Justin G. « Il faut au moins leur faire comprendre que la vie, c'est pas ça », convient maître En-Nih, l'avocate du jeune homme. Elle requiert un travail d'intérêt général, une amende aussi s'il le faut. Mais la présidente Reliquet est plus sévère : huit mois avec sursis pour les deux bandits au casier vierge. Source: http://www.nordeclair.fr/Actualite/Justice/2010/06/17/ils-volent-un-boa-constrictor.shtml -
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J'ai été mordu par trois espèces de colubridés opisthoglyphes. Voici les trois compte-rendu. Chrysoplea ornata: Spécimen adulte Morsure à la main intervenue lors du nourrissage. Picotement lors de la morsure puis rougeurs tout autour de la morsure. Toxicodryas (Boiga) blandingii: Spécimen adulte d'origine sauvage Morsure à la main intervenue lors de son arrivée. Sensation de brulure lors de la morsure, oedème, gonflement de la main et du bras, engourdissement du bras, ganglions au niveau de l'aisselle et fièvre. Certains symptômes ont duré plusieurs jours (gonflement et ganglions). Boiga cyanea: Spécimens adultes Morsures aux mains lors de manipulations. Sensation de brulure lors de la morsure, gonflement de la main et du bras, engourdissement du bras, ganglions au niveau de l'aisselle et fièvre. Je pense que la morsure du "bladingii" aurait pu être bien plus sérieuse si le spécimen avait été en meilleure forme...
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Faits divers concernant les ophidiens
askook a répondu à un(e) sujet de Reptile-city62 dans Serpents
La chasse au "python des toilettes" ouverte à Vitrolles Une résidante de l'immeuble Nº 16, allée Brocard, a lancé une pétition, largement signée par ses voisins Moi, je l'attends, j'ai besoin d'une nouvelle ceinture", plaisante Jean-Paul, au deuxième étage du bâtiment Nº16, allée Philippe-Brocard, dans le quartier de La Frescoule. Celui qu'il attend de pied ferme, c'est le python qui s'est échappé d'un logement du rez-de-chaussée, il y a maintenant quinze jours. Depuis son évasion, vraisemblablement par la conduite des eaux usées, le serpent, qui mesurerait entre 2,50 et 3 mètres de long, va et vient dans l'immeuble, provoquant quelques sueurs froides aux habitants. L'inquiétude a gagné les résidants, surtout ceux qui ont eu la mauvaise surprise de découvrir le reptile, la gueule ouverte, dans la cuvette de leurs toilettes. "Il était là. J'ai eu peur alors j'ai tiré la chasse d'eau, mais c'était une mauvaise idée parce que du coup, on l'a perdu", confie une jeune femme du deuxième étage. "J'ai vu une énorme masse verte" Selon le témoignage de Dominique, un habitant du bâtiment adjacent, qui connaît bien le propriétaire du python, le serpent aurait d'abord grimpé par des gaines techniques pour accéder aux étages supérieurs, avant de se promener dans les canalisations. "Samedi dernier, il est retourné chez lui, mais son propriétaire n'a pas pu le rattraper. Il a d'ailleurs cassé plusieurs cloisons pour le retrouver." Et c'est dans un autre logement qu'il a fait de nouveau son apparition. "J'ai vu une immense masse verte dans les toilettes, raconte Sabrina, une jeune maman. J'ai crié et j'ai appelé mon mari qui est vite allé chercher le propriétaire." Puis c'est le branle-bas de combat. À l'aide d'une serviette, il tente de maintenir le reptile qui, lui, n'a qu'une envie, se faire encore une fois la malle. Son propriétaire lâchera prise quelques minutes avant que les pompiers et la police municipale n'arrivent sur les lieux. "Il paraît qu'il faut un homme par mètre du python, donc il en faudrait au moins trois vu sa taille, poursuit Sabrina, qui ne cache pas sa crainte. Il paraît que ça peut avaler un nourrisson..., poursuit-elle, tout en montrant que ses toilettes sont situées juste à côté de la chambre de son bébé. Ce jour-là, heureusement, il n'y avait pas les enfants." En face de chez elle, presque enfermée à double tour, une femme sort pieds nus sur le palier. C'est elle qui est à l'origine de la pétition, mais elle a souhaité garder l'anonymat. Pour elle, comme pour les résidants, il est difficile d'accepter que le propriétaire n'ait "pas averti plus tôt que son serpent s'était échappé. C'est la moindre des choses". D'autant qu'il serait carrément fan d'animaux invertébrés et de ce qu'on appelle désormais les NAC : ces nouveaux animaux de compagnie. "On va bientôt se retrouver avec des crocodiles !" Selon les témoignages, l'homme, routier de profession, que nous n'avons pas pu joindre hier, aurait des "iguanes, des rats... et d'autres animaux. Et il les a acquis légalement", rapporte Dominique, qui semble bien le connaître.Mais pour la pétitionnaire, "si on tolère tout, on va bientôt se retrouver avec des crocodiles! J'estime que la liberté s'arrête là où commence celle des autres. Et s'il sort du bâtiment. Il y a des écoles par ici. C'est sûr que ça fait peur". Sa pétition, qui a reçu presque l'ensemble des signatures des habitants de l'immeuble, va être envoyée à la Société Domicil, et au syndic Logicil, qui de son côté affirme "ne pas savoir comment faire dans la mesure où le serpent ne se montre pas." D'après les calculs des résidants, qui ont désormais bien du mal à oser s'asseoir sur le trône, le python serait dans un logement au premier étage. Mais sa propriétaire étant absente, personne n'en a la certitude. Une chose est sûre, dans ce bâtiment de La Frescoule, il faudra garder son sang-froid... Source: http://www.laprovence.com/article/vitrolles/la-chasse-au-python-des-toilettes-ouverte-a-la-frescoule -
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Naissance de crocodiles du Siam Le crocodile du Siam (Crocodylus siamensis) est l’une des espèces les plus menacées au monde, les experts estiment à 250 sa population totale en liberté, pour l’essentiel au Cambodge. La découverte la semaine dernière d’un nid de l’espèce avait provoqué le branle bas de combat des milieux environnementalistes de la région. Ce sont au final 13 bébés crocodiles qui seront sortis des œufs soumis à la surveillance attentive des défenseurs de la nature. "Chaque nid compte" a ainsi précisé Adam Star de Faune et Flore International à AP, "Trouver un nid est déjà un grand succès, faire éclore les œufs c’est encore plus grand !" Le nid a été découvert dans la région très isolée d’Areng, dans la chaîne des Cardamomes. Rapidement les experts ont enlevé quinze œufs en son sein pour les replacer dans un nid artificiel, manière de garantir le succès de leur éclosion. Seuls dix d’entre eux seront arrivés à terme, mais la chance s’en est mêlée, et 3 autres bébés crocodiles auront vu le jour dans le nid originel. L’avenir dira si les reptiles seront relâchés dans leur région de naissance, désormais sous la menace de plusieurs projets de développement hydroélectriques. Les crocodiles du Siam ont vu leur population se raréfier depuis le siècle dernier, leur peau étant notamment très courue. Sa population est estimée à moins de 5 000 spécimens dans le monde. Leur élevage a conduit l’espèce à se mélanger à d’autres (Crocodylus rhombifer et Crocodylus porosus), réduisant encore le nombre de véritables crocodiles du Siam. En 1992 l’espèce avait été déclarée disparue dans la nature au Cambodge, avant que l’on en retrouve quelques spécimens. Il faut notamment 15 ans à un crocodile du Siam pour atteindre sa maturité sexuelle, souhaitons donc longue vie aux 13 survivants d’Areng ! Source: http://www.lepetitjournal.com/cambodge/en-bref-cambodge/59751-environnement--naissance-de-crocodiles-siamois.html
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Estuarine crocodiles ride surface currents to facilitate long-distance travel Journal of Animal Ecology (2010) Hamish A. Campbell, Matthew E. Watts, Scott Sullivan, Mark A. Read, Severine Choukroun, Steve R. Irwin, Craig E. Franklin http://www3.interscience.wiley.com/cgi-bin/fulltext/123501139/PDFSTART